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7. How you determine whether or not to believe a statistic you come across depends on what?
a. How the data were collected.
b. How the data were measured.
c. How the data were summarized.
d. All of the above.
ANSWER: D
FILL-IN-THE-BLANK QUESTIONS
9. is a collection of numbers or other pieces of information to which meaning has been
attached (such as your height in inches or your gender).
ANSWER: DATA
10. The we can attach to data and to the resulting conclusions depends on how well the
information was acquired and summarized.
ANSWER: MEANING (BELIEVABILITY, OR CREDIBILITY)
SECTION 2.2
12. What is one of the problems with news stories based on conference presentations?
ANSWER: THERE IS UNLIKELY TO BE A CORRESPONDING WRITTEN REPORT
BY THE RESEARCHERS AT THE TIME OF THE PRESENTATION, MAKING IT
DIFFICULT TO OBTAIN MORE INFORMATION.
13. One source of news stories about statistical studies involves in-depth research reports provided by
government and private agencies. Name one disadvantage of these types of reports.
ANSWER: THEY ARE NOT NECESSARILY PEER-REVIEWED OR CHECKED BY
NEUTRAL EXPERTS ON THE TOPIC.
14. Suppose you hear a news story about a Harvard University study on teenage binge drinking and
you want to find out more information. Who or what source can you contact (besides the writer of
the news article)?
ANSWER: THE NEWS OFFICE OF THE LEAD RESEARCHER’S INSTITUTION; OR
THE JOURNAL ARTICLE THAT THE RESEARCH ORIGINALLY APPEARED IN (IF
ONE IS MENTIONED); OR THE LEAD RESEARCHER.
16. How do reporters find stories based on statistical studies in their areas of interest?
a. Routinely reading scholarly journals.
b. Attending academic conferences.
c. Watching for government reports.
d. All of the above.
ANSWER: D
17. Which of the following would give a news reporter the best and most comprehensive foundation
for a news story involving a statistical study?
a. A press release gives everything they need because it’s written just for them.
b. Another newspaper article written by a competitor.
c. An article in a peer-reviewed scholarly journal, accompanied by a press release.
d. A conference presentation given by the researchers themselves.
ANSWER: C
18. Which of the following would not necessarily be considered a good source for a news story?
a. A peer-reviewed journal
b. A government report
c. A press release
d. Another newspaper story
ANSWER: D
FILL-IN-THE-BLANK QUESTIONS
19. A(n) summarizes the information from a study so that journalists don’t have to be as
versed in the technical aspects of the research to write a good story.
ANSWER: PRESS RELEASE
20. Every academic discipline holds a(n) , usually annually, in which researchers can
share their results with others. Reporters routinely attend them to look for interesting news stories.
ANSWER: CONFERENCE
SECTION 2.3
HOW TO BE A STATISTICS SLEUTH: SEVEN CRITICAL
COMPONENTS
22. Explain why it is important to find out not only who conducted a study, but also who funded the
study.
ANSWER: IF THE STUDY WAS FUNDED BY AN ORGANIZATION THAT WOULD
LIKELY HAVE A STRONG PREFERENCE FOR A CERTAIN OUTCOME, THERE
MAY BE A CONFLICT OF INTEREST THAT COMPROMISES THE RESULTS. YOU
MUST BE SURE PROPER SCIENTIFIC PROCEDURES WERE CONDUCTED.
23. In the case of a cola taste test, explain why it is important that both the researchers and the
participants be blind as to which brands are which.
ANSWER: ANY CLUES MIGHT BIAS THE RESPONDENTS TO CHOOSE THE
BRAND THAT (THEY THINK) THE RESEARCHERS WANT THEM TO CHOOSE.
24. Give an example of how the timing of a survey can easily bias the results of a study.
ANSWER: ANY ACCEPTABLE ANSWER OK. EXAMPLES: A SURVEY ASKING
OPINIONS ON GUN CONTROL IMMEDIATELY FOLLOWING A SCHOOL
SHOOTING INCIDENT; EMPLOYMENT SURVEY QUESTIONS ASKED IN A
TELEPHONE SURVEY GIVEN BETWEEN 9AM AND 5PM DURING THE WEEK.
26. Why is it important to know how the individuals or objects in a study were selected?
a. It is important to know to whom the results can be extended.
b. It is important for determining whether or not there is bias in the results.
c. Both a) and b) are true.
d. It is not important to know how the individuals were selected; only the size of the sample
matters.
ANSWER: C
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garçon boucher sont-ils seuls à porter au côté l’instrument de leur
profession, l’un le sabre et l’autre la pierre à affûter ? On reste
stupéfait de la vénération qui s’attache aux emblèmes honorifiques.
Pourquoi des hommes inspirent-ils plus de respect en s’enveloppant
les jambes dans l’unique fourreau d’une robe que dans les deux
fourreaux d’un pantalon ? Passe-t-il un enterrement ? Stupeur
nouvelle. Bien qu’ils aient l’horreur et l’effroi de la mort, les hommes
la saluent comme une amie et les femmes l’honorent du même signe
que leur dieu. Tous tolèrent, bien qu’ils cherchent à l’écarter de leur
pensée, qu’elle s’impose en spectacle, conduite par un cocher à
silhouette de polichinelle, entourée de déguisés macabres, suivie
d’une foule où tout choque, la douleur vraie qui s’exhibe, et
l’indifférence qui se masque mal.
Ainsi, qu’on lise un journal, un livre, ou qu’on observe la vie de ce
regard dépouillé, nos mœurs ne cessent pas de surprendre. Leurs
lois apparaissent incohérentes, mettant ici de la honte sur une
maladie, là de la gloire sur le massacre, parfois aussi injuste dans
leurs pudeurs que dans leurs enthousiasmes, dans leurs sévérités
que dans leurs indulgences, dans le choix de leurs victimes
innocentes que dans celui de leurs héros malfaisants.
C’est pourquoi un rigoureux examen s’impose, devant l’amas des
coutumes, énorme bric-à-brac hérité d’un passé proche ou lointain,
où se côtoient l’excellent et le pire, le robuste et le vermoulu, le
grotesque et le charmant. Autant il importe de conserver, de
consolider les bons usages, autant il est juste de travailler à détruire
les mauvais.
La vie en souplesse.
L’inutile tristesse.
Le « plan du réel ».
« Mais, en montrant aux enfants la vie telle qu’elle est, vous allez
en faire d’affreux petits sceptiques, des pessimistes féroces et
recroquevillés ! » Telle est l’objection qui se dresse contre cette vue.
Elle ne me paraît pas fondée. L’éducation au foyer permet le tact, la
mesure, la prudence, l’art patient des préparations. Par elle,
l’adolescent ne sera-t-il pas mieux initié aux réalités que par le choc
brutal de ces réalités mêmes ? Et puis, à tout prendre, si l’existence
doit lui réserver des étonnements, ne doit-on pas préférer, à la triste
surprise des désillusions, la surprise heureuse de découvrir ce qu’il y
a — malgré tout — de joli, d’élégant dans la vie ?
S’il était bien entendu, bien admis, que la discrétion humaine est
toujours relative, qu’elle n’est jamais absolument étanche,
imperméable, on n’aurait pas de déception chaque fois qu’on
apprend une indiscrétion.
Et, de plus, on ne confierait à personne ce qu’on ne veut
absolument pas divulguer.
Le déterminisme.
Être déterministe c’est, surtout, croire que nos actes, que nos
paroles, sont déterminés par des influences qui s’exercent sur nous,
des réactions qui se développent en nous, mais dont nous ne
sommes pas maîtres, pas plus que nous ne sommes maîtres des
phénomènes de notre vie physique. Toutes ces forces se combinent,
se composent, aboutissent à une résultante, qui est notre acte ou
notre parole. Notre conscience enregistre cette délibération, mais ne
la dirige pas. Si j’analyse le plus simple de mes gestes, saisir un
objet, marcher vers un but, je vois que j’obéis à un ensemble de
sollicitations que je n’ai pas provoquées spontanément.
Au moment où nous croyons prendre librement une résolution,
toutes ces voix intérieures ont déjà délibéré, conclu à cette décision.
Nous n’avons que l’illusion de la volonté. La sphère mentale est un
véritable parlement, où les instincts se groupent, délibèrent,
expriment enfin, par un vote décisif, la volonté de l’organisme tout
entier, comme le vote parlementaire exprime la volonté nationale.
Même dans notre langue usuelle, les mots trahissent ce travail
intérieur : on pèse le pour et le contre, on balance, on se résout, on
se détermine.
Les deux grands mots profonds des enfants sont : « Ce n’est pas
ma faute » et : « Je ne l’ai pas fait exprès ». Ils ont bien raison. C’est
tout le fond du déterminisme. Mais s’ensuit-il qu’il n’y ait pas de suite
à donner à leurs petits délits ? Et que cela les absolve et leur
permette de recommencer ? Cent mille fois non ! Voilà l’erreur des
gens qui prétendent que nous sommes libres de faire le bien et le
mal et qui accusent les doctrines déterministes d’être dissolvantes.
Pas du tout. Quand un enfant attrape la rougeole, ce n’est pas sa
faute. Il ne l’a pas fait exprès. On le soigne, pourtant. Eh bien, de
même quand il a commis une faute. On s’efforce d’en découvrir les
causes, d’en montrer les inconvénients, d’en éviter le retour.
On peut agir sur ses sentiments dans la mesure où l’on peut agir
sur son organisme. Il semble qu’on puisse soigner une crise morale
comme on soigne une maladie, en puisant dans le désir de guérir
l’énergie nécessaire à la cure. Les remèdes sont analogues dans les
deux cas. Les révulsifs, les dérivatifs, deviennent, dans la maladie
morale, les distractions qui détournent l’esprit de sa hantise et le
portent vers d’autres objets. Il y a des anesthésiants qui endorment
la sensibilité douloureuse, par exemple une saine fatigue, un labeur
acharné. Il y a l’opération, qui coupe court, comme l’absence, le long
voyage, le silence. Il y a l’homéopathie, qui combat le mal par le mal,
l’amour par l’amour… Il y a enfin la recherche des causes, qui
démontre parfois l’origine toute fortuite, la nature fragile de la crise et
qui permet de l’atteindre à sa source.
La loi d’équilibre.
La loi d’équilibre nous ouvre des vues consolantes. Car elle veut
que le bien et le mal se compensent. Ainsi, dans le monde
innombrable des plantes, il doit y en avoir autant de bienfaisantes
que de malfaisantes. Je crois qu’on n’a pas arraché aux simples
tous leurs secrets. Les hommes ont découvert des poisons végétaux
qui, en quelques secondes, amènent l’organisme de la santé à la
mort. La loi d’équilibre permet de prévoir qu’on découvrira, en
opposition avec ces toxiques, des toniques qui amèneront
instantanément à la santé un organisme au seuil de la mort. Non pas
des contre-poisons, mais de puissants révulsifs qui ressusciteront
l’individu près de succomber à un choc, un traumatisme, une
asphyxie.
De même, dans une autre direction, on peut prévoir que
l’équilibre se rétablira entre les villes et les campagnes. Avant qu’un
pendule ne prenne la verticale, il oscille à droite, puis à gauche. Ce
qui manque à une vie humaine, c’est le temps de voir le pendule
prendre l’équilibre. On n’assiste qu’à une oscillation.
Le Contrôle.