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Chapter 1
Elements of Data Communications: Analog and Digital
Chapter Outline
Learning Objectives
Chapter Summary
Five phases characterize the evolution of data communications over the past five decades: (1)
digitization, (2) expansion, (3) deregulation, (4) Internet as a common tool, and (5) pervasive
computing. Technology continues to change, altering our definition of what is meant by
“communications.” Data communications is a subset of telecommunications. Whereas
telecommunications involves such technologies as telephony and television, traditional data
communications is more concerned with the transmission of data between computers and
computer networks. In the transmission of data from one location to another, data are first
transformed using binary coding schemes. Binary coding schemes use the binary digits 0 and 1,
which are called bits, to represent data.
Data communications uses protocols, or rules, that establish how the communications occur.
There are many different types of protocols that fulfill different purposes and functionalities.
Protocols state how the data are to be formatted, how the format is to be interpreted, the rate at
which the data are to be transmitted, and whether communications between two devices can be
established. Protocols become established or defined through a standards process. Both formal
and informal standards exist. The trend is for standards to be open and publicly available for all
to use. There are numerous standards-setting bodies; many of them are nongovernmental, private
nonprofit organizations.
Networks have both physical and logical components—respectively, the hardware devices that
compose them and the software that drives them. Networks are also based on models. Two major
models used in data communications are the Open Systems Interconnection, or OSI, model and
the Transmission Control Protocol/Internet Protocol, or TCP/IP, model.
Keywords
ARPANET 4
Binary 6
Data communications 6
De facto standard 9
Deregulation 4
Digitization 3
Encoding scheme 7
Internet 5
IPv4 5
IPv6 5
Nonproprietary 9
Pervasive technology 5
Proprietary 3
Protocol 7
Standards 9
Telecommunications 6
Telemetry 5
Short-Answer Questions
1. What are open standards, and what, if any, are the advantages of such standards?
Open standards are a nonproprietary standard that establishes the essential rules, functionalities,
and operations a protocol must fulfill.
2. What is a protocol and why would one be used? Provide an example of a technological
protocol or a society-based protocol.
Protocols are the rules that determine how devices communicate. Language protocols, called
rules of grammar, make it possible for people who speak and read the same language to
understand one another.
Unlike de facto standards, formal standards are those standards that have been authorized by
either an officially recognized body or by law and regulation.
4. What are the five phases associated with the evolution of data communication networks?
An encoding scheme is a way of transforming one type of data or information into another.
8. What is telemetry?
Telemetry is the wireless transmission and reception of data for the purpose of remotely
monitoring environmental conditions or equipment parameters.
Answers for these three text elements will vary depending on what an individual student or study
group elects for these assignments. Assignments should be evaluated for relevancy, accuracy,
content, and appropriate use of language. The case study in particular lends itself to a small
group project.
Chapter 2
Networking Models: OSI and TCP/IP
Chapter Outline
Learning Objectives
Chapter Summary
Networks have both physical and logical components: the hardware devices that compose them
and the software that drives them. Networks are also based on models. Open architecture models
have some of the same advantages as open standards. Two major models used in data
communications are the open systems interconnection, or OSI, model and the transmission
control protocol/Internet protocol, or TCP/IP, model.
The two models share several characteristics, and each model is well established and accepted by
the data and telecommunications industries. One of the most important features they share is that
both models are based on the concept of layered architectures. A model is based on theory. The
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— Elle vous aime beaucoup, Nicolas Vladimirovitch. Peut-être vous
en dira-t-elle plus long. Peut-être ne vous dira-t-elle rien du tout… Elle
me fait l’effet de quelqu’un qui lutte avec soi-même. Le jour viendra où
la bataille sera terminée. Alors, nous verrons plus clair… Mais comment
vivra-t-elle dans cette ville maudite ? Si je ne suis plus là, je vous
demande de veiller sur elle. Ma femme, qui est excellente, n’a pas deux
idées claires dans la tête. Elle ne saura que décider, hésitera entre mille
projets et finalement ne fera rien. Si vous êtes ici encore, je vous la
confie. Vous l’emmènerez avec votre femme et vos enfants à l’étranger.
Il commençait à s’émouvoir et sa voix tremblait. Il fit un effort pour
se reprendre.
— Nous en reparlerons, dit-il, nous en reparlerons… Voulez-vous
être assez bon pour jeter une bûche dans le feu ? Je crève de froid.
Un quart d’heure plus tard, son humeur avait changé. Il avait bu un
petit verre d’une bouteille de cognac qu’il avait fait apporter pour
Savinski. Les bûches, rudement tisonnées, éclairaient la pièce de leurs
flammes vives. Et, comme Savinski prenait congé, le prince lui dit :
— Vous connaissez, je crois, le chargé d’affaires d’Espagne. Il faudra
me l’amener un jour… Oui, j’aurai à causer avec lui de certains plans
que je forme… J’ai voyagé en Espagne autrefois, avant mon mariage. Il
y a en Andalousie des femmes admirables… Ah ! ma jeunesse, et les
rues étroites de Séville, et l’odeur qui monte du pavé brûlant quand on
l’arrose !… Vous ne savez pas combien souvent j’y pense… Amenez-
moi l’Espagnol, n’est-ce pas ?
Lorsqu’il rentra chez lui, Savinski avait oublié tout ce qui n’était pas
Lydia. Ni la révolution, ni ses affaires, ni sa famille n’existaient à ce
moment pour lui. Elles avaient disparu comme un brouillard du matin
que le vent frais dissipe. Il vivait sous un ciel d’un bleu profond comme
les yeux de la jeune fille ; une lumière fraîche qui semblait être pour la
première fois au monde enveloppait toutes choses et leur donnait un
charme nouveau. C’était l’aube éclatante qui serait suivie d’un jour plus
beau qu’ils passeraient ensemble. Il cherchait à se rappeler les moindres
paroles qu’il avait entendues au cours de leur lente promenade. Il avait
fallu qu’elle fût bouleversée par l’émotion de la scène tragique dont ils
avaient été les témoins pour qu’elle lui dît d’une voix dont il sentait
encore vibrer en lui l’accent pathétique : « Ne m’abandonnez pas ! »
Certes non, il ne la quitterait pas. Il serait son ami de chaque jour, celui
sur lequel on peut s’appuyer. Un homme de cœur pourrait-il laisser seul
dans la tempête un être aussi charmant et aussi vulnérable ? Qui avait-
elle près d’elle ? Un père infirme qui ne quitterait plus son fauteuil de
malade ; une mère qui vivait dans un cercle étroit de pensées futiles et de
projets sans cesse changeants, incapable, du reste, comme son éternel
ami le général Vassilief, de comprendre quoi que ce fût à la situation
bouleversée dans laquelle elle se trouvait et qui, faute de pouvoir agir,
entraînerait les siens d’un cœur léger aux pires catastrophes. « Grâce à
moi, se dit-il, Lydia passera sans danger les quelques mois de la folie
bolchévique. Il ne s’agit que de gagner du temps. Du reste, à la première
menace sérieuse, nous franchirons la frontière… »
Il en était là de ses réflexions lorsqu’il arriva chez lui. Tout de suite,
il reprit contact avec la réalité. Son valet de chambre, Vania, qui était
depuis dix ans à son service, vint à lui une lettre à la main. Mais, avant
de la lui remettre, il lui dit avec embarras qu’il avait reçu de mauvaises
nouvelles des siens dans le gouvernement de Nijni Novgorod et qu’il
était obligé d’aller auprès d’eux. Il avait, du reste, trouvé pour le
remplacer auprès de monsieur, qui, sans doute, ne serait plus longtemps à
Pétrograd, une femme de chambre très sûre dont les maîtres avaient
quitté la Russie.
— Et quand pars-tu ? dit Savinski, qui avait compris tout de suite que
rien ne retiendrait Vania à la ville.
— Demain matin, barine, murmura le domestique.
— C’est bien, fit Savinski, tu as raison de quitter Pétrograd… Et le
cuisinier, me reste-t-il ?
— Il reste, dit Vania, il n’a où aller, celui-là. Il est d’ici.
Savinski prit la lettre. « Il a peur, se dit-il, il a peur comme tout le
monde, comme moi, du reste. Et il se sauve… Mais moi, je ne partirai
pas encore. »
Et la Fontanka ensoleillée, ses vieilles maisons peintes, les barges sur
le canal glacé, les arbres morts du Jardin d’Été passèrent sous ses yeux.
La lettre ne contenait qu’une ligne :
« A sept heures, au restaurant Donon, demander le cabinet retenu par
Rodionof. »
Elle était signée : « S. »