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Terminale S
Définition Variations
Une suite (un ) peut-être définie : un+1
✧ Si pour tout n, un+1 − un > 0 ou > 1, alors la
✧ de manière explicite : un(= f (n) un
suite (un ) est strictement croissante
u0 un+1
✧ de manière récurrente : ✧ Si pour tout n, un+1 − un < 0 ou < 1, alors la
un+1 = f (un ) un
suite (un ) est strictement décroissante
b b
b
b
b b
b
b
b b
b
b b
n b
n
1 1 √
Ex : lim = lim √ = 0, lim (−1)n n’existe pas Ex : lim n = lim n2 = lim n3 = +∞
n→+∞ n n→+∞ n n→+∞ n→+∞ n→+∞ n→+∞
y y
a
x
x
O
x → +∞ f (x)
f (x)
lim f (x) = −∞
↓ x→a
x>a
↓
ℓ ℓ
−∞
lim f (x) = ℓ
x→+∞ a←x
Si lim f (x) = ℓ, la droite d’équation y = ℓ est une Si lim f (x) = ±∞, la droite d’équation x = a est une
x→±∞ x→a
asymptote horizontale à la courbe de f en +∞ ou −∞ asymptote verticale à la courbe de f
lim ln(x) = +∞
x→+∞
1
lim = 0−
x→−∞ x
1
lim = 0+
x→+∞ x
1 lim ln(x) = −∞
lim = −∞ lim ex = 0+ x→0+
lim x3 = −∞ x→0− x
x→−∞
x→−∞
carré cube inverse exponentielle logarithme
Limites particulières
ex ex − 1 ln(x) ln(1 + x)
lim xex = 0 lim = +∞ lim =1 lim x ln(x) = 0 lim =0 lim =1
x→−∞ x→+∞ x x→0 x x→0+ x→+∞ x x→0 x
Tableau dérivée-primitive
Sous condition d’existence des fonctions :
√ 1
k xn x ex ln(x) cos(x) sin(x)
x primitive
dérivée
1 1 1
0 nx n−1 √ − 2 e x
− sin(x) cos(x)
2 x x x
√ u
u+v u×v ku un u eu ln(u) cos(u) sin(u)
v
dérivée primitive
u′ u′ v − uv ′ u′
u +v′ ′
u v + uv
′ ′
ku ′ ′ n−1
nu u √ ′ u
u e −u sin(u)
′
u cos(u)
′
2 u v2 u
Intégrale
x)
exp(
définie sur R 4 définie sur ] 0 ; +∞ [
à valeurs dans ] 0 ; +∞ [ à valeurs dans R
y=
3
b
e
x)
e0 = 1 2 y = ln( ln(1) = 0
1
e = e ≈ 2, 718 ln(e) = 1
1 b b
1
(ex )′ = ex b (ln(x))′ =
x′
(eu )′ = u′ eu −5 −4 −3 −2 −1
0
1 2 e3 4 5 u
(ln(u))′ =
−1 u
lim ex = 0+
x→−∞ −2 lim ln(x) = −∞
lim ex = +∞ x→0+
x→+∞
−3 lim ln(x) = +∞
x→+∞
Équations et d’inéquations avec des exponentielles Équations et d’inéquations avec des logarithmes
u, v sont des réels, λ est un réel strictement positif : u, v sont des réels strictement positifs, λ est un réel :
✧ eu = ev ⇐⇒ u = v eu = λ ⇐⇒ u = ln(λ) ✧ ln(u) = ln(v) ⇐⇒ u = v ln(u) = λ ⇐⇒ u = eλ
✧ eu > ev ⇐⇒ u > v eu > λ ⇐⇒ u > ln(λ) ✧ ln(u) > ln(v) ⇐⇒ u > v ln(u) > λ ⇐⇒ u > eλ
✧ eu ≤ ev ⇐⇒ u ≤ v eu ≤ λ ⇐⇒ u ≤ ln(λ) ✧ ln(u) ≤ ln(v) ⇐⇒ u ≤ v ln(u) ≤ λ ⇐⇒ u ≤ eλ
✧ eu ≤ 0 impossible et eu > 0 toujours vrai ✧ ln(u) ≤ 0 ⇐⇒ 0 < u ≤ 1 et ln(u) > 0 ⇐⇒ u > 1
Représentation graphique
partie imaginaire
b2
√ a2 +
i
|z |=
r=
θ = arg(z)
partie réelle
−a 0 −
→
u 1 a = r cos θ
M2 (−z) −b M1 (z)
n
✧ z × z′ = z × z′ ✧ |zz ′ | = |z| |z ′ | ✧ reiθ = rn einθ
z z
✧ = ′ ✧ arg(zz ′ ) = arg(z) + arg(z ′ ) [2π] 1 1
z ′ z n ✧ = e−iθ
✧ |z n | = |z| reiθ r
✧ z n = (z)n ✧ arg(z n ) = n arg(z) [2π] re iθ
r
✧ ′ iθ′ = ′ ei(θ−θ )
′
✧ z ∈ R ⇐⇒ z = z z |z| re r
✧ ′ = ′
✧ z ∈ i R ⇐⇒ z = −z z |z | ✧ reiθ = re−iθ
z
✧ z = 0 ⇐⇒ Re(z) = Im(z) = 0 ✧ arg ′ = arg(z) − arg(z ′ ) [2π]
z
Règles d’incidence
✧ Si une droite (d) est parallèle à une droite (δ) d’un plan P, alors la droite (d) est parallèle au plan P
✧ Si deux droites sont parallèles à une même troisième, alors elles sont parallèles entre elles
✧ Si deux plans sont parallèles à un même troisième, alors ils sont parallèles
✧ Si deux droites sécantes d’un plan P sont respectivement parallèles à deux droites sécantes d’un plan Q, alors les
plans P et Q sont parallèles
✧ Si deux plans sont parallèles, alors tout plan qui coupe l’un coupe l’autre et les droites d’intersection sont parallèles
✧ Une droite (d) est perpendiculaire à un plan P si elle est orthogonale à deux droites sécantes du plan P. Elle est alors
orthogonale à toutes les droites de ce plan. Un vecteur −
→n qui dirige (d) est un vecteur normal à P
✧ Théorème du toit : si une droite (d) est parallèle à deux plans sécants P et Q, alors (d) est parallèle à la droite (δ)
d’intersection de P et de Q
(δ)
Q (d)
(δ)
Q
(d)
(δ2 )
−
→
n
(d2 ) R Q
(δ1 ) P
P P (d)
P (d1 )
Vecteurs Coplanarité
−−→ −−→ −→ Des points ou des droites ou des vecteurs sont coplanaires
✧ Relation de Chasles
: AB + BC = AC
x = x ′
xB − xA s’ils sont inclus dans le même plan
−−→
✧ −
→u =− →
v ⇐⇒ y = y ′ ; AB yB − yA
z = z′ zB − zA
→
− p Équations de droites et de plans
2
✧ || u || = x + y + z2 2
Écriture vectorielle :
✧ −
→u et − →
v colinéaires ⇐⇒ − →
u = k−
→v ou −
→
v = k−→u −−→
→
− →
− →
− →
− →
− →
− ✧ AM = t− →u : droite passant par A de vecteur direct. −
→
u
✧ u , v , w coplanaires ⇐⇒ w = λ u + µ v −−→ →
− ′−
→
✧ AM = t u + t v : plan passant par A de vecteurs di-
recteurs −
→
u et −→
v non colinéaires
−−→ −
Produit scalaire ✧ AM . n = 0 : plan passant par A de vecteurs normal −
→ →n
Arbre de probabilité
P A (S ) S P (A ∩ S) = P (A) × PA (S)
A
P (S) =
PA (S ) S P (A ∩ S) = P (A) × PA (S)
A) P (A ∩ S) + P (B ∩ S) + P (C ∩ S)
P(
P B (S ) S P (B ∩ S) = P (B) × PB (S)
P (B) B
PB (S ) S P (B ∩ S) = P (B) × PB (S)
P(
C)
P C (S ) S P (C ∩ S) = P (C) × PC (S) P (S) =
P (A ∩ S) + P (B ∩ S) + P (C ∩ S)
C
PC (S ) S P (C ∩ S) = P (C) × PC (S)
Probabilités continues
Terminale S
Variable aléatoire à densité sur I Loi uniforme sur [ a , b ] Loi exponentielle sur R+
Fonction de densité sur I : fonction Notation : U [ a , b ] Notation : E(λ)
f continue et positive sur I telle que 1
f (t) = f (t) = λe−λt avec λ > 0
Z b−a
f (t) dt = 1 d−c P (a 6 X 6 b) = e−λa − e−λb
P(c ≤ X ≤ d) =
I Z b b−a P (X ≤ t) = 1 − e−λt
a+b
✧ P (a 6 X 6 b) = f (t) dt E(X) = P (X ≥ t) = e−λt
a 2
✧ P (X = a) = 0 PX≥t (X ≥ t + h) = P (X ≥ h)
1 1
✧ P (a 6 X 6 b) = P (a < X 6 b) = b−a E(X) =
λ
P (a 6 X < b) = P (a < X < b)
✧ P (X ≤ t)Z = 1 − P (X ≥ t)
0 a b
✧ E(X) = tf (t) dt
I
0
Théorème de Moivre-Laplace Loi normale centrée réduite sur R Loi normale sur R
✧ p ∈ ] 0 ; 1 [ et n ∈ N∗ Notation : N (0; 1) Notation : N (µ; σ 2 )
1 1 2
✧ Xn suit la loi binomiale B(n; p) f (t) = √ e− 2 t E(X) = µ et V (X) = σ 2
Xn − np 2π
✧ Zn = √ X suit la loi N (µ; σ 2 ) ⇐⇒
npq E(X) = 0 et V (X) = 1
X −µ
∀ α ∈ ] 0 ; 1 [, ∃ ! uα ∈ R+
∗ tel que
Z= suit la loi N (0 ; 1)
Pour tous réels a et b tels que a ≤ b : σ
P (−uα 6 X 6 uα ) = 1 − α
lim P (a ≤ Zn ≤ b) 1−α
n→+∞
Z b
1 t2 α α
= √ e− 2 dt 2 2
a 2π µ − 3σ µ−σ µ µ+σ µ + 3σ
µ − 2σ µ + 2σ
−uα 0 uα
P (µ − σ ≤ X ≤ µ + σ) ≈ 0, 68
P (−1, 96 6 X 6 1, 96) = 0, 95 P (µ − 2σ ≤ X ≤ µ + 2σ) ≈ 0, 96
P (−2, 58 6 X 6 2, 58) = 0, 99 P (µ − 3σ ≤ X ≤ µ + 3σ) ≈ 997
µ µ−a µ µ+a t µ
échantillon échantillon
Population entière de taille n Population entière de taille n
Proportion p fréquence f ? Proportion p ? fréquence f
Division euclidienne
Soit a ∈ Z et b ∈ N∗ , il existe un unique couple (q, r) tel que a = bq + r avec 0 ≤ r < b
Vocabulaire : a est le dividende ; b le diviseur ; q le quotient et r le reste
Nombres premiers
Un entier p supérieur ou égal à 2 est premier si et seulement si il admet exactement deux diviseurs : 1 et lui-même
Théorème fondamental de l’arithmétique : tout entier naturel supérieur ou égal à 2 se décompose de manière unique à
l’ordre des facteurs près en produit de facteurs premiers : on note p = pα1 α2 αn
1 p2 . . . pn
√
Critère d’arrêt : si n n’admet pas de diviseur premier p tel que 2 ≤ p ≤ n alors n est premier
PGCD, PPCM
L’ensemble des diviseurs communs à a et b admet un plus grand élément noté PGCD(a, b)
L’ensemble
des multiples communs à a et b admet un plus petit élément noté PPCM(a, b)
α α
a = p p ...p n
1 2 α PGCD(a, b) = pm1 pm2 . . . pmn
1 2 n 1 2 n
✧ Si alors où mi = min(αi , βi ) et Mi = max(αi , βi )
b = pβ 1 pβ 2 . . . pβ n PPCM(a, b) = pM1 pM2 . . . pMn
1 2 n 1 2 n