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Btic Gondo Ensea V2
Btic Gondo Ensea V2
bureautique et TIC
Cours donné par :
2022-2023
Prérequis
Aucun prérequis
Objectif du cours
Le but de ce cours est d’amener l’étudiant à la maîtrise de l’outil informatique pour le traitement automatique
de l’information.
• Acquérir des connaissances générales en informatique
• Prendre en main un environnement informatique (outils et fonctionnement, logiciels de bureautique)
• savoir utiliser les Technologies de l’Information et de la communication
Cours liés
• Excel, Excel avancé
• Statistique descriptive
• Etc. 2
Compétence à acquérir
• Savoir décrire l’architecture des ordinateurs et les systèmes d’exploitation
• Etre capable d’utiliser le logiciel Word
• Etre capable d’utiliser le logiciel PowerPoint
• Être capable d’utiliser les services d’Internet, Intranet et les réseaux sociaux
Volume horaire
20H
Mode d’évaluation1
• Evaluation écrite (50%) et / ou
• Evaluation pratique(50%)
Bibliographie
• Akoka, J. & Comyn-Wattiau,I. (2006). Encyclopédie de l’informatique et des systèmes d’information, Vuibert.
• Tanenbaum, A. (2008). Systèmes d'exploitation 3ème Ed. (Français)
• Pujolle, G.(2003). Les réseaux, 3e edition, Eyrolles, Paris.
• Henri-Pierre Charles (2000). Initiation à l’informatique. Eyrolles
• Bloch, L. (2020). Splendeurs et servitudes des systèmes d’exploitation. Histoire, fonctionnement.
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• Pillou, J. F., & Lemainque, F. (2020). Tout sur les réseaux et Internet-5e éd. Dunod.
Plan du cours
Chapitre 1 : Architectures, Systèmes et Réseaux
Chapitre 3 : TIC
Compte tenu de son évolution, ce système caractérise la majorité des grandes entreprises quel
que soit le secteur d’activité. Pour les étudiants, il leur est alors capital d’avoir des
connaissances dans ce domaine.
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CHAPITRE 1 : Architectures, Systèmes et Réseaux
1. Aspects matériels : Unité Centrale (UC ou CPU), composants et périphériques
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
3. Système d’exploitation et système de gestion des fichiers de base
4. Initiation aux réseaux
1. Aspects matériels : UC, composants et périphériques
Bureautique : ensemble des moyens et des techniques visant à automatiser les activités de bureau (traitement
de textes, classement de documents, gestion automatique de fichiers de données, tableurs et traitements
graphiques, etc.)
Ordinateur: Automate capable d’effectuer des actions dites primitives (c-a-d déterminées par ses concepteurs)
Programme : Texte qui énumère, dans le bon ordre, les primitives de l’ordinateur
Bus système : également appelé front-side bus (FSB), il relie le microprocesseur et la mémoire centrale
Carte mère : Le circuit imprimé qui supporte la plupart des composants et des connecteurs qui assurent la
liaison de tous les composants et périphériques propres à un micro-ordinateur (disques durs (HDD/SSD),
mémoire vive (RAM Random acces memory), microprocesseur, cartes filles, etc.)
1. Aspects matériels : UC, composants et périphériques
Les cartes d’extension : améliorent les performances du système (Exemples : Carte vidéo, Carte audio)
Système d’exploitation :
• Logiciel destiné à faciliter l’utilisation d’un ordinateur, Il est conçu pour déclencher l’exécution d’autres
programmes.
• Un système d’exploitation ne sert pas à une tâche particulière, et l’ordinateur est inutilisable sans lui.
• Le système d’exploitation peut avoir une couche visible qui sert à ouvrir, présenter et gérer les fenêtres
et objets graphiques analogues : cette couche c’est le gestionnaire de fenêtres ou Interface utilisateur
Graphique (GUI : Graphical User Interface)
1. Aspects matériels : UC, composants et périphériques
Structure de l’ordinateur
Les unités de contrôle, arithmétique et d’entrée–sortie constituent à elles trois l’unité centrale, ou le processeur de l’ordinateur
Parfois, on ne considère pas les unité d’entrée sortie comme faisant partie de l’unité centrale
Des périphériques (appareils qui vient compléter l’unité centrale) peuvent être associés à l’ordinateur via l’Unité d’Entrée-sortie
1. Aspects matériels : UC, composants et périphériques
Composants et périphériques
Outre l’ordinateur (proprement dit) d’autres éléments sont considérés comme faisant partie de
l’ordinateur :
La mémoire centrale
La mémoire centrale contient toutes les informations dont la machine a besoin pour travailler à un instant
donné. Il y a deux types d’informations :
- les instructions des différents programmes décrivant ce que la machine doit faire ;
- les données nécessaires à l’exécution des programmes.
NB : Au tout début des ordinateurs, les programmes s’écrivaient littéralement de manière binaire (langage
machine)
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
La mémoire centrale
La mémoire est divisée en cellules appelées mots - mémoire. Chaque cellule a une adresse qui lui est propre
grâce à laquelle chaque mot - mémoire peut être traité.
A chaque mot- mémoire est donc associé :
• Une adresse (unique) indiquant la position en mémoire ;
• Un contenu (instruction ou donnée).
La mémoire centrale ou mémoire principale ne stocke pas de manière permanente les résultats, c’est plutôt le
rôle des mémoires secondaires (auxiliaires) qui peuvent être associées via l’Unité entrée-Sortie
Toutefois, la mémoire Centrale a aussi une mémoire permanente contenant les premières instructions
nécessaires à la machine pour démarrer
On distingue donc :
ROM (Read Only Memory) ou Mémoire morte : mémoire permanente contenant les premières instructions
nécessaires à la machine pour démarrer
RAM (Random Access Memory) ou Mémoire vive : mémoire effaçable qu’on rempli pour pouvoir travailler
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
- des organes de stockage intermédiaires : les registres mémoires spécialisées permettant d’enregistrer,
à chaque opération, les opérandes et les résultats
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
Déroulement des échanges CPU - Mémoire centrale
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
Autre types de mémoires et fonctionnement de l’ordinateur
Outre, la mémoire centrale, il existe d’autres mémoires avec lesquelles le processeur communique. Parmi
celles-ci, nous avons le cache mémoire, CMOS
Cache mémoire : mémoire implantée sur le processeur, elle permet de garder près du processeur les mots-
mémoire les plus probablement utilisés ; cela améliore les performances de l’ordinateur. L’algorithme de
gestion du cache consiste à y charger toute zone de mémoire demandée par le processeur à la place de la zone
la moins récemment utilisée
CMOS : Complementary Metal Oxide Semiconductor (CMOS) est un type de puce capable de stocker des
informations et de les conserver même quand l'ordinateur est éteint. Leur contenu est maintenu par un faible
courant électrique fourni par une pile. C’est également une mémoire ROM.
Grâce au CMOS, un programme important pourra assurer le démarrage cohérent de l’ordinateur : le BIOS
BIOS : Basic Input Output System (BIOS) est un petit programme situé dans le CMOS.
• C’est un programme de base permettant de gérer les périphériques essentiels : souris, clavier, écran.
• C’est le premier programme chargé en mémoire dès que vous allumez votre ordinateur.
2. Principes de fonctionnement des ordinateurs
Avant les années 1990, les BIOS étaient stockés sur des puces ROM qui ne pouvaient être modifiées.
Au fur et à mesure que leur complexité, et le besoin de mises à jour se faisait sentir, ils furent
stockés sur des mémoires EEPROM ou Flash qui pouvaient être modifiées. Ainsi, il est possible de
mettre à jour, de manière logicielle, le BIOS d'un ordinateur. Cette action est appelée Flasher le
BIOS.
Celui-ci s'exécute au démarrage de l'ordinateur. Il déclare les disques, configure les composants et
recherche l'unité de booting (démarrage de l’ordinateur), c'est-à-dire la partie où rechercher un
système d'exploitation et finalement lance ce dernier.
3. Système d’exploitation et système de gestion des fichiers de base
Premiers essais
À l’époque des premiers ordinateurs, à la fin des années 1940, il n’y avait rien qui annonçât les
systèmes d’exploitation (ceux-ci apparurent vraiment en 1956)
Chaque chiffre binaire était introduit manuellement à l’aide de commutateurs. Puis le programme
se déroulait durant des dizaines d’heures, pour finalement afficher le résultat attendu
Nous allons compléter notre définition du système d’exploitation par la capacité qu’il pourrait conférer à
l’ordinateur, par lui piloté, de faire plusieurs choses à la fois
La capacité pour le système d’exploitation d’organiser le partage des ressources entre plusieurs processus
concomitants qui s’exécutent en pseudo-simultanéité (ou simultanéité) s’appelle la multiprogrammation
Un programme significatif représente un texte d’une longueur respectable (par exemple 10 000 lignes), et il
faut organiser ce volume d’information pour que les humains qui l’écrivent et le modifient puissent s’y
retrouver. Un moyen très général et simple est d’avoir un programme principal qui joue en quelque sorte le
rôle de table des matières
3. Système d’exploitation et système de gestion des fichiers de base
Ce programme principal pourra transférer le contrôle à des sous-programmes chargés de telle ou telle
fonction particulière, eux-mêmes découpés en sous-programmes plus petits, etc. Ce transfert de contrôle
est nommé « appel de sous-programme » (ou de fonction, ou de procédure, voire de méthode, ces mots
désignent des objets similaires dans le contexte envisagé ici)
3. Système d’exploitation et système de gestion des fichiers de base
• Contrôle de la mémoire
• Contrôle du temps
Notion de Shell : programme qui est l’intermédiaire principal entre l’utilisateur et le système. C’est à la fois un interpréteur
de commandes qui permet le dialogue avec le système et le lancement de programmes, et un langage de programmation
3. Système d’exploitation et système de gestion des fichiers de base
Système de fichiers
• Un système de fichiers, désigne à la fois le principe d’organisation des fichiers, les éléments de logiciel
qui implémentent (réalisent) ce principe, et un ensemble de fichiers organisés selon ce principe
• Le système de fichiers offre à l’utilisateur une vue abstraite sur ses données et permet de les localiser
• Il existe plusieurs types de gestion de fichiers, mais les fichiers sont généralement stockés selon un
arbre hiérarchique
4. Initiation aux réseaux
L’architecture des réseaux est consacrée aux moyens de communication entre ordinateurs distants
Le problème de base à résoudre pour concevoir et réaliser un réseau d’ordinateurs consiste à établir un échange de données
entre deux ordinateurs distants
On peut utiliser des canaux de communication (ou de transmission) pour régler ce problème
Pour acheminer un flux de données sur un canal de transmission, les systèmes matériels et logiciels qui composent le réseau
utilisent un ensemble de règles, de conventions et de mises en forme des données
qui constituent un protocole de communication
Le réseau peut être local ou à une échelle plus grande selon les périmètres (taille, vitesse de transfert, étendue) qu’on se fixe :
PAN, LAN, MAN, WAN, GAN
MS Word est un logiciel de traitement de texte incorporé dans le pack « microsoft office ».
Outre la saisie de texte, il permet de faire les mises en forme pour une meilleure présentation des documents de
travail
Il existe des onglets standards et des onglets contextuels. L’onglet le plus usuel est l’onglet Accueil
Tout document, pour faciliter la navigation et les recherches, doit faire l’objet d’une numérotation. En dehors de
cet aspect, l’on peut vouloir mettre des informations à chaque page ne serait ce que sur l’auteur du document.
Ce sont ces aspects qui peuvent être gérés sous l’onglet « insertion »
▪ Numérotation
• Numérotation classique
• Insérer page, saut de page, page de garde
• Sections et, numérotation multiple et orientation
▪ Entêtes et pieds de page
3. Gestion des références et révisions
Légendes
Insérer une légende via l’élément ou l’onglet
• Ajouter légendes existantes
• Créer légendes
L’un des nombreux avantages de procéder ainsi est que MS Word gère alors automatiquement la numérotation
des légendes que vous mettez dans le document. La numérotation par défaut est numérique (1,2,3,…), mais vous
pouvez la changer en alphabétique, en chiffre romain ou même la lier au numéro du paragraphe ou du chapitre
en cours
Un autre avantage est qu’à la fin de votre document, vous pouvez générer automatiquement la liste de vos
éléments illustratifs, élément par élément (table des illustrations)
3. Gestion des références et révisions
Pour insérer une table de matière (ou un sommaire) automatique dans votre document, il faut au préalable
préparer votre document
Cette phase préparatoire consiste à indiquer pour chaque titre ou sous titre, son niveau hiérarchique
Une fois cette phase préparatoire terminée, l’on peut à présent se positionner à la page à laquelle on souhaite
insérer le sommaire ou la table de matière, ensuite aller dans l’onglet « références », dans le groupe « tables de
matière », cliquer sur table de matière
• Modèle existant
• Personnaliser
3. Gestion des références et révisions
Citations et Bibliographie
• Insérer citation
• Gérer les sources
• Bibliographie
3. Gestion des références et révisions
Possibilité donnée aux utilisateurs d’insérer des commentaires ou même de modifier le texte et enregistrer cela
sans pour autant avoir validé les modifications
Le publipostage est une forme d’automatisation des tâches utile lorsque vous avez une pile de documents
quasiment identiques à faire
Il peut être question d’envoyer une lettre personnalisée à une multitude de correspondants. Le contenu étant similaire mais
les destinataires et certaines informations les concernant pouvant changer.
Publipostage
Une fois la liste de destinataires prête, vous pouvez entamer la fusion et la publication
Ms POWERPOINT est un logiciel de de présentation, qui aide à faire passer un message par le biais de
diapositives. Il est incorporé dans le pack « microsoft office ».
A l’instar de WORD,
Plusieurs onglets sont à la disposition de l’utilisateur.
• Onglets (standards et contextuels)
• Groupes dans les onglets
Il faudra penser à enregistrer son document, et plusieurs formats/versions d’enregistrement existent, dont les
vidéos
2. Interactions avec les diapositives (disposition, transition, animations)
• Masque de diapositives
3. Présentation du travail
• Modes de présentations
• Deuxième écran
• Les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) regroupent tous les outils, logiciels ou
matériels de traitement et de transmission d’informations : appareils photos numériques, téléphones
portables, téléviseurs, ordinateurs, etc.
Après plusieurs recherches, c’est en 1995 que le terme « Internet » entre dans le vocabulaire de la plupart du
monde.
o Messagerie Instantanée :Avec le courriel vous ne savez pas quand, ou même si, quelqu'un va vous répondre.
Ainsi, la messagerie instantanée permet d’échanger en temps réel avec les personnes qui vous intéressent. Il
suffit d'avoir un logiciel spécialisé pour le faire. (Whatsapp, Telegram, Wechat, Snapchat, etc.)
o Le World Wide Web (WWW ou Web) : un système de pages web publiques (hypertexte public)
interconnectées à travers l'Internet. Il permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des
sites. C’est ce service qui a rendu l'Internet si populaire depuis 1995.
o Streaming : Service de lecture d’un flux audio ou vidéo à mesure qu’il est diffusé (lecture en continu)
(Netflix, YouTube, etc. )
• Les principales applications utilisées sur Internet fonctionnent en mode client-serveur, mais il existe également
le P2P (peer-to-peer)
1. Internet et ses services
P2P
Dans le cas où seulement deux ordinateurs sont liés, on parle de P2P (peer-to-peer).
Mais plus généralement, le P2P désigne un réseau où il n'y a pas de point central de
connexion ou de contrôle, et où les parties agissent de manière autonome en répondant
à un protocole commun de communication et de consensus.
De cette manière, les membres du réseau peuvent échanger des informations directement et sans intermédiaires. Ce qui se
différencie du concept client/serveur où le client demande un service au serveur.
Avec le P2P, toute application P2P peut être à la fois client et serveur. Des exemples d’utilisation sont : Bittorrent, Bitcoin
Ce désir de ne pas avoir les informations centralisées va faire naitre des services tels que Darknet, Freenet, etc.
P2P présente un risque de saturation (connexions et requêtes), d’indisponibilité (aucun utilisateur connecté), et semble en
déclin.
2. Réseaux sociaux
• Un réseau social est un ensemble d’entités sociales reliées entre elles par des liens créés lors des interactions
sociales
• Internet a consacré la montée en puissance des réseaux sociaux (virtuels). Ils permettent de créer des pages, de
partager des informations avec des personnes faisant partir de son réseau.
• Il existe des réseaux sociaux :
o Professionnels : permettant de développer son réseau de relations, échanger des informations sur les
entreprises, les secteurs d’activité, les métiers, et éventuellement sur les postes vacants.
▪ LinkedIn, Instagram, Pinterest, Twitter, etc.
o personnels : Permettant de rencontrer des gens hors du cadre professionnel
▪ Facebook, Snap, TikTok, Twitter, Instagram, Pinterest, Youtube, etc.
3. Intranet
• Un intranet est un réseau informatique privé utilisé par les employés d'une entreprise ou de toute autre entité
organisationnelle et qui utilise les mêmes protocoles qu'Internet (TCP, IP, HTTP, SMTP, IMAP, etc.).
• Cette utilisation n'est pas nécessairement locale, un intranet pouvant s'étendre à travers le WAN
o Un extranet se destine quant à lui au partage d’informations avec des acteurs externes à l’entreprise. L’extranet
permet d’ouvrir le système d’informations d’une entreprise à des partenaires extérieurs : clients, fournisseurs,
filiales, etc.
4. Outils collaboratifs
Les outils collaboratifs permettent de partager des fichiers, échanger des savoir-faire ou encore faciliter les
échanges en interne
• Pour le partage de fichiers : Dropbox, Google Drive, OneDrive, Oodrive… Ces solutions proposent de
sauvegarder des données en ligne pour échanger des fichiers. Certaines permettent d’aller plus loin et de
collaborer à plusieurs en simultané sur un document texte, un tableur ou une présentation.
• Pour les visioconférences : Zoom, Teams, Google Meet, Skype, WebEx, TeamViewer … La visioconférence facilite
la collaboration entre l'entreprise et ses interlocuteurs distancés (clients, partenaires, distributeurs, filiales).
4. Outils collaboratifs
• Pour la gestion de projet : Podio, Asana, Azendoo, Basecamp, Doodle, Genius Project, Intra’know, Mattermost,
Slack, talkSpirit, Trello, Wimi, Wunderlist... Ces outils permettent de planifier et piloter des projets à plusieurs,
par exemple en créant des listes de tâche collectives ou des discussions spécifiques.
• Pour les réseaux sociaux d'entreprise : Yammer, blueKiwi ou bientôt Facebook at Work… Les réseaux sociaux
d’entreprise sont un lieu privilégié aussi bien pour travailler en équipe que créer du lien social entre les
employés (ex. : organiser un afterwork, partager un événement)
CHAPITRE 4 : Introduction à LATEX
1. Bases du fonctionnement de LATEX
2. Logique de conception des documents sous LATEX
3. Sectionnement et style
4. Gestion des entêtes et pied de page
5. Gestion des références
Introduction
Le traitement de texte LATEX n’est pas un WYSIWYG à la base, mais un langage de programmation qui utilise des
balises et des macros.
Une macro est une action ou un ensemble d'actions qui permettent d'automatiser des tâches.
On peut utiliser des éditeurs de texte qui rendront la création de documents relativement plus simple.
Quelques avantages
• C’est open source et gratuit
• Le formatage est semi-automatisé, ce qui permet de se concentrer sur le contenu
• Les documents édités en LATEX sont d’une qualité typographique professionnelle
• Il est possible d’écrire de très longs textes (par exemple des livres de plusieurs centaines de pages) avec une
stabilité garantie et des fichiers très légers
• Les numérotations (pages et illustrations) sont automatiques et peuvent être utilisées en référence sans que des
changements ne les affectent
Introduction
Quelques inconvénients
• On n’a pas d’options de révision intégrées
• La création de tableaux est malaisée
• L’insertion de figure est automatique et des souhaits précis peuvent être difficiles à réaliser
• C’est un langage de programmation et tout le monde n’est à l’aise avec, a priori
.tex : Ce sont les fichiers contenant toutes les commandes que vous allez taper, i.e les fichiers sources
.dvi : C’est le résultat de la compilation standard de vos commandes.
.ps ou .pdf : Il s’agit des fichiers destinés à la publication, après conversion depuis le .dvi
En outre, il existe d’autres types de fichiers qui peuvent être générés après compilation, et ceux-ci permettent (entre autres)
de gérer les références. (.lof, .bbl, .toc)
Tant qu’on ne compile pas, on ne saura pas à quoi ressemble notre document
1. Les bases du fonctionnement de LATEX
Eléments particuliers
Comme dans tout langage de programmation, certains symboles ont une signification particulière.
Pour LATEX ce sont les suivants :
Par ailleurs,
• LATEX utilise des macros et des balises. En les utilisant, on peut générer des chapitres, des sections, des
paragraphes, etc. qui seront automatiquement numérotés
• Les lignes adjacentes sont interprétées comme une seule longue ligne (On pourra ramener à la ligne grâce à \\)
• Un ou plusieurs espaces entre deux mots sont interprétés comme un seul espace
• Une ligne ou plusieurs lignes vides sont interprétées comme un seul espace entre deux paragraphes (On
pourra utiliser \newline pour insérer une nouvelle ligne)
• Il existe un Math-Mode : $formule$ ou $$formule$$ (seul élément sur la ligne, centrée)
2. Logiques de conception des documents sous LATEX
[appel de packages] ▪ En faisant appel aux macros, on indique les arguments entre
\usepackage{color}
------------------------------------------------------
\textcolor{magenta}{[le texte en magenta]}
Outre la gestion de la taille, de l’alignement et du style de caractères, on peut manipuler la couleur grâce au
package « color » (\usepackage{color} )
4. Gestion des entêtes et pieds de page
Ils sont gérés automatiquement par LATEX. Mais si vous voulez les modifier,
vous pouvez utiliser le package fancyhdr \leftmark et \rightmark contiennent le
nom du chapitre respectivement de la
Ex : section
\usepackage{fancyhdr} \ nouppercase : pas en majuscules
\footnotesize : Taille des notes de bas
\fancyhead[CE]{\footnotesize{\textsc{\titre}} } de page
\thepage : la page actuelle
\fancyhead[RO]{\nouppercase\rightmark}
\titre : une commande qui a été créée
\fancyfoot[C]{\footnotesize{\textsc{élève ingénieur des travaux statistiques}}}
\textit{} : Texte en italique
\fancyfoot[R]{\footnotesize{- \thepage } -} \textbf{} : Texte en gras
\textsc{} : Texte en petites majuscules
\fancyfoot[L]{\footnotesize{\textit{GONDO Kia Jokthan}}}
-------------------------------------------------------------------------------------- R : Right (droite)
E: even (pair)
\begin{document} O : Odd (impair)
--------------------------------------------------------------------------------------------------- C : center (centre)
L : Left (gauche)
% Style de page (A ADAPTER)
\pagestyle{fancy} A quel moment les spécifications du package Fancy vont prendre effet
5. Autres options de personnalisation
Différents environnements permettent de structurer un document, nous allons détailler les principaux
Les figures
Ex :
\usepackage{graphicx} Placer la figure dans le texte à l’endroit où l’environnement a été appelé
h (here)
(si l’espace disponible sur la page le permet).
\usepackage{wrapfig}
--------------------------------- t (top) Placer la figure en haut d’une page de texte
\begin{figure}[h] b (bottom) Placer la figure en bas d’une page de texte.
\includegraphics[height=7cm]{[Image ou pdf]}\\
\caption{{\emph{La belle illustration}}} p (page) Placer la figure sur une page séparée du reste du texte.
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