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Chap1 - Présentation2 - Filtres Numériques
Chap1 - Présentation2 - Filtres Numériques
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INTRODUCTION
Domaine fréquentiel
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Les équations aux différences finies
les SLIT numériques ou discrets peuvent être représenté mathématiquement
dans le domaine temporel par une équations aux différences finies à l’instar des
SLIT analogiques qui utilisaient un système d’équation différentielles
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Les équations aux différences finies
Une équation aux différences finies pour un système discret
Utilisant la TZ:
Filtre numérique:
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Filtres RIF et RII
La représentation temporelle d’un filtre numérique dépend essentiellement de la
durée de sa réponse impulsionnelle.
Filtres RII : si par contre la durée de cette réponse impulsionnelle est infinie
(RII), il est impossible d’utiliser l’équation de convolution discrète (boucle
infinie), ce qui nous pousse à utiliser un système d’équations aux différences
finies
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Les équations aux différences finies
Quelle représentation doit on utiliser pour un filtre numérique ?
Un produit de convolution?
Un système d’équations aux différences finies ?
Utilisant la TZ inverse:
Additionneur
Multiplicateur
Elément de retard
(mémorisation)
4 opérations de multiplications
3 opérations d’addition
3 éléments de retard unitaire
Ce qui nous permet de conclure que le temps d’exécution d’un RIF dépend
du nombre d’échantillons m+1 de sa réponse impulsionnelle h(n)
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Implémentation des filtres RII
Pour représenter et implémenter un filtre numérique RII nous devons utiliser
l’équation discrète aux différences finies
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Implémentation des filtres RII
Complexité calculatoire d’un filtre RII: Forme directe I
Soit un filtre Rif d’ordre 3:
5 opérations de multiplications
4 opérations d’addition
4 éléments de retard unitaire
D’une manière générale, l’implémentation d’un filtre RII, selon cette structure, exige:
(m+1) + (n) opérations de multiplications
m+n retards unitaires
m+n opérations d’additions
Ce qui nous permet de conclure que le temps d’exécution d’un RII dépend du nombre
m et n, respectivement le nombre de coefficients ai et bi. Mais ces valeurs m et n sont
généralement très petits par rapport à m d’un filtre RIF pour les mêmes performances.
Ce qui représente l’avantage le plus important des RII par rapport aux RIF, à savoir un
temps d’exécution nettement plus faible.
Mais peut on proposer une autre structure pour le RII avec moins d’opérations
surtout le nombre de mémoire à utiliser ? 12
Implémentation des filtres RII
Structure d’un filtre RII : Forme directe II
Avec
Ce qui nous permet d’écrire H(z) sous la forme de deux filtres en cascade
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Implémentation des filtres RII
Structure d’un filtre RII : Forme directe II
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Implémentation des filtres RII
Complexité calculatoire d’un filtre RII: Forme directe I
Soit un filtre Rif d’ordre 3:
5 opérations de multiplications
4 opérations d’addition
3 éléments de retard unitaire
D’une manière générale, l’implémentation d’un filtre RII, selon cette structure, exige:
(m+1) + (n) opérations de multiplications
max(m,n) retards unitaires
m+n opérations d’additions
Si on suppose que filtre est causal, doit être une séquence droite () et le
domaine de convergence doit être à l’extérieure de du pole le plus loin de
l’origine
Pour . Donc le filtre est stable si son domaine de convergence inclue le cercle
unitaire.
En regroupant ces deux conditions, le filtre est causal et stable si tous ces
pôles sont à l’intérieure du cercle unitaire.