Professional Documents
Culture Documents
Full Test Bank For Diversity in Organizations 2Nd Edition PDF Docx Full Chapter Chapter
Full Test Bank For Diversity in Organizations 2Nd Edition PDF Docx Full Chapter Chapter
Answer, B, p. 47
5. Prescriptive stereotyping refers to
A. statements such as women are caring and it is appropriate that they become
nurses.
B. statements such as women are nurturing and it is appropriate that they become
elementary school teachers.
C. perceptions about how people should behave based on their group memberships.
D. ideas about how people do or will behave, based on their group memberships.
Answer, C, p. 42
Answer: D, p. 41, 42
7. Which of the following is true concerning the research findings of McCarthy and
her colleagues in using structured interviews to select employees?
A. Applicant race and sex were not associated with their ratings by the interviewers.
B. Applicant/interviewer similarity in race and sex was related to applicant ratings.
C. Using highly structured interviews was not helpful in reducing bias in selection.
D. Using highly structured interviews was too time-consuming to be practical for
selecting employees.
Answer: A, p. 46
8. Aversive racism
2
D. occurs when those who say they hold egalitarian values possess positive feelings
about racial issues and minority group members.
E. All of the above.
Answer: C, p. 53
9. John believes that women are incompetent at work and makes statements to this
effect, but also makes statements that indicate women must be protected. He is
exhibiting
A. neosexism
B. hostile sexism
C. benevolent sexism
D. ambivalent sexism
Answer: D, p. 56
Answer: A, p. 58
Answer: B, p. 44
12. Which of the following is true of the media and diversity issues?
3
C. Use of divisive or misleading terminology by the media causes resistance to
diversity.
D. All of the above.
E. A and B only above.
Answer: D, p. 49
13. Which of the following is not true of age and diversity at work?
A. Older workers are more likely to occupy high-status organizational positions than
younger workers.
B. At times younger workers are preferred over older workers.
C. At times younger workers are viewed as irresponsible and not dependable.
D. Older workers are clearly the dominant group in all contexts.
E. All of the above are true.
Answer: D, p. 39
True/False
1. Minority groups are not necessarily fewer in number than majority groups.
Answer: True, p. 37
Answer: True, p. 37
Answer: True, p. 40
Answer: False, p. 47
4
Answer: True, p. 50
Answer: True, p. 53
Answer: True, p. 51
Answer: False, p. 57
Answer: False, p. 56
Answer: True, p. 56
Answer: False, p. 57
13. When we first come into contact with others, we categorize them as belonging to
an in-group or an out-group.
Answer: True, p. 45
14. Efforts to change attitudes of those who are prejudiced but think they are unbiased
are the same as efforts to change attitudes of those who acknowledge and express
overt prejudice.
Answer: False, p. 58
Short Answer/Essay
5
Another random document with
no related content on Scribd:
pantalon. C’est le costume andalou, et Andalous ils sont presque
tous.
L’Andalousie est réputée pour ses toreros. Les courses de Séville
passent pour les meilleures d’Espagne. Là fut fondée en 1830 une
fameuse école de tauromachie sous la direction des illustres maîtres
Candido et Pedro Romano. C’est à Séville que Joaquim Rodriguez
inventa, voici cent ans, un coup fameux, but des études de toutes
les espadas : frapper le taureau de telle sorte qu’aucune goutte de
sang ne rougisse sa peau et qu’il meure comme s’il demandait grâce
en tombant sur ses genoux.
Une autre école célèbre formait de bonnes épées dans la vieille
ville andalouse de Ronda.
C’est aussi en Andalousie, en pleins champs, au milieu de
grands troupeaux de taureaux, que s’apprend le dangereux art.
On joue de la cape comme dans les courses ordinaires et l’on fait
avec des baguettes le simulacre de planter les banderilles ; un bâton
remplace l’épée. Les propriétaires des troupeaux, leurs femmes,
leurs filles assistent à ces « entraînements » sur des estrades
improvisées ou derrière de fortes barrières, quelquefois à l’ombre,
sous l’arche d’un pont. Il y a toujours quelques coups de corne, un
peu de sang répandu, ce qui procure des émotions dont raffole toute
vraie fille d’Ève, qu’elle s’appelle Mary, Marie, Meriem ou Mariquita,
qu’elle ait les yeux bleus, verts ou noirs. Quand les élèves se
sentent assez forts, ils s’essayent dans les petites villes et
bourgades ; les courses ont lieu sur une place publique, à défaut
d’une Plaza de Toros, et ce ne sont pas les moins émouvantes.
On barricade de planches les rues adjacentes, on dresse des
estrades, et croisées, balcons, toitures se garnissent de spectateurs.
Puis ils donnent des courses de novillos, jeunes taureaux de quatre
à cinq ans, plus faciles à tuer que les autres.
La meilleure époque est le printemps, quand l’animal est dans
toute sa fougue. Les courses, d’après ce que m’ont dit les toreros
eux-mêmes, seraient aussi intéressantes si l’on ne tuait pas, mais il
faut satisfaire la férocité du bas peuple. Quand on se laisse
surprendre par la nuit, on ne tue pas le taureau, l’effet serait
manqué ; on l’emmène par le procédé ordinaire et on l’égorge dans
le toril.
Les taureaux coûtent de 9000 à 10 000 réaux (2500 francs), les
novillos de 6 à 7000. Les chevaux sont fournis par un entrepreneur
qui reçoit de 15 000 à 20 000 réaux par course. Il doit en fournir
autant qu’il est nécessaire. C’est pourquoi il est de son intérêt de
faire resservir les blessés qui peuvent encore se tenir debout.
Après la course, il faut faire une visite au desolladero ; c’est là
qu’on écorche, et l’on procède rapidement à la besogne. La chair est
donnée aux hôpitaux ou aux troupes, à moins qu’un torero n’ait été
blessé ; alors elle lui appartient comme juste dédommagement.
XIX
L’ESCORIAL
JUPON
« Quand la Reine du ciel posa le pied sur le sol, c’est sur cette
pierre qu’elle le posa. » Il faut croire qu’elle était fatiguée du voyage,
car elle pesa lourdement.
Comme bien vous le supposez, les Tolédains furent
excessivement flattés de cette bonne visite. Mais dans l’impossibilité
de la lui rendre ils ont tenu à lui prouver leur gratitude, et par de
petits cadeaux entretenir cette amitié distinguée.
Dans une chapelle belle comme un rêve des Mille et une Nuits,
ils parèrent leur Vierge comme jamais sultan amoureux ne para
l’odalisque chérie. Ils lui achetèrent les plus riches écrins, la plus
somptueuse des garde-robes. Certaines de ces jupes sont chargées
de pierreries d’une valeur de plusieurs millions de réaux. A chaque
fête de l’année, on renouvelle sa toilette, on lui change de robe, de
diadème, de boucles d’oreilles, de bagues, de collier.
Le grand luxe des dames espagnoles consistant principalement
en bagues, il est tout naturel que la Dame du Paradis en soit
chargée.
Vous avouerez avec moi que les bons Tolédains ne pouvaient
mieux faire les choses et montrer plus décemment combien ils
étaient sensibles aux excellents procédés de la Mère de Dieu.
En m’extasiant devant cette splendide toilette, l’idée me vint de
demander si le trousseau était complet, si enfin en lui changeant de
robe on lui changeait aussi de chemise.
Le sacristain que j’interrogeai timidement me répliqua, indigné de
mon doute :
« Une chemise ! certainement elle a une chemise, et toute brodée
de fleurs d’argent.
— Ah !
— Oui, monsieur, et je vous prie de croire qu’elle est aussi propre
que le reste. »
Le reste ! quel reste ? Le fonctionnaire avait une mine si
rébarbativement dévote que je n’osai pousser plus loin mes
investigations.
A côté d’une aussi somptueuse Vierge, le pauvre Jésus fait triste
figure, sur sa vieille croix de bois, affublé de son jupon qu’on
change, j’espère, aussi quelquefois.
Que n’est-il venu rendre visite, comme sa mère, à la cathédrale
de Tolède !
Devant cet inconvenant jupon, je me suis remémoré le mot de
Diderot : « L’indécent n’est pas le nu, mais le troussé, » car il me
semble placé là tout exprès pour donner une furieuse envie aux
curieuses petites Espagnoles de le trousser pour voir ce qu’il y a
dessous.
Ce jupon, dont on affuble non seulement Jésus, mais les deux
larrons qui le flanquent, est un obstacle sérieux à l’investigation que
citait Fra Gabriele de Barletta, l’une des lumières de la chaire au
quinzième siècle, et dans les sermons macaroniques duquel la
Fontaine tira, dit-on, sa fable des Animaux malades de la peste.
Prêchant à Naples pendant un carême, il raconta aux dévotes
extasiées que la belle Samaritaine reconnut Jésus-Christ à trois
choses : son vêtement râpé, sa barbe blonde et sa circoncision.
Voilà qui était pousser un peu loin l’examen !
XXIII
LES BONNES LAMES DE TOLÈDE