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UNIVERSITÉ IBN ZOHR Année universitaire 2020 - 2021

FACULTÉ DES SCIENCES


AGADIR

T.D. de Mécanique Quantique – SMP5


Série 2

L’oscillateur harmonique
Problème 1 : Relation de Heisenberg

On considère un oscillateur harmonique à une dimension dont l’hamiltonien est :


P2 1
H  m 2 X 2
2m 2
Soit n le ket propre associé à l’état stationnaire d’énergie En .

1. Calculer, dans l’état n , les valeurs moyennes suivantes : X , P , X 2 et P 2 .

2. En déduire :

a. la valeur moyenne X 4 ;

b. les valeurs moyennes de l’énergie cinétique Ec et de l’énergie potentielle V ;

c. les écarts quadratiques moyens  X et  P .

Vérifier que le principe d’indétermination de Heisenberg est respecté. Examiner le cas n  0 .

Problème 2 : Oscillateur harmonique isotrope à deux dimensions

On considère un oscillateur harmonique isotrope à deux dimensions dont l’hamiltonien s’écrit :

 
2
Px2 Py 1
H   m 2 X 2  Y 2
2m 2m 2
On introduit les opérateurs de création et d’annihilation (ax , ax ) et (a y , a y ) propres à chaque
dimension.

1. Donner les expressions de chacun de ces opérateurs.

2. Calculer les commutateurs suivants :


[ax , ax ] , [a y , a y ] , [ax , a y ] , [ax , a y ] , [ax , a y ] , [ax , a y ]

3. Exprimer l’hamiltonien H en fonction des opérateurs (ax , ax ) et (a y , a y ) .

4. En considérant que l’hamiltonien H est la somme de deux hamiltonien H x et H y à une


dimension et en appliquant les propriétés du produit tensoriel, déterminer les états stationnaires et les
niveaux d’énergie du système, ainsi que leur dégénérescence en fonction des nombres n x et n y . On
introduira le nombre quantique n  nx  n y .

1
Problème 3 : Oscillateur harmonique isotrope à trois dimensions

On considère une particule de masse m plongée dans le potentiel central


1 1
V (r )  m 2 r 2  m 2 ( x 2  y 2  z 2 ) . On désigne par E  En les énergies quantifiées du
2 2
système, n étant un entier naturel :
 3  3
En    nx  n y  nz      n  
 2  2

Démontrer que la dégénérescence des niveaux d’énergie est donnée par :

(n  1)( n  2)
gn 
2

Problème 4 : La méthode polynomiale

Problème facultatif à traiter chez soi (à ne pas traiter en séance de TD)


On considère une particule M de masse m assujettie à se déplacer sur un segment bien défini de
1
l’axe x' x . Elle évolue dans le potentiel V ( x)  m 2 x 2 ;  étant une constante. Soit  (x ) la
2
fonction d’onde stationnaire d’énergie E.
1. Ecrire l’équation différentielle vérifiée par  (x ) .

m
2. On pose q  x et  (q)   ( x) . Montrer que l’équation vérifiée par  (q ) est :

 d2 
 2  (  q 2 )   (q)  0 (1)
dq 
 
où  est une quantité que l’on précisera.

3. Ecrire l’équation précédente pour q tendant vers l’infini. Montrer que seul le comportement
asymptotique exp ( q 2 / 2) est physiquement acceptable.

4. On cherche des solutions de (1) sous la forme :


q2
 (q)  H (q) e 2

H (q ) étant une fonction de q. Ecrire l’équation différentielle ( 2) vérifiée par H (q ) .

5. On pose :

H (q)   aj q j
j 0

Montrer que les coefficients a j vérifient :

2 j   1
a j 2  aj
( j  1)( j  2)

2
1
6. Le potentiel harmonique V (q )   q 2 étant pair, les solutions de l’équation de Schrödinger
2
sont paires ou impaires. Donner les formes paires et impaires des séries H (q ) .

7. a. Montrer que pour les grandes valeurs de l’indice j, la série H (q)   aj q j se confond avec
j 0
2
la série qui représente le développement de la fonction eq .
b. Pour quelle valeur du paramètre  , la fonction  (q ) est – elle de carré sommable ?

c. En déduire la quantification de l’énergie de l’oscillateur harmonique ainsi que les expressions


des fonctions d’onde correspondantes.

3
T.D. 2 de M. Q. 2 – SMP5
Corrigé
Problème 1 : Relation de Heisenberg

On considère un oscillateur harmonique à une dimension dont l’hamiltonien est :


P2 1
H  m 2 X 2
2m 2
 1
Soit n le ket propre associé à l’état stationnaire d’énergie En    n   , n  ℕ.
 2
1. Le système est dans un état propre n .

▪ Les valeurs moyennes de la position X et de l’impulsion P :

On a :
a
1
 m X  i P  et a 
1
 m X  i P 
2m 2m
Donc :
 m  
X (a   a) et Pi (a  a)
2m 2

En utilisant les relations suivantes :


a n  n  1 n  1 , a n  n n 1
On obtient :

X 

2m

n a n  n a n 

2m
  n  1 n n  1  n n n 1  0
P i
m 
2
na 
n  n a n i  m 
2
 n 1 n n 1  n n n 1  0 
▪ Les valeurs moyennes de X 2 et P 2 :

X2 

2m
(a   a) 2 

2m

(a  ) 2  a 2  a  a  a a  
Or, a  a  N et [a , a  ]    a a   N  1 , donc :

X2 

2m

(a  ) 2  a 2  2 N   
Donc :
X2 

2m

n (a  ) 2 n  n a 2 n  n (2 N  ) n 

2m
(2n  1) 
Donc :
  1 E
X2  n    n2
m  2  m
De même :

4
P2  
m  
2
(a  a) 2  
m 
2

(a  ) 2  a 2  a  a  a a  
Donc :
P2  
m 
2

(a  ) 2  a 2  2 N   
Par suite :
 1
P 2  m   n    m En
 2

2. a. La valeur moyenne X 4 :

On a :
2
X4  n X4 n  n X2 k k X2 n  n X2 k
k k

Or :
X2 

2m

(a  ) 2  a 2  2 N   
Donc :
2
   2
X 4
   n (a  ) 2 k  n a 2 k  n (2 N  ) k
 2m  k

En utilisant les relations suivantes :


(a  )2 k  (k  1) (k  2) k  2 , a 2 k  k (k  1) k  2

On obtient :
2
   2
X 4
   (k  1) (k  2) n k  2  k (k  1) n k  2  (2k  1) n k
 2m  k
2
   2
   (k  1) (k  2)  n, k  2  k (k  1)  n, k  2  (2k  1)  n, k
 2m  k

 n (n  1)  (n  1) (n  2)  (2n  1) 
2
  
 
2

 2m 
Soit :
2
  
X 4  3  (2n  2n  1)
2

 2m 
b. Les valeurs moyennes de l’énergie cinétique Ec et de l’énergie potentielle V :
1 E 1 E
Ec  P2  n , V  m 2 X 2  n
2m 2 2 2

On retrouve en moyenne les résultats de la mécanique classique : l’énergie cinétique moyenne et


l’énergie potentielle moyenne sont toutes les deux égales à la moitié de l’énergie totale.
c. les écarts quadratiques moyens  X et  P :

On a :

5
2 1 En
X  X2  X  X2 
 m
2
P  P2  P  P 2  m En

Par conséquent :
En  1
 X . P   n  
  2

Ce produit est bien supérieur à  / 2 , le principe d’indétermination de Heisenberg est donc respecté
quelle que soit la valeur de n, en particulier pour n  0 correspondant à l’état fondamental de

l’oscillateur harmonique unidimensionnel dont l’énergie vaut E0  .
2
Problème 2 : Oscillateur harmonique isotrope à deux dimensions

On considère un oscillateur harmonique isotrope à deux dimensions dont l’hamiltonien s’écrit :

 
2
Px2 Py 1
H   m 2 X 2  Y 2
2m 2m 2
1. Expressions de chacun des opérateurs de création et d’annihilation (ax , ax ) et (a y , a y ) :

m i m i
ax  X Px , ax  X Px
2 2m 2 2m
m i m i
ay  Y Py , a y  Y Py
2 2m 2 2m

2. Relations de commutation :
Les observables X et Y d’une part, Px et Py d’autres part, sont indépendants ; donc :

[ X , Y ]  [ Px , Py ]  [ X , Py ] , [Y , Px ]  0
[ X , Px ]  i  , [Y , Py ]  i 

De ces relations, il découle :


[ax , ax ]   , [a y , a y ]  
[ax , a y ]  [ax , a y ]  [ax , a y ]  [ax , a y ]  0

3. Expression de l’hamiltonien H en fonction des opérateurs (ax , ax ) et (a y , a y ) :

 2 1 
 Px2 1
 2 2   Py

2
Px2 Py 1
H   m X  Y  
2 2 2
 m X    m 2Y 2 
 2m 2 
2m 2m 2 2
m 2
 
  
Hx Hy

Donc :
H  Hx  H y

6
H x et H y sont les observables hamiltoniens relatifs à la direction x et y, respectivement. Ils sont
indépendants : [ H x , H y ]  0 .

Comme :
1 1 1 1
H x   ( N x  )   (ax ax  ) et H y   ( N y  )   (a y a y  )
2 2 2 2
Alors :
H   ( N x  N y  )   (ax ax  a y a y  )

4. Etats propres et énergies propres de H :


On a :
1
H x nx  En x nx   (nx  ) nx , nx  ℕ
2
1
H y n y  En y n y   (n y  ) n y , n y ℕ
2
Puisque H x et H y sont indépendants [ H x , H y ]  0 , alors H , H x et H y commutent deux à
deux.
D’après les propriétés du produit tensoriel, on a :
i. Les vecteurs propres de H sont :
nx  n y  nx n y  nx , n y

ii. Les énergies propres de H sont :


En x , n y  En x  En y   (nx  ny  1)

Soit en posant n  nx  n y :

En   (n  1) , n  ℕ

Dégénérescence des niveaux d’énergie :

n En nx ny gn

0  0 0 1

1 2 1 0 2

0 1

2 0
2 3 3
1 1

0 2

7
Pour un niveau n quelconque :

En nx ny gn

n 0
(n  1)  n 1
n 1 1

n2 2

 

1 n 1

0 n

Le degré de dégénérescence d’un niveau d’énergie n est donc g n  n  1 .

Problème 3 : Oscillateur harmonique isotrope à trois dimensions

Démonstration de la dégénérescence des niveaux d’énergie :

On a : n  nx  n y  nz , donc pour déterminer le degré de dégénérescence g n d’un niveau


d’énergie En , il faut chercher toutes les combinaisons possibles (nx , n y , nz ) qui correspondent à une
même valeur de l’énergie En .

Pour n fixé, on choisira (n  1) valeurs pour n x : (0 ,1,, n) , ensuite on déterminera le nombre de


combinaisons du couple ( n y , nz ) .

Pour une valeur de n x donnée, on doit avoir n y  nz  n  nx . Les combinaisons possibles de


( n y , nz ) sont alors :

(0 , n  nx ) , (1, n  nx  1) , (2 , n  nx  2) , , (n  nx , 0)

Il y a alors (n  nx  1) possibilités.

Donc, le degré de dégénérescence g n d’un niveau d’énergie En est donné par :


n n n
gn   (n  nx  1)  (n  1) 1   nx
nx 0 nx 0 nx 0

Or :
n n
n(n  1)
1  n  1 et  nx  2
nx 0 nx 0

Alors :
n(n  1)
g n  (n  1) 2 
2
Donc :

8
(n  1)( n  2)
gn 
2

3
Donc, seul le niveau fondamental E0   est non dégénéré.
2

Problème 4 : La méthode polynomiale

On considère une particule M de masse m assujettie à se déplacer sur un segment bien défini de
1
l’axe x' x . Elle évolue dans le potentiel V ( x)  m 2 x 2 ;  étant une constante. Soit  (x ) la
2
fonction d’onde stationnaire d’énergie E.
1. L’équation différentielle vérifiée par  (x ) .

Soit H l’opérateur hamiltonien associé à l’énergie totale de la particule :


P2 2 d 2 1
H  V ( x)   2
 m 2 x 2
2m 2m d x 2

L’équation aux valeurs propres de H s’écrit alors :


2 d 2 1
 2
 ( x)  m 2 x 2  ( x)  E ( x)
2m d x 2

m
2. On pose q  x et  (q)   ( x) .

L’équation de Schrödinger devient :


1 d 2  (q) 1 d 2  (q) 2E
    q 2  (q)  E  (q)   q 2  (q)    (q)
2 dq 2
2 dq 2

2E
Si l’on pose : 

Alors, l’équation vérifiée par  (q ) est :

d 2  (q)
 (  q 2 )  ( q )  0 (1)
d q2

3. Solution asymptotique vers   :  (q)

Quand q tendant vers l’infini, le terme en q 2 domine le terme en  , et l’équation (1) devient vers
 :
d 2  ( q )
2
 q 2  ( q )  0
dq

dont les solutions sont de la forme :


q2

 (q )  e 2

9
Comme les fonctions d’onde associées à l’oscillateur harmonique sont de carré sommable, il faut que
la solution asymptotique  (q) reste bornée vers   .
q2
Or, la fonction e2 diverge quand q tend vers l’infini, alors la solution asymptotique physiquement
acceptable est :
q2

 (q )  e 2

4. La solution générale de (1) doit être  (q) multipliée par une puissance de q, c’est-à-dire un
développement en série H (q ) :
q2
 (q )   (q ) H (q )  H (q) e 2

H (q ) étant une fonction en puissances de q.

▪ Equation différentielle vérifiée par H (q ) :


q 2 q2
d  (q) d H (q)
 e 2  q H (q) e 2
dq dq
2
d 2  (q)  d 2 H (q) d H (q )   q2

  2q  (q  1) H (q)  e
2
d q2  d q 2
d q 
L’équation (1) devient :
d 2 H (q) d H (q)
2
 2q  (  1) H (q)  0 (2)
dq dq

5. On pose :

H (q)   aj q j
j 0

d H (q)  d H (q)  
  j a j q j 1  2q  2 j a j q j  2  j a j q j
dq j 1 dq j 1 j 0


d 2 H (q)
d q2
  j ( j  1) a j q j  2
j 2

Faisons le changement d’indice k  j  2 , ensuite revenons à l’indice j :



d 2 H (q )
d q2
  ( j  2) ( j  1) a j  2 q j
j 0

L’équation (2) devient :


  
 ( j  2) ( j  1) a j  2 q j  2  j a j q j  (  1)  a j q j  0
j 0 j 0 j 0

10
 ( j  2) ( j  1) a j  2  (2 j    1)a j q j  0


j 0

On obtient une série entière nulle, alors ses coefficients sont nuls :
( j  2) ( j  1) a j  2  (2 j    1)a j  0

D’où la relation de récurrence vérifiée par les coefficients a j :

2 j   1
a j 2  aj
( j  1)( j  2)
6. Formes paires et impaires des fonctions H (q ) :

Théorème : Parité (ou symétrie) du potentiel

Si le potentiel V est pair (symétrique), alors les fonctions d’onde solutions de l’équation de
Schrödinger ont une parité bien définie : elles sont paires ou impaires.
1
Le potentiel harmonique V (q )   q 2 étant pair, les fonctions d’onde de l’oscillateur harmonique :
2
2
 (q)  H (q) e  q /2

2
sont paires ou impaires. Comme les fonctions e q /2
sont paires, alors les fonctions  (q ) et H (q )
ont la même parité.

- Fonctions H (q ) paires :
  
H (q)  H (q)   a j q j   a j (q) j   (1) j a j q j
j 0 j 0 j 0

 a j  (1) a j j

 j pair : j  2 p  a2 p  a2 p
 
 j impair : j  2 p  1  a2 p 1  a2 p 1  0

Ainsi, tous les termes impairs sont nuls alors que les termes pairs sont non nuls :

H s (q)   a2 j q 2 j  a0  a2q 2  a4q 4  
j 0

- Fonctions H (q ) impaires :
  
H (q)   H (q)   a j q j    a j (q) j    (1) j a j q j
j 0 j 0 j 0

 a j  (1) j a j
 j pair : j  2 p  a2 p  a2 p  0
 
 j impair : j  2 p  1  a2 p 1  a2 p 1

Ainsi, tous les termes pairs sont nuls alors que les termes impairs sont non nuls :

11

H a (q)   a2 j 1 q 2 j 1  a1q  a3q3  
j 0

La fonction d’onde de l’oscillateur harmonique est alors de la forme :


 2
 (a0  a2q 2  a4q 4  ) e q / 2 : paire
 (q)  
q 2 / 2

 (a1q  a3q  ) e
3
: impaire

7. a. Comportement de la série H (q ) pour les grandes valeurs de l’indice j ( j  1) :



Montrons que pour les grandes valeurs de l’indice j, la série H (q)   aj q j se confond avec la série
j 0
2
qui représente le développement de la fonction eq .

▪ On a :
2 j   1
a j 2  aj
( j  1)( j  2)
Pour les grandes valeurs de l’indice j ( j  1) , cette relation devient :

2j a j2 2
a j2  aj  
j2 aj j
2
▪ Le développement en série entière de la fonction eq est :


(q 2 )i  q 2i 
qj
eq    
2

i 0 i! i 0 i! j 0
j
( )!
2
Ainsi :

1

2
eq  bj q j , avec b j 
j 0
j
( )!
2
b j2
Calculons alors le rapport :
bj
1
j2 j
bj2 ( )! ( )!
2 2 1
  
bj 1 j j
(  1)! 1
j 2 2
( )!
2
Pour les grandes valeurs de l’indice j ( j  1) , ce rapport devient :
bj2 2

bj j
2
Ainsi, pour les grandes valeurs de l’indice j ( j  1) , la série H (q ) se confond avec la fonction eq ,
qui est divergente :

12
q 2 q2
q2 q2
H (q)  e   (q)  e e 2   (q)  e2
Or :
q2
 (q)  e2 q  


La fonction d’onde  (q ) n’est plus de carré sommable.

b. Pour que la fonction d’onde  (q ) soit de carré sommable, la série H (q ) ne doit pas se confond
2
avec la fonction e q , qui est divergente. Il faut alors éviter de pousser le développement de H (q )
pour les grandes valeurs de j, c’est-à-dire qu’il faut limiter ce développement et le bloquer à partir d’un
certain rang n.

Il existe alors n ℕ tel que an soit le dernier coefficient non nul de la série, ce qui implique que :

an  2  0
Donc :
n
H n (q)   aj q j , n ℕ
j 0

H n (q) est le polynôme de Hermite d’ordre n.

Or :
2n    1
an  2  an  0  2n    1  0    2n  1
(n  1)( n  2)

c. Quantification de l’énergie de l’oscillateur harmonique et les expressions des fonctions


d’onde correspondantes :

On a :
2E  1
  2n  1  En    n   , n  ℕ
  2

D’où la quantification de l’énergie de l’oscillateur harmonique.

Les fonctions d’onde correspondantes sont :

q2 q 2
 n j
 n (q)  H n (q ) e 2    aj q e 2
 
 j 0 
 q2
(a  a q 2    an q n ) e 2 : paire
 n (q)   0 2
q 2

 (a1q  a3q    an q ) e
3 n 2 : impaire

13

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