Réseaux Electriques

ELECTRONIQUE FONDAMONTALE
COURS ENSEIGNE PAR
Dr Nasreddine HAÏNE
electronic.fondam.phys.usthb@gmail.com
Laboratoire LPM équipe diélectrique
faculté de Physique
USTHB
Dr Nasreddine HAÏNE 1
I. RESEAUX ELECTRIQUES
Plan du cours
I.1. Définitions
I.2. Classification des dipôles
Dipôles passifs et actifs.
Dipôles linéaires
Dipôles symétriques et non symétriques
I.3. Dipôles passifs linéaires
Résistance pure
Condensateur
Bobine (self)
I.4. Dipôles actifs
Dipôles actifs générateurs idéaux
Dipôles actifs générateurs réels:
Dipôles actifs récepteurs réels.
I.5. Notions sur les signaux périodiques
Valeur moyenne du signal périodique
Composante continue (DC=) et composante alternative (AC ~)
Puissance électrique
Valeurs efficaces
Quelques signaux périodiques usuels
Signal harmonique
Signal non harmonique Dr Nasreddine HAÏNE 3
I.6. régimes transitoire et permanent
Circuit RC
Circuit RL
Circuit RLC
Circuit bouchon
I.7. Lois des réseaux
Loi d’Ohm généralisée
Loi de Kirchhoff
 Loi d’association de dipôles linéaires
I.8. Méthodes d’analyse des réseaux
 Méthode des mailles
Méthode des nœuds: (Théorème de Millman)
Théorème de superposition
Théorème de réciprocité
Théorème de Thevenin-Norton
I.9. Puissance électrique en régime harmonique
En représentation réelle
En représentation complexe
I.10. Adaptation dimpédanceen régime harmonique
I.11. Circuit RLC série en régime harmonique. Résonance courant
I.12. Circuit bouchon en régime harmonique. Antirésonance courant 4
RE
S
E
A
I.1. DEFINITIONS
U
X
Dipôle électrique: élément électrique possédant deux bornes
E
L
E Exemple: résistance, self (bobine), condensateur, pile,….
C
T
R
I E
Q R L C
U
E
S
2 pôles 2 pôles 2 pôles 2 pôles

(bornes)
RE DE
SFIN
E ITI
A
ON Tripôle électrique: élément électrique possédant trois bornes
U
XS
E Exemple: Transistor
L
E
C C
T
R
I
Q B
U
E
S
E
3 pôles (bornes)
RE DE
SFIN
E ITIquadripôle électrique: élément électrique possédant quatre bornes
A
ON
U
XS
E Exemple: Transformateur
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
4 pôles
(bornes)
RE DE
SFIN
E ITI
A
ON
U
XS
Courant électrique traversant le dipôle
E
L iD VA
E
Dipôle
Dipôle
VB
C
T
R
I
Q
uD= VA - VB
U
E
S
Tension électrique aux bornes du dipôle uD
=
Différence de potentiels (ddp)
RE DE
SFIN
E ITI
A
Caractéristique d’un dipôle électrique
ON =
U
XS Courbe représentative de la fonction
iD= f(uD) ( ou de uD=g(iD))
E
L
E
C
T
R
I
Exemple: caractéristique d’une résistance R
Q
U
E
uR
S
iR
RE DE
SFIN
E ITI Réseau électrique
A
ON
U
XS
E Association d’éléments électriques connectés entre eux

L par des conducteurs parfaits
E
C
T Exemple:
R
I
Q R1 R2 R3
U
E
S
E C1 C3 C3
L1 L2 L3
RE DE
SFIN
E ITI Nœud d’un réseau électrique
A
ON
U
XS
E Un point d’un réseau où aboutit plus de deux conducteurs

L
E
C
T
R R1 R2 R3
I A B
Q
U
E
S
E C1 C3 C3
F D
L1 L2 L3
4 Nœuds
RE DE
SFIN
E ITI Branche d’un réseau électrique
A
ON
U
XS
E Portion d’un réseau située entre deux nœuds consécutifs

L
E
C
T
R R1 R2 R3
I A B
Q
U
E
S
E C1 C3 C3
L1 L2 L3
F D
6 branches
RE DE
SFIN Maille d’un réseau électrique
E ITI
A
ON
U Une boucle fermée délimitée par des branches du réseau et
XS
qui ne passe une seule fois par un nœud donné
E
L
E A B
C R1 R2 R3
T
R
I
Q
E I C1 II C3 C3
U III
E
S
IV V
F D
L1 L2 L3
VI
6 mailles
RE
S I.2. Classification des dipôles
E
A
U
 Dipôles passifs et actifs:
X
E  Les dipôles passifs ont une caractéristique qui passe par

L l'origine (u = 0 ; i = 0). Ils ne peuvent que consommer de la
E
C puissance électrique, et cette puissance est dissipée par effet
T joule.
R
I Exemple: une résistance R
Q
U
E
S
Les dipôles actifs ont une caractéristique qui ne passe pas
par l'origine et une partie de la puissance qu'ils mettent en
jeu ne correspond pas à de l'effet Joule. De plus il faut
distinguer entres leurs deux bornes, ils ont une polarité.
 Dipôles générateurs: pile, dynamo, photopile,…
 Dipôles récepteurs: batterie en charge, moteur à courant
RE Classifi
S cation
E des
A  Dipôles linéaires: 2 définitions
U dipôle
X s
E
 dipôles dont la caractéristique est une droite
L (i(u)= a u +b où a et b sont des constantes),
E
C
T Exemple: une résistance R
R
I
Q
U
 dipôles pour lesquels la fonction f : uD = f (iD) est une
E fonction différentielle à coefficients constant.
S
Exemple: une self d’inductance L et de résistance r

iD L R
uL Dr Nasreddine HAÏNE 15
RE Classifi
S cation
E des
 Dipôles symétriques :
A Dipôles dont la caractéristique possède une symétrie
U dipôle
X s centrale de centre l’origine du repère (i(u) =−i(−u) ).
Pour ces dipôles, le sens de branchement est sans
E
L importance. u
E
C
Exemple: lampe
T i
R
I
Q
U  Dipôles non symétriques:
E
S Dipôles dont la caractéristique ne possède pas une
symétrie centrale de centre l’origine du repère (i(u)
−i(−u) ). Pour ces dipôles, le sens de branchement est
très important. i
Exemple: diode
u
Dipôle
Passif Actif
Linéaire Non linéaire Non symétrique
Symétrique Non symétrique Linéaire Non linéaire

Symétrique
Lampe Thévenin Pile
Résistance Norton
Remarque: les composants semi-conducteurs (diodes, zeners, transistors)sont

des exceptions et seront considérés comme actifs
RE Classifi
S cation Exemple 1: DIODE (semi-conducteur)
E des
A i
U dipôle
X s
u
E
L
E
C Ce dipôle d’après les définition est passif, non
T linéaire et non symétrique
R
I Passif car la courbe passe par l’origine (i(0)=0)
Q
U
E Non linéaire car la caractéristique n’est pas une
S droite (i(u) a u +b où a et b sont des constantes)
Non symétrique car il n’y a pas de symétrie

centrale de centre origine du repère (i(u) −i(−u) )
Exception faite: elle sera considérée comme un dipôle actif

RE Classifi
S cation
E des
Exemple 2: PILE
i
A
U dipôle
X s
E u
L
E
C
T
R Ce dipôle est actif, non linéaire et non symétrique
I
Q
U Actif car la courbe ne passe pas par l’origine du repère
E
S
(i(0) 0)
Non linéaire car la caractéristique n’est pas une droite

(i(u) a u +b où a et b sont des constantes)
Non symétrique car il n’y a pas de symétrie centrale de

centre origine du repère (i(u) −i(−u) )
RE Classifi
S cation
E des Exemple 2: MOTEUR
A i
U dipôle
X s
E
L u
E
C
T
R
I Ce dipôle est actif, linéaire et non symétrique
Q
U
E Actif car la courbe ne passe pas par l’origine du repère
S (i(0) 0)
linéaire car la caractéristique est s une droite (i(u)= a u

+b où a et b sont des constantes)
Non symétrique car il n’y a pas de symétrie centrale de

centre origine du repère (i(u)
Dr Nasreddine −i(−u) )
HAÏNE 20
RE
S I.3. Dipôles passifs linéaires
E
A
U
X
 Résistance pure R:
E iR
L
E R
Dipôle
C
T uR
R
I
Q  unité de R: W (Ohm)
U
E
S  Loi d’Ohm: uR=RiR
 Puissance instantanée: pR= R iR2

La résistance (R) est la propriété qu’a un matériau de convertir de
l'énergie électrique en énergie calorifique.
R sert soit à limiter le courant circulant dans un circuit , soit à créer une
chute de tension. Dr Nasreddine HAÏNE 21
RE Dipôle
S s
E passifs Résistance d’une tige conductrice
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T R : Résistance du conducteur (Ω)
R ρ : Résistivité (Ω.m)
I
S : Section (m2)
Q
U L: Longueur (m)
E
S
Valeur de la résistivité à 15 °C
Matériau Aluminium Mercure Cuivre Argent Fer Nickel (Ni)
(Al) (Hg) (Cu) (Ag) (Fe)
ρ (Ω.m) 2,8×10-8 95 ×10-8 1,7×10-8 1,5 ×10-8 1,1 ×10-7 1,2 ×10-7
RE Dipôle
S s La résistivité ρ
E passifs
A linéair
U es
Supraconducteur
X
conducteur Semi-conducteur Isolant
E
L
E 0 r
C ~ qq 10 Ω.m
-8
10 Ω.m < ρ < 1 Ω.m
-3
10 à 10 Ω .m
8 14
T
R
I
Q Dépendance de ρ avec la température pour les
U
E conducteurs :
S
ρ(T) = ρ(To) (1 + α (T - T0))
où α : coefficient de température en K-1
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
U es
X
σ =1/ρ α coefficient
E conductivité de
L Matériau ρ résistivité électrique à température
E
C (Ω.m) 20 °C ( K-1)
T (Ω-1.m-1)
R
I
Q Cuivre 1,7×10-8 5,9×10 7 +4×10– 3
U
E Aluminium 2,8×10-8 3,6×10 7 +4×10– 3
S
RE Dipôle
S s  Lois d’association:
E passifs
A linéair
U es  série:
X
iR RDi1 RDi2 RDin iR RDieq
E
L pô pô pô pô
E u
le
R1 u
le
R2 ule
Rn
le
C
T uR uR
R
I
Q
U
E
S
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
 parallèle:
U es
X
E
iR
L
E
C
iR
R1 R2 uR
Dipôl
Dipôl
Dipôl
T
Rn
Dipôl
uR Req
e
e
R
I
Q
U
E
S
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
U es
X
iR
E
L
iR
R2 uR
Dipôl
Dipôl
Dipôl
E
Rn
Dipôl
uR Req
e
e
C
T
R
R1
I
Q
U
E
S
Conductance:
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
Différentes variétés de résistances fixes
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
 taille : quelque cm
 indication : valeur de R avec sa précision ou code de couleurs
+ puissance maximale à ne pas dépasser
 les valeurs R sont normalisées
RE Dipôle
S s
E passifs Technologie
A linéair
U es
X  Les résistances de faible
puissance en dessous de 1 W
E
L sont généralement des
E résistances à couche
C de carbone sur un support
T de céramique.
R
I
Q
U
E Pour les puissances
S supérieures, la technique du fil
résistant enroulé sur un corps
en céramique est souvent
utilisée.
 Pour les très fortes puissances, on peut utiliser une technologie dite

des « résistances liquides » consistant à faire passer le courant à travers
une solution aqueuse contenant
Dr Nasreddine des
HAÏNEions cuivre 29
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I Mesure de R Ohmmètre
Q
U
E
S
Code de couleurs
( on l’utilise lorsque la résistance est soudée sur une plaque un circuit
électronique)
9,5 kΩ ≤ R ≤ 10,5 kΩ
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
résistances variables: potentiomètres
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
RE Dipôle
S s Condense des charges électriques Q
E passifs
A linéair
 Condensateur parfait: &
U es Emmagasine de l’énergie électrique
X
E
C (capacité)
L
E iC
C
T
R
I
Q -Q
Q uC
U
E
S  unité de C: F (Farad)

 Puissance instantanée:
RE Dipôle
S s Condensateur plan
E passifs
A linéair Armatures conductrices planes
U es
X
E
L e S
E Diélectrique
C
T er
R
I C : Capacité – F (Farad)
Q εo : Permittivité du vide – F m-1
U
E εr : Permittivité du diélectrique - sans
S dimension
S : Surface d’une armature - m2
e : Epaisseur du diélectrique - m
Valeurs de er : Air :1, Bakélite : 6,5; Mica : 8; Papier : 2,5;

Verre: 5,5.
Condensateur Cylindrique
Condensateur sphérique
RE Dipôle
E passifs
A linéair  série:
U es
X C1 C2 Cn Cn
E iC iC
L
E
C
T
Q Q Q Q
R uC1 uC2 uCn
I
Q uC uC
U
E
S
Chaque condensateur est traversé par le même courant
RE Dipôle
E passifs
A linéair parallèle:
U es
X
iC
iC
E
L iC1 iC2 iC3
E
C
T
uC uC
R
I
C1 C2 Cn Ceq
Q
U
E
S
La tension aux bornes de chaque condensateur est la même
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
 Condensateur réel: on le modélise par une
U es
X
association de dipôles linéaires
Ls R C
E
L
iC Di s
E pô
C le
T
R
RDip
I pô
Q le
U uC
E
S
Ls: inductance qui dépend de la technologie de fabrication

Rs: résistance série qui est fonction de la résistance de
connexions des armatures et des caractéristiques du
diélectrique
Rs: résistance parallèle qui représente les défauts
RE Dipôle
S s
E passifs Différentes variétés de condensateurs fixes
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
 taille : quelque cm
 indication : valeur de C avec sa précision ou code
+ tension maximale à ne pas dépasser
 les valeurs de C sont normalisées
RE Dipôle
S s
E passifs Technologie
A linéair
U es CONDENSATEURS AU PAPIER ET A L'ALUMINIUM
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U CONDENSATEURS A FILM PLASTIQUE
E
S
RE Dipôle
S s CONDENSATEURS AU MICA ET AU MICA ARGENTÉ
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S CONDENSATEURS CÉRAMIQUES: mélange finement broyé de silicate de
magnésium, de l'alumine et du corindon auxquels on ajoute des
oxydes de titane, baryum ou strontium. La poudre obtenue est
séchée, tamisée puis moulée sous pression avec de l'argile ou un
liant organique et cuite à une température supérieure à 1 000° C.
Les armatures sont obtenues par métallisation d'argent sur les deux
faces.
La protection est assurée normalement par une couche de peinture
laquée cuite au four.
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair CONDENSATEURS ÉLECTROLYTIQUES
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
Attention: si on inverse les polarités

détérioration du condensateur et risque
d’explosion
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I Mesure de C Capacimètre
Q
U
E
S
Code de couleur ou marquage

( on l’utilise lorsque le condensateur est soudé dans un circuit électronique)
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
condensateurs variables:
U es
X
E
L
E
arbre
C
T
R
I
Q
U
E
S
rotor stator
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
 Self (bobine) parfaite: Emmagasine de l’énergie magnétique
U es
X
E iL L (inductance)
L
E
C
T
uL
R
I
Q
U  unité de L: H (Henry)
E
S

 Puissance instantanée:
RE Dipôle
S s SOLENOÏDE: enroulement en hélice d’un fil conducteur
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
μ0 = 4π×10-7 kg.m.A-2 s-2, ou encore 4π×10-7 T.m.A-1

RE Dipôle
Comme le flux magnétique :
S s
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
Pour augmenter la valeur de L , on place à l’intérieur du solénoïde un

noyau de fer doux (ferromagnétique) de perméabilité magnétique
relative mr (>>1)
RE Dipôle
S s SOLENOÏDE: bobine torique à section rectangulaire
E passifs
A linéair
U es
X
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
RE Dipôle
E passifs
A linéair  série:
U es
X
iC L1 L2 Ln Leq
iL
E
L
E uL1 uL2 uLn
C
T uL uL
R
I
Q
U
E
S Chaque self est traversée par le même courant
RE Dipôle
S s parallèle:
E passifs iL
A linéair
U es
iL
X
iL1 iL2 iCn
E
L
E
uL uL
C L1 L2 Ln Leq
T
R
I
Q
U
E La tension aux bornes de chaque self est la même
S
RE Dipôle
S s
E passifs
A linéair
 Self réelle: on la modélise par une association
U es
X
de dipôles linéaires
RDi L
E
L
iL
E pô
C le
T C
R
I
Q
U
E
uL
S
L: inductance qui dépend de la technologie de fabrication

R: résistance série qui est fonction de la résistance de
connexions des armatures et des spires de la self
(bobine)
C: capacité du condensateur parallèle qui représente le
couplage capacitif entre les spires.
RE Dipôle
S s
E passifs Différentes variétés de bobines fixes
A linéair
U es
X
E
L
E Bobine torique à
C
T
section rectangulaire
R
I
Q
U
E
S
Solénoïdes Bobine plate
bobines à inductance variable
RE
S I.4. Dipôles actifs linéaires
E
A
U
Dipôles actifs linéaires générateurs idéaux:
X
- Les sources de tension idéales linéaires et indépendante :
E
L
E
Elles délivrent une tension continue ou variable au cours du
C temps totalement indépendante du courant qui les traverse
T
R E E ou e(t)
I
Q
U
E
S - Les sources de courant idéales linéaires et indépendante :
Elles imposent d'être traversées par un courant continu ou

variable au cours du temps totalement indépendant de la tension
à leurs bornes
h ou h(t)
RE Dip
S ôle
E s
A ac - Les sources de tension idéales linéaires contrôlées
U tifs (liées ou commandées):
X
Elles délivrent une tension continue ou variable au cours du
E temps qui dépend d’une autre tension ou d’un courant du
L réseau
E
C
T Uc ou uc (t) E=A Uc ou e(t)=A uc (t)
R
I
Q
U
E A: est sans dimension (gain en tension)
S
Ic ou ic (t) E=r Ic ou e(t)=r ic (t))
r: dimension d’une résistance W (résistance (impédance) de

transfert ou bien transrésistance
(transimpédance)) 54
RE Dip
S ôle
E s - Les sources de courant idéales linéaires et contrôlées (liées
A ac ou commandées): :
U tifs
X
Elles imposent d'être traversées par un courant continu ou variable
au cours du temps qui dépend d’une autre tension ou d’un courant
E du réseau
L
E Uc ou uc (t) h= gUc ou h(t)= g uc (t)
C
T
R
I
Q g: dimension d’une conductance W-1 ou S (siemens)
U
E (conductance (admittance) de transfert ou bien
S transconductance (transadmittance))
h= KIc ou h(t)= K ic (t)

Ic ou ic (t)
K: est sans dimension (gain en courant)

RE Dip
S ôle
Dipôles actifs linéaires générateurs réels:
E s Les sources de tension (courant) réelles chargées voient
A ac
U tifs
leur tension ( courant) diminuer. On les modélise par des
X sources idéales en leur rajoutant une résistance ou une
E impédance interne.
L
E - Sources de tension réelles linéaires indépendantes :
C
T
R E ou e(t)
I
I, i(t) Ri (Zi)
Q
U
E U, u(t)
S
U = E− Ri I (régime continu)
u(t) = e(t) − Zi i(t) (régime harmonique )
Remarque : la barre au dessus des symboles indique que les

grandeurs associées sont exprimées
Dr Nasreddine HAÏNE en représentation complexe56
RE Dip
S ôle
E s U = E− Ri I
A ac
U tifs
X
caractéristique source de tension en régime continue
u
E
L E
E
C
T E/ Ri I
R
I
Q
U
E Tension à vide Courant du court-circuit
S E E Ri
I=0 Ri A
Icc=E/ Ri
V
U =E U=0
RE Dip
S ôle
caractéristique de la source de tension en régime continu
E s
A ac u Source parfaite
U tifs
X E
E/2 Source réelle
E
L E/ Ri I
E
C
T Cas particulier: Pour quelle valeur de RL on a U=E/2 ?
R
I E
Q Ri
U
E RL I
S
U=E/2
U=E/2= RLI
RL= Ri (méthode de
E=(Ri+ RL)I Dr Nasreddine HAÏNE
mesure de R )
58
RE Dip
S ôle
E s Lois d’association de n sources de tension continue placées en série
A ac
U tifs
X En
I E1 Ri1 Rin
E
L
E
C
T
R
I
Q
U I E Ri
E
S
(régime continu)
RE Dip
S ôle
E s - Sources de courant réelles indépendantes :
A ac
U tifs
X
h ou h(t)
E
I, i(t)
L
E
C
Ri (Zi)
T
R
U, u(t)
I
Q
U
E
S
I= h- U/Ri i(t) (régime continu)
i(t) = h(t) - u(t)/Zi (régime harmonique)
RE Dip
S ôle
E s
I= h− U/Ri i(t)
A ac
U tifs
caractéristique de la source de tension en régime continu
X I Source parfaite
E h
L Source réelle
E
C Rih U
T
R
I
Q Courant du court-circuit Tension à vide
U h
E
A
I=0 h
S
Ri
Ri
V
Icc= h
Uv =Rih
RE Dip
S ôle
caractéristique de la source de courant en régime continu
E s
A ac I Source parfaite
U tifs
X h
h/2 Source réelle
E
L
E
Ri h u
C
T Cas particulier: Pour quelle valeur de RL on a I=h/2= Icc /2 ?
R
I
h
Q A
U
E Ri
S
RL I
I= h Ri/(Ri + RL )
RL= Ri (métode de
I= h/2 Dr Nasreddine HAÏNE
mesure de R )
62
RE Dip
S ôle
E s Lois d’association de n sources de courant continu placées en parallèle
A ac
U tifs
X
I
L
E Ri1
C
Rin
Ri
hn
h1
h
T
R
I
Q
U
E
S
(régime continu)
RE Dip Equivalence de sources indépendantes
S ôle
E s
A ac
U tifs
X I, i(t)
E Ri (Zi)
L
E R’i (Z’i) U (u (t))
U (u (t))
h ou h (t)
C E (e (t))
T
R
I
Q
I, i(t)
U
E
S
Pour que ces sources soient équivalentes, il faut que:
 les tensions entre leurs bornes soient égales
Les courants débités soient égaux.
U = E - Ri I et I =h – U/ R’i h= E/ Ri et Ri= R’i (régime continu)
u = e - Zi i et h= e/ Zi
i =h – u/ Z’i Dr Nasreddine HAÏNE et Zi= Z’i (régime harmonique)
64
RE Dip
S ôle
E s
A ac
- Les sources de tension réelles contrôlées (liées ou
U tifs commandées):
X
E
L
E Uc ou uc (t) E=A Uc ou e(t)=A uc (t)
C
T
R Ri ,Zi
I
Q A: est sans dimension (gain en tension)
U
E
S
Ic ou ic (t) E=r Ic ou e(t)=r ic (t))
Ri ,Zi
r: dimension d’une résistance W (résistance (impédance) de
transfert ou bien transrésistance
(transimpédance)) 65
RE Dip
S ôle
E s - Les sources de courant réelles (liées ou commandées):
A ac
U tifs
X Uc ou uc (t) h= gUc ou h(t)= g uc (t)
E
L
E
C
T Ri ,Zi
R
I
g: dimension d’une conductance W-1 ou S (siemens)
Q (conductance (admittance) de transfert ou bien
U
E
transconductance (transadmittance))
S
h= KIc ou h(t)= K ic (t)
Ic ou ic (t)
Ri ,Zi
K: est sans dimension (gain en courant)
RE Dip
S ôle
Dipôles actifs linéaires récepteurs réels:
E s
A ac - Batterie en charge ou moteur à courant continu
U tifs
X
E E
L I, i(t) Ri
E
C
U
T
R
I
Q U = E+ Ri I
U
E
S
caractéristique d’un dipôle linéaire récepteur en régime
continu
U
Dr Nasreddine HAÏNE I 67
RE
S
E I.5. Notions sur les signaux périodiques
A
U
X
 un signal périodique est caractérisé par une période T (seconde) ou par sa
E fréquence f =1/T (nombre de période en une seconde) ou sa pulsation
L w=2pf=2p/T (rd/s)
E
C U (V)
T
10
R
I
8 T=2m s
Q
U Exemple 6
E
S
4
0
t(m s)
0 1 2 3 4 5 6
f=1/T =1/(0.002) = 500Hz 500 périodes en 1 s w=100 p rd/s

RE sig
S na
E ux
 Valeur moyenne du signal périodique:
A pér
U iod
X iqu
es
E
L
E
C Remarque: l’intégrale est l’aire sous la courbe pendant une période T
T
R U (V )
I u (V )
10
1 0
Q 8
8 T = 2m s
T = 2m s
U 6
6
E
4
S
4
< u > = + 2 ,5
2
2
t(m s t(m
) s)
0
0
0
0 1
1 2
2 33 44 55 66
RE sig
S na
E ux
 Composante continue (DC=) et composante alternative
A pér (AC ~):
U iod
X iqu Une grandeur périodique a généralement deux composantes:
es
E
L
E - Une composante continue (valeur moyenne ) <u(t)>
C
T
R - Une composante alternative uAC
I
Q
U
E
S <u> 8
10 u AC (V )
6
8
4
6
2
4
t (m s)
0
2 0 2 4 6
t (m s) -2
0
0 2 4 6 Dr Nasreddine
8 HAÏNE
10 70
RE sig
S na
E ux
A pér
Une grandeur périodique alternative n’a pas de composante continue:
U iod
X iqu
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U Puissance électrique:
E
S - Puissance instantanée
i(t)
Dipôle
Dipôle
u(t)
RE sig
S na
E ux
- Puissance moyenne:
A pér
U iod
X iqu
es En régime périodique, la puissance moyenne est plus intéressante à connaître
E
L
E
C
T
R
I
Q
U Valeurs efficaces:
E
S
Par définition :
RE sig
2
S na u (V )
E ux 100
A pér
U iod 80 T = 2m s
X iqu
es 60
E
40
L
2 2
E < u > = 25 V
20
C
T t(m s)
0
0 1 2 3 4 5 6
R
I
Q
U
E
S
RE sig
S na
E ux
- La valeur efficace d’une grandeur périodique est toujours positive
A pér
U iod
X iqu
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
On définit aussi la valeur efficace d’un courant:
RE sig
S na
E ux
- Signification de valeur efficace
A pér
U iod En régime continu I et U sont constants
X iqu
es I R
E Dipôle
L
E U
C
T
R
I
Q
U En régime périodique:
E
S
D’un point de vue énergétique, un courant alternatif de valeur efficace Ieff

se comporterait comme un courant continu de valeur I est égal à Ieff .
La notion de valeur efficace est reliée à l’énergie75

RE sig
S na Exercice à remettre sur feuille
E ux
A pér u(V )16
U iod
14
X iqu
es 12
E
10
L
E 8
C
6
T
R 4
I
2
Q
U 0
E 0 5 10 15 20 25 30
S t(m s)
u(t) est une tension dont sa composante alternative est harmonique.
Cette tension est appliquée aux bornes d’une résistance R=1 kW .
1/ Déduire du graphe les valeurs de la période T et de la composante
continue.
2/ Ecrire l’expression de uAC(t) et de u(t).
3/ Calculer la valeur efficace de u(t) et la puissance moyenne
consommée par R.
RE sig
S na
E ux
Quelques signaux périodiques usuels:
A pér u
T
U iod
X iqu - Signal harmonique: 0
T
T
es T /2
E T
L t
E
C u
T
T
R -Signal harmonique U DC
T
I
Q avec offset: T
U
E 0
T /2 T
t
S
u (t)
U0
-Signal créneau:
t
T /2 T 3 T /2 2T
RE sig
S na
E ux u (t)
U0
A pér
U iod -Signal carré:
X iqu T /2 T 3 T /2 2T
t
es
E -U 0
L
E
C u
U0
T
R
I -Signal dents de scie:
Q
U
E T 2T 3T t
u
U0
-Signal triangulaire:
3 T /2 2T t
T /2 T
RE sig
S na
E ux
Signal harmonique:
A har
U mo
- Fonctions mathématiques en représentation réelle
X niq
es
E
L
E
i(t) : courant électrique (valeur instantanée) (A)
C I: amplitude du courant électrique (valeur maximale) (A)
T
R t: temps (s)
I
Q w: pulsation (rd/s)
U j: phase à l’origine du courant électrique (rd)
E
S
w t+ j: phase à l’instant t du courant électrique (rd)
u(t) : tension électrique (valeur instantanée) (V)
U: amplitude de la tension électrique (valeur maximale) (V)
y: phase à l’origine du tension électrique (rd)
w t+ y: phase à l’instant t du tension électrique (rd)

RE sig
S na
E ux Valeurs efficaces
A har
U mo
X niq
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
RE sig
S na
E ux
A har Même démonstration pour u:
U mo
X niq
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
ou
S
Ieff : valeur efficace du courant électrique (A)
Ueff : valeur efficace de laDrtension

Nasreddine électrique
HAÏNE (V) 81
RE sig
S na - Fonctions mathématiques en représentation complexe
E ux
A har
U mo
X niq
Rappel:
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
RE sig
S na Même démonstration pour u:
E ux
A har
U mo
X niq
es
E
L
E
C
Remarque si i et u sont exprimés en sinus , on choisit la partie imaginaire
T
R
I
Q
U
E
S
RE sig
S na
E ux
A har
U mo
X niq
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
Même démonstration pour u:
S
RE sig
S na
E ux
A har Puissance moyenne en représentation réelle:
U mo
X niq
es
E
L
E
C
T
R
I Puissance moyenne en représentation complexe:
Q
U
E
S
RE sig
S na
Signal non harmonique:
E ux Un signal périodique non harmonique peut être
A pér
décomposé en une somme infinie de signaux harmoniques
U iod
X iqu (série de Fourier)
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
si f est paire bn=0

si f est impaire an=0
RE sig
S na
E ux Exemple : signal carré
A pér
U iod u (t)
X iqu U0
es
E
L T /2 -T /4 T /4 T /2
t
E
C
-U 0
T
R
I
Q
U
E
S
f est une fonction paire: bn = 0

RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es
E
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
- Premier harmonique ou Fondamental: w0 =2p/T et amplitude A1 = 4U0/p
- Deuxième harmonique :w1 =6p/T= 3w0 et A2= U0/(3p) = 4A1/3
- Troisième harmonique :w2 =10p/T = 5w0 et A3 = 2U0/(5p) = 4A1/5

- Quatrième harmonique :w3=14p/T = 7w0 et A4 = U0/(7p) = 4A1/7
- pième harmonique :w =2(2p+1)p/T = (2p+1)w0 et Ap = 4A1/(2p+1)
n
RE sig
S na 1.2 An/ A1
E ux
A pér 1
U iod
X iqu 0.8
es
E
0.6
L
E
C 0.4
T
R 0.2
I
Q
wp/ w0
0
U 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
E
S Spectre d’amplitude
Amplitude décroit en 1/(2p+1)
À partir d’un p0 on peut négliger les amplitudes Ap tel que p> p0

RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
u(t)
es
E
L
E
C
U0
T
R
I
Q
U
E
-3T/4 -T/2 -T/4 0 T/4 T/2 3T/4 t
S
-U0
Fondam ental
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es u(t)
E
L
E
C
T U0
R
I
Q
U
E -3T/4 -T/2 -T/4 0 T/4 T/2 3T/4 t
S
-U0
Fondam ental+ deuxièm e harm onique
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es
u(t)
E
L
E
C U0
T
R
I
Q
U -3T /4 -T /2 -T /4 0 T/4 T/2 3T /4 t
E
S -U0
Fondam ental+ deuxièm e +troisièm e harm onique
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es u(t)
E
L
E
C
T U0
R
I
Q
U
E -3T/4 -T/2 -T/4 0 T /4 T /2 3T/4 t
S
-U0
Fondam ental+ deuxièm e +troisièm e + quatrièm e harm onique
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod
X iqu
es
E u(t)
L
E
C
T
U0
R
I
Q
U
E -3T/4 -T /2 -T/4 0 T/4 T/2 3T /4 t
S
-U0
les 7 prem iers harm oniques
RE sig
S na
E ux
A pér
U iod CONCLUSION
X iqu
es
E
L Pour un signal périodique non harmoniques le problème se
E ramène à l’étude d’un nombre fini de signaux harmoniques
C
T
R
I
Q
U
E
Lorsque le système est linéaire, sa réponse à une
S excitation périodique non harmonique est la somme des
réponses des signaux harmoniques qui compose ce signal.
RE
S
E I.6. régimes transitoire et permanent
A
U Circuit RC série: e(t) constante = E
X
E
L Charge d’un condensateur
E
C i(t) R
T
R
I
Q
uR (t)
U E C uC (t) Posons:
E
S
Equation linéaire du premier ordre avec second membre constant
La solution
97
Solution homogène Solution particulière constante
régimes
transitoire Solution homogène
et
permanent
Circuit
RC
Solution particulière
0
Second membre constant ⇒ Solution particulière constante
Solution générale
98
RErégimes
régime
transitoire
S s Solution générale
E et
transit
permanent
A oire
U et
Circuit
X perma
RCE
nent
A est déterminée à partir des conditions initiales:
L
E
C
À t = 0 le condensateur n’est pas chargé
T
R
I
Q
U
E
S
Tension aux bornes du condensateur:
Courant qui traverse le condensateur:

RErégimes
régime
transitoire
S s
E et
transit C H A R G E D 'U N C O N D E N S A T E U R
permanent
A oire uC
U et
Circuit
X perma
TENSION
RCE
nent E
L
E (2/3)E
C
T
R
I
Q
U
  t
E
S T R A N S IT O IR E PERMANENT

RErégimes
régime
transitoire
S s
E et
transit
permanent
A oire C H A R G E D 'U N C O N D E N S A T E U R
U et i
Circuit
RC
X perma
nent
E /R
courant
E
L
E
C
T
R (1/3)(E /R )
I
Q
U
E   t
S T R A N S IT O IR E PERM ANENT

RErégimes
régime
transitoire
S s
E et
transit
permanent
A oire Conclusion:
U et
Circuit L’établissement de la tension (ou la charge) aux bornes du
X perma
RCE
nent
condensateur n’est pas instantané.
L En régime permanent la tension aux bornes du
E
C
condensateur et le courant qui le traverse sont constants.
T Ce régime permanent particulier est appelé régime
R
I
continu. Les courants et tensions sont symbolisés par des
Q lettres majuscules.
U
E En régime continu un condensateur parfait
S est modélisé par un circuit ouvert
I C= 0 IC= 0
UC UC
RErégimes
régime
transitoire
S s
E et
transit Extinction de la source e(t) constante = 0
permanent
A oire
U et
Circuit
X perma Décharge d’un condensateur (générateur)
RCE
nent
L
E
C
T i(t) R
R
I
uR (t)
Posons:
Q
U
E
C uC (t)
S
Equation linéaire homogène du premier ordre
Solution homogène:
RErégimes
régime
transitoire
S s Solution homogène
E et
transit
permanent
A oire
U et
Circuit
X perma
RCE
nent
L
E
C
T
R Lorsque la tension du générateur est passée de E à
I
Q
0, le condensateur est supposé être chargé
U complètement q(0)=EC
E
S
104
RErégimes
régime D E C H A R G E D 'U N C O N D E N S A T E U R
transitoire
S s
uC
E et
transit
permanent
A oire
U et E TENSION
Circuit
X perma
RCE
nent
L
(1/3)E
E
C
T  
R PERM ANENT
T R A N S IT O IR E
I
Q D E C H A R G E D 'U N C O N D E N S A T E U R
U i
E
-(1/3 )(E /R )
S
COURANT
-E /R
 
T R A N S IT O IR E PERM ANENT
régimes
transitoire e(t) tension harmonique
et
permanent
Circuit i(t) R
RC
uR (t)
e(t) =e0 cos(wt) C uC (t)
e(t)
e0
T/2 T 3T /2 t
Posons:
2T
-e 0
Equation linéaire homogène du premier ordre avec second membre harmonique

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
Solution homogène Solution particulière harmonique
RC
Solution homogène

régimes
transitoire Solution particulière
et
permanent
Circuit
RC
Second membre harmonique ⇒ Solution particulière harmonique
Utilisons la représentation complexe
Pour déterminer
On peut utiliser la méthode utilisée en VOM

régimes
transitoire Mais nous allons utiliser une autre méthode:
et
permanent
Circuit
RC
uR et iR sont en phase
uC est en quadrature retard de phase par rapport à iC 109

régimes R
transitoire ip (t)
et
permanent
Circuit uR (t)
RC e(t) =e0 ej wt
1/jCw
uC (t)

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC À t = 0 le condensateur n’est pas chargé
113
régimes 0
transitoire
et
permanent
Circuit
C ircuit R C série en régim e harm onique
RC
uC
Transitoire Perm anent
En régime permanent:
régimes
régime
transitoire
et
s
transit
e(t) périodique non harmonique:
permanent
oire Tension créneaux
et
Circuit
perma
i(t) R
RC nent
uR (t)
e(t) C uC (t)
e(t)
t
0 T /2 T
RErégimes
régime
transitoire
S s
E et
transit
permanent
A oire T/2 >5 t
U et
Circuit
RC
X perma
nent
0<t<T/2: Charge complète
E
T/2<t<T: Décharge complète

L
E
C
T
R
I
T<t<3T/2: Charge complète
Q
U
E 3T/2<t<2T: Décharge complète
S
Et ainsi de suite

régimes
transitoire
et
T/2 >5 t
permanent e (t)
Circuit TENSION
E
RC générateur
t
T /2 T 3 T /2 2T
u C (t )
TENSION E
condensateur
0 T /2 T t
i
E /R
t
COURANT T /2 T 3T /2 2T
condensateur
-E /R
régimes
transitoire
et
permanent T/2 < 5t
Circuit
RC
0<t<T/2: Charge incomplète
T/2<t<T: Décharge incomplète
T<t<3T/2: Charge incomplète
3T/2<t<2T: Décharge incomplète
Et ainsi de suite

régimes
transitoire
et
permanent
T/2 < 5t
Circuit TENSION condensateur
RC uC
E
On peut retrouver ces résultats en développant le

signal créneau en série de Fourier

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit Exemple: signal carré
RC
u (t)
U0
T /2
t
T /2 -T /4 T /4
-U 0

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC
Comme le système est linéaire, la solution générale

est:

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC
A t= 0 :
124
régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RC

RE
S
E I.6. régimes transitoire et permanent
A
U Circuit RL série:
X
E e(t) constante = E
L
E
C i(t) R
T
R
I
Q
uR (t) Posons:
U E L uL (t)
E
S
Equation linéaire du premier ordre avec second membre constant
La solution:
126
Dr Nasreddine HAÏNE Solution homogène Solution particulière constante
régimes
et
permanent
Circuit
RL
Solution particulière
Second membre constant ⇒ Solution particulière constante
Solution générale
127
régimes
transitoire Solution générale
et
permanent
Circuit
RL
A est déterminée à partir des conditions initiales:
À t = 0 le courant est nul: i=0
Courant traversant la bobine:
Tension aux bornes

de la bobine:
régimes
transitoire C ourant dans une bobine
et
permanent i
Circuit
E/R
RL
(2/3)E/R
  t
TR AN SITO IR E PER M AN EN T

régimes
transitoire
et
permanent
Tension aux borne d'une bobine
uL
Circuit
RL E
(1/3)E
  t
TR AN SITO IR E PER M AN EN T

régimes
transitoire
et
permanent Conclusion:
Circuit L’établissement du courant traversant la bobine n’est pas
RL instantané.
En régime permanent la tension aux bornes de la bobine
et le courant qui la traverse sont constants. Ce régime
permanent particulier est appelé régime continu. Les
courants et tensions sont symbolisés par des lettres
majuscules.
En régime continu une bobine parfaite

est modélisée par un court-circuit
IL IL
UL UL=0
régimes
transitoire
et Extinction de la source E = 0 (bobine= générateur)
permanent
Circuit i(t) R
RL
uR (t) Posons:
C uL (t)
Equation linéaire homogène du premier ordre
Solution homogène:

régimes
et
permanent
Circuit
RL
Lorsque la tension du générateur est passée de E à 0,

le courant était égal à E/R

régimes
transitoire
et
Extinction de la source E = 0
permanent C o u ra n t d a n s u n e b o b in e
Circuit i
RL E /R
(1/3)E /R
 
T e n s io n a u x b o rn e s d 'u n e b o b in e
 
-(1/3)E
-E
uL
134
régimes
transitoire e(t) variable dans le temps
et
permanent
Tension harmonique
Circuit i(t) R
RL
uR (t)
e(t) =e0 cos(wt) L ul (t)
e(t)
e0
T/2 T 3T /2 t
Posons:
2T
-e 0

régimes
transitoire
et
permanent
La solution:
Circuit
Solution homogène Solution particulière harmonique
RL
Solution homogène

régimes
transitoire Solution particulière
et
permanent
Circuit
RL
Second membre harmonique ⇒ Solution particulière harmonique
Utilisons la représentation complexe
Pour déterminer
On peut utiliser la méthode utilisée en VOM

régimes
transitoire Mais nous allons utiliser une autre méthode:
et
permanent
Circuit
RL
uR et iR sont en phase
uL est en quadrature avance de phase par rapport à138iL

régimes R
transitoire i(t)
et
permanent
Circuit uR (t)
RL e(t) =e0 ej wt jLw uC (t)

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
RL

régimes
transitoire
et
permanent
Circuit À t = 0 le courant est nul:
RL
141
régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
C ircuit R CL série en régim e harm onique
RL
uC
Transitoire Perm anent
En régime permanent:
régimes
transitoire
et e(t) périodique non harmonique
permanent
Tension créneaux
Circuit
i(t) R
RL
uR (t)
e(t) L uL (t)
e(t)
t
0 T /2 T
régimes
transitoire
et
T/2 >5 t
permanent e (t)
Circuit TENSION
E
RL générateur
t
T /2 T 3 T /2 2T
i(t )
E /R
COURANT
bobine
0 T /2 T t
u L (t)
E
TENSION
bobine T /2 T 3T /2 2T
t
-E Dr Nasreddine HAÏNE 144

régimes
transitoire
et
permanent T/2 < 5t
Circuit
COURANT DE BOBINE
RL
I
E/R
t
Exercice: l’expression du courant en développant le signal créneau en
série de Fourier.
RE
S
E
A
Circuit RLC série: e(t) constante = E
U i(t) R L
X
E uR (t) ul (t)
L
E E C uC (t)
C
T
R
I
Q
U
Si on dérive par rapport au temps , on obtient l’équation différentielle en i:
E
S
Au lieu de dériver on remplace le courant par on obtient l’équation

différentielle en uC:

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
série
Posons:
Courant:
Tension:

régimes
transitoire Courant:
et
permanent
RLC Equation linéaire homogène du second ordre
série
Equation caractéristique
Discriminant D
Régime Régime apériodique

Régime apériodique
148
Dr Nasreddine HAÏNE pseudopériodique critique
régimes
transitoire
et Régime pseudopériodique :
permanent
RLC 2 Racines complexes conjuguées de l’équation caractéristique
série
Solution homogène
Solution générale

régimes
transitoire
et Régime apériodique critique :
permanent
RLC 2 Racines doubles de l’équation caractéristique
série
Solution homogène
Solution générale

régimes
transitoire
et Régime apériodique critique :
permanent
RLC 2 Racines réelles de l’équation caractéristique
série
Solution homogène
Solution générale

régimes
transitoire Tension:
et
permanent
RLC
série Equation linéaire homogène du premier ordre avec second membre constant
Solution générale
Solution particulière constante

Solution homogène

régimes
transitoire Solution particulière constante
et 0 0
permanent
RLC
série

Les constantes d’intégration sont déterminées à partir des conditions initiales
À t = 0 uC = 0 et i = 0:

régime
RErégimes
S s
transitoire Cas m < 1
Etransit
et
A oire
permanent
U et
RLC
Xperma
série
E
nent
L
E
C
T
R
I
Q
U
E
S
155
régimes
transitoire Cas m = 1
et
permanent
RLC
série
Cas m > 1

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
série

régimes
transitoire
et
permanent
RLC u C (t)
am ortissem ent faible (m < )
série
E
am ortissem ent fort (m > )
am ortissem ent critique (m = )
L’établissement de la tension (ou la charge) aux bornes

du condensateur n’est pas instantané. 159
En régime continu
0
0
0
Dans les trois cas :

En régime continu
0
0
0

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
i(t)
série am ortissem ent faible (m < )
am ortissem ent critique (m = )
t
0
am ortissem ent fort (m > )
L’annulation du courant traversant la bobine n’est pas

instantanée. Dr Nasreddine HAÏNE 163
régimes
transitoire
et Circuit RLC série en régime harmonique:
permanent
RLC i(t) R L
série
uR (t) ul (t)
e(t) = e0cos(wt) C uC (t)
Si on dérive par rapport au temps , on obtient l’équation différentielle en i:
Au lieu de dériver on remplace le courant par on obtient l’équation

différentielle en uC:

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
série
Posons:
Courant:
Tension:

régimes
régime
transitoire
s Pour le circuit RLC série on s’intéressera au courant
et
transit
permanent
oire
et
RLCperma
série
nent
Solution générale
Solution particulière harmonique

Solution homogène

régimes
transitoire Pour détermination de la solution particulière
et
permanent
on utilise les impédances Z
RLC ZR =R ZL = jLw
série i(t)
uR (t) UL (t)
ZC = 1/jCw UC (t)
e(t) = e0 e(jwt)
Les impédances placées en série s’additionnent

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
série
Comme:

régimes
transitoire
et
Comme:
permanent
RLC
série
169
régimes
transitoire
et
permanent
RLC
série
Le courant

régimes
transitoire
et
permanent CAS: 0<m<1
RLC
série Conditions initiales à t = 0 s : i = 0 A et uC = 0 V( ou q = 0 C)
i(t)
q(t)
Régimes transitoire Régime permanent harmonique

régimes
transitoire En régime permanent harmonique:
et
permanent
RLC
série 0

régimes
transitoire
et
permanent La tension uC en régime permanent harmonique:
RLC
série

RE régies
Stransit
E oire
A et
Circuit RLC parallèle en régime harmonique:
Uperma
X nent
E iR (t) iL (t) iC (t)

L
E h(t) = h0cos(wt) R C u (t)
C L
T
R
I
Q
U
E
S

régimes
transitoire Pour détermination de la solution particulière
et
permanent
on utilise les admittances Y
RLC
parallèl
iR (t) iL (t) iC (t)
e
h(t) = h0 e jwt YR YL YC u (t)
Les admittances placées en parallèles s’additionnent

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
parallèl
e

régimes
transitoire
et
permanent
RLC
parallèl
e

RE régime
régies
s
Stransit
Etransit
oire
A oire
et
Circuit bouchon en régime harmonique:
et
Uperma
Xperma
nent
nent
E e(t) = e0 cos(wt) iR (t) iL (t) iC (t)
L R
E
C e(t) = e0 e(jwt) L C
T
R
I
Q
U La self et le condensateur sont placées en parallèle
E
S
iR (t)
R
e(t) = e0 e(jwt) Z
178
régimes
transitoire R et Z sont placées en série
et
permanent
Circuit iR (t)
boucho
n e(t) = e0 e(jwt) Ze
179
régimes
transitoire
et
permanent
Circuit
boucho
n
Pour : 180
RE
S I.7. Lois des réseaux
E
A  Loi d’Ohm généralisée
U
X  Régime continu :
Générateur Récepteur
E
L
E R1 (Eg, rg) R2 (Er, rr) B
C A I
T
R
I UR1 Ug UR2 Ur
Q U =VA-VB
U
 le sens du courant de branche I est choisi de telle sorte qu’il
E
S rentre par le pôle − et sort par le pôle + du générateur
La polarité du récepteur est définit par le sens du courant I.
Dans un récepteur le courant I rentre par le pôle + et sort par
le pôle − .
181
RE Loi
S s
Edes
De manière générale, si une branche contient ng générateurs, nr
Arés récepteurs et nR résistances (résistances internes des générateurs et
U ea récepteurs inclues), la tension entre les deux nœuds définissant cette
X ux
branche est donnée par:
E
L
E
C
T
R
I
Si on tient compte du sens de parcours de la branche, on peut utiliser la
Q formule précédente en respectant les conventions suivantes:
U
 U= potentiel du premier nœud rencontré – le potentiel de l’autre
E
S nœud
 si le sens de parcours est le même que celui du courant : la tension
aux bornes d’une résistance est comptée positivement: +RI sinon elle
est comptée négativement –RI
 Si on rentre par le pôle + du générateur ou du récepteur, la fem et la
fcem sont comptés positivement :+ Eg et + Er. Sinon elles sont
182
r Nasreddine HAÏNE comptées négativement :- E et - E
RE Loi
S s
Edes
Arés
U ea
X ux A I R1 (Eg, rg) R2 (Er, rr) B
E
L Sens de parcours
E
C
T
R
I
Q
U
E
A I R1 (Eg, rg) R2 (Er, rr) B
S
Sens de parcours

RE Loi
S s  Régime harmonique :
Edes
Arés La formule obtenue peut être généralisée au cas harmonique, il suffit de
U ea
X ux considérer les amplitudes complexes des tensions et des courants et de
remplacer les résistances par les impédances:
E
L
E
C
T
R
A I Z1 (Eg, Zg) Z2 (Er, Zr)B
I
Q
U Sens de parcours
E
S
A I Z1 (Eg, Zg) Z2 (Er, Zr)B
Sens de parcours
184
RE Loi
S s  Loi de Kirchhoff
Edes
Arés
U ea
- Loi des nœuds :
X ux Le principe de la conservation de la quantité d’électricité qui arrive à
un nœud doit ressortir complètement de ce nœud. En d’autres
E termes cela veut dire que la somme des courants rentrants est égale
L
E à celle des courants sortants.
C  Régime continu :
T
R
I
Q  Régime harmonique :
U
E
S - Loi des mailles :
Une maille est une boucle fermée délimitée par des branches, la somme de
toutes les tensions est nulle:
 Régime continu :
 Régime harmonique :
RE Loi
S s EXEMPLE:
Edes
Arés Z1 (Eg, Zg)
U ea
A I1 B
X ux I2
E
L Z4 Z2
E
C
T
I1 (Er, Zr)
R I3
I Z3 (Eg, Zg)
Q
U D C
E On part du point A, en parcourant la maille ABCD dans le sens
S
trigonométrique, jusqu’à revenir à ce point A..
On définit pour chaque branche un courant.
- Pour les branches contenant un générateur, le sens du courant est
choisi de telle façon qu’il rentre par le pôle –
- Pour les autres branches, le sens est arbitraire.
- Pour les branches contenant un récepteur, le sens une fois
r Nasreddine HAÏNE
choisi , on définit ses polarités. Le pôle + est la borne par où rentre le 186
RE Loi
S s Z1 (Eg2, Zg1)
A I1 B
Edes
Arés I2
U ea
X ux
Z4 Z2
E
L
E
I4 (Er, Zr)
C I3
T Z3 (Eg3, Zg3)
R
I C
Q
U
E
S
Remarques:
- Si le courant traversant un récepteur est négatif ( en régime
continu), il faut changer son sens et refaire les calculs pour déterminer sa
valeur exacte.
- Si le courant d’une branche ne contenant pas de récepteur est
négatif, cela veut dire qu’il est dans le sens inverse du sens choisi. Sa
valeur numérique est exacte Dr Nasreddine HAÏNE 187
RE Loi
S s  Loi d’association de dipôles linéaires
Edes
Arés
U ea en série
X ux R : résistance
Impédance:
E X: réactance
L
E
C
T
R I I
I
Q
U U1 U2 Up Un
E
S
U U
188
RE Loi
S s
Edes en parallèle
Arés
U ea I1
X ux Y1 G : conductance
Admittance:
E I2 Y=1/Z= G+j B
L Y2 B: susceptance
E
C I
T Ip
R Yp
I
I Yéqu
Q
U In U
E Yn
S
U
189
RE
S
E I.7. Méthodes d’analyse des réseaux
A
U
X  Méthode des mailles
E
L - Les variables inconnues à déterminer sont les courants des diverses
E
C branches ne contenant pas de sources de courant. Soit B le nombre
T de ces courants I1, I2,…, Ip,,…, IB
R
I
Q
U
E - Dans un réseau ayant N nœuds, il y a N-1 nœuds indépendants. Par
S conséquent, on peut obtenir N-1 équations indépendantes reliant les
différents courants (loi des nœuds).
- Pour déterminer tous les courants, il faut rajouter M = B- (N-1)

équations indépendantes. Pour cela il faut choisir M mailles
indépendantes et leur appliquer la loi des mailles.
190
Métho
de des EXEMPLE:
maille
s A B
r R R3
I
E R1 R1
h
Questions à se poser: C
Combien y a-t-il de branches ne contenant pas de source de courant?
Réponse : 4 4 courants à déterminer

Combien y a-t-il de nœuds?
Réponse : 3 2 nœuds indépendants
Métho
de des EXEMPLE 1:
maille
s A I2 B
r R R3
I1 I3
I
E R1 R1 h
Nœud A:
C
Nœud B:
Nœud C:
Par exemple l’équation (3) peut être obtenue par addition des deux
premières
Ces 3 équations sont linéairement dépendantes, on ne choisira que 2, par
exemple les deux premières. Dr Nasreddine HAÏNE 192
Métho
de des r A I2 B R3
R
maille I1 I3
s I
1 R1 2 h
R1
E 3
On a 2 équations, il nous reste à trouver M=4- (3-1)=2 autres

On choisit deux qui ne contiennent pas de source de courant.
Dans cette exemple, nous avons 3 mailles qui ne contiennent pas de
source de courant, mais il faut remarquer qu’une de ces 3 mailles est
linéairement dépendante des 2 autres. On peut le vérifier à partir des
équations de mailles:
Maille 1:
Maille 2:
Maille 3:
L’équation (6) peut être obtenue par addition des deux équations (4) et (5)
Métho
de des
maille
Nous obtenons un système de 4 équations linéairement indépendantes à
s
4 inconnues.
Pour résoudre ce système, il existe deux méthodes:
- Résolution par substitution
En premier lieu, exprimons I1 en fonction de I et I2
Remplaçons I1 et I3 par leur expressions ( (7) et (2)) dans les équations (4)
et (5)
Métho
de des
maille
s
De (8), nous pouvons déduire I2 en fonction de I puis le remplacer dans (9)

Métho
de des
maille
s

Métho
de des pour déterminer I2, on remplace I par son expression dans l’équation (11)
maille
s

Métho
de des
maille Pour déterminer I3, on remplace I2 par son expression dans l’équation (2)
s

Métho
de des
maille Pour déterminer I1, on remplace I et I2 par leurs expressions dans l’équation (7)
s

Métho
de des - Résolution par la méthode de Cramer
maille
s Après avoir établi toutes les équations indépendantes nécessaire à la
détermination des courants (nbre d’équations =nbre de courants), on
doit les ordonner pour les mettre sous forme de matrice

Métho
de des
maille
s
Rappel sur la résolution des systèmes linéaires par la

méthode de CRAMER:

Métho
de des
maille
s
où Ak est la matrice carrée formée en remplaçant

la kième colonne de A par le vecteur colonne L .
On calcule le déterminant par rapport à la deuxième ligne

(i=2). (question de facilité)
On dote chaque élément aij de ligne du cofacteur (-1)i+j
selon sa position( ligne i et colonne j)
Métho
de des
maille
s

Métho
de des
maille On calcule le premier déterminant par rapport à la troisième
s colonne(j=3) et le deuxième par rapport à la première
colonne(j=1). (question de facilité)
On dote chaque élément aij de ces colonnes du cofacteur (-
1)i+j selon sa position( ligne i et colonne j)

Métho
de des
maille Pour déterminer I, on remplace la première colonne de A par la colonne:
s
On calcule le det (A1 ), par rapport à la première colonne
On calcule les deux déterminants, par rapport à la deuxième et

première lignes respectivement
Métho
de des
maille
On calcule les deux déterminant, par rapport à la deuxième et
s première lignes respectivement
On retrouve l’expression (11) établie par la méthode substitution

Métho
de des
maille Pour déterminer I , on remplace la deuxième colonne de A par la colonne:
1
s
On calcule le det (A2 ), par rapport à la deuxième colonne
On calcule les deux déterminants, par rapport à la deuxième ligne

et la première colonne Drrespectivement
Nasreddine HAÏNE 207
Métho
de des
maille
s

Métho
de des
maille Pour déterminer I2 , on remplace la troisième colonne de A par la colonne:
s
On calcule le det (A3 ), par rapport à la troisième colonne
On calcule les deux déterminants, par rapport à la première et

deuxième lignes respectivement
Métho
de des
maille
s

Métho
de des
maille
Pour déterminer I3 , on remplace la quatrième colonne de A par la colonne:
s
On calcule le det (A4 ), par rapport à la quatrième colonne
On calcule les deux déterminants, par rapport à la première

colonne et la deuxième Drligne respectivement
Nasreddine HAÏNE 211
Métho
de des
maille
s

Métho
de des EXEMPLE 2: Diviseur de tension
maille R1
s I
+
U 1 R2 U2
En régime harmonique:
Métho
des
d’anal
yses  Méthode des nœuds: (Théorème de Millman)
des
réseau  Régime continu : C1
x A1 est un nœud
E1 RC1 B1, C1 et D1 sont des
h1
RB1 IB1 IC1 simples ou des nœuds
B1 A1 D1
Appliquons la loi au nœud A1:

Métho
de des
noeud
s

Mé
tho
de En n
des C1
no Bn RB
eu n
IBn RC1
ds Ei
IC1
Ci
RBi IBi
m
R Ci
I Ci
Bi
A h1
E1 R B1 I Bi1
D
1
B1
hi
p
Di

Mé
tho
de
des  Régime harmonique :
no
eu
ds
Où Yi est l’admittance (Yi =1/ Zi)
REMARQUE: le potentiel est défini à une constante près. On

choisit un des potentiels comme référence

Mé
tho EXEMPLE 1:
de
des A B
no R/2 R R
eu
ds
E R R h
R/2 R
D C
Dans ce réseau, il y a 4 nœuds. On choisit le potentiel VD du

nœud D comme référence

Mé
tho
de
des A B
no R/2 R R
eu
ds
E R R h
R/2 R
D C

Mé
tho
de
des
R/2 A R B
no R
eu
ds
E R R h
R/2 R
D C

Mé
tho
de
des
R/2 A R B
no R
eu
ds
E R R h
R/2 R
D C

Mé
tho
de
des
no
eu
ds
Pour résoudre ce système, on peut utiliser

la résolution par substitution ou la méthode de Cramer

Mé
tho
de
des
no
eu
ds

Mé
tho
de
des
no
eu
ds
Exercice: déduire les différents courants de branches

Mé
tho EXEMPLE 2: Diviseur de courant
de
des
I A
no
eu
ds I1
I2
G1 G2
Métho
des
d’anal
yses
des  Théorème de superposition:
réseau
x
Le courant dans une branche ne contenant pas de source de
courant d’un réseau actif contenant des sources indépendantes
est égal à la somme des courants que produirait chaque source
agissant seule. Les autres sources sont éteintes ( ou passivées),
elles sont remplacées par leurs résistances internes
Ri (Zi)
Ri (Zi)
h ou h(t)=0
Ri (Zi)
h ou h(t)
Ri (Zi)
E ou e(t)=0
E ou e(t)
Circuit ouvert
Court-circuit
I, i(t)
I, i(t)

Théor
ème EXEMPLE:
de
superp
osition R R
I
E R R h
R
Déterminons I
Ce réseau est actif. Il possède deux sources indépendantes:

1 source de courant et 1 source de tension
Passivons la source de courant
R R
I1
E R R
R
Théor
ème
R R
de I1
superp
osition
E R R
R
Pour déterminer I1 on peut utiliser la méthode des mailles, la

méthode des nœuds ou la méthode des générateurs
équivalents
R
I1
h=E/R R R R
Utilisons les lois d’associations des résistances bien sûr sans

modifier la branche du courant I1
Théor
ème
de
superp
osition I1
h=E/R R R 3R
I1
h=E/R R 3R R
I1
h=E/R ¾R R
Théor
ème
de I1
superp
osition h=E/R ¾R R
Ce montage est un diviseur de courant:

Théor
ème
de
superp
osition R R
I
E R R h
Passivons la source de tension
R R
I2
E R R h
R
Théor
ème
de
R R
superp I2
osition
R R h
R
R R R
I2
R hR
R
I2
R 3R h/3
Théor
ème
de
I2
superp
osition R R 3R h /3
I2
R ¾R h /3
Ce montage est un diviseur de courant:

Théor
ème Exercice à remettre sur feuille
de
superp
osition R R
I R
E1 R E2 h
R
R
R R
i
e(t) R Ki h(t)
R
R
1/ Déterminer dans les deux cas, le courant I en utilisant le
théorème de superposition.
2/ Retrouver ces résultat en utilisant la méthode des nœuds.
Métho
des
d’anal
yses
 Théorème de réciprocité:
des
réseau
x
Etat 1 (In )1
Si on place une source (Em)1 dans la
branche m d’un réseau passif
linéaire, il apparait dans la la branche (E )
m 1
n un courant (In )1
Etat 2
Si on place une source (En)2 dans la
branche n de ce réseau passif
linéaire ( au lieu de la branche m), il
apparait dans la branche m un (Im)2 (En)2
courant (Im)2

Th
éor
èm
e
de
réc
ipr
oci
té

Th
éor
èm
EXEMPLE: Vérification de ce théorème sur réseau
e passif et linéaire
de
réc
ipr
oci R R
té Branche n
Branche m
R R R
Intéressons nous à la branche m et la branche n.

Plaçons une source de tension (Em)1 dans la branche m et calculons le
courant (In)1 de la branche n
R R
(In )1
(Em)1 R R R
R Dr Nasreddine HAÏNE 237

Th
éor
R R
èm
e (In )1
de
réc (Em)1 R R R
ipr
oci
té R
Résistances en série
Résistances en parallèle
Transformons ce réseau tout en gardant la branche n
CV
2R R
(In )1
(Em)1 R R/2

Th
éor
èm CV
2R R
de
e (In )1
réc (Em)1 R R/2
ipr
oci
té
Résistances en série
Equivalence
générateur de tension
et
générateur de courant
(In )1
(Em)1 /2R 2R R
CV
R+R/2
Th
éor
èm (In )1
e
(Em)1 /2R 2R R
CV
de
réc
R+R/2= 3R/2
ipr
oci
té
Résistances en parallèle
(In )1
6R/7
CV
(Em)1 /2R R
Le réseau simplifié est un diviseur de courant

Th
éor
èm
Plaçons cette fois-ci une source de tension (En)2 dans la branche n et
e calculons le courant (Im)2 de la branche m
de
réc
ipr R R
oci
té (Im )1
R R R
(En)2
R
Comme précédemment transformons le réseau tout en gardant cette fois-ci
la branche m
(Im )1
2R (En)2/R R 3R/2

Th
éor
èm
e
(Im )1
de
réc 2R (En)2/R R 3R/2
ipr
oci
té
(Im )1
(En)2/R 3R/5 2R
Le réseau simplifié est un diviseur de courant
242
Métho
des
d’anal
 Théorème de Thevenin-Norton:
yses
des Soit un réseau actif linéaire, on choisit un élément passif de
réseau
x ce réseau r T
Réseau A ET R ou Z
actif et
R ou Z
linéaire
B
hN rN R ou Z
Le réseau actif linéaire se comporte vis-à-vis de l’un élément

passif comme un générateur de fem ET et de résistance
interne rT ou bien comme un générateur de courant de
courant hN et de résistance interne rN (rT = rN).
Métho
des
d’anal
yses Ce théorème s’applique aussi aux réseaux contenant des
des sources contrôlées, à condition que l’ouverture ou le court-
réseau
x circuit de l’élément passif entre les bornes A et B n’affecte pas
les sources
A
R R
i R
e(t) B
Ki R h(t)
Si on ouvre l’élément R entre les bornes A et B, la source ne

plus débiter (circuit ouvert). On ne peut plus appliquer ce
théorème (Norton) Dr Nasreddine HAÏNE 244
Théor
ème
de
Théve Calcul de la fem de Thevenin ET
nin-
Norto
n Pour calculer ET , il faut débrancher l’élément passif (R ou Z=∞).
La tension à vide U0 entre les bornes A et B est égale à ET .
A I=0
Réseau
actif et U0 =ET
linéaire
B

Théor
ème
de
Théve
Calcul du courant de Norton hN
nin-
Norto
n
Pour calculer hN , il faut court-circuiter l’élément passif (R ou
Z=0). Le courant Icc du court-circuit entre les bornes A et B est
égale à hN .
A Icc = hN
Réseau
actif et
linéaire
B

Théor
ème Calcul de la résistance ou de l’impédance interne
de
Théve rT ou rN est la résistance présentée par le réseau à vide (R ou
nin-
Norto Z=∞) entre ses bornes A et B où toutes les sources
n indépendantes ont été passivées (éteintes).
Si le réseau ne contient pas de sources controlées, les lois
d’associations d’impédances suffisent généralement pour la
déterminer
Si le réseau contient des sources controlées, on place un
générateur idéal de fem E entre les bornes A et B en
remplacement de l’élément passif.
On calcule le rapport entre cette fem et le courant qui
traverse cette source I
A I
Réseau
actif et E
linéaire
B
Théor
ème
de En régime harmonique les résistances internes sont
Théve remplacées par les impédances internes et les grandeurs
nin-
Norto électriques par les amplitudes complexes.
n
EXEMPLE 1: Application théorème de Thevenin
D A
R1 R2
i1 R3 ri1
e RL
R
rT
eT RL
Théor
ème
de Calcul de la fem de Thevenin eT
Théve
nin-
D i2 = 0 A
Norto R1 R2
n i1 i3 = i1
ri1
e 1 2
R3 R
B
Calculons la tension à vide (RL = ∞) aux bornes A et B.
Appliquons la méthode des mailles
249
Théor
ème
de
Théve
nin-
Norto
n

Théor Calcul de la résistance interne
ème
de
Théve Pour calculer la résistance interne, il faut tout d’abord passiver
nin-
Norto
les sources indépendantes puis rajouter un générateur de
n tension idéal
D i2 = 0 A
R1 R2
i1 i3 = i1
ri1
e
R3 R
B
i2 A
R1 D R2
i1 i3
ri1
e2
R3 R
Dr Nasreddine HAÏNE B 251

Théor
ème
i2 A
de
R1 D R2
Théve
nin- i1 i3
Norto ri1
n e2
R3 R
Diviseur de courant
(Le signe - est dû au sens

inverse du courant i1)
Deux résistances en parallèle

Théor i2 A
ème D R2
de
Théve
nin- ri1
Norto e2
n R3// R1 R

Théor
ème EXEMPLE 2: Application théorème de Norton
de
Théve
D A
nin- R1 R2
Norto
n
i1 R3 ri1
e RL
R
hT rN RL

Théor
ème
de Calcul du courant de Norton hN
Théve ri1 A
nin-
Norto R1 D R2
n i1 i3
Icc= hN
e 1 2
R3 R
B
Court-circuitons les bornes A et B.
Calculons le courant du court-circuit (RL =0) en appliquant la méthode des
mailles

Théor
ème
de
Théve
nin-
Norto
n
256
Théor
ème
de
Théve
nin-
Norto
n

Théor
ème
EXERCICE A REMETTRE SUR FEUILLE
de
Théve
nin-
Norto
Exercice: Le circuit comprend un
n générateur de tension
continue(E=12 V ;R= 10 W) et un
générateur de courant
continu(I0 =10 mA; R0=10 kW) .
1.Déterminer V‘ en utilisant
l’équivalence générateur de
tension générateur de tension et
le diviseur de tension.
2.Quelle intensité traverse R' ?

RE
S I.9. Puissance électrique
E
A
U Dipôle
Dipôle
X
E
L
E
C
T En représentation réelle:
R
I Puissance instantanée:
Q
U
E
S
Puissance moyenne:

Pui
ssa
nce
éle
ctri
qu
e

Pui
ssa
nce En représentation complexe:
éle
ctri
qu Puissance moyenne consommée:
e

Pui
ssa
nce Posons:
éle
ctri
qu
e
Puissance active Puissance réactive
Puissance active = puissance moyenne consommée

Adapt
ation
d’un
généra
teur
de
tensio La puissance active Pa est la puissance '"utile". Elle
n
représente l'énergie moyenne consommée par unité
de temps par le système.
La puissance réactive Pr n'est pas une puissance à

proprement parler puisque l'on ne peut pas en tirer
un "travail". Cependant, elle est nécessaire dans de
nombreux systèmes, notamment dans tous ceux qui
sont équipés d'un bobinage.

RE
S I.10. Adaptation d’impédance
E
A
U
Zi D
X
i
E Générateur
e Z
L
de Thevenin u
E
C
T
R
I
Q  Adaptation en puissance :puissance active Pa est maximale
U
E
Calculons la puissance moyenne complexe
S

Ad
apt
ati
on
d’i
mp
éd
anc
e
Puissance active Dr Nasreddine HAÏNE

Puissance réactive
265
Adapt
ation Adaptation en puissance: puissance active Pa est maximale
d’un
généra
teur
de
tensio
n
266
Adapt
ation
d’un
généra
teur
de
tensio
n Z est la charge adaptée.
CONCLUSION
Si on ferme un générateur d’impédance interne Zi par la

charge adaptée (Z= Zi*), il fournira la puissance maximale
Appelée la puissance disponible

Ad
apt
ati
on
d’i
Zi D
mp
éd i
anc Générateur
e Z
e
de Thevenin u
 Adaptation en tension

Ad
apt
ati
on i
d’i D
mp
éd h
anc Générateur Y
CC
e
de Norton
Yi u
 Adaptation en courant

régimes
harmoni I.11. Circuit RLC série en régime harmonique.
que Résonance courant
RLC
i(t)
série
uR (t) ul (t)

régimes
harmoni Module de l’impédance
que
RLC
série
L
LC )-0,5
régimes
harmoni Argument de l’impédance
que
RLC
série
 

C apacitif inductif
 

résistiftif ( 

 Dr Nasreddine HAÏNE 272

régimes
harmoni résonance courant
que
Amplitude I(w) de i(t):
RLC
série

régimes
harmoni résonance courant
que
Amplitude I(w) de i(t):
RLC
série
I( 0 )
 R = 0 
régimes
harmoni
que résonance courant
RLC Phase F(w)= -y(w)+p/2 de i(t)
série
 

 




régimes
harmoni
que résonance courant:
RLC
série i(t)
uR (t) ul (t)
R variable, L et C constants

régimes
harmoni I
que
RLC I 2 ( 0 )
R 2< R 1
série I 1 ( 0 )
 0 1 = 0 2 = 0 
 

R 2< R 1
 


 Dr Nasreddine HAÏNE 277

régimes
harmoni
que résonance courant:
RLC
série i(t)
uR (t) ul (t)
C variable, L et R constants

régimes
harmoni I
que C 2< C 1
RLC I( 01 )= I 0 1 )
série
 0 1 0 2 
 
 C 2< C 1

0 1 0 2 


Quand C varie il ya glissement des courbes le long des axes des pulsations
régimes
harmoni
que
RLC
série
Exercice: étudier le cas où L est variable, R et C constantes

régimes
harmoni
que Sélectivité cas où m <<1
RLC
série
Créons un désaccord faible
w très peu différent de w0
Posons:

régimes
harmoni
que
RLC
série

régimes
harmoni
que
RLC
série Posons :
283
régimes
harmoni
que
RLC
série
Fonction paire en fonction de X
1,0
I/I m a x
Q s>> 1
0,8 X<<1
1
2
0,6
0,4
0,2
0,0
-0,02 -0,01 1 0,00 0,01 0,02
1
2Q s 2Q s X

régimes
harmoni
que
RLC
série

régimes
harmoni
que
RLC La bande passante
série =
intervalle des valeurs de w pour lesquelles
Largeur de la bande passante

rég
im
es
I.12. Circuit bouchon en régime harmonique. Antirésonance
tra courant
nsi
toi
re
iR (t) iL (t) iC (t)

R
e(t) = e0 e(jwt) L C

Régime
harmoni Amplitude IR (w) de iR (t):
que
Circui antirésonance courant
t
bouc
hon
I( 
e 0 /R
0  
IR passe par une valeur minimale

Dr Nasreddine HAÏNE (ici I = 0 à w )
antirésonance
288
FIN DU CHAPITRE I
RESEAUX ELECTRIQUES

Réseaux Electriques

Uploaded by

Document Information

Original Title

Copyright

Available Formats

Share this document

Share or Embed Document

Sharing Options

Did you find this document useful?

Is this content inappropriate?

Copyright:

Available Formats

Réseaux Electriques

Uploaded by

Copyright:

Available Formats

ELECTRONIQUE FONDAMONTALE

COURS ENSEIGNE PAR

2 pôles 2 pôles 2 pôles 2 pôles

E Association d’éléments électriques connectés entre eux

E Un point d’un réseau où aboutit plus de deux conducteurs

E Portion d’un réseau située entre deux nœuds consécutifs

E  Les dipôles passifs ont une caractéristique qui passe par

Exemple: une self d’inductance L et de résistance r

Linéaire Non linéaire Non symétrique

Symétrique Non symétrique Linéaire Non linéaire

Remarque: les composants semi-conducteurs (diodes, zeners, transistors)sont

Non symétrique car il n’y a pas de symétrie

Exception faite: elle sera considérée comme un dipôle actif

Non linéaire car la caractéristique n’est pas une droite

Non symétrique car il n’y a pas de symétrie centrale de

linéaire car la caractéristique est s une droite (i(u)= a u

Non symétrique car il n’y a pas de symétrie centrale de

 Puissance instantanée: pR= R iR2

où α : coefficient de température en K-1

 Pour les très fortes puissances, on peut utiliser une technologie dite

Valeurs de er : Air :1, Bakélite : 6,5; Mica : 8; Papier : 2,5;

Ls: inductance qui dépend de la technologie de fabrication

Attention: si on inverse les polarités

Code de couleur ou marquage

μ0 = 4π×10-7 kg.m.A-2 s-2, ou encore 4π×10-7 T.m.A-1

Pour augmenter la valeur de L , on place à l’intérieur du solénoïde un

L: inductance qui dépend de la technologie de fabrication

Solénoïdes Bobine plate

bobines à inductance variable

Elles imposent d'être traversées par un courant continu ou

Ic ou ic (t) E=r Ic ou e(t)=r ic (t))

r: dimension d’une résistance W (résistance (impédance) de

h= KIc ou h(t)= K ic (t)

K: est sans dimension (gain en courant)

u(t) = e(t) − Zi i(t) (régime harmonique )

Remarque : la barre au dessus des symboles indique que les

i(t) = h(t) - u(t)/Zi (régime harmonique)

Ic ou ic (t) E=r Ic ou e(t)=r ic (t))

f=1/T =1/(0.002) = 500Hz 500 périodes en 1 s w=100 p rd/s

On définit aussi la valeur efficace d’un courant:

D’un point de vue énergétique, un courant alternatif de valeur efficace Ieff

La notion de valeur efficace est reliée à l’énergie75

w t+ y: phase à l’instant t du tension électrique (rd)

Ieff : valeur efficace du courant électrique (A)

Ueff : valeur efficace de laDrtension

si f est paire bn=0

f est une fonction paire: bn = 0

- Troisième harmonique :w2 =10p/T = 5w0 et A3 = 2U0/(5p) = 4A1/5

Amplitude décroit en 1/(2p+1)

À partir d’un p0 on peut négliger les amplitudes Ap tel que p> p0

Fondam ental+ deuxièm e harm onique

Fondam ental+ deuxièm e +troisièm e harm onique

Fondam ental+ deuxièm e +troisièm e + quatrièm e harm onique

les 7 prem iers harm oniques

Equation linéaire du premier ordre avec second membre constant

Second membre constant ⇒ Solution particulière constante

Tension aux bornes du condensateur:

Courant qui traverse le condensateur:

Dr Nasreddine HAÏNE 100

Dr Nasreddine HAÏNE 101

Equation linéaire homogène du premier ordre

Equation linéaire homogène du premier ordre avec second membre harmonique

Dr Nasreddine HAÏNE 107