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Kr
Learning Objective: 1-1: Define and explain the nature of public policy.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: What Is Public Policy?
Difficulty Level: Medium
5. ______ refers to the institutions and political processes through which public policy
choices are made.
a. Government
b. Federalism
c. Policy analysis
d. Politics
Ans: A
Learning Objective: 1-2: Identify key concepts associated with the study of public policy.
Cognitive Domain: Knowledge
Answer Location: Government
Difficulty Level: Easy
6. Which of the following terms refer to deliberate critical thinking about the causes of
public problems and which policy choices make the most sense to address them?
a. policy outcomes
b. policy analysis
c. information context
d. deliberative government evaluation
Ans: B
Learning Objective: 1-2: Identify key concepts associated with the study of public policy.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: Policy Analysis
Difficulty Level: Easy
7. Which statement describes the primary reason that US policy making is characterized
by conflict over which policies to adopt?
a. Government officials, interest groups, and citizens promote their views about what to
do.
Kraft, Public Policy 7e
SAGE Publishing, 2021
8. Which of the following terms refers to the relationship between the national
government and the state and local governments?
a. collective action
b. bicameralism
c. political culture
d. federalism
Ans: D
Learning Objective: 1-2: Identify key concepts associated with the study of public policy.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: Government
Difficulty Level: Easy
10. ______ has been defined as “who gets what, when, and how” or the exercise of
power in making decisions of public policy.
a. Equity
b. Feasibility
c. Government
d. Politics
Ans: D
Learning Objective: 1-2: Identify key concepts associated with the study of public policy.
Cognitive Domain: Knowledge
Answer Location: Politics
Difficulty Level: Easy
Kraft, Public Policy 7e
SAGE Publishing, 2021
11. ______ are economic justifications for why government becomes involved in
societal problems.
a. Policy impacts
b. Policy subsystems
c. Market failures
d. Agenda settings
Ans: C
Learning Objective: 1-4: Examine the reasons for governmental involvement in public
policy.
Cognitive Domain: Comprehension
Answer Location: Economics and Market Failures
Difficulty Level: Easy
12. The main reason that government gets involved in addressing a public problem is to
______.
a. ensure continuity of externalities
b. conduct policy analysis
c. improve policy capacity of states
d. ensure that the general “public good” is maintained and protected
Ans: D
Learning Objective: 1-4: Examine the reasons for governmental involvement in public
policy.
Cognitive Domain: Comprehension
Answer Location: Economics and Market Failures
Difficulty Level: Easy
13. A recession is likely to affect the policies that Congress and the president adopt to
stimulate jobs. This is an example of which context affecting the development of public
policy?
a. economic
b. political
c. governing
d. social
Ans: A
Learning Objective: 1-3: Explain the different contexts in which public policy is made.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: Economic Context
Difficulty Level: Medium
14. During and after the Great Recession, various governmental entities proposed
policies to create jobs, increase the minimum wage, and regulate financial markets. This
flurry of policy making was likely a result of which context, affecting the policy-making
process?
a. economic
b. cultural
c. defense
Kraft, Public Policy 7e
SAGE Publishing, 2021
d. governing
Ans: A
Learning Objective: 1-3: Explain the different contexts in which public policy is made.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: Economic Context
Difficulty Level: Medium
16. The governing context affects how policy decisions are made. This context refers to
______.
a. the federal system and separation of powers
b. values, beliefs, and attitudes
c. conflicts, elections, and political parties
d. inflation and unemployment
Ans: A
Learning Objective: 1-3: Explain the different contexts in which public policy is made.
Cognitive Domain: Comprehension
Answer Location: Governing Context
Difficulty Level: Easy
17. The aging of the Baby Boom generation has led to growing interest in reform of
government programs such as Medicare and Social Security. Similarly, immigration
policy is in the spotlight because of the influx of immigrants to the United States. These
are examples of the ______ context influencing policy.
a. moral
b. social
c. political
d. governing
Ans: B
Learning Objective: 1-3: Explain the different contexts in which public policy is made.
Cognitive Domain: Application
Answer Location: Social Context
Difficulty Level: Medium
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pantalon. C’est le costume andalou, et Andalous ils sont presque
tous.
L’Andalousie est réputée pour ses toreros. Les courses de Séville
passent pour les meilleures d’Espagne. Là fut fondée en 1830 une
fameuse école de tauromachie sous la direction des illustres maîtres
Candido et Pedro Romano. C’est à Séville que Joaquim Rodriguez
inventa, voici cent ans, un coup fameux, but des études de toutes
les espadas : frapper le taureau de telle sorte qu’aucune goutte de
sang ne rougisse sa peau et qu’il meure comme s’il demandait grâce
en tombant sur ses genoux.
Une autre école célèbre formait de bonnes épées dans la vieille
ville andalouse de Ronda.
C’est aussi en Andalousie, en pleins champs, au milieu de
grands troupeaux de taureaux, que s’apprend le dangereux art.
On joue de la cape comme dans les courses ordinaires et l’on fait
avec des baguettes le simulacre de planter les banderilles ; un bâton
remplace l’épée. Les propriétaires des troupeaux, leurs femmes,
leurs filles assistent à ces « entraînements » sur des estrades
improvisées ou derrière de fortes barrières, quelquefois à l’ombre,
sous l’arche d’un pont. Il y a toujours quelques coups de corne, un
peu de sang répandu, ce qui procure des émotions dont raffole toute
vraie fille d’Ève, qu’elle s’appelle Mary, Marie, Meriem ou Mariquita,
qu’elle ait les yeux bleus, verts ou noirs. Quand les élèves se
sentent assez forts, ils s’essayent dans les petites villes et
bourgades ; les courses ont lieu sur une place publique, à défaut
d’une Plaza de Toros, et ce ne sont pas les moins émouvantes.
On barricade de planches les rues adjacentes, on dresse des
estrades, et croisées, balcons, toitures se garnissent de spectateurs.
Puis ils donnent des courses de novillos, jeunes taureaux de quatre
à cinq ans, plus faciles à tuer que les autres.
La meilleure époque est le printemps, quand l’animal est dans
toute sa fougue. Les courses, d’après ce que m’ont dit les toreros
eux-mêmes, seraient aussi intéressantes si l’on ne tuait pas, mais il
faut satisfaire la férocité du bas peuple. Quand on se laisse
surprendre par la nuit, on ne tue pas le taureau, l’effet serait
manqué ; on l’emmène par le procédé ordinaire et on l’égorge dans
le toril.
Les taureaux coûtent de 9000 à 10 000 réaux (2500 francs), les
novillos de 6 à 7000. Les chevaux sont fournis par un entrepreneur
qui reçoit de 15 000 à 20 000 réaux par course. Il doit en fournir
autant qu’il est nécessaire. C’est pourquoi il est de son intérêt de
faire resservir les blessés qui peuvent encore se tenir debout.
Après la course, il faut faire une visite au desolladero ; c’est là
qu’on écorche, et l’on procède rapidement à la besogne. La chair est
donnée aux hôpitaux ou aux troupes, à moins qu’un torero n’ait été
blessé ; alors elle lui appartient comme juste dédommagement.
XIX
L’ESCORIAL
JUPON
« Quand la Reine du ciel posa le pied sur le sol, c’est sur cette
pierre qu’elle le posa. » Il faut croire qu’elle était fatiguée du voyage,
car elle pesa lourdement.
Comme bien vous le supposez, les Tolédains furent
excessivement flattés de cette bonne visite. Mais dans l’impossibilité
de la lui rendre ils ont tenu à lui prouver leur gratitude, et par de
petits cadeaux entretenir cette amitié distinguée.
Dans une chapelle belle comme un rêve des Mille et une Nuits,
ils parèrent leur Vierge comme jamais sultan amoureux ne para
l’odalisque chérie. Ils lui achetèrent les plus riches écrins, la plus
somptueuse des garde-robes. Certaines de ces jupes sont chargées
de pierreries d’une valeur de plusieurs millions de réaux. A chaque
fête de l’année, on renouvelle sa toilette, on lui change de robe, de
diadème, de boucles d’oreilles, de bagues, de collier.
Le grand luxe des dames espagnoles consistant principalement
en bagues, il est tout naturel que la Dame du Paradis en soit
chargée.
Vous avouerez avec moi que les bons Tolédains ne pouvaient
mieux faire les choses et montrer plus décemment combien ils
étaient sensibles aux excellents procédés de la Mère de Dieu.
En m’extasiant devant cette splendide toilette, l’idée me vint de
demander si le trousseau était complet, si enfin en lui changeant de
robe on lui changeait aussi de chemise.
Le sacristain que j’interrogeai timidement me répliqua, indigné de
mon doute :
« Une chemise ! certainement elle a une chemise, et toute brodée
de fleurs d’argent.
— Ah !
— Oui, monsieur, et je vous prie de croire qu’elle est aussi propre
que le reste. »
Le reste ! quel reste ? Le fonctionnaire avait une mine si
rébarbativement dévote que je n’osai pousser plus loin mes
investigations.
A côté d’une aussi somptueuse Vierge, le pauvre Jésus fait triste
figure, sur sa vieille croix de bois, affublé de son jupon qu’on
change, j’espère, aussi quelquefois.
Que n’est-il venu rendre visite, comme sa mère, à la cathédrale
de Tolède !
Devant cet inconvenant jupon, je me suis remémoré le mot de
Diderot : « L’indécent n’est pas le nu, mais le troussé, » car il me
semble placé là tout exprès pour donner une furieuse envie aux
curieuses petites Espagnoles de le trousser pour voir ce qu’il y a
dessous.
Ce jupon, dont on affuble non seulement Jésus, mais les deux
larrons qui le flanquent, est un obstacle sérieux à l’investigation que
citait Fra Gabriele de Barletta, l’une des lumières de la chaire au
quinzième siècle, et dans les sermons macaroniques duquel la
Fontaine tira, dit-on, sa fable des Animaux malades de la peste.
Prêchant à Naples pendant un carême, il raconta aux dévotes
extasiées que la belle Samaritaine reconnut Jésus-Christ à trois
choses : son vêtement râpé, sa barbe blonde et sa circoncision.
Voilà qui était pousser un peu loin l’examen !
XXIII
LES BONNES LAMES DE TOLÈDE