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http://pierre.sweid1.free.fr/cnam
Pierre.sweid1@free.fr
Généralités
Les domaines des applications entre 1900 et 1970: les stations radio
militaires, les services de télégraphie, la police, les pompiers…
Par la suite, les réseaux cellulaires ont permis un usage plus rationnel des
fréquences, augmentant ainsi de façon considérable les capacités des
réseaux
Les réseaux cellulaires de première génération ont été rendus obsolètes avec
l’apparition d’une seconde génération entièrement numérique
Et des données numériques de faible volume : les messages textes (SMS : pour Short
Message Service) ou les messages multimédias (MMS : pour MultiMedia Message
Service)
Le terme global n’est pas usurpé : GSM est une norme portant bien au delà de
l’interface radio (contrairement aux systèmes 1G) jusqu’à la structure fixe du
réseau (Core), rendant possible l’interconnexion au niveau mondial.
Débits théoriques de l’ordre de 114 Kbits/s (plus proche de 40 kbit/s dans la réalité).
En réalité, la norme EDGE permet d’atteindre des débits max théoriques de 473 Kbits/s,
mais elle a été limité afin de se conformer aux spécifications IMT-2000 (International
Mobile Telecommunications-2000) de l’IUT (International Telecommunication Union)
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 12 Pierre SWEID
Historique (7)
Les systèmes de 3ième Génération : UMTS (3G)
Les spécifications IMT-2000 de l’IUT, définissent les caractéristiques de la 3G, qui
sont :
Un haut débit de transmission :
144 Kbps avec couverture totale pour une utilisation mobile
384 kbps avec une couverture moyenne pour une utilisation piétonne
2 Mbps avec une zone de couverture réduite pour une utilisation fixe
Compatibilité mondiale
Compatibilité des services mobiles de 3ième génération avec les réseaux 2G
Les débits atteints par la 3G ouvrent la porte à des usages multimédias tels que :
La transmission de vidéo
La visioconférence
Ou l’accès à l’internet haut débit
En 1997, Wifi (IEEE 802.11) est normalisé comme WLAN par IEEE
En 2003, Zigbee (IEEE 802.15.4-2003) est normalisé comme WPAN par IEEE
Les critères :
Taille: réseaux locaux, réseaux métropolitaines, réseaux nationaux et
réseaux internationaux
La portée du signal
L’interférence de canaux
diffraction
Réflexion et transmission diffraction
diffusion
Elle constitue l'un des facteurs les plus importants intervenant dans la propagation
des ondes radioélectriques
Réflexion double
hτ ( t ) = ∑ a δ (t − τ )
i =1
i i
Récepteur
Diffraction |ai|2
Poids du chemin #i de
puissance moyenne |ai|2
Trajet direct
Retard associé au chemin #i
τi
Réflexion simple Réflexion sur une surface comme le sol, la surface de l'eau
Emetteur ou un mur.
Réfraction sur les arêtes grandes
Diffraction par des grands obstacles de grande dimension
par rapport à la longueur d'onde
Diffusion peut se produire quand une onde rencontre un
obstacle dont la surface n'est pas parfaitement plane et lisse
(feuillage, lampadaires,… )
Multi-trajet (multipath) peut se produire par les réflexions multiples entre l’émetteur et le récepteur ( Absence fréquente du trajet direct)
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 25 Pierre SWEID
Phénomènes de propagation (5)
Le canal de propagation radio est alors caractérisé par :
Un nombre moyen (N) de chemins
Un étalement temporel (Delay spread en anglais)
Une amplitude moyenne pour chacun des retards
Une loi statistique d’évolution pour chacune des amplitudes.
Multi-trajet (multipath) peut se produire par les réflexions multiples entre l’émetteur et le récepteur ( Absence fréquente du trajet direct)
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 26 Pierre SWEID
Effets de multi-trajet (1)
Multi-trajet est généralement à l’origine de plusieurs problèmes :
La dispersion des retards : les trajets réfléchis sont souvent plus longs que
le trajet direct. Les retards s’étendent de quelques dizaines de nanosecondes
à l’interne à quelques microsecondes à l’externe.
Pour un signal à bande étroite, variations subites de l’amplitude du signal
Phénomène d’Evanouissements à « petite échelle » ou Fading ou Fading de
Rayleigh, souvent appelé Fast Fading ou Fading rapide
Du à la réception simultanée de signaux d’amplitudes et de phase aléatoire ( au
niveau du récepteur).
Trajet direct:
Trajet réfléchi:
Les symboles interfèrent mutuellement dans le signal reçu résultant (il faut
des traitements spécifiques pour récupérer les informations)
Faible interférence => inter symboles (mais risque de fading, disparition du signal):
Trajet 2
Le signal reçu sur les deux trajets varie en amplitude et en phase. Le signal
résultant est donc:
R = C1*signal1+C2*signal2
C1 et C2 sont les termes complexes représentant l’amplitude et la phase correspondant
aux trajets 1 et 2.
Le retard entre les trajets étant faible, signal1 et signal2 sont presque égaux. On
constate donc que si C1 + C2 est nul ou presque nul, alors le signal résultant
devient très faible ou disparaît.
C’est le phénomène du fading (évanouissement).
Si l’émetteur et/ou le récepteur bougent (radio mobile) les évanouissement
apparaissent et disparaissent à une fréquence croissante avec la vitesse du mobile.
C’est ainsi que l’on voit apparaître la notion de (pseudo) fréquence du fading
d 1 f = 2 fd
Et donc t= =
v 2 fd
Remarque :
Il a été montré expérimentalement qu’en deux points distants
de dix à vingt longueurs d’ondes sur un même plan horizontal,
les réceptions d’un même signal sont corrélés avec un
coefficient (ρ
ρ) égal à 0.7
temps
Profondeur moyenne de l’évanouissement.
Fréquemment faibles (5 à 10 dB) et parfois important (jusqu’à 30dB)
Conclusions :
1. Ce canal radio aux caractéristiques si étranges devra être maîtrisé afin de ne pas dégrader les
performances globales du système. Il conviendra d’ apprendre et de suivre le canal radio afin de
tirer partie de la diversité temporelle qu’apporte le phénomène de multitrajet.
2. Pour chacun des trajets il faudra veiller à suivre l’évolution du fading et pourquoi pas en
déduire la vitesse relative du mobile afin d’optimiser les traitements en fonction de cette
caractéristique
La liaison montante (mobile vers base) est généralement plus difficile à assurer que la
liaison descendante, (La puissance des terminaux est limitée, l’évanouissement sélectif en
fréquence peut provoquer des affaiblissements très sévères).
Exemple : Pour un système à 900 Mhz, on peut imaginer de placer l’information dans N
bursts [(8) consécutifs de tailles fixes (577 s)] émis périodiquement (toutes les 4.615
ms). Par ce biais un trou de fading durant 16 ms ( mobile à 3 km/h) ne perturbe
que la moitié des bursts (4*4.615 ~16 ms) transportant l’information. Par l’intermédiaire
du codage canal on peut imaginer de reconstituer l’intégralité de la trame émise.
De plus il faut aussi prendre en compte les caractéristiques des éléments radio
analogiques en émission comme en réception:
Amplificateurs,
Transposition de fréquence,
Filtrage,
Contrôle de fréquence,
Contrôle de gain, ...
qui peuvent apporter aussi des distorsions (non linéarités par exemple)
Alors :
Ou encore
Pr = - 68.5 dBm
~ 1.4 10-10 W
d= 1 km PL de -91.5 dB
d= 2 km PL de -97.5 dB
d= 10 km PL de -111.5 dB
Exemple : modèle issu des travaux de Hata-Okumura pour caractériser le milieu urbain en
tentant de considérer l’influence de nouveaux paramètres(hauteurs des antennes
notamment et paramètres correctifs caractérisant la taille de la ville considérée) :
La fréquence joue :
Pe .Ge .Gr
Pr = 2 PrdBm = PedBm + GrdB + GedB − L
d
4π λ
Ce bilan de liaison est équilibré Les path loss montants et descendants sont les mêmes.
En aucun cas il est évident à priori que les deux sens donnent les mêmes résultats.
De même en GSM la sensibilité reste la même quel que soit le service considéré.
On peut imaginer d’autres systèmes pour lesquels les sensibilités sont différentes selon les services.
• Dans ce cas la couverture serait obtenue pour le pire des services dans le pire des sens (UL ou DL).
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 45 Pierre SWEID
En résumé
Le canal radio est un medium de transmission diffusif, de qualité
médiocre, fluctuant
Choix du modèle
Problématique :
Théorique = espace libre = isotrope.
Structure régulière = voisinage homogène
1 cellule = k voisines équidistantes
Solutions :
Positionnement de cercles
avec recouvrement minimal
Remarque :
on considère une station de base servant une cellule. Si on néglige les évanouissements sélectifs et l’effet de
masque, un canal radio présente une atténuation du signal dépendant de la distance séparant l’émetteur du
récepteur. Avec ce modèle de propagation, une cellule est un cercle. On cherche à couvrir le territoire par
un ensemble de cellules. Une cellule est donc approximée par un hexagone qui est le polygone le plus proche
Figure : support
du cercle et quide cours Anne
permet Wei le plan
de paver
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 49 Pierre SWEID
La planification des ressources (3)
La planification des ressources :
Objectif : doter l’ensemble d’une zone géographique de ressources radio
(fréquences en FDMA / fréquence + TS en FDMA/TDMA et codes en CDMA)
afin de satisfaire les abonnés de la zone.
En radio ce qui garantit la QOS c’est le rapport signal a bruit de la liaison (RSB) et
non la puissance minimum reçue ;
Puissance du signal utile
C transportant l’information
RSB =
Pbruit Puissance du bruit
o C’est un bruit qui peut provenir des canaux adjacents ou bi adjacent ou bien
de ressources radio identiques à celles portant le signal utile mais réutilisées
(
fréquences que l’on réutilise à une distance suffisamment grande pour
considérer que la contribution est devenu petite).
Grandeurs principales :
• C : Puissance du signal utile
• I : Ensemble des interférences (réduites souvent à l’interférence co-canal)
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 51 Pierre SWEID
La planification des ressources (5)
La planification des ressources
3. Le rapport signal à bruit est alors : C
RSB =
N + I
Planifier la ressource radio devient alors l’exercice qui tente à concilier :
Servir le maximum d’usager en garantissant un nombre minimal d’insatisfaits
Assurer une QOS minimum (un RSB) sur l’ensemble de la couverture
Rappel : Taux de blocage : Le taux de rejet des appels pour cause de congestion sur un SECTEUR d’une
BTS qui doit être inférieur à 2% (mesure mensuel)
La Cellule
Densité de la Zone • On la représente en forme d’hexagone pour des
raisons de simplicité. C’est la forme la plus proche
• Urbain Dense: > 8000 abonnés/km2
du cercle et permettant un pavage du plan simple.
• Urbain : de 3000 à 8000 abonnés/km2
• Il ne faudrait pas croire naïvement que les lois de
• Sub Urbain : de 10 à 3000 abonnés/km2 propagation suivent une logique hexagonale !!!
• Rural : < 10 abonnés/km2
La taille du motif est induite par le trafic à écouler dans la surface considérée. Ce
motif est répété sur toute la surface à couvrir.
Plus le motif est grand, plus la distance de réutilisation est grande
Zone Limitée
par le TRAFIC
(10000 abonné/km2) Zone Limitée en Couverture
Zone Limitée en
Couverture
K = I 2 + I.J + J 2 I, J ∈ N
Les valeurs de K possibles sont alors une suite infinie débutant par :
1, 3, 4, 7, 9, 12, 13, 16, 19, 21, 25, 27,...
Ces ressources sont équiréparties entre les K cellules à raison de NCell = N/K
ressources radio par cellules.
2
3 1
4
7 5
1 6
Alors le trafic à écouler dans la zone doit être assuré par les N ressources
radio présentes dans le motif.
kγ
C = P 0 γ γ ≈ 3 .5
R
6 MS distant de D de la BTS située à une distance
R de leur propre BTS les obligeant ainsi à émettre la
puissance P0. Ainsi l’interférence globale de ces 6
Distance D Rayon R MS est:
kγ
I = 6P 0 γ
D
Le RSB est donc
γ
C 1 D γ 1
= ( ) = (3 K ) 2
I 6 R 6
Ainsi le (C/I) minimum requis pour assurer la QOS désirée induit directement la
taille du motif à utiliser.
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 61 Pierre SWEID
Concept cellulaire (10)
Concept cellulaire : exemple
Une utilisation directe de cette formule avec le cas numérique du GSM
donnerait un motif de taille K = 7
C/I = 12dB = 10log10 (15.85)
→ 6*15.85 = 95.1 = (3K)1.75
→ 3K = 13.5
→ K = 4.5 induisant le motif à 7
Duplex FDD
UPLINK DOWNLINK
Fréquence
Écart Duplex
UPLINK
Fréquence
Puissance
Fréquence
Temps
Puissance
FDMA:
Fréquence
A chaque utilisateur est alloué Temps
un canal particulier limité en
fréquence
Puissance
Temps
TDMA: Fréquence
A chaque utilisateur est alloué un canal
particulier dont l’utilisation est limitée dans le
temps (TS)
CDMA:
Cette technique est utilisée par GSM/GPRS.
Chaque utilisateur possède un intervalle de A chaque utilisateur est alloué un code.
temps. L’ensemble du spectre valide est utilisé
simultanément par tous les utilisateurs.
FHSS (Frequency Hopping Spread Spectrum) est basé sur l’idée que l’on
n’utilise que les « bonnes » bandes passante.
(0 XOR 0) = 1
1
(0 XOR 1) = 0
Code d'étalement -1
(1 XOR 0) = 0
(1 XOR 1) = 1
(e.g. : SF = 8) 11000011 11000011
p
1
Signal étalé -1 f
(3.84 Mchip/s)
Transmis Transmis
1
Mauvais code
Bon code -1
11000011 11001100
+1+1+1+1-1-1-1-1
+1+1+1+1+1+1+1+1
1
Σ / SF -1-1-1-1-1-1-1-1
Σ nulle
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 74 Pierre SWEID
OFDM – « Orthogonal Frequency Division
Modulation » rappel
Orthogonal Frequency Division Modulation (OFDM ) est une modulation de
signaux numériques par répartition en fréquences orthogonales.
Pour que les fréquences des porteuses soient les plus proches possibles et ainsi
transmettre le maximum d'informations sur une portion de fréquences donnée,
l'OFDM utilise des porteuses orthogonales entre elles. Les signaux des différentes
porteuses se chevauchent mais grâce à l'orthogonalité n'interfèrent pas entre elles.
Chaque donnée est transmise pendant un intervalle de temps donné.
http://utbm2004.free.fr/
Date : 12/10/2013 Passer à la première page
Page 78 Pierre SWEID
Plan
Introduction
Historique
Classifications des réseaux
Généralités
Ressource Radio
Concept cellulaire
Caractéristiques de transmission radio
•Modulation Analogiques :
•AM, FM, PM
• Modulations numériques
• FSK, MSK, PSK, BPSK, QPSK…
• QAM…
• OFDM, OFDMA
PorteuseModulée(t) = A . cos(ω
ω.t + Φ)
ω=2π
π.f
AM FM ΦM
AM FM PM
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Page 87 Pierre SWEID
Modulation d'Amplitude
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Date : 12/10/2013 première page
Page 88 Pierre SWEID
Modulation de fréquence (phase)
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Date : 12/10/2013 première page
Page 89 Pierre SWEID
Modulation de fréquence (phase)
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Date : 12/10/2013 première page
Page 90 Pierre SWEID
Modulation de fréquence (phase)
Domaine Frequentiel Station FM
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Date : 12/10/2013 première page
Page 91 Pierre SWEID
Evolution : Modulations Analogiques
AM FM PM
Amplitude Frequency Phase
Modulation Modulation Modulation
FSK PSK
QAM Frequency Phase
Quadrature AM Shift Keying Shift Keying
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Date : 12/10/2013 première page
Page 93 Pierre SWEID
Exemples de distorsions de modulation
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Date : 12/10/2013 première page
Page 94 Pierre SWEID
Exemples de distorsions
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Page 95 Pierre SWEID
Modulation ASK (Amplitude Shift Keying)
Données
Bande de
base
Signal modulé
en ASK
A sin(ω
ω.t) A sin(ω
ω.t)
Amplitude constante
0.3 GSMK
– 0.3 définit la bande du
filtre Gaussien en
Puissance
relation avec le débit
binaire .
MSK
– Le spectre de
modulation est ainsi
réduit par un pré-
filtrage. Cela ralentit
les transitions de
fréquence rapides qui GMSK
dissipent de l’énergie
dans les canaux Fréquence
adjacents. En GSM, le débit symbole est de 270.833 ks/s.
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Date : 12/10/2013 première page
Page 99 Pierre SWEID
Modulation BPSK (Binary Phase Shift Keying)
0 1 0
Û Q
Φ = 180° Φ = 0°
I
U - fBit fC + f
Bit
fBit
TBit t
En BPSK, on peut transmettre 1 bit par seconde par hertz de bande = 1bit
par symbole
1 0 1 1 0 0 0 1
Message
Baseband
Signal
PSK
BPSK
• • I
- fBit fC + fBit
f
fBit
• • QPSK
I
1
- fBit fC +1 fBit f
2 2
• •
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Date : 12/10/2013 première page
Page 105 Pierre SWEID
Modulation QAM
(Quadrature Amplitude Modulation)
I-Channel
Q
Linear
0/180° Attenuator
0°
RF-In RF-Out
Σ
I 90° Q-Channel
Linear
0/180° Attenuator
64QAM 256QAM
16QAM
6 bits par symbole 8 bits par symbole
4 bits par symbole
BPSK 1 bit/seconde/Hz
QPSK 2 bits/seconde/Hz
8PSK 3 bits/seconde/Hz
16 QAM 4 bits/seconde/Hz
32 QAM 5 bits/seconde/Hz
64 QAM 6 bits/seconde/Hz
Satellite, CDMA, NADC, TETRA, PHS, PDC, LMDS, DVB-S, câble, câble
modems, TFTS, Bluetooth EDR, W-CDMA, HSDPA, HSUPA, LTE, W-LAN, DVB-
QPSK, DQPSK, π/4 DQPSK
T/H
CDMA, satellite * FSK, GFSK : DECT, paging, RAM mobile data, AMPS, CT2,
OQPSK
ERMES, land mobile, public safety
DECT, Paging, RAM mobile data, AMPS, CT2, ERMES, land mobile, public
GSF, GFSK
safety, Bluetooth
DVB-C, modems, broadband set top boxes, MMDS, DVB-T/H, W-LAN, HSPA
64 QAM
evo, LTE
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Date : 12/10/2013 première page
Page 113 Pierre SWEID
OFDM / OFDMA
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Date : 12/10/2013 première page
Page 114 Pierre SWEID
Bandes de fréquences GSM
E-GSM 900 900 880.0 - 915.0 925.0 - 960.0 975 - 1023, 0-124
R-GSM 900 900 876.0 - 915.0 921.0 - 960.0 955 - 1023, 0-124
T-GSM 900 900 870.4 - 876.0 915.4 - 921.0 Dynamique
DCS 1800 1800 1710.0 - 1785.0 1805.0 - 1880.0 512 - 885
PCS 1900 1900 1850.0 - 1910.0 1930.0 - 1990.0 512 - 810
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Page 115 Pierre SWEID
Bandes de fréquences UMTS
III 1800 1710 - 1785 1805 - 1880 937 - 1288 1162 - 1513
VII 2600 2500 - 2570 2620 - 2690 2012 - 2338 2237 - 2563
VIII 900 880 - 915 925 - 960 2712 - 2863 2937 - 3088
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Date : 12/10/2013 première page
Page 116 Pierre SWEID
Comparaison des débits
Standard Family Primary Radio Tech Downlin Uplink Notes
Use k (Mbps) (Mbps)
UMTS W-CDMA UMTS/3G Mobile CDMA/FDD 0.384 0.384 HSDPA Typical downlink rates
HSDPA+HSUPA phone 14.4 5.76 today 1–2 Mbps, ~200 kbps
HSPA+ uplink; future downlink up to
CDMA/FDD/ 42 11.5 28.8 Mbps.
MIMO
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Page 117 Pierre SWEID
Annexe-2
LES INDICATEURS DE QUALITE DE SERVICE POUR LE RESEAU MOBILE
http://www.artp.tg/index.php?page=indic_qos_mobile