Jean Chrysostome
Garo?)
Jean fut ermite avant de devenirdiacre en 381, Prétre de Véglie d’Antioche cina ans
plus tard, puis patriarche de Constantinople en 397 1 ut surnommé Chrysostome,
Elest-aclre « bouche dor », en raison de son talent oratoire.IIcombattalt la corrup~
tion des moours, lascétisme et défendait forthodoxie. Chrysostome affirmalt que
«le prédicateur doit travaillr fort longtemps sur ses sermons afin de gagner la
puissance de léloauence. » Il considéralt également le prétre comme un ange en
Faison de son ordination
Epiphane
‘de
Salamine
(0-403)
Jérome
de Stridon
47229),
Paulin
de Nole
Gss-t30,
Peete
Augustin
e'Hippone
Jean
cassion
(350-835)
Vincent
de Lérins
mor vee 450)
Léon Le
Grand
caao-48,
1 publi un traté en 374 qui repose en majorité sur des dogmes trinitaires. Nombre
historiens de FEglise sappuient sur ses écrts, bien au'l soit décrit comme «
polémiste, plein d'atgreur, toujours de mauvaise humeur et mauvais rédacteur.» De
plus, certains de ses écrits sont reconnus comme étant directement tirés de son
Imagination
UN soutenait qu'ElohIm était honoré si "évéque portait une tunique blanche plus belle
qu’habituellement. Comme d autres Peres de Heglise, I sopposalt& toute utilisation
instruments musicaux dans le culle, associant ce matériel aux cérémonies
pafennes et aux productions théatrales romaines.
Paulin est considéré comme l'un des plus grands podtes latins chrétiens. Son
inspiration tenait en la tradition poétique palenne, quill adapta a un champ plus
chrétion. Cest ce mélange qui lu valut sa renommée. En effet, dans les 35 podrmes
conservés de lly figurent 5 paraphrases de Psaumes bibliques et 15 faisant I'éloge
de Félix (patron de Nole). En outre, vers 409, Paulin devint évéque de Nole. Selon
ln écrit du prétre catholique Uranis il aurat regu, fa veille de sa mort, la vision de
Janvier, évéque de Bénévent (Campanie) et de Martin, évéque de Tours, venus tous
deux le conduire au ciel
Professeur de thétoriaue, Il introduit, avec Jean Chrysostome, Iéloquence a a fol
hrétionne. Influencés par le sophisme gree, ils sont & la source de la rnétorique
Chrétienne, et du « sermon » chrétien: le sermon dune heure, les notes de sermon,
tt Fapproche a quatre parties du sermon, Le prétendy « sermon dy Seigneur ur la
montagne » a recu ce nom d'Augustin, le premier a donner a Mt. chapitres 5 a7
Cette appellation dans son livre Sermon du Seigneur