LA TRANSFORMEE EN Z

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 DEFINITION DE LA TZ
La fonction de transfert d’un SLIT est obtenue par la transformée de Laplace
TL de sa réponse impulsionnelle h(t) :

p=σ+jω l’opérateur de Laplace

Pour un système discret SDLIT (ou numérique) on utilise la transformée en z de

sa réponse impulsionnelle discrète h(nTe) (Te le pas d’échantillonnage)

z=x+jy, une variable complexe, peut prendre toute valeur sur le plan z.
Pour les signaux numériques: Te=1:

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 DEFINITION DE LA TZ

Pour les signaux non causaux on utilise la transformée en z bilatérale:

Exemples : Calculez la TZ de la séquence discrète non causale suivante :

x(k) =-5δ(k+2)+2δ(k+ δ(k)+ 3δ(k-1)-4δ(k-2)+6δ(k-3)+ 3δ(k-4)
x(n) ={−5,2,1,3,−4,6,3} La flèche indique l’indice 0

u(k) est l’échelon unitaire défini de 0 à +∞

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 Domaine de Convergence de la TZ

la TZ est une série de puissance généralement infinie, le problème qui se pose

est ce que cette somme est fini?
TZ existe Si cette somme est finie:

La région de convergence définit la région où la TZ existe.

Exemple:

Rappeler: Pour une suite géométrique de base r, sa somme est de la forme:

Si N ∞,

à condition : 4
 Domaine de Convergence de la TZ
Im z

a Re z

La condition définit la région de convergence R, ou RDC de

la transformée en z, c’est à dire le domaine du plan z où cette
transformée existe.

Im z

1 Re z

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Domaine de Convergence de la TZ

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 PROPRIETES DE LA TZ
 la linéarité TZ axn   by n   aX z   bY z 
 le retard TZ xn  m   z  m X z 

 la multiplication par une séquence exponentielle  

TZ a n xn   X z / a 

 Inversion de temps  
TZ x n   X z 1
X z 
 
k
d
 dérivation dans le domaine z TZ n k xn    1 z k
k

dz k
 convolution TZ xn * y n   X z  Y z 

 corrélation  
TZ xn   y n   X z  Y z 1

Valeur initiale x(0)  lim z  X z 

 valeur finale x()  lim z 1 z  1X z  7
valable pour une séquence causale
 La transformée en Z inverse
Si de plus X(z) est une fonction rationnelle en z :

N z b0  b1 z 1  b2 z 2  ...bN z  N
X z  
D  z  1  a1 z 1  a2 z 2  ....  a M z  M
on peut utiliser des méthodes comme les suivantes :

 On peut utiliser un développement en éléments simples et se ramener à des

transformées en z connues.

 Dans certains cas, une division suivant des puissances croissantes de z–1 est
suffisante.

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La transformée en Z inverse

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 La transformée en Z inverse

X(z) a deux pôles, z=1 et z=1/2, si :la séquence doit être définie pour . On
aura donc des puissances négative de dans l’expression de développée.

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 La transformée en Z inverse

: la séquence doit être définie pour . On aura donc des puissances positives
de dans l’expression de développée.

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