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2. In the context of psychology’s scientific method, variables are elements of research that:
A. can change.
B. cannot be depended upon.
C. are invalid due to fluidity.
D. remain constant.
Answer: A
Feedback: Step 1. Observing Some Phenomenon
Topic: Scientific Method
Bloom’s Level: Remember
Difficulty: Low
APA Learning Outcome: 2.2
3. Joaquin has been assigned a research project in his psychology class. He must observe student behavior
during a learning task and attempt to form a(n) _____, which is a broad idea that describes other ideas and how
they may be related.
A. theory
B. correlation
C. statistic
D. bias
Answer: A
Feedback: Step 1. Observing Some Phenomenon
Topic: Theories
Bloom’s Level: Apply
Difficulty: Medium
APA Learning Outcome: 2.2
Copyright © 2014 McGraw-Hill Education. All rights reserved. No reproduction or distribution without the prior written consent of McGraw-Hill Education.
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Chapter 2
Bloom’s Level: Remember
Difficulty: Low
APA Learning Outcome: 1.1
5. In the context of psychology’s scientific method, which of the following is true of a theory?
A. A theory explains relations between variables on a conceptual level.
B. A theory is an educated guess that derives logically from a hypothesis.
C. A theory cannot explain the occurrences of phenomena.
D. A theory cannot be used to make predictions about future observations.
Answer: A
Feedback: Step 1. Observing Some Phenomenon
Topic: Theories
Bloom’s Level: Understand
Difficulty: Medium
APA Learning Outcome: 1.1
6. Dr. Kate proposes that students find it difficult to return to their academic schedules after spring break.
Specifically, she predicts that every year there will be more student absences on the Monday following spring
break than on the Friday before spring break. The first statement describes the _____, while the second is the
_____.
A. design of the study; research method
B. theory; hypothesis
C. hypothesis; operational definition
D. prediction; procedure
Answer: B
Feedback: Step 1. Observing Some Phenomenon
Feedback: Step 2. Formulating Hypotheses and Predictions,
Topic: Scientific Method
Bloom’s Level: Apply
Difficulty: High
APA Learning Outcome: 2.2
7. In the context of psychology’s scientific method, a(n) _____ is an educated guess that derives logically from
a theory.
A. operational definition
B. fact
C. hypothesis
D. logical conclusion
Answer: C
Feedback: Step 2. Formulating Hypotheses and Predictions
Topic: Hypotheses
Bloom’s Level: Remember
Difficulty: Low
APA Learning Outcome: 2.2
8. Allie has developed a theory concerning test grades of high school students. She believes that there is a
strong causal relationship between students’ frequency of study and their grades in school. In the context of
psychology’s scientific method, in order to test her theory, Allie would first have to state a _____.
A. conclusion
B. bias
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Chapter 2
C. fact
D. hypothesis
Answer: D
Feedback: Step 2. Formulating Hypotheses and Predictions
Topic: Hypotheses
Bloom’s Level: Apply
Difficulty: Medium
APA Learning Outcome: 2.2
9. Ciara believes that working women are happier than women who do not work. She predicts that women who
work for at least ten years are more likely to have good mental health after the age of 50 years than women who
do not. She decides to test this prediction. In the context of psychology’s scientific method, Ciara’s prediction is
the _____ for the study she will conduct.
A. independent variable
B. operational definition
C. theory
D. hypothesis
Answer: D
Feedback: Step 2. Formulating Hypotheses and Predictions
Topic: Hypotheses
Bloom’s Level: Apply
Difficulty: High
APA Learning Outcome: 2.2
10. In surveys conducted by Gerald, many adolescents reported that they started smoking cigarettes because of
peer pressure. In observing adolescent groups, however, Gerald rarely sees adolescents offering each other
cigarettes or putting pressure on others to smoke. Gerald predicts that if he conducts further studies on this
topic, he will be able to prove that peer pressure is not the primary reason that adolescents start smoking
cigarettes. In the context of psychology’s scientific method, Gerald is basing his further studies on:
A. historical facts.
B. a hypothesis.
C. meta-analysis.
D. an operational definition.
Answer: B
Feedback: Step 2. Formulating Hypotheses and Predictions
Topic: Hypotheses
Bloom’s Level: Apply
Difficulty: High
APA Learning Outcome: 2.2
11. After careful observation, Dylan has stated a hypothesis that spending money on other people leads to
greater happiness than spending money on oneself. In accordance with the scientific method, which of the
following steps is Dylan most likely to take next?
A. He will evaluate the results of his experiment.
B. He will examine the prediction through empirical research.
C. He will conclude whether spending money on others can be a strong predictor of happiness.
D. He will publish the experimental results in a reputable journal.
Answer: B
Feedback: Step 3. Testing Through Empirical Research
Topic: Theories
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Mais l’éducation va renforcer cette tendance naturelle. En France
surtout, la classe moyenne élève ses enfants au-dessus d’elle-
même. Elle les entoure de plus de soins et de luxe qu’elle n’en a
connu. Elle fait de ses filles des poupettes pomponnées qui flattent
l’orgueil et les yeux. Elle en fait des objets d’amour et de vanité. Puis
on développe, avec une niaise légèreté, la coquetterie chez la petite
fille. On lui dit, les mains jointes ; « Oh ! comme elle a une jolie
robe ! » L’enfant se pavane et ces louanges lui deviennent si
nécessaires qu’elle les provoque au besoin : « Tiens, regarde
comme j’ai une jolie robe. » Ainsi le germe naturel est fécondé. La
coquetterie va se développer, emplir l’être.
Enfin, l’enfant grandit et l’influence du milieu va s’exercer à son
tour. Il s’agit désormais de briller aux yeux des rivales, de les égaler
ou de les éclipser. Et, pour triompher, la femme va désormais se
plier à la tyrannie délicieuse de la Mode.
Ah ! Tout ce qu’on peut, tout ce qu’on doit dire contre la Mode.
Elle fait appel à de bas instincts : la frivolité, la sottise, l’ostentation.
Elle traîne derrière elle toutes les défaillances. Combien de femmes,
conduites par la Mode, descendent jusqu’au crime, en tous cas
jusqu’à ce crime domestique de dépenser au-delà des ressources
du ménage ? La tentation des grands magasins a fomenté autant de
drames que l’alcool des assommoirs.
La Mode est détestable aussi lorsqu’elle apparaît, chez ceux qui
la lancent, comme une spéculation industrielle. Sous couleur de
caprice, elle force les femmes à des changements fréquents de
costumes, au grand profit de ceux qui vendent ces nouveaux
modèles.
La Mode est odieuse lorsqu’elle impose à la vanité féminine ces
colliers dont chaque perle représenterait pour une famille pauvre un
monde de bonheur.
Si l’on devait désespérer de l’intelligence des femmes, ce serait
en les entendant parler toilette. Comme elles prennent alors une voix
chaude, passionnée, unique ! Et n’est-ce pas à pleurer, lorsqu’on
rencontre une jeune femme qu’on a connu fine, cultivée, de ne
l’entendre plus parler que robe, de sentir toutes ses pensées
attachées à la robe ? N’est-ce pas attristant d’assister à la rencontre
de deux femmes, d’écouter leurs propos frémissants : « Vous avez
un chapeau exquis — le vôtre est délicieux. »
Et comme on mesure bien la colossale importance qu’une femme
attache à sa robe, lorsqu’on la voit entrer dans un salon avec un
nouveau modèle, toute troublée, les genoux défaillants, à la pensée
de l’effet qu’elle produit.
Ne doit-on pas désespérer de cette intelligence, lorsqu’on
évoque tous les excès de la Mode dans un passé bien court ? Oui,
on a vu des femmes qui devaient rester à genoux dans leur voiture à
cause de la hauteur de leur chapeau. On en a vu qui ne pouvaient
pas entrer dans cette même voiture, à cause de la largeur de ce
même chapeau. On a vu des femmes écrasées par une auto
qu’elles ne pouvaient pas fuir, tant leur jupe était entravée. On en a
vu crever des yeux et déchirer des joues avec leurs longues
épingles à chapeau. Et encore je ne parle pas des souffrances
qu’elles endurent, sous le corset, du haut de leurs talons. Ces sortes
de supplices sont si ridicules que nous les raillons chez les autres
peuples. Nous n’avons pas assez de sarcasmes pour le pied
atrophié des Chinoises ou l’anneau dans le nez des Peaux-Rouges.
Et cependant, cette mode, il faut la subir dans une certaine
mesure, pour plusieurs raisons. D’abord il faut la considérer comme
une nécessité sociale, presque aussi impérieuse que la nécessité de
se vêtir. Une femme qui s’affranchirait complètement de la Mode
nuirait à la renommée de son ménage. On le croirait ruiné ou tout au
moins en fâcheuse situation. La robe de la femme est le drapeau de
l’association conjugale. L’œil de ses amies excelle à déchiffrer l’âge
de ses vêtements. Si son chapeau, si son manteau datent, on croira
qu’elle n’a pas pu les renouveler. Et par une sorte de loi absurde et
inéluctable, il s’ensuivra une dépréciation de sa valeur sociale. Elle
tombera, sinon dans l’estime, au moins dans l’estimation de son
entourage. Pour se payer le luxe de garder tout au long de sa vie la
même forme de robe ou de chapeau, une femme devrait être
tellement riche et tellement généreuse, qu’on ne pût imputer ni à
l’avarice, ni à la gêne cette fidélité.
Il faut encore subir la Mode afin de plaire. Mais dira-t-on,
pourquoi faut-il plaire ? Pour bien des raisons. D’abord, la femme
doit plaire parce que c’est une de ses raisons d’être. Tout en elle
n’est-il pas fait pour séduire et charmer ? Le désir de plaire l’anime.
Qui n’a mesuré l’extraordinaire pouvoir d’un mot de louange sur une
femme ? Or, dans l’attrait qu’elle exerce, sa grâce et sa beauté
jouent un rôle important, et aussi la façon de servir cette grâce et
cette beauté. Pourquoi abandonnerait-elle ces légitimes moyens
d’action ? La femme recèle comme la fleur l’avenir de la race, elle a
droit aussi à la corolle.
Ensuite, plaire, c’est s’accroître. C’est marquer une conquête sur
la nature. C’est une acquisition sur la créature primitive. Et tous les
efforts des humains n’ont-ils pas toujours tendu à se cultiver, à se
perfectionner, à embellir la vie ? De ce point de vue, l’élégance est
un progrès. Une femme doit se parer, non pas pour être mieux que
les autres, mais pour être mieux qu’elle-même.
Une femme doit plaire encore dans l’intimité du foyer, pour garder
son prestige vis-à-vis de son compagnon d’existence. Fi de celles
qui se montrent trop volontiers en vieille robe de chambre ou en
savates éculées. Pour entretenir le culte, il faut parer l’autel.
Elle doit plaire, enfin, pour se défendre contre les attaques de
l’âge, pour s’affermir contre lui, pour reculer l’heure du déclin. Souci
pathétique, digne de respect et de pitié.
Donc, il faut plaire. Or, la femme ne peut plaire que dans les
lignes auxquelles nos yeux sont accoutumés. Feuilletez un album de
gravures de modes. Celles qui datent de cinq ans nous paraissent
surannées, touchantes et comiques. On s’écrie : « Comment les
femmes ont-elles pu avoir des manches pareilles ? » Le regard
oublie aussi vite qu’il s’habitue, en matière de costumes. En
s’écartant de la mode, on s’enlève des chances de plaire. Force est
donc de la suivre.
Mais il faut le suivre de loin, et non point jusque dans ses excès.
Il faut s’en inspirer, lui prendre ce qu’elle a de gracieux. Il ne faut pas
qu’une femme, dans la rage d’être à la mode, abdique son goût
personnel. Et le cas est fréquent. Telle mode avantage une femme,
telle autre mode la désavantage. Va-t-elle donc les suivre aussi
étroitement l’une et l’autre ? Non. Telle mode est fort coûteuse. Telle
autre l’est moins. Il faudra par conséquent, avant de les suivre,
consulter ses ressources. Il importe de garder, même sur ce terrain,
l’esprit de réflexion, d’examen, d’harmonie, nécessaire à tous les
actes de la vie.
De la discussion.
Éducation sexuelle.
Car c’est bien le point capital : il faut agir par progrès insensibles,
comme croissent les êtres, comme se lève l’aurore. On procèdera
lentement et on procèdera aussi naturellement. C’est-à-dire qu’on
lancera peu à peu des idées ou des mots que les convenances
réprouvent, mais qu’approuve la raison, en paraissant trouver cela
naturel, en les sortant le jour où pour la première fois l’occasion
opportune s’en présente dans l’entretien.
C’est le mystère jeté sur toutes les choses de la génération qui
leur a donné un goût de perversité. Dit-on à un enfant qui n’achève
pas sa phrase : « Voyons, accouche » ? Le mot lui paraît scabreux,
honteux même. Le mot lui eût semblé naturel comme la chose elle-
même, s’il n’avait pas été défendu, si ses parents l’avaient placé
dans la conversation, paisiblement, sainement, comme les mots
naître ou mourir.
C’est pour cet enseignement surtout qu’il ne faut pas monter en
chaire. Il n’est pas de pire méthode, pour un père ou pour une mère,
que d’initier leur enfant un jour avec solennité. Tout au contraire,
c’est l’œuvre lente par excellence.
Le Lycée.
Le Foyer.
J’ai dit ce que je pense du lycée. L’idéal serait l’instruction par les
parents, au moins jusqu’à la quinzième année. J’entends déjà leurs
cris : « Ils n’ont pas le temps ». Ce n’est pas mon avis. Que chacun
fasse son examen de conscience. Une demi-heure par jour suffirait
largement. Qui ne perd pas une demi-heure ? Les femmes, en
courses, en visites, en thés. Les hommes, au café, au jeu, ou chez
leurs maîtresses. On peut toujours trouver une demi-heure.
Une autre objection se dresse, assez comique. Un jour, je disais
à un de mes confrères, un écrivain très réputé, que j’avais entrepris
l’instruction de mon fils. Il m’interrompit, ingénument :
— Mais alors, vous avez dû tout rapprendre ?
Le mot est à double fond. Creusez-le. Vous y trouverez tout le
procès de l’instruction actuelle. Car enfin, si nous devons tout
rapprendre pour instruire nos enfants, c’est donc que nous avons
tout oublié. C’est donc que nos années de lycée ne nous ont servi à
rien ?
Pour les parents qui ne voudraient pas tirer leur science de leur
propre fonds, les cours par correspondance seront un guide
excellent. Certains manuels d’instruction au logis sont déjà conçus
dans un esprit lucide et pratique.
Et, je le répète, je crois beaucoup à l’enseignement par le livre,
pour celui qui s’intéresse à ce qu’il apprend. On peut approfondir,
creuser un sujet, revenir en arrière, méditer, mûrir. On n’est pas
talonné. Tandis qu’un professeur qui parle à trente élèves ne peut
pas s’occuper de chacun d’eux. Il va, il va. Il sème. Tant pis si sa
parole ne germe pas.
La Valise.
Comment apprendre.