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Plugged in 1st Edition Joel English Test Bank 1
Plugged in 1st Edition Joel English Test Bank 1
1133312578 9781133312574
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TRUE/FALSE
1. College preparedness isn’t only about academic skills, it’s also about attitude.
ANS: T PTS: 1
ANS: T PTS: 1
ANS: T PTS: 1
ANS: F PTS: 1
5. Your social learning preference determines whether group situations are distracting for you or whether
they help you work through and understand concepts.
ANS: T PTS: 1
6. Oral expressers feel confident posting their responses to discussion boards after they can process the
information.
ANS: F PTS: 1
7. Activities that use objects or engage in physical activity can best be described as kinesthetic learning.
ANS: T PTS: 1
ANS: T PTS: 1
ANS: F PTS: 1
10. Writing things down may seem like wasted time to oral expressers
ANS: T PTS: 1
MULTIPLE CHOICE
3. Langford takes few notes in class; however, he does very well on the exam because he is good at
paying attention to the lecture.
a. Langford is an auditory learner and processes conceptual information by listening.
b. Langford is a visual learner and when he sees the information on the exam he knows the
information.
c. It is improbable that Langford does well on the exam because he does not take notes.
d. None of the above
ANS: A PTS: 1
4. Ed excels in his exercise science class because it allows him to process information through hands-on
and interactive activities.
a. Ed likes exercising so he does well in this type of program.
b. Ed is a kinesthetic learner.
c. Ed is a visual learner.
d. Exercise is a fun class, which requires little lecture or difficult reading material.
ANS: B PTS: 1
7. If you adopt an attitude powered by an internal locus of control, it might sound like this:
a. My professor gave me an A!
b. Whatever happens, happens.
c. My destiny is determined by my next test.
d. I control my graduation date.
ANS: D PTS: 1
9. If you are an auditory learner and your professor provides you with a lot of reading to do before class,
you might
a. read the text out loud to hear the information.
b. write the text on index cards and sort through the information as you study.
c. highlight key points in the text and write answers to key questions in the margin.
d. research information about the chapter from a different source.
ANS: A PTS: 1
12. Expressive preferences is the part of your learning style that highlights
a. how you process information.
b. how you share information.
c. how you interpret information.
d. how your attitude relates to information.
ANS: B PTS: 1
14. Meeting with a group to discuss information learned in class would be most attractive to
a. visual learners.
b. kinesthetic learners
c. individual learners.
d. group learners.
ANS: D PTS: 1
Language: French
FAISEURS DE PEINES
ET
FAISEURS DE JOIES
Deo favente
TREIZIÈME ÉDITION
PARIS
LIBRAIRIE FISCHBACHER
SOCIÉTÉ ANONYME
AMES DORMANTES
7e édition, 1 volume in-12 5 fr. »
Ouvrage couronné par l’Académie française.
CHERCHEURS DE SOURCES
6e édition, 1 volume in-12 5 fr. »
AMIS ET ENNEMIS
1 volume in-12 5 fr. »
ROMANS
AUTRES OUVRAGES
Aux
LECTEURS D’AMES DORMANTES
PRÉFACE
D M .
Rome, mars 1905.
Je demande d’avance pardon aux lecteurs des quelques répétitions qu’ils trouveront dans ce
livre. Elles sont inévitables dans un ouvrage de ce genre, les mêmes remèdes s’appliquant dans
l’ordre moral à des maux différents, et les mêmes causes produisant souvent des effets
dissemblables.
FAISEURS DE PEINES
ET
FAISEURS DE JOIES
CHAPITRE PREMIER
FAISEURS DE PEINES
D .
Mais, dira-t-on, il est parfois utile de faire souffrir pour former les
caractères. En évitant toujours de causer de la peine à autrui, on risque de
perdre toute influence moralisatrice, de provoquer un amollissement
général des facultés, et surtout des facultés de réaction si nécessaires à la
santé physique, intellectuelle et morale des individus. La souffrance est
bonne…
Pour ce qui est du dernier argument on peut se tranquilliser, la
souffrance ne manquera jamais, la Providence ou la destinée se chargeant
toujours de nous la faire connaître. Mais la première partie de l’objection
est juste : il faut savoir, dans l’éducation, toucher et blesser certains
sentiments, les faire saigner même, et viriliser les caractères en leur
imposant l’effort, le renoncement, le travail, toutes choses qui, au
moment même, ressemblent étrangement à des peines. Les enfants ont à
ce sujet des perceptions étonnamment justes. Ils préfèrent presque
toujours les parents sévères à ceux qui ne le sont pas, pourvu qu’ils
découvrent, sous leur rigueur apparente, un esprit de justice et de bonté.
Évidemment un père, une mère qui, pour éviter une contrariété à leurs
enfants, leur permettent de se lever tard, de négliger leurs études et de
consacrer leurs forces au plaisir, sont leurs pires ennemis. Par une
indulgence puérile et une faiblesse inintelligente, ils risquent
d’endommager l’avenir de leurs fils et de leurs filles de façon
irrémédiable ; ils méritent donc d’être placés parmi les pires faiseurs de
peines.
Mais tout raisonnement suppose une intelligence capable de le
comprendre. La vérité la plus évidente, sottement appliquée, peut avoir
des résultats pires que le mensonge. Ainsi la nourriture est indispensable
à la vie, l’air, au fonctionnement des poumons ; mais gaver un enfant
d’aliments, ou l’exposer à un vent du nord glacé, pendant des heures
entières, est atteindre un but contraire à celui que l’on se propose. Il en
est ainsi de la trop grande complaisance. Vouloir écarter de ceux qu’on
aime les difficultés à vaincre et les occasions d’effort, est le plus mauvais
service à leur rendre, surtout s’il s’agit d’enfants et de jeunes gens. Il
faut, au contraire, inventer les obstacles, si les conditions de la vie n’en
fournissent pas. Telle parole incisive, tel blâme sévère sont comme le sel
qu’on mêle aux aliments ; ils servent de stimulant. Ne pas savoir, à
l’occasion, causer volontairement un moment de peine, serait mal aimer
ou montrer une déplorable absence de compréhension.
Mais entre une critique méritée, destinée à produire un effet salutaire,
et des paroles malignes, reflet de sentiments injustes, jaloux, ou pis
encore, aucune comparaison ne peut s’établir. La première est semblable
au remède qui guérit, même si le goût en est âcre ; les secondes sont des
liqueurs qui empoisonnent.
On objectera encore que telles personnes, capables de formuler les
plus dures vérités, ont été des sonneurs de cloches efficaces. Que d’âmes
réveillées par ces langues acerbes ! Jamais un doux berger n’aurait eu
cette influence. C’est qu’il y avait en ces hommes, aux paroles brusques
et sévères, l’étoffe d’un apôtre, et qu’ils s’exprimaient en mots cinglants,
emportés par leurs convictions et non par un esprit de méchanceté,
d’intolérance ou d’injustice. Il est certain, du reste, que leur influence
dépendait de la valeur et de la force de leur caractère et non des formes
brusques et dures dont ils enveloppaient leurs enseignements et leurs
blâmes. Avec plus de douceur et d’indulgence, le même effet aurait été
produit, peut-être même un effet meilleur.
En quelques cas, en certaines circonstances, avec les natures molles
et léthargiques, il est possible que la violence soit nécessaire pour
éveiller les consciences. Elles ont besoin de l’effet physique produit par
la voix irritée, les paroles rudes et les manières brutales. Le fait se vérifie
surtout avec les enfants. Plus tard, l’esprit critique s’étant développé chez
l’individu, la boursouflure dans les reproches en détruit l’efficacité.
De toutes façons, une démarcation nette doit être établie, dès le
début, entre les faiseurs de peine par altruisme et conscience et les
faiseurs de peine par égoïsme et inconscience. Les premiers savent ce
qu’ils font, même s’ils se trompent dans la forme qu’ils emploient ; les
seconds sont semblables à des aveugles, qui mettent le feu partout où ils
passent, sans discerner les désastres dont ils sont cause. Ces criminels
sans le savoir sont les plus à plaindre des hommes, car ils risquent de se
trouver devant l’irréparable, le jour où ils ouvriront les yeux à la vue
nette des responsabilités qu’ils ont encourues.
CHAPITRE II
CRIMINELS INCONSCIENTS
I B .