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Rewriting Humour in Comic Books: Cultural Transfer and Translation of Aristophanic Adaptations Dimitris Asimakoulas
Rewriting Humour in Comic Books: Cultural Transfer and Translation of Aristophanic Adaptations Dimitris Asimakoulas
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Rewriting the History of School Mathematics in North
America 1607 1861 The Central Role of Cyphering Books
1st Edition Nerida Ellerton
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PALGRAVE STUDIES IN TRANSLATING AND INTERPRETING
SERIES EDITOR: MARGARET ROGERS
Rewriting
\\ppdys-fs01\PALGRAVE\05_COVER\
PALGR AVE\438986_PSTI_
Humour in
Asimakoulas\Asimakoulas\Links
Comic Books
Cultural Transfer and
Translation of Aristophanic
Adaptations
Dimitris Asimakoulas
Palgrave Studies in Translating and Interpreting
Series Editor
Margaret Rogers
School of Literature and Languages
University of Surrey
Guildford, UK
This series examines the crucial role which translation and interpreting in
their myriad forms play at all levels of communication in today’s world,
from the local to the global. Whilst this role is being increasingly recog-
nised in some quarters (for example, through European Union legisla-
tion), in others it remains controversial for economic, political and social
reasons. The rapidly changing landscape of translation and interpreting
practice is accompanied by equally challenging developments in their
academic study, often in an interdisciplinary framework and increasingly
reflecting commonalities between what were once considered to be sepa-
rate disciplines. The books in this series address specific issues in both
translation and interpreting with the aim not only of charting but also of
shaping the discipline with respect to contemporary practice and research.
Rewriting Humour
in Comic Books
Cultural Transfer and Translation of
Aristophanic Adaptations
Dimitris Asimakoulas
University of Surrey
Guildford, UK
This Palgrave Pivot imprint is published by the registered company Springer Nature Switzerland AG
The registered company address is: Gewerbestrasse 11, 6330 Cham, Switzerland
To my family and in memory of my father, Spyros
Acknowledgements
vii
Praise for Rewriting Humour in Comic Books
“This book analyses, in an incisive and appealing way, three different translation
challenges and how they interact. All three deserve more attention in translation
studies. Translating classic literature, especially across long time-gaps, presents
big but interesting challenges, as does translating into comic/graphic-novel for-
mat, and translating humour is no less interesting. Here, Dimitris Asimakoulas
gives a fascinating exploration of how real-life translators successfully tackle such
complex challenges, and what this means for translation studies.”
—Francis Jones, Professor of Translation Studies, Newcastle University
“A theoretically rich and empirically rigorous study that sheds new light on pro-
cesses of rewriting and translation, the dynamics of mediation as they play out
in the highly challenging and influential genre of comics, and the modern
exploitation and reception of the work of a key author from ancient Greece:
Aristophanes. A must read for scholars of translation, comics, humour and
Greek Studies.”
—Mona Baker, Professor Emerita of Translation Studies, University of Manchester
and Director of the Baker Centre for Translation & Intercultural Studies, Jiao Tong
University, Shanghai
Notes on the Text
Preliminaries:
xi
Contents
1 Introduction 1
References 6
2 Rewriting 7
2.1 The Art of Rewriting Aristophanes 9
2.2 Establishing the Rewriting Chain: Aristophanes in
Modern Greek 16
2.3 Post-translation Multimodal Rewritings: Aristophanes for
Children (and Not Only) 22
2.4 Professionals: Creators and Publishers 30
2.5 Professionals: Translators 41
2.6 Conclusion 49
References 51
xiii
xiv Contents
6 Concluding Remarks177
Appendix183
Index187
List of Figures
xv
xvi List of Figures
xix
1
Introduction
CHANT PREMIER
CHANT II
CHANT III
[34] Page 43, lignes 27 et 28. — Alors qu’il fut trompé par la
Dame du Lac. — Les romans de chevalerie racontent que Merlin,
enchanteur anglais, s’était épris de la Dame du Lac. Ayant préparé
pour elle et pour lui un superbe tombeau, il lui apprit certaines
paroles, lesquelles étant prononcées sur le couvercle du tombeau,
en rendaient l’ouverture impossible. La dame, qui haïssait tout bas
Merlin, lui demanda de se coucher dans le tombeau pour en
expérimenter la capacité, et, quand il y fut, elle rabattit le couvercle
et prononça les paroles fatales. Merlin mort, son esprit était resté
dans le tombeau, d’où il répondait à ceux qui l’interrogeaient.
[35] Page 45, ligne 14. — L’antique sang issu de Troie. —
Boïardo, dans le chant XVIe du livre Ier et dans le chant Ve du livre III,
prétend que la famille de Roger descendait d’un neveu de Priam.
[36] Page 46, lignes 17 et 18. — Elle la recouvre d’un grand
pentacule. — Sorte de pentagone, sur lequel étaient peints des
points, des signes et des caractères magiques, en usage aux
nécromanciens, et destinés à protéger ceux qui en étaient
recouverts des effets des enchantements.
[37] Page 47, lignes 9 et 10. — Je vois, par ses mains, la terre
rougie du sang de Poitiers. — Allusion au massacre des Mayençais,
par le fils de Roger et de Bradamante, lequel vengea ainsi la mort de
son père, tué par trahison dans le château de Ponthieu, en Picardie.
Il va sans dire que les renseignements généalogiques sur la maison
d’Este relatés ici par Arioste sont, pour la plupart, de pure
imagination. La généalogie vraie des princes d’Este se trouve dans
un remarquable ouvrage publié de nos jours par le comte Pompée
Litta sur les familles illustres d’Italie.
[38] Page 49, ligne 16. — La belle terre qui est assise sur le
fleuve où Phébus… — Par cette périphrase, Arioste veut désigner
Ferrare et son territoire situés sur le Pô, fleuve dans lequel, selon la
Fable, fut précipité Phaéton.
[39] Page 51, lignes 8 et 9. — La terre qui produit des roses. —
Rhodes.
[40] Page 56, lignes 7 et 8. — Les deux que nous avons vus si
tristes. — Jules et Ferdinand d’Este, frères d’Alphonse Ier. Ayant
conspiré contre ce dernier, ils furent condamnés à mort. Mais leur
peine fut commuée en prison perpétuelle. Ferdinand mourut en
prison en 1540, et Jules, rendu à la liberté par Alphonse II, mourut
en 1561.
[41] Page 58, lignes 9 et 10. — Un anneau qui fut dérobé dans
l’Inde à une reine. — Voir Boïardo, chant V du livre II, et Berni, chant
XXXIV, stances 30 et suivantes.
CHANT IV
CHANT VI
CHANT VII
CHANT VIII
CHANT IX
[52] Page 168, lignes 12 et 13. — Sur les bords d’un fleuve qui
sépare les Normands des Bretons. — Probablement la petite rivière
de Couesnon, qui se jette dans la baie Saint-Michel, près de
Pontorson et qui sépare, en effet, la Bretagne de la Normandie.
[53] Page 170, ligne 10. — Il laisse Saint-Brieuc et Landriglier. —
Par Landriglier, Arioste entend la petite ville de Tréguier, le Tricosium
des anciens.
[54] Page 182, ligne 13. — Près du Volano. — Branche du Pô qui
se sépare de la branche principale, près de Ferrare, et va se jeter, à
quelques lieues plus loin, dans l’étang de Comacchio et de là dans
l’Adriatique.
CHANT X
CHANT XI
CHANT XII
CHANT XIII
[65] Page 273, lignes 10 et 11. — Avec la même agilité que l’on
voit l’adroit Espagnol jeter son fusil. — Espagnol est ici pour
Sarrasin, qui lui-même est synonyme d’Arabe. On sait que dans
leurs fantasias les Arabes lancent et rattrapent leur fusil avec une
grande dextérité.
[66] Page 281, lignes 7 et 8. — Lucrèce Borgia, dont la beauté, la
vertu, le renom de chasteté… — Cet éloge de Lucrèce Borgia, dans
la bouche d’Arioste, paraîtrait étrange, si nous ne savions combien
la poésie, depuis Dante et Pétrarque, avait perdu en dignité. Elle en
était réduite à mendier la faveur des princes, et par conséquent à les
louer jusque dans leurs vices les plus avérés. Arioste est, à cet
égard, un des modèles du genre courtisanesque.
CHANT XIV
[67] Page 286, lignes 6 et 7. — Notre joie fut trop troublée par la
mort du capitaine français… — Gaston de Foix, tué à la bataille de
Ravenne.
Pages.
Préface du traducteur I
ROLAND FURIEUX
Chant premier. — Angélique, s’étant enfuie de la tente
du duc de Bavière, rencontre Renaud qui est à la
recherche de son cheval. Elle fuit de tout son pouvoir
cet amant qu’elle hait, et trouve sur la rive d’un fleuve
le païen Ferragus. Renaud, pour savoir à qui
appartiendra Angélique, en vient aux mains avec le
Sarrasin ; mais les deux rivaux, s’étant aperçus de la
disparition de la donzelle, cessent leur combat. —
Pendant que Ferragus s’efforce de ravoir son casque
qu’il a laissé tomber dans le fleuve, Angélique
rencontre par hasard Sacripant, qui saisit cette
occasion pour s’emparer du cheval de Renaud. Celui-
ci survient en menaçant. 1
Chant II. — Pendant que Renaud et Sacripant 22
combattent pour la possession de Bayard, Angélique,
fuyant toujours, trouve dans la forêt un ermite qui, par
son art magique, fait cesser le combat entre les deux
guerriers. Renaud monte sur Bayard et va à Paris,
d’où Charles l’envoie en Angleterre. — Bradamante,
allant à la recherche de Roger, rencontre Pinabel de
Mayence, lequel, par un récit en partie mensonger et
dans l’intention de lui donner la mort, la fait tomber au
fond d’une caverne.
Chant III. — La caverne où Bradamante est tombée
communique avec une grotte qui contient le tombeau
de l’enchanteur Merlin. Là, la magicienne Mélisse
révèle à Bradamante que c’est d’elle et de Roger que
sortira la race d’Este. Elle lui montre les figures de ses
descendants et lui prédit leur gloire future. Au moment
de quitter la grotte, Bradamante apprend de Mélisse
que Roger est retenu dans le palais enchanté
d’Atlante, et se fait enseigner le moyen de le délivrer.
Rencontre de Bradamante et de Brunel. 41
Chant IV. — Bradamante arrache à Brunel son anneau
enchanté, grâce auquel elle détruit le pouvoir d’Atlante
et délivre Roger. Celui-ci laisse son cheval à
Bradamante, et monte sur l’hippogriffe qui l’emporte
dans les airs. — Renaud arrive en Écosse, où il
apprend que Ginevra, fille du roi, est sur le point d’être
mise à mort, victime d’une calomnie. S’étant mis en
chemin pour aller la délivrer, il rencontre une
jouvencelle qui lui raconte le fait pour lequel Ginevra a
été condamnée à périr. 60
Chant V. — Dalinda dévoile à Renaud la trame ourdie par
son amant Polinesso contre Ginevra, laquelle est
condamnée à mourir, s’il ne se présente personne
pour la défendre contre Lurcanio, qui l’a accusée
d’impudicité. Renaud arrive au champ clos, juste au
moment où Lurcanio vient de commencer le combat
avec un chevalier inconnu qui s’était présenté pour
défendre la princesse. Il fait suspendre le combat,
dénonce le calomniateur et lui fait confesser son crime. 79
Chant VI. — On reconnaît que le chevalier inconnu est 102
Ariodant, l’amant de Ginevra. Le roi la lui donne pour
femme et pardonne à Dalinda. — Roger est porté par
l’hippogriffe dans l’île d’Alcine, où Astolphe, cousin de
Bradamante, changé en myrte, lui conseille de ne pas
aller plus avant. Roger veut s’éloigner de l’île ; divers
monstres s’opposent en vain à sa fuite ; mais
surviennent plusieurs nymphes qui le font changer de
résolution.
Chant VII. — Roger, après avoir abattu une géante qui se
tenait à la garde d’un pont, arrive au palais d’Alcine. Il
en devient éperdument amoureux et reste dans l’île.
Bradamante, n’ayant aucune nouvelle de lui, va
chercher Mélisse et lui remet l’anneau enchanté qui
doit servir à rompre les enchantements d’Alcine.
Mélisse va avec cet anneau dans l’île et réveille la
raison endormie de Roger, qui se décide à quitter ce
dangereux séjour. 123
Chant VIII. — Après avoir surmonté divers obstacles,
Roger s’enfuit de l’île d’Alcine. Mélisse rend sa forme
première à Astolphe, lui fait retrouver ses armes et
tous deux se rendent chez Logistilla, où Roger arrive
aussi peu après. — Renaud passe d’Écosse en
Angleterre et obtient des secours pour Charles assiégé
dans Paris. — Angélique est transportée dans l’île
d’Ébude pour y être dévorée par un monstre marin. —
Roland, trompé par un songe, sort déguisé de Paris et
va à la recherche d’Angélique. 143
Chant IX. — Roland ayant appris la coutume cruelle
introduite dans l’île d’Ébude, soupçonne qu’Angélique
y est en danger, et il se propose d’y aller ; mais
auparavant, il secourt Olympie, comtesse de Hollande
et femme du duc Birène, poursuivie par le roi
Cimosque. Il défait complètement ce roi, et remet
Olympie en possession de ses États et de son mari. 166
Chant X. — Birène, étant devenu amoureux d’une autre 189