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6:02 © all sal GO 254. a 47 GB TD 3 QLes tableaux de flux 43 Le flux de trésorerie d’exploitation est un indicateur : a) objectif b) sensible aux variations d’activité c) stable pe De De De De De Deb La variation des stocks a une incidence sur la trésorerie. Daas le tableau de flux de la CDB, sont inclus dans le flux dinvestissement : a)_lessubventionsd’inv b) lecrédit-bail ©) laproduction immobilisée issement De De Do De De De De De 4) lesproduitsdesinvestissements financiers Revcsoon Quels sont les avantages de Ia méthode directe préconi financiers de la CDB? Quelles sont les logiques financiéres qui sous-tendent les différents tableaux de flux ? (PCG, Pool de fonds, OC) Quest ce qui différencie les tableaux de flux de trésorerie du tableau de financement du PCG? par les analystes Quelles sont les principales différences entre le tableau de flux CDB et le tableau OEC ? E NTRAINEMENT Commenter le tableau des flux de trésorerie consolidés de la société cotée BOURBON pour les années N-1 et N et mettez en évidence les faits ayant marqué les flux de ces deux années et leur évolution. © Diao ~ Toute reproduction non sutoride est 6:02 © 254. a 47 GB TD 3 QLes tableauxde flux 49 S JOLUTIONS 1. a) b) Vrai. Le tableau de financement du PCG est un tableau de flux de fonds. 2. b) d) Vrai. 3. b) Vrai. 4. b) c) Wrai. 5. a) c) Vrai. 6. a) b) Vrai. La trésorerie est un indicateur objectif car elle n’est pas influencée ni par les pratiques comptables (charges calculées et activation des charges) ni par Pévaluation des Cest un indicateur volatil car il est soumis 4 des -varia- tions saisonniéres. 7. Faux. La variation de stocks relatifs aux achats n’entraine pas de décaissement au cours de Pexercice et la production stockée 8. a) b) Vrai. 1a CDB issement atténuent le cout de l'inves stoc! n’entraine pas de décaissement au cours de Pexercic considére que les subventions ’inves sement. 9. Avec la méthode directe, les encaissements et les décaissements sont mis en évidence au niveau de chaque poste. Il est alors possible de mesurer Peffet des décalages de paiement et mettre en évidence des responsabilités (politique commerciale, politique @’approvisionnement. des variations de stocks, de la production immobilisée et des charges i répartir. ).Lescaleulssontind épendants 10. Les différents tableaux de flux reposent sur des logiques financiéres diffé- rentes : * Tableau de financement du PCG : Logique de croissance /risque d'insolvabi- lité. Ly a équilibre si on peut financer la croissance sans dégrader la trésorerie. * Tableau pool de fonds : Logique croissance /rentabilité/risque. Une entreprise, en rythme de croisiére et sur une longue période doit sécréter un flux net résul- tant des actif industriels positif. Le degré de dépendance de Pentreprise et sa vulnérabilité dépendent a la fois du signe du flux de portefeuille actif, de la t de sarentabilité. position de Pentreprise dans son cycle de v * Le tableau OEC : Logique croissance/ risque d'insolvabilité. Le flux de tréso- rerie généré par activité représente la trésorerie disponible pour financer la croissance de maniére autonome. 11. Le tableau de trésorerie abandonne la notion d’affectation des ressources aux emplois et ignore la notion de fonds de roulement. Le tableau de financement du PCG explique les variations des postes du bilan et par conséquent, évolution du patrimoine de Pentreprise. 12. Les principales différences sont les suivantes : — Les flux liés 4 activité sont calculés selon la méthode directe par la CDB et la méthode indirecte par POEC. prea) TS 6:02 © all «all GO 254. Q7gi 60 TD Finance d'entreprise DQ) ew Vrai Faux Le bénéfice d’une entreprise est d’autant plus instable que: a) entreprise est proche de son point mort A A b) lescotits fixes sontélevés A A c)_lamarge sur couits variable est élevée, A A Lefiet de levier est positif quand : a) letauxderentabilité économique > au taux deladette b) lasociété est soumise Aimpdtsurles bénéfices. c) le tauxd’endettement augmente @) le taux de rentabilité économique > au taux de renta- De bebe bm Deb Db bilité financiére Le niveau du point mort dépend : a) delastructure des coats dePentreprise by delapérioded’analys e De be Db De De ©) duvolume d'affaires a) comptable dela création de valeur ‘A est une mesure : b) boursiére de la création de valeur Dee > Db Db Db ©) internedelacréationde valeur La mesure comptable de la rentabilité économique tend he a) surestimer la rentabilité des entreprises en forte crois- sance b) sous-estimer la rentabilité des entreprises en forte croissance ©) surestimerla rentabilitédes entreprises anciennes Deb be be Deb be De d) sous-estimerla rentabilité des entreprises anciennes 6:03 © all sal GO 254. a 47 GB TD 4 QL étude des performances 61 Un taux de rentabilité économique élevée peut résulter : a) dune marge élevée et d'une forte intensité capitalis- tique b) dune marge élevée et d'une faible intensité capitalis- tique ©) dune marge faible et d’une forte intensité capitalis- tique 4) d'une marge faible et d’une faible intensité capitalis- Do De De De Db be bb tique LEVA est @autant plus élevé que : a) larentabilité de actif économique est forte b) lacroissance de Pactif économique est faible ©) lecoatducapital estélevé Dobe Deeb d) lecoutducapital est faible La MVA est une mesure : a) delavaleurajoutéecumulée b) deperformanceexterne ©) volatile De De De De De be be Les critéres EVA et MVA sont toujours concordants. Revcccon Quelles sont les limites des taux de rentabilité comptables ? ndetter ? Une entreprise a-t-elle toujours intérét a s Quels sont les principaux inconvénients de PEVA ? CIMEX est supérieure & la valeur comptable de ses capitaux propres. Que pensez-vous de la rentabilité de la capitalisation boursiére de la socié! © Diao ~ Toute reproduction non sutoride est 6:03 © 254. a 47 GB (© Dunod ~ Toute repredction mon aurisée ext un dit. TD 4 QL étude des performances 65 S JOLUTIONS 1. a) b) Vrai. 2. a) Vrai. II peut y avoir effet de levier méme en Pabsence @imposition. 3. a) b) Veai. Le niveau du point mort n’est pas absolu. Il diminue avec Pallongement de la période @analyse. 4, ¢) Vrai. LEVA est un ctitére hybride a la fois comptable et financier. Elaboré a partir des données comptables retraitées, il prend en compte Pexigence de rentabilité des inve tisseurs (CMP) mais ne dépend pas des mouvements du marché. 5. b) ¢) Vrai. 6. a) d) Vrai. 7. a) Vrai.8. a) b) c) Vrai.9. Faux. EVA est une mesure ex post du surprofit réalisé sur le dernier exercice et la MVA dépend des anti- cipations des investisseurs concernant les surprofits futurs. 10. Les taux de rentabilité comptables sont calculés a partic de donn comptables issues du bilan 4 la cloture de Pexercice et qui ne représentent pas ercice. De plus, ils ne corn s. Ils ne prennent forcément les encours moyens tout aulong de I pondent pas a ce qu’exigent les actionnaires ou les créanc pas en compte le risque et la valorisation. 11. Non. Elle o’a intérét a s’endetter que si le taux de rentabilité économique est supérieur 4 celui de la dette. 12. Le calcul de "EVA est limité a une année et peut, par conséquent, faire Vobjet de manipulations comptables. L'EVA peut etre mécaniquement amélioré d’année en année en réduisant, par exemple, ssements en. recherche et développement. C’est un indicateur 4 court terme qui a peu de valeur 4 moyen terme. s inves 13. Cette société est trés rentable. Le taux de rentabilité de ses capitaux propres est supérieur 4 celui exigé des actionnaires. 14. Le seuil de rentabilité Frais fixes/taux de marge sur coitt variable a) Taux de marge sur cout variable : MCV/CA Chiffre d'affaires 8500 8 500 Coit variables 7200 5.000 Marge sur coat variable 1300 3500 Charges fixes 800 3000 Résultat d'exploitation ‘500 500 Taux de marge/CV 15,3 % 412% [Seuil de rentabilité 5229 7281 prea) TS 6:03 © all sal GO 254. a 47 GB TD 5 @L’analysedes risques 73 a cm. Vrai Faux Liécart type du résultat dexploitation permet de comparerle risque dedeux entreprises detalles différentes. A A Le ratio de rotation des eréances clients est le suivant : a) créances clients + EENE / Ventes HT x 360} es TIC x 360} —Avances etacomptes recus b) créances clients / Ver ©) créancesclients +E / Ventes TTC x 360} De De De De De Be Le ratio actif net / passif doit étre : a) supérieur 10% b) supérieur 20% De De De De De De ©) inférieur 310% Le meilleur indicateur de la liquidité est : a) _latrésorerienette b) le fluxde trésorerie activité ©) lefluxdetrésorerieinterne Un ratio capitaux propres/endettement net <1 est toujours le signe de difficultés financiéres. De De De De De De be De Parmi ces affirmations, laquelle ou (lesquelles) est (sont) a) le risque financier provient des variations de Vécart > entre la rentabilité des capitaux propres et celle des actifs A économiques, : b) le risque financier est proportionnel au risque dexploi- > > tation etau taux d’endettement ©) ilexistetoujours unrisque financier A A Le ratio de liquidité réduite est le suivant : a) disponibilités / passifdu bilan b) créances réalisables + disponibilités / DCT ©) disponibilités / DCT De De De De De De (© Dunod Toute repeduetion non attoriss es 6:03 © all all 254. Qf GB 74 TD Finance d'entreprise Parmi ces affirmations, laquelle (ou lesquelles) est (sont) vraie(s) ? a) une entreprise fait faite parce qu'elle ext trop A endettée b) Pendettementaccroitle risque de faillite A A c) Pendettement détériore la rentabilité économique A A Fite exion L’équilibre financier fonctionnel informe-t-il sur le risque de faillite ? Quelles sont les limites des ratios de liquidité ? Quels sont les principaux biais dont souffre le ratio de rotation des eréances clients? E NTRAINEMENT La société Ribotte réalise un chiffre d’affaires de 5 500 000 €. La marge sur cout variable s’léve 4 2 700 000 € et les charges fixes 4 1 200.000 €. a) Calculer le seuil de rentabilité. b) Calculer le levier d’exploitation. ©) Le chiffre d'affaires suit une loi normale d’espérance 5 100 000 € ct d’écart- type 2.000 000 €. Calculer Pécart-type du résultat exploitation. d) Calculer la probabilité de ruine. La société Gamex vous fournit les informations suivantes : Les capitaux inve' 6 000 000 € xépartis de la manies s dans exploitation représentent un montant de suivante : + Capitaux propres : 2500 000€. * Endettement : 3 500 000 € au taux de 5 %. + La société a réalisé un chiffre d’affaires de 1 000 000 €. Elle a dégagé un résultat d’exploitation de 360 000 €. Celui-ci suit une loi normale d’espérance mathématique 350 000 € et d’écart type 80 000 €. 6:03 © all all 254. Q7gi 76 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. Faux. Il n’est pas pertinent de comparer directement Pécart-type du résultat de deux entreprises de tailles différentes. Il faut compares les écarts réduits pour chaque entreprise (6 (REX) / E (REX). 2. c) Vrai. 3. b) Vrai. 4. 0) Vrai. 5. Faux. Le niveau d’endettement ne peut s’apprécier que par rapport ala capacité de Pentreprise a sécréter des flux de trésorerie importants. 6. a) et b) Vrai. II n’y a pas de risque financier s'il n’y a pas d’endettement. Dans ce cas, le risque total attaché a la rentabilité des capitaux propres est constitué uniquement du risque d’exploitation. 7. b) Veai. 8. b) Vrai. Une entreprise fait faillite non pas parce qu’elle est trop endettée mais parce que sa rentabilité économique est insuffisante. En revanche, ’endettement accroit le risque de faillite. 9. Non. Une trésorerie nette négative signifie que ’équilibre financier n’est pas respecté c’est-a-dire que le FRNG ne couvre pas le BFRE. Cela ne veut pas dire que lentreprise est insolvable ou risque d’étre défaillante mais unique- ment qu’elle a recours a des financements externes. 10. Le ratio de liquidité générale exprime le sisque Clliquidité 4 court terme (a 1 an), Laconfrontation des créane etdes dettes & court terme ne donne qu'une idée partielle de la liquidité. Elle ne tient pas compte des aléas dans les encais- sements et les décaissements. Elle ignore aussi les décisions de gestion de tré- sorerie qui peuvent conduire 4 un moment donné a recourir a des passifs de trésorerie. 11. Le ratio de rotation des créances clients est calculé 4 partir du montant des créances qui apparait au bilan. Or, ce montant n’est pas toujours le méme toutau long de année lorsque Pactivité est saisonniére. Si Parrété des comptes de Yentreprise intervient 4 un moment de forte activité, ce ratio sera élevé, et faible dans le cas contraire. De mé bilan, le délai de rotation des créances subit un biais positif si l'entreprise est en expansion, et négatif dans le cas contraire. Par ailleurs, ce ratio souvent calculé globalement n’a de sens que si la politique de crédit client gene. 12. Société Ribot a) Le seuil de rentabilité REX = Marge / CV — Charges fixes = 2 200.000 — 1 200 000 = 1 000 000 Taux de marge / CV = 2 200 000 / 5 500 000 = 0,4 me, en retenant le montant des eréances au 6:03 © all sal GO 254. a 47 GB TD 6 @Principes d'actualisation et de capitalisation 87 a cm. Vrai Faux Pour actualiser une somme sur une période, il faut : a) ladi b) lamultiplier parle taux d’actualisation rparletauxd’actualisation ©) ladiviserpar(1 +letauxd’actualisation) De De De De De De De De 4) lamultiplierpar(1 +led°actualisation) Pour capitaliser une somme sur une période, il faut : a) ladiviserparletauxd’actualisation b) lamultiplier parle taux d’actualisation ©) ladiviserpar (1+ letaux d’actualisation) De De De De De De De De 4) lamultiplier par (1 +le taux d’actualisation) La méthode des taux simples est plutét utilisée pour calculer les intéréts + a) sur des opérations financiéres d’une durée inférieure a > Db unan b) surdes opérations financiéres d’une durée supérieure a D Db unan La valeur actuelle d’une rente perpétuelle est égale a : a) la valeur du flux perpétuel divisée par 1 +Ie taux @Pactualisation b) la valeur du flux perpétuel divisée par le taux d’actua- lisation ©) la valeur du flux perpétuel multiplié par le taux actualisation 4) lavaleur du flux perpétuel De De De Db be be 3 £ a La valeur future Wun flux actuel est @autant plus dlevée que a) letaux d’intéxétestélevé b) lecoefficient de capitalisation est faible De De De De De De @) lenombrede périodes de capitalisation est élevé (© Dunad ~ Tate repr 6:03 © all tl GD 254. Q7gi 88 TD Finance d'entreprise La valeur actuelle d’un flux futur est d’autant plus élevée que : a) letauxd’intérétest élevé b) lecoefficient d’actualisation est élevé ce) lenombre de périodes d’actualisation est levé pe Deb Dope La capitalisation est inverse de Pactualisation Lorsque les intéréts sont payés en fin de période ouvrant droit aux ets, il s’agit d’intéréts : a) post-comptés A A b) précomptés A A int Une obligation de nominal 100 4 taux fixe, sur 2 ans, remboursable in fine, a été émise au taux nominal de 4 %. Brutalement, juste aprés l’émission, le taux @obligations de méme risque grimpe a 4,5 %. Quel est le nouveau cours de Vobligation ? Justifiez. a) 100 A A b) 99 A A ©) 101 A A d) aucune réponseneconvient A A Fi Dans quel cas le taux d’actualisation peut étre FLEXION al au taux sans risque ? Dans quel cas le taux d’actualisation est égal au taux sans risque ? Dans quel eas le taux @actualisation doit étre différent du taus sans risque ? Qu’est ce que le coefficient actualisation ? Quelle interprétation financiére Ini donner ? Quelle est la différence entre les intéréts précomptés et les intéréts post- comptés? 6:03 © 254. a 47 GB on anorisde et TD 6 @Principes d'actualisation et de capitalisation 91 S OLUTIONS 1. ©) Vrai. 2. d) Vrai.3. a) Vrai. La méthode des int souvent utilisée pour de courtes périodes, celle des intéréts composés pour des périodes plus longues. 4. b) Vrai. 5. a) Vrai. Plus le taux d’intérét est dev plus la rémunération du temps est forte. Mathématiquement, le taux Pinté (1+) vient multiplier le flux actuel. Plus le multiple e: ©) Vrai. La durée de capitalisation correspond a la durée de renon- sera é ciation 4 une consommation immeédiate. Plus elle est longue, plus la rémuné- ration qui est une compensation est élevée. Ce raisonnement est valable pour les intéréts simples et composés. Mathématiquement, le nombre de périodes vient en puissance du coefficient de capitalisation en intéréts composés et en multiple du taux d’intérét en intéréts simples. 6. b) Vrai. En effet, le coeffi- cient d’actualisation vient multiplier le flux futur. Plus il est é et plus la valeur actuelle est élevée. Le coefficient d’actualisation évolue en sens inverse du taux Pintérét et du nombre de périodes, toutes choses égales par ailleurs. 7. Vrai. réalité économique. 8. a) Vrai. 9. a) Vrai. Le calcul exact est le suivant : P = 4/1,045 + 104/(1,045)? = 99,06 10. En avenis certain, lorsque le flux futur a actualiser est connu avec certitude. 11. 12.5: certitude. Ein effet, valeur actuelle et valeur futures sont le reflet d’une méme absence de risque etd’inflation. avenir incertain, lorsque le flux futur‘ actualiser n’est pas connu avec 13. Le coefficient @actualisation est le rapport 1/ (1 + 7). Hest Pinverse du 0) coefficient de capitalisation. II s’interpréte comme le prix aujourd’hui (en /= une obligation zéro-coupon ayant une valeur nominale égale 4 1 euro. 14. Lesinté éts post-comptés accompagnent ralement la méthode des intéréts simples sur des opérations financiéres infé- rieures A un an. Les intéréts précomptés sont payés terme 4 échoir c'est-a-dire davance. IIs sont versés par ’emprunteur 4 la date 4 laquelle il recoit les fonds empruntés. Ils sont de fait déduits du montant emprunté. Les intéréts post- comptés sont payés a terme échu. Ils sont versés par ’emprunteur avec le remboursement a la date ’échéance de son emprunt. 15. a) Avec la méthode des intéréts composés, la valeur future de 6 000 euros dans 10 ans au taux de 5 % est 6 000 x (1 +5 %)'*= 9 773,37 euros . b) Avec la méthode des intéréts simples, la valeur future de 6 000 euros dans 10 ans au taux de 5 % est 6 000 + 6 000 x 5% x 10=9000 euros . Te Te) TS 6:04 © 254. Qf GB 104 TD Finance d'entreprise @] venir incertain, il convient de calculer une rentabilité : éalisée A A b) espérée A A ©) exigé Vrai Faux En avenir certain, il convient de calculer une De Ded De De De ©) exigée U achets e action ne distribuant pas de dividende a été e pour 95 euros, elle en vaut un an plus tard 100. Sa rentabilité aura 100 —95 a) ———— = 5% A A b) = 5,26% A A 95-100 o)———_ =- 5% A A 100 95 — 101 21 = 5.26% A A 95 Avec un dividende de 2 euros distribué en fin d’année, le taux de rentabilité de Paction devient : a) 7% b) 7.37% °) -7% 4) —7,26% Le risque total est la somme du risque spécifique et du risque systématique. Le béta d’un titre est la pente de la droite de régression De be be be be be Do be be be dela rentabilité du titre sur celle dumarché. 6:04 © all sal GO 254. a 47 GB TD 7 QLe risque etla rentabilité 105 Le béta d'une action est de 1,2. Toutes choses égales par ailleurs, pour une variation de + 10 % du marché, Paction varie de: a) 8,33 % A A by 10% A A 3 11% A A d) 12% A A Le béta d'un portefeuille est la moyenne pondérée des A bétasdestitres en portefeuille. La valeur d'un portefeuille évolue strictement parallé- lement a celle de l’indice de marché. On en déduit que : a) leportefeuille est aussi risqué que le marché b) le portefeuille a un béta égal a0 ©) le portefeuille a un béta égal 41 De De De De De De De De d) le portefeuille est bien diversifié Revcsoon Quest ce que la volatilité ? comment la mesurer 2? La modification de la structure financiére d’une entreprise a-t-elle un impact sur la volatiité de ses actions. Dans une entreprise, le risque économique est-il un risque spécifique ? 2 etle risque financier ? Pourquoi le risque systématique n’est-il pas diversifiable ? Quel risque est mesuré par Pécart type de la rentabilité quotidienne ? méme question pour la rentabilité hebdomadaire, mensuelle, annuelle ? © Diao ~ Toute reproduction non sutoride est 6:04 © all all 254. Q7gi 110 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. b) c) Wrai. La rentabilité réalisée ne peut étre observée que ex post quand il s’agit d’un av igée est calcul le niveau de risque. 2. a) c) Vrai. La rentabilité en avenir certain se calcule de la méme fagon qu’une rentabilité réalisée. Méme en avenir certain, il convient de calculer une rentabilité exigée. $i le risque est nul, la rentabilité exigge confond alors avec le taux sans risque. 3. b) Vea sement relatif de richesse entre deux dates. En labsence de dividende, Cest le enir incertain. La rentabilité en accord avec . La rentabilité est Paccrois- rapport de la variation de prix par le prix initial. 4. b) Vrai. Lorsqu’un div dende est distribué sur une action, la rentabilité devient la somme dun ta de plus-value et d’un taux de rendement. 100 + 2-95 100-95 2 —" = 95 9595 r= 5,26 %+2,11% = 7,37 % 5. Faux. Le carré du risque total est la somme du carré du risque spécifique et du carré du risque systématique. 6. Wrai. Le béta est la pente caleulée par la méthode des moindre: . 7. d) Vrai. D’aprés le modéle de marché, r= a;+ B,r,,.+ €;,. Ainsi, avec un béta de 1,2, pour une varia- tion de + 10 % du marché, Paction varie de 1,2 x 10% = 12 %. Liimpact du risque spécifique n’est pas pris en compte dans ce calcul fait toutes choses égales par ailleurs. 8. Vrai. 9. a) c) d) Vrai. Sile portefeuille a une valeur strictement paralléle a celle du marché, alors son risque spécifique est mul, il est bien diversifié et il ne comporte que le risque de marché. Il s’agit un portefeuille reproduisant Pévolution du marché et il lui est parfaitement carrés ordinair corrék Son béta est alors égal a celui du marché, égal a 1. 10. La volatilité est le risque total dun actif financier. Elle est mesurée par Pécart type de la rentabilité. 11. Oui. [augmentation du niveau d’endettement augmente le risque finan- cier et par conséquent le risque sur les actions. 12. Dans une entreprise, le risque économique regroupe les deux composantes du risque, a savoir le risque spécifique et le risque de marché. Des événements propres 4 Pentreprise tels que le risque de la survenance d’une panne, le risque incendie, la qualité de la direction... nait le risque économique spécifique. D7autres événements affectent le marché dans son ensemble auxquels Pentreprise est sensible. Ces derniers forment son risque économique de marché. De méme pourle risque financier, la structure financiére donne naissance au risque financier spécifique et le risque de taux par exemple explique le risque financier de marché. 6:04 © 254. Q7gi (© Dunod ~"Toaterpretion nom aurisée ext un dit TD 8 @Le MEDAF etle taux derentabilité exigé a cm. Le risque systématique est non diversifiable. La prime de risque est la différence entre le taux de rentabilité et le taux sans risque. Sur la frontiére efficiente de Markowitz, il est possible de trouver deux portefeuilles : a) de méme risque et d’espérances de rentabilités différentes by de méme espérance de rentabilité et de risques différents c) de risque et d’espérances de rentabilités différents En présence de actif sans risque, la frontiére efficiente est une demi-droite. Parfaitement diversifié, un portefeuille a un béta nul. Laction A a une wolatilité de 34% et un béta de 0,8. L’action B a une volatilité de 26 % et un béta de 1,1 : a) Ie risque de A est supérieur a celui de B b) le risque systématique de A est supérieur A celui de B ©) le risque spécifique de A est supérieur A celui de B Le portefeuille de marché comprend seulement des actions, Le MEDAF est un modéle prévisionnel. @une action la situent au-dessus de la 2. On en conclut quelle est Les coordonné DDM prévisionnel a) surévaluée par le marché b) sous-évaluée par le marché ©) correctement évaluée par le marché La prime de risque est constante. Vrai A A De Di Dedede De De De be De De De De De 129 Faux A A Do De Dede De De De De De De De De De De 6:04 © all cull 254. Q7gi 134 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. Vrai. Le risque systématique est assumé dés lors qu’une opération est sur le marché. La diversification n'y fait rien. Pour Péliminer, il faut 2. Vrai. 3. c) Vrai. La frontiére efficiente de Markowitz euls réalisé sortir du marché est le licu des portefeuilles dominants. Pour un niveau de risque donn les portefeuilles promettant la meilleure rentabilité y sont représentés. Pour un niveau de rentabilité attendue donné, seuls les portefeuilles les moins risqués y sont représentés. 4. Vrai. L’actif sans risque transforme la frontiéxe efficiente en une demi-droite le reliant au portefeuille de marché. 5. Faux. Un portefeuille parfaitement diversifié est un portefeuille duquel le risque spécifique a été éliminé. II présente seulement un risque systématique. II s’agit alors du portefeuille de marché dont le béta est égal 4 1. Un portefeuille ayant un béta nulest totalement non corrélé au marché. 6, a) ¢) Vrai. Le risque total ou volatilité est mesuré par Pécart type. Le titre le plus risqué est celui qui a la volatilité la plus élevée. II s’agit de A. Le béta mesure le risque systématique. Hest plus dlevé pour B. Si A est plus risqué que B et que son risque systéma- tique est inférieur a celui de B, alors c'est son risque spécifique qui est a Porigine de sa volatilité excessive. 7. Faux. Le portefeuille de marché comprend tous les titres émis sur le marché y compris les actions et les obliga- tions. 8. Vrai. Le MEDAF est un modéle d’équilibre qui permet de calculer la rentabilité attendue pour un niveau de risque systématique donné. Il permet ainsi de réaliser des prévisions de rentabilité connaissant le béta des titres. 9. b) Vrai. Lvaction étant située au-dessus de la DDM prévisionnelle, sa rentabilité espérée est supérieure a celle d’équilibre donné par le MEDAF. Son prix actuel ne refléte donc pas correctement l'ensemble des flux futurs qu'elle promet. Il les sous-estime. L’action est alors sous-évaluée par le marché et il convient dePacheter. 10, Faux. La prime de risque est variable dans le temps et dans espace. 11. Au sein d'une entreprise, la rentabilité économique rémunére les pour- voyeurs de fonds pour le risque économique inhérent a activité. La rentabilité financiére, elle, rmunére les actionnaires pour A la fois le risque économique et le risque financier lié A la structure financiére. La rentabilité financiéze devrait done étre plus élevée. 12. La centabilité financiére peut s’écrire comme étant la somme de trois composantes = le taux sans risque ; — une prime de risque économique qui rémuné ¢ pour le risque économique ; 6:05 © 254. Q7gi 150 TD Finance d'entreprise Le levier financier dépend : a) de Yévolution du cours en bourse des actions de A Pentreprise by de Pévolution du taux Cintérét des dettes équiva A lentesa celles del’entreprise c) de évolution du taux d’imposition sur les bénéfices A A delentreprise Qu’est-ce que le risque financier ? Comment le justifier ? Peut-on dire que la fiscalité des entreprises fait de la dette un véhicule de création de valeur ? Dans une entreprise endettéc, a qui profite économie d’impét induite par Pendettement ? Avec la prise en compte des coiits de faillite, une structure de finan- cement optimale existe. Expliquer pourquoi. Le cout de la dette dépend-t-il de ’évolution des taux d’intéréts sur le marché au-dela de la date d’émission de la dette par l'entreprise ? Le bilan en valeur de marché de Ventreprise Jara est représenté ci- dessous. Les actionnaires exigent une rentabilité de 11,4°%. Le coiit de la dette est de 6%. lactif économique | 1000 |Ccapitaux propres 600 Dettes 400 Total 1000 |rotal 1000 a) Calculer le cout moyen pondéré du capital de Jara (le CMPC). 6:05 © all cull 254. Q7gi 154 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. Faux, dans un univers sans impot, la structure financiére n’a pas d'impact sur la valeur de Pentreprise. 2. b) Vrai. Dans un univers sans impot, le cout du capital est indépendant de la structure financiére. En revanche, les action- naires xigent une rentabilité supérieure lorsque le niveau de la dette augmente. 3. b) c) Vai. Dans un univers sans impdt, la valeur de Pentreprise est indépendante de la structure financiére. Mais une modification de la struc- ture financiére affecte naturellement les valeurs respectives des capitaux propres et de la dette. 4. a) b) ¢) d) Wrai. Dans un univers avec impot sur k sociétés, une baisse du niveau d’endettement entraine une baisse de la valeur de Péconomie dimpot réalisée sur le paiement des intéréts de la dette ce qui induit une baisse de la valeur pour les actionnaires. Au final, c’est la valeur de Pentreprise dans son ensemble qui es . 5. c) Vrai. Dans un univ avec impét sur les sociétés, une hausse du niveau d’endettement pourrait augmenter le risque de défaut de Pentreprise et amener les banquiers a es t diminut ers augmenter leurs taux d'intéréts. En méme temps, elle augmente le risque financier supporté par les actionnaires qui deviennent alors plus exigeants en terme de rentabilité. Toutefois, ’économie d'impot réalisée sur le paiement des nouveaux frais financiers compense largement la hausse des précédents coats. Au final, le coat moyen pondéré du capital diminue. 6. Vrai. L’augmentation du niveau d’endettement s’accompagne d’une hausse du risque de faillite et par conséquent de la probabilité de devoir payer les coiits directs et indireets de faillite. Lors du calcul de la valeur de Pentreprise, la valeur actuelle de ces couits de faillite vient en déduction de Péconomie d'impot rattachée 4 ’endettement. 7. a) b) c) d) Vrai. Les actionnaires supportent les deux risques, économique et financier. Il est normal que la rentabilité qu’ils exigent en dépende. Le béta est également une me: levier financier refléte la structure financiére de Pentreprise. Or le niveau @endettement détermine le niveau du risque financier. 8. a) b) c) Veai. L’évolution du cours en bourse fait varier la valeur de marché des capitaux ure du sisque systématique des capitaux propres. Le propres. La valeur de marché de la dette dépend de Pévolution sur le marché du taux (intérét pour des dettes équivalentes. Cest notamment vrai lorsque 4 taux fixe. Du taux d’imposition des bénéfices dépend la valeur de Péconomie dimpiét réalisée sur le paiement des frais financiers de la dette et la dette e: par conséquent la valeur des capitaux propres auxquels est rattachée la dite économie dimpét. La modification de la valeur de marché des capitaux propres ou de la dette fait varier leurs pondérations dans la structure financiére. Elle fait done varier le levier financier. 6:05 © 254. Q7Qg Toute repation non aris ex © Dunod TD 9 @Le cofitt du capital et la structure financiére de l’entreprise 155 Y. Le risque financier est un risque qui pése sur les actionnaires d’une entre- prise endettée. Il est véhiculé par ’endettement financier. Plus le niv dette augmente, plus le risque financier est important. II s’explique par le fait que le revenu des actionnaires est résiduel, calculé aprés rémunération des au dela créanciers. Or le revenu économique partagé entre créanciers et actionnaires est aléatoire, sujet au risque économique. En méme temps, la rémunération des créanciers est fixe et certaine. Le risque se concentre et s’amplifie alors au Ces derniers supportent 4 la fois niveau du résidu qui revient aux actionnair le risque économique et le risque financier. 10. Les charges financiér sur la dette réduisent I’a Pentreps -conomie d’impdt qui vient augmenter la valeur de l’entreprise. La valeur d'une entreprise endettée est par cons¢quent supérieure 4 celle d’une entreprise équivalente non endettée. La différence provient de Pavantage fiscal de la dette qui devient ainsi un véhicule de créa- tion de valeur. tte fiscale de versées . Elles générent ainsi une 11. économie d’impét générée par Pendettement vient augmenter la valeur dePentreprise dans son ensemble, de son actif économique. Ce surplus de valeur revient au final aux actionnaires qui voient la valeur des capitaux propres augmenter et devenir supérieure 4 la seule valeur de leurs apports. 12. Plus la dette augmente, plus Péconomie d’impot qu’elle génére est importante. Dans le méme temps, le risque que lentreprise se retrouve en difficultés financitres, incapables de faire face & ses engagements augmente. La réalisation de ce risque accasionne des coats de faillite et de dysfonctionne- ments. Actualisés, ces derniers viennent ponctionner une part de l'avantage fiscal procuré par la dette. II existe alors un niveau d’endettement optimum pour lequel la valeur actualisée des coats de faillite et de dysfonctionnement égalise la valeur de Péconomie d’impot. 13. Un bilan en finance est un bilan en valeurs de marché. La valeur de marché de la dette a taux fixe dépend du taux d’intérét des dettes équivalentes, le taux du marché du moment. S'l sagit d'une dette a taux variable, n’est pas affectée par Pévolution des taux. Toutefois son taux dintérét e définition égal au taux du marché du moment. Par conséquent, calculer le levier financier a partir de valeurs de marché implique impérativement la prise en compte du taux d’intérét du moment pour le calcul du coat de la dette. I] en découle que le coat de la dette exprimé en pourcentage est toujours le taux dintérét observé sur le marché pour des dettes présentant le méme niveau de risque. valeur par 14, a) Le CMPC est calculé comme étantla moyenne pondérée des coats des sources de financement de l'entreprise. 600 400 low = 11,4 % * , + 6% ™ 7 = 224% 000 000: CMPC, Le] R UT) SS ra a 6:05 © 254. a 4 eet Towe repradicton non at oun TD 10 @ Les décisions d’investissement 2) ew. La VAN mesure : a) la valeur créée par le projet b) la création de valeur relative ©) Ia liquidité du projet Les flux suivants doivent étre pris en compte dans Pévaluation d’un projet a) les cotits de formation du personnel engagés ily aun an b) la valeur marchande d’un brevet, propriété de l’entre- prise, et utilisé pour le projet ©) une partie du salaire du directeur général LIP est utilisé comme critére de choix quand : a) ilexiste une situation de rationnement du capital sur une période b) ilexiste une situation de rationnement du capital sur plusieurs périodes c) leprojetest soumis a plusieurs types de contraintes Le‘TIR suppose un réinvestissement des flux a) aucotitmoyen pondéré du capital b) autauxderentabilitéexigé parlesactionnaires ©) autauxinternede rentabilité Le délai de récupération mesure : a) latichesse créée parle projet au bout de années b) le temps nécessaire a la récupération du montant de Pinvestissement c) le rapport entre V’investissement et les flux nets de trésorerie actualisés Un projet est acceptable si a) son’TIRestsupéricur au taux de rentabilité exigé par Pentreprise b) son IP estinférieura 1 ©) saVANestpositiv Vrai De A DoD be De Deb 471 Faux be be De De De >» eb 6:05 © 254. Q7gi 172 TD Finance d'entreprise Pour compater des projets de durées de vie différentes, le meilleur critére es a) letauxderentabilité b) led ©) Panauité équivalente ai derécupération De De De > Les critéres globaux prévoient un réinvestissement des flux : a) autauxd’actualisationduprojet A A b) Auntauxcorrespondantauxopportunitésdinvestisse- A A ment ©) Aun taux supérieur au taux d’actualisation du projet A. A Le CMPC est un taux d’actualisation pertinent quand : a) leprojet présente le méme risque quele risqueécono- A mique de Pentreprise b) leprojet est finaneé aun taux spécifique A A ©) le financement du projet modifie le risque financier de Fentrepzise Le béta d'un projet est: a) toujours égal a celui de Pentreprise b) dépend du mode de financement adopté De De De de ©) dépend des caractéristiques du projet Quelles sont les limites du‘TIR ? Quel est Pintérét des critéres globaux ? Le délai de récupération prend-t-il en compte le risque ? Quelle est la signification du taux d’actualisation permettant de calculer la VAN. Comment est-il choisi ? ep] 6:05 © 254. a 47 GB (© Duna ~ Tene reproduction nan autersge ext TD10 QLes décisions d’investissement 175 S JOLUTIONS 1. a) Vrai. 2. b) Vrai. Les cotits de formation du personnel sont des couits sibles. Le salaire du directeur général n’est pas inhérent au projet é méme en absence de projet. 3. a) Vrai. 4. ©) Vrai. 5. b) Vrai. 6. a) et b) Vrai. 7. c) Wrai. 8. b) Vrai.9. a) Vrai. 10. c) Vrai. Le béta du projet est égal a celui de Pentreprise uniquement si le projet a un risque identique & celui de Pentreprise. Or, le risque du projet dépend de ses caractéristiques (secteur d’activité, pays, zone économique). 11. Dans le calcul du TIR, on suppose implicitement que les flux dégagés par l'investissement sont replacés et réinvestis au TIR du projet. Or, ilest peu probable que Pentreprise trouve 4 replacer les sommes dégagées dans des ste pas, pour projets équivalents. Pour certaines séquences de flux, leTIR n° @autres, il existe plusieurs ‘TIR. 12. Les critéres globaux permettent de régler les conflits de critéres entre la VAN et le TIR qui résultent de différences dans les hypothéses implicites de stissement des flux. IIs prennent en compte ’existence d’opportunités de s dégagés par le projet et supposent un stissement des flux 4 un taux correspondant a ces opportunités aux dates auxquelles ces flux sontdégagés. de récupération est un indicateur approximatifdu risque d'un inves- t. En effet, plus il est court, moins le risque de Pinvestis t pas compte de Fincertitude lige a estimation des flux de liquidité 14. Une entreprise, soucieuse dutiliser efficacement les ressources dont elle dispose, ne devrait réaliser que des investissements dont la rentabilité anti- cipée est au moins égale au coat de capital est le taux de rentabilité minimum que doivent dégager les investisse- ments pour satisfaire 4 la fois l'exigence de rentabilité des actionnaires et des é que pour les projets présentant un risque comparable 4 celui de Penteeprise. Pour les projets plus risqués, il faut retenir eréanciers. Il ne peut étre utili un taux d’actualisation qui inclut une prime de risque. 15. Société OCEANBEACH Capital investi (en K€) = 800 (machines) + 1 200 (atelier) + 600 (terrain : cotit d’opportunité) + 150 (BFR) = 2.750 REX = EBE-DAP DAP = (800 / 5) + a 200 / 20) = 220 Impot REX x 1/3 VR=900(VNCde! Pater) +600 (valeurdu terrain) + 150 (récupération du BER). prea) TS 6:05 © aatll sail 254. Q7gi 1D 11© Les décisions de financement 185 Vrai = Faux L’autofinancement est une ressource gratuite A A Lautofinancement augmente quand : a) Pentreprises’endette b) le tauxd’imposition augmente p> D> D> D> ©) lapartdurésultatdistribuédiminue Les entrep: capital doivent qui procédent 4 une augmentation de re a) trésrentables b) peurentables Pb De ©) moyennement rentables augmentation de capital en numéraire a les consé- quences suivante: a) accroissementdelatrésorerie del’entreprise b) augmentation dures ultat de Pentreprise Deb pe > ©) modification systématique de la structure de Pactionnariat La technique de Paugmentation de capital avec droits préférentiels de souscription est utilisée quand: isseurs est nécessaire a) Fentrée de nouveaux inves b) les actionnaires anciens vont souscrire majoritairement c) la société n’est pas cotée Le coat des capitaux propres est moins élevé que celui de Pendettement De De Dede De De De De Lors dune augmentation de capital en num de souscription doit étre ire, le prix a) Inférieurau prix de marché des actions b) Supérieur la valeur nominale des actions pe De De Db Db c) ligalau prix de marché des actions Tote epeduction non aris ext 6:06 © 254. Q7Qg i nom atid ex Teate rep © Dina 1D 110 Les décisions de financement 189 S OLUTIONS 1. Faux. Lautofinancement a un coat @opportunité. Les actionnaires auraient pu plcer leurs dividendes dans des placements rentables. Ils n’acceptent de laisser le résultat dans Pentreprise qu’ la seule condition que celle-ci leur offee une rémunération au moins égale 4 celle qu’ils auraient pu obtenir sur le marché. 2. c) Vrai. 3. a) Vrai. 4. a) Vrai. L’augmentation de capital en numéraire n’a pas d’incidence sur le résultat. La modification de Pactionnariat dépend de la technique de augmentation (avec ou sans DPS) et de la décision desactionnaires anciens de souscrire ou non. 5. b) Vrai. Quand la société n’est pas cotée, ’augmentation de capital se fait généralement avec DPS mais quel- quefois elle peut seffectuer sans DPS et étre réservée a des investisseurs iden- tifiés. 6. Faux. Les actionnaires prennent plus de risque que les _créanciers. 7. a) et c) Vrai. 1 comme limite inférieure légale, et le cours en bourse comme limite écono- mique supérieure. En effet, une émission d’actions 4 un prix supérieur au prix de marché ne rencontrera pas de souscripteurs. prix de souscription est encadré par la valeur nominale 8. L’augmentation de capital en numéraire augmente les ressources finan- ciéres propres. Ce faisant, elle améliore la capacité d’endettement ainsi que Pautonomie financiére et finance le développement. Mais ’augmentation de capital entraine une dilution du bénéfice et du pouvoir de contrdle. De plus, compte tenu de son conit élevé, elle est peu utilisée par les PME. 9. Les entreprises ont recours 4 une émission obligataire pour obtenir des fonds a un prix inférieur au cotit normal du marché. L’émission d’un emprunt obligations leur permet de programmer une augmentation future de capital. 10. Les sociétés de capitaux qui émettent des emprunts obligations doivent avoir deux années d’existence, publié deux bilans approuvés par les action- naires et appelé la totalité du capital. 11. Le DPS remplit une double fonction. D’abord il protége Pactionnaire ancien de la dilution de sa richesse en Iui donnant une compensation pour celle-ci. Ensuite, le DPS rétablit Pégalité di transfert de richesse des nouveaux actionnaires vers k actionnaires en permettant un esanciens. 12. Laugmentation de capital par conversion de dettes peut concerner aussi bien des dettes d’exploitation que des dettes financidres. Le eréancier @exploi- tation peut voir un intérét 4 transformer sa créance en participations dans le capital de Pentreprise. De cette maniére il acquiert en effet un pouvoir de gestion lui permettant Wagir de Fintérieur pour redresser les performances de prea) TS 6:06 © 254. Q7gi 200 TD Finance d'entreprise Vrai Faux La valeur d’une entreprise est égale a la valeur d a) b) sonactiféconomique ses capitaux propres c) son actif économique netdel’endettement De be be be pb Db d) sescapitaux propres nets del’endettement Pour calculer la valeur d’une entreprise, les flux de tréso- retie disponibles de Pactif économique sont actualis au: a) taux derentabilité exigé parles actionnaires b) tauxderentabilitéexigé desactifs ¢) coutducapital De be be be pe DD d) cottdes capitaux propres Pour calculer la valeur des capitaux propres, les flux de trésorerie disponibles pourlesactionnaires sontactualisésau : a) taux de rentabilité exigé parles actionnaires b) taux derentabilitéexigé desactifs e) coutdu capital De be be De pe De be Db d) cotitdes capitaux propres La valeur de marché de la dette financiére est égale a la somme des flux d’intérét et de remboursement du capital actualisés au : a) coatducapital A b) cofitdeladetteaprésimpét A A c) tauxd’intérétversé surladette Do > @) taux dintérét du marché pour des dettes équivalentes A Une obligation a taux variable présente un risque : a) derevenu A b) decapital A > Db 6:06 © all cull 254. Q7gi 206 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. b) Vrai. Selon la méthode d’actualisation des flux de trésorerie disponibles, la valeur d’une entreprise est égale a la valeur de son actif économique. Celle- et les créanciers. 2. b) c) Vrai. Le taux sorerie disponibles de Pactif économique est le igé de Pactif économique, lui-méme égal au coiit du capital. 3, a) d) Vrai. Le taux d’actualisation des flux de trésorerie disponibles pour les actionnaires est le taux de rentabilité exigé par ces derniers, lui-méme égal au coiit des capitaux propres. 4. d) Vrai. Le taux d’actualisation des annuités de la dette est le taux d'intérét du marché du moment, observé sur des dettes présentant le méme niveau de risque. 5. a) Vrai. La valeur d’une obligation & taux variable est fixe, indépendante du taux dint marché. Elle ne présente donc pas de risque de capital. En revanche, ses revenus étant indexés sur le taux du marché, variable par instance, elle verse une rému- nération non fixe. Elle présente alors un risque de revenu. 6. b) Veai. La valeur d’une action est égale a la somme de ses flux faturs et de sa valeur de revente actualisés au taux de rentabilité exigé par les actionnaires. Dans Phypothése d’une rente perpétuelle, la valeur de action est égale au rapport entre le prochain revenu supposé perpétuel et le taux de rentabilité exigé par les actionnaires. Ce dernier est alors égal au rapport du dividende 4 lavaleur. ker = 4 _ gog 50° 7. Faux. C'est le montant annuel correspondant 4 Pensemble des investisse- ments envisagés par 'entreprise qui doit étre déduit afin de calculer les flux de trésorerie qui serontalors disponibles pour les pourvoyeurs de fonds. 8. Vrai. 9. Vrai. Le paiement des intéréts de la dette génére une économie Pimpét qui revient aux actionnaires. 10, Faux. Le calcul des flux de trésorerie dispo- nibles de lactif économique n’intégre pas cette économie dimpét. Le taux imposition est en effet appliqué au résultat d’exploitation, donc avant prise en compte des intéréts de la dette. ci se répartit entre les actionnair Pactualisation des flux de tr taux de rentabilité & t sur le 11. 1a valeur @’une obligation A taux variable n’est théoriquement pas affectée par la variation des taux dintéré index . Elle est en effet nu égal ace qui est pratiqué sur le marché. En revanche, une obligation 4 taux fixe rému- nére Aun taus fixé lors de Pémission alors que le taux sur le marché peut varier sur le march sur ce dernier et, 4 tout moment, continue a verser un revi dans un sens ou dans l’autre. Les inv: préférer des obligations nouvelles asi en cas de hausse, plus élevé et stisseurs pourront versant des intéréts 4 un taus 6:06 © 254. Q7gi (© Duna ~ Tene reproduction nan autersge ext TD 13 @ Les autres méthodes d'évaluation a cm. Le résultat d’exploitation peut servir d’inducteur pour calculer un multiple : a) de Pactif économique b) des capitaux propres Le résultat net peut servir d’inducteur pour calculer un multiple : a) de Pactif économique b) des capitaux propres Le PER d'une entreprise est plus faible que la moyenne des PER de son secteur. On en conclut qu’elle est : a) sous-évaluée par le marché b) surévaluée par le marché Le ratio PBR connu aussi sous le nom de Tobin’s Q est égal : a) au rapport ente la valeur comptable et la valeur de marché b) au rapport ente la valeur de marché et la valeur comp- table Lorsque le coiit du capital se confond avec la rentabi- lité économique etle coditdela dette, la valeur calculée par la méthode patrimoniale et la valeur calculée par_actuali- sation des flux de trésorerie disponibles sont équivalentes. La prime de remboursement des obligations est un actif fictif qu’il fautdéduire lors de Pévaluation de Pactif net. Lécart de conversion-Actif est un actif fictif qui doit toujours étre déduit lors du calcul de l'actif comptable net. Le fonds de commerce n’est pas pris en compte lors de Pévaluation par : a) la méthode patrimoniale by la méthode du goodiill Vrai D> Dede DoD DD 221 Faux de De De De De De de De 6:06 © all cull 254. Q7gi 228 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. a) b) Vrai. Le résultat d’exploitation est un résultat avant répartition entre créanciers et actionnaires. II peut servir aussi bien au calcul de multiple de actif économique qu’a celui des capitaux propres. 2. b) Wrai. Le résultat net est évidemment calculé aprés frais financiers, done apres rémuneration d créanciers. II ne peut alors servir d’inducteur pour calculer un multiple de Pactif économique qui représente la fois Pinvestissement des actionnaires et des eréanciers. 3. a) Vrai. Cependant, la sous-évaluation ne peut étre expli- quée par le niveau du PER que sous certaines conditions. L’une d’elles est que Pentreprise présente le méme niveau de risque que la moyenne du secteur. Une autre nécessite quelle ait un niveau de croissance comparable a celui de son secteur. 4. b) Vrai. Il s’agit du rapport entre le prix de marché et la valeur comptable. 5. Vrai. Cependant, il est rare observer unc telle situation en pratique. Lorsque la rentabilité de Pactif économique est égale au coat du capital, 'entreprise ne crée ni détruit de la valeur. 6. Vrai. La prime de remboursement des obligations émises par Pentreprise doit étze versée aux obligataires lors du remboursement de Pemprunt. Elle ne fait done pas partie du patrimoine de Fentreprise et n’appartient pas aux actionnaires. C’est un actif fictif qu'il faut alors déduire. 7, Faux, Il doit étre déduit seulement s'il t pas compensé par une provision au passif. 8.a) Vrai. Dans approche patrimonial liminé car il ne présente aucune signi- fication utile. Cependant, les éléments incorporels du fonds de commerce sont implicitement inclus dans le goodwill. 9. a) Vrai. Plus le prix de Pactif sous- jacent est élevé, plus le profit potentiel en cas dexercice de Poption Wachat augmente et tire sa valeur vers le haut. L’inverse est vrai lorsqu’ll s’agit du prix ee 10. by Veai. Plus le prix d’exercice est élevé, plus le profit poten- tiel en cas W’exercice de Poption de vente augmente et tire sa valeur vers le haut. Llnverse est vrai lorsqul s’agit du prix de Pactif sous-jacent. le fonds commercial est ercict 11. La méthode du goodwill permet de corriger la valeur obtenue par la méthode patrimoniale afin de prendre en compte Pévolution future du béné- fice de Pentreprise. Elle repose sur Pactualisation d’une rente annuelle de good- wilf calculée comme étant la différence entre le résultat Economique exigé et le résultat économique réel prévu. 12. Voutilisation d’un échantillon d’entreprises cédées pour calculer d multiples « de transaction » s’avére plus pertinente lorsque Vobjectif de Pévaluation est une prise de contrdle. En effet, les prix payés par les acquéreurs des entreprises intégrent, au-dela de la valeur des capitaux propres, une prime de contréle qui rémunére pour le pouvoir exercé par Pactionnaire majoritaire et pour les synergies anticipées avec la cible. 6:07 © all wall GED: 254. Q7gi 244 TD Finance d'entreprise OQ .m @CGS| FSJES-MASTER Vrai_ Faux Lorsque le prix d’exercice est supérieur au prix de marché du sous-jacent a) L’optiond’achatest dans lamonnaie b) L’optiond’achatest en dehors delamonnaie c) Loptionde vente est dans la monnaie De De De De Deb bb @) Loption de vente est en dehors de la monnaie Le point mort de Pachat d’option dPachat est égal a a) Leprixd’exercice—la prime b) Leprixd’ ©) laprime—-prixd’exercice ercice + la prime De De De > bb Le point mort de Pachat d’option de vente est égal a) Leprixd’exercice—la prime b) Leprixd’ c) Laprime—prix d’exercice rcice +la prime De De De Deb De Qu’est-ce qui est illimité ? a) Leprofitpotentiel d’unacheteurd’option d’achat b) Laperte potentielle d’un acheteur d’option d’achat c) Leprofitpotentiel d’unacheteurd’option de vente 4) Laperte potentielle d’un acheteurd’option de vente De De De De De > Db Deb e) Laperte potentielle d’un vendeur d’option La valeur d'une option est d’autant plus élevée que a) Léchéanceest é b) Léchéanceest faible c) Lavolatilité de Pactif sous-jacent est élevée De De De De > De De De @) Lavolatilité de Pactif sous-jacent est faible Lavaleurd’une option d’achat est d’autant plus dlevée que a) leprix de marché de actif sous-jacent est élevé b) leprixd’exercice estélevé De De De bbb élevé ©) letauxd’intéréte @) lerevenudel’actif sous-jacentest él 6:01 © 254. a 47 GB TD1 QLes lectures financiéres du compte de résultat 7 2) .w. FSJES-MASTER Vrai Faux La valeur ajoutée est un indicateur : a) dela performance delentreprise A A b) delatailledePentreprise A A ©) dupoids économique deTentreprise A A La politique d’amortissement n’a aucun effet sur : a) Vexcédentbrutd’exploitation b) surlerésultat courantavantimpot ©) sur lerésultat exceptionnel De De Dr De De De De De d) surlerésultatnet La capacité d’autofinancement est la différence entre : a) lesproduits encaissésetles charges décaissées De De DD b)_lesproduits encaissables etles charges décaissables c) les produits d’exploitation et les chargesd’exploitation d)_les produits encaissables (sauf produits de cession) et les charges décaissables A A La capacité d’autofinancement est : a) un fluxde fonds b) un fluxdetrésorerieréel De De De De De De ©) un flux deressource interne de’entreprise L'EBE augmente si, toutes choses égales par ailleurs : diminue a) laproduction stocké De De be Db b) lescharges financiéres diminuent ©) les charges de personnel diminuent d) lamarge commerciale augmente A A LEBE mesure : a) lacréationde richesse d’exploitation b) [efficacité économique etcommerciale dePentreprise De De De De De De c) Venrichissement brutdel’entreprise (© Dano ~ "Tote repraduction nan antarsge est 6:01 © 254. Qf GB 8 TD Finance d'entreprise Le retraitement de la redevance de crédit-bail : a) augmente lemontant de la valeur ajoutée A A b) diminue le montant de valeur ajoutée A A ©) est sans incidence sur le montant de la valeur ajoutée A A Lorsquls sont retraités, les frais de sous-traitance : a) diminuent la production delexercice b) diminuent les charges de personnel Dede pb > ©) diminuent les charges externes Lenregistrement d’une moins-value sur cession Pun élément d’actif de 300, compte tenu d’un taux d’imposi- tion de 33 1/3: a) diminuela TAF de 300 Fde 100 ) augmente laCAFde300 @) augmente laCAFde 100 ©) maaucunimpactsurlaCAF b) diminuela De be be be be De De LEI E est indépendant : a) des choixcomptables dePentreprise b) delapolitique fiscale ©) dumodede financement De be be De De De De @) delapolitiquede dividendes Fase scion Pourquoi doit-on setraiter le crédit-bail ? Pourquoi le concept de production n’est-il pas satisfaisant ? Lexistence d’un autofinancement est-il synonyme d’une augmenta- tion de la valeur de Pentreprise ? Le mode d’€valuation des stocks a-t-il une incidence sur les soldes inter- médiaires ? 6:01 © 254. a 47 GB TD 1 QLes lectures financiéres du compte de résultat 11 S OLUTIONS 1. b), c) Vrai. Le niveau et le taux de la VA dépendent de organisation de Ventreprise. Ils peuvent baisser alors que les indicateurs de performance roduc, sentabilité, profitabilité) augmentent. 2. a) c) Vrai. 3. d) Vrai. a) c) Vrai. La CAF n’est pas un flux de trésorerie réel car ile lages entre la réalisation d’un flux d’exploitation et sa traduction en trésorerie. 5. c) d) Vrai. 6. a) b) Vrai. 7. a) Vrai. 8. a) c) Vrai. 9. d) Vrai. Une moins-value de 300 engendre une économie d’impét de 100, done une dimi- nution des charges décaissables. 10. a) ¢) d) Vrai. L7EBE estindépendant des choix d’amortissement mais est influencé par les modalités d’évaluation des stocks. re des déca- 11. Le matériel financé par crédit-bail est utilisé dans le processus de produc- tion et entre dans le cout des facteurs de production. Le crédit-bail n’est pas une simple prestation de services mais un mode de financement comparable 4 un emprunt. 12. La production de Pexercice es la production vendue est évaluée au prix de vente tandis que la production stockée et la production immobilisée sont évaluées au cout de production. 13. Non pas systématiquement. L’autofinancement n’entraine la création de valeur que si les réinvestissements sont rentables, si les fonds internes sont réinvestis 4 un taux de rentabilité supérieur au taux de rendement exigé des fonds propres et si le montant de Pautofinancement est suffisant pour garantit une flexibilité financiére. constituée d’éléments hétérogénes 14. Le mode d’évaluation des stocks influence tous les soldes intermédiaires de gestion, de la marge commerciale au résultat net. Si le prix unitaire du stock augmente, la marge commerciale évaluée en PEPS > Marge commerciale (CMP). Sile prix unitaire baisse, la marge commerciale (CMP) > Marge commerciale (PEPS). 15. VEBE et le REX se rejoignent dans le fait que tous deux ne tiennent compte que de produits et de charges d’exploitation. Ces deux soldes ne sont pas affectés par la politique de financement de lentreprise. Ce qui caractérise PEBE cest qu'il n’intégre que les produits et les charges ayant une incidence sur la trésorerie, c’est-a-dire seulement les produits encaissables et les charges décaissables. L’EBE peut étre vu comme le résultat d’exploitation encaissable. Le REX est obtenu par la différence entre le total des produits et le total des charges d’exploitation. I] est done dépendant de la politique d’amortissement de Pentreprise puisqu’ll retient les dotations aux amortissements. prea) TS 6:01 © all «all GO 254. Q7gi 24 TD Finance d'entreprise Den Vrai Faux La trésorerie nette est positive quand : a) lerésultat netest positif b) Ventreprise dispose de liquidités ©) Pencaisse excéde les concours bancaires courants De Ds De > > b> le FRNG est supérieur au BFRE La trésorerie nette diminue quand : a) lesbénéfices sontmisen réserve b) Ventreprise rembourse unemprunt c) Pentreprise achéte des immobilisations a crédit De De De De > > bb @) PentreprisepaiclaTVA Le fonds de roulement net global doit : a) étre obligatoirement positif b) couvrirle BFRE ©) financer les immobilisations @) couvrirle BFRHE De De De > > > Le BERE est d’autant plus élevé que : a) lecyclede productionestlong b) le volumed?activité augmente ce) Pentreprise travaille en flux tendus De De De De oe De d) Ventreprisea recours ala sous-traitance Le FR patrimonial est négatif signifie que : stinsolvable b) Ventreprise fait dela transformation financiére ©) Pentrepriseesten situation d’illiquidité De De De De > Db De Db 4d) Pentreprise stun hypermarché L’actif net est égal : a) ladifférence entre le total de actif et les actifs fictifs b) la différence entre les actifs fictifs et les passifs fictifs ec) ladifférence entre les actifs réels et les passifs réels a) ladifférence entre les capitaux propres ct les passifs fietifs De De De De De > De 6:01 © all sal GO 254. a 47 GB TD 2 GLes lectures financiéres du bilan 25 Le FR patrimonial est : a) unindicateur de liquidité D dD b) un indicateur de solvabilité ©) permanent Lactif économique est égal & : a) Vactif total diminué des actifs financiers by Ia somme des encours nets engagés dans Pentreprise 's et du BFR ©) la somme des actif immobilis s) Pactif total diminué du BERE De De De De de De De De Le bilan économique permet de : a) recenser les avoirs et les engagements de Pentreprise b) comprendreles besoins de Pentreprise etles modes de financementmisenplace ce) révélerla structure financiére del’entreprise d) montrerl’affectationdesressourcesdurables auxemplois Dp Db De De De De De be stables Lendettement net est égal a: a) la différence entre les dettes stables etles CBC b) la différence entre les dettes financiéres et les_dettes financiéres etles dettes d’exploitation c) la différence entre le total des dettes et les actifs de Dob be trésoreri 4) la différence entre les dettes financiéres stables et la pb pe Db be trésorerie nette e Ea des crédits clients pour un total de 15, des stocks de premiéres pour un total de 20 et des stocks de produits finis pour un total de 5. Elle a des dettes fournisseurs pour un total de 40 et des dettes fiscales et sociales pour un total de 3. année _ précédente, le BFR était de ses égales par ailleurs, la trésorerie de E: b) s’améliore ©) ne change pas Do De De De De De De De ) aucune réponse ne convient (© Duma —"Toaterepreduction nom autorsge ext un 6:01 © all cull 254. Q7gi 30 TD Finance d'entreprise S OLUTIONS 1. ¢) Vrai. 2. b) d) Vrai. 3. b) Vrai : dans Panalyse fonctionnelle le FRNG doit couvrir le BFRE au moins pour sa composante stable. 4. a) b) Vrai. 5. b) c) Vrai : 'entreprise n°est pas en mesure de faire face a ses échéances et se finance 4 CT pour investir 4 L'T’.a) Peut-étre. 6. c) d) Vrai. 7. a) c) Vrai. 8. c) Vrai. 9. b) c) Vrai. 10. d) Vrai. 11. a) Vrai: la trésorerie de E se détériore. En effet, le BER est passé de — 5 ’année précédente a — 3. C’est pour Pentreprise une resource qui diminue. 12. Lentreprise dégage des bénéfices mais ceux-cine sont pas suffisants pour combler le déséquilibre entre les ressources dont dispose Pentreprise et les besoins de financement engendrés par la croissance. Il s*agit d’un effet de ciseau structurel. 13. Ce principe qui suppose laffectation d stables n'est pas satisfaisant pour plusieurs raisons : es ressources durables aux emplois — Dans les grandes entreprises les décisions d’investissement et de finan- cement résultent ’arbitrages rentabilité/ risque. Dans certains cas, un finance- ment par concours bancaire peut étre préférable aun financement stable (selon les anticipations de taux). — La caractérisation de la stabilité dépend de la nature baneaire de la dette. Or, certains concours bancaires a priori précaires peuvent s'apparenter A du financement stable. — Le PRNG quien découle n’a plus de sens dans une économie de marchés laquelle les choix de financement ne s’effectuent pas en fone- < propres et les dettes. financiers dat tion de la maturité de la dette mais entre les capitau 14. Non car: — Un actif net négatif peut cacher des plus values latentes importantes. — Toutes les entreprises présentant un actif net négatif ne font pas faillite. — Un actif net négatif peut étre ponetuel. 15. Vutilisation de Pendettement net permet de mettre en évidence la situa- tion nette (débitrice ou eréditrice) de Pentreprise vis-A-vis des tiers hors cycle dex comme lopposé Pun de Pautre. Le niveau d’endettement et de placement constitue un choix de steucture financiére au méme titre que la répartition des ploitation. Endettement et placements financiers doivent étre considérés ressources entre capitaux propres et dettes. 16. Trois facteurs agissent suz le niveau du BER: 6:02 © all «all GO 254. Q7gi 42 TD Finance d'entreprise Vrai Faux Le tableau de financement du PCG est : a) untableaudeflux b) un tableau d’emplois-ressources debe > De be De c) untableau de variation d’encaisse LExcédent de Trésorerie @'Exploitation est égal a : a) PEBE diminué du BFRE b) PEBE diminué dela variation du BERE ©) laCAFdiminuéedu BFR do bed pb Db bb @) la différence entre les produits d’exploitation encaissés etles charges d’exploitation décaissées. Le tableau de flux de POF st centré sur: a) lacapacité d’autofinancement b) lefluxde tr orerie disponible c) lefluxdetrésorerie interne De be be bb Db d) lavariationduFRNG Une augmentation du poste client représente : a) b) unbesoin ©) unfluxdetrésorerienégatif De be De De be De De @) unfluxdetrésorerie positif Le tableau de flux de trésorerie perme a) designalerPeffetciseau b) demettreen évidence Péquilibre fonctionnel ©) deprévenirle risque de cessation de paiement do be be pb bbb @) de montzer les transformations du patrimoine au cours dePexercice

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