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EPIGRAPHE
DEDICACE
AVANT-PROPOS
exprimer combien nous leur sommes reconnaissants pour leur bonté et sens de
responsabilité qu’ils ont manifesté envers nous. Qu’ils trouvent particulièrement
l’expression de tout cœur, nos remerciements les plus sincères.
A toute ma grande famille LUMBURI, dont mes chers frères et sœurs, Deborah
LUMBURI, Yollande LUMBURI, Clarice LUMBURI, Papy LUMBURI, Auguy
LUMBURI, Gloria LUMBURI, Franck LUMBURI, Mike LUMBURI, Patrick
LUMBURI, Victor LUMBURI, Ornella LUMBURI, Rosie LUMBURI, Jénovic KA-
BANGE.
INTRODUCTION GENERALE
1. PRESENTATION DU SUJET
Depuis son origine au XVIIIème siècle, lorsque les jeunes aristocrates
britanniques complétaient leur éducation en visitant l’Europe (Grèce, Italie)1, Le
tourisme ne cesse de franchir des étapes pour devenir aujourd’hui l’un des secteurs
d’activités qui contribuent au développement des pays. Cette activité repose sur
l’attractivité des destinations, lesquelles résultent de plusieurs facteurs, notam-
ment le patrimoine, le paysage, l’agriculture, l’accessibilité, la convivialité, la so-
ciabilité, l’ancienneté et la qualité de l’offre qui dessinent la particularité de chaque
lieu sollicité.
1
Marc Boyer, Ailleurs. histoire et sociologie du tourisme, Paris, L'Harmattan, 2011, 304 p.
2
cette thématique afin de proposer des solutions concrètes dans le domaine touris-
tique.
2.2. OBJECTIF
L’objectif du présent travail consiste à sensibilise l’humanité à la protec-
tion de l’environnement pour lutter contre le réchauffement climatique de la pla-
nète. Vu que la RDC dispose du deuxième poumon de la planète qui regorge en son
sein 145millions d’hectares des forêts ; elle est l’un des piliers dans le domaine fo-
restier après le Brésil, d’où, le rôle majeur qu’elle joue sur le plan international
face à la protection de son environnement.
3. ETAT DE LA QUESTION
Nous ne sommes pas le premier à aborder le thème du réchauffement
climatique. Avant nous plusieurs auteurs se sont penchés sur la question et y ont
couché des multiples écritures.
2
Bruno ABEGG, Le tourisme face au réchauffement climatique, éd. CIPRA International, Paris, 2011 p.6
3
3
Jean-Paul CERON et Ghislain DUBOIS, Tourisme et changement climatique : relation à double sens, CNRS, INRA,
éd. Daumier, Marseille, 2003, p.2
4
Noël Le Scouarnec et Ludovic Martin, Effet du changement climatique sur le tourisme, Rapport du Giec sur les
changements climatiques de 1992, 1995, 2001 et 2007, consulté sur www.ipcc.ch, le 02 février 2021.
4
Alors, force est pour nous de constater avec quelle profondeur les auteurs
précités ont élaboré une étude qui retrace l’évolution de la dégradation climatique
causée principalement par le réchauffement climatique sous plusieurs aspects, et
même ils vont jusqu’à estimer ce que peut nous réserver l’avenir de notre planète
du point de vue climatique et le danger crucial que cela pourrait avoir sur le tou-
risme.
que des effets néfastes sur l’environnement, comme c’est le cas, entre autres du fait
que le reste des rayonnements solaires est absorbé par les divers composants de
notre planète (sol, océans, atmosphère, puis finalement réémis vers l'espace sous
forme de rayonnement infrarouge. Tout comme notre peau chauffe si on la met au
soleil, la surface de la Terre et l'atmophère chauffent lorsqu'elles sont exposées à
la lumière (en captant son énergie), et en retour émettent des infrarouges. Cepen-
dant, les gaz à effet de serre, qui avaient laissé passer la lumière sans encombre,
ont par contre la propriété d'absorber une partie de ces infrarouges. Ce faisant, ils
en récupèrent l'énergie et chauffent. Tout comme la surface de la terre, ils vont
dissiper cette énergie en émettant eux aussi des infrarouges, dont une partie re-
tourne vers le sol, le chauffant donc une deuxième fois après que le soleil l'ait fait
une première.
Cette interception de chaleur conduit donc ces gaz à effet de serre, en-
suite l'atmosphère basse (on parle de troposphère), et la surface de la Terre, à être
plus chaude que si le rayonnement infrarouge passait à travers l'atmosphère sans
être intercepté. Bien sûr, le système finit toujours par s'équilibrer, mais il s'équi-
libre avec une température de surface supérieure à celle qu'il aurait si ces gaz
n'étaient pas là.
Dans le même contexte, nous nous sommes intéressés aux travaux et mémoires
réalisés par différents chercheurs à plusieurs niveaux.
Karim AMATOURI, dans son mémoire de fin d’études dont le sujet avait
porté sur « l’intégration d’outils de prise en compte des changements climatiques
dans une évaluation environnementale stratégique », il suppose que l’évaluation
5
Jean-Marc JEANCOVICI, Le réchauffement climatique (le changement climatique) : réponse à quelques ques-
tions élémentaires, publié sur www.manicore.com, consulté le 10 mars 2021, à 23h00’
6
Anne-Cerise TISSOT, dans son mémoire de fin d’études qui a porté sur
« Le changement climatique en Bourgogne : analyse des impacts et des pistes
d’adaptation », elle affirme qu’au-delà des constats et des visions sur l’avenir,
l’adaptation au changement climatique pose la question de l’action et du rôle des
politiques publiques locales. En effet, la sensibilisation et l’accompagnement des
acteurs locaux sont des préalables à toute action d’envergure sur un territoire7.
6
KARIM AMATOURI, Intégration d’outils de prise en compte des changements climatiques dans une évaluation
environnementale stratégique, Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de maîtrise en sciences
appliquées (Génie civil), Université De mont-Real, décembre 2011, p.12.
7
ANNE-CERISE TISSOT, le changement climatique en Bourgogne : analyse des impacts et des pistes d’adaptation,
Mémoire de fin d’étude présenté dans le cadre d’études d’approfondissement : IDEA (Ingénierie de l’Environne-
ment, Eau, Déchets et Aménagements durables), Institut des Sciences et industrie de l’environnement, Bour-
gogne, 2011, p.13.
8
Morgane CECILE BRUNI, Le tourisme face aux changements climatiques : comment articuler une démarche de
durabilité ?, Mémoire de Master, Université NEUCHATEL, 2001, p.10
7
climatique. Toutefois, nous nous démarquons des auteurs précités, en ce sens que
nous abordons la question du réchauffement climatique et tourisme au sens large,
en mettant plus l’accent sur les conditions climatiques actuelles, et ce qu’elles peu-
vent présenter comme impact sur le tourisme à travers le monde et en RDC, plus
particulièrement.
4. PROBLEMATIQUE
Dans tous les pays du monde, le tourisme intervient dans la formation
du PIB à des degrés différents selon le choix sur le type à développer et selon les
ressources de chaque pays. Cependant, avec l’évolution du climat qui tend de plus
en plus au réchauffement, le secteur du tourisme se trouve en danger, dans la me-
sure où les lieux de destination sont susceptibles d’être impactés.
5. HYPOTHESE
L'hypothèse est une réponse présumée à la question qui oriente un tra-
vail d'enquête. Notre travail de recherche tâchera en effet d’infirmer ou de confir-
mer ces différentes hypothèses.
indirects ont été soulignés lors de la COP21. On peut signaler la montée des eaux
qui impacte la saison chaude touristique dans les îles et archipels, ou bien la fonte
des glaces en montagne. Les contraintes liées aux politiques d’atténuation des ef-
fets du réchauffement reviennent régulièrement dans l’actualité.
9
Bruno ABEGG, Op.cit., p.24.
10
Jean-Marc JANCOVICI, Op.Cit, p.8-19
9
6. DELIMITATION DU SUJET
7. METHODES ET TECHNIQUES
7.1. METHODES
Une méthode est un processus dynamique ou une démarche rationnelle
qui permet d'examiner des phénomènes, des problèmes à résoudre et d'obtenir des
réponses précises à partir d'investigations.
Vue le sujet faisant l'objet de notre étude, nous avons fait recours à la
méthode analytique. Cette méthode est définie comme étant une analyse systé-
mique de toutes les informations ainsi que les données récoltées. Cette méthode
nous a permis d'analyser des nombreuses données qui ont été recueillies grâce à
nos investigations.
7.2. TECHNIQUES
De plus, l'usage de la méthode, tout travail nécessité l'utilisation de
quelques techniques clarifiant la méthode utilisée. La technique clarifie la mé-
thode qui se situe au niveau mental, elle permet à tout chercheur qui veut mener
10
son étude en toute quiétude, à récolter toutes les données dont il a besoin et à les
traiter.
I.1.2. RECHAUFFEMENT
Selon le Dictionnaire Robert, ce concept désigne l’action de réchauffer,
de se réchauffer11.
11
https://www.lerobertdicoenligne.com, consulté le 04/06/2021 à 20 :30
12
Michelet, oiseau, 1856.p. 233
13
Carrel, l'homme, 1935, p. 271
14
Combaluzier. Introd. Geol. P. 155
15
https://www.lerobertdicoenligne.com, consulté le 05/06/2021 à 13 :14
12
I.1.3. CLIMAT
C'est d'où vient l'adjectif ''climatique '', par ailleurs le climat est le temps
météorologique moyen qu'il fait en un lieu ou une région. Il est donc caractérisé
par l'ensemble des paramètres météorologiques qui permettent de décrire le temps
qu'il fait : température, humidité, pression atmosphérique, précipitation, (quantité
et type), vent, nébulosité (quantité et qualité), en sont les principaux. Chacun de
ces paramètres est à son tour caractérisé par ses valeurs statistiques : moyenne,
fréquence, écart type, etc,..16.
On essaye ensuite de trouver des zones au sein des quelles ces différents
paramètres sont voisins, cela permet de définir un climat : océanique, continental,
méditerranéen, tropical sec, équatorial, montagne tempéré,... Dans ces conditions
lorsqu'on parle de modification du climat, on parle de l'évolution de l'ensemble de
ces paramètres, la température moyenne n'étant que l'un d'entre eux.
On sait par exemple que dans les régions tropicales et équatoriales, par-
ler de la température moyenne en un point, n'a pas beaucoup de sens, du point de
vue de la caractérisation du climat, si l'on ne l'accompagne pas de données sur le
régimes pluviométriques. De la même façon la qualité de précipitation dans cer-
taines villes sont à peu près identiques, par contre le climat de ces villes est diffé-
rent, si l'on tient compte de la distribution dans le temps des dites précipitations.
Dans ces conditions il est bien évident que lorsqu’un climatologiste parle
de réchauffement climatique de la planète. C'est qu'il donne un des paramètres et
il sous-entend que les autres paramètres vont aussi se modifier. En particulier les
variations dans l'occurrence des phénomènes extrêmes : vague de chaleur, de froid,
de précipitions, cyclone et tempêtes tropicales,... Font partie des paramètres aux-
quels le climatologiste s'intéresse. Pour illustrer ce propos, il faut rappeler le GIEC
est le groupe inter gouvernemental d'expert sur l'évolution du climat et non sur le
réchauffement de la planète.
16
Myrto Tripathi, La Bataille pour le climat, Genèse Edition, 6 Novembre, 241, p.
13
I.1.4. TOURISME
La définition du tourisme s'avère problématique eu regard aux difficul-
tés qui proviennent du phénomène touristique lui-même et notamment aux insuf-
fisances des instruments de mesure disponibles. Toutefois, des progrès récents ont
permis d'améliorer sensiblement son appréhension. En tant que phénomène hu-
main, le tourisme est riche, complexe et polyvalent et considéré comme secteur
principal dans l'économie.
« Visiteur » : toute personne qui se rend dans un pays autre que celui où
elle réside, pour toute autre raison que celle d'y exercer une profession rémunérée.
Dès lors, elle définit le touriste comme « toute personne qui se rend dans
un pays (tourisme international) ou dans un lieu situé dans son pays de résidence
17
Recommandées par la conférence des Nation Unies sur le tourisme, réunie à Rome en 1963 ( www.wold-
tourism.org ) HADDAD N. / FSEGT /06-2005
18
O.M.T (Organisation Mondiale de Tourisme) Préface du livre de G.Guibilato (1983), « Economie touristique »,
Ed.Delta-Spes, Berne, Collection hôtelière et tourisme, 183 Pages.
14
(tourisme intérieur), mais autre que celui correspondant à son environnement ha-
bituel et dont le motif principal de visite est autre que celui d'exercer une activité
rémunérée dans le lieu visité ».
19
Préface du livre de G.Guibilato (1983), « Economie touristique », Ed.Delta-Spes, Berne, Collection hôtelière et
tourisme, 183 Pages.
20
GUIBILATO.Gérard, 1983, Economie touristique, Editions DELTA&SPES, P10.
21
G.CAZES, 1989, Le tourisme international Mirage ou Stratégie d'avenir, Edition HATEIR, P7.
15
a) Son ampleur
22
GUIBILATO.Gérard, 1983, op cit, P13.
16
b) Sa progression rapide
23
Guibilato.Gérard (1983), Economie Touristique, Ed Delta&Spes.
24
Files:// : \tourisme\les Sommets du tourisme troisième sommet les actes Klaus Weiermair...
17
GUIBILATO nous dit que si chacun s'accorde plus ou moins sur la défi-
nition "statistique" du touriste, avec ses paramètres de déplacement, de durée et
de mobile de séjour, "aucune définition lapidaire du tourisme, par contre, ne donne
totale satisfaction"26. C'est pourquoi, selon ce dernier, en raison de la complexité
du phénomène touristique, il faut également considérer une approche pluridisci-
plinaire globale qui replace le tourisme dans son contexte socio- économique. II
cite, comme exemple de cette démarche, KASPAR (2) qui se fonde sur la théorie
des systèmes pour mettre en évidence les diverses dimensions du phénomène tou-
ristique et ses relations multiples avec l'environnement, (voir le Schéma I).
25
Pallié et Muchielli, Le développement des méthodes qualitatives et l’approche constructiviste des phénomènes
humains, Actes du colloque RECHERCHE QUALITATIVE ET PRODUCTION DE SAVOIRS, UQAM, 12 mai 2004
26
GUIBILATO, Gérard, Economie touristique, Edition Delta & spés, Denges, 1983, p12.
18
Source : GUIBILATO Gérard, Economie touristique, Edition Dalloz & Spes, Denge, 1983, p.12.
sur la planète terre était environ 1 à 1.5 degrés au-dessus des températures
moyennes de l’ère préindustrielle (avant 1850)27.
Histoire de la science
Les premières suppositions sur l’effet de serre sont faites par le scienti-
fique Jacques Fourier en 1824. Plusieurs scientifiques après lui vont étudier et
tenter de quantifier le phénomène, comme Claude Pouillet et John Tyndall. Mais
la première expérience de validation et de quantification précise de l’effet de serre
est faite par le scientifique Svante Arrhenius à la fin du XIXème siècle. Dans les
années 1890, il découvre qu’un air riche en gaz carbonique retient plus la chaleur
des rayonnements solaires, ce qui conduit à une augmentation de la température
de l’air. Il en conclut que si l’on rejette dans l’atmosphère de grandes quantités de
carbone (à cause des activités industrielles fonctionnant par la combustion du char-
bon), l’air va se charger en CO2 et retenir plus de chaleur. Les premières estima-
tions de l’augmentation des températures faites par Arrhenius ou d’autres scienti-
fiques de l’époque comme le géologue Thomas Chamberlin sont les suivantes : si
27
Céline DELUZARCHE, « Le réchauffement climatique fait rétrécir la stratosphère », consulté le 14 juillet 2021).
23
- La prise de conscience
Dans les années 60, plusieurs scientifiques vont montrer que les pré-
somptions sur l’effet de serre s’avèrent en fait réelles. Charles David KEELING
prouve par exemple que la concentration de CO2 dans l’atmosphère augmente pro-
gressivement grâce à ses mesures près de Hawaï. Roger REVELLE prouva que le
carbone dégagé par la combustion d’énergie fossile n’était pas immédiatement ab-
sorbé par l’océan. Les scientifiques commencent à se préoccuper de plus en plus du
réchauffement climatique, et de ce fait, la société politique va commencer à prendre
en compte ce problème.
qu’il y a une vraie prise en compte et une vraie définition du réchauffement clima-
tique comme problème public par les institutions internationales.
Le GIEC rend son premier rapport en 1990, puis plusieurs autres pério-
diquement jusqu’à son dernier rapport en 2014. Dans ces rapports, la communauté
scientifique du GIEC analyse les causes du réchauffement climatique, et son im-
pact sur l’écosystème et sur la société, en élaborant des modèles prédictifs. À partir
de ces modèles et de ces prévisions, les pouvoirs publics et les entreprises peuvent
mettre en place des stratégies pour lutter contre le réchauffement climatique ou
pour mieux s’y adapter.
Les causes
Les conséquences
28
PLAN DIRECTEUR POUR LE DEVELOPPEMENT DU TOURISME, Février 1995, p.107
26
Notamment visé :
Notamment visé :
a) Le tourisme d'affaires :
Nous avons aussi dans cette catégorie : les séminaires, colloques, les con-
ventions, ces manifestations rassemblent un nombre important de personnes et
supposent donc une mobilisation de moyens. Dans la mesure où la personne de
l'entreprise doit, à ces occasions, se sentir valorisé.
c) Le tourisme culturel :
d) Le tourisme international :
e) Le tourisme interne :
f) Le tourisme national :
g) Le tourisme intérieur :
h) Ecotourisme :
EVOLUTION DU TOURISME
29
Tensiewhelan, L'écotourisme Gérer l’environnement, éd. Paris, p.6.
30
Tensiewhelan, Op.cit. p, P.4.
32
Selon Pierre PY (1 996)31 « le mot tourisme est apparu au XIX siècle mais
l'activité qu'il recouvre plonge ses racines dans l'histoire. Ainsi, certaines formes
de tourisme existaient déjà dans les civilisations antiques. Les voyages d'études
des Romains en Grèce, leurs voyages d'agrément vers l'Egypte, leurs villégiatures
climatiques estivales comme leurs fréquentations des sources thermales pour des
31
Pierre Py, 1996, Le tourisme un phénomène économique, Edition 1996, P5.
34
motifs plus ludiques que sanitaires (Sénèque voyait dans Baies, station thermale
située près de Naples, « le repaire du vice ») en sont autant de manifestations ».
32
Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (2007c). Bilan 2007 des
changements climatiques: l’atténuation des changements climatiques. Contribution du Groupe de
travail III au Quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat. [B. Metz, O. R. Davidson, P.R. Bosch, R. Dave, L. A. Meyer (sous la direction
de)]. Cambridge, Royaume-Uni et New York, NY, États-Unis: Cambridge University Press.
36
33
Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (2007c). Bilan 2007 des changements clima-
tiques: l’atténuation des changements climatiques. Contribution du Groupe de travail III au Quatrième Rapport
d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. [B. Metz, O. R. Davidson, P.R.
Bosch, R. Dave, L. A. Meyer (sous la direction de)]. Cambridge, Royaume-Uni et New York, NY, États-Unis:
Cambridge University Press.
37
5. Les gaz fluorés (HFC, PFC, SF6) sont utilisés dans les sys-
tèmes de réfrigération et employés dans les aérosols et les
mousses isolantes. Les PFC et le SF6 sont utilisés dans l’in-
dustrie des semi-conducteurs. Les gaz fluorés ont un pouvoir
de réchauffement 1 300 à 24 000 fois supérieur à celui du
dioxyde de carbone et une très longue durée de vie. C’est pour-
quoi ils représentent un réel danger malgré la modeste part
qu’ils représentent dans les émissions totales de GES.
34
Kevin Trenberth : responsable au Centre national pour les recherches atmosphériques de Boulder (Etats-Unis)
et auteur principal de plusieurs sections dans les rapports 2001 et 2007 du GIEC.
38
35
Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (2007a). Résumé à l’intention des décideurs.
Dans: S. Solomon, D. Qin, M. Manning, Z. Chen, M. Marquis, K.B. Averyt, M.Tignor et H.L. Miller (sous la
direction de), Bilan 2007 des changements climatiques: Les bases scientifiques physiques. Contribution du Groupe
de travail I au Quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du cli-
mat. Cambridge, Royaume-Uni et New York, NY, États-Unis: Cambridge University Press.
39
36
GIEC, M.L. Parry, O.F. Canziani, J.P. Palutikof, P.J. van der Linden et C.E. Hanson (sous la direction de), Bilan
2007 des changements climatiques: Impacts, adaptation et vulnérabilité. Contribution du Groupe de travail II au
Quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution
40
Deux des types de vacances les plus prisés sont d’ores et déjà touchés :
le tourisme de plage et les sports d’hiver. Les stations balnéaires connaissent un
recul de fréquentation à cause de fortes tempêtes ainsi que de la prolifération des
algues et des méduses en raison de l’augmentation de la température de la mer au-
delà des valeurs normales.
42
Les forêts recouvrent environ 1/3 des terres émergées, soit 4 milliards
d'hectares. Elles abritent 80% de toutes les espèces terrestres d’animaux, de
plantes et d’insectes. Elles sont cruciales dans la lutte contre le changement clima-
tique et représentent une source d’air majeure. En effet, les forêts en formation
produisent un surplus d’oxygène important. De plus, environ 1,6 milliards de per-
sonnes dépendent des forêts pour assurer leur subsistance.
37
Rapport publié par le Fond Mondial pour la Nature, sur https//www.oc-cooperation.org, consulté le 15/05/2021
38
Rapport publié par le Fond International pour le Développement Agricole (IFAD), sur https//www.oc-coopera-
tion.org, consulté le 15/05/2021
39
Idem, p.41
40
Idem, p.41
45
développement adopté par les pays industrialisés et reproduit par les pays émer-
gents, un point reste certain : il ne pourra plus durer dans l'état actuel des choses.
Tout ce que le monde a réalisé en termes de progrès est remis en question et l'on
se demande si l'on est en droit de continuer ainsi. C'est pour cela qu'on parle dé-
sormais de développement durable. C'est-à-dire, un développement qui, en plus des
facteurs de croissance économique, d'équité et de cohésion sociale, prend en compte
le facteur écologique de préservation et de valorisation de l'environnement.
47
En cette ère de relance, la RDC change de visage et attire des flux crois-
sants d’investissements et de visiteurs.
- Une superficie de 2 345 410 km² et une population estimée autour de 70 mil-
lions d’habitants, par conséquent, le pays constitue un vaste marché ;
- Emergence d’une classe moyenne favorisant un marché local croissant ;
- Une diversité de filières potentielles ouvertes aux investisseurs ;
- Absence des barrières à l’entrée pour de nouveaux investisseurs ;
- Croissance du tourisme de conférence et d'affaires ;
- Absence de chaînes internationales des services du tourisme ;
- Absence d’un cadre légal spécifique du tourisme ;
- Faible main d’œuvre qualifiée ;
- Faible rapport qualité-prix des services ;
- Manque de statistiques fables au niveau national.
41
Informations tirées de la revue Parcs & Réserves, volume 68, fascicule 3, Les aires protégées en République
Démocratique du Congo, l’Action de l’Union Européenne, 3ème trimestre, 2013, p. 5.
48
Pour diverses raisons certains pays n’ont pas pu développer leur secteur
touristique. La RDC fait clairement partie de ceux-là. Comme quoi il ne suffit pas
d’être l’un des plus beaux pays du monde et abriter une nature exceptionnelle avec
des paysages à couper le souffle pour figurer dans le catalogue des TO (tours opé-
rareurs) et agences de voyages du monde entier.
Mais plutôt que pleurer sur son sort, il y a mieux à faire : réorganiser un
tourisme cohérent en fonction de la réalité du pays et des besoins de la population.
La plupart des réserves et parcs naturels n’en n’ont plus que le nom. Les
causes sont multiples et souvent se chevauchent : zones de guerres, braconnage
intempestif, saccages par l’exploitation sauvage de ressources minières, accès dif-
ficiles, infrastructures vieillottes ou absentes, manque de personnel formé, etc…
Et bien que quatre de ces parcs sont classés parmi les sites en péril du
patrimoine par l’UNESCO, cela ne garantit nullement leur survie.
La RDC offre une gamme variée d’attraits touristiques à travers ses pro-
vinces, lesquelles présentent des particularités multiformes à même d’être exploi-
tées pour le développement de plusieurs types de tourisme.
Il s’agit de :
La RDC compte :
42
www.jembala.eu- L’appui UE, aux forêts et à la biodiverté en Afrique Centrale, Commission Européenne,
2013.
52
- Le climat équatorial
A savoir chaud et humide toute l'année sans saison sèche, dans la zone
centrale traversée par l'équateur, où il y a une grande forêt tropicale (la deuxième
au monde après l'Amazonie) ;
Les pluies se produisent sous forme d'averses ou d'orages (le Congo est
le pays qui reçoit le plus grand nombre d'éclairs dans le monde), habituellement
54
L'ensoleillement dans une grande partie de la RDC n'est pas très bon,
parce que le fort rayonnement provoque souvent la formation de bancs de nuages
dans la journée, plus probables à partir de midi et dans l'après-midi. En début de
matinée, des brouillards se produisent souvent, en raison de l'évaporation de l'hu-
midité du sol. Sur la côte, au contraire, le brouillard et les nuages bas se forment
souvent, à cause d'un courant marin frais. La situation est différente dans la partie
méridionale (voir Lubumbashi), où la saison sèche est plus prononcée, et pendant
l'hiver austral (de mai à septembre) le ciel est souvent clair.
43
https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo, consulté le 11/06/2021, à 16 :35
44
https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo, consulté le 11/06/2021, à 16 :35
45
https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo, consulté le 11/06/2021, à 16 :35
55
- Climat tropical
Tropical, à savoir chaud toute l'année mais avec une saison sèche, géné-
ralement de courte durée, dans les régions situées au nord et au sud de l'équateur.
La saison sèche se produit en périodes opposées, de décembre à février (l'hiver bo-
réal) au nord de l'équateur, et de juin à septembre (l'hiver austral) au sud
Les montagnes les plus imposantes du pays sont les monts Ruwenzori,
qui sont situés dans l'extrême est, à la frontière avec l'Ouganda, presque à l'équa-
teur. La plus haute montagne est le mont Stanley (dans le pic Marguerite, qui
mésure 5,109 mètres de haut), où il y a aussi un glacier. Les montagnes sont très
humides, car elles reçoivent des pluies constantes et sont souvent couvertes de
nuages, et abritent une variété de flore et de faune, qui changent avec l'altitude :
entre 2 000 et 3 000 mètres il y a une forêt de montagne ; à plus de 3 000 mètres il
y a des espèces qui doivent résister aux gelées de la nuit ainsi qu'au fort rayonne-
ment solaire pendant la journée ; enfin, au-dessus de 4 000 mètres il y a une lande
similaire à celle des Alpes. Les montagnes du Ruwenzori dans la partie congolaise
sont protégées dans le Parc national des Virunga (qui est aussi un site du patri-
moine mondial de l'UNESCO), qui se prolonge vers le sud, au-delà du lac Édouard,
dans l'autre chaîne imposante de montagnes, toujours sur la frontière avec l'Ou-
ganda, précisément les montagnes des Virunga.
À l'ouest du lac Kivu nous trouvons les monts Mitumba, dont les plus
hauts sommets sont le mont Kahuzi (3 308 mètres) et le mont Biega (2 790 mètres),
les deux protégés dans le Parc national de Kahuzi-Biega, site du patrimoine mon-
dial de l'UNESCO, cependant, déclaré à risque en raison de la chasse illégale et du
braconnage.
58
Il n'y a pas un seul meilleur moment pour visiter toute la RDC, parce
que la saison sèche arrive à des moments différents : dans la région tropicale au
nord de l'équateur elle va de décembre à février, dans la partie tropicale au sud de
l'équateur (voir Kinshasa) elle va de juin à août, dans la zone plus au sud (voir
Lubumbashi), les pluies sont rares même en mai, septembre et octobre, bien que
dans les deux derniers mois il puisse faire très chaud pendant la journée, en par-
ticulier au-dessous de mille mètres (voir par exemple le Parc national de Kunde-
lungu).
46
https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-font-sentir-plus rude-
ment/#!/map=209&loc=-2.9814342999999823,23.822263600000014,12, consulté le 11/06/2021, à 16 :53
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https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-font-sentir-plus rude-
ment/#!/map=209&loc=-2.9814342999999823,23.822263600000014,12, consulté le 11/06/2021, à 16 :53
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Si rien n’est fait, le Congo risque de connaitre, à l’avenir, les pires mo-
ments de son histoire à cause des effets du changement climatique.
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https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-font-sentir-plus rude-
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Idem
50
Idem
60
Dotée d’un immense potentiel forestier soit le 2/3 des forêts du Bassin
du Congo, la RDC est le premier pays le plus peuplé d’Afrique Centrale avec une
population estimée à 75 millions d’habitants. L’extension des villes, et les besoins
énergétiques ont exacerbé la pression sur les ressources forestières faisant dispa-
raître des ceintures forestières considérées autre fois comme boucliers écologiques.
L'accès à l'eau potable et à l'énergie est faible sur toute l’étendue du ter-
ritoire (6 % de la population congolaise dont 30 % en milieu urbain et 1 % en milieu
51
Ibidem
61
Le tableau ci-dessus montre une étude sur l’impact des paramètres cli-
matiques sur le secteur du tourisme en RDC pour les années à vernir. Les résultats
de l’étude montrent que le tourisme subit à court et long termes l’impact des para-
mètres climatiques.
2. Pluviométrie
Source : Bilan des changements climatiques : Les bases scientifiques physiques. Contribution du Groupe de tra-
vail I au quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat
63
En outre, il sied de noter que les paramètres climatiques ne sont pas les
seuls responsables de l’altération des œuvres. Les êtres vivants, tels que l’homme
et les mousses, sont aussi des vecteurs de dégradation. L’homme agit par le tou-
cher, et les mousses par leur composition chimique et leurs racines.
CONCLUSION
Nous voici arrivé au bout de notre travail qui sanctionne la fin de notre
cycle de bachelier en Gestion touristique, de l’Ecole Supérieur de Tourisme et Hô-
tellerie, de l’Université de Lubumbashi. Notre sur réflexion sur « la question du
réchauffement climatique et tourisme ». Il a été pour nous question de disserter en
long et en large sur la question du réchauffement climatique et les conséquences
de ce dernier sur le secteur touristique dans le monde entier en général, et dans la
RDC en particulier.
Nous sommes partis du constat d’après lequel le réchauffement clima-
tique constitue une menace sérieuse contre la qualité des ressources sur lesquelles
le tourisme s’appuie. Il s’avère de ce fait, nécessaire de mener une étude pour com-
prendre la nature d’influence de ce phénomène sur le tourisme. L’étude, à ce stade
nous a paru exploratrice.
Comme réponses à toutes ces questions, nous avons énoncé les hypo-
thèses ci-après :
Les impacts du changement climatique sont susceptibles de modifier les
ressources touristiques et l'attractivité des destinations. Cependant le tourisme
contribue aussi au changement climatique.
Les effets climatiques (sur le temps long) indirects ont été soulignés lors
de la COP21. On peut signaler la montée des eaux qui impacte la saison chaude
touristique dans les îles et archipels, ou bien la fonte des glaces en montagne. Les
contraintes liées aux politiques d’atténuation des effets du réchauffement revien-
nent régulièrement dans l’actualité.
C’est le nouvel engagement pour agir contre le changement climatique,
humblement, sincèrement et efficacement.
Les principales victimes du réchauffement climatique seraient donc les
différentes composantes du secteur touristique.
Le réchauffement climatique ou mieux encore le changement climatique
est causé fondamentalement par un gaz à effet de serre qui est un gaz partielle-
ment opaque au rayonnement infrarouge émis par la surface de la terre cette in-
terception de chaleur conduit donc ce gaz et l'atmosphère devient basse52.
Nous avons utilisé les méthodes et techniques ci-après : la méthode ana-
lytique et la technique d’analyse documentaire ainsi que celle d’observation di-
recte.
Nous avons délimité notre travail sur le plan spatio-temporel. Sur le
plan spatial, il a constitué la RDC en général et le Haut-Katanga en particulier,
sur le plan temporel, cette étude a comporté la période allant de 2015 à 2020.
Ainsi, hormis l’introduction et la conclusion, notre travail a comporté
trois chapitres à savoir :
Le premier chapitre a traité la généralité, ce chapitre a été subdivisé en
deux sections, dont la première s’est focalisée sur la définition des concepts clés et
la deuxième quant à elle a été consacrée au cadre théorique des références.
Le deuxième chapitre a mis l'accent sur le réchauffement climatique et
tourisme, qui a été subdivisé à son tour en deux sections, dont la première a parlé
52
Jean-Marc JANCOVICI, Op.Cit, p.8-19
66
- Pour cela le vélo et la marche à pied restent évidemment les meilleures so-
lutions à la fois écologiques, économiques et de bonne santé.
- Compensons nos émissions carbones qui, depuis 2006 le programme action
carbone solidaire de la fondation Good planet qui a pour mission de lutter
contre le réchauffement climatique en développement alternatives durables
et économiquement valables aux activités polluantes au profit des popula-
tions les plus vulnérables. En soutenant ces projets de compensation car-
bone, nous pouvons lutter contre le réchauffement climatique.
- Modifions nos habitudes alimentaires, pour limiter l'impact alimentation
sur le climat privilégions autant que possible les fruits et légumes de saison.
Car ils génèrent en moyenne 77 fois moins de GES que des produits cultivés
sur des serres chauffées
- Réduisons notre consommation de viande, les protéines ne sont pas unique-
ment présentes dans les viandes ou produits d'origine animale. On les
trouve également dans certains végétaux comme les légumes secs, les grains
et autres.
- Expérimentons au moins une recette végétarienne par semaine.
- Luttons contre la déforestation, certains labels garantissent une gestion du-
rable des forêts en sachant des produits (papiers, meubles,...) nous pouvons
contribuer à la prestation des forets et limiter ainsi les émissions de GES.
- Préservons nos océans, pour lutter contre e réchauffement climatique, nous
devons préserver les océans, pour cela chacun de nous peut agir au quoti-
dien. Pa exemple l'usage des produits ménagers respectueux de l'environne-
ment afin d'éviter de déverser des produits chimiques polluant les océans
lutter contre le réchauffement climatique nous offre une occasion de donner
la priorité au bien être des personnes en garantissent leur droit à un envi-
ronnement sain. C'est également une occasion de renforcer les droits hu-
mains par exemple en Donnant accès à de plusieurs personnes à de res-
sources d'énergies plus propres et moins chères et en créant de l'emploi dans
des nouveaux secteurs comme le tourisme par exemple.
68
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. Bruno ABEGG, Le tourisme face au réchauffement climatique, éd. CIPRA
International, Paris, 2011
2. Céline DELUZARCHE, « Le réchauffement climatique fait rétrécir la stra-
tosphère », Ed.Delta-Spes, Berne, Collection hôtelière et tourisme
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4. G.CAZES, 1989, Le tourisme international Mirage ou Stratégie d'avenir,
Edition HATEIR, SD
5. GUIBILATO, Gérard, Economie touristique, Edition Delta & spés, Denges,
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IV. RAPPORTS
1. Kevin TRENBERTH : responsable au Centre national pour les recherches
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sections dans les rapports 2001 et 2007 du GIEC.
2. O.M.T (Organisation Mondiale de Tourisme) Préface du livre de G.Guibilato
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3. GIEC, M.L. Parry, O.F. Canziani, J.P. Palutikof, P.J. van der Linden et C.E.
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Quatrième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental
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pement Agricole (IFAD), sur https//www.oc-cooperation.org revue Parcs &
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5. Noël LE SCOUARNEC et Ludovic MARTIN, Effet du changement clima-
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1992, 1995, 2001 et 2007, consulté sur www.ipcc.ch, le 02 février 2021.
V. WEBOGRAPHIE
1. https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo,
2. https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo,
3. https://www.climatsetvoyages.com/climat/republique-democratique-congo,
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4. https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-
font-sentir-plus
5. https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-
font-sentir-plus
6. https://infocongo.org/fr/rdc-les-consequences-du-changement-climatique-se-
font-sentir-plus
7. https://www.lerobertdicoenligne.com
8. https://www.lerobertdicoenligne.com
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