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© 2014 Cengage Learning. All Rights Reserved. May not be scanned, copied or duplicated, or posted to a publicly accessible website, in whole or in part.
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The special function performed by the external auditing profession is the attestation to the
fairness of the financial statements of clients. The special function helps ensure the reliability
and integrity of the financial reporting system. The auditing profession exists to serve the users
of an organization's financial statements. These include lenders, investors, management,
government, and (indirectly) all individuals who are ultimately affected by the integrity of the
financial reporting process. Auditors need to remember that they are serving the public interest
and not the interests of client management.
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The audit enhances the quality of financial statements because the user has the assurance that an
independent, qualified professional has examined the financial statements and has rendered an
opinion on their fairness. The independence and expertise of the auditor serve as a quality control
function to overcome the potential bias of management in presenting the financial statements in a
manner that most flatters an assessment of their performance. The audit is designed to add
credibility to the financial statements.
An audit does not necessarily guarantee a fair presentation of a company's financial statements,
although it does dramatically increase the likelihood that there are no material misstatements in
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the company's financial statements. The audit provides reasonable, not absolute, assurance about
the accuracy of the financial statements. The caveats about fairness exist for two reasons:
• Fairness is judged within a framework of GAAP. Some question whether GAAP results in
the fairest possible presentations when there are significant changes in market values of
investments or assets. For example, the SEC has encouraged financial institutions to move
from using historical cost required by GAAP to market values for all investments in
securities because it believes that market value presents a better picture of economic reality
than does historical cost.
• Although designed to detect material fraud, it might be possible that a well-executed audit
may still fail to detect fraud.
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Independence means objectivity and freedom from bias. The auditor can favor neither the client
nor the third party in evaluating the fairness of the financial statements. The auditor must be
independent in fact and in appearance. Independence in fact means the auditor is unbiased and
objective. An auditor could be independent in fact if he or she owned a few shares of common
stock in an audit client, but might not appear independent to a third party. Independence in
appearance means that a third party with knowledge of the auditor’s relationship with the client
would consider the auditor to be independent. If users don’t perceive auditors to be independent
then the value of the audit is lacking.
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a. An organization’s financial statements should reflect a true and fair view of the
organization’s financial results. The statements should not favor one user over another. However,
the interests of the various users can conflict. By having rules that encourage auditor
independence (e.g., not owning stock in the client company, not performing consulting services
for a publicly traded audit client), the profession encourages auditor independence.
b.
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mirza, et, avec nos lettres, son camarade, dont il ne peut donner aucune
nouvelle.
La vérité n'a que faire de cette fable absurde. Dès son retour, Abdoul-Raïm
lançait quatre cavaliers loris à la poursuite de nos piétons. Ceux-ci ont été
bien vite rejoints; l'un fut roué de coups et laissé pour mort dans le désert,
l'autre prit la fuite, après avoir jeté les lettres, qui parvinrent fidèlement au
colonel. Nous tenons cette nouvelle de quelques Arabes Beni-Laam, venus
à Suse pour escorter la fille de leur chef M'sban, une charmante femme, que
le désir de me voir avait attirée dans nos parages.
Marcel pria M. Houssay de partir pour Ahwas et de porter plainte au
gouverneur. Lorsque Mçaoud demanda les chevaux loués depuis bientôt
deux mois, les palefreniers déclarèrent que leur maître, Kérim Khan, avait
interdit de seller ces animaux dès qu'il ne s'agirait plus d'une simple
promenade autour des tumulus.
Les ouvriers loris ont été renvoyés sur-le-champ; mais le cercle où nous
enserre Abdoul-Raïm se rétrécit sans cesse. La mission va se dédoubler:
MM. Babin et Houssay garderont le camp et nous partirons tous deux, fût-
ce à pied, pour demander protection au chef de la tribu turque des Beni-
Laam et entrer, par son intermédiaire, en relation directe avec Téhéran et
Paris.
Notre geôlier, qui n'ignore pas l'aimable démarche de la fille de M'sban, a
paru fort épouvanté de ces menaces: il nous sait capables de les mettre à
exécution. Comme Achille, il s'est retiré sous la tente, tandis que Patrocle,
ou plutôt son domestique, prenait au triple galop le chemin de Dizfoul.
Patientons encore quelques jours.
18 avril.—Les soucis et leurs sombres enfants ont cédé le pas aux émotions
les plus douces. Nous tenons une piste nouvelle. Tout serait au mieux, si
chaque découverte n'éveillait en nous des sentiments analogues à ceux de
l'avare couvant un trésor. Nos richesses s'amoncellent, et avec elles
grandissent les craintes de ne pouvoir les emporter.
Les ouvriers qui déblayent les murs L de la fortification ont trouvé une urne
funéraire, encastrée dans une gaine de maçonnerie. Les briques de calage
apparurent couvertes d'un émail admirable. Voici des lèvres minces, une
barbe bleuâtre sertie d'un filet blanc, un cou d'un beau noir, des mains
brunes et deux mains blanches de grandeur naturelle arrachées à des
personnages magnifiquement vêtus. La perfection du modelé, l'éclat des
teintes, leur harmonie, dénotent un art délicat, une technique très avancée.
La pâte est plus fine, plus blanche, plus serrée que celle des lions. Chaque
brique est carrée, mince, démaigrie en lame de couteau, de façon à faciliter
les contacts superficiels du parement, et à ménager cependant la place d'une
épaisse couche de mortier.
Les messagers de la fortune fréquentent si rarement notre planète, qu'ils
n'osent s'y hasarder seuls.
Un de ces soirs, comme je visitais, après la fermeture des chantiers, une
crevasse voisine du camp, j'ai glissé sur une matière dure, que je n'avais pas
aperçue à travers les herbes.
Courir aux tentes, saisir une pioche et dégager six ou sept briques émaillées,
fut l'affaire d'un instant. Au-dessous de la première assise j'en trouvai une
seconde, puis une troisième, disposées le long d'un parapet réparé aux
temps des Sassanides. La fouille, vivement conduite, nous a donné des
émaux d'une tonalité et d'un dessin nouveaux. Les fonds, d'un vert rompu,
supportent des fleurs de lotus jaunes et bleues, qui se superposent et se
terminent par une palmette blanche. Au ton près, il me semble revoir les
peintures murales de certains tombeaux des Ramsès.
D'autres pièces, à fond paille, coupées en diagonale par une ligne orange,
rappellent les dispositions caractéristiques d'un limon d'escalier. Enfin, de
grandes dalles carrées, mesurant 0m,36 de côté et 0m,08 d'épaisseur,
émaillées sur les tranches et sur le plat, sont décorées d'une rosace jaune et
verte. Marcel assure que nous exhumons une rampe dont les formes et les
ornements, si ce n'est la matière et les dimensions, rappellent les mains
courantes des palais persépolitains. Artaxerxès, en prince sage, s'était servi,
pour construire ses palais, de matériaux empruntés aux édifices bâtis sous
ses prédécesseurs; les Sassanides, non moins économes, réparèrent un mur
d'enceinte avec les briques arrachées aux monuments achéménides.
Aux fleurs de lotus se mêlaient des inscriptions cunéiformes blanches sur le
fond vert, des souliers jaunes ou bleus se boutonnant sur une jambe noire,
une main brune entourée d'un bracelet et serrant une canne d'or, des
fragments de draperies à fond blanc sur lesquelles se détache l'image
symbolique de la citadelle de Suse.
Quand les grands seigneurs du moyen âge faisaient broder à leurs armes
cotes et manteaux, ils ne songeaient pas qu'ils imitaient les princes susiens.
Ignorance pardonnable: jusqu'à ce jour, nul n'avait eu l'idée de faire
remonter l'origine des armoiries jusqu'à Oumman Minanou ou à Koudour
Nakhounta.