Professional Documents
Culture Documents
Élements Liés À La Potabilité
Élements Liés À La Potabilité
Faculté de Médecine
Département de Pharmacie
Laboratoire d’hydrologie-bromatologie
ANALYSES PHYSICO-
CHIMIQUES DES EAUX Présenté par :
NATURELLES DR : Merzougui maitre assistante en Hydrologie-
Introduction.
I. Chlorures.
II.Azote et dérivés
III.
Matières organiques.
IV.Phosphates.
V. Sulfates.
Conclusion.
2
Introduction
Une eau est dite potable quand elle satisfait à un certain nombre de caractéristiques la
Les standards de référence dans ce domaine diffèrent selon les époques et les pays. Le
3
Les critères de potabilité d’une eau :
Paramètres
physico-chimiques
Paramètres
microbiologiques
Critères de potabilité
Paramètres concernant les
Période pluvieuse
substances indésirables
Paramètres concernant
des substances
toxiques
Pesticides et produits
apparentés
Eaux adoucies ou
déminéralisées
Parmi les critères de potabilité, nous avons les paramètres chimiques dont la
présence est possible mais qui font l’objet de normes très sévères, d’où notre objectif
qui consiste en une étude physico-chimique de ceux qui s’avèrent les plus
importants:
-Chlorures,
- Matières organiques,
- Phosphates,
- Composés azotés,
- Composés soufrés. 6
Les éléments liés à la potabilité :
La concentration acceptable :
La concentration admissible :
si on dépasse cette valeur la
La valeur guide : c’est la c’est la limite supérieure de
qualité de l’eau diminue mais
teneur idéale qui doit être potabilité au-delà de la quelle
sans avoir de graves
atteinte. l’eau présentera un danger
répercussions sur la santé de
pour le consommateur.
l’homme.
1-Chlorures
10
Chlorures
12
Origine humaine
13
Origine industrielle
Certains rejets industriels présentent de très fortes
concentrations en chlorures.
Exemple : l’utilisation de l’acide chlorhydrique HCl pour le
décapage des métaux tels que le cuivre ou l’acier.
14
Chlorures
Dosage
mercurimétrie chlorure.
Potentiométrie eaux colorées ou troubles rendant difficile
ionique
15
Chlorures
Dosage
Méthode titrimétrique :
Méthode de Argentimétrique
MOHR
• Principe :
17
Chlorures
Dosage Méthode titrimétrique :
• Mode opératoire :
Dans un erlenmeyer de 250 ml :
Mettre 100 ml d’eau à analyser.
Ajouter 2 à 3 gouttes d’acide nitrique pur. ( PH acide)
Une pincée de carbonate de chaux.
3 gouttes de solution de chromate de potassium à 10 %.
Titrer à l’aide de la solution de nitrate d’argent jusqu’à apparition
d’une teinte rougeâtre.
Soit V le nombre de millilitres de nitrate d’argent 0,1 N utilisés.
18
LA méthode de Mohr
AgNO3 0.1N
23
Chlorures
Dosage
Méthode titrimétrique :
Méthode de CHARPENTIER-VOLHARD
Argentimétrique
• Principe :
Les chlorures sont précipités en présence d’acide nitrique par
un excès de nitrate d’argent titré. L’excès de sel argentique est
déterminé par une solution titrée de thiocyanate de potassium en
présence d’alun de fer.
pH > 2: Fe 3+
precipitant s/forme Fe(OH) 3
pH > 7.5 : précipitation de AgOH (précipité noir).
25
Chlorures
Méthode titrimétrique :
Dosage
Argentimétrique
Méthode de CHARPENTIER-VOLHARD
• Mode opératoire :
Dans une fiole conique de 250 ml :
100 ml d’eau filtrée.
Une quantité connue de nitrate d’argent 0,1 N en excès.
Soit V le volume de nitrate d’argent utilisés.
Ajouter 5 ml d’acide nitrique concentré.
Puis 2 ml d’alun ferrique.
Titrer l’excès de nitrate d’argent par
le thiocyanate 0,1 N jusqu’à coloration rougeâtre persistante.
Soit v le nombre de millilitres de thiocyanate versés.
26
Chlorures
Dosage
Méthode titrimétrique :
Méthode de CHARPENTIER-VOLHARD
Argentimétrique
• Réactions mises en jeu :
(10-n) ml AgNO3 N/10 0.1(10-n) meq (10-n)3.55 mg Cl⁻ (10-n) 5.85 mg NaCl
[Cl⁻] =(10- n)meq/l
Le régime alimentaire d’un adulte doit absolument lui fournir plus de 600 mg
de chlorures qui constituent d’ailleurs l’anion le plus abondant du corps humain.
Les eaux chlorurées alcalines sont laxatives, mais généralement les chlorures
présents dans l’eau potable n’ont pas de conséquences toxiques pour l’homme,
même à des fortes concentrations (1000 mg/l). Cependant, ils peuvent être
préjudiciables aux personnes atteintes de maladies rénales ou cardio-vasculaires.
30
Chlorures
Effets et nuisances
32
Introduction
1-Origine agricole :
34
Phosphates
1-Nature et Origine
-2-Origine industrielle :
35
Phosphates
1-Nature et Origine
3-Origine urbains :
37
Les différentes formes du phosphore Phosphates
Le phosphore organique :
Différentes formes du élément constitutif de
biomolécules comme les
phosphore phospholipides et les
phosphoprotéines.
Polyphosphates linéaires
(pyrophosphates)
Le phosphore minéral : dérivé
de l’acide phosphorique
comme les orthophosphates
(PO43-, H2PO4-, HPO42-), ou
condensé comme les
polyphosphates.
polyphosphates cycliques
(métaphosphates).
38
Phosphates
Les orthophosphates :
C’est à l’état d’ion orthophosphates que le phosphore est assimilable par les
plantes. c’est sous cette forme que l’on dose les phosphates par colorimétrie).
39
3-1 – Phosphates inorganiques :
O
O- P O- p
O- O- O-
Cette structure ortho tend à se polymériser avec
formation de polyphosphates linéaires ou cyclique
HYDROLYSE
CONDENSATION
41
Phosphates
Les polyphosphates :
42
Phosphates
Les polyphosphates :
Les polyphosphates :
Ils sont employés dans les eaux de chaudières comme adoucisseurs et comme inhibiteur de corrosion.
En solution, ils se réhydratent et se convertissent en orthophosphates .
Leur hydrolyse est accélérée par l’augmentation de Tº, les acides et les bactéries, ainsi, les
polyphosphates qui avaient séquestré des ions Ca et Mg précipitent sous forme d’orthophosphates, elle a
lieu dans les chaudières, dans les cours d’eau récepteurs d’effluents ou dans les bouteilles
d’échantillonnage.
Les méta phosphates sont utilisés dans les détergents comme adjuvants des agents tensioactifs pour lutter
contre la dureté.
44
Phosphates
45
4/ Dosage des composés phosphorés :
47
Phosphates
Dosage des orthophosphates
Analyse
Par spectrophotométrie d’absorption moléculaire :
principe :
En solution acide et en présence de molybdate d’ammonium, les
orthophosphates donnent un complexe phosphomolybdique qui, réduit par
l’acide ascorbique, développe une coloration bleue susceptible d’un
dosage spectrophotométrique. à une longueur d’onde λ = 700-800 nm
Réactifs :
Solution d’acide sulfurique H2SO4.
Solution de molybdate d’ammonium à 40 g/l.
Solution d’acide ascorbique à 20 g/l ou en poudre.
Solution étalon mère KH2PO4 à 5 mg de P2O5/l.
Mode opératoire :
• Vérifier le pH de l’échantillon qui doit être compris entre 2 et 7,
l’ajuster si nécessaire. La gamme étalon est préparée en même
temps que le dosage. Pour cela, prendre une série de 8 tubes à
essai ayant la même section et opérer de la façon suivante :
Qu’est ce qu’une gamme étalon?
Et une courbe d’étalonnage ?
50
Phosphates
Dosage des orthophosphates
Analyse Etablissement de la courbe d’étalonnage :
Introduire dans une série de fioles jaugées de 25 ml :
N° des fioles T 1 2 3 4 5
Solution étalon de phosphore (P2O5) à 1 mg 0 1 5 10 15 20
(ml)
Mesure
Lire les densités optiques au spectrophotomètre entre 700-800 nm et tracer
la courbe d’étalonnage, se reporter à la courbe pour avoir la teneur en
phosphates dans l’échantillon.
Expression des résultats : la teneur en phosphore peut être exprimée
en mg/L de P, de PO43- ou de P2O5.
Y=ax+b
Phosphates
53
Phosphates
54
Dosage spectrophotomètrique des
orhophosphates. Selon la méthode
précédente.
Hydrolyse acide
Ortho P (libre) (ac minéral fort) Ortho P libre.
+ +
Ortho P (issus
Poly P
H+ de l’hydrolyse
minéraux des PPM)
Eau à analysé
56
Phosphates
Analyse
57
Phosphates
Analyse
Minéralisation
Phosphore organique
persulfate
Orthophosphates Phosphore total
digestion à l’aide d’un mélange
d’acide nitrique et d’acide sulfurique.
59
Phosphates
Normes et conséquences
60
Phosphates
Impact des phosphates dans les eaux
Sur la santé
62
III-Dosage de la matière organique
dans l’eau
III. Matières organiques
I. 1. Définitions :
Matière organique
Le terme matière organique regroupe une somme importante et hétérogène de
substances et composés carbonés d’origine végétale et animale.
Ainsi, la nature des matières organiques peut être définie de différentes
façons :
-nature chimique : lipides, protéines, composés humiques,
-nature granulométrique,
-nature compartimentale.
64
1-Nature et Origine
– leur caractère oxydable, qui est évalué grâce à des oxydants tels que :
le permanganate de potassium (indice permanganate)
Indice permanganate
Définition :
L’indice permanganate d’une eau est la concentration en masse
d’oxygène en relation avec la quantité d’ions permanganate,
consommée par un échantillon d’eau, dans des conditions définies.
Il correspond à une mesure conventionnelle pour évaluer la
contamination d’un échantillon d’eau faiblement chargé en matière
organique. 67
Méthode indirecte en double retour
Principe :
■ Le test consiste à mesurer en milieu acide la
quantité d’oxygène utilisée
• pour la réduction du permanganate de
potassium par les matières oxydables
• contenues dans une eau.
2-Dosage
Réactifs utilisés :
- Solution oxydante de KMnO4 à N/80.
- Solution réductrice d’oxalate d’ammonium à N/80.
- Acide sulfurique N/2 pour augmenter le pouvoir oxydant de KMnO 4.
Solution de NaHCO3 saturée.
Mode opératoire 2-Dosage
Le protocole se décompose en 4 étapes :
1. Acidifier l’ – échantillon et le porter à 98 °C
2. Ajouter le permanganate de potassium (solution titrée) et maintenir
l’ébullition pendant 10 minutes (± 15 secondes) : au cours de cette phase,
le permanganate de potassium sera consommé par les matières oxydables
contenues dans l’échantillon
3- Après 10 minutes (± 15 secondes) d’ébullition, ajouter de l’oxalate de
sodium (solution titrée) en excès, pour réduire le permanganate de potassium
qui n’a pas été consommé
4- Doser l’oxalate de sodium en excès pendant que la solution est encore
chaude par une solution titrée de permanganate de potassium.
Réactions mises en jeu
KMnO4
n1: dosage
n0 : blanc
n 72
2-Dosage
Expression des résultats :
74
III. Matières organiques
I. 6. Normes :
Une eau riche en matières organiques doit toujours être suspectée de contamination
bactériologique ou de pollution chimique à cause d’infiltration d’eaux usées ou de
matières animales ou végétales en décomposition.
N’agissant pas directement sur la santé humaine la matière organique n’est pas
directement nocive, elle risque de réagir avec les composés halogénés utilisés dans le
traitement de l’eau et donner des sous produits toxiques tel que les trihalomethanes.
Azote Azote
organique minéral
Protéines,
Ammoniaque,
polypeptides,
nitrites,
acides aminés,
nitrates.
urée. 78
Tableau: Diverses formes de l’azote
Cycle de
l’azote
80
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal (NH3/NH4+):
Formes ionisées (ion ammonium, NH4+),
Formes non ionisés (gaz ammoniac, NH3).
Principe:
En milieu alcalin et en présence de
nitroprussiate qui agit comme un catalyseur,
les ions ammonium traités par une solution de
chlore pour les transformer en
monochloramine et de phénol donnent du bleu
d’indophénol susceptible d’un dosage par
spectrométrie d’absorption moléculaire. 84
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
1. Méthode au bleu d’indophénol (mode opératoire):
Echantillon Témoin
Spectrophotomètre à 630 nm
85
Courbe d’étalonnage
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
1. Méthode au bleu d’indophénol:
86
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
Principe général de la distillation
Eau tiède
réfrigérant
NaOH distillat
Principe:
On dose le NH3 dans le distillat par addition d’un acide fort, de normalité
connue en présence d’un indicateur coloré convenable ou à l’aide d’un pH mètre
(neutralisation à pH= 4.5).
On opère en présence d’un témoin (eau distillée exempt de NH3).
Remarque : Elle est valable pour des teneurs supérieures à 2 mg/l.
88
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
5. Méthode titrimetrique:
une solution
d’acide sulfurique
N/10
indicateur coloré
(Tashiro en général)
distillat 89
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
5. Méthode titrimetrique (expression des résultats):
+
1L H₂SO₄ 1N 1eq 14g N 18g d’NH 4
[NH4+] 1000 ml
Solution étalon à 0 1 2 5 10 15 20 25
10mg/l d’ammonium
Eau distillée (ml) 50 49 48
420
45
nm35
40 30 25
Eau à analyser 50
Réactif de Nessler 2 2 2 2 2 2 2 2 2
Solution de tartrate 2 2 2 2 2 2 2 2 2
(ml)
Correspondance en mg/l 0 0,01 0,0 0,05 0,1 0,1 0,2 0,2
92
d’azote 2 5 5
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
6. La méthode de Nessler:
Interférence:
En plus de la couleur et de la turbidité, de nombreuses substances contenues
dans l’eau peuvent interférer (chlore, sulfures, fer, calcium et magnésium) et
précipitent en milieu alcalin.
On les élimine par une série de traitements préliminaires.
93
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
Normes (mg NH4+ /l):
94
II. Composés azotés
II.4. l’azote ammoniacal:
Conséquences
pH [6,5-8,5] NH 4+ peu toxique.
97
II. Composés azotés
II.5. L’azote organique:
Mesure de l’azote Kjeldahl (NTK)
Principe:
99
II. Composés azotés
II.5. L’azote organique:
Normes
100
II. Composés azotés
II.6. L’azote total:
Principe:
Les composés azotés présents dans l’eau sont oxydés en nitrates dans un
autoclave par une solution alcaline de persulfate.
Les nitrates sont ensuite réduits en nitrites et dosés par l’une des méthodes
décrites ci-après.
L’oxydation de l’azote peut aussi être obtenue par rayonnement ultraviolet.
O2 O2
II. Origine
Origine industrielle:
Les nitrites sont utilisés pour inhiber la
corrosion des réservoirs dans les stations de
traitement des eaux.
Le nitrite de sodium utilisé comme agent de
conservation des viandes et des poissons salés
ou fumés, ainsi que de certains fromages
Principe
général:
Acide sulfanilique
Acide nitreux (Amine aromatique)
Réaction de diazotation
Composé coloré
Phénol ou Amine
Diazonium
Détermination colorimétrique ou
spectrophotomètre
1.Méthode de Griess (à la sulfanilamide)
Principe:
• En milieux acide (pH= 02), les nitrites présents dans l’eau
agissent avec l’acide para-sulfanilique pour donner un
diazonium qui réagit à l’aide d’un tampon acétique avec
l’alpha-naphtyl-amine après chauffage à 80 ° C. Ce qui
donne un composé azoïque de coloration rouge.
Réactifs:
Réactifs:
Ammoniaque pure
Réactif de Zambelli
Eau distillée (exempte d’ions NO2⁻)
Solution mère étalon a de NO₂⁻ à 0.23 g/l
Solution fille étalon d’ions NO₂⁻ à 0.0023 g/l
Mode opératoire:
1/ Etablissement de la courbe d’étalonnage:
Dans une série de fioles de 50 ml et numérotées introduire en
agitant après chaque addition :
B I II III
Solution fille étalon à 0.0023 g/l de 0
NO2- (ml)
Eau déionisée QSP 50 ml
Réactif de Zambelli 2 ml
Agiter vigoureusement et laisser reposer 10 minutes
Solution d’ammoniaque pure 2 ml
Correspondance en mg NO2⁻/l 0
Sachant que :
1 mole de NO₂⁻ 1 mole d’N nitreux
46 g 14 g
46 mg 14 mg
IV. Normes et interprétation
• Une partie des engrais agricoles est assimilé par les plantes,
l’excèdent est entrainé par le ruissèlement des eaux de pluies soit
À travers le sol et le sous sol pour rejoindre les nappes
aquifères.
Ou encore être entrainé en surface pour rejoindre les eaux
superficielles.
III. Origine
Origine urbaine:
• Les eaux usées d’origine domestique.
• Les eaux pluviales (pluie ou ruissellement urbain).
Un être humain rejette 15 gr d’N total / jour
Soit: 5,475 kg d’N/an
Soit: 24,250 g de nitrates / an
Décharges publiques:
Origine industrielle: Eaux usées industrielles.
IV. Dosage
• Le choix de la méthode dépend de la teneur de l’eau en nitrates
et les interférences probables.
Les méthodes sont :
+ Jaune
Salicylate de Na Nitrate Para-nitrosalicylate
de Na
1/ Méthode par spectrométrie d’absorption moléculaire
Réactifs:
• Solution de salicylate de Na à 10 g/L à renouveler toutes les
24 h.
• Acide sulfurique concentré (d = 1,84).
• Solution d’hydroxyde de sodium
• Solution mère étalon d’azote nitrique à 100 mg/L
• Solution fille étalon d’azote nitrique à 5 mg/L.
Etablissement d’une courbe d’étalonnage:
• Dans une série de capsules de 60 ml, introduire
successivement :
Mode opératoire:
62 g de NO3-- 14 g de N nitrique.
Principe:
En milieu légèrement alcalin (pH 8 à 9), les ions nitrates sont
réduits en nitrites par passage sur une colonne de réduction
constituée de cuivre déposé sur du cadmium.
Les nitrites sont ensuite dosés par la méthode de Griess.
144
Sulfates
Généralités
145
Sulfates
Origine
146
Sulfates
Origine
Pyrites
147
Sulfates
Origine
148
Sulfates
Origine
149
Sulfates
Origine
L’oxydation du sulfure d’hydrogène
et des oxydes de souffre émis dans
l’atmosphère entraîne, lors des
précipitations, l’acidification des lacs
et des rivières ainsi qu’une
augmentation de leur teneur en
sulfates.
- Provient aussi des eaux thermo-minérales.
150
Sulfates
Dosage
151
Sulfates
Dosage
152
Sulfates
Dosage
153
Sulfates
Dosage
Méthode gravimétrique
154
Sulfates
H2SO4 BaSO4
157
Sulfates
Normes et conséquences
158
Sulfates
Effets et nuisance
Les ions sulfates sont par eux-mêmes peu toxiques. Des doses
comprises entre 1 et 2 grammes ont un léger effet purgatif chez l’adulte.
159
Sulfates
Effets et nuisance
160
Conclusion