Professional Documents
Culture Documents
A microprocessor does not contain program memory and data memory and I/O.
1.4) How big is the address space for a microcontroller whose address bus is 24 bits wide?
1.5) What is the biggest number that can be represented with 28 bits?
228-1 = 268,435,455
Flash EEPROM
ROM
EEPROM
1.7) Using the internet, locate the data sheet for the Microchip PIC16LF727, and answer the following:
a) What is the fastest clock source that can be used with this chip? What is the slowest?
b) Is there an analog-to-digital converter peripheral included on this chip?
c) How wide is the program memory bus? That is, how many bits are the program instructions?
d) How many input/output (I/O) pins does the PIC16LF727 have?
a) 20MHz, DC (0Hz)
b) YES: 8 bits
c) 14 bits
d) 36
1.8) What kind of microcontroller peripheral is present on the PIC12F609 that is not present on the
MC9S12C32?
An analog comparator
1.9) What prevents a microcontroller with a von Neumann architecture from attempting to execute data? What
about a microcontroller with a Harvard architecture?
Nothing prevents the processor from executing data in a von Neumann architecture.
In a Harvard architecture, the instructions are not fetched from the data space so it is impossible to execute
data.
1.10) How many I/O pins are available in the largest HC9S12C32? How many are input only?
60 total I/O pins: 58 are inputs or outputs (I/O) and 2 are input only
JUPON
« Quand la Reine du ciel posa le pied sur le sol, c’est sur cette
pierre qu’elle le posa. » Il faut croire qu’elle était fatiguée du voyage,
car elle pesa lourdement.
Comme bien vous le supposez, les Tolédains furent
excessivement flattés de cette bonne visite. Mais dans l’impossibilité
de la lui rendre ils ont tenu à lui prouver leur gratitude, et par de
petits cadeaux entretenir cette amitié distinguée.
Dans une chapelle belle comme un rêve des Mille et une Nuits,
ils parèrent leur Vierge comme jamais sultan amoureux ne para
l’odalisque chérie. Ils lui achetèrent les plus riches écrins, la plus
somptueuse des garde-robes. Certaines de ces jupes sont chargées
de pierreries d’une valeur de plusieurs millions de réaux. A chaque
fête de l’année, on renouvelle sa toilette, on lui change de robe, de
diadème, de boucles d’oreilles, de bagues, de collier.
Le grand luxe des dames espagnoles consistant principalement
en bagues, il est tout naturel que la Dame du Paradis en soit
chargée.
Vous avouerez avec moi que les bons Tolédains ne pouvaient
mieux faire les choses et montrer plus décemment combien ils
étaient sensibles aux excellents procédés de la Mère de Dieu.
En m’extasiant devant cette splendide toilette, l’idée me vint de
demander si le trousseau était complet, si enfin en lui changeant de
robe on lui changeait aussi de chemise.
Le sacristain que j’interrogeai timidement me répliqua, indigné de
mon doute :
« Une chemise ! certainement elle a une chemise, et toute brodée
de fleurs d’argent.
— Ah !
— Oui, monsieur, et je vous prie de croire qu’elle est aussi propre
que le reste. »
Le reste ! quel reste ? Le fonctionnaire avait une mine si
rébarbativement dévote que je n’osai pousser plus loin mes
investigations.
A côté d’une aussi somptueuse Vierge, le pauvre Jésus fait triste
figure, sur sa vieille croix de bois, affublé de son jupon qu’on
change, j’espère, aussi quelquefois.
Que n’est-il venu rendre visite, comme sa mère, à la cathédrale
de Tolède !
Devant cet inconvenant jupon, je me suis remémoré le mot de
Diderot : « L’indécent n’est pas le nu, mais le troussé, » car il me
semble placé là tout exprès pour donner une furieuse envie aux
curieuses petites Espagnoles de le trousser pour voir ce qu’il y a
dessous.
Ce jupon, dont on affuble non seulement Jésus, mais les deux
larrons qui le flanquent, est un obstacle sérieux à l’investigation que
citait Fra Gabriele de Barletta, l’une des lumières de la chaire au
quinzième siècle, et dans les sermons macaroniques duquel la
Fontaine tira, dit-on, sa fable des Animaux malades de la peste.
Prêchant à Naples pendant un carême, il raconta aux dévotes
extasiées que la belle Samaritaine reconnut Jésus-Christ à trois
choses : son vêtement râpé, sa barbe blonde et sa circoncision.
Voilà qui était pousser un peu loin l’examen !
XXIII
LES BONNES LAMES DE TOLÈDE