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Livre Digitalisation
Livre Digitalisation
À SA TRANSFORMATION
DIGITALE
De la capture omnicanal d'informations
client à l'automatisation des processus
LIVRE BLANC
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AVANT-PROPOS
Les banques intensifient leur transformation
digitale. Entre métamorphose du modèle agence et
développement de nouveaux services numériques,
les chantiers pour améliorer la relation client se
multiplient. Au-delà de l’arrivée de nouveaux
concurrents 100 % digitaux, la filière doit faire
face à un nouveau contexte client. Comme pour
le retail, les banques doivent à la fois prendre en
compte la digitalisation des contacts, le besoin
de personnalisation attendue par les clients, la
complexité du multicanal et la « webisation » des
usages. Contrairement aux acteurs de l’e-commerce
cependant, elles font face à des enjeux critiques
de gestion des documents, des contrats, des
échanges, traditionnellement papiers et maintenant
dématérialisés. La criticité de ces documents et la
nature des processus qui animent la relation client
Témoignages du secteur complexifient fondamentalement la
transformation numérique des acteurs.
P. 10 Le digital est perçu comme le seul moyen de
Deloitte répondre aux nouveaux besoins des clients, qui
veulent des services personnalisés, accessibles
P. 12 partout et disponibles 24h/24.
Crédit Agricole Leasing & Factoring Comment relèvent-ils ces défis ? Pourquoi placent-ils
l’optimisation de la relation client au cœur de leur
P. 14 stratégie ? Et quels sont les moyens à leur disposition
Arkéa Crédit Mutuel pour accompagner cette mutation ?
Ce livre blanc brosse un portrait de la situation
P. 16 actuelle et des opportunités qui se présentent pour
Banque Populaire de l'Ouest les dirigeants, à travers les témoignages d’acteurs
du secteur.
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LES BANQUES FACE À avenir par les analystes, que ce soit en France mais aussi
dans les pays émergents. Dans ces derniers, peu de ci-
LEUR TRANSFORMATION toyens possèdent un compte bancaire. En revanche, ils
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capable de les conseiller sur tel ou tel produit, en fonc-
LES BANQUES OPTIMISENT
tion de leurs demandes. Ce conseil "automatisé" devrait
prendre de l’essor et représente déjà une demande forte LEURS PROCESSUS
de nos clients », explique Julien Maldonato, Directeur
CLIENTS GRÂCE À
Conseil Industrie Financière chez Deloitte France.
La transformation numérique de la filière est donc loin L’AUTOMATISATION
d’être terminée, elle n’en est même qu’à ses premiers
INTELLIGENTE
pas. La banque du futur reste à inventer. Des pistes d’évo-
lution font cependant déjà l’unanimité. Les banques de
demain seront plus connectées, plus interactives et sur- Confrontées à une concurrence protéiforme, les banques
tout : plus proches de leurs clients. historiques voient arriver de nouveaux entrants depuis
quelques années : fintechs et néo-banques, sociétés de
l’internet et du numérique (les fameux « GAFA »), opé-
1. McKinsey, « Accélérer la mutation numérique des entreprises : un rateurs télécoms, acteurs de la grande distribution... Afin
gisement de croissance et de compétitivité pour la France », 2014 d’optimiser leurs coûts et d’améliorer l’expérience client,
les acteurs traditionnels ont engagé une revue de leurs
processus back-office et front-office, qui comportent
toujours un grand nombre de tâches manuelles sans
valeur ajoutée, d’accès à des applications « legacy » di-
verses et de processus plus ou moins normalisés. L’ob-
jectif est de rationnaliser, d’optimiser et d’automatiser ce
qui peut l’être dans une démarche « client centric ».
D’après la société d’études Markess, simplifier le par-
cours client, améliorer la qualité de service et la satisfac-
tion client font en effet partie des principaux enjeux des
banques en matière d’expérience client2.
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cuments clients et 48 % la signature électronique de do- gement sur les services de confiance définis par le rè-
cuments engageants . Cette évolution en termes de flui-
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glement européen eIDAS », comme la signature élec-
dité et d’automatisation du processus de souscription, tronique. Avec pour corollaire, « un important facteur
s’accompagne de l’effacement progressif des tradition- d’économie et d’efficacité pour les organismes du sec-
nelles tâches de gestion liées à l’activité commerciale. teur, ainsi qu’un gain de temps et de fluidité pour les
D’après l’agence de notation digitale D-Rating, 61 % des consommateurs », comme le note l’ACPR.
banques françaises intègrent déjà la signature électro-
nique pour l’ouverture d’un compte courant7, avec des KYC ET LUTTE CONTRE LA FRAUDE
diligences en matière de KYC (« know your customer ») ET LE BLANCHIMENT DES CAPITAUX
requises par la réglementation, afin de lutter contre la Réactivité, performance, compétitivité, traçabilité… La
fraude et le blanchiment des capitaux. contractualisation en ligne modernise le parcours client
à l’ère numérique, tout en permettant aux banques de
ÉGALITÉ ENTRE PAPIER ET NUMÉRIQUE remplir leurs obligations réglementaires en matière de
L’automatisation et l’industrialisation, via la contractua- connaissance client, afin de lutter contre la fraude, le
lisation en ligne d’un processus jusque-là manuel est blanchiment des capitaux et le financement du terro-
aidée par « un ensemble de mesures visant à établir
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risme (LCB-FT).
un pied d’égalité entre le format papier et les supports Pour la contractualisation en ligne, la connaissance client
numériques », explique l’ACPR, l’autorité de contrôle du est rendue possible grâce à un contrôle automatique,
secteur financier. « Le support électronique peut désor- en ligne et à la volée, des pièces fournies par le client
mais être choisi par défaut, sauf à ce que le client s’y ( justificatifs d’identité, de domicile, de revenus, relevé
oppose expressément ». d’identité bancaire…). L’intelligence artificielle et l’appel à
Pour accompagner ces changements, l’Ordonnance du des référentiels externes vont permettre de vérifier la va-
4 octobre 2017 sur la dématérialisation des relations lidité, la conformité, l’authenticité et la cohérence entre
contractuelles dans le secteur financier « s’appuie lar- les différents documents soumis.
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À cela s’ajoutent une authentification sécurisée du
« NE PAS FAIRE DU
client par l’envoi d’un mot de passe à usage unique
lors de la signature du contrat et une signature élec- NUMÉRIQUE POUR
tronique certifiée (au sens du règlement européen
DU NUMÉRIQUE »
eIDAS).
Sans oublier une configuration du parcours confor-
Comment réussir sa transformation numérique
mément aux besoins et exigences de l’émetteur du
dans la banque ? Selon le cabinet de conseil
contrat (constitution du dossier, authentification, si-
Deloitte, cette modernisation doit s’inscrire
gnature, consentement, relances e-mails, SMS...),
dans un plan stratégique plus large. Et ce
ainsi qu’un pilotage qui permet de suivre et d’agir en
plan doit être élaboré en seulement six
temps réel sur l’ensemble des dossiers en cours de
semaines avec une mise en place dans
traitement et – surtout – d’identifier rapidement les
les 18 mois. Spécificité de la filière : une
dossiers qui nécessiteraient une gestion personnalisée
attention particulière doit être portée au
(comme la demande de compléments d’information
cadre réglementaire. Revue de détails avec
par exemple).
Julien Maldonato, Directeur Conseil Industrie
Financière chez Deloitte France, en charge de
l’offre de transformation digitale auprès des
5. Markess, « Améliorer les processus clients pour accroitre les institutions financières.
ventes et la satisfaction client», 2018
6. Markess, « Stratégie 2020 d’expérience client digitale de trois
grands secteurs », 2018 « Pour mener à bien sa transformation numérique,
7. D-Rating, « A snapshot of the 2018 Retail Banks digital customer il convient tout d’abord d’intégrer le projet de
experience and offerings (France edition) », 2018
transformation digitale dans un contexte plus large
8. Loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 et Or-
donnance du 4 octobre 2017 sur la dématérialisation des rela- de plan stratégique d’entreprise. Il ne faut pas faire
tions contractuelles dans le secteur financier du numérique pour du numérique, cela n’a pas de
sens. Nous expliquons régulièrement à nos clients
que la transformation numérique n’est pas
auto-suffisante. Elle prend tout son sens en
accompagnant des axes d’évolution stratégique
forts, qu’il s’agisse par exemple de la création de
nouvelles activités, du lancement de nouvelles offres
ou de la refonte d’un modèle de distribution. La
transformation numérique va épauler ces évolutions
stratégiques en apportant de nouveaux outils
internes aux collaborateurs mais aussi de nouveaux
outils externes aux clients.
Et pour que ces outils soient pertinents, ils doivent
être mis en place rapidement. Ce plan stratégique
doit donc être établi dans un délai relativement
court. Il est devenu illusoire de prévoir un plan à
trois ou cinq ans. Vous pouvez par exemple voir
apparaître une innovation technologique dans six
mois qui va bouleverser la manière de faire de la
relation client, ou un nouveau texte réglementaire
qui va ouvrir ou fermer un marché. Aujourd’hui, il est
raisonnable d’établir un plan en six semaines avec
une mise en place dans les 18 mois.
Une fois ce plan établi, pour y intégrer la transformation
digitale, nous recommandons une démarche classique
commençant par la réalisation d’un diagnostic. Il est
suivi par des recommandations que nous faisons à
nos clients et enfin par un suivi de la mise en œuvre
de ces recommandations.
Le diagnostic permet d’établir avec précision ce que
veut faire l’entreprise, de se fixer des objectifs et de
mesurer le chemin qu’elle aura à parcourir pour les
atteindre. Il permet de générer de nombreuses idées
et peut être ouvert à l’ensemble des collaborateurs de
l’entreprise (pas uniquement l’équipe dirigeante). C’est
ce que nous avons fait récemment avec une grande
banque française, avec qui nous avons organisé des
séances de brainstorming autour de sa transformation
numérique à tous les niveaux de la hiérarchie.
Pour sélectionner les bonnes idées, nous écartons
déjà ce qui n’est pas réalisable, en fonction du cadre
réglementaire, comme évoqué précédemment.
Nous sélectionnons ensuite celles offrant le plus de
potentiel, selon différents critères, dont bien entendu
le coût/bénéfice. Mais cela n’est pas toujours simple
en matière de numérique, car il y a le coût de
développement du produit ou service, mais aussi Une étape incontournable est bien entendu la
l’évolution technique qu’il requiert sur le système dématérialisation des documents. Vous ne pouvez
d’information. Et les bénéfices ne sont pas toujours pas développer des outils numériques, internes ou
faciles à évaluer, car le rythme d’évolution technique externes, s’ils n’ont pas de données à exploiter. Ensuite,
du numérique est très rapide. Nous conseillons donc il y a ce que nous appelons le "ré-enchantement des
à nos clients de ne pas miser uniquement sur des interfaces". Il s’agit ici de faire évoluer les outils en
idées ayant un retour sur investissement quasiment mettant un point d’honneur à travailler sur l’ergonomie
assuré, mais aussi de prendre des risques. Il faut et la valeur ajoutée des fonctionnalités. Dans ce
parfois se lancer dans des projets à court terme qui domaine, l’une des grandes évolutions est d’intégrer
ont des chances d’échouer. Cette culture de l’échec plus d’intelligence artificielle dans les services proposés
est assez répandue auprès des acteurs du numérique, aux clients. Cette IA va par exemple être capable de
qui n’hésitent pas à tester des services avant-gardistes, les conseiller sur tel ou tel produit, en fonction de leurs
quitte à les abandonner par la suite. Mais le secteur des demandes. Ce conseil "automatisé" devrait prendre de
banques est un peu moins ouvert à cet apprentissage l’essor et représente déjà une demande forte de nos
par l’échec... clients. »
« 80 % DES DOSSIERS de reconquérir la place naturelle de Crédit Agricole sur
le marché du crédit-bail mobilier. Le groupe a une part
TRAITÉS QUASIMENT de marché naturelle de 25 %. Et reconquérir cette part
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toutes les informations requises sont présentes ou non). pense que c’est lié à leur connaissance sectorielle, mais
Nous avons donc une relation bien meilleure avec eux aussi à leur expertise technique.
et, forcément, des délais raccourcis. Donc une meilleure À un moment, nos équipes étaient inquiètes et disaient :
satisfaction à leur niveau aussi ! « Ils ne nous posent jamais de questions… Est-ce qu’ils
Le troisième gain est pour nos collaborateurs : c’est la comprennent bien ce qu’on veut avoir ? » Et en fait oui,
montée en compétences. Nos équipes sont en train ils comprenaient très bien ce dont on avait besoin !
de passer de fonctions de back-office sans valeur ajou- On a eu le sentiment quand on voyait réunies dans la
tée – essentiellement de la saisie – à des métiers en lien salle agile les équipes d’ITESOFT, de Canon et de Cré-
direct avec les clients et les partenaires – des métiers dit Agricole Leasing & Factoring de voir des gens qui
de middle-office. Ces métiers ont de la valeur pour travaillaient dans la même entreprise et qui travaillaient
nos clients et pour nos partenaires et sont directement ensemble à un objectif commun !
« monétisables » – ou du moins ils renforceront forte-
ment la relation avec nos clients et nos partenaires et
donc nous permettront d’avoir des relations durables ! 9. L AD : Lecture automatique de documents
10. RAD : Reconnaissance automatique de documents
11. OCR : Reconnaissance optique de caractères
AU FINAL, ÊTES-VOUS SATISFAIT
DE LA COLLABORATION AVEC ITESOFT ?
La collaboration avec ITESOFT s’est particulièrement
bien passée. Leurs équipes ont été en capacité de com-
prendre nos besoins – voire même de les devancer ! Je
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« LA DÉMATÉRIALISATION premiers classements et la circulation interne via les tra-
ditionnelles bannettes. En passant au numérique, les do-
DES DOCUMENTS PERMET cuments sont envoyés le jour même de leur réception
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nique que par courrier papier. Cette augmentation des connectés pourrait bouleverser le marché. Avec Arkéa
échanges par messages électroniques fait suite à l’ajout Assistance, notre filiale de téléassistance, nous avons
de l’option e-mail en 2013 dans notre solution ITESOFT. déjà expérimenté et commercialisé des solutions basées
Cette option nous permet de traiter les e-mails avec le sur une centrale et un médaillon d’alerte lorsque l’assuré
même outil de gestion que celui des documents papier se situe uniquement à l’intérieur du domicile ou sur une
dématérialisés. Cela nous a apporté de la rapidité et de montre connectée lorsqu’il est à l’extérieur. Nous n’ex-
l’efficacité dans le traitement des dossiers et nous a per- cluons pas de mener d’autres réflexions ou projets pour
mis de répondre à une demande grandissante de nos répondre aux besoins d’une clientèle jeune, ou moins
clients. jeune d’ailleurs, attirée par les objets « smart » et déci-
dée à les mettre au service de son porte-monnaie ou de
AVEZ-VOUS D’AUTRES PROJETS son bien-être.
AUTOUR DE LA RELATION CLIENT ?
La génération des « digital native » arrive à grand pas
dans notre secteur d’activité et l’utilisation des objets
Nous estimons pour autant qu’il ne faut pas abandonner
le modèle agence traditionnelle. Le modèle full-digital
ne couvrira jamais 100 % de la clientèle et c’est juste-
ment grâce aux agences que nous nous différencions
« LA TABLETTE DONNE des banques en ligne. Nous avons donc opté pour une
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blette fait sauter la barrière de l’ordinateur du conseiller, ITESOFT POUR
car elle peut être mise entre les mains du client. Nos
conseillers peuvent tendre la tablette à leur client et ve-
LA BANQUE
nir à leurs côtés pour expliquer un service. Cette confi-
ITESOFT accompagne les banques et les
guration est plus conviviale, plus proche du client et
établissements financiers dans l’optimisation
plus interactive. Nous utilisons également le service de
des processus clés pour l’expérience client
visioconférence sur tablette. L’idée est de permettre au
et l’excellence opérationnelle, dont :
conseiller et à son client, via la tablette, de communiquer
• Ouverture de compte
à distance avec un expert de tel ou tel domaine, par
• Contractualisation en ligne
exemple la gestion d’épargne ou de fiscalité. Ce service
• Octroi de crédit
de visioconférence permet pour le client un accès facilité
• Connaissance clientèle (KYC)
aux domaines d’expertise de notre banque.
• Souscription de produits d’assurance
• Gestion de dossiers
RÉALISEZ-VOUS ÉGALEMENT UNE
• Réclamations & litiges
TRANSFORMATION NUMÉRIQUE
• Dématérialisation des flux entrants
DE VOS PROCESSUS INTERNES ?
L’un ne va pas sans l’autre. Pour pouvoir moderniser
notre relation client, nous devons aussi moderniser nos
outils internes. Le déploiement des tablettes entraîne
par exemple une refonte de notre système d’information
afin qu’il prenne en compte ce nouveau support, notam-
ment au niveau de la sécurité. Nous menons également,
avec l’éditeur ITESOFT, une optimisation de la gestion
des e-mails. Nous avons déployé une de leurs solutions
qui nous permet l’archivage des messages électroniques.
La solution permet l’identification du client à partir de
son adresse e-mail et l’archivage du courrier dans son
dossier électronique avec les éventuelles pièces jointes.
L’e-mail est un canal de communication en très forte
progression, de l’ordre de +15 % par an. Nous devons
accompagner cette tendance et trouver des solutions
pour faciliter le travail de nos conseillers en amont et en
aval de leur traitement.
AUTOMATISER AU MAXIMUM Enfin, le secteur de la banque est soumis à toujours
Confrontées à un environnement qui se complexifie La mission d’ITESOFT est de fournir les solutions
chaque jour et à des exigences qui s’accroissent, et les technologies les plus automatiques pour
les institutions financières reçoivent toujours plus la transformation digitale sécurisée des processus
de documents et d’information desquels il est « data intensive » (caractérisés par une masse croissante
vital d’obtenir au plus vite des données fiables afin de documents, d'informations et de données de tous
de prendre des décisions éclairées. Pour ce faire, elles types) et « human centric » (les collaborateurs étant au
doivent extraire toutes les données quel que soit centre de ces processus).
le format et la source, immédiatement et sans C’est la raison pour laquelle ITESOFT a développé
erreur. des technologies de rupture intégrées dans
Le fonctionnement et les services des banques une plateforme sans équivalent qui apporte le plus
impliquent toujours plus d’intervenants et d'interactions haut niveau d’automatisation, d’adaptabilité et
qu’il est nécessaire de fluidifier et de gérer en temps de sécurité grâce à ses 3 piliers uniques par leurs
réel. Les parties prenantes métier doivent ainsi traiter performances :
sans délai documents et données conformément • Capture et extraction d’information
aux règles de gestion. • Automatisation des processus
• Détection des risques
RPA Supervision
Intégration & pilotage
Cette plateforme d’automatisation des processus digitaux (DPA : Digital Process Automation) consti-
tue le socle d’applications métiers faciles à développer et permettant de rendre plus intelligents, plus rapides
et plus sécurisés des processus comme l’ouverture de compte, l’instruction de dossiers d’octroi de crédit, la contractua-
lisation en ligne, la gestion de réclamations, la vie du contrat, la connaissance clientèle (KYC), la détection de fraude,
la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (LCB-FT)…
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ITESOFT
Éditeur de logiciels spécialisé dans la
digitalisation et l'automatisation des processus
métier, ITESOFT accompagne ses clients dans
la transformation digitale de leurs processus
(expérience client, excellence opérationnelle
et relation fournisseurs).
itesoft.com
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