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0134112830 9780134112831
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1) In a chemical reaction, matter is neither created nor destroyed. Which law does this refer to?
A) Law of Definite Proportions
B) Law of the Conservation of Mass
C) Law of Modern Atomic Theory
D) Law of Multiple Proportions
E) First Law of
Thermodynamics Answer: B
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Global: G1
2) All samples of a given compound, regardless of their source or how they were prepared, have
the same proportions of their constituent elements. Which law does this refer to?
A) Law of Definite Proportions
B) Law of the Conservation of Mass
C) Law of Modern Atomic Theory
D) Law of Multiple Proportions
E) First Law of
Thermodynamics Answer: A
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LO: 2.1
Global: G1
3) When two elements form two different compounds, the masses of element B that combine
with 1 g of element A can be expressed as a ratio of small whole numbers. Which law does this
refer to?
A) Law of Definite Proportions
B) Law of the Conservation of Mass
C) Law of Modern Atomic Theory
D) Law of Multiple Proportions
E) First Law of
Thermodynamics Answer: D
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LO: 2.2
Global: G2
1
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4) Which of the following is an example of the law of multiple proportions?
A) A sample of chlorine is found to contain three times as much Cl-35 as Cl-37.
B) Two different compounds formed from carbon and oxygen have the following mass ratios:
1.33 g O: 1 g C and 2.66 g O: 1 g C.
C) Two different samples of table salt are found to have the same ratio of sodium to chlorine.
D) The atomic mass of bromine is found to be 79.90 amu.
E) Nitrogen dioxide always has a mass ratio of 2.28 g O: 1 g N.
Answer: B
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LO: 2.2
Global: G2
5) Which of the following statements is FALSE according to Dalton's Atomic Theory?
A) Atoms combine in simple whole number ratios to form compounds.
B) All atoms of chlorine have identical properties that distinguish them from other elements.
C) One carbon atom will combine with one oxygen atom to form a molecule of carbon
monoxide.
D) Atoms of sodium do not change into another element during chemical reaction with chlorine.
E) An atom of nitrogen can be broken down into smaller particles that will still have the unique
properties of nitrogen.
Answer: E
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Global: G2
2
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8) Identify the description of an atom.
A) neutrons and electrons in nucleus; protons in orbitals
B) neutrons in nucleus; protons and electrons in orbitals
C) protons and neutrons in nucleus; electrons in orbitals
D) protons and electrons in nucleus; neutrons in orbitals
E) electrons in nucleus; protons and neutrons in orbitals
Answer: C
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Global: G2
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12) The atomic number is equal
to A) the number of the protons.
B) the sum of the number of the neutrons and electrons.
C) the sum of the number of protons, neutrons, and electrons.
D) the sum of the number of protons and neutrons.
Answer: A
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LO: 2.3
Global: G1
X
A) mercury
B) chlorine
C) scandium
D) bromine
E) selenium
Answer: D
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LO: 2.3
Global: G2
14) What does "X" represent in the following symbol?
X
A) silicon
B) sulfur
C) zinc
D) ruthenium
E) nickel
Answer: A
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LO: 2.3
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Il me suggéra la pensée de demander les sacrements.
« Si je ne les ai pas demandés, répondis-je, attribuez-le à la faiblesse
de ma tête ; mais ce sera pour moi une grande consolation de les
recevoir. »
Kral rapporta mes paroles au surintendant, et on fit venir le chapelain
des prisons.
Je me confessai, je communiai, et je reçus l’huile sainte. Je fus
content de ce prêtre. Il s’appelait Sturm. Les réflexions qu’il me fit sur la
justice de Dieu, sur l’injustice des hommes, sur le devoir du pardon, sur
la vanité de toutes les choses du monde, n’étaient pas des trivialités ;
elles portaient l’empreinte d’une intelligence élevée et cultivée, et d’un
vif sentiment du véritable amour de Dieu et du prochain.
CHAPITRE LXXIV
En 1825, Schiller fut jugé désormais trop affaibli par les infirmités de
la vieillesse, et on lui donna la garde d’autres condamnés, pour lesquels
il semblait qu’on n’eût pas autant besoin de vigilance. Oh ! combien il
nous fut pénible de le voir s’éloigner de nous, et à lui de nous laisser !
Il eut d’abord pour successeur Kral, qui ne lui était pas inférieur en
bonté. Mais à celui-là aussi on vint à donner bientôt une autre
destination, et il nous en arriva un autre, non pas méchant, mais bourru et
étranger à toute démonstration affectueuse.
Ces changements m’affligeaient profondément. Schiller, Kral et
Kubitzky, mais particulièrement les deux premiers, nous avaient assistés
dans nos maladies comme un père et un frère auraient pu le faire.
Incapables de manquer à leur devoir, ils savaient le remplir sans dureté
de cœur. S’il y avait un peu de rudesse dans les formes, elle était presque
toujours involontaire, et ils la rachetaient pleinement par les façons
bienveillantes dont ils usaient envers nous. Je me mis quelquefois en
colère contre eux, mais comme ils me pardonnaient cordialement !
comme ils prenaient peine à nous persuader qu’ils n’étaient pas sans
affection pour nous, et comme ils étaient contents quand ils voyaient que
nous en étions persuadés, et que nous les estimions comme des hommes
de bien !
A partir du moment où il fut loin de nous, Schiller tomba plusieurs
fois malade, et se rétablit. Nous demandions de ses nouvelles avec une
anxiété filiale. Quand il était convalescent, il venait parfois se promener
sous nos fenêtres. Nous toussions pour le saluer, et il regardait en haut
avec un sourire mélancolique, et il disait à la sentinelle, de façon que
nous l’entendissions : « Da sind meine Sohne ! (Ce sont mes enfants ! »)
Pauvre vieillard ! quelle peine j’éprouvais de te voir traîner lentement
ton corps malade, et de ne pouvoir te soutenir de mon bras !
Quelquefois il s’asseyait sur l’herbe et lisait. C’étaient les livres qu’il
m’avait prêtés ; et, afin que je les reconnusse, il en disait le titre à la
sentinelle, ou en récitait quelques fragments. Le plus souvent, ces livres
étaient des contes d’almanach, ou d’autres romans de peu de valeur
littéraire, mais très moraux.
Après plusieurs rechutes d’apoplexie, il se fit porter à l’hôpital
militaire. Il était déjà dans un très mauvais état, et il y mourut bientôt. Il
possédait quelques centaines de florins, fruit de ses longues épargnes ; il
les avait prêtés à quelques-uns de ses compagnons d’armes. Lorsqu’il se
vit près de sa fin, il appela près de lui ces amis et leur dit : « Je n’ai plus
de parents ; que chacun de vous garde ce qu’il a en main. Je vous
demande seulement de prier pour moi. »
Un de ces amis avait une fille de dix-huit ans, qui était la filleule de
Schiller. Peu d’heures avant de mourir, le bon vieillard la fit appeler. Il
ne pouvait plus parler distinctement ; il ôta de son doigt un anneau
d’argent, sa dernière richesse, et le mit au doigt de la jeune fille. Puis il
l’embrassa et pleura en l’embrassant. La pauvre enfant poussait des
gémissements et l’inondait de larmes. Il les lui essuyait avec son
mouchoir. Il prit ses mains et se les posa sur les yeux… Ces yeux étaient
fermés pour toujours.
CHAPITRE LXXXII