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1.
Il est possible d’en déduire que :
1
Exercice 2
Les rentabilités attendues dans les différents états de l’économie sont reprises dans
le tableau suivant.
Tableau 1. Rentabilités attendues dans les différents états de l’économie
2. Le calcul des variances et des covariances est fondé sur les écarts entre les
rentabilités et leurs espérances mathématiques. Il est utile de calculer d’abord
les écarts par rapport à la moyenne pour les différents titres.
Tableau 2 Écarts par rapport à la rentabilité attendue
2
Des calculs similaires pour les autres paires de titres nous conduisent à la matrice
variance-covariance reprise dans le tableau suivant.
Tableau. Matrice Variance-covariance
Exercice 4
1. Si l’investisseur exprime son objectif en termes de rentabilité attendue, la
proportion de son épargne à investir dans la sicav choisie et le risque qui en
résulte sont donnés par :
3
Tableau 6.1. Proportions (sur la base d’une rentabilité attendue)
Remarquez que si A est choisie, l’investisseur empruntera pour investir un
montant supérieur à son épargne initiale.
2. L’investisseur choisira la solution qui minimise le risque c’est-à-dire la
sicav B.
3. Si l’investisseur exprime son objectif en termes de risque, la proportion à
investir dans la sicav choisie et la rentabilité attendue qui en résulte sont
exprimées par :
Exercice 6
1. La rentabilité attendue du portefeuille est :
4
Il s’agit d’une relation linéaire. L’ordonnée à l’origine de la droite (6 %) donne la
rentabilité attendue d’un portefeuille sans risque, composé des actions A et B. La
pente indique qu’un accroissement de volatilité de 1% s’accompagne d’un
accroissement de la rentabilité attendue de 0,2% (20 points de base).
2. La composition du portefeuille qui annule le risque est :
Supposons que le montant à investir soit de 100. Les proportions que nous venons
de calculer indiquent qu’il faut prendre une position à découvert sur B à
concurrence de 100 (emprunter des actions B pour une valeur de 100 et les vendre)
et investir 200 en actions A (les 100 de départ auxquels s’ajoute le produit de la
vente des titres B empruntés).
3. La rentabilité attendue du portefeuille sans risque est :
Figure 1
5
6