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R Sum S Cours 2bac Biof 2019-2020
R Sum S Cours 2bac Biof 2019-2020
نسبة األهمية مكونات الفرض تصحيح الفرض مدة اإلنجاز تواريخ الفروض نوع الفرض الدورة
50% االتصال أسبوع 4 أسبوع 2 منزلي 1
50% االشتقاق أسبوع 6 ساعتان أسبوع 5 محروس 1
40% أسبوع 9 أسبوع 7 منزلي 2
دراسة الدوال
األولى
45% المتتاليات العددية
الدوال األصلية أسبوع 12 ساعتان أسبوع 11 محروس 2
15%
40% الدوال اللوغاريتمية أسبوع 14 أسبوع 12 منزلي 3
60% األعداد العقدية أسبوع 16 ساعتان أسبوع 15 محروس 3
70% الدوال اللوغاريتمية أسبوع 4 أسبوع 2 منزلي 1
20% والدوال األسية أسبوع 6 ساعتان أسبوع 5 محروس 1
المعادالت التفاضلية
10%
الحساب التكاملي الثانية
30% الحساب التكاملي أسبوع 10 أسبوع 8 منزلي 2
70% الهندسة الفضائية أسبوع 12 ساعتان أسبوع 11 محروس 2
20% الهندسة الفضائية أسبوع 14 أسبوع 12 منزلي 3
80% حساب االحتماالت أسبوع 16 ساعتان أسبوع 15 محروس 3
+ + (−) et 0
Limite d’une fonction irrationnelle
▪ Si lim f ( x ) = a , avec ( a 0 ) alors lim f ( x) = a . 0
x →? x →?
et
▪ Si lim f ( x ) = +
x →?
alors lim
x →?
f ( x ) = + 0
Operations sur les limites Limites et ordre.
Dans ce paragraphe, a désigne un nombre réel ou Dans ce paragraphe, a désigne un nombre réel
+ ou − , L et M sont deux nombres réels. ou + ou − .
Limite de la somme de deux fonctions. Théorème1: Soient f et g deux fonctions
lim f ( x) L L L + − + définies sur un intervalle I.
x →a
lim g ( x)
x →a
M + − + − − ▪ Si ( x I ) ; f ( x ) g ( x ) et lim g ( x ) = +
x →a
▪ Si ( x I ) ; f ( x ) g ( x ) et lim g ( x ) = −
Limite du produit de deux fonctions. Le signe se x →a
lim f ( x) L L 0 0
détermine alors lim f ( x ) = − .
x →a en x →a
respectant ▪
lim g ( x)
x →a
M la règle des THÉORÈME DES GENDARMES : Soient f , g et
lim ( f ( x) g ( x) ) L M F. I signes h trois fonctions définies sur un intervalle
x →a
I. et k un réel.
Limite du quotient de deux fonctions. Si ( x I ) ; g ( x ) f ( x ) h ( x )
lim f ( x)
x →a
L L0 0 et lim g ( x ) = lim h ( x ) = k Alors lim f ( x ) = k
x →a x →a x →a
lim g ( x)
x →a M0 0 M 0
Lemme :
f ( x) L Si ( x I ) ; f ( x ) − k g ( x ) et lim g ( x ) = 0
lim
x →a g ( x)
F. I F. I x →a
M Alors lim f ( x ) = k
x →a
2) lim x − 2 x + 5
3 2) Calculer les limites de f aux bornes de I.
x → −
3) lim ( x 4 − 2 x + 1)
Exercice 3 :
x3 − 1
Soit f la fonction définie sur IR\ 3 par f ( x) = 2
x → −
2 x2 − 5 x − 6x + 9
4) lim
x→ − x − x 2 + 9
1) Etudier le signe de x − 6 x + 9 .
2
x +1 1 1
8) lim+ 2 1) Montrer que, ( x 0 ) ; f ( x) − 2.
x →1 x − 1 2 x
x2 − 5x + 4 2) En déduire lim f ( x)
x →+
9) lim
x →1 x2 − 1 Exercice 5 :
x−3 Soient ( C f ) et ( C ) les courbes représentatives respectivement des
10) lim g
x →3 x ² − 4 x + 3
fonctions f et g .
4x + 5 − 3
11) lim
x →1 x −1
12) lim 4 x ² + 3 − 2 x 1) Conjecturez
x →+
13) lim 4 x² + 3 + 2 x a) ( D f ) et ( Dg )
x →−
x3 − 8 b) lim f ( x) et lim+ g ( x)
x→4 x→0
14) lim
x →2 x 2 − 4
15) lim 4 x ² + 3 − x
c) f (0;2) et g (0;9)
x →+ d)Le signe de f ( x) .
16) lim 4 x² + 3 + x e) Le signe de g '( x) .
x →−
x ( x − 3) f) Le tableau de variation de f.
17) lim 2) Quelles sont les solutions des équations:
x − x +1 −1
x →3
f ( x) = g ( x) ; f ( x) = 0 ; f ( x) = −1 et g ( x) = 1
18) lim x 2 + x − 1 − 3 x
x →+ 3) Soit m un réel donné, donnez le nombre de solutions de l’équation
1 − cos x 2
f ( x) = m.
19) lim
x →0 x2 4) Résoudre graphiquement l’inéquation: f ( x) g ( x) .
20) lim
x2 + x + 3 + x − 5 5) Supposons que D f = −9; 9 et f est une fonction paire .
x →2 x−2 a) Donnez la valeur de: f (−4) et f (−7)
1
21) lim x sin b) Complétez la construction de la courbes ( C f ) .
x →+
x
tan x − sin x 6) Construire la courbe de la function f sur l’intervalle 0; 9 .
22)lim
x →0 x3
1 − cos x
23) lim
x →+ x Le succès est la somme de petits efforts, répétés jour
1 + cos 2 x
24)lim 2
x →0 x +2
après jour. Leo Robert Collier
Attention: Une fonction ne peut pas être continue en un point qui n'appartient pas au domaine de définition,
cela n'a aucun sens.
Remarques : f (a ; b ) = m; M tels que m est le minima et M est le maxima de f sur le segment a ; b .
- Si l’intervalle I n’est pas fermé, alors son image est un intervalle qui peut être fermé, ouvert ou semi-ouvert.
Propriété : f est dérivable en a si est seulement si f est dérivable à droite en a, f est dérivable à gauche
en a et f d ( a ) = f g ( a )
Interprétation géométrique du nombre dérivé.
1) Si f est dérivable en a alors ( C f ) admet une tangente en A ( a; f ( a ) ) d’équation: y = f ( a )( x − a ) + f ( a )
2) Si f est dérivable en a alors x f ( a )( x − a ) + f ( a ) est la fonction affine tangente à f au point a.
3) Si f est dérivable à droite en a alors ( C f ) admet une demi-tangente en A ( a; f ( a ) ) de coefficient
directeur f d ( a ) .
4) Si f est dérivable à gauche en a alors ( C f ) admet une demi-tangente en A ( a; f ( a ) ) de coefficient
directeur f g ( a ) .
5) Si f est dérivable à droite en a et à gauche en a et f d ( a ) f g ( a ) alors A ( a; f ( a ) ) est un point anguleux.
f ( x) − f (a)
6) Si lim+ = alors f n’est pas dérivable à droite en a, Cependant, la courbe admet au point
x →a x−a
d'abscisse a une demi-tangente verticale.
2) Dérivabilité sur un intervalle - Fonction dérivée d’une fonction.
Définition: Soit f une fonction définie sur un intervalle I.
▪ On dit que f est dérivable sur I si elle est dérivable en tout réel x de I. Dans ce cas, la fonction qui à tout
réel x de I associe le nombre dérivé de f en x est appelée fonction dérivée de f et se note f’.
▪ On dit que f est dérivable sur a ; b si elle est dérivable sur a ; b , dérivable à droite en a et dérivable à
gauche en b.
Propriétés : Toute fonction polynôme est dérivable sur IR .
▪ Toute fonction rationnelle est dérivable sur tout intervalle inclus dans son ensemble de définition.
▪ Les deux fonctions sin et cos sont dérivables sur IR.
▪ La fonction x x est dérivable sur 0;+ .
Théorème (Dérivation d’une fonction composée) :
Si u est une fonction définie et dérivable sur I et v une fonction définie et dérivable sur J tel que u( I ) J ,
alors v o u est dérivable sur I et on a : ( x I ) ; ( v o u) '( x) = v ' ( u( x)) u '( x)
Théorème (Dérivation d’une fonction réciproque) :
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I et a I .
▪ Si f est dérivable sur I et (x I ); f '( x ) 0 , alors f −1 est dérivable sur J = f ( I ) et on a :
( x J ) ; ( f −1 ) '( x ) =
1
f ' ( f −1 ( x ) )
et si f '(a ) 0 alors ( f ) '( f (a )) =
−1 1
f '(a )
u( x ) u '( x ) v ( x ) − u( x ) v '( x ) 1
v( x ) ( v( x ) )
2 x
2 x
1 − u '( x ) 1 1
−
( u( x ) )
2
u( x ) x x2
u v( x ) u '(v( x )) v '( x ) sin x cos x
u '( x )
n u( x ) cos x − sin x
n n u( x )
( u( x ) ) n. ( u( x ) )
n n −1 1
u '( x ) tan x 1 + tan 2 x =
cos2 x
● n
x = nm x m ● n m
x = nm x ● n
x n y = n xy ● n
x
= n
x
/ y0
n y y
Remarque. Les règles de calculs sur les racines nième sont les mêmes que celles sur les racines carrées.
X) Puissance d’exposant rationnel d’un réel strictement positif.
p
Soient x un nombre réel strictement positif et r un nombre rationnel tel que : r = avec ( p; q ) .
q
q
( )
qp p p
q q
xp = xq .
q
On remarque que : x = x = xp x p = x p donc
q q
et
Propriétés : Pour tous réels x et y strictement positifs et pour tous nombres rationnels m et n on a :
● x n y n = ( xy )n ● (x ) = x
m n mn
● x m x n = x m+ n
n
● xn x xm ● 1
=
yn y
● n = x m−n xn
= x−n
x
Remarque. Les règles de calculs sur les exposants rationnels sont les mêmes que celles sur les exposants entiers.
……………………………………………………………………………………………………
EXERCICES ET PROBLÈMES Exercice3 :
Soit f la fonction définie sur IR par :
Exercice 1 :
Soit f la fonction définie sur IR par :
f ( x) = 3 − 3 x − x
3
si x − ,1
x3 − 8 f ( x) = x − 1 − 1
2
si x 1, +
f ( x ) = si x − , 2
x−2 et (C f ) sa courbe dans un repère orthonormé (O; i ; j )
→ →
f ( x ) = x + 2 + 10 si x 2, +
1) Etudier la continuité de f à droite et à gauche en 1.
1) Calculer f (2) et lim− f ( x ) 2) a) Etudier la dérivabilité de f à droite et à gauche
x→ 2
en 1. Puis Interpréter graphiquement les résultats.
3) calculer f '( x ) pour x − ,1 .
2) Est-ce que la fonction f est continue en 2 ?
3) Etudier la continuité de f sur IR.
4) Etudier la dérivabilité de f en 2, et interpréter 4) Montrer que le point I (0; 3) est un point
géométriquement les résultats. d’inflexion de (C f ) .
Exercice 2 : 5) Donner le tableau de variation de f sur IR.
Soit f la fonction définie par : f ( x ) = x + 3 x − 2 6) Etudier les branches infinies de (C f ) .
3
1) Montrer que l’équation f ( x ) = 0 a une seule 7) Ecrire une équation de la tangente à (C ) au point I
solution sur 0;+ et que 0;1 .
f
( )
x 0; ; f ( x ) 0 et (
x ; +) ; f ( x ) 0 9) Tracer la courbe ( C f ) dans le repère ( O; i; j).
4) Montrer que f admet une fonction réciproque 10) Soit g la restriction de f sur l’intervalle − ,1 ,
f −1 définie sur un intervalle J que l’on précisera, montrer que g admet une fonction réciproque g −1
puis calculer f (0) ; f −1 ( −2) et ( f ) '(−2) .
−1 définie sur un intervalle J que l’on précisera, puis
tracer sa courbe dans le repère précédant.
1
2) Vérifier que : g '( x ) = .
( x ² + 1) x ² + 1
3) En déduire que : (x IR): g ( x ) 0 .
Partie 2 : Soit f la fonction définie sur IR par :
1
f ( x ) = x − 1 + x² + 1
▪ La droite ( D) : y = − est une asymptote
2 1) Vérifier que pour tout réel x on a : f ’ ( x ) = g ( x ) .
horizontale à la courbe (C) au voisinage de − . 2) Dresser le tableau de variation de f .
1
▪ La droite ( ) : y = 2 x + est une asymptote oblique 3) Montrer que lim f ( x ) = −1 . Interpréter
2 x →−
Notation et vocabulaire.
▪ L’image de n par la suite u est notée un au lieu de u ( n ) .
▪ La suite est notée ( un )nI (ou plus simplement ( un ) si n IN ).
▪ un est un « terme » de la suite, et on l’appelle terme général de la suite.
▪ Si la suite commence par u1 , alors un est le nième terme, ou terme de rang n.
▪ Si la suite commence par u0 , un est le terme de rang n + 1 .
▪ On peut définir une suite par une formule explicite, c'est-à-dire par une relation du type : un = f ( n )
▪ On peut définir une suite par récurrence, c'est-à-dire par une relation du type un+1 = f un ou par ( )
d’autres types.
II) Monotonie d’une suite numérique
Soit I une partie de IN tel que : I = n IN / n p avec p IN
Remarques :
• Si ( un ) est une suite croissante, alors elle est minorée par son premier terme u0 .
• Si ( un ) est une suite décroissante, alors elle est majorée par son premier terme u0 .
IV) Suite arithmétique – Suite géométrique.
Suite arithmétique Suite géométrique
S’il existe un réel r tel que : S’il existe un réel q tel que :
( un )n p est une suite (n p ) : un+1 − un = r ( n p ) : un+1 = q un
(r est appelé raison de la suite) (q est appelé raison de la suite)
un en fonction de n (n p ) : un = up + (n − p)r (n p ) : un = up qn− p
Somme des premiers u p + un 1 − q n− p +1
termes d’une suite S = ( n − p + 1) S = up avec q 1
2 1− q
2) Critères de convergence.
Théorème 1 : Soient (un) et (vn) deux suites définies sur IN.
Si, à partir d'un certain rang, un vn et lim vn = + alors lim un = + .
n→+ n→+
Théorème des gendarmes : Soient (un) , (vn) et (wn) trois suites définies sur IN.
Si, à partir d'un certain rang, vn un wn et lim vn = lim wn = L alors (un) est convergente et lim un = L .
n→+ n→+ n→+
Théorème des gendarmes : Soient (un) et (vn) deux suites définies sur IN .
Si, à partir d'un certain rang, un − L vn et lim vn = 0 alors (un) est convergente et lim un = L .
n→+ n→+
Théorème 3 :
- Si une suite croissante est majorée alors elle est convergente.
- Si une suite décroissante est minorée alors elle est convergente.
Remarque : Ce théorème permet de s'assurer de la convergence mais ne donne pas la limite.
3) Théorème de convergence des suites récurrentes.
Propriété : Soit (un) une suite définie par :
( n IN ) ; un+1 = f (un ) et u0 I
Si f est continue sur I , f ( I ) I et (un) est convergente
alors la limite de (un) est une solution de l’équation f (x) = x
Principe de récurrence :
Pour démontrer par récurrence qu’une proposition Pn est vraie pour tout entier naturel n, on procède en deux
étapes, puis on conclut.
• Première étape : On vérifie que P0 est vraie.
• Deuxième étape : On suppose que pour un entier naturel n quelconque, la propriété Pn est vraie, et sous
cette hypothèse, on démontre que la proposition Pn+1 est vraie.
• Conclusion : lorsque les deux étapes sont franchies, on conclut que la proposition Pn est vraie pour tout
entier naturel n positif.
Corollaire :Si u est une fonction dérivable sur I telle que u( x ) 0 pour tout réel x de I, alors la fonction
u( x )
f :x admet des primitives de la forme : x ln u( x ) + c où c est une constante réelle.
u( x )
ln x
Définition : La fonction logarithme de base a, noté log a , est la fonction définie sur 0; + par : log a ( x ) = .
ln a
Pr: BELKHYR ABDELAZIZ 2019/2020
10/03/19 ( site maths en fr : www.mathsbiof.com ) 15
EXERCICES ET PROBLÈMES 3) a) Déterminer l’intersection de (∆):y = x et (C f ) .
b) Tracer (C f ) et (∆).
Exercice 1:
Simplifier les expressions suivantes. 4) a) Montrer que f admet une fonction réciproque g
définie sur J = 0, + .
( )
A = ln 3 − 3 + ln 3 + 3 ( ) B = ln e3 − ln
2
e
+ ln 2
b) Tracer la courbe (C f ) dans le repère (O, i , j ) .
1
C = 3ln 2 + ln 9 − 2 ln(2 6) 5) On considère la suite ( un ) définie par :
2
Exercice 2: u0 = 0 et un+1 = g(un ) pour tout n de IN.
Résolvez dans IR les équations suivantes. a) Montrer que pour tout n de IN on a : 0 un e .
1) ln x + ln(3x + 2) = ln(2 x + 3) b) Montrer que la suite ( un ) est décroissante.
2) ln( x − 3) + ln( x + 1) = ln( x + 7) c) En déduire que ( un ) est convergente et trouver sa
limite.
3) 4 ( ln x ) − 4ln x − 3 = 0
2
Exercice 8:
Exercice 3: Partie1 : Soit g la fonction définie sur −1; + par :
Résolvez dans IR les inéquations suivantes.
2x
1) ln ( 3 − x ) − ln ( x + 1) 0 g ( x) = − ln ( 1 + x )
x +1
2) 4 ( ln x ) − 4ln x − 3 0 1) Dresser le tableau de variation de g.
2
2) Montrer que l’équation g(x) = 0 admet dans
Exercice 4: l’intervalle −1; + deux solutions 0 et α et vérifier
Déterminer le domaine de définition de la fonction f. que 3,8 < α < 4.
1) f ( x ) = ( ln( x ) − 2) 4 − x 3) En déduire le signe de g( x ) pour tout x −1, +
2) f ( x) = 1 − ln x 4) Montrer que pour tout x de −1; + , on a:
3) f ( x) =
2x g( x ) 1
1 − ln x Partie2 : Soit f la fonction définie sur 0, + par :
Exercice 5:
ln ( 1 + x )
Calculez les limites suivantes. f ( x) = si x 0 et f ( 0 ) = 0 .
ln (1 + 3 x ) ln ( x + 3) x
A = lim B = lim On désigne par (C f ) la courbe représentative de f
x →0 x x →+ x
1 ln ( x 2 + 4 x ) dans un repère orthonormé (O, i , j ) du plan.
C = lim x ln + 1 D = lim
x →+
x x →+ x 1) Montrer que f est continue sur 0, + .
E = lim+ x ln(1 +
1
) F = lim
( x + 2 ) ln x 2) Etudier la dérivabilité de f à droite en 0.
x →0 x2 x →1x2 −1 g ( x)
2 2 3) Montrer que (x 0); f ' ( x ) = .
G = lim+ x + 1 − ln x H = lim x + 1 − ln x 2x x
x →0 x x →+
x 4) Dresser le tableau de variation de f
Exercice 6:
2
Démontrer que la fonction f est dérivable sur 0; + et 5) vérifier que : f ( ) = .
1+
explicitez f '( x).
6) Tracer la courbe (C f ) dans le repère (O, i , j ) .
1) f ( x ) = x 2 ( 2ln x − 1) 2) f ( x ) = ln 1 + 4 x + x 2 Exercice 8:
x 2 ln x ln(1 + x 2 ) Déterminer une primitive F de la fonction f sur I.
3) f ( x) = 4) f ( x) =
1+ x x 3 1
1) f ( x ) = ; I = − ; + .
Exercice 7: 2x + 1 2
la fonction f définie sur 1, + par : f ( x ) = x ln x . 2) f ( x) =
4x − 2
; I = IR .
x − x +1
2
Définition: La fonction réciproque de la fonction log a est une fonction définie sur IR est appelée la fonction
exponentielle de base a et se note expa tel que : expa ( x) = a x = e x ln a .
Dérivée de la fonction x ax : ( x IR) ;expa'( x) = (a x )' = (e x ln a )' = (ln a).e x ln a = (ln a).a x
logb ( x )
Remarques : expe ( x ) = e x ; loge ( x ) = ln x ; loga (a ) = 1 ; loga ( x ) = (changement de base )
logb (a )
graphiquement le résultat.
2) a) Calculer lim f ( x ) . 1) Dresser le tableau de variation de g.
x →+
2) Calculer g(0). Puis en déduire le signe de g(x).
b) Montrer que l’axe des ordonnées est une direction Partie B : Soit f la fonction définie sur IR par :
asymptotique de (C f ) au voisinage de + . f ( x ) = x(1 − e x ) . On désigne par (C f ) sa courbe
3) a) Montrer que pour tout x de IR on a:
représentative dans un repère orthonormé (O, i , j ) .
8( x − 2)( x 2 − 2 x + 4)e x − 4
f '( x ) =
x3
1) Calculer lim f ( x ) et lim f ( x ) .
b) Vérifier que ( x IR ) ; x 2 − 2 x + 4 0 x →+ x →−
c) Montrer que f est strictement décroissante sur 2) Montrer que la droite ( D ) : y = x est une
l’intervalle 0; 2 , et strictement croissante sur asymptote oblique à (C f ) au voisinage de − .
b
Le nombre F (b) − F (a) est appelé intégrale de a à b de f , on le note f ( x )dx .
a
Notation: Par commodité, le nombre F (b) − F (a) s’écrit aussi F ( x )a . C’est-à-dire: a f ( x )dx = F ( x )a = F (b) − F (a )
b b b
f ( x )dx = − f ( x )dx
a b a
Conséquences : f ( x )dx = 0 et
a a b
Propriété1 : Soit f une fonction définie et continue sur un intervalle I, alors quel que soit l’élément a de I,
x
La fonction x f (t )dt est la primitive de f sur I qui s’annule en a.
a
b
▪ Positivité de l’intégrale : Si f(x) 0 sur I et si a b , alors f ( x )dx 0
a
f ( x )dx g( x )dx .
b b
▪ Intégrale et ordre : Si f(x) g(x) sur I et si a b , alors
a a
b
▪ Inégalité de la moyenne: Si m f(x) M sur I et si a b , alors : m(b − a ) f ( x )dx M (b − a ) .
a
▪ Valeur moyenne d’une fonction :
1
Si a b alors le nombre =
b
f ( x )dx est appelé valeur
b−a a
b
alors est la hauteur du rectangle de base b − a et d’aire : f ( x )dx
a
f ( x )dx = − f ( x )dx
a a a
Si f est paire, alors Si f est impaire, alors f ( x )dx = 0
−a 0 −a
EXERCICES ET PROBLÈMES .
EXERCICE1 : Calculez les intégrales suivantes . EXERCICE2 :
I1 = ( −2 x 2 + 4 x )dx
2
I 2 = ( x + e x )dx
0 Calculer les intégrales suivantes par la méthode
0 1 d’intégration par parties :
I1 = x e x dx I 2 = x ln x .dx
1 e
dx
I3 = I4 =
1
2
x cos( x 2 )dx 0 1
0
2x +1 0
3 x − 2x
2
x I 3 = x sin x dx I 4 = x ² sin x dx
2
I5 = I6 =
2
dx dx 0 0
2 ( x − 1) 2 1 ( x − 4) 2 2
I 5 = ln t .dt I 6 = x 1 + x dx
x 1
11 1 0
I 7 = x | x | dx I 8 = x 3 + 2 x − 5 dx
1
I 7 = x cos x dx I 8 = 2 x ² cos x dx
-1 0 3
2
0 0
t
I 9 = t ( t ² + 1) dt I10 =
1 3 1
dt
(1 + t ² ) I9 =
x ln x
1
I10 =
0 0 2 e
dx .dx
0
x+2 1 x²
t
I11 = I12 = cos x sin 3 x dx
1
2
dt
I11 = x ² ln x .dx I12 = xe 2 x dx
e 1
0
1+ t² 4 1 0
e2
I15 =
e ln x
dt I16 = 4 tan x dt I15 = ( x 3 + 1) ln( x )dx
1
1 x 0
EXERCICE8 :
1) Soit la fonction f définie sur 0 ;1 par 2x +1
Soit f une fonction définie par : f ( x ) =
( )
f ( x ) = ln x + x ² + 2 . ( x − 2)3
.
1
c- En déduire les valeurs de J et de K . 3) Calculer f ( x ) dx .
−1
EXERCICE5 :
EXERCICE9 :
1
Pour tout réel positif a, on définit I (a ) = ln 2x dx .
a
Soit f : x .
e (1 − x )
x
1 x
1) Etudier les variations de f . 1) A l’aide d’une intégration par parties, montrer que
1 2 ln(a ) − 1
2) En déduire que : x 0 ; : 1 f ( x ) . I (a ) = +1.
a2
2 e
2) En déduire la limite de I (a ) quand a tend vers + .
1 x² 1
3) a) Vérifier que : x 0; : 1 + x + = 3) On définit maintenant J (a ) = ln(
a x)
dx .
2 1− x 1− x 2 1 x +1
b) Montrer que : 4) Vérifier que : ( x 1) : x 2
x 2 + 1 2 x 2 , puis
1
1+ x 1 1
dx
0 e x
2
dx + 02
x ² f ( x )dx = 02 e x (1 − x ) montrer que 1 I (a ) J (a ) I (a ) .
2
1
1+ x EXERCICE9 :
c) Calculer :
0
2
ex
dx .
a- Vérifier que pour tout réel x on a :
1
1 1
d) Montrer que : 2 x ² f ( x ) dx . 1 ex ex
24 0
12 e = 1 − − .
(e x + 1)2 e x + 1 (e x + 1)2
EXERCICE6 :
f une fonction définie sur IR par : f ( x ) = ( x + 1)e
dx
b- En déduire la valeur de J =
−x 1
.
0 ( e + 1)2 x
et (C f ) sa courbe représentative dans un repère
c- A l’aide d’une intégration par parties , calculer
orthonormé (O, i , j ) (unité :4 cm). x ex
l’intégrale suivant K =
1
II) Equation Différentielle Linéaire du 2nd ordre : y ''+ ay '+ b = 0 avec (a; b) IR2
Définition :
L'équation r 2 + a.r + b = 0 , s'appelle l'équation caractéristique de l'équation différentielle ( E ) : y ''+ ay '+ b = 0
Exemple :
L’équation caractéristique de y ''+ 8 y '+ 3 = 0 est r 2 + a.r + b = 0
Résolution d’une équation ( E ) : Soit le discriminant de l’équation caractéristique.
0
1.Résous l'équation ( E2 ) .
() z z
n
1) z = z ; 2) z + z ' = z + z ' ; 3) z z ' = z z ' ; 4) z n = z ; 5) = / z' 0
z' z'
6) z z = a 2 + b 2 ; 7) z + z = 2 Re( z ) ; 8) z − z = 2 Im( z ) ; 9) z iIR z = − z ; 10) z IR z = z
1 z a − ib a b 1
Remarque : Si z = a + ib et z 0 alors = = = − i (forme algébrique de )
z zz a ² + b² a ² + b² a ² + b² z
II) Représentation géométrique d'un nombre complexe.
Définitions : Soient a et b deux réels. Et le plan est rapporté à un repère orthonormé direct (O, u, v ) .
▪ A tout nombre complexe z = a + ib , on associe le point M (a, b) , le nombre complexe z = a + ib est appelé
affixe du point M. Et le point M est appelé image ponctuelle de z = a + ib , et on note M ( z ) .
▪ L’image vectorielle du nombre z = a + ib est le vecteur w = OM , le nombre z = a + ib est appelé affixe
du vecteur w = OM . (Voir figure 1 p26)
a 2 + b2 a 2 + b2
Définitions : On appelle module de z = a + ib , noté z le réel a + b .
2 2
Le nombre cos x + i sin x est noté e ix , notation compatible avec la formule de Moivre.
▪ La formule de Moivre permet par exemple d'exprimer sin ( nx ) et cos ( nx ) en fonction de puissances
de cos ( x ) et/ou sin ( x ) .
VI) Transformations planes.
Soient M ( z ) , M '( z ') et ( ) trois point du plan complexe et u(a ) un vecteur .
▪ L’ensemble des points M(z) tels que : z − z A = z − zB est la médiatrice du segment [AB]
▪ Parfois pour déterminer l’ensemble des points M(z) , On pose z = x + iy / ( x; y ) IR2 dans la condition et l’on
essaie de se ramener à une équation cartésienne.
( ) 1+ i et D d’affixes respectives : a = 1 − i 3 ;
2
z1 = i 2020 ; z 2 = 3 − 2i ; z3 =
3i b = 2 + 2i ; c = 3 + i et d = −2 + 2 3
(1 − 2 i ) − (1 − i )
2 3
z5 =
1 a) Vérifier que : a − d = − 3 ( c − d ) .
z4 = ;
(1 + 3 i ) 3+ (1 + i ) 2 7 − 4i b) En déduire que A , B , C et D sont alignées.
1+ i 1 1 i 3) On considère z l’affixe d’un point M et z ' l’affixe
z6 = ; z7 = + + .
1− i 1− i 1+ i 2 M’l’image du point M par la rotation R de centre
EXERCICE2: O et d’angle − .Vérifier que z ' = 1 az
1) Résoudre dans l’équation : z − z + 1 = 0 . 2
3 2
2) On considère dans le plan complexe muni d’un 4) Soit H(h) l’image du point B par la rotation R, et
repère orthonormé (O, u, v ) , les points d’affixes le point P(p), tel que p = a − c
respectives A , B et C , tel que : a) Vérifier que : h = ip .
1 3 1 3 1+ 5 b) Montrer que le triangle OHP est rectangle et
zA = + i ; zB = − i et zC = isocèle en O.
2 2 2 2 2 EXERCICE5:
- Placer les points A, B et C dans le plan complexe. Le plan est rapporté à un repère orthonormal (O, u, v )
3) On désigne par A’ l’image du point A par la
direct. On considère les points A,B, C et D d’affixes
rotation de centre O et d’angle . respectives a = 1 ; b = 3 + 4i ;
2
c = 2 3 + i (−2 − 3) et d = −2 3 + i( −2 + 3) .
- Placer le point A’ et démontrer que le triangle
A A’C est isocèle en A . L’ objet de l’exercice est de proposer une construction
4) On désigne par B’ l’image du point B par la géométrique des points D et C.
1) a. Montrer que l’image du point B par la rotation de
rotation de centre O et d’angle ..
4 centre A et d’angle 2 est le point D.
3
- Placer le point B’ , et exprimer l’affixe zB ' en
b. En déduire que les points B et D sont sur un cercle
fonction z B . (C) de centre A dont on déterminera le rayon.
- En déduire la forme trigonométrique et la forme 2) Soit F, l’image du point A par l’homothétie de centre
algébrique de zB ' B et de rapport 3 .
2
zF du point F est −2i.
5) Calculer les valeurs exactes de cos et sin a. Montrer que l’affixe
12 12
EXERCICE3: (Session normale 2016) b. Montrer que le point F est le milieu de [CD].
1) Résoudre dans l’équation : z − 4bz + 29 = 0 2
c − zF
c. Montrer que = − i 3 . En déduire la forme
2) Dans le plan rapporté à un repère orthonormal a − zF
direct (O, u, v ) , on considère les points A , B et c − zF
exponentielle de . Déduire des questions
d’affixes respectives a , b et telles que : a − zF
a=5+2i ; b=5+8i et = 2 + 5i précédentes que la droite (AF) est la médiatrice du
a) Considérons u = b − . Vérifier que u = 3 + 3i , segment [CD].
EXERCICE6:
pois montrer que arg( u) 2 . Le plan est rapporter au repère orthonormé direct
4
b) Déterminer un argument du nombre complexe u . (O, u, v ) .Déterminer l'ensemble des points M ( z ) tels que:
c) Vérifier que: a − = u , en déduire que 1) z − 1 + 2i = 4 2) z − 2 + i = z + 2 − 2i
b−
A = B et que arg 2 . 3) iz − 2 + i = 6 4) z − 1 + 2i = z − 3 − i
a− 2
d) Soit R la rotation de centre et d’angle . 5) zz + i ( z − z ) = −1 6) arg ( z ) =
2 4
Déterminer l’image du point A par la rotation R.
Pr: BELKHYR ABDELAZIZ 2019/2020
10/03/19 ( site maths en fr : www.mathsbiof.com ) 28
EXERCICE7:
3) Soit le point C d’affixe : zC = ( 2 − 2 i ) . e
i
3
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct .
(O, u, v ) . Soient A, B et C les points d'affixes a- Ecrire zC sous la forme algébrique et sous la forme
respectives a = 2i ; b = − 3 + i et c = − 3 − i . trigonométrique.
1) Placer les points A, B et C sur une figure.
b- En déduire les valeurs de cos et sin .
2) Soit Z = a − b . 12 12
c−b 4) a- Comparer OA et OC et donner une mesure de
a. Interpréter géométriquement Z et arg(Z) . l’angle (OA , OC ) .
b. Écrire Z sous la forme algébrique et sous la forme b- quelle est la nature exacte du triangle OAC .
trigonométrique. EXERCICE12: (Session normale 2015)
c. En déduire la nature du triangle ABC . 1) Résoudre dans l’équation : z 2 + 10z + 26 = 0
2) Dans le plan rapporté à un repère orthonormal
d. Déterminer ( BC , BA) . direct (O, u, v ) , on considère les points A , B , C
EXERCICE8: et d’affixes respectives : a = −2 + 2i ;
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct
b = −5 + i ; c = −5 − i et = −3
(O, u, v ) , et f la transformation du plan qui à M
d’affixe z associe M’ d’affixe z’ tel que : z’ = 4z + 6 – a) Vérifier que : b − = i .
a−
3i . b) En déduire la nature du triangle AB .
Déterminer l’unique point invariant de f et en déduire 3) Soit D l’image du point C par la translation T de
la nature et les éléments caractéristique de f. vecteur u d’affixe 6 + 4i .
EXERCICE9: a) Montrer que l’affixe de D est d = 1 + 3i
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal
b) Montrer que b − d = 2 , en déduire que A est
(O, u, v ) .On considère les points A, B et C d’affixes a−d
respectives : a = 2, b = 1 + i 3 et c = 1 − i 3 . le milieu BD .
1) a. Placer les points A, B et C dans le plan complexe. EXERCICE13:
b. Démontrer que les points A , B et C sont sur 1) Linéarisez cos4 x et cos4 x sin2 x .
2) Calculer les deux intégrales I et J suivants :
un même cercle ( ) de centre O.
(u v ) = u + v 2u v (u + v ) (u − v ) = u −v
2 2 2 2 2
✓ et
Dans tout le reste, on considère que le plan est muni d’un repère orthonormé (O, i , j , k ) .
Soient u(a ; b; c ) ; v (a '; b ';c') et w(a ''; b '';c'') deux vecteurs exprimés dans la base (i , j , k ) , on a :
et u u = a 2 + b2 + c 2 = u u = a 2 + b2 + c 2
2
▪ u v = a a '+ b b '+ cc' donc
b ' b '' a ' a '' a ' a ''
▪ det(u, v , w ) = a −b +c .
c ' c '' c ' c '' b ' b ''
▪ AB ( xB − x A ; yB − y A ; zB − z A ) ( x B − x A ) + ( yB − y A ) + ( z B − z A )
2 2 2
et AB = AB =
x = x A + at
▪ Le système : y = y A + bt / t IR est une représentation paramétrique de la droite D( A ; u ) .
z = z + ct
A
▪ Théorème : soit n(a; b; c ) un vecteur non nul avec (a; b; c ) (0;0;0) . et d un nombre réel.
▪ Une droite admettant n(a; b; c ) comme vecteur normal a une équation de la forme ax + by + cz + d = 0 .
▪ Réciproquement : tout plan d’équation ax + by + cz + d = 0 admet n(a; b; c) comme vecteur normal.
Remarque :
• Deux plans dites orthogonales si leurs vecteurs normaux sont orthogonaux.
• Deux plans dites parallèles si leurs vecteurs normaux sont colinéaires.
c) Distance d’un point à un plan.
Propriété: Considérons un point A( x A , y A , z A ) et un plan ( P ) : ax + by + cz + d = 0
ax A + by A + cz A + d
La distance du point A au plan ( P ) est: d ( A ,( P )) =
a 2 + b2 + c 2
( x − a ) + ( y − b) + ( z − c ) = R2
2 2 2
Propriété : Le cercle de centre (a; b; c) et de rayon R a pour équation :
Propriété : Le cercle de diamètre [AB] est l’ensemble des points M du plan tels que: MA MB = 0 .
Remarque : MA MB = 0 ( x − x A )( x − xB ) + ( y − y A )( y − yB ) = 0
4) Positions Relatives d’un plan et d’une sphère .
Pour étudier la position relative d’un plan ( P ) et d’une sphère ( S ) de centre et de rayon R. Il suffit de
comparer d ( , ( P )) au rayon R.
d ( ,( P )) = R d ( ,( P )) R d ( ,( P )) R
Le plan ( P ) et la sphère ( S ) ont un Le plan ( P ) coupe la sphère ( S ) Le plan ne coupe pas la
seul point commun H, le projeté de suivant un cercle de centre H, le projeté sphère
sur ( P ) . On dit que le plan ( P ) de sur
( P ) et de rayon r = R − d
2 2
5) Produit vectoriel.
a) Orientation de l’espace.
L’espace doit être orienté en adoptant le même point de vue qu’en sciences physiques,
on peut notamment utiliser la règle des trois doigts de la main droite
ou le « bonhomme d’ampère » :
On dit alors que le repère (O, i , j , k ) est de sens direct.
b) Notation et définition.
Le produit vectoriel de deux vecteurs non nuls u et v est le vecteur, noté u v tel que :
Si u et v sont colinéaires alors u v = 0 ;
Si u et v ne sont pas colinéaires alors :
1) Direction : Le vecteur u v est orthogonal à u et à v .
2) Le sens de w= u v est tel que la base (u , v , w ) soit de sens direct.
3) Norme : u v = u v sin u; v . ( )
Remarque : Le produit vectoriel est un vecteur, alors que le produit scalaire est un nombre.
c) Propriétés : Pour tous vecteurs u , v , w et tout nombre réel a,
• ( u v ) = − ( v u) • u0 = 0 • a ( u v ) = u (av ) = (au) v • u ( v + w) = u v + u w
b b' a a' a a'
• uv = i − j+ k
c c' c c' b b'
u AM
• Soient la droite D( A ; u ) et le point M, alors d ( M ;( D ) ) =
u
Pr: BELKHYR ABDELAZIZ 2019/2020
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d) Positions relatives d’une droite et d’une sphère.
Pour étudier la position relative d’une droite (D) et d’une sphère ( S ) de centre et de rayon R. Il suffit de
comparer d ( , ( D)) au rayon R.
d ( ,( D)) = R d ( ,( D)) R d ( ,( D)) R
La droite (D) est tangente à la sphère La droite (D) coupe la sphère ( S ) en La droite (D) ne coupe
(S) . deux points différents. pas la sphère ( S )
p ! p !( n − p)!
n− p
Formules usuelles : C n = C n
p
; Cn0 = Cnn = 1 ; Cn1 = Cnn−1 = n ; pCnp = nCnp−−11
n
C np = Cnp−−11 + C np−1 (formule de Pascal) ; (a + b)n = C nk a k .bn− k (formule du binôme)
k =0
V) Types de tirages.
• La plupart des expériences aléatoires peuvent être interprétées comme des tirages de p boules d’une urne qui en
contient n.
•Il y a deux critères pour distinguer ces tirages :
1) L’ordre : Si l’ordre dans lequel on tire les boules est pris en considération, on dit que c’est un « tirage
avec ordre », sinon c’est un « tirage sans ordre ».
2) La répétition : Si on remet chaque boule tirée dans l’urne avant de tirer la suivante, on peut tirer plusieurs
fois la même boule : on parle alors d’un tirage avec répétition ou avec remise. Dans le cas contraire on
parle d’un tirage sans répétition ou sans remise.
étant un ensemble à n éléments, On tire p éléments parmi n éléments, donc :
Type de tirage Ordre Répétition Nombre de tirages possibles
Successif avec remise Pas important Possible np
Successif sans remise Important Impossible Anp pn
Simultané Important Impossible Cnp pn
. Exercices
III) Equiprobabilité.
Définition : Dans une expérience aléatoire, si tous les événements élémentaires ont la même probabilité d’être
réalisée, on dit qu’on est dans une situation d’équiprobabilité. Donc : si = 1 ;2 ;3 ;...;n
1 cardA
Alors p(i ) = ; c’est-à-dire pour tous événement A on a : p( A) = .
card card
Exercice : On considère trois urnes respectivement notées U1, U2 et U3. L’urne U1 contient une boule rouge et
cinq boules jaunes, l’urne U2 contient trois boules rouges et une boule jaune, l’urne U3 contient une boule rouge
et deux boules jaunes.
On choisit une urne au hasard et on tire une boule de cette urne.
Quelle est la probabilité que la boule tirée soit rouge ?
Définition : soit X une variable aléatoire discrète, l’application p est dite loi de probabilité de X,
P : X ( ) → 0,1
définie par :
xi p( X = xi )
Esperance mathématique :
n
On appelle espérance mathématique de X le nombre, noté E(X), définit par : E ( X ) = xi p( X = xi )
i =1
Quelques interprétations
E ( X ) = np
▪ E(X) est la moyenne des valeurs xi, pondérées par les valeurs pi.
▪ Dans le domaine des jeux (le terme « espérance » vient de là), E(X) est le gain moyen
V( X ) = np(1 − p )
que peut espérer un joueur sur un grand nombre de parties.
Cela permet de qualifier un jeu d’équitable (ou honnête) lorsque E(X) = 0 ;
lorsque E(X) > 0, le jeu est favorable au joueur, il lui est défavorable si E(X) < 0. ( X ) = V( X )
▪ La variance et l’écart-type sont des paramètres de dispersion.
sin − x = cos x
2
…………………………………
استعمال الزمن
الاثنين
الثلاثاء
الأربعاء
الخميس
الجمعة
السبت
Quelques références
▪ التوجيهات التربوية
▪ االطار المرجعي لالمتحان الوطني
▪ Fractale, Maths obligatoire classe terminale France programme 1998
▪ الواضح في الرياضيات
▪ خاص بأساتذة مادة الرياضيات (صفحة فيسبوكية)
▪ www.devoir.tn
▪ www.maths-et-tiques.fr
▪