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s15O088 ail cull 12 TD Economie générale Vrai Faux ‘1. La révolution marginaliste commence en : a) 1776. Qo Oo b) 1789. Oo oO c) 1870. Oo Oo 2. A quelles propriétés de Tutilité marginale la fonction utilité U(x) = x? satisfait-elle ? a) la premizre seulement. b) la deuxiéme seulement. c) les deux. d) aucune, Oo 0000 Oo 0000 3. La relation « étre l'ami de » est une relation d'équivalence. 4. Pierre et Paul échangent 51 de vin (V) contre 2,5 kg de farine (F), Le prix relatif du vin en farine py, est : a) 2. Oo 0 b) 0,5. Oo Oo c) l'un ou l'autre. Oo oO 5S. Soit, dans espace des biens (OX, OY), les trois points A(2, 5), BQ, 3), CG, 6). Deux d’entre eux ne peuvent en aucun cas étre sur une méme courbe d'indifférence : a) ActB. Oo Oo by AetC. Oo Oo ©) Bec Oo Oo G. Le complémentaire dans l'espace des biens d'un ensemble convexe est : a) convexe. Oo Oo b) non convexe. Oo oO ©) Tun ou l'autre. Oo Oo @) lun et lautre. Qo oO 7. Le consommateur, a l'’équilibre, peut étre demandeur net : a) d’aucun bien. Oo Oo b) de cous les biens. Oo oO s15O088 all all http://av.. 2 7 @ sorisée ext um: TD 1 © Equilibre général d'une économie d’échange 13, Vrai_ Faux &. Une réparcition optimale au sens de Pareto est telle que chacun s'y trouve & son maximum de satisfaction ? oO 9° 9. Dans la boite d'Edgeworth de la figure 1.5, aucun point de la courbe de contrat n’améliore la satisfaction initiale des deux agents la fois. oOo 1.0. Dans une économie d'échange a deux biens et deux agents, Péquilibre général est : a) quelquefois en dehors de la boite d’Edgeworth. b) quelquefois en dehors de la courbe de contrat Resccon 141. Pourquoi deux courbes d'une méme carte d’indifférence ont-elles une intersection nécessairement vide ? oo oo 12. Une répartition optimale (au sens de Pareto) est-elle conforme la justice sociale ? 13. Si deux agents sont préts A échanger 2 unités de bien X contre 1 unité de bien Y, quel est le prix relatif de X en Y ? Lequel des deux biens doit érre de la monnaie pour que px,y soit un prix monétaire ? 14. En quel sens l'’équilibre général constitue-t-il une allocation efficace des ressources entre agents ? 15%. Quelle place l’équilibre général donne-t-il a la monnaie ? E NTRAINEMENT 16%. Soit une économie a deux biens X et Y et un consommateur doté dune fonction d'utilité U. A chaque point (x, y) de l'ensemble des biens, La fonction U associe une valeur réelle U(x, ») mesurant l'utilicé (ou la satisfaction) du consommateur en ce point, On donne U(x, y) = Min(x, ), ob « Min » désigne simplement la plus petite des deux quantités x et y. a) Représenter graphiquement la courbe d'indifférence du consommateur pour un niveau d’ucilieé égal 1 (ce qui revient & tracer la figure d’équation Min(x, y) = 1). En déduire la carte d’indifférence du consommateur. S15O 88 aatll sul http://av.. 2 4 @ sorisée ext um: z é TD 1 © Equilibre général d'une économie d’échange 15 ©) Rappeler, sans sortir de la boite d'Edgeworth ici considérée, la définition d'un optinum de Pareto ainsi que celle de la courbe de contrat. Montrer que O, et Q, sont des optimums de Pareto. Etant donnéC, poine d’intersection de l'axe O,Y et de la droite done l'équa- tion dans le repére (O,X, O,Y) est x — 2y = 0, montrer que C est un optimum de Pareto. Montrer que la courbe de contrat des deux agents a et b est la ligne brisée (OC, CO). f) Comment définit-on l’équilibre général ? Pourquai l’équilibre général est- i nécessairement un optimum de Pareto ? Calculer léquilibre général de l'économie ici considérée. Faire figurer dans la boite d’Edgeworth le point E d’équilibre général. Quelles quaatités de X et de Y les agents a et b doivent-ils échanger pour atteindre cet équilibre ? A quel prix l'échange se fait-il ? S JOLUTIONS 4.0 c) Wrai, 2. a) Vrai, 3. Faux. 4. b) Vrai. 5. b) Vrai. 6. ©) Vrai. 7. a) Vrai (cas ott le point D de dotation initiale et le point E d’équilibre seraient confondus : se reporter fig. 1.3 pour imaginer ce cas) 8. Faux. 9. Faux. 10. a) et b) Faux. 11. Deux courbes d'une méme carte d’indifférence correspondent a deux niveaux distincts de satisfaction du consommateur. Si ces deux courbes s'inter- sectaient en un point A, il correspondrait au bien A deux valeurs distinctes de la méme fonction d'utilité, ce qui n'est pas possible. 12. A supposer qu’il existe une répartition des biens entre les agents conforme A la justice sociale, cette répartition est nécessairement optimale (au sens de Pareto) saufa admettre que la justice interdirait d’augmenter la satisfaction de certains alors méme que cela ne diminuerait en rien celle des autres. Cependane, il y a des répartitions optimales qui sont des cas flagrants d’injustice : par exemple, dans la boite d’Edgeworth, les points O, et O,. On ne peut done dire en général qu'une répartition optimale soit conforme & la justice sociale. 13. Le prix relatif de X en Y, soit pyy, est la quantité de Y a fournir en échange d'une unité de X, soit dans cet exemple : Pyy = 1/2 = 0,5. Le prix de X devient un prix monétaire py en assimilant Y ala monnaie M. 14. Léquilibre général constitue une allocation efficace des ressources entre agents en ce sens que (i) la répartition est optimale (au sens de Pareto) (ii) aux prix d’équilibre, chacun est & son maximum de satisfaction. 516O 88 all atl G8) http://av.. 2 7 @ } 42 TD Economie générale ©) cp Vrai_ Faux « Laissez faire, laissez passer » résume la doctrine de : a) Quesnay. o.U0°0 b) Marx. o oO ©) Keynes. o.U°8 Chez Quesnay, les intéréts des avances primitives sont : a) lesin payés par les fermiers pour financer leurs inves- tissements en capital fixe, b) un prélévement sur le produit de l'année pour pourvoir au remplacement du capital usagé. 3 ° ©) le rendement annuel du capital investi. o oO Dans le « Tableau économique » des physiocrates, le profit est a) généralement positif. o oO b) parfois négatif. oO ° ©) toujours nul Oo Oo Pour Marx, la valeur d’échange des marchandises repose sur : a) les revenus verses. ceux qui produisent ces marchandises. OQ © b) lucilicé qu’elles procurent 8 leurs utilisaceurs o Oo ©) la quantité de travail qu’elles incorporent o oO Pour deux des trois auteurs — Quesnay, Marx, Keynes -, il y @ une filiation intellectuelle attestée a) Quesnay et Marx. o Oo b) Marx et Keynes. oO ° ©) Keynes et Quesnay. o oO Dans le schéma de Marx de la reproduction sur une échelle simple, la condition d’équilibre est : a) (= 0, +p» Oo Oo b) = 1, + py. oO ° OG tQ=hththth, oO | — 516O 88 aatll sul http://av.. 2 7 @ (© Dunod — Toute repro TD 2 © Macroéconomie du circuit 43 . Vrai Faux 7. Ecane donné T (cemps de roracion du capital), D (durée de vie morale du capital fixe), T (temps de récupération du capital), la relation T < D < T signifie : a) surcapitalisation. Oo oO b)_sous-consommation. °°. Oo ©) crise capitaliste. Oo Oo 8S. La « révolution keynésienne » commence en : a) 1924. oO oO b) 1930. oO O° ©) 1932. oO Oo d) 1936, Oo Oo Q. Dans le circuit keynésien le remboursement des crédits par les entreprises aux banques, quand il a lieu, est a) dans U. °o Oo b) dans F. Oo Oo ©) non pris en compte. °o.O 10. Dans le circuit keynésien, étant donné les trois états (quilibre faible, équilibre fort, crise), deux sone incompatibles : a) équilibre faible et équilibre fort. oO Oo b) équilibre fort et crise °o Oo ©) crise et équilibre faible. oO Oo Reevcccon 11. Quelle relation y a-t-il entre le produit net du Tableau économique et le revenu global du circuit keynésien de base ? 1. 2*. Dans le temps de rotation T, les capitalistes K, de la section 1 investis- sent en capital variable 7, = 200, et les capitalistes K, investissent v, = 100. La composition organique du capital (g), le taux de plus-value (2) ainsi que la proportion s de la plus-value affectée au fonds d’accumulation ont la méme valeur dans chaque section. a) Sachant que e = 0,25, g = 1,9 et s = 0,8, détetminer les valeurs p, et p, de la plus-value réalisée dans le cemps T (dans les sections 1 et 2 respectivement) ainsi que les valeurs ¢, et ¢, du capital constant investi au début du temps T (dans les sections 1 et 2 resp.). Représenter le circuit des marchandises avec toutes ses waleurs dans le temps de rotation. S16 OA all all http://av.. 2 7 @ a E z é TD 2 © Macroéconomie du circuit 49 a la valeur initiale de la durée de vie effective du capital (D, =D,). Mais elle améne aussi une réduction des échanges internationaux se traduisant, dans l'économie considérée, par une diminution relative égale des importa tions et des exportacions, de 10 % En supposant les biens de capital fixe toujours répartis uniformément par classe d’age, établir que CCF, = 240 (on prendra cette valeur approximative). Sachant que IB, = /B,, CI, =CI,,¥,=¥, ,détetminer J,,U,, a, Qu’advient- il de V'inégalité (1) en cette année 2 ? Montrer que, par rapport a l'année 1, un res- serrementdelécart critiquea été obtenu, Mais pourquoi ne retrouve-t-on pas l'équi- libre de l'année de base ? Quel effet cependant le resserrement constaté devrait-il avoir A terme sur l'investissement et, de Ia, sur 'écare critique ? S JOLUTIONS 1. a) Vrai, 2. b) Vrai. Bsc) Vrai. 4s c) Vrai. Se a) Vrai. 6. b) Vrai. 7a) et b) Vrai. Bs c) Veai. Bu b) Vrai. 10. b) Vr: 11. Le produit net du Tableau économique et le reven global du circuit keyné- sien de base ont une grande similitude. Le revenu global est la différence entre keynésien et la somme des coats intermé- diaires et cofits de remplacement du capital (cote d’ produit net du Tableau est (voir fig. 2.1) la différence (gale 2) entre le coral des flux entrants au péle producteur F, c'est-a-dire les recettes des fermiers (égales & 5), et ce que Quesnay appelle les reprises, 4 savoir la somme (égale 2 1 + 2) des intéréts des avances primitives (cotits de emplacement du capital) et des avances annuelles (cotits intermédiaires) les recettes du pole E du circui age U) de ce pole. Le 12..a)Onae= pivetg = civ. Sachant que eee g ont la méme valeur dans chaque section, on déduit ;p, = 50, py = 25,¢, = 380,¢) = 190, ainsi que (avec s = 0,8) sp, = 40, (L—s)p, = 10, sp, = 20, (1-9), = 5, ¢, + sp, = 420, ¢, + sp, = 210. D'oitle circuit des marchandises correspondant dans le temps de rotation (figure 2.6 A comparer avec la figure 2.2) : o@ ©: 200) 100 Figure 2.6 S16 OA all all http://av.. 2 47 @ : TD 3 © Comptabilité nationale 79 ®) c.M. Vrai_ Faux ‘1. La comptabilité nationale est keynésienne : a) un peu oO b) beaucoup. Oo oO ©) pas du tout. Oo oO 2. Le service de logement qu’un ménage se rend a lui-méme en habitant sa propre maison est : a) production marchande, oo b) production non marchande. oO ©) production pour usage final propre. Oo oO . La fraction des honoraires du médecin remboursée au patient par la Sécurité sociale figure dans : a) la consommation individuelle des ménages oO b) la consommation individuelle des administrations. Oo Oo ©) la consommation collective. °° 4. Ilya six secteurs institutionnels dont le reste du monde. Oo. .O 5. Les dividendes distribués par les SNF sont comptabilisés & leur : a) compte de production. b) compte d’exploitation. ©) compte d’affectation des revenus primaires. 4) compte de distribution secondaire du revenu. ©) compte d'utilisation du revenu £) compte de capital. Ooo000000 Ooo00000 g) compte financier. 6. L’égalité solde = fluc sortants — flux entrants caractérise le solde : 2 a) des comptes non financiers. oOo = b) ducompte financier. oOo | Te Le PIB est un agrégat de production évalué du point de vue : Ea) des producteurs. oO 2b) des acquéreurs. Oo Oo 3 Z = q q q ul q = 516O 88 aatll sul http://av.. 2 7 @ 80 TD Economie générale Vrai Faux LUIPH : @) est une unieé institutionnelle 2 production homogéne, GG synthése d’UI et d'UPH. b) n'a pas d'existence définie. oOo c) est une unité inter-productive harmonise Oo fo} La somme des consommations intermédiaires d'une branche et la somme des consommations intermédiaires du produit correspondant : a) sont inégales le plus souvent. oOo Oo b) ne se comparent pas. °° ©) sont toujours égales o Oo Le TES permet une évaluation du PIB principalement dans Voptique : a) de la production. oOo b) du revenu. oO Oo ©) de la dépense. oo EFLEXION Erane donné les deux lignes du TEE correspondane aux opérations « impéts sur les produits » et « dépense de consommation finale », 2 laquelle de ces deux lignes la TVA payée par les ménages a l'occasion de leur dépense de consommation est-elle portée & leur compte ? Comment le TEE équilibre- t-il ces deux lignes ? Sachant qu’a la ligne « rémunération des salariés » du TEE sont comptées avec les salaires versés sovtes les cotisations sociales (part du salarié e part patro- nale), comment, a la ligne « cotisations sociales » du TEE, ces cotisations devront-elles étre comptabilisées, en emplois et en ressources ? Pourquoi le reste du monde n’est-il pas 3 proprement parler un secteur insticutionnel ? Quelle relation y nationale et le revenu global de Keynes ? -il entre le produit intérieur brut de la comprabilité Analyse de l’énoncé et conseils. En se référant 4 « L’essentiel » du cours, comparer les relations (5) de ce TD3 et (7) du TD2. 516O 88 aatll sul http://av.. 2 7 @ } 92 TD Economie générale S OLUTIONS 1. a) Vrai. 2. c) Vrai. 3. b) Vrai. 4. Faux. 5. c) Veai. 6. b) Vrai. 7. b) Vrai. 8s b) Vrai. 9s a) Vrai. 10. a) et c) Vrai. 11. La TVA payée par les ménages est englobée dans leur consommation finale évaluée au prix d’acquisition : elle est donc implicitement inscrite, en emplois du compte des ménages, a la ligne « dépense de consommation finale ». Cette ligne est équilibrée en ressources par l'intervention du compte biens et services puisqu'il s'agic d'opéracion sur produits. A la ligne « impéts sur les produits », la TVA payée par les ménages est inscrite, en ressources, au compte des administrations publiques. L’équilibre en emplois de cette ligne fait ici exceptionnellement intervenir le compte biens et services puisqu’il ion (mais étroitement liée a une opération sur produits). A noter que dans le TEE véritable (voir Economie générale, 8° éd.) on fait intervenir une colonne supplémentaire, i cété du compte biens et services, inticulée (en emplois comme en ressources) « Economie nationale » et jouant, en Voccurrence, le méme rdle que le compte biens et services. s‘agit d'une opération de répart 12. La ligne du TEE intitulée « rémunération des salariés » englobe les salaires versés et totes les cotisations sociales : les salariés sont censés recevoit toutes les cotisations sociales y compris la part patronale. Du coup, a la ligne « cotisations sociales », les salariés sont censés verser toutes les cotisat ns sociales, inscrites dés lors en cotalité au compte des ménages en emplois et au compte des administrations publiques en ressources. 13. Malgré une assimilation abusive parfois commise, le reste du monde nest pas un secteur institutionnel véritable. En effet, les « unité » qui le composent ne sont pas résidentes et n'ont pas toujours entre elles d'analogie cle comportement. Le reste du monde est en fait l'ensemble hétéroclite d’unités (ou de fragments d’unités) non résidences ayant eu dans la période des relations Economiques avec des résidents. Toutefois, le reste du monde constitue, au méme titre que les SI véritables, un pole du circuit économique national, ce qui explique 'assimilation abusive parfois commise. 14, La relation (7) du TD2 (« L’essentiel ») est R = 1 + C + X—H, ot Rest le revenu global keynésien et J Vinvestissement er du péle E. Or I correspond en comptabilité nationale 4 la FNC totale (formation nette de capital). La comparaison avec la relation (5) de ce TD3, a savoir PIB = C + FBC + X—H, montre alors que le revenu global de Keynes n'est autre que le produit inté- rieur net de la comprabilité nationale. (Cette identité reste vraie lorsque dans S170 &8& all atl G8) http://av.. 2 47 @ : 122 TD Economie générale D) cn Vrai Faux Est dite « en circulation » a) toute monnaie émise. o° b) coute monnaie fiduciaire. 0 oO ©) toute forme de monnaie aux mains d’agents non financiers. oOo d) route monnaie centrale. 0 Oo Une créance commerciale de 1 000 € a trois mois d’échéance sera escomptée au taux de 6 % I'an pour la valeur de : a) 990 €. oo b) 985 €. Oo Oo c) 980 €, oo Dans le financement désintermédi¢, lintermédiaire financier es a) rémunété par une commission, oOo b) rémunéré par une marge d'intér oo ©) absent. 0 Oo ) présent mais non rémunéré. oOo Une banque verse au 1“ janvier 100 € d'intéréts A un de ses déposants. Il s'agit d’intéréts : a) créditeurs. oOo b) débiceurs. oOo Le marché interbancaire est « hors banque » lorsque la demande totale de refinancement y est : a) supérieure a l'offre. 00 b) inférieure a loffre. oOo Si chaque fois que la banque centrale octroie 2 € de refinance- ment aux banques, celles-ci octroient 10 € de crédits au public, le multiplicateur de crédie est : a) égal 40,2 oOo b) indéterminé. oOo ©) égal a5 oO Une politique monécaire souple est surcout : a) une politique de taux oO b) une politique de quantité. oO erg + q S170 88 all all http://av.. 2 7 @ TD 4 © Crédit et investissement 123 Vrai Faux &. Lorsque le taux de profit ese supérieur au taux d'intérée, les entreprises sont incitées & : a) se désendetter. oOo Oo b) s'endeteer. °o O° 9. Sachant que le taux d’actualisation indique pour un agent donné son taux de préférence pour le présent sur le fucur, un agent qui place son argent 4.5 % l'an aun taux d’actualisation a) inférieur 45% V'an. oOo b) supérieur a5 % V'an, oOo 10. Soic (- 100, 10, 110) Véchéancier de recettes nettes d'un projet d'investissement de coiit initial 100 et d'une durée de vie de deux ans. Le TRI de ce projet est : a) 15%. oOo Oo b)5 %. °o Oo ©) 10%. oOo d) 20 %. Oo 0 Peas 11. Un économiste (B. Schmitt) a dit que définir la monnaie seulement comme un actif, c'était prétendre faire rouler une brouette avec la moitié d'une roue Que faut-il entendre par Ia? * Oy" a i 12°. Qu’ese ce que la sitrisation, et quelles ont été ses causes et conséquences en France et dans le monde du débue des années 80 jusqu’’a nos jours ? 13. Dans une année donnée, les opérations des agents financiers (banque centrale BC, établissements de crédit EC) ont donné lieu a des flux comptabi- lisés ainsi (flux sortants 4 gauche, flux entrants a droite) BC EC RF B R D nom autorisée est un a) Identifier chacun des flux ci-dessus. b) Exprimer en fonction de ces flux la variation AM de la masse monétaire M et la variation ABM de la base monétaire BM. (© Dunod — Toute repro S170 &8& aatll sul http://av.. 2 4 @ sorisée ext um: z é TD 4 © Crédit et investissement 129 S OLUTIONS 1. c) Vrai. 2s b) Vrai, Bs a) Vrai. 4e a) Vrai. Ge b) Vrai. Gs c) Vrai. 7..a) Vrai. 8. b) Vrai. Bs a) Vrai. 10. c) Vrai. 11. En définissant la monnaie seulement comme un actif, on ne donne que la moitié de la définition de la monnaie, qui est un actif-passif. On ignore le circuit des bilans monétaires (voir fig. 4.1) qui illustre le caractére circulant de la monnaie de crédit. De méme qu'une brouette construite avec la moitié d'une roue ne peut rouler, cette monnaie a demi définie ne peut circuler. 12. La titrisation est le phénoméne se manifestant par un développement du financement par titres au décriment du financement traditionnel par crédits baneaires. Ila pris de l'ampleur sous l'effet de la grande crise internationale d'endettement qui a éclaté en 1982. Celle-ci était elle-méme la conséquence d'une distribution a grande échelle de crédits bancaires pour financer nombre de pays déficitaires 8 la suite du choc pétrolier de 1973. Ces crédits, distribués tous azimuts et sans trop d’égard pour la rentabilité des projets sous-jacents par les. grandes banques internationales dans le cadre du recyclage des « pécro- dollars », ont conduit en quelques années & une grave crise d'insolvabilité des débiteurs. Il y eut dés 1982 un ralentissement brutal de la distribution des crédits. C’estalors que le financement par titres pris le relais. Chacun y trouvait son compte : les agents 4 besoin de financement (Etats, entreprises), qui ont pu continuer & se financer désormais par émission de titres ; les intermédiaires financiers, qui, en facilitant la souscription des titres par leur clientéle d’épar- gnants, ont développé cette activité lucrative et sans risque pour eux (le risque dinsolvabilité du débiteur tant reporté sur 'épargnant souscripteur), La titri- sation a ainsi pris une grande place, notamment en France oii elle s'est étendue du financemene & long terme au financement & court-moyen terme avec la réforme du marché monétaire en 1985-86. Mais, salutaire dans les premieres années, la titrisation a eu 4 la longue des effets pervers : les intermédiaires ont développé4 outrance ce mode de financement si profitable et si peu risqué pour cux-mémes ; ils ont poussé largement au-dela de la limite de solvabilité des débiteurs, ce quia conduit a la grave crise financitre qui a éclaté en 2007. 13. a)B : flux net de billets émis dans la période ; D : dépéts, nets de reeraits, recucillis par EC dans la période ; F : financement net octroyé dans la période par EC aux agents non financiers & besoin de financement ; R : réserves nettes constituées dans la période par EC auprés de BC ; RF : refinancement net dans la période accordé par BC a EC. b) Ona: AM = B + Det ABM =B+R. S170 &8& all atl GBD: http://av.. 2 7 @ 146 TD Economie générale Vrai Faux En rendements d'échelle croissants, la produc a) au méme taux que les facteurs, oo b) plus vite que les facteurs. o 0° ©) moins vite que les facteurs. oOo L’hypothése de Leontief (TD3, p. 76) est une hypothése de rendements : a) croissants. b) décroissants Oo Oo ©) constants. Soit Q = ./T Ia fonction de production d'un agriculteur, ot T est la surface cultivée mesurée en hectares (ha) et Q la production de blé en quintaux, Le taux ré/ de rémunération des « services de la terre » éane rip = 10 %, l'agriculteur rationnel met en culeure une surface de : a) 5 ha. Oo. .O b) 15 ha, Oo Oo c) 25 ha. Oo Oo d) 35 ha, oo Q = ./KL est une fonction de production : a) & rendements d'échelle constants. oOo b) a rendements marginaux décroissants, oO .° Si PIB = PQ, ott P est le niveau moyen des prix et Q la quan- tité de biens et services constitutifs du produit intérieur brut de Vannée, le taux de croissance économique dans cette année est évalué par a) APIB/PIB — AP/P, o.° b) APIB/PIB — AQ/Q. Oo Oo ) APIB/PIB. oOo Oo Les chémeurs ne fone pas partie de la population active. Oo oO Dans l'explication de la croissance économique, le progres technique joue un réle : a) primordial Oo Oo b) marginal. Oo 0 celui du travail ou du capital. Qo Oo : a q S170 88 all all http://av.. 2 7 @ TD 5 @ Production, croissance et répartition 147 Vrai Faux 8. La répartition de revenus la plus inégalitaire est celle des revenus : a) primaires bruts. oo b) disponibles bruts. oOo 9. Un coefficient de Gini égal a l'unité correspond a une réparti- tion des revenus parfaitement : a) égalitaire, oOo b) inégalitaire. oOo 10. Dans une population dont la moitié des membres a un revenu nul, l'autre un revenu identique, le coefficient de Gini vaue a) 0, Oo Oo b) 0,25. oO 0) 0,5. oOo Revcccon 141. Soit Q = F(T) la fonction de production définie par Q = YT pour OSTS1 et par Q = (T + 1)/2 pour T2 1. Montrer que cette fonction est continue et croissante pour tout T 2 0, qu'elle est a rendements d’échelle décroissants mais n'est pas en cout point a rendements marginaux décroissants. Qu’en conclut-on ? 1.2. Soit @ = T”” une fonction de production monofactorielle. Aprés s'étre assuré que cette fonction est A rendements décroissants, montrer qu’a l"équi- libre la demande 7’ de facteur est fonction croissante du prix p de l'output et fonction décroissante du prix r de l'input. 13. Sous I'hypothése que les facteurs sont rémunérés a leur productivité marginale, établir avec la fonction de production Q = K“L', ot. a > Oct b > 0, que la rémunération totale des facteurs K et L (r étant le taux de rémunération de K, w celui de L) « épuise » le produit Q (de prix unitaire 1) sia +6 = 1, mais laisse non distribuée une partie de ce produit si a + b < 1, Dans ce second cas, A qui (ou A quoi) vous semble devoir servir le surplus de produit ? 14. Soit PIB, = P, x Q,, ott PIB, est le produit intérieur brut de l'année ¢, P, le niveau moyen des prix des biens et services consticutifs de ce PIB et Q, leur quantité. Pour toute variable x,, on note x, = (x,—x,_,)/x,.,.Moncrer que : PIB, = P,+0,+P,XQ,. Justifier !'approximation : PIB, = P, + 0, Comment mesurera-t-on la croissance économique dans cette année ¢ ? S170 88 all all http://av.. 2 7 @ 150 TD Economie générale f) Tracer la coutbe de Lorenz associée 4 la nouvelle répartition du revenu et calculer le nouveau coefficient de Gini G,. Comment peut-on juger de la politique mise en ceuvre, en ce qui concerne la réduction des inégalités sociales ? 20'. On considére deux populations A et B, dont les membres one éxé classés par revenu croissant et répartis en cing tranches de revenu, dont chacune correspond 4 20 % de la population totale (« cinquitmes ») : a) Tracet sur une méme figure les courbes de Lorenz de A et B. Peut-on risuel- Jement comparet Vinégalité de réparticion des revenus de ces deux popula- tions ? b) Calculer le coefficient de Gini G, et Gy de A et B respectivement. Quelle est, au regard de ce coefficient, la répartition la plus inégalitaire ? Que peuc- on penser en l'occurrence de l'utilisation de ce critére pour juger de l'inéga- lité de répartition des revenus ? S OLUTIONS 1. b) Vrai. 2. c) Vrai. 3. c) Vrai. 4. a) et b) Vrais. 5. a) Vrai. 6. Faux. + a) Vrai. Bs a) Vrai, Qe b) Vrai, 10+ c) Vrai. 11. FU) = JT = (1 + 1/2 = 1: Fese continue. Croissanee sur [0, 1] et sur [1, + ©, elle est croissante sur [0, + oof. F est a rendements d’échelle décrois- sants si et seulement si (voir 16. c) ci-dessous) F(T)/T est décroissante. Or, sur 10, 1], FOYT = 14/T et, sur [1, + ef, FODIT = 1/2T + 1/2; la fonction F(TYT est donc décroissante partout et par suite & rendements d’échelle décroissants, Cependant, elle n'est pas rendements marginaux décroissants en tout point, notamment sur ]1, + [ou F’(T) = 0. On vérifie ainsi que des rendements marginaux décroissants ne sont pas une condition nécessaire de rendements d’échelle décroissants. * Adapté d'un exercice da M, Jean-Charles Asselain, 518 OX8& aatll sul http://av.. 2 7 @ } TD 6 © Consommation, épargne et inflation 165 a c.M. Vrai Faux ‘1. La fonction keynésienne de consommation fait dépendre la consommation courante du : a) revenu moyen ancicipé de la période présente et fucure. oOo b) revenu courant de la période présence oOo ©) patrimoine. oOo 2. Si W est le patrimoine d'un agent et i le taux de rendement moyen de ses actifs de patrimoine, le revenu permanent a long terme de cet agent est : a) sans rapport avec i ni W. Oo Oo b) Wii. °o°0 ow. Oo Oo 3. La fonction de consommation de Modigliani est valid a) A court et a long terme. oOo b) A court terme seulement 0 Oo ©) A long terme seulement. Oo Oo 4. Liépargne des ménages de la théorie keynésienne correspond en comptabilité nationale & leur a) capacité de financement. oo b) épargne brute. ° 5. Dans le circuit keynésien de base, le temps de circuit mesure : a) le temps nécessaire pour que toutes les unités monétaires de F arrivent en S, Oo .0 b) le cemps moyen pour qu'une unité monétaire de F arrive enS. Q OQ ©) le temps moyen de séjour d'une unité monétaire dans les diffé- = rents péles entre deux départs consécutifs de cette unité du poleB. O O 2 d) le cemps moyen de séjour d'une unité monétaire dans E et M = % — entre son départ de B et son retour a B. Oo Oo = Gi. Le temps de circuit keynésien n'est pas : a) le cemps imparti aux entreprises pour réaliser des profits suffisants. Q © b) la courte période keynésienne, oo ©) le temps maximum pendant lequel le capital fixe peut étre E considéré comme constant. oO 2 dle temps de validité des anticipations. oOo £ i i 4 q { ane om 518 OX8& aatll sul http://av.. 2 4 @ sorisée ext um: z é TD 6 © Consommation, épargne et inflation 169 S OLUTIONS 1.b) Vrai. 2. c) Vrai. 3. a) Vrai, 4. b) Vrai. 5s b) et d) Vrais. 6. c) Vrai. 7. a) Vrai. Bsc) Veai. Bx a) Vrai. 104 ©) Vrai. 11. La condition premiére est la substitution A Vhypothése keynésienne, dite du revenu absolu, de I'hypothése du revenu relatif selon laquelle, dans la fonc- tion de consommation, se trouvent mises en relation les grandeurs elatives CIY ec Y/Y" au lieu des grandeurs absolues C et Y. Moyennant quoi, Duesen- berry garde a la fonction de consommation une spécification affine, caractéris~ tique, croit-il, de la fonction keynésienne. Or celle-ci prédit une décroissance de C/Y quand Y augmente. C'est précisément ce que met en évidence la nouvelle fonction en coupe instantanée : lorsque Y augment, il en va de méme de Y/Y, et C/Y diminue, ce qui fait dire 4 Duesenberry que la loi psychologique fondamentale concetne en fait augmentation de la consomma- tion individuelle rapportée a celle du revenu individuel quand on s‘éléve dans la hiérarchie des revenus au cours d’une période donnée (coupe instantanée). Mais sur deux périodes successives, la propension moyenne 4 consommer reste constante méme si les revenus individuels et donc le revenu global croissent : C'est ce que montre la nouvelle fonction en série chronologique sachant qu’avec un revenu en croissance, on a Y = Yo et par suite C/Y =a = b, constante positive Les conditions de résolution de la contradiction évoquée sont finalement celles-ci : (i) spécification affine de la fonction de consommation sous I’hypo- thése du revenu relatif, (ii) loi psychologique fondamentale applicable seule- ment en coupe instantanée, (iii) croissance du revenu global des ménages. 12. Les riches épargnent certes plus que les pauvres, mais il ne suffice pas d’épargner pour étre riche. Méme si I’épargne ese une adjonction au patri- moine donc un élément de richesse, elle n'est pas en soi la richesse. Il est vrai qu’a I'époque ott La Bruyre publiait ses Caractores (dans la seconde partie du régne de Louis XIV), la misére du peuple écrasé par les guerres et les impéts nécessaires & leur financement était telle qu'on avait souvent a peine de quoi se nouttir et que pouvoir épargner était synonyme d'une bonne aisance au moins. 13. La propension & consommer (7) du consommateur friedmanien ese posi- tive et en principe inférieure A l'unité (voir exercice 16). C'est une fonction décroissante de i: augmentation de la préférence collective pour le présent sur le fueur, qui correspond & une augmentation du taux d’ineérét /, conduit Vagent, dont la préférence pour le présent est inchangée, A épargner une plus grande part de son revenu permanent, c'est-A-dire 4 en consommer une plus

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