Professional Documents
Culture Documents
Faculté de la Technologie
Département d’Electronique
Mémoire
Thème
Président :
Mr chami nadir
Examinateur :
Mr : chirifi abd alhamid
Mr : bouarfa abdlekader
Encadreur :
Dr. Garadi Ahmed
Promotion 2016/2017
ملخص
في هذه األطروحة هو جزء من منظومة الوصول البصرية أو عرض النطاق الترددي العريض من األلياف تتم
هذا النظام أدى إلى نوع الفائدة في تقنيات وصول متعددة معروفة سلفا في ترددات.مشاركتها بين عدة مستخدمين
) بصري سي دي إم أيه:OCDMA( تقاسم الموارد متعددة من تخصيص رمز البصريةl'accès.االتصاالت الالسلكية ل
.يعتبر اآلن في هذا السياق باعتبارها حال جذابا
باستخدام تقنية الوصول متعددة عن.هدفنا هو إيجاد حلول للحد من تأثير هذا الضجيج في حالة معينة من أنظمة
.)SAC-OCDMA( طريق تقسيم التعليمات البرمجية في المجال الطيفي
. ونحن نؤكد على سي دي إم أيه، فإننا نقدم ألول مرة تقنيات وصول متعددة،وكجزء من المشروع
من حيث، ال سيما ونحن نحلل بدقة وأداء كاملة.نحن ندرس ترميز وفك جميع البصرية الطيفية "للوصول المتعدد
.SAC-OCDMA نظامBER وSNR
واإلنتاجية المستخدم والكفاءة، الجديد هو زيادة قدرة المستخدم مضاعفةSAC-OCDMA الهدف من نظام
البيئةOPTISYSTEM وهذا هو الهدف من عملنا وتنتهي في نهاية المطاف مع نتيجة المحاكاة في باستخدام.الطيفية
والرسائل المتعددةdemultiplexers والترميز باستخدام،)D3( الترميز البصري السعة الطيفيةCDMA :كلمات البحث
BIBD طريقةZCC رمز،البصرية
Résumé
Dans ce travail de mémoire s’inscrit dans le cadre des systèmes d’accès optiques haut
débit ou la bande passante de la fibre est partagée entre plusieurs utilisateurs .ce type de
système conduit à s’intéresser au techniques d’accès multiples déjà bien connues en
communication radio fréquences pour le partage de ressources .l’accès multiple par répartition
du code optique (OCDMA : Optical Code Division Multiple Accès ) est considéré
aujourd’hui dans ce contexte comme une solution attractive.
Notre objectif est de trouver des solution pour limiter l’effet de ce bruit dans le cas
particulier des systèmes. Utilisant la technique d’accès multiple par répartition de code dans le
domaine spectrale (SAC-OCDMA).
Dans le cadre du projet , nous présentons tout d’abord les techniques d’accès multiple, de
même nous avons confirmer sur l’accès multiple par répartition du code .
i
l’objectif de notre travail et finalement le manuscrit est terminé par des résultat simulées à
l’aide de l’environnement OPTISYSTEM
Mots clés : CDMA optique, encodage de l’amplitude spectrale (3D) , l’Encodage à l’aide de
démultiplexeurs et multiplexeurs optiques, code ZCC, méthode BIBD.
Abstract
In this work falls within the framework of high-speed optical access systems where the
bandwidth of the fiber is shared among several users. This type of system leads to interest in
the multiple access techniques already well known In radio frequency communication for
resource sharing. Optical Code Division Multiple Access (OCDMA) is today considered in
this context as an attractive solution.
Our aim is to find solutions to limit the effect of this noise in the particular case of
systems. Using spectral domain code division multiple access (SAC-OCDMA) technique.
In the framework of the project, we first present the techniques of multiple access,
likewise we confirm on the multiple access by distribution of the code.
We study all-optical spectral encoding and decoding for multiple access. In particular,
we analyze in a precise and complete way the performances in terms of SNR and BER of a
SAC-OCDMA system. The aim of this new SAC-OCDMA system is to increase the capacity
of multiplexing users, the throughput per user and spectral efficiency. This is the objective of
our work and ultimately result in simulated results at OPTISYSTEM .
Keywords: optical CDMA, spectral amplitude encoding (3D), encoding using optical
demultiplexers and multiplexers, ZCC code, BIBD method.
ii
Dédicace
A laide du dieu et grâce a la prière de ma mère.
Je dédie cet événement marquant de ma vie à la mémoire de
mon père décédé avec lequel je n'aurais pas le plaisir de
partager cet événement mais qui est et qui restera a jamais
dans mon cœur.
J’ai pu terminer ce modeste travail Je dédie ce
mémoire : a ma cher trésor ma mère .
A mon marie : Ahmed et sa familles
A mon frère : Nasreddine , a belle ma sœur :
Asmaa
a mon neveu : Adam .A l’exemple de
l’amitié et fidélité :Meriem ,Sarah
iii
Dédicace
C’est avec profonde gratitude et sincères mots
Que nous dédions ce modeste travail de fin d’étude a
Mes chers parents ; qui ont sacrifié leur vie pour
Notre réussite et ils nous ont éclairé le chemin par
Leurs Conseils judicieux.
Nous espérons qu’un jour,
Nous pourrons leurs rendre un peu de ce qu’ils ont
Fait pour nous, que dieu leur prête bonheur et longue vie.
Nous dédions aussi ce travail a tous les professeurs qui
Nous ont enseigné.
A mon frère : Mohamed et sœurs : Manel, Ikram.
Mon fiancé : Yousef et sa petite famille.
Mes chères amies : Hanane, sara, Ibtissem, Marwa.
iv
REMERCIMENTS
v
Table Des Figure
Figure. I.2 Réseaux d’accès multiple par répartition dans le temps (TDMA)…………………….…04
Figure I.6 : Architecture PON base sur le multiplexage en longueur d’onde WDM… …………...08
Figure. I.13 indique un concept simple de l’étoile réseau couplé de l’utilisation de FBG à l’encodeur
et le décodeur ………………………………………………………………………………………...…..17
Figure II.1 Principe de l'encodage spectral SAC-OCDMA (a) pour l'usager désiré avec code 1 ; (b)
pour un interférant avec le code 2……………………………………………………………………...23
vii
Table Des Figure
Figure II.7 Fonctionnement du système de décodage de l'usager 1 pour un signal émis avec le code
1…………………………………………………………………………………………………………...28
Figure II.8 Système de décodage de l'usager 1 recevant un signal émis avec le code 1…………...…29
Figure II .15 : Principe du multiplexage en polarisation dans le cas d’un multiplexage en longueur
d’onde…………………………………………………………………………….....................................41
viii
Table Des Figure
Figure: III.6 polarisation de la bande passante fournie de LED à 900 (suivant l’axe oy).. ………….54
Figure III.7 polarisation de la bande passante fournie de LED à 00 (suivant l’axe ox)……………...54
Figure III.10 : Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à 90°( suivant l’axe
oy)…………………………………………………………………………………………….…………...56
Figure III.11 : Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à90° (suivant l’axe
ox)…………………………………………………………………………………………….…………...57
Figure III.12 : Longueur d’onde sélectionnée 1557 nm polarisé à 90° (suivant l’axe
oy)……………………………………………………………………………………………...……….…57
Figure III.13 : Longueur d’onde sélectionnée 1557 nm polarisé à90°( suivant l’axe
ox.)………………………………………………………………………………………………………..58
Figure III..14 : Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à 0° (suivant l’axe ox)……………58
ix
Table Des Figure
x
Liste des Tableaux
xiii
Liste des Abréviation
FH Saut de fréquence .
xiv
Liste des Abréviation
FE Frequency Encoding
PC Prime Codes.
1D 1 Dimensionnels.
2D Deux dimensions.
3D trois dimensions.
xv
Liste des Symboles
Chapitre 2
- w : poids d’un code
- L : longueur du code
- K : nombre d’utilisateur
- λBragg : longueur d’onde de Bragg
- λc : L’inter-corrélation
- λa : auto-corrélation
- α : atténuation dans le bras du décodeur complémentaire de la détection balancée
- I : photo-courant
- ƞ : le rendement quantique.
- e : la charge de l’électron.
- h : la constante de Planck
xvi
Liste des Symboles
Chapitre 3
- Db : débit binaire
- Mbit/s : méga bite par second
- nA : nano ampère
- λ : la longueur d’onde
- c : la célérité de la lumière
- f : la fréquence
- THZ : terrât hertz
- Max : maximal
- Min : minimal
- Gbit /s : giguât bit par second
- Km : kilomètre
- P : probabilité
- 1D : 1 dimension
- Fc : fréquence de coupure
- Q : facteur de diagramme
- 3D : Trois dimensions
xvii
Introduction Générale
Introduction Générale
Les systèmes de communications ont beaucoup évolué ces dernières années, surtout les
systèmes sans fil, et de plus en plus la nécessité d'utilisation d'une grande vitesse de
transmission de données s’imposent. Mais la technologie existante a des contraintes pour
suivre la progression de la vitesse de transmission nécessaire ; plusieurs méthodes et
techniques ont vu le jour pour remédier à ce problème. Afin d'arriver à des performances
élevées dans l'environnement à trajets multiples[1] , Plusieurs techniques d’accès sont
nécessaires pour répondre à l’augmentation de la demande de grande vitesse et de grande
capacité de communications dans les réseaux optiques comme la répartition en fréquence
(FDMA), le multiplexage en longueur d’onde (WDM), la répartition dans le temps (TDMA),
la répartition par code (CDMA) ou un système hybride. , qui permettent à plusieurs
utilisateurs de partager la même bande passante de la fibre optique
Parmi les différentes techniques d’accès optique, l’accès multiple par répartit ion de code
optique (OCDMA) est de plus en plus attrayante dans le domaine de toutes les
communications optiques, plusieurs usagers peuvent accéder au réseau simultanément et
asynchrone en raison du niveau élevé de sécurité de la transmission, vu la large bande
passante et les faible pertes, il peut donc faciliter la réalisation de nombreux services tels que
la transmission des vidéos hautes qualités [2].
Afin de réaliser la fonction de codage et de décodage dans les réseaux d’accès, l’intégration
de nouveaux composants optiques permet à priori de réduire le coût et la complexité des
systèmes de transmission, car il n’est plus nécessaire d’utiliser des convertisseurs
électrique/optique et optique/électrique. En fonction des spécifications des dispositifs utilisés,
le codage peut être unidimensionnel, en temps ou en fréquence, bidimensionnel en combinant
le temps et la fréquence en même temps.
L’OCDMA est un domaine de recherche émergent qui offre de nombreux avantages par
rapport aux autres techniques d'accès multiple existants tels que TDMA et WDMA. OCDMA
fonctionne sur la base d’une transmission asynchrone où la transmission peut être exécutée à
tout moment sans aucune coordination nécessaire de synchronisation. La fonctionne
d’OCDMA basée sur une transmission asynchrone où la transmission peut être exécutée à tout
moment sans aucune coordination nécessaire de synchronisation. Il a une capacité de rejet
d'interférence c’est-à-dire de supprimer l'interférence à bande étroite. Avec l'amélioration de
1
Introduction Générale
la sécurité de réseau, le signal original de données est élargi dans le domaine fréquentiel sans
acquérir la puissance dans le domaine fréquentiel en conséquence la puissance de la densité
spectrale est faible et difficile à être détectée. Il offre également la possibilité d’utilisation
d’une largeur de bande efficace, la flexibilité des réseaux d'accès à grande vitesse avec un
accès bas de latence, la tâche dynamique de largeur de bande, la capacité smart sur demande,
la commande de réseau simplifiée et la commande accrue de qualité du service de flexibilité
[3].
En OCDMA, la source optique est l’un des dispositifs clé, grâce à leurs faible coût et leurs
capacité de fournir un large spectre, les sources large bande sont largement utilisées.
Les travaux effectués dans le cadre de cette mémoire concernent la mise en œuvre et la
simulation sous Optisystem version 7 d’un système de transmission basé sur l’encodage de
l’amplitude spectrale à réseaux de Bragg pour l’accès multiple par répartition de codes
optiques (SAC-OCDMA), le manuscrit est structuré en trois chapitres [4].
Le but de notre travail concerne la mise en œuvre et la simulation sous OptiSystem.7 d’une
liaison SAC-OCDMA (3D) optique utilisant les codes optiques ZCC.
Le chapitre 3 porte sur la simulation sous OptiSystem, d’un système SAC OCDMA avec le
code 3D proposé, avec quatre utilisateurs actives.
2
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
I.1 Introduction :
Pour guider des signaux porteurs d'informations d'un émetteur à un récepteur, la technique des
télécommunications utilise essentiellement deux moyens à savoir :
Parmi les supports matériels, le mieux adapté pour des trafics importants à haut débit est la fibre
optique.
La fibre optique offre une énorme largeur de bande pour effectuer les opérations d’accès
multiples, permettant à plusieurs utilisateurs de communiquer simultanément.
Dans ce chapitre, nous présentons les différentes techniques d’accès multiple utilisées
dans les systèmes de télécommunications optiques. Et nous parlerons à un seul type d’OCDMA
qui constitue l’axe de notre mémoire, il s’agit de l’encodage spectral d’amplitude (SAC). Nous
présentons aussi, les différentes catégories de l’OCDMA et plus particulièrement les méthodes
d’encodage du système OCDMA.
L’accès multiple est une manière efficace de partager les ressources de communication en temps
et en bande passante pour augmenter la capacité d’un réseau de communication en nombre
d’utilisateurs. Cette technique de partage doit être mise en œuvre sans créer d’interférences
d’accès multiple est l’orthogonalité entre les signaux des différents utilisateurs [1].
Les recherches menées depuis de nombreuses années permettent de distinguer plusieurs systèmes
d’accès multiple.
Les techniques d’accès multiples dans les systèmes de communications optiques peuvent être
classées en quatre familles, à savoir, l’accès multiple par répartition temporelle en
optique(OTDMA), l’accès multiple par répartition fréquentiel en optique (OFDMA), l’accès
multiple par répartition en longueurs d’ondes(WDMA) et l’accès multiple par répartition de
codes en optique (OCDMA). (Figure. I.1) représente les quatre systèmes d’accès multiple dans
le domaine optique qu’on va détailler dans la section suivante.
3
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Figure. I.2 Réseaux d’accès multiple par répartition dans le temps (TDMA). [2]
4
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
La téléphonie fixe utilise ce type de partage qu’on retrouve en téléphonie mobile GSM
(Global System For Mobile Communication) sous forme de huit sous-canaux à l’intérieur de
chacune des bandes de fréquence (originellement un canal à allouées aux opérateurs de
téléphonie. On peut dénombrer deux implémentations de ce type de multiplexage: ETDMA
(Electrical-TDMA) qui suppose que le multiplexage et démultiplexage soient réalisés de manière
électrique, et OTDMA (Optical-TDMA), qui suppose que le multiplexage et le démultiplexage
soient réalisés en optique.
La fréquence maximum du signal résultant, généré de manière électrique, sera donc limitée
par les possibilités de l’électronique (quelques dizaines de gigahertz). En fonction du nombre de
canaux, la fréquence autorisée pour chaque canal sera d’autant plus réduite. L’implémentation
pose un problème de synchronisation : les canaux devront être pilotés par une horloge commune
ou utiliser des systèmes complexes de synchronisation. De plus, il faut prendre en compte la
latence nécessaire à l’attribution des slots par le nœud central du réseau, prévoir des marges de
sécurité, des dispositifs compensateurs pour éviter que les signaux ne se chevauchent, ce qui
pénalise encore les performances globales [3]. A la réception, un photo-détecteur convertit le
5
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
6
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Pour récupérer en réception par démultiplexage temporel les informations d’un utilisateur, le
système nécessite un signal de synchronisation du rythme des données émises Tb .La réalisation
des composants optiques effectuant le multiplexage OTDMA n’est pas simple (elle augmente
naturellement en complexité avec le nombre de canaux à traiter), ce qui a une incidence en terme
de coût. Les performances d’un réseau OTDMA sont légèrement supérieures à celles de
l’ETDMA, grâce à une moindre interférence inter-symboles et un bruit moins important .En
pratique, les très hauts débits atteints par multiplexage temporel en optique (de l’ordre de 160
gigabits par seconde). Grâce à une implémentation hybride ETDMA/OTDMA : plusieurs
signaux sont tout d’abord multiplexés de manière électrique afin de former un premier canal (à la
fréquence maximale permise par l’électronique), puis l’ensemble des canaux est envoyé à un
multiplexeur optique à lignes à retards [3].
7
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Figure I.6 : Architecture PON base sur le multiplexage en longueur d’onde WDM
La capacité totale de la bande passante du système d’accès est multipliée par le nombre
de longueurs d'onde multiplexées sur la fibre. Ces signaux optiques sont ensuite séparés (ou
démultiplexés) dans des fibres différentes [6].
8
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Dans cette technique dʹaccès multiple, les utilisateurs partagent le même espace
fréquentiel et transmettent sur les mêmes intervalles temporels. Il sʹagit, dans ce cas, dʹaffecter à
chaque émetteur un code, aussi appelé signature ou encore séquence de code, qui lui permet de
transmettre des informations en évitant dʹinterférer avec les messages provenant dʹautres
utilisateurs.
La réduction des l’Interférence d’Accès Multiple (IAM) nʹest obtenue que dans le cas de
lʹutilisation de séquences de codes strictement orthogonaux. ( La Figure I.8) schématise la
répartition des utilisateurs sur la bande de fréquence et dans le temps en fonction de la
distribution des séquences de codes.
9
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Où chaque utilisateur est assigné un code unique pour la modulation de signal et transmet
l'information au-dessus d'un réseau fibre optique. Où seulement le récepteur destiné avec la
connaissance spécifique de code peut rechercher l'information codée. Traditionnellement, nous
maximisons l'utilisation du signal utile avec une bande passante minimale. Cependant, dans le
spectre étalé, le concept de bande passante l'utilisation est largement répandue.
10
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
le pic d'auto-corrélation du signal récupéré est produit pour distinguer les flux de données
d'interférences provenant d'autres utilisateurs.
L’OCDMA occupe beaucoup de dispositifs uniques et donne un avantage par rapport aux
autres arrangements. Un protocole d'accès asynchrone permet à OCDMA d’être aléatoirement et
simultanément accessible sans synchronisation temporelle. L’OCDMA n'exige aucun
arrangement de synchronisation
OCDMA technique d'accès multiple permet simultanément d'évaluer la largeur de bande sans
exiger le traitement à grande vitesse de donnée électronique de circuits. En termes d'évolutivité,
OCDMA peut accueillir un plus grand nombre d'utilisateurs.
Les techniques multi proportion OCDMA permettent aux canaux de taux de bits faibles et
élevés appliqués sur le même réseau d’OCDMA. Cela peut répondre à la demande actuelle de
débit binaire variable.
11
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Dans la technique CDMA, l’orthogonalité des codes est la propriété importante pour
minimiser les interférences dues à l’accès multiple du canal. Donc l’Interférence d’Accès
Multiple (IAM) qui augmente avec le nombre d’utilisateurs et qui est liée aux propriétés d’inter-
corrélation des codes est une des principales limites des performances d’un système OCDMA.
Parmi les autres limitations à l’application du CDMA à l’optique, certaines sont dues à la
nature du canal (dispersion chromatique), d’autres au fonctionnement des composants
électronique, optique et optoélectroniques (bande-passante, non-linéarités, bruits du photo
détecteur, etc…..).
Les fonctions de codage/décodage OCDMA peuvent être réalisées soit dans le domaine
électrique ; dans ce cas, la principale limitation pour l’implantation de la technique est la vitesse
des circuits électroniques disponibles ; ou bien dans le domaine optique ; on parle alors de
CDMA << tout-optique >> l’implantation est liée à la technologie et aux coûts des composants
optiques nécessaires.
La séquence est couplée avec l’ensemble des autres séquences venant des autres
utilisateurs du système dans un coupleur en étoile, via une fibre optique monomode. Côté
12
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
récepteur, la totalité des signaux couplés est comparée au code correspondant à un émetteur
donné (corrélation) et une détection à seuil détermine si un bit « 1 » ou « 0 » est reconnu.
L’adressage se fait de manière implicite dans le codage, puisque l’ensemble des récepteurs
reçoit le message et seul le récepteur concerné possède la clé qui lui permet d’accéder à la
donnée qui lui est destinée.
13
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
14
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
15
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
I.11). Pour des taux de transmission élevés, la génération de plusieurs impulsions par bit ne peut
se faire dans le domaine électrique avec un niveau de complexité et un coût raisonnables.
Différentes propositions existent donc afin de réaliser l’encodage de manière tout-optique.
Par exemple, l’impulsion peut être divisée en passant par un coupleur optique 1N comportant
N branches. Chacune de ces branches se voit imposer un délai particulier et un coupleur N *1
recombine les impulsions retardées. Le décodeur est lui aussi composé d’un coupleur 1 * N et
d’un autre N * 1. Les délais imposés à l’encodeur sont donc compensés au décodeur et une
impulsion d’auto-corrélation est recouverte, l’utilisation de plusieurs interféromètres Mach-
Zehnder (MZ) en série avec différents délais dans les bras. Les différents délais dans les bras du
MZ imposent des délais particuliers aux impulsions, ce qui constitue le code [12].
16
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
17
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
18
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
Conclusion :
Au cours de ce chapitre nous avons rappelé les différentes techniques d’aces multiple (en
fréquence FDMA, en temps TDMA, en longueur d’onde WDMA et par code CDMA )
employées dans le domaine des communications optiques, avec leurs avantages et inconvénients.
Ensuite nous avons exposé la technique CDMA dans le domaine optique avec les deux
types cohérent, incohérent .puis les différentes méthodes d’encodage (encodage temporel,
encodage spectrale de phase et l’encodage d’amplitude spectral).
19
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
[1] A. Stöhr, K. Kitayama, and D Jäger, “Error Free Full Duplex Optical WDM-FDM
Transmission using an EA-transceiver,” International Topical Meeting on Microwave
Photonics MWP’98, Princeton, October 1998.
[3] Garadi Ahmed, "Contribution à l’étude des codes optiques ZCC : Application au
système SAC-OCDMA", Thèse de doctorat, Université Djillali Liabès de Sidi- BelAbbes, 2015.
[5] Dafa Seynabou, LOUM,"Transmissions radio haut débit multiservices sur fibres
optiques – Application à l'optimisation de la capacité utilisateurs en emprises de
transport", Thèse de doctorat, l’Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambresis, 2012.
[6] Fabia Raharimanitra " contribution a l’étude des Architecture Basses sur le
miltiplexages en temps et en longueur d’onde dans le reseau d’acces, permettant la migration
vers la nouvelle generation de pon (NG-PON) A10GBIT/S" Thèse : sciences et techhnologies
de l’information et de la communication (STIC) , Université européenne de Bretagne , 2012.
[7] Mounira Lourdiane "CDMA à séquence directe appliqué aux communications optique"
[8] P. Prucnal, M. Santoro, and T. Fan, “Spread spectrum fiber-optic local area network
using optical processing,” Journal of Lightwave Technology, vol. 4, no. 5. pp. 547–554, 1986.
20
Chapitre I: les Techniques d’Accès Multiples.
[10] J. Hui, “Pattern Code Modulation and Optical Decoding - A Novel Code-Division
Multiplexing Technique for Multifiber Networks,” IEEE Journal on Selected Areas in
Communications, vol. 3, no. 6. pp. 916–927, 1985.
[11] G. Pille "Multiplexage optique à répartition par codes spectraux en optique intégrée",
Thèse de doctorat, Université de Montpellier II, discipline : électronique composants et
systèmes, 2005.
[12] SIMON AYOTTE, " Systèmes optiques a accès multiple par répartition de codes :
étude des performances et de l’impact du bruit d’intensité", Thèse de doctorat, UNIVERSITÉ
LAVAL QUÉBEC DES SCIENCES ET DE GÉNIE, 2007.
[15] H. Fathallah, L. A. Rusch, and S. LaRochelle, " Optical frequency-hop multiple access
communications system," Communications, 1998. ICC 98. Conference Record. 1998
IEEE International Conference on, vol. 3. pp. 1269–1273 vol.3, 1998.
21
Chapitre II : L’encodage spectral
II.1 Introduction :
Dans ce chapitre nous limitions l’analyse à un seul type d’OCDMA qui constitue l’axe de
notre mémoire, il s’agit de l’encodage spectral d’amplitude (SAC) dont les sources optiques
sont des sources incohérentes souvent considérées lors de la conception des systèmes SAC-
OCDMA en raison de leurs faible coût et de leurs grande largeur de bande optique qui permet
le découpage du spectre pour réaliser l’encodage. Toutefois, le bruit d’intensité relié à ces
sources limite les performances du système [1].
Nous parlerons dans un premier temps des principes de base de la technique SAC
OCDMA : l’encodage et le décodage du signal. Ensuite, nous analyserons les différents types
de bruit (bruit thermique, bruit de grenaille, bruit d’intensité) présents dans ce genre de
système. Puis on a cité les différents codes utilisés en SAC-OCDMA(les codes unipolaires
comme les codes de Walsh Hadamard, les codes bipolaires comme les Prime Codes et les
codes OOC (Optical Orthogonal Code) en fin la classification des systèmes OCDMA basée
sur le principe de fonctionnement et sur la dimension de codage.
Dans cette partie, nous allons voir les procédures pour effectuer l’encodage avec la
technique du SAC-OCDMA. Ce processus d’encodage assigne une empreinte où une
signature spectrale unique aux données de l’usager où l’utilisation de la bande optique est
partagée dans les systèmes qui fonctionnent sur le principe du SAC-OCDMA. Les différentes
signatures spectrales ne sont pas orthogonales entre elles, c’est-à-dire que deux signatures
spectrales distinctes ont des fréquences en commun. Il en découle une chose fondamentale : il
est impossible d’extraire les données contenues dans un canal par un simple filtrage optique
en SAC-OCDMA. Le but du décodage consiste en l’extraction du signal parmi tous les
signaux en utilisant la signature spectrale comme discriminateur [2]
II.2.1 Encodage :
Une source large bande incohérente émet un spectre ayant une densité spectrale de
puissance f (v) que nous pouvons subdiviser en L cases fréquentielles (frequency bins). L
désigne la longueur du code. C’est sur ces L tranches spectrales que nous allons réaliser
l’encodage spectral par le biais d’un encodeur (ENC) composer d’un groupe de réseaux de
22
Chapitre II : L’encodage spectral
Bragg et qui assigne une signature spectrale unique à chaque usager en occupant w cases
fréquentielles parmi les L disponibles. w désigne le poids du code. Puis
Figure II.1 Principe de l'encodage spectral SAC-OCDMA (a) pour l'usager désiré avec
code 1 ; (b) pour un interférant avec le code 2
23
Chapitre II : L’encodage spectral
(a) (b)
Les avantages de cette technique est qu’elle utilise les masques d’amplitude qui permettent
une bonne résolution spectrale. En effet, ils permettent de découper le spectre en plusieurs
centaines de tranches. Il est alors possible d’implémenter des codes d’une grande longueur.
Un autre avantage indéniable est le fait que l’on puisse syntoniser le code spectral. Cette
syntonisation se fait par le biais du signal électronique de contrôle du masque d’amplitude [2].
24
Chapitre II : L’encodage spectral
La propagation en air libre ce qui implique des alignements optiques précis (sensible aux
vibrations, aux fluctuations de température,..)
L’utilisation des réseaux de diffraction, couteux et fragile.
Des pertes non négligeables (11 dB).
L’encombrement, miniaturisation difficile.
Réglages et alignement sont délicats.
II.2.1.b Utilisation d’un réseau sélectif planaire AWG (Arrayed Waveguide Grating) :
Le principe est d’utiliser en cascade deux AWGs (1xN) comme le montre la Figure II.4. A
la sortie de chaque branche du premier A WG, on retrouve une tranche spectrale déterminé.
En branchant uniquement certaines fibres aux K entrées du deuxième A WG, il est ainsi
possible d’obtenir un code spectral. Pour obtenir un code ajustable dynamiquement, on peut
choisir de connecter les K sorties du premier AWG avec les K entrées du second AWG mais
en insérant dans chaque branche un atténuateur variable contrôlable électroniquement ou bien
encore en intégrant directement ces atténuateurs. Ces composants contiennent un AWG (1xK)
(démultiplexeur) suivi de N interrupteur optique (1x2) qui peuvent jouer le rôle d’atténuateurs
pour effectuer l’encodage en amplitude et enfin un dernier AWG (Kx1) (multiplexeur) pour
recombiner les différentes composantes spectrales sur un seul guide d’onde.
Cette technique est intéressante, car elle utilise des composants déjà éprouvés sur le
terrain dans les systèmes WDM mais nécessite tout de même deux AWGs à l’encodage, des
25
Chapitre II : L’encodage spectral
atténuateurs et quatre AWGs avec un intervalle spectral libre (ISL) supérieur à une centaine
de gigahertz et que la forme de la réponse spectrale de chaque tranche est optimisée pour les
systèmes WDM. Cependant, ce problème n’est que purement technologique et peut être
résolu par un design optimal pour le SAC-OCDMA.
𝜆𝐵𝑟𝑎𝑔𝑔=2𝑛𝑒𝑓𝑓 Ʌ (II.1)
Sont partiellement réfléchie par le réseau ; les autres sont transmises. Dans cette relation Ʌ
désigne la période de modulation d’indice et neff l’indice de réfraction effectif du mode
fondamental.
26
Chapitre II : L’encodage spectral
Cependant cette méthode impose une contrainte : aucune longueur d’onde ne doit être
commune entre les utilisateurs [3].
II.2.2 Décodage :
27
Chapitre II : L’encodage spectral
Les codes présentés plus haut (code 1 et le code 2), ainsi que le fonctionnement du récepteur
dans un cas plus général. Dans les deux cas, il est possible de produire un signal de moyenne
nulle lorsque les interférents sont actifs et ce quel que soit leur nombre.
28
Chapitre II : L’encodage spectral
signal n’est détecté par la photodiode PD2 (puisque CDEC 1 a une réponse spectrale
complémentaire à ENC 1). En réalité IPD2 n’est pas nul puisqu’un recouvrement spectral
existe, c’est-à-dire que les spectres ne sont pas parfaitement orthogonaux. Cependant, cette
puissance est faible, voire nulle dans le cas idéal. Toute la puissance du signal désiré est
détectée par PD1.
ENC1 CDEC2
Figure II.8 Système de décodage de l'usager 1 recevant un signal émis avec le code 1
𝜆𝑐
α= (II.2)
𝑤−𝜆𝑐
Avec :
29
Chapitre II : L’encodage spectral
C’est une technique similaire à la technique balancée, mai avec λc =0 donc une seul
0
branche de décodeur et de détecteur est nécessaire, α = = 0, (voir équation II.2)
𝑤−0
suppression de la deuxième branche (voir Figure II.9) [7].
30
Chapitre II : L’encodage spectral
ƞ𝑒
I= p =RP (II.3)
ƞ𝑣
Avec:
ƞ : le rendement quantique.
e : la charge de l’électron en [C].
h : la constante de Planck [J.S].
v : la fréquence optique du signal en [Hz].
R en [A/W] : est la responsivité du photo-détecteur.
𝛥𝑓 2
σ2TH = 4kBT × 𝐺𝑝𝐷 (II.4)
𝑅
Avec
La puissance de ce bruit ne varie pas avec la tension moyenne V. Il est donc le bruit dominant
à basse tension et donc à basse puissance optique.
31
Chapitre II : L’encodage spectral
2
𝜎𝑆𝑁 = 𝑒. 𝛥𝑓. 𝑉. 𝐺𝑃𝐷 (II.5)
Avec :
Ce bruit est dû à la nature quadratique de la détection. Or, le signal émis par une source
thermique large bande est la somme d’une infinité de champs électriques dont l’amplitude et
la phase sont aléatoires. Cela engendre des fluctuations aléatoires sur la valeur de V puisque
des termes de battement entre les différentes composantes fréquentielles sont crées.
Dès que la puissance optique moyenne P (et donc V) augmente, le bruit d’intensité sera le
bruit dominant.
Le bruit d’intensité est proportionnel à V2, il augmente aussi rapidement que la puissance du
signal utile. Il en résulte une saturation des performances.
32
Chapitre II : L’encodage spectral
Une séquence bipolaire (antipodale) est définie comme étant une suite dʹimpulsions pouvant
prendre deux états distincts (+1 ou ‐1) par rapport à un niveau de référence transmis.
Lʹutilisation de ces codes bipolaires dans un système CDMA, optique ou radiofréquence, est
déterminée par leurs propriétés dʹauto et dʹinter-corrélation, tant pour les systèmes synchrones
que pour les systèmes asynchrones.
Les conditions posées sur les propriétés de corrélation permettent de contrôler, voir de
minimiser, lʹeffet des interférences dʹaccès multiple (IAM) sur le taux dʹerreurs binaires
(TEB), aussi appelé Bit Error Rate (BER), à la réception.
Les séquences de type bipolaire ʺWalsh‐Hadamardʺ, ʺPseudo Noiseʺ (PN) ou ʺGoldʺ, sont les
principaux exemples qui prennent en compte, dans leur construction, tout ou partie des
conditions et limites posées sur les propriétés de corrélation [15-16].
Le premier critère de sélection de séquences, comme signatures pour le codage dans les
systèmes CDMA, est leurs propriétés dʹauto et dʹinter-corrélation. Définissons, en premier
lieu, les fonctions de corrélation et les critères dʹorthogonalité. Soient x et y deux séquences
distinctes, les fonctions dʹauto et dʹinter-corrélation, AC X et CC X ,Y sont respectivement,
définies par l’équation (II.6) :
𝑇
ACX (𝜏) =∫0 𝑥(𝑡)𝑥(𝑡 − 𝜏)𝑑𝑡 𝝉 étant la durée dʹun bit transmis
𝑇
CCX,y (𝝉) = ∫0 𝑥(𝑡)𝑦(𝑡 − 𝜏)𝑑𝑡
Les séquences de Walsh‐Hadamard sont parmi les structures orthogonales les plus simples à
construire. Une séquence de code est représentée par les lignes de la matrice de Hadamard.
Une fonction de Walsh dʹordre n peut être définie, récursivement, par :
𝒏 n
w( ) w( )
W(n)= ⌊ n𝟐 2
n ⌋
w( ) −w( )
2 2
33
Chapitre II : L’encodage spectral
1 1
-W représentant le complément logique de W et W(1) = 1 et w(2) =⌊ ⌋. Les codes
1 −1
sont donnés par les lignes de la matrice.
1 1 1 1
𝑊(4) = [1 −1 1 −1 ]
1 1 −1 −1
1 −1 −1 1
(a) (b)
34
Chapitre II : L’encodage spectral
Les codes optiques orthogonaux (OOC) ont été présentés en 1989 par Salehi & al afin de
résoudre les problèmes rencontrés par lʹutilisation, dans le domaine optique, de séquences
bipolaires et de système à détection cohérente [17].
Les OOC font partie de la famille des séquences dites ʺunipolairesʺ, cʹest à dire de signaux
composés dʹimpulsions pouvant prendre uniquement les deux valeurs : ʺ1ʺ et ʺ0ʺ. Afin de
pouvoir distinguer les impulsions longues qui constituent le signal informatif et celles qui,
plus courte, composent une séquence de code, les premières seront appelées ʺbitsʺ
dʹinformation alors que les secondes seront nommées ʺchipsʺ
Une famille de codes unipolaires est définie par la longueur de la séquence notée L
représentant son nombre de chips, par le poids du code w indiquant le nombre de chips de
niveau ʺ1ʺ dans une séquence de code et par la capacité de multiplexage K représentant le
nombre dʹutilisateurs qu’il est possible de multiplexer en utilisant cette famille de séquences.
35
Chapitre II : L’encodage spectral
Les codes OOC prennent en compte ces deux propriétés lors de leur construction. Si l’on
considère deux séquences x et y représentant les mots de code utilisés par deux utilisateurs
distincts, les conditions précédentes sont validées si les deux équations (II‐7) et (II‐8) sont
satisfaite.
𝑤 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙 = 0
|λCx,x(l) = |∑𝐿𝑛=1 𝑥n xn+l| = {≤ 𝜆𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 1 ≤ 𝑙 ≤ 𝐿
(II.7)
Comme pour les OOC classiques, les codes optiques orthogonaux ʺstrictsʺ ont pour
caractéristiques la longueur de la séquence de code L, le poids du code wla capacité de
multiplexage N, le niveau de la corrélation dʹune séquence de code avec cette même séquence
décalée en temps λa et enfin λc représentant le niveau de corrélation de deux séquences
distinctes. Les valeurs de λa et λc ne dépassent pas 1. Par convention, nous considérerons
quʹun code OOC ʺstrictʺ peut sʹécrire sous la forme Cs (K, L, w, λa, λc)
La construction des codes OOC ʺstrictsʺ est basée sur le contrôle précis de la position de
chaque chip dans une séquence de code donnée. La position de ce chip dépend de celle des
autres chips à 1 de la même séquence, ainsi que des positions des chips à 1 des séquences de
code appartenant à la même famille.
36
Chapitre II : L’encodage spectral
(a) (b)
Les codes ZCC ont été obtenus pour la première fois à partir des codes MDW (Modified
Double Weight). Il existe plusieurs méthodes de constructions [8-9].
37
Chapitre II : L’encodage spectral
Méthode de construction :
Plusieurs méthodes ont été proposées [8-13], parmi eux en la méthode proposée dans [14].
Codage espace :
Cette étape consiste à construire une matrice ZCC (k2 ×L), on utilise une méthode basée sur
l’algorithme dit BIBD (Balanced Incomplete Block Design), la longueur du code L est un
nombre premier, ce qui nécessite l’utilisation des racines primitives (voir annexe A).
L’algorithme ci-dessus a été adapté pour être appliqué à la construction de la matrice des
codes ZCC comme suit:
𝐿−1
K≤⌊ ⌋ (II.10)
𝑊
𝐿−1
Ou ⌊ ⌋ est l’opérateur qui prend la partie entière d’un nombre par valeur inférieure.
𝑊
Ou {𝑝i-1 + 1}, {𝑃K+ i- 1 +1}, {𝑃( 2 × K ) + i -1 + 1}……{𝑝((w – 1 ) ×k ) + i – 1 +1} sont les positions des
‘1’ dans le codes. La matrice des codes est:
38
Chapitre II : L’encodage spectral
Etape a :
6
K≤⌊ ⌋ donc le nombre d’utilisateur est 3
2
Étape b :
Pi j = {( 3 0 + 0×3 ) mod 7 }
30mod 7= 1
33mod 7= 6
31 mod 7= 3
34 mod 7=4
32mod 7= 2
35mod 7= 5
C’est pourquoi, d’autres familles de codes appelés bidimensionnels (2D) ont été
développées. Ces codes utilisent l’étalement des données dans deux domaines simultanément,
ce qui permet d’atténuer les contraintes sur les paramètres des codes [4].
Plusieurs études ont été menées sur le codage 2D, parmi eux en cite [4]:
39
Chapitre II : L’encodage spectral
plusieurs longueurs d’onde, à des instants différents spécifiques à chaque longueur d’onde.
L’intérêt de ce codage en 2D est qu’il utilise l’étalement des données dans deux domaines
simultanément, à la fois un étalement temporel et un étalement spectral (ou en longueur
d’onde). Ce qui permet d’augmenter le nombre d’utilisateurs possible dans la famille de code,
et permet également de diminuer les contraintes sur la longueur des codes, sur le nombre de
codes disponibles ainsi que sur les performances du système en terme de Taux d’Erreur
Binaire (TEB) pour un nombre d’utilisateurs actifs donné (voir la Figure ІI.13)
Si un code utilise l’étalement spectrale (longueur d’onde) et l’autre utilise l’étalement espace,
on parle alors du codage (W/S). En fait un démultiplexage de la bande passante fournie par la
source optique à K longueurs d’ondes qui représente le premier encodage pour effectuer le
deuxième encodage a chaque branche de démultiplexeur en place un splitter pour split chaque
longueur d’onde à M copies, puis en couple de chaque longueur d’onde une copie avec un
coupleur et les transmettent dans une fibre optique et ainsi de suite pour chaque utilisateur.
A la réception les signaux issus des différents coupleurs sont passés à travers K*M branches,
chaque contient une partie décodage, un filtre optique, et d’autre de détection, photo
détecteur…
. L’inconvénient de ce codage est que l’émission des codes sur différentes longueurs d’ondes
et dans différents fibres optiques nécessite une infrastructure très complexe (Voir la Figure
ІI.14).
40
Chapitre II : L’encodage spectral
Les deux composantes de polarisations orthogonales Pour chaque longueur d’onde du signal
en polarisation sont ensuite modulées puis recombinées à l’aide d’un second PBS encore
appelé PBC (Polarisation Beam Combiner). Par la suite nous noterons // et ┴ ces deux états de
41
Chapitre II : L’encodage spectral
42
Chapitre II : L’encodage spectral
Les codes proposés utilisent l’étalement spectral (longueur d’onde, l’espace et deux états de
polarisations. Le schéma de principe consiste a transmettre des longueurs d’ondes d’instinct
suivant deux état de polarisation orthogonaux et a travers plusieurs fibre optique (coupleur).
K= 2×( K1 × K2 ) (II.13)
Avec :
2 : l’état de polarisation
K1 : la longueur d’onde
K2 : espace
Les K code sont ensuite modulé avec les données de chaque utilisateurs, par la suite en
utilise les coupleurs pour la transmission.
43
Chapitre II : L’encodage spectral
perpendiculaire à l’aide PBC (Polarisation Beam Combiner). Après en insérer des photo-
détecteurs pour détecter la puissance reçue, c’est la détection directe, la puissance reçue est
ensuite convertie en un signal électrique. Après la conversion optique /électrique, des filtres
de Bessel passe bas fait office de filtre et de mise en forme afin de donner au signal une forme
qui facilitera l’opération de décision (voir les Figure II.19, 20,21).
44
Chapitre II : L’encodage spectral
45
Chapitre II : L’encodage spectral
Conclusion :
Nous avons étudié dans ce chapitre la technique d’encodage spectral du système OCDMA,
cas de SAC OCDMA, avec la citation des méthodes d’encodage et de décodage SAC
OCDMA avec détection spectrale directe et détection balancée par la méthode
complémentaire.
Nous avons étudié aussi les différentes sources de bruits, les différents types de codes 1 D
et les propriétés nécessaires pour le choix de code dans un système SAC-OCDMA. Et par la
suite nous avons présentée les types d’encodages à deux dimensions (W/T, W/S,
W/P).finalement nous avons présentée Les codes optiques à Trois dimensions 3D
(W/S/P).après dans le chapitre qui s’est suit montre la correspondance entre la théorie et la
pratique pour un système SAC-OCDMA (3D) avec sources incohérentes. La littérature en
SAC-OCDMA comprend des validations expérimentales limitées, ou des analyses purement
théoriques. Un simulateur général est ensuite développé et est utilisé afin de prédire les
performances pour des systèmes optimisés.
46
Chapitre II : L’encodage spectral
[2] Benzerdjeb Choukri ,Selka Soufyane "encodage de l’amplitude spectral pour OCDMA"
mémoire de master en Photoniques Réseaux Optiques de Télécommunications, université
abou bakr belkaid – TLEMCEN, le 26 Juin 2013
[3] Garadi Ahmed, "Contribution à l’étude des codes optiques ZCC : Application au
système SAC-OCDMA", Thèse de Doctorat, Université Djilali Liabès de sidi-bel-abbes,
2015.
[4] Aberrou Aicha - khelif karima , "Codage ZCC en 2 Dimensions (W/P) pour Les
Systèmes de Communication Optique SAC-OCDMA" , mémoire De fin d’étude pour
l’obtention du diplôme Master en Télécommunication Option : Signaux et Systèmes,
université Dr. Taher Moulay Saida,2016
[7] Marhic, ME, "Coherent Optical CDMA Network ", J. Lightwave Technol, p895-864,
1993.
[8] M.S. Anuar, S.A. Aljunid, N.M. Saad, S.M. Hamzah, "New Design Of Spectral
Amplitude Coding In OCDMA With Zero Cross-Correlation", Optic. Commun, vol. 282,
pp.2659–2664, 2009.
[9] Garadi Ahmed, Ali Djebbari, "New Family Of Algebraically Designed Zero Cross
Correlation Codes For Use In CDMA Fibre", IJCSNS International Journal of Computer
Science and Network Security, vol.11, pp. 131-133, 2011.
47
Chapitre II : L’encodage spectral
[11] Stéphanie Castan, " Codage De Canal Pour Les Communications Optiques ", Thèse de
Doctorat, l’Université de Limoges, 2009.
[13] Djebbari. A, A. Garadi, Dayoub i, Taleb-ahmed, "A new code construction with zero
cross correlation based on BIBD", Optik, International Journal for Light and Electron Optics,
vol. 124, pp. 3419-3421, 2013.
[14] Dafa Seynabou, LOUM,"Transmissions radio haut débit multiservices sur fibres
optiques – Application à l'optimisation de la capacité utilisateurs en emprises de transport",
Thèse de doctorat, l’Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambresis, 2012.
[15] P. Gallion, ʺBasics of Digital Optical Communicationʺ, Undersea Fiber Systems, Edited
by J. Chesnoy, pp. 51‐93, Academic Press, NewYork, 2002. [16] I.Joindo et M.Joindo,ʺLes
télécommunications par fibres optiquesʺ, Dunod, 1996.
[17]J.A. Salehi, ʺCode division multiple access: Technique in optical fiber network – Part
I: Fundamental principlesʺ, IEEE Trans. on Com., vol. 37, n°8, pp 824‐833, aout 1989.
48
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
III.1 Introduction
La simulation numérique est une étape importante dans l’étude et la mise en œuvre des
systèmes réalistes de transmission. En effet, elle permet d’une part la validation des études
théoriques et d’autre part l’optimisation du système par l’analyse de l’impact des divers
paramètres sur les performances.
Nous présentons dans ce chapitre les résultats issus de la simulation en utilisant OptiSystem
7.0
Ensuit l’étude d’un system SAC-OCDMA on’ a simulé une chaine de transmissions optique à
l’aide de schémas à bloc, le logiciel OptiSystem 7.0 sera utilisé au cours de ce chapitre afin de
réaliser un system SAC-OCDMA 3D, avec détection direct (voir Figure II.10), pour 8
utilisateur actifs utilisant les codes ZCC, BIBD présentés dans le chapitre précédent.
Le schéma à blocs d’une liaison SAC-OCDMA sous le logiciel OptiSystem 7.0 est représenté
par la Figure III. 1
49
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
D’après la Figure III.2 le temps bit Tb =1.6 ns, donc le débit binaire de l’utilisateur 1 est
1 1
donnée comme suit: D= = = 622 Mbit/s
Tb 1.6×10−9
Pour générer la bande nécessaire, on utilise une diode électroluminescente LED fournissant
une bande de 4 nm (voir la Figure III. 2)
𝟏𝟓𝟓𝟒 𝒏𝒎+𝟏𝟓𝟓𝟖
λ𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 = = 1556 nm.
𝟐
50
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
La bande considérée est égale au paramètres « Sample Rate, paramètre spécifié dans le
logiciel ». Ce paramètre est calculé comme suit.
𝑐 𝑐
Sachant que λ =𝑓 ‘c’étant la vitesse de la lumière ⟹ f =𝜆
3 × 108
⟹ 𝑓max = = 193.05 THZ
1554 ×10−9
3 × 108
⟹ 𝑓min = = 192.55 THZ
1558 × 10−9
Donc :
𝑓max- 𝑓min= 0.5 THZ (Sample rate)
51
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
En utilisant cette valeur dans la fenêtre des paramètres de simulation représenter Figure III.4.
Le logiciel OptiSystem 7.0 fournit la bande souhaitée représentés sur la fenêtre des
paramètres de simulation.
On choisit une longueur de séquence de 128 bits contenant chacun 64 échantillons soit donc
8192 échantillons au totale.
e) Paramètres supplémentaires :
Afin que la simulation soit la plus proche possible de la réalité, certaines
contraintes doivent être prises en considération. Pour cela en a utilisé des
paramètres identiques à ceux existant dans le domaine de l’industrie :
Atténuation = 0.2 dB/km ;
Dispersion = 16.75 PS/nm /km ;
52
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Après la simulation on a deux copies de la bande passante de la source optique dans les
deux bras de polariseur, l’une dans le premier bras avec l’angle 90° et ce qu’on a remarqué
dans la Figure III.6 où la bande est suivant l’axe Oy, dans l’autre bras la bande est polarisée
avec 0° suivant l’axe Ox (voir les Figures, III.6,7).
53
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Figure: III.6 polarisation de la bande passante fournie de LED à 90° (suivant l’axe oy)
Deux démultiplexeurs optiques sont placés après le polariseur afin de partager la bande
Passante en deux longueurs d’ondes (L=2), donc nous devons disposés de deux ondes de
4𝑛𝑚
largeur de bande fixe égale à : Δ𝑣 = = 2 nm.
2
54
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
λ 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒 = 1556 nm
𝜆 min + 𝜆 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙𝑒
λ1 =
2
1554 𝑛𝑚+1556𝑛𝑚
λ1 = = 1555 nm
2
𝜆 max + 𝜆 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑚𝑒
λ2 =
2
1558 𝑛𝑚+1556 𝑛𝑚
λ2 = = 1557 nm
2
Après les calcules, on a entré les valeurs dans le logiciel (la fenêtre de démultiplexeur)
comme il est illustrés dans les Figures III.8
55
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Les deux bras de polariseur sont reliés avec deux démultiplexeurs, afin de
partager la bande en deux longueurs d’ondes 1555 nm et 1557 nm avec l’angle de polarisation
90° c'est-à-dire suivant l’axe oy (voir les Figures), et à 0° suivant ox (voir les Figures)
Figure III.10 Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à 90°( suivant l’axe oy).
Figure III.11 : Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à90° (suivant l’axe ox).
56
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Figure III.12 : Longueur d’onde sélectionnée 1557 nm polarisé à 90° (suivant l’axe oy).
Figure III.13 Longueur d’onde sélectionnée 1557 nm polarisé à 90° (suivant l’axe ox)
57
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Figure III.14 : Longueur d’onde sélectionnée 1555 nm polarisé à 0° (suivant l’axe ox).
58
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
59
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Le rôle du diviseur de puissance 1×6 est de copier le signal d’entrée en six versions à la
sortie. Ensuite chaque version identique est modulée avec une donnée binaire à l’aide d’un
modulateur externe. En fin, chaque donnée modulée passe à travers un coupleur bien
spécifier.
60
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
61
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
62
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
63
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
e. Bloc de modulation :
Les deux blocs, Le générateur PRBS (Pseudo Random Bit Sequence Generator) et le
générateur NRZ (Non Return to Zéro), délivre une séquence de bits de débit, Db =622Mbit/s,
de façon aléatoire avec une équiprobabilité entre les ‘0’ et les ‘1’ (P(0) = P (1)=1/2.
La signature spectrale est ensuite modulée avec la donnée binaire (voir la figure), et il faut
entrer les valeurs de ces paramètres avant la simulation Le résultat de signal émis par le
premier utilisateur est illustré dans la Figure III.26.
64
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
a) Coupleur :
Dans les systèmes optiques, les coupleurs permettent de distribuer le signal optique vers
plusieurs fibres ou inversement, acheminer le signal venant de plusieurs fibres vers une seule.
65
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Pour récupérer (détecter) le signal désirer on suit les étapes suivantes : 1. Décodage 1D
Espace : le signal de l’utilisateur désiré issus d’un coupleur bien spécifie (connaissance apriori
du coupleur connecté avec la partie émission de l’utilisateur désiré). 2. Décodage 1D
Longueur d’onde: se type de décodage est similaire à celle du système 1D SAC-OCDMA à
détection directe par l’utilisation d’un filtre optique autour de la longueur d’onde
sélectionné.
A l’entrée de branche de réception, des filtres optiques de Bessel sont insérés en parallèle
pour filtrer les longueurs d’onde souhaitées (voir la Figure III.31).
b. Le photo détecteur
A la réception, des photo-détecteurs sont insérés pour détecter les signatures spectrales reçus
de chaque utilisateur, c’est la détection directe, la puissance reçu est ensuite convertie en un
signal électrique. Le résultat de premier utilisateur est présenté dans la Figures III.32.
66
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Après la conversion optique/ électrique, des filtres de Bessel passe bas fait office de filtrent et
de mise en forme afin de donner au signal une forme qui facilitera l’opération de décision. La
fréquence de coupure de filtre est égale à : 𝑓𝑐= 0.75 × 𝐷𝑏= 0.75 × 622×106 = 466.5 Mhz.
c. Résultats et Discutions
Analyseur BER
Le bloc ‘BER analyser’ calcule le seuil de décision. ainsi ce bloc nous permet de visualiser
certaines courbes qui permettent d’évaluer le système tel que celle du BER, du facteur Q ainsi
que le digramme de l’œil. (Voir les figures III.33 ,34 ,35)
Le Seuil de Décision
Le bloc ‘BER analyser’ calcule le seuil de décision (voir Figure III.33). ainsi ce bloc nous
permet de visualiser certaines courbes qui permettent d’évaluer le système tel que celle du
BER, du facteur Q ainsi que le digramme de l’œil.
67
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Chaque bit contient 64 échantillons, chacun de ces échantillons aura une amplitude différente
au cours du temps bit. La Figure III.34 représente le signal électrique reçu.
La Figure III.34 illustre la variation du BER (log BER) durant le temps bit, le BER choisit
d’après la Figure III.33 est le minimum.
Le min BER = 10-11,98, log (min BER) ≈ 1,20105× 10-12 (voir Figure III.35). Cette valeur
est inferieure à 10-9 acceptée pour la transmission optique.
68
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Diagramme de l’œil
L’ouverture verticale du diagramme l’œil indique une bonne résistivité du système étudié au
bruit et l’ouverture horizontale indique la sensibilité à un décalage de l’instant
d’échantillonnage.
69
Chapitre III : Simulation du Système SAC-OCDMA 3D
Conclusion :
Dans ce chapitre, la simulation d’une chaine SAC.OCDMA 3D à été réaliser avec logiciel
OptiSystem 7.0 .avec un codage et décodage de trois dimension Polarisation /Longueur
d’onde / Espace à été réaliser pour 4 utilisateur actifs où on a utilisé les codes ZCC de
longueur 2 et de pois 1, Avec un débit binaire de 622 Mbits/s.
En premier lieu nous avons fais, les paramètres de simulation ont été définis après avoir été
calculés analytiquement, et par la suit les signaux à la sortie de chaque blocs de la chaine de
transmission ont été visualisés, puis la qualité de transmission à été mesuré par deux critère
de qualité : Le BRE et le diagramme de l’œil, prouvant ainsi le bon fonctionnement de la
chaine avec un taux d’erreur binaire largement inférieure à la norme acceptable 10-9.
70
Conclusion Générale
Conclusion Générale :
71