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OB GEST DES FLUXpdf
OB GEST DES FLUXpdf
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La valeur de rendement de la capacité
bénéficiaire
Illustration :
Capacité bénéficiaire = 1700
taux d’actualisation reflétant l’exigence de rentabilité des
investisseurs = 10%
∞
Valeur des capitaux propres (V cp) =
Dividende t = 1
(1+ k cp)t
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Modèle de Gordon Shapiro
5
La méthode des Discounted Cash
Flows (DCF)
La méthode des Discounted Cash Flows est une des méthodes les plus utilisées
pour l’évaluation d’entreprise : elle est présentée quasiment systématiquement
dans les rapports d’évaluation, du moins lorsque sa mise en œuvre est possible,
c'est-à-dire lorsque l’évaluateur peut rassembler sur la société à évaluer les données
prévisionnelles.
> La méthode des Discounted Cash Flows prend en compte « le futur » de la société
à évaluer à travers ses flux futurs de trésorerie.
Elle s’applique donc en particulier aux entreprises
en croissance et à celles dont les résultats passés
sont peu significatifs (entreprises en phase
de création ou démarrage, en retournement…).
Elle repose sur l’actualisation du flux de trésorerie disponibles (Flux de trésorerie
d’exploitation déduction faite des flux de trésorerie d’investissement)
indépendamment de la façon dont celui-ci a été financé (par les actionnaires ou les
banquiers). Ce flux est indépendant de la structure financière de la société, aussi bien
au jour de l’évaluation que dans le futur.
L’évaluateur détermine en premier lieu la valeur d’entreprise. Ensuite, il déterminera
la valeur des capitaux propres en diminuant la valeur d’entreprise du montant de sa
dette nette.
La méthode des Discounted Cash Flows
(DCF)
Cette méthode consiste à calculer, par actualisation, la valeur
actuelle nette des flux de trésorerie futurs attendus d’une
activité, ce qui déterminera la valeur d’entreprise (1).
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La méthode des Discounted Cash Flows
(DCF)
La mise en œuvre d’une évaluation par la méthode du DCF
comporte quatre phases qui, sans être totalement
indépendantes, correspondent aux éléments les plus
importants du modèle.
1 Calculer les
FTD sur
l’horizon
explicite
temps
1 Définir l’horizon
Horizon explicite : prévisions annuelles explicite (à l’issue
duquel le FTD est stable
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Quels flux de trésorerie prendre en compte pour
la valeur d’entreprise ?
Étape 1 : détermination de la période de prévision
La méthode rend nécessaire l’établissement de prévisions détaillées pour le futur.
Horizon explicite
L’horizon explicite correspond à la période correspondant à la
durée d’utilisation des immobilisations d’exploitation ; sa durée
dépend donc du secteur dans lequel évolue l’entreprise,
de manière générale, pour des raisons de faisabilité, la durée de
l’horizon explicite se résume à la période pendant laquelle il est
possible de réaliser des prévisions d’exploitation fiables (en
général de 5 à 10 ans).
pour certaines sociétés fonctionnant sur le principe des
concessions longues, comme dans le secteur autoroutier, on
choisit un horizon qui correspond à la fin de la concession
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La méthode des Discounted Cash Flows
(DCF)
Étape 1 : détermination de la période de prévision
L’horizon « implicite »
L’horizon implicite couvre la période de la fin de l’horizon
explicite à l’infini.
L’entreprise est censée générer le flux de trésorerie de la
dernière année de l’horizon explicite (appelé flux normatif) à
l’infini. La valeur finale représente en général flux de trésorerie
normatif capitalisé à l’infini)
La méthode du DCF propose une technique qui permet de
prendre en compte les flux de cette période, qui bien que non
chiffrés, contribuent à la réalisation de la valeur d’entreprise
Rappelons que seuls sont pris en compte les flux de trésorerie d’exploitation
(FTE) et d’investissement (FTI). En général, le flux d’exploitation est positif, c’est
le cash généré par l’exploitation de l’outil économique de l’entreprise (machines,
hommes, processus de fabrication etc.), alors que le flux d’investissement est
négatif ; il représente les investissements faits pour entretenir et développer les
immobilisations corporelles et incorporelles de l’entreprise.
Notons que l’IS est déterminé par le taux normatif appliqué au résultat d’exploitation
et ne représente pas l’IS effectif payé par l’entreprise, qui lui prend en compte un
solde financier et éventuellement exceptionnel.
Notons également que les flux de trésorerie ne doivent pas intégrer les
éventuelles synergies que l’acheteur pourrait générer, au moins dans un
premier temps.
L’acquéreur doit en effet avant tout rechercher la valeur de l’outil qu’il évalue tel qu’il
est, c'est-à-dire la valeur de ce que lui vend le cédant. Bien sûr, celui-ci essaiera
d’intégrer les éventuelles synergies pour déterminer le prix maximal que l’acheteur
acceptera de payer, mais il s’agit là du jeu de la négociation.
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La méthode des Discounted Cash Flows
(DCF)
Étape 1 (suite) : détermination du free cash flow prévisionnels sur la durée
explicite
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Étape 2 : détermination de la valeur « terminale » dite aussi « finale »
Cette étape nécessite la détermination du flux de trésorerie disponible
normatif, qui va se reproduire jusqu’à l’infini ou croître au taux constant g.
La détermination de ce flux et du taux g (qui peut être nul, si le flux est estimé
constant) permet alors de déduire grâce à la formule de Gordon Shapiro, dans la
plupart des cas, la valeur terminale. Actualisée pour être ramenée à sa valeur au jour
de l’évaluation, elle sera additionnée à la valeur actuelle des flux calculés sur la
période explicite (étape 2) pour déterminer la valeur d’entreprise recherchée.
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Ainsi, la progression annuelle du BFR sera elle-même très faible pour tendre
vers zéro. Rappelons qu’à conditions de paiements identiques et sans variation dans
la gestion des stocks, le besoin en fonds de roulement progresse proportionnellement
au chiffre d’affaires.
À l’infini, si la croissance est nulle, la variation du BFR est donc considérée nulle.
- -
Dotation aux FTI normatif
amortissements normative
= =
Résultat d’exploitation après IS Flux normatif
S’il n’y plus de croissance à long terme, il ne devrait plus y a plus de variation
du BFR.
Le FTI normatif représente l’investissement de renouvellement moyen
nécessaire pour poursuivre l’exploitation. Dans le long terme,
l’investissement de renouvellement équivaut à la dotation annuelle aux
amortissements.
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Par convention, ce taux qui représente une croissance économique à l’infini, Il peut
être négatif. Prendre un taux faible revient à minorer l’évaluation, prendre un taux
élevé à la majorer.
Calcul de la valeur terminale
i est le taux d’actualisation que l’on retiendra pour actualiser les flux de trésorerie
disponibles (voir infra) et g est un taux de croissance constant à l’infini.
Rappelons que cette valeur doit être actualisée pour être ramenée à sa
valeur actuelle au jour de l’évaluation.
n+5 = dernière année de l’horizon explicite ; i est le taux d’actualisation que l’on
retiendra pour actualiser les flux de trésorerie disponibles et g est un taux de croissance
constant à l’infini.
cette valeur terminale devra être actualisée pour être ramenée à sa valeur actuelle au
jour de l’évaluation.
Autres méthodes pour le calcul de la valeur terminale :
La valeur finale est la valorisation de la société en année n+5. Toutes les méthodes
d’évaluation peuvent donc être utilisées en théorie.
En dehors du modèle de Gordon & Shapiro, les méthodes analogiques (multiples)
peuvent être utilisées (plus rares, mais base de comparaison fiable)
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Quel taux d’actualisation retenir ?
Étape 3 : calculer le taux d’actualisation et actualiser les flux
Calculer le CMPC
Le CPMC combine le coût des fonds d’emprunt et l’attente de rendement des
actionnaires
Le cout pour l’entreprise des fonds d’emprunt est égal au cout moyen
de la dette bancaire diminué de l’IS (les frais financiers sont fiscalement
déductibles)
L’attente de rendement des actionnaires peut être déterminée de
deux façons :
en utilisant le Modèle d’Equilibre des Marchés Financiers (MEDAF)
ou fixée arbitrairement par l’évaluateur qui décide a priori du
rendement que devra atteindre son investissement, compte tenu de
l’estimation qu’il fait du risque que représente l’investissement envisagé.
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Exemple :
Rendement attendu par l’actionnaire : 11,7
%
Taux d’emprunt : 7%
Taux IS : 30 %
60 %aux dettes fin:
Part des capitaux propres par rapport
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Les charges financières étant fiscalement déductibles, le coût de la dette
pour l’entreprise équivaut au taux d’intérêt x (1 – Taux d’IS). Il se prend
donc net dans la formule du CMPC.
Pondération des taux obtenus en fonction de leur poids dans les ressources
financières totales de l’entreprise
Pour calculer cette pondération, il faut retenir la valeur de marché des dettes
financières et des capitaux propres.
Or la valeur de marché des capitaux propres de l’année N ne sera connue qu’une fois
que l’on aura mis en œuvre la méthode du DCF ; dans un premier temps on retiendra,
le cas échéant, la valeur des titres fournie par d’autres méthodes d’évaluation.
A défaut, on utilisera la valeur comptable des capitaux propres et dans un deuxième
temps, on procédera par itération au calcul d’une deuxième pondération en
utilisant la valeur des titres que l’on aura obtenue par la méthode du DCF.
La valeur retenue pour les fonds propres permet de re-calculer la
pondération entre fonds propres et dettes financières pour le calcul du CMPC.
Si l’on dispose déjà d’une valeur réévaluée de l’entreprise, on retiendra
plutôt cette valeur. Ainsi, pour les sociétés cotées, la valeur retenue dans la formule
est la capitalisation boursière.
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I
Illustration : le rendement attendu par les
actionnaires n’est pas fixe !
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Illustration : CMPC utilisés par le groupe Legrand
pour valoriser ses marques et goodwills
(source : rapport annuel 2010 du groupe)
2009
12,5 12,3 11,9 11,9 10 à 18
(avant impôt)
2010
11,0 10,6 8 à 15 10,5 11 à 16
(avant impôt)
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Valeur des
Capitaux
Ve
propres
Valeur
D’entreprise
Endettement
net au jour
De
l’évaluation
Par exemple : une entreprise ayant à son passif 1000 d’emprunt LMT et 700 crédits CT
et à son actif 200 d’excédents de trésorerie a un endettement net de 1700-200 = 1500.
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DCF : calculer la valeur des capitaux propres
Valeur des capitaux propres – exemple
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Pour des raisons de fiabilité de la valeur des titres ainsi obtenue, les
évaluateurs considèrent que la valeur terminale ne doit pas représenter plus du
tiers et dans tous les cas plus de la moitié de la valeur des titres.
En effet, cette valeur est très sensible au taux d’actualisation utilisé mais aussi au taux
de croissance à l’infini, g, sur lequel la visibilité est nulle.
Si la valeur terminale est trop forte, il est possible d’allonger la période explicite mais
une fois la période de maturité atteinte, il est inutile de prolonger l’horizon « explicite »,
la valeur actuelle de la valeur d’entreprise demeure en effet inchangée.
Ajustement du CMPC
La valeur retenue
pour les fonds
propres permet de
re-calculer la
pondération
entre fonds propres
et dettes financières
pour le calcul du
CMPC. Si l’on dispose
déjà d’une valeur
réévaluée de
l’entreprise, on
retiendra plutôt
Synthèse de la méthode des DCF
cette valeur.
Ainsi, pour les sociétés
cotées, la valeur
retenue dans la
formule est la
capitalisation
boursière.
Formule
Les dettes desont
financières la également
méthode des
prises en DCF
compte pour leur valeur de marché et
nettes des éventuels excédents de trésorerie. Les charges financières étant
Valeur d’entreprise
fiscalement déductibles, le coût de la dette pour l’entreprise équivaut au taux
d’intérêt x (1 – Taux
n
d’IS). Il se prend donc net dans la formule du CMPC.
+ Biens hors Endettement
Valeur des titres = t= 0 FTD tt +
(1+i) (1+i) nfinale exploitation
Valeur - net
Valeur finale : Formule de Gordon & Shapiro : valeur actuelle des FTD sur
l’horizon implicite.
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La méthode des Discounted Cash Flows
(DCF)
Une des méthodes les plus fréquemment utilisées pour l’évaluation
d’entreprise (présentée quasiment systématiquement dans les rapports
d’évaluation)
Points cruciaux
Choix du taux d’actualisation (prise en compte du risque spécifique)
Evaluation des cash-flows futurs (optimisme des business plan)
Valeur finale (représente souvent la majeure partie de la valeur
obtenue)
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DCF : points faibles
Ne prend pas en compte la valeur des actifs individuels de
l’entreprise. Il valorise l’outil d’exploitation dans son ensemble,
aucun actif d’exploitation n’est individualisé.
La non prise en compte des résultats passés peut mener à
prendre des hypothèses exagérément élevées de rentabilité.
L’étude de la cohérence avec les réalisations passées de l’entreprise et les
données sectorielles est indispensable.
La sensibilité du résultat aux taux d’actualisation et de
croissance
à l’infini retenus est très forte. Il s’agit là de la principale limite de
la méthode.
beaucoup d’évaluateurs présentent un tableau de sensibilité des
résultats aux deux taux choisis.
Problème de la valeur finale
en pratique, les évaluateurs limitent souvent la valeur finale à 50% de la
valeur d’entreprise.
Valeur finale >= valeur des flux actualisés sur la période explicite
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Le business plan
Le business plan est un outil indissociable de la méthode des DCF. Il exprime la vision
stratégique du dirigeant décliné en plans d’actions opérationnels, prévisions d’activité
et flux de trésorerie. Il décrit et justifie les hypothèses retenues pour
déterminer les flux de trésorerie d’investissement et d’exploitation.
Les candidats à la reprise s’appuient sur le BP cédant pour faire leur propre plan
version acquéreur qui intègre souvent des hypothèses d’activité plus modérées et en
contrepartie les effets de synergies qu’ils espèrent obtenir.
Il devient alors un outil d’échange entre le cédant et les candidats à la reprise sur leur
vision de l’avenir de l’entreprise.
Le contenu du Business plan
1. Analyse du marché
Définition du marché de référence (Monde, Europe, France, région ?) et
segmentation, taille du marché,
Les forces en présence sur le marché : positionnement des concurrents,
pouvoir de négociation des clients et fournisseurs, produits de
substitution, aspects réglementaires,..
Les facteurs clés de succès pour réussir sur ce marché.
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AI 1080 1000 SN
1600 1600
Compte de 0 Plan 1 2 3 4
résultat d’affaires
CA 900 CA 1000 1200 1440 1728
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Le diagnostic financier ne peut donc se passer d’une analyse stratégique.
Parmi les outils les plus connus, la matrice BCG et encore celle de Porter :
Menace de
nouveaux entrants
Menace de
produits de
substitution
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Ou encore la matrice Emoff, plus connu sous le vocable anglais SWOT (Strength,
Weaknesses, Opportunities and Threats).
Menaces Opportunités
Apparition de concurrents Apparition de nouveaux besoins
puissants Croissance du marché
EXTERNE
Analyse
Faiblesses
Analyse
Maîtrise de la
technologie
Problème de
qualité
Notoriété,
satisfaction client,
Faible part
de marché
Part de marché élevée Gamme de produits
insuffisamment étendue
Manque de compétences
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Points forts et points faibles de la méthode DCF
Les points forts
Cette méthode admise universellement, aussi bien par les évaluateurs, experts
financiers, tribunaux, en France et à l’étranger : elle est normée, ce qui garantit
des valorisations relativement homogènes d’un évaluateur à l’autre.
Le DCF est la seule méthode évaluant l’entreprise exclusivement à partir des
flux de trésorerie prévisionnels d’exploitation et de ceux relatifs aux
investissements relatifs à l’outil d’exploitation. Cette méthode conduit à une
valorisation beaucoup plus importante que les méthodes patrimoniales lorsque
l’entreprise est rentable et en croissance.
La méthode est bien adaptée à la valorisation d’une entreprise composée de
plusieurs branches d’activité. Des cash flow prévisionnels sont définis par branche
d’activité. Le taux d’actualisation, également défini par branche d’activité, reflète le
risque propre à chacune de ces activités.
La méthode est utilisable lorsque les résultats passés ne sont pas
significatifs (sociétés en phase de démarrage, en forte croissance, en
retournement).
La non prise en compte des résultats passés peut mener à prendre des hypothèses
exagérément élevées de rentabilité. L’étude de la cohérence avec les réalisations
passées de l’entreprise et les données sectorielles est indispensable.
La sensibilité du résultat aux taux d’actualisation et de croissance à l’infini
(g) choisis est très forte. Il s’agit là de la principale limite de la méthode. Aussi,
beaucoup d’évaluateurs présentent-ils un tableau de sensibilité des résultats
aux deux taux choisis.
Enfin, rappelons qu’en pratique, les évaluateurs n’acceptent pas que la valeur finale
représente plus des deux tiers, voire 50% de la valeur d’entreprise.
Euro (millions) N+1 N+2 N+3 N+4 N+5 N+6 N+7 N+8
Résultat
2720 2963 3444 4019 4534 4894 5237 5603
d’exploitation
Taux d’imposition
33 33 33 33 33 33 33 33
%
Dotation aux
1685 2000 2300 2576 2834 3060 3305 3570
amortissements
Croissance de
201 330 423 878 766 604 646 692
l’EFE*
Par ailleurs, sa dette nette fin N+1 se monte à 5 000 mios d’euros et la société
détient des immobilisations financières valorisées à 1500 mios après IS théorique sur
les plus values long terme.
Enfin, la direction estime que le coût moyen pondéré du capital de l’entreprise est
de 7,8%.
Valeur
Euro (millions) N+1 N+2 N+3 N+4 N+5 N+6 N+7 N+8 finale
Résultat
2720 2963 3444 4019 4534 4894 5237 5603
d’exploitation
Taux d’imposition % 33 33 33 33 33 33 33 33
Dotation aux amort. 1685 2000 2300 2576 2834 3060 3305
3570
Investissements 201
6629 330
3600 423
3300 878
3400 766
3600 604
3780 646
3969 692
négatif*
4167
Croissance du BFR -2920 716 1730 2747 3038 3163 3491 3848 3809
disponible
Flux de trésorerie
Taux
d’actualisation
1,000 0,861
0,798 0,740
0,687
0,637 0,591
1500
0,548
financières 0,548
FTD actualisés
-2920
616 1381
2034 2087
2016 2064
Le flux
2110de trésorerie normatif après N+8 est le résultat
d’exploitation N+8 après IS de
33%
43513 augmenté de 3%. La valeur finale est obtenue par la méthode de Gordon et
Shapiro : soit 3809/0.048 actualisé au taux (1.078^7).
Somme des FTD
52900
Le poids de la valeur finale est excessivement fort (ce qui est en partie dû à
l’investissement
Dette nette de N+1 exceptionnellement lourd). La période de prévision (la durée
-5000
explicite) devrait être allongée pour diminuer ce biais.
Valeur des Immo