Professional Documents
Culture Documents
5. A violin student records the number of hours she spends practicing during each of nine
consecutive weeks:
Considering the smallest data value (1.2) and using the 1.5 × IQR rule, we would:
A) classify the value 1.2 as an outlier, because it is more than 1.5 × IQR below the first
quartile.
B) not classify the value 1.2 as an outlier, because it is not more than 1.5 × IQR below
the first quartile.
C) classify the value 1.2 as an outlier, because it is more than 1.5 × IQR below the
median.
D) classify the value 1.2 as an outlier, because it is more than 1.5 × IQR below the
mean.
6. The 18 faculty members in a college math department range in age from 32 to 68. A
stemplot follows:
3 24899
4 03569
5 347899
6 38
Page 2
7. The 18 faculty members in a college math department range in age from 32 to 68. A
stemplot follows:
3 24899
4 03569
5 347899
6 38
If the eldest faculty member retires and is replaced by a 26-year-old, the median age
will:
A) decrease by 2 years.
B) stay the same.
C) increase by 2 years.
D) increase by 4 years.
8. The 18 faculty members in a college math department range in age from 32 to 68. A
stemplot follows:
3 24899
4 03569
5 347899
6 38
The first and third quartiles of the ages of the faculty members are:
A) 38 and 57 years.
B) 39 and 57 years.
C) 39 and 58 years.
D) 40 and 58 years.
9. The 18 faculty members in a college math department range in age from 32 to 68. A
stemplot follows:
3 24899
4 03569
5 347899
6 38
The 1.5 × IQR rule would identify an age as a low outlier if it was less than:
A) 32 years.
B) 28.5 years.
C) 19 years.
D) 10.5 years.
Page 3
10. The 18 faculty members in a college math department range in age from 32 to 68. A
stemplot follows:
3 24899
4 03569
5 347899
6 38
The 1.5 × IQR rule would identify an age as a high outlier if it exceeded:
A) 19 years.
B) 28.5 years.
C) 77 years.
D) 86.5 years.
11. The exam scores (out of 100 points) for all students taking an introductory statistics
course are used to construct the following boxplot:
Page 4
12. The exam scores (out of 100 points) for all students taking an introductory statistics
course are used to construct the following boxplot:
Page 5
Another random document with
no related content on Scribd:
En sortant du Campo Santo, nous vîmes s’avancer, marchant en
bon ordre, de longues files d’hommes habillés de gris. Je pensai à
des équipes de forçats commandés pour la corvée des routes. Ils
portaient des blouses de toile et des pantalons rapiécés, de
grossières espadrilles laissant voir leurs pieds nus, et ils étaient
coiffés de méchants bonnets de police. Un coup de clairon m’apprit
que j’avais en face de moi la troupe. C’étaient, en effet, deux
compagnies d’infanterie garnisonnées à Estella qui partaient pour la
manœuvre. On les accoutre ainsi par économie, afin de ménager la
tenue de drap réservée pour les grandes occasions. Pauvreté n’est
pas vice, et l’économie est une belle chose, mais je doute que des
fantassins ainsi affublés se sentent fiers d’être soldats.
Je recommande ce costume à nos niveleurs économes qui
réclament à grands cris l’unification de l’uniforme militaire, ainsi
qu’aux intelligents champions de la suppression des armées
permanentes ; ils ne pourront mieux dégoûter la jeunesse du métier
de Mars. Le nec plus ultra du misérable et du bon marché sera d’un
seul coup atteint.
L’aspect de ces fantassins, petits et grêles, ne rappelle guère
cette redoutable infanterie espagnole « dont les gros bataillons
serrés, dit Bossuet, semblables à autant de tours, mais à des tours
qui sauraient réparer leurs brèches, demeuraient inébranlables au
milieu de tout le reste en déroute… » Certes, je ne mets pas un seul
instant en doute leur énergie et leur vaillance, je ne parle que de
l’extérieur, et il ne paye pas de mine. Il est vrai que leur uniforme, qui
semble une copie maladroite du nôtre, n’est pas de nature à la
rehausser. A Gibraltar surtout, à côté des superbes et corrects
soldats anglais, cette apparence défectueuse d’une armée mal
accoutrée, mal payée et mal nourrie, frappe l’œil désintéressé de
l’étranger.
C’est à Estella que je fus, pour la première fois, réveillé en
sursaut par une voix lamentable. Elle jetait par intervalles, des
profondeurs d’une rue voisine, des modulations prolongées et
lugubres qui approchaient grandissant, éclataient sous mes fenêtres,
puis s’éloignaient et retournaient se perdre dans la nuit.
Ce sont les serenos, gardes de nuit, qui crient le temps et l’heure
en commençant par une invocation à la Vierge : « Ave Maria
sanctissima ! Il est minuit. Le temps est serein ! » Ce chant nocturne,
car il est rythmé comme tous les cris de rue, restant de vieilles
coutumes générales dans presque toute l’Europe, ne manque pas
d’originalité. L’usage, il n’y a pas longtemps encore, existait chez
nous dans nombre de villes de province. A Douai, il y a dix ou quinze
ans, un homme criait les heures au beffroi. Mais c’est surtout au
siècle dernier que le veilleur de nuit offrait un aspect fantastique.
Vêtu d’une longue robe brune, bigarrée de têtes de mort et de tibias
en sautoir, il passait à pas lents, agitant une cloche et criant d’une
voix sépulcrale :