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True / False
1. The external environment facing business stays relatively constant over time.
a. True
b. False
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Easy
REFERENCES: 40
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.02.01 - 02.01
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing the task environment | Bloom:
Comprehension
2. Demographic, economic, political/legal, sociocultural, technological, global, and physical are the seven elements
comprising the industry environment.
a. True
b. False
ANSWER: True
POINTS: 1
DIFFICULTY: Hard
REFERENCES: 40 (Table 2.1)
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.02.02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing the task environment | Bloom: Knowledge
3. Firms can directly control the elements of the seven segments of the general environment.
a. True
b. False
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Easy
REFERENCES: 39
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.02.02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing the task environment | Bloom:
Comprehension
ANSWER: True
POINTS: 1
DIFFICULTY: Medium
REFERENCES: 39
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.2-02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing the task environment | Bloom: Application
5. The industry environment directly influences the firm and its competitive actions and responses.
a. True
b. False
ANSWER: True
POINTS: 1
DIFFICULTY: Easy
REFERENCES: 39
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.2-02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing decision-making processes | Bloom:
Knowledge
6. Competitor analysis is focused on the factors and conditions influencing an industry's profitability potential.
a. True
b. False
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Medium
REFERENCES: 39
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.2-02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing decision-making processes | Bloom:
Comprehension
7. When firms analyze the external environment, they typically have complete and unambiguous data.
a. True
b. False
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Medium
REFERENCES: 40
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.02.02 - 02.02
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing decision-making processes | Bloom:
Comprehension
8. Monitoring involves the development of a forecast of what might happen at a future point in time.
a. True
b. False
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Easy
REFERENCES: 42
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.15.02.03 - 02.03
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Strategy | Dierdorff
& Rubin: Managing decision-making processes | Bloom: Knowledge
ANSWER: False
POINTS: 1
DIFFICULTY: Medium
REFERENCES: 41–42
LEARNING OBJECTIVES: STMA.HITT.13.Knowledge - Application
NATIONAL STANDARDS: United States - BUSPROG: Analytic
NOTES: AACSB: Business Knowledge & Analytical Skills | Management: Environmental
Influence | Dierdorff & Rubin: Managing decision-making processes | Bloom:
Knowledge
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En sortant du Campo Santo, nous vîmes s’avancer, marchant en
bon ordre, de longues files d’hommes habillés de gris. Je pensai à
des équipes de forçats commandés pour la corvée des routes. Ils
portaient des blouses de toile et des pantalons rapiécés, de
grossières espadrilles laissant voir leurs pieds nus, et ils étaient
coiffés de méchants bonnets de police. Un coup de clairon m’apprit
que j’avais en face de moi la troupe. C’étaient, en effet, deux
compagnies d’infanterie garnisonnées à Estella qui partaient pour la
manœuvre. On les accoutre ainsi par économie, afin de ménager la
tenue de drap réservée pour les grandes occasions. Pauvreté n’est
pas vice, et l’économie est une belle chose, mais je doute que des
fantassins ainsi affublés se sentent fiers d’être soldats.
Je recommande ce costume à nos niveleurs économes qui
réclament à grands cris l’unification de l’uniforme militaire, ainsi
qu’aux intelligents champions de la suppression des armées
permanentes ; ils ne pourront mieux dégoûter la jeunesse du métier
de Mars. Le nec plus ultra du misérable et du bon marché sera d’un
seul coup atteint.
L’aspect de ces fantassins, petits et grêles, ne rappelle guère
cette redoutable infanterie espagnole « dont les gros bataillons
serrés, dit Bossuet, semblables à autant de tours, mais à des tours
qui sauraient réparer leurs brèches, demeuraient inébranlables au
milieu de tout le reste en déroute… » Certes, je ne mets pas un seul
instant en doute leur énergie et leur vaillance, je ne parle que de
l’extérieur, et il ne paye pas de mine. Il est vrai que leur uniforme, qui
semble une copie maladroite du nôtre, n’est pas de nature à la
rehausser. A Gibraltar surtout, à côté des superbes et corrects
soldats anglais, cette apparence défectueuse d’une armée mal
accoutrée, mal payée et mal nourrie, frappe l’œil désintéressé de
l’étranger.
C’est à Estella que je fus, pour la première fois, réveillé en
sursaut par une voix lamentable. Elle jetait par intervalles, des
profondeurs d’une rue voisine, des modulations prolongées et
lugubres qui approchaient grandissant, éclataient sous mes fenêtres,
puis s’éloignaient et retournaient se perdre dans la nuit.
Ce sont les serenos, gardes de nuit, qui crient le temps et l’heure
en commençant par une invocation à la Vierge : « Ave Maria
sanctissima ! Il est minuit. Le temps est serein ! » Ce chant nocturne,
car il est rythmé comme tous les cris de rue, restant de vieilles
coutumes générales dans presque toute l’Europe, ne manque pas
d’originalité. L’usage, il n’y a pas longtemps encore, existait chez
nous dans nombre de villes de province. A Douai, il y a dix ou quinze
ans, un homme criait les heures au beffroi. Mais c’est surtout au
siècle dernier que le veilleur de nuit offrait un aspect fantastique.
Vêtu d’une longue robe brune, bigarrée de têtes de mort et de tibias
en sautoir, il passait à pas lents, agitant une cloche et criant d’une
voix sépulcrale :