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Abstract
"The evolution of real estate in Roubaix".
The rebuilding of the industrial textile town of Roubaix has been carried on for a few years now. Hundreds of lodgings have been
demolished. A study of the evolution of the ownership of these lodgings will tell us of the reason of their existence and of their
architectural design, it will also allow us to throw a light on one essential signification of urban rebuilding,
The building of working-class lodgings in the Roubaix "courees" was ensured by a whole class of little landlords who found thus
a means of subsistence. Under the influence of many different factors this building has stopped. In spite of attempts by certain
organizations such as the "P.A.C.T." the ownership was gradually scattered to become nowadays a refuge-property for some
categories of population having very little financial means.
The present rebuilding brings a conclusion to this evolution and to the gradual vanishing of the little landlords class by the
replacing of the "courees" by subsidized flats and of individual initiative by the intervention of the State and of the "H.L.M.
"organizations.
Cornuel Didier, Duriez Bruno. L'évolution de la propriété immobilière à Roubaix : 1884-1974. In: Revue du Nord, tome 58,
n°229, Avril-juin 1976. pp. 245-259;
doi : https://doi.org/10.3406/rnord.1976.3377
https://www.persee.fr/doc/rnord_0035-2624_1976_num_58_229_3377
Didier CORNUEL
Bruno DURIEZ
I. INTRODUCTION.
1. La dénomination de "courée" est abusive pour qualifier la totalité de l'habitat insalubre de la région, a fortiori le
logement ouvrier. L'organisme chargé de la résorption de l'habitat insalubre ne s'appelle-t-il pas organisation pour la
suppression des courées ? Il y aurait lieu de s'interroger sur ce raccourci d'appellation. Ce n'est pas notre propos
ici. Par souci de simplification, mais aussi parce qu'à Roubaix, que nous étudions ici, les cours représentent la quasi
totalité des logements anciens d'une époque. Enfin les opérations de rénovation urbaine et de résorption de l'habitat
insalubre ont touché jusqu'ici des secteurs de courées. Enfin la courée, avec tous les attributs symboliques qui lui
sont attachés, reste un cas particulièrement exemplaire de ce que fut, de ce qu'est le logement ouvrier.
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bien que ce fut un des objectifs initiaux du C.I.L.. Les courées à Roubaix et ailleurs
continuent de jouer un rôle important sur le marché du logement2 .
- Le secteur de l'Epeule, autour de la place d'Amiens, que nous avons délimité par les
rues Descartes, de l'Epeule et Watt, n'a pas été concerné jusqu'à maintenant par une
opération de résorption, alors que les secteurs limitrophes l'ont été. L'état de ce secteur peut
être considéré comme moins défectueux que celui des deux autres, les courées y
représentant une part moins importante.
2. Nous avons tenté d'expliquer cette coexistence dans notre étude Le CIL de Roubaix-Tourcoing, Contribution
à l'étude des mécanismes de production du logement, D. CORNUEL, B. DURIEZ, C.A.D. D.G.R.S.T., juillet 1973.
3. J. PROUVOST, "Le quartier de la Guinguette à Roubaix", Hommes et Terres du Nord, 1966.
J. PROUVOST, "Les courées à Roubaix", Revue du Nord, 1969.
J. PROUVOST, "L'histoire des courées de Roubaix", Bulletin de l'actualité sociale régionale , janvier 1970.
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Nous avons dépouillé les matrices cadastrales des maisons de ces trois
secteurs (au total environ 1500 maisons) à trois moments de leur histoire :
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population du début du siècle. Ce développement si important trouve son origine dans
l'expansion de l'industrie textile. Il est rendu possible par la construction des courées.
Effet en retour : c'est cette présence des cours qui favorisera le développement de
l'industrie textile en maintenant sur place une main-d'oeuvre importante.
4. Le nom de Fort correspond à une disposition spatiale particulière des maisons. Voir à ce sujet J. PROUVOST,
art. cit.
5. Rapport du Jury de l'exposition de 1839 dans Th. LEURIDAN, Histoire de la Fabrique de Roubaix, cité par
J. PROUVOST, "Le quartier de la Guinguette à Roubaix", Hommes et Terres du Nord, 1966.
248
Roubaix-Tourcoing, d'abord pour la semaine "en célibataires", puis ils firent bientôt
venir leur famille.
La construction de logements est un remède à l'éloignement de
l'entreprise. Moins de temps perdu en transport, c'est autant de temps gagné à la production
(la journée de travail est alors de 12 heures). De plus le contrôle de la main-d'oeuvre est
plus strict et assure sa stabilité : son arrivée à l'usine est moins dépendante de facteurs
aléatoires (intempéries par ex.) ou réguliers (activités agricoles). Le logement sur place
permet également à toute la famille de travailler à l'usine.
249
Kpcule : Homme let Longues liai es
Propr i étni . : Maisons : Propr étni.: lî.iisons : Propr i étni . : Uni son
Val^:
abso. 7. : Vnl. .
abso . ' % Val . '
: abso . 7. Val. '.
: abso. 7. : Val. ". 7. : Vnl. '.
abso. abso.
Art isans-Coninier . 17 : 25,8 33 10,0 13 26 57 : 14,0- 54 : 50,0: 377 : 4
Kniployés-Contrema. 6 : 9,1 34 10,3 2 4 3 : 0,7 9 : 8,3: 59 :
Ouvriers 7 10,6 16 A, 8 4 8 7 1,7
Rent. Propriétaires A : 6,1 47 14,2 9 18 174 42,8 15 13,9 185 : 2
Veuves et ass. 9 13,6 116 35,0 10 20 81 20,0 9 : 8,3 67 :
Prof.Libé. Cadres 4 6, 1 4 1,2 6 5,5 22
"Fabricants" : 6 9,1 38 11,5 1 2 . 49 12,0 3 2,8 2
Brasseurs : 6 9,1 10 3,0 2 4 : 8 2,0 4 3,7 12
Négociants : 3 A, 5 24 7,3 : 1 2 : 1 \ 0,2 : 2 1,9 63
Entr. Bât. : 1 1,5 4 1,2 : 2 1,9 14
X : 2 . 3 . 4 : 1,2 : 8 : 16 : 27 ': 6,6 : 4 : 3,7 : 48 .
.
Ville de Roubaix : 1 : 1,5 : 1 ': 0,3 .
•_
TOTAL : 66 : 100 : 331 : 100 : 50 : 100 : 407 : 100 : 108 : 100 : 850 .
;
Propriétaires suivant la catégorie socio-professionnelle 1884.
courées, les employeurs possèdent des logements, certes, mais ils sont très nettement
minoritaires ; certains d'entre eux ont d'ailleurs racheté des maisons construites par des
non-industriels pour étendre leur usine. Par contre, deux autres catégories de
propriétaires sont largement représentées. Les artisans et commerçants d'abord, surtout dans le
secteur des Longues Haies où des commerçants comptent parmi les plus gros
propriétaires de courées de l'îlot : le propriétaire le plus important est un boucher de la rue de
Lannoy qui possède à lui seul 65 maisons. Deuxième catégorie de propriétaires : les
rentiers. Ceux-ci, répertoriés comme tels, font souvent profession de propriétaire, c'est-
à-dire qu'ils tirent l'essentiel de leur revenu de leur propriété. On peut y ajouter les
veuves pour lesquelles le revenu constitue une retraite. D est difficile de connaître l'origine
de ces "propriétaires", on y retrouve des propriétaires terriens, mais aussi des
commerçants qui ont fait fortune et se sont retirés, ou leurs épouses.
La construction des courées procède donc essentiellement d'une logique
de rente. Les courées sont avant tout une source de revenus pour leurs propriétaires.
On peut considérer qu'à Roubaix existe une classe de petits propriétaires et que ceux-ci
assurent le logement de la majorité de la population ouvrière de Roubaix. Les
propriétaires sont dans la majorité extérieurs au quartier et le nombre des maisons occupées
par leur propriétaire est peu important (4,4% rue de la Paix, 8, 1 % aux Longues Haies et
à l'Epeule). D s'agit surtout de maisons en rue, ce qui explique la proportion plus
importante des propriétaires-occupants dans le secteur de l'Epeule.
D s'agit bien de petits propriétaires. Ds s'opposent en cela aux promoteurs
privés actuels dans la mesure où ils n'ont pas pour objectif de reproduire leur
investissement sur une base plus large mais davantage d'effectuer un placement définitif dont les
revenus doivent leur permettre de vivre. Les loyers que pouvait escompter le
propriétaire sont généralement estimés à 10-12% de la valeur du logement. La plupart du temps,
les propriétaires confiaient la perception de leurs loyers aux "receveurs de rentes" dont
c'était d'ailleurs la profession (quand ce n'était pas le cafetier de l'entrée de la cour qui
en faisait fonction). Le travail de ceux-ci, payés au prorata des loyers rentrés, n'était pas
facile au moment des grèves ou dans les périodes de chômage.
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permis à certaines catégories de population de faire rapidement fortune (commerçants,
logeurs de célibataires, etc.). Les industriels ont pu consacrer ainsi tous leurs capitaux à
l'extension de leurs entreprises et aux achats spéculatifs de matières premières, aux cours
extrêmement fluctuants.
7. Les coefficients d'occupation des sols dont l'établissement est prévu par la loi d'orientation foncière de 1967
sont fixés conformément aux plans d'occupation des sols pour toutes les agglomérations. Le COS exprime le rapport
de la surface de planchers construite sur une parcelle à la surface de la totalité de la parcelle.
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Voilà rapidement explicitées les causes qui ont abouti à la constitution
de cet ensemble architectural souvent assez inextricable de maisons, de couloirs et autres
chemins que sont les "courées de Roubaix".
En 1918, une loi est votée qui décide le blocage des loyers. Cette loi aura
des conséquences importantes sur la construction durant tout l'entre-deux-guerres.
Propriétaires de maisons et employeurs ont en effet des intérêts opposés : ceux-ci ne veulent
pas accorder de salaires trop élevés et ceux-là veulent tirer les revenus les plus élevés de
leurs maisons dont les locataires sont précisément des salariés. La loi de 1918 tranche en
faveur des employeurs en ôtant une des raisons d'augmentation des salaires, à savoir
l'augmentation des loyers. Il fallait que la France puisse tenir son rang dans la
concurrence internationale et la révolution Russe de 1917 est là pour rappeler aux
parlementaires les exigences de la défense de la société libérale. Conséquence de ce blocage des
loyers les propriétaires vont de plus en plus délaisser l'entretien de ces immeubles qui
leur assurent, l'inflation aidant, des revenus de plus en plus faibles. Le revenu tiré de la
location de maisons en cour ne devient de plus en plus qu'un revenu d'appoint pour les
"propriétaires". Il faut noter cependant que, compte tenu du rendement (10-12%),
le capital investi est depuis longtemps amorti.
Durant l'entre-deux-guerres, et même après la dernière guerre, la
population de Roubaix et de Tourcoing ne connaît plus la grande expansion industrielle et
démographique du XIXe siècle.
Ces raisons conjuguées expliquent à la fois l'arrêt de la construction de
logements ouvriers par des particuliers à Roubaix (comme dans beaucoup d'autres
agglomérations d'ailleurs) et l'entretien de plus en plus réduit des maisons par leurs
propriétaires. Quelques rares cours sont encore construites : J. Prouvost note que la toute
dernière fut construite en 1934. Malgré les efforts faits pour la relance de la
construction par les petits propriétaires et la création en 1943 à Roubaix-Tourcoing de l'alloca-
tion-logement dont l'objectif était de permettre des loyers plus élevés, on peut dire que
c'en est fini de la construction de logements ouvriers par des particuliers. Ce phénomène
n'est pas propre à Roubaix : l'Etat a pris le relais.
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donner aux populations ouvrières de Roubaix des moyens d'échapper à l'emprise du
patronat textile, tout puissant dans l'agglomération. Il est vrai également que cette
politique permet également au patronat de ne pas s'engager dans une action coûteuse de
production de logements.
La part des maisons occupées par leurs propriétaires n'est toujours pas
très importante, mais elle augmente régulièrement.
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Maisons occupées par leur propriétaire (en %)
8. Il faut noter que malheureusement les documents utilisés, à savoir les matrices cadastrales, sont de moins en moins
précis en ce qui concerne la profession des propriétaires. On évitera donc d'être trop affirmatif ici.
Nous n'avons retenu que les traits de l'évolution qui ne pouvaient pas faire de doute et pour lesquels nous avions
d'autres moyens de vérification.
255
La documentation de l'époque 1950 est suffisamment explicite à ce sujet. Créé un
peu plus tard, le PACT, organisme d'action bénévole, assure la réfection des logements
(les deux organismes fusionneront en 1960). Très rapidement le PACT se porte acquéreur
de maisons isolées ou de cours entières dont les propriétaires veulent se débarrasser. Après
réfection, ces maisons peuvent alors être louées à un loyer "normal".
Il apparaît également que des entreprises achètent des cours. C'est vrai
notamment pour le secteur de l'Hommelet. Si l'on y regarde de plus près, on s'aperçoit
que les entreprises ont racheté des maisons à proximité immédiate de leurs usines. Cette
orientation se comprend donc dans une logique foncière : c'est surtout en vue d'une
extension probable de leurs bâtiments d'usines que les entreprises rachètent des maisons en
cours. On observe d'ailleurs souvent que ces maisons sont destinées à terme à être
détruites. La meilleure preuve de cette logique foncière est qu'à la même époque, les
entreprises qui possédaient des logements ici ou là dans Roubaix, liquident leur patrimoine.
Le développement de la construction par le CIL rend inutile et coûteuse aux entreprises
la propriété de logements d'entreprise et ce d'autant plus que ceux-ci sont souvent
occupés par des habitants ne faisant plus partie du personnel de l'usine et qu'on n'ose pas
expulser.
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de logements sociaux, pour la destruction des courées : TORSUCOMN. La compétence
de l'ORSUCOMN est fixée par la loi de juillet 70, dite loi Vivien.
Il nous est apparu intéressant, dans la ligne de cette étude et dans le cadre
plus général d'une étude sur la restructuration urbaine de Roubaix9 de tenter de définir
la population des propriétaires des maisons en courées concernées par les opérations de
résorption de l'habitat insalubre qui vient bouleverser la structure de propriété existante.
Il apparaît très vite que des changements importants sont survenus dans les années 60
et que le rythme de l'évolution s'est accéléré.
Notre but dans cette dernière partie est de définir de façon exhaustive la
population des propriétaires de courées détruites ou à détruire dans les opérations 1970
à 1974. Notre recensement atteint presque l'exhaustivité puisqu'il concerne 16 des 20
opérations de résorption d'habitat insalubre à Roubaix ainsi que le premier secteur de
résorption du quartier Aima-Gare, opération en cours et de loin la plus importante.
1.586 maisons sur 1.807 sont ainsi concernées ainsi que les 734 maisons du secteur Aima-
Gare (délimité par les rues de France, de l'Aima, de Fontenoy, de Cassel et des Anges).
9. "Transformations économiques, évolution des rapports politiques et restructuration urbaine : Roubaix 1960 -
1975", Etude financée par la D.G.R.S.T., C. A. D., 1975. , -
257
anonyme d'H.L.M., le Toit Familial, société créée par le C.I.L. qui a racheté la totalité
du Fort Frasez, en a détruit une partie et a restauré le reste des maisons, (au total
actuellement 1 50 maisons), et le P.A.C.T. qui a racheté ici et là des maisons, parfois des
cours entières comme la cour Masurel dans le secteur de l'Alma-Gare (une soixantaine
de maisons) et qui possède dans tous les secteurs de résorption étudiés ici 122 maisons.
Les deux plus gros propriétaires de logements considérés comme insalubres sont donc une
société d'H.L.M. et le P.A.C.T.. Dans le seul secteur de l'Alma-Gare, ces deux
propriétaires totalisent plus de 30% des maisons. Le P.A.C.T. possède à lui seul 5% des maisons
détruites ou en voie de l'être dans les opérations de résorption de l'habitat insalubre à
Roubaix. Il avait également restauré et assurait la gestion de plusieurs centaines d'autres
logements appartenant à des propriétaires privés.
Aux receveurs de rentes ont succédé les agents immobiliers qui, outre
qu'ils ont pour charge la perception des loyers et le léger entretien des maisons, jouent un
rôle très important dans les transactions immobilières sur les maisons en cour.
L'obligation faite aux immigrants de trouver un logement avant de faire venir leurs familles a
favorisé leur accession à la propriété de maisons en cour. Attirés par les possibilités de
crédit et de prêt offertes par les agents immobiliers, pour eux c'était souvent le seul
moyen de trouver un logement dans des délais brefs. Il y a eu et il y a encore un marché
très important pour les maisons en cour, les gros propriétaires préférant vendre leur
patrimoine, depuis longtemps amorti.
VI. CONCLUSION.
258
ii y a un certain constaste entre le caractère approximatif de la
définition de l'insalubrité (malgré une batterie de critères très élaborée), son caractère très
évolutif (rappelons que les maisons restaurées par le PACT sont considérées comme
insalubres) et le caractère impératif des mesures qui découlent de la déclaration d'insalubrité.
Nous ne nierons certes pas que les conditions de logement des populations vivant dans
les cours sont mauvaises mais l'analyse se doit de dépasser cette constatation.
De plus, la loi de juillet 70 comporte un aspect répressif : il s'agit de
sanctionner les propriétaires de logements insalubres qui s'assurent de solides revenus en
logeant des locataires dans des maisons déjà amorties et avec des charges très légères
d'entretien. Or, force est de constater que ces propriétaires ne représentent, à Roubaix
tout au moins, qu'une part peu importante dans la population des propriétaires : il y a
les propriétaires de garnis pour travailleurs étrangers célibataires, il y a les propriétaires
qui tirent un revenu "abusif" de leur maison (on atteint parfois des rendements annuels
de 30, 50 et même 100%). Cette catégorie de propriétaires exploiteurs existe bien, mais
la focalisation sur cette catégorie ne rend pas compte de la réalité.
Didier Cornuel
Bruno Duriez
10. C'est l'une des constatations de l'étude du CREGE, Le Devenir Social des personnes relogées, 1973.
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