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children-17th-edition-pangzazi-test-bank/
True or False
1. The direct style of teaching is an effective strategy for teaching physical skills.
ANS: TRUE
REF: 38
2. In a competitive situation, students perceive that they can reach their goals only if other students fail.
ANS: TRUE
REF: 42
3. The convergent guided discovery teaching style allows for multiple responses to the question.
ANS: FALSE
REF: 43
4. An acceptable alternative for limited equipment is to teach using partner or reciprocal grouping.
ANS: TRUE
REF: 42-43
5. Generally, the most effective method for distributing individual equipment is to place it in a central
place such as the corner of the room.
ANS: FALSE
REF: 52
6. Cooperative learning is most successful when students switch roles often and when stated tasks proceed
from simple to complex.
ANS: TRUE
REF: 42-43
7. The learning and development of motor skills varies little among children of similar chronological age.
ANS: FALSE
REF: 44
8. The "whole method" of teaching refers to breaking down a skill into a series of parts, followed by
combining the parts into the whole skill.
ANS: FALSE
REF: 46
9. Skill progression involves moving the learning process through ordered steps from the least
challenging to the most challenging.
ANS: TRUE
REF: 47
11. Planning is a critical part of teaching that ensures the implementation of a quality lesson.
ANS: TRUE
REF: 37
12. One of the first steps to take when planning for instruction is to decide on the teaching styles that will
14. Mastery learning is an instructional style that takes a general program outcome and breaks it into
smaller parts providing a progression of skills.
ANS: TRUE
REF: 39
15. Gross motor movements such as running, skipping, and galloping are learned before the acquisition of
fine motor skills such as catching, hitting a pitched ball, and jumping for distance.
ANS: TRUE
REF: 45
16. Developmental Level III activities are the least difficult and form the foundation for more complex
skills.
ANS: FALSE
REF: 48
17. A stable base is necessary when a person applies force to a projectile or absorbs force.
ANS: TRUE
REF: 49
18. The focus of the lesson is the part that is designed to enhance health-related fitness to promote
lifetime physical activity.
ANS: FALSE
REF: 57
19. A characteristic of introductory activities is that they engage in immediate activity when they enter the
gym.
ANS: TRUE
REF: 54
20. The closing activity brings closure to the lesson through evaluation of the day's accomplishments.
ANS: TRUE
REF: 57
21. The physical activity and fitness part of a lesson is designed to teach youngsters the type and amount
of activity necessary to maintain a healthy lifestyle.
ANS: TRUE
REF: 57
22. An effective rule of thumb when starting a lesson is to run and freeze your class three times in order to
practice management skills.
ANS: TRUE
REF: 54
23. Preinstructional decisions are not as important as the content of the lesson.
ANS: FALSE
REF: 37
24. Effective teachers use more than one teaching style, even during one lesson.
ANS: TRUE
REF: 37
25. Using different teaching styles often improves the environment for students and teachers.
ANS: TRUE
REF: 37
26. Teaching using the task style is often unmotivating for students.
ANS: FALSE
REF: 38-39
29. The inquiry style does NOT use a combination of questions, problems, examples and learning
activities.
ANS: FALSE
REF: 43
32. When a teacher demonstrates during free exploration students will be more creative.
ANS: FALSE
REF: 44
33. When skill learning is in the early stages, stress can develop from competition.
ANS: TRUE
REF: 45
35. Quality teachers find time to reflect on all factors related to their lessons.
ANS: TRUE
REF: 59
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Pour amuser, on emploie des ruses. Ainsi, pour faire comprendre
l’adaptation des organismes au milieu, on imagine un monde à 500
degrés, un monde de feu, où couleraient des fleuves d’étain, où
pousseraient des plantes métalliques, où circuleraient des
salamandres, où la vie aurait d’autres exigences que sur la terre.
Afin que les adolescents ne soient pas poussés tous vers les
mêmes professions, afin d’élargir leur choix, il serait bon de montrer
ce qu’il y a d’inconséquent et souvent de stupide dans la hiérarchie
des métiers, telle qu’elle s’est installée dans l’estime publique.
Car cette hiérarchie existe. On en a une preuve curieuse dans la
rédaction des lettres mortuaires. Dans l’énumération de la famille, on
fait figurer les titres des officiers, des magistrats, et on se garde bien
de mentionner les industriels, les commerçants, les agriculteurs, les
ingénieurs même.
Par quelle lente stratification de préjugés cette hiérarchie s’est-
elle établie ?
Les professions les plus honorées sont-elles les plus
périlleuses ? Non. Car les tables de mortalité nous apprennent que
le pourcentage le plus élevé dans la paix est atteint par les
couvreurs et les vidangeurs.
Celles qui ont exigé le plus de travail préalable ? Non. Car le
professeur de lycée, qui a passé par Normale supérieure et fourni un
labeur écrasant, ne vient pas en tête de liste.
Celles qui exigent le plus de désintéressement ? Non. Car les
fonctionnaires, également peu payés, ne jouissent pas d’un prestige
culminant.
Les plus fructueuses ? Non. Car on n’estime pas spécialement
les financiers.
Les plus puissantes ? Non. Car les hommes armés du plus vaste
pouvoir sont les journalistes et les policiers.
Tant de raisons complexes ont joué dans ce classement ! Il y a
des carrières qui furent brillantes dans le passé et qui gardent un
éclat persistant : la carrière diplomatique, bien que ses mœurs
soient surannées, son rôle, hélas ! souvent vain et parfois
dangereux.
Puis il y a des titres qui inspirent d’autant plus de respect qu’on
les comprend moins : Conseiller référendaire à la Cour des
Comptes.
D’autres préjugés viennent d’un passé plus lointain. Si le
commerce ne jouit pas de plus d’estime, c’est peut-être qu’il était
exercé dans les anciennes civilisations par des esclaves.
Enfin, la vieille supériorité de l’âme sur le corps a exalté
démesurément le travail de l’esprit et rejeté dans l’ombre le métier
manuel.
Qu’en conclure ? Que cette hiérarchie s’est assise sous cent
influences complexes, illogiques, et qu’il faut puiser, dans le
sentiment de cette incohérence, la force de s’affranchir de ses
décrets.
La Constitution.
Soi-même.
Self-defence.
Un jour, un bon bourgeois passait aux environs de la gare Saint-
Lazare, quand il sentit une main s’abattre durement sur son épaule.
Tournant la tête, il vit un homme sombre et furieux qui lui ordonna de
le suivre.
— Où donc ?
— Au poste.
On n’est jamais tout à fait innocent. Arrêté sans cause connue,
on a vite fait soi-même d’en découvrir une dans son passé. Bref,
sans plus regimber, notre promeneur se laissa conduire au
commissariat voisin. Et là, il s’aperçut qu’il avait été arrêté par un
fou…
Oui, c’était un vrai fou, qui, sans doute atteint de la manie des
grandeurs, se croyait policier. L’anecdote est authentique. A notre
époque, un fou peut arrêter un passant et le conduire au
commissariat. Comment pareille aventure est-elle possible ?
L’explication est fort simple : le passant ignore ses droits. Il ne sait
pas les garanties qu’il doit exiger de l’homme qui veut l’arrêter.
Démuni d’armes légales, il ne peut pas se défendre.
Que chacun s’interroge sincèrement et se place dans un cas
semblable. Certes, selon sa nature, il se cabrera plus ou moins haut.
Mais, en vérité, il ne saura pas au juste les catégories d’individus qui
ont le droit d’arrêter les autres. Il ignorera les moyens de vérifier leur
identité. Il ne saura pas dans quelles conditions d’heure et de lieu, ni
sur la présentation de quels mandats cette arrestation est légale.
Pour les perquisitions, même histoire. Nous ne sommes pas
mieux armés pour la défense de notre foyer que pour celle de notre
personne. Là, encore, les faits-divers nous apportent leurs
témoignages. Que de fois la femme, restée seule au logis, laisse
fouiller les meubles et crocheter les tiroirs — quand elle n’en livre
pas elle-même les clefs — par de faux policiers, qu’elle a crus sur
leur arrogance et leur mauvaise mine ! Elle ne savait pas. Elle
ignorait sur quel « Sésame » nous devons ouvrir notre porte à la loi.
Et nous ne savons pas plus dans quelles conditions nous devons
l’ouvrir à la réquisition militaire en temps de manœuvre, à
l’inquisition fiscale en matière de fraudes. Quand un « rat de cave »,
flairant un petit délit, se présente chez un viticulteur soupçonné ou
dénoncé, il se nomme à peine. Il entre, il est chez lui. Seul, son
sans-gêne est garant de son autorité. Le propriétaire se tait et se
tient coi. Et pour cause. Sait-il seulement les références qu’il peut
exiger de l’inquisiteur ?
Ce sont là, dira-t-on, des cas exceptionnels. Soit. Mais tout le
monde paie l’impôt, et tout le monde passe à l’octroi. Or, sommes-
nous mieux armés pour exiger le respect de nos biens que pour
défendre celui de notre personne et de notre logis ?
Chacun paie aveuglément ses contributions. Qui donc en pourrait
vérifier l’exactitude ? Nul ne sait, nul ne se soucie de savoir sur
quelles bases elles sont calculées.
Quand la main du gabelou s’abat sur nos bagages, sur notre
auto, connaissons-nous exactement nos droits ? Pouvons-nous
simplement donner au sbire la clef de notre malle et le laisser à sa
basse besogne, ou peut-il nous contraindre à déboucler et à
reboucler ? Quand nous lui affirmons que nous n’avons rien à
déclarer, peut-il nonobstant exiger la fouille ?
Ainsi, qu’il s’agisse de nous ou de notre propriété, nous ne
savons pas nous défendre. Nous avons négligé les armes que nous
tendait la loi. Mais elles existent, ces armes, elles reposent à l’ombre
de l’épaisse forêt du Code. Il nous serait relativement aisé de les
ramasser.
A-t-on déjà tenté en ce sens quelque effort officiel ? J’ai consulté
le programme actuel des lycées de France. J’ai vu que, dans une
classe de troisième, on consacrait une heure par semaine à l’étude
du droit usuel. Et encore on ne fait du droit usuel que dans la
division B où l’on n’apprend pas le latin. Si bien que le latiniste est
condamné à ignorer toute notion de droit. Mais tranquillisez-vous :
ces notions de droit usuel ne descendent pas jusqu’à ces
applications pratiques dont on aurait besoin dans la vie. En fait,
latinistes et modernes restent également ignorants, également
désarmés dans l’art de se défendre contre les abus de l’autorité.
Planter un clou.
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