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Multiple Choice
Identify the choice that best completes the statement or answers the question.
____ 4. Identification of a disease from its signs and symptoms is known as:
A. Pathology
B. Idiopathic
C. Iatrogenic
D. Diagnosis
____ 10. A creamy-white, small (often less than 1 cm), blister-like elevation that contains pus is called a:
A. Bulla
B. Pustule
C. Cyst
D. Macule
____ 11. Epithelial-lined cavities that lie below the body surface and contain liquid or semisolid material are
known as:
A. Bullae
B. Vesicles
C. Cysts
D. Pustules
____ 13. Palpable masses greater than 1 cm that arise from the deeper tissues are called:
A. Papules
B. Macules
C. Bullae
D. Nodules
____ 15. Which of the following terms best describes a flat, slightly raised patch or layer of material
deposited on a tissue surface?
A. Macule
B. Plaque
C. Fissure
D. Erosion
____ 16. Which of the following terms describes a channel that communicates between an area of
suppuration, such as an abscess, to the surface of the epithelium?
A. Fissure
B. Ulcer
C. Sinus tract
D. Bulla
____ 17. The removal of a sample of tissue from a large lesion to diagnose or determine the extent of a
disease is known as:
A. Incisional biopsy
B. Excisional biopsy
C. Exfoliative cytology
D. Brush biopsy
____ 19. All of the following are considered laboratory tests used to help reach a definitive diagnosis
EXCEPT:
A. ELISA
B. Urinalysis
C. Serological tests
D. Auscultation
____ 20. Which of the following serological tests can be used to determine the presence of an infection?
A. Complete blood count (CBC)
B. Lipid profile (LDL)
C. Blood glucose monitoring
D. Hematocrit
____ 21. Which laboratory test can be used to evaluate the level of hydroxyproline, a byproduct of bone
destruction?
A. DNA-PCR
B. ELISA
C. Electromyography
D. Urinalysis
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A huit heures, nous nous mettons à table. Nous parlons des absents. Où
sont-ils? quelles aventures rencontrent-ils? Nous les voyons cahotés sur les
pistes dures. A neuf heures moins le quart, comme nous finissons de dîner,
la porte de la salle à manger s’ouvre et apparaissent sur le seuil nos deux
voyageurs.
Ils ont mis près d’une heure pour gagner la porte d’Ispahan et, comme
ils y arrivaient, voilà qu’une des roues du landau se détache. Alors ils sont
montés sur les chevaux dételés et sont revenus ainsi jusqu’à nous.
Phérékyde pense avec inquiétude qu’il va manquer le bateau du 11 juin
à Enzeli. M. Tchirkine envoie à la poste où l’on promet une voiture pour le
lendemain matin à cinq heures. Et, cependant, nous nous mettons à jouer
des charades folles où sont représentées de la façon la plus réaliste
quelques-unes des scènes de notre voyage en Perse.
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J’ai appris, par un agent financier russe, qu’on lui a proposé à son
passage à Kachan, une plaque de revêtement dont on demandait une
centaine de tomans. A Kachan, il y a, comme à Véramin, une mosquée de
l’époque mongole, du XIIIe siècle. Trouverai-je enfin un de ces précieux
reflets métalliques?
J’ai envoyé par les Phérékyde, qui nous ont quittés de grand matin, une
lettre au télégraphiste anglais pour qu’il me fasse chercher dans Kachan la
fameuse plaque et qu’il l’ait chez lui à notre passage dimanche prochain. Je
suis angoissé à l’idée que peut-être elle aura été vendue avant mon arrivée.
Pourtant, qui achèterait un reflet métallique à Kachan?
Après déjeuner, j’ai une grande émotion. Voici qu’un marchand que je
n’ai jamais vu m’apporte une cinquantaine de miniatures. Plus de quarante
d’entre elles ne valent rien, mais j’en sors huit du lot qui sont charmantes et,
sur ces huit, il y en a quatre qui datent du XVIe siècle et montrent les
caractères de l’art exquis de Chah Abbas.
J’entre en discussion avec le marchand. Il a une face fermée, un menton
volontaire, et ne veut pas abaisser son prix lequel est énorme pour Ispahan.
Je finis par lui offrir la moitié de ce qu’il demande; généralement, on donne
un dixième. Il ne m’écoute pas. Mes amis les marchands se mettent avec
moi pour le convaincre. Enfin l’un d’eux m’assure qu’il accepte mon offre.
Sans lâcher les précieuses miniatures, je vais chercher l’argent qui est dans
un sac chez moi.
Lorsque je reviens, le marchand n’accepte plus le prix convenu. Nous
nous disputons et, furieux, je le renvoie.
Je ne l’ai pas plutôt expédié que je regrette amèrement ce mouvement
d’impatience. Je ne me consolerais pas de laisser derrière moi ces parfaites
miniatures. Pour une fois qu’on m’offre une œuvre exquise du XVIe siècle,
je discute! Mais je l’aurais payée trois fois le prix qu’il m’en demandait que
je l’aurais eue bien au-dessous de sa valeur réelle. Je me battrais!
Reviendra-t-il ce marchand têtu? Les autres marchands connaissent son
adresse. Je pourrais au besoin aller chez lui et, puisque j’ai laissé voir que je
tenais à ces miniatures, je paierai le prix qu’il voudra.
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Aimé aujourd’hui nous a déniché trois petits chats, tout jeunes. Je les
trouve sur les genoux de la princesse Bibesco quand j’entre chez elle. Ce
sont de petites pelotes de poils longs et magnifiques; l’un d’eux est
entièrement blanc, nous l’appelons Chah Abbas; l’autre uniformément brun;
il se précipite sur la viande, en arrache un morceau et se retire dans un coin
pour le manger en se dandinant et en grognant, nous le dénommons l’Ours.
Emmanuel Bibesco prend le troisième et, pour le petit chat d’Ispahan,
cherche paradoxalement un nom anglais.
Il est décidé que nous emmènerons les chats en Europe (nous n’en
sommes pas à un colis près) et Aimé est chargé de leur faire construire une
cage.
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A dix heures enfin, huit chevaux rentrent au relais. La chaleur est déjà
excessive. Nous attendons une heure encore qu’ils aient pris de l’orge et
repartons pour Kachan.
Jamais nous n’avons eu aussi chaud que ce jour-là pendant la traversée
des sables. Nous sommes prostrés dans les landaus fermés, pouvant à peine
respirer.
A une heure, nous sommes à Kachan.
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