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CHAPTER 5
Qualitative Research
LEARNING OBJECTIVES
1. Define qualitative research.
2. Learn about focus groups, how to conduct them, and their advantages and disadvantages.
3. Compare other forms of qualitative research with focus groups.
4. Appreciate the future of qualitative research.
KEY TERMS
Qualitative research Quantitative research
Focus group Group dynamics
Focus group facility Focus group moderator
CHAPTER SCAN
This chapter discusses the qualitative type of marketing research. Qualitative research describes
research that is not subject to quantification or to quantitative analysis. There has been much
controversy over the choice between qualitative and quantitative research. Qualitative research
has become popular recently because of its low cost, ability to understand in-depth feelings, and
ability to improve the efficiency of quantitative research. It is limited by its inability to
distinguish small differences in data, by its unrepresentative state, and by a growing number of
unqualified people who claim to be experts in the field.
Focus groups are the most popular form of qualitative research. To conduct a focus group, one
must follow five steps.1) Prepare for the group; 2) Recruit participants; 3) Select a moderator; 4)
Develop a discussion guide; and 5) Prepare the focus group report. There are both advantages
and disadvantage in focus groups.
Some common forms of projective techniques are word association tests, analogies,
personification sentence and story completion tests, cartoon tests, photo sorts, consumer
drawings, storytelling, and third-person techniques.
CHAPTER OUTLINE
1. The Nature of Qualitative Research
I. Research Defined
A. Qualitative Research
B. Quantitative Research
II. Qualitative Research versus Quantitative Research
A. Word Association
B. Analogies
C. Personification
D. Sentence and story completion
E. Cartoon tests
F. Photo sorts
G. Consumer drawings
H. Storytelling
I. Third-Person Technique
5. Summary
CHAPTER SUMMARY
1. NATURE OF QUALITATIVE RESEARCH
I. Research Defined
A. Qualitative Research–produces findings that are not subject to qualitative or
quantitative analysis. It could, for example, be used to find differences in attitudes,
feelings, and motivations between heavy and light users of a brand of tequila...
1. Giambattista Vico, mid-18th-century historian, is credited with writing that
only people can understand people and they do so through a faculty called
intuitive understanding.
B. Quantitative Research–uses mathematical analysis. It could be used to find
statistically significant differences between heavy and light users of a brand of tequila.
II. Qualitative Research versus Quantitative Research
See Exhibit 5.1 Qualitative versus Quantitative Research (It summarizes the
differences between the two types of research. The basis of this controversy is typically
the small sample sizes and subjective interpretation used in qualitative research.)
III. Popularity of Qualitative Research
A. First–qualitative research can be much cheaper than quantitative research
B. Second–often no better way than qualitative research to understand the in-depth
motivations and feelings of consumers
C. Third–can improve the efficiency of quantitative research
D. Complementary use–common for researchers to combine qualitative and quantitative
research into a single study or series of studies.
1. Marketing research is undertaken to increase the effectiveness of decision
making
2. Qualitative research blends with quantitative measures to provide a more
thorough understanding of consumer demand
3. Qualitative techniques involve open-ended questioning and probing. The
resulting data are rich, human, subtle, and often very revealing
2. FOCUS GROUPS
I. Focus Groups Defined
A. Focus Groups–8 to 12 participants led by a moderator in an in-depth discussion on
one particular topic or concept. The goal is to learn and understand what people have to
say and why.
Rien.
GUIBAL.
Maintenant c’est peut-être aussi que j’étais tout seul. Quand toute la
Philharmonique y sera, avec la caisse et les cuivres, peut-être que ça
s’entendra davantage ?…
LAMBERT.
GUIBAL.
LAMBERT.
SCÈNE V
L , JEUNHOMME
JEUNHOMME.
Décidément, quand ce n’est pas vous qui me trouvez, c’est moi qui
vous trouve…
LAMBERT.
LAMBERT.
GUIBAL.
LAMBERT.
C’est que ça doit bien vous manquer, hein ? Vous soignez votre
tenue, monsieur Jeunhomme, maintenant que vous frayez avec des
dames de la haute administration !
GUIBAL.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
Imbéciles !
LAMBERT.
JEUNHOMME.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
Et dire que c’est Calfa qui a imaginé toutes ces petites histoires !
GUIBAL.
LAMBERT.
Bien sûr !
JEUNHOMME.
GUIBAL.
LAMBERT.
Pour la promenade !…
JEUNHOMME.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
Eh bien ! ne devinez pas, je vais vous le dire : Il vous a mis là, parce
qu’on doit venir le gifler ici, dans vingt-cinq minutes.
GUIBAL.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
LAMBERT.
Ah ! sacrebleu ! je m’asseois !
GUIBAL.
LAMBERT.
On se croirait à Paris !
JEUNHOMME, à part.
GUIBAL.
JEUNHOMME.
LAMBERT.
JEUNHOMME.
Il n’y a que le provisoire qui dure. (Gérôme paraît, traînant une petite charrette
remplie de chaises.) Ah ! ah ! M. Gérôme prend ses précautions : vous allez
refuser du monde !…
GÉRÔME.
SCÈNE VI
L , moins JEUNHOMME
GÉRÔME.
GUIBAL.
LAMBERT.
Oui, on n’a de courage à porter les chaises que pour s’asseoir dessus.
GÉRÔME.
LAMBERT.
GÉRÔME.
GUIBAL.
Oh ! c’est sérieux : Jeunhomme est très renseigné.
LAMBERT.
GUIBAL.
GÉRÔME.
LAMBERT.
GUIBAL.
Non : c’est le préfet, qui arrive exprès dans vingt minutes, par le train
de Paris.
GÉRÔME.
LAMBERT.
GÉRÔME.
GUIBAL.
En voilà deux, cependant.
LAMBERT.
GÉRÔME.
LAMBERT.
SCÈNE VII
L , RAMAGE, BÉDU
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
Avec tout cela, nous ne savons toujours pas quand il arrive, ce cocu-
là ?…
BÉDU.
RAMAGE.
Au fait, vous savez peut-être cela, Gérôme, vous qui êtes un peu de la
Préfecture ?
GÉRÔME.
BÉDU.
Pas possible ?
GÉRÔME.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
GÉRÔME.
RAMAGE.
GÉRÔME.
BÉDU.
RAMAGE.
GÉRÔME.
Ce serait fou de sa part ; raisonnons un peu : cette gifle lui crée une
situation exceptionnelle : il devient « le commissaire que le préfet a
giflé », et on est forcé de le déplacer avec avancement. Calfa est trop fin
pour ne pas le comprendre.
RAMAGE.
GÉRÔME.
RAMAGE.
GÉRÔME.
SCÈNE VIII
RAMAGE.
Croyez-vous que nous avons bien fait de mettre nos chapeaux hauts
de forme ?
BÉDU.
Ce n’est cependant pas une raison pour ne pas mettre les nôtres à
l’abri.
BÉDU.
BÉDU.
Mme RAMAGE.
Mme BÉDU.
RAMAGE, à sa femme.
BÉDU.
Mme BÉDU.
Mais, ma bonne amie, nous ne savons pas, nous ne l’avons pas vue.
Mme BÉDU.
RAMAGE.
Mlle BÉDU.
Pourtant, maman…
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
RAMAGE, à sa femme.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
D’ailleurs, il se peut très bien qu’elle ne soit pas ce que vous pensez.
Elle n’est pas cause de ce qui arrive.
BÉDU.
Mme BÉDU.
RAMAGE.
Ce n’est pas une histoire. Vous ne comprenez pas que cette dame ait
été furieuse, outrée, contre cet imbécile de commissaire qui, dans son
zèle intempestif, l’a si sottement arrêtée ?
Mme RAMAGE.
Mme RAMAGE.
Merci, Paul !
RAMAGE.
BÉDU.
Mme BÉDU.
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
RAMAGE.
C’est votre métier, il faut bien que vous fassiez peur à quelqu’un.
LAMBERT.
Oui, mais nous ne sommes pas méchants. (Jouant avec les mioches.)
Allons, tu veux mon képi ? tiens…
GUIBAL.
Faut pas toucher au grand sabre : ça ne coupe pas, mais c’est égal…
LAMBERT.
Là, vous voyez, messieurs et dames, nous sommes tout à fait bons
amis maintenant. A dada ? vous voulez jouer à dada ?
Chaque agent prend un bébé sur le dos, et se met à trotter autour du kiosque.
LAMBERT.
Hop ! hop !
GUIBAL.
Hop ! hop !
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
Mme BÉDU.
LAMBERT.
Hop ! hop !
GUIBAL.
Hop ! hop !
RAMAGE.
SCÈNE IX
L , GÉRÔME, CALFA
RAMAGE.
CALFA.
Permettez : aujourd’hui, les circonstances sont particulièrement
graves : il y a temps pour tout.
RAMAGE.
Nous savons !…
Et tous chuchotent, groupés sous le kiosque, cependant que Calfa a emmené
Gérôme à l’écart.
CALFA.
GÉRÔME.
CALFA.
GÉRÔME.
CALFA.
Mais le public ?
GÉRÔME.
GÉRÔME.
C’est que, justement, je crains bien que tout à l’heure les musiciens
qui vont prendre leurs places ne les forcent à partir…
CALFA.
GÉRÔME.
CALFA.
Merci, mon cher Gérôme, merci. Moi, je vais marcher un peu : cette
attente me surexcite…
GÉRÔME.
CALFA.
GÉRÔME.
Alors, un peu d’émotion est bien compréhensible. C’est égal, ne vous
énervez pas trop.
SCÈNE X
Mme BÉDU.
Vous voyez bien que ce commissaire est très bien élevé, quand il sent
qu’il a affaire à des femmes comme il faut…
RAMAGE.
Mme BÉDU.
RAMAGE.
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
RAMAGE.
BÉDU.
Oui, mais comme il avait fortement grêlé, on n’était pas bien sûr que
ce fût la même.
RAMAGE.
Mme BÉDU.
BÉDU.
RAMAGE.
Barbare, le duel au sabre, je ne dis pas ; mais au pistolet, à trente
pas…
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
Mais il n’y aura sans doute pas de duel ; je me demande même s’il y
aura une gifle…
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
C’est ridicule !
Mme RAMAGE.
RAMAGE.
Mme RAMAGE.
Mme BÉDU.
Non, prenez les devants ; nous attendrons les parapluies de Gérôme :
autrement, nous n’aurions chacun qu’une moitié de parapluie, c’est le
bon moyen pour être deux à se mouiller…
Mme RAMAGE.
Mme BÉDU.
Je vais revenir.
Mlle BÉDU.
SCÈNE XI
Mme BÉDU.
BÉDU.
A moi ?
Mme BÉDU.
BÉDU.
A toi ?
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
Chère Amélie !
Mme BÉDU.
BÉDU.
Avec ce que nous pouvons donner à Amélie, ça lui ferait toujours une
quarantaine de mille francs… Mais ce n’est pas une raison pour qu’on
me décore…
Mme BÉDU.
BÉDU.
Madame Bédu ?
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
J’entends bien ; mais si le préfet trouve que ça ne vaut pas plus que
les palmes académiques ?
SCÈNE XII
L , GÉRÔME
GÉRÔME.
Mme BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
GÉRÔME.
Votre mari va faire cela, madame Bédu ? M. Bédu entre dans la lice ?
Il va gifler le commissaire ? Ah ! bravo ! bravo ! enfin ! bravo ! quand je
songe que, sans votre initiative généreuse, une femme avait pu être
arrêtée, violentée, que personne dans la ville ne s’élevait pour protester,
et qu’il fallait attendre la venue d’un étranger pour châtier l’auteur de
cette abominable et criminelle méprise ! Quelle opinion le nouveau
préfet aurait-il eue de notre ville ? Mais vous êtes là, cher monsieur
Bédu, vous êtes là pour soutenir notre vieux renom chevaleresque : au
nom des vieux habitants de la ville, permettez-moi de vous remercier.
Bravo ! bravo ! Et puis le préfet vous revaudra cela.
Mme BÉDU.
GÉRÔME.
BÉDU.
GÉRÔME.
Laissez, j’arrangerai cela. Une gifle est toujours une gifle, au point de
vue du retentissement, et, dans l’intérêt de sa carrière, l’important pour
lui est d’être giflé !
Mme BÉDU.
GÉRÔME.
Vous en seriez privés. Voici les musiciens qui arrivent et qui vont
vous chasser du kiosque.
Mme BÉDU.
GÉRÔME.
SCÈNE XIII
L moins GÉRÔME, M
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
Allons, Bédu, ne sois pas amer. En cette minute décisive, qui peut
changer toute ta carrière, d’être comme cela, serrés tous deux à la
musique, cela ne te rappelle rien ?
BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
BÉDU.
Mme BÉDU.
L , JEUNHOMME
JEUNHOMME.
Mme BÉDU.
JEUNHOMME.
BÉDU.
A qui le dites-vous !
JEUNHOMME.
LAMBERT.