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MULTIPLE CHOICE
1. The case of Little Brenda, who was born a biological male but raised as a girl, illustrates that ____.
a. virtually all human behavior is determined by nature rather than culture
b. gender identity is almost completely based on upbringing rather than biology
c. socialization is a powerful force, but there are limits to how much it can influence people
d. as people age, nature becomes increasingly less important and nurture becomes
increasingly more important
ANS: C DIF: Easy REF: Introduction KEY: Bloom’s: Understand OBJ:
SOCP.BAUM.17.02.02: Understand how culture and nature work together to affect choices and behavior
and make culture a better way of being social.
2. If a child who was born a biological male were raised as a girl, what would most likely happen?
a. The child would probably grow up to be a lesbian.
b. The child would probably feel "different" from other girls throughout childhood, and
ultimately seek to live life as a male.
c. The child would actually most likely grow up to be a "normal" woman.
d. It is impossible to predict; there are no known "patterns."
ANS: B DIF: Moderate REF: Introduction KEY: Bloom’s: Apply OBJ:
SOCP.BAUM.17.02.02: Understand how culture and nature work together to affect choices and behavior
and make culture a better way of being social.
3. Suppose that a child who was born a biological female were raised as boy (given a male name, dressed in
male clothes, etc.). Based on similar cases that have occurred in the past, it would be reasonable to expect
that the child would ____.
a. grow up to be a "normal" man
b. feel and act "different" from childhood on
c. feel and act "different" starting in early adulthood
d. feel and act "different" in childhood, but ultimately grow up to be a "normal" man
ANS: B DIF: Moderate REF: Introduction KEY: Bloom’s: Apply OBJ:
SOCP.BAUM.17.02.02: Understand how culture and nature work together to affect choices and behavior
and make culture a better way of being social.
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6. Understanding what the human psyche was designed to do can help us to understand human behavior in
the same way that ____.
a. reading a product manual can help us understand what a product will do, and how it will
react when treated in different ways
b. reading a book report can help to shed light on, and elaborate upon, the ideas presented in
a book
c. explaining an idea to someone else can help us to better understand the idea ourselves
d. determining the character of a person is largely based upon what kinds of friends that
person has
ANS: A DIF: Difficult REF: Nature and Social Behavior KEY: Bloom’s: Apply
OBJ: SOCP.BAUM.17.02.01: Explain how and why the human brain evolved the way it did.
10. Charles Darwin, the biologist who proposed the theory of evolution, was ____.
a. American
b. British
c. Dutch
d. Australian
ANS: B DIF: Easy REF: Nature and Social Behavior KEY: Bloom’s:
Remember OBJ: SOCP.BAUM.17.02.01: Explain how and why the human brain evolved the
way it did.
11. In evolutionary theory, the process of natural selection MOST favors the ____.
a. genes of people who are most physically fit
b. genes of people who reproduce the most
c. genes of people who survive the longest (even if they don't reproduce)
d. most unique (uncommon) genes in a population
ANS: B DIF: Moderate REF: Nature and Social Behavior KEY: Bloom’s:
Remember OBJ: SOCP.BAUM.17.02.01: Explain how and why the human brain evolved the
way it did.
12. According to evolutionary theory, the traits of which man should be most favored by natural selection?
a. Tom, who has one child, and dies when he is 100
b. Juan, who has two children, and dies when he is 50
c. Oded, who has four children, and dies when he is 25
d. There is no difference; the traits of all three men will be equally favored.
ANS: C DIF: Easy REF: Nature and Social Behavior KEY: Bloom’s: Apply
OBJ: SOCP.BAUM.17.02.01: Explain how and why the human brain evolved the way it did.
14. Which statement is true regarding the phrase "survival of the fittest"?
a. The term "survival" refers to survival of genes in a population's gene pool.
b. The term "fittest" refers to the physical fitness of individual organisms.
c. It applies only to animals that do not have a division of labor.
d. It applies only to animals that do not have culture.
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se contentent pas d’un mari. Les Inuits trouvent que les choses sont
fort bien arrangées ainsi : c’est ce que Moutou-Apou expliqua fort
innocemment à M. Eriksen, le pasteur norvégien qui tenta de
convertir sa tribu, mais n’y parvint point parce que le sorcier vendait
des charmes pour faire prendre beaucoup de poisson, tandis que lui,
cet Européen qui se moquait du monde, prétendait qu’il faut là-
dessus se borner à invoquer le Seigneur.
Comme tous les siens, Moutou-Apou avait deux morales : une
morale d’été et une morale d’hiver. En hiver, il convient de vivre tout
nu, au fond de larges caves creusées dans la neige, où les grosses
lampes à huile, taillées dans la pierre de savon, entretiennent une
chaleur presque excessive qui rend insupportable le poids des
vêtements de fourrure. Les deux sexes, dans ces caves, vivent
mêlés, mais chastement, sans se toucher, en frères et sœurs. Il est
recommandable de se remuer le moins possible, de manger le
moins possible, de dormir autant que possible, afin d’épargner les
provisions. En été, au contraire, la coutume veut qu’on reste au
grand air, ou bien dans des huttes faites d’ossements de baleines,
recouvertes de peau, et vêtu, car les nuits sont fraîches. Mais, le
poisson et le gibier étant abondants, il est licite et même obligatoire
de manger beaucoup — chaque jour quatre ou cinq livres de viande
— et de faire l’amour autant qu’on peut, dans l’intervalle des repas.
Toutefois, au cours de la saison d’hiver. Moutou-Apou, sans
doute à cause de sa jeunesse, avait peine à dormir autant que
l’exigeait l’usage. Alors, sur des os de cétacé ou bien l’ivoire des
défenses de morse, à l’aide d’un fin burin de silex il gravait de
nombreuses images. C’était l’histoire de ses chasses et de ses
pêches, des espèces d’idéogrammes où on le voyait portant sur son
dos le kayak de cuir qu’il dirigeait sur les eaux du Mackenzie ou
même de l’océan Arctique, — car la tribu allait parfois jusque-là dans
ses migrations, — capturant des phoques, tuant un ours. Ou bien
c’étaient les portraits, fort ressemblants, tracés avec un art ingénu,
de ces animaux ; ce qui paraît bien prouver qu’en effet il gardait dans
les veines le sang des vieux chasseurs de l’époque de la Madeleine,
qui nous ont laissé en France, dans les grottes où ils célébraient des
rites mystérieux, des preuves si émouvantes de leur talent de
peintres et de sculpteurs. Comme eux, Moutou-Apou n’aimait guère
figurer que des choses qui ont vie et qu’on peut tuer pour se nourrir.
Voilà pourquoi certains livres du pasteur norvégien, l’évangélique et
mal récompensé pasteur Eriksen, l’intéressèrent. Quelques-uns
étaient illustrés, les uns représentant des hommes et des femmes en
costumes bizarres, ou presque nus, — à l’époque de la morale
d’hiver, croyait-il, mais en réalité c’étaient les personnages de
l’Ancien et du Nouveau Testament — les autres habillés comme
monsieur le pasteur, et portant le même magnifique chapeau de
haute forme dont, même aux environs du pôle, celui-ci se coiffait, les
jours de cérémonie.
C’étaient là des hommes et des femmes en vie, mais on ne les
pouvait tuer pour se nourrir, et par conséquent moins attrayants, aux
yeux de Moutou-Apou, que les bêtes dont les effigies peuplaient un
autre des ouvrages de la bibliothèque de M. Eriksen. Plusieurs
semblaient d’une taille monstrueuse, d’autres affectaient des formes
bien étranges. Il ne faut pas s’en étonner : c’étaient les
reconstitutions de la faune antédiluvienne, telles qu’on les pouvait
contempler dans cette traduction anglaise de la Terre avant le
Déluge, de M. Louis Figuier, vulgarisateur scientifique un peu oublié
de nos jours, mais dont les honnêtes travaux ne sont pas sans
valeur. Dans l’esprit de Moutou-Apou, ces animaux devaient être
sûrement ceux qui se rencontraient dans le pays du missionnaire,
aussi communément que les ours blancs et les morses dans la
patrie des Inuits ; et cela lui fit une grande impression. Quel paradis
que celui où l’on pouvait chasser ces montagnes de chair, ces êtres
singuliers et gigantesques ! Il en rêvait dans la grande cave aux
parois de neige, il en gardait la figure dans sa mémoire.