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ATARAXIE

S7

CAHIER D'EXAMENS - COURS PAR COURS


ÉDITION 2023
REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier vivement tous


ceux qui de près ou de loin ont participé à
la rédaction de ce document.

ATARAXIE
TEAM ATARAXIE’s Toolbox
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TEAM ATARAXIE’s Toolbox 1


I. SYSTEME NERVEUX
Neurologie 1
47
Neurochirurgie

SOMMAIRE

II. GLANDES ENDOCRINES ET


REVETEMENT CUTANÉ
Dermatologie 69
Endocrinologe-diabétologie 121

III. APPAREIL LOCOMOTEUR


Traumatologie orthopédie 148
Rhumatologie et réadaptation fonctionelle 178

IV. ONCOLOGIE-HÉMATOLOGIE
Hématologie clinique 201
Oncologie médicale-Radiothérapie 228

ATARAXIE S7: COURS PAR COURS


Neurologie Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Neurologie
-( 2012-2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 311 questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1. Les Accidents Vasculaires ischémiques ( 27 questions )


1.Parmi ces propositions, quelle est la prévalence des AVC au Maroc?
A.284/1 million d'habitants
B. 2/100 000 habitants
C.2/100 habitants
D. 284/100 000 habitants
E.28/100 habitants
2.Parmi ces propositions, quelle est l'étiologie la plus fréquente d’AVC ischémique chez le sujet jeune au
Maroc ?
A.La valvulopathie rhumatismale
B.La dissection carotidienne
C.La sténose carotidienne athéromateuse
D.La vascularite tuberculeuse
E.La dissection vertébrale
F.L'athérosclérose
G.La dissection des arteres cervicales
H.L’endocardite infectieuse
I.La vascularite cerebrale
3.Parmi ces propositions, quelles sont les 2 étiologies qu’on retrouve plus fréquemment après un AVC
ischémique chez le sujet âgé?
A.La valvulopathie rhumatismale
B. La dissection carotidienne
C. L’étiologie athéromateuse
D. La vascularite tuberculeuse
E. AVCI cardio-embolique (fibrillation auriculaire)
4.Parmi ces propositions. Quelles sont les étiologies possibles d’un AVC ischémique sylvien gauche?
A.Une valvulopathie rhumatismale
B. Une dissection carotidienne droite
C.La sténose carotidienne athéromateuse gauche
D. Une endocardite infectieuse
E.La dissection vertébrale
5.Parmi ces cardiopathies, laquelle est à plus haut risque emboligène ?
A.Prolapsus mitral
B.ACFA isolée
C.Foramen ovale permanent( FOP)
D .Prothèse valvulaire mécanique
E.Anévrisme du septum inter-auriculaire (ASIA)

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6.Un patient de 60 ans consulte pour vertige et trouble de la déglutition à type de fausses routes. Parmi ces
propositions, quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers un AVC postéro-latéro-bulbaire
gauche?
A - Un hémisyndrome cérébelleux gauche
B - Une paralysie faciale gauche
C - Une paralysie oculomotrice du III (moteur oculaire commun ) gauche
D- Hémi Hypoesthésie thermoalgique droite
E - Hémiplégie droite
7.Parmi ces symptômes, un seul peut correspondre à un Accident ischémique transitoire. Lequel?
A-Cécité bilatérale
B-Faiblesse généralisée transitoire
C-Une confusion
D-Amnésie aiguë.
E - aphasie de Broca-,
8.Un patient de 85 ans consulte pour une hémiplégie droite. Parmi ces propositions, quels sont les
éléments cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique carotidien ?
A - L'existence d’une diplopie
B - La prédominance brachio-faciale du déficit moteur
C - L’existence d’une aphasie
D- L’existence d’une hémiplégie d’un côté et atteinte d’un ou de plusieurs nerf(s) crânien(s) du côté
controlatéral
E - L’existence de vertiges
9.Un patient de 85 ans consulte pour une hémiplégie droite. Parmi ces propositions, quels sont les
éléments cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique vertébro-basilaire?
A.L'existence d'une diplopie
B. La prédominance brachio-faciale du déficit moteur
C.L'existence d'une aphasie
D- L'existence d'une hémiplégie d'un côté ét atteinte d'un ou de plusieurs nerf(s) crânien(s) du côté
controlatéral
E - L'existence de troubles de conscience avec tétraplégie
10.Un patient de 89 ans consulte pour une hémiplégie gauche. Parmi ces propositions, quels sont les
éléments cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire
de l’artère cérébrale moyenne superficielle gauche?
A - L’existence d'une aphasie de Broca
B - Le caractère total et proportionnel du déficit moteur
C-L’existence d’un syndrome de l’hémisphère mineur
D - L’existence d’une diplopie
E-La prédominance brachio-faciale du déficit moteur
11.Un patient de 75 ans, droitier, consulte pour une hémiplégie droite. Parmi ces propositions,
quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique
dans le territoire de l’artère cérébrale moyenne superficielle gauche?
A - L’existence d'une aphasie de Broca
B - Le caractère total et proportionnel du déficit moteur
C - L’existence d’un syndrome de l’hémisphère mineur
D - L’existence d’une diplopie
E - La prédominance brachio-faciale du déficit moteur

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12.Un patient de 70 ans consulte pour une hémiplégie droite. Parmi ces propositions, quels sont les
éléments cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire
de l’artère cérébrale moyenne superficielle gauche?
A- L’existence d’une diplopie
B- La prédominance brachio-faciale du déficit moteur
C- L’existence d’un syndrome de l’hémisphère mineur
D-Le caractère total et proportionnel du déficit moteur
E-L’existence d'une aphasie.
F - L'existence de troubles de conscience
13.Une patiente de 79 ans consulte pour une hémiplégie. Parmi ces propositions, quels sont les éléments
cliniques qui peuvent orienter vers un Accident vasculaire cérébral ischémique hémisphérique cortical?
A - L'existence d’une aphasie de Broca
B - Le caractère total et proportionnel du déficit moteur
C - L'existence d'une épilepsie
D - L’existence d'une diplopie
E - Une anosognosie
14.Un patient de 76 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux
urgences dans un délai de 2 heures. Sa tension artérielle est à 180/100
Quelle attitude thérapeutique immédiate peut être envisagée ?
A - Une chirurgie décompressive (hémicraniectomie)
B - Un traitement antiagrégant injectable
C - Un traitement anticoagulant
D- Un traitement antihypertenseur injectable
E - Une thrombolyse intraveineuse
15. Un patient de 70 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux
urgences dans un délai de 3 heures 30 minutes. Sa tension artérielle est à 160/80. Quelle attitude
thérapeutique immédiate peut être envisagée ?
A - Une chirurgie décompressive
B - Une thrombolyse intraveineuse
C - Un traitement anticoagulant
D-Un traitement antihypertenseur injectable
E - Un traitement antiagrégant injectable
16.Un patient de 70 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux urgences dans
un délai de 3 heures. Sa tension artérielle est à 160/100. Quelle attitude thérapeutique
immédiate peut être envisagée ?
A - Une chirurgie décompressive
B - Une thrombolyse intraveineuse
C - Un traitement anticoagulant
D- Un traitement antihypertenseur injectable
E - Un traitement antiagrégant injectable
17.Un patient de 76 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux
urgences dans un délai de 2 heures. Sa tension artérielle est à 140/80. Quelle attitude thérapeutique
immédiate peut être envisagée ?
A - Une chirurgie décompressive (hémicraniectomie)
B - Un traitement antiagrégant injectable
C - Un traitement anticoagulant
D- Un traitement antihypertenseur injectable
E Une thrombolyse intraveineuse

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18.Après un AVC ischémique, quelles sont parmi ces mesures celles qui constituent des mesures de
prévention secondaire ?
A. Traitement de l’hypertension artérielle
B. Un traitement anticoagulant au long cours
C. L’endartériectomie carotidienne
D. Un traitement antiagrégant plaquettaire
E. L’arrêt du tabac
F. La thrombolyse intraveineuse
G. Un traitement par Statine
H. Une hémicraniectomie
I. Un traitement anticoagulant
19. Quels choix de traitement de prévention secondaire proposeriez vous pour un patient de 77 ans ayant
présenté un AVC ischémique sur athérosclérose.
A-Antivitamine K
B-Aspirine
C-Statine
D-Antihypertenseur
E-Endartériectomie si sténose carotidienne serrée.
20.Quel(s) traitement(s) antithrombotique(s) de prévention secondaire peut-on prescrire à
un patient de 75 ans ayant présenté un AVC ischémique il y a 10 jours, et chez qui le bilan a trouvé une
hypercholestérolémie, une HTA, un diabète et des plaques d’athérome au niveau des 2 carotides internes
non sténosantes ?
A-Aspirine.
B - Clopidogrel
C - Héparine de bas poid moléculaire (HBPM)
D - Antivitamine K (AVK)
E - Anticoagulants oraux directs (AOD)
21.Quel(s) traitements) antithrombotique(s) de prévention secondaire peut-on prescrire à un patient de 75
ans ayant présenté un AVC ischémique il y a 10 jours, et chez qui le bilan a trouvé une fibrillation
auriculaire
A .Aspirine
B. Clopidogrel
C.Aspirine + Clopidogrel
D. Antivitamine K (AVK)
E - Anticoagulants oraux directs (AOD)
22.Quel choix de traitement de prévention secondaire préconisez vous chez un patient de 77 ans ayant
présenté un AVC ischémique sylvien gauche, et qui présente une arythmie complète par fibrillation
auriculaire.
A- Antivitamine K
B-Aspirin
C - Clopidogrel
D - Aspirine + Clopidogrel
E - Aspirine + Clopidogrel + Antivitamine K
23.Un patient de 70 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux urgences dans
un délai de 48 heures. Sa tension artérielle est à 160/80. Son électrocardiogramme montre une ACFA.
Quels traitements de prévention secondaire au long cours peuvent être envisagés ?
A - Des antivitamines K
B - Des antiagrégants plaquettaires
C - Des anticoagulants oraux directs
D- Une héparine de bas poids moléculaire (HBPM) à dose prophylactique

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E - Un traitement antiagrégant injectable
24.Une patiente de 50 ans qui présente un Accident vasculaire cérébral ischémique arrivé aux urgences
dans un délai de 1 heures 30 minutes. Sa tension artérielle est à 140/90. Quelle attitude thérapeutique
immédiate peut être envisagée ?
A - Un traitement antiagrégant injectable
B - Une chirurgie décompressive
C - Un traitement anticoagulant
D- Un traitement antihypertenseur injectable
E - Une thrombolyse intraveineuse
25.Quel traitement de prévention secondaire peut-on indiquer à un patient de 75 ans ayant présenté un
Accident ischémique transitoire : déficit moteur brachiofacial droit avec aphasie ayant duré 20 minutes(AIT)
il y a 10 jours, et chez qui le bilan a trouvé une sténose athéromateuse de la carotide interne gauche à 80%
?
A - Endartériectomie :
B - Thrombolyse intraveineuse
C - Héparine de bas poids moléculaire (HBPM)
D - Antivitamine K (AVK)
E - Anticoagulants oraux directs (AOD)
Cas clinique 1:
26.Vous recevez aux urgences un patient de 67 ans, hypertendu depuis 10 ans, ayant présenté une
hémiplégie droite avec aphasie depuis 24 heures. Sa Tension Artérielle est à 200/100. Le scanner montre
un AVC ischémique sylvien gauche. L'ECG est sinusal. La glycémie est à 2,4 g/l. Sa température est à
38°C. Quelle est votre conduite à tenir ?
A-Envisager une thrombolyse intraveineuse
B - Respecter l'élévation de la glycémie
C - instaurer une insulinothérapie par.voie veineuse
D-Instaurer un traitement antihypertenseur par voie veineuse
E-respecter l'élévation de la température
Cas clinique 2:
27.Vous recevez aux urgences à 10 heures du matin, un patient de 77 ans ayant présenté une hémiplégie
droite avec aphasie depuis 9 heures du matin. Sa Tension Artérielle est à 170/90. Le scanner ne montre
pas d'hémorragie cérébrale. L'ECG est sinusal Quelle est votre conduite à tenir ?
A-Envisager une thrombolyse intraveineuse .
B - La thrombolyse intraveineuse est contre indiquée chez ce patient
C-Instaurer une anticoagulation curative
D-Instaurer un traitement antihypertenseur par voie veineuse.
E-Instaurer une corticothérapie à forte dose

2. Les Thromboses Veineuses Cérébrales ( 1 question )


1.Quelle est la circonstance favorisante la plus fréquente des thromboses veineuses cérébrales chez la
femme au Maroc?
A.La contraception orale
B - La grossesse gémellaire
C-Le tabagisme
D-L'anémie
E.Le post partum

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3. Les céphalées ( 10 questions )
1. Repérer les signes évocateurs d’une céphalée secondaire:
A. Caractère pulsatile.
B. Présence d’une baisse de l'acuité visuelle.
C. Diplopie.
D. Déficit neurologique.
E. Age jeune du patient.
2.Déterminer les signes? (drapeaux rouges) en faveur d’une céphalée secondaire .
A.Diplopie.
B. Baisse de l’acuité visuelle.
C. Siège hémi-crânien.
D.Caractère pulsatile.
E Déficit neurologique associé.
3.La céphalée secondaire:
A. Peut se manifester par une douleur persistante non calmée par les antalgiques habituels.
B. Peut se manifester par une douleur brutale en coup de tonnerre.
C. est urgence diagnostique.
D. La céphalée de tension est une céphalée secondaire.
E. Les étiologies sont diverses : hémorragie, tumeur, méningite...
4.L'HTIC idiopathique:
A.Prédominance masculine.
B.L’obésité est l’un des facteurs de risque de la maladie.
C.Le tableau clinique est celui d’une hypertension intracrânienne.
D.L’imagerie cérébrale avec angiographie veineuse est normale.
E.La ponction lombaire n’est pas obligatoire.
F.Touche essentiellement le sujet âgé
G.Peut donner des éclipses visuelles
H.Peut mettre en jeu le pronostic visuel
I. L'imagerie est indispensable avant la ponction lombaire
5.Parmi les signes de la migraine.
A.Des nausées et vomissements
B.Une hémicrânie pulsatile à bascule
C.Une aura visuelle avec des images colorées.
D.Aggravation de la céphalée à l’effort.
E.Un larmoiement.
6.Repérer les signes évocateurs d’une migraine:
A.Caractère pulsatile
B.Présence d’une baisse de l’acuité visuelle
C.Diplopie
D.Caractère hémicranien à bascule
E.Evolution par acces de quelques heures (<72h)
7.La migraine.
A. est une céphalée secondaire.
B. La crise dure de 4 heures à trois jours
C.La forme migraine avec aura est la plus fréquente .
D.Les anti-inflammatoires font partie du traitement de la crise.
E.Les bêta-bloquants font partie du traitement de fond.
F. est une céphalée primaire fréquente dans la population générale.
G. La crise dure habituellement plus d’une semaine.

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H. La migraine sans aura est la forme la plus fréquente.
I Le traitement de la crise repose sur le paracétamol et les anti-inflammatoires non stéroïdiens en première
intention.
J. Le traitement de fond repose sur les antiagrégants plaquettaires.
K. Peut être avec ou sans aura
L. La douleur persiste plus de 72 heures
M. C’est une douleur intense qui peut être handicapante.
N. L’IRM cérébrale est systématique.
O. Parmi les traitements d’accès : Paracétamol, AINS et triptans.
8.La migraine avec aura:
A.Est une maladie génétique;
B.L'aura visuelle est la plus fréquente.
C..Les lignes brillantes en zig-zag correspondent à la dépression corticale;
D.Le scotome grandissant correspond au front d'hyperexcitation.
E Les triptans doivent être administrés au début de l'aura.
9. Les Céphalées de tension
A.Sont soit épisodiques, soit chroniques
B.Comportent des douleurs cervicales postérieures
C.C’est une douleur intense sévère avec des nausées et des vomissements.
D.Le paracétamol au long cours est indiqué.
E.L’amitriptyline est un traitement de fond qui donne de bons résultats.
F. Sont des douleurs légères à modérées
G. Doivent être explorées systématiquement par IRM cérébrale
H.Des troubles anxieux dépressifs peuvent y être associés
10.Une Céphalée en coup de tonnerre
A.Doit faire évoquer une hémorragie méningée.
B.C’est une urgence extrême.
C.Le scanner cérébral montre toujours une hémorragie méningée. {
D.La PL dans l’hémorragie méningée montre, à l’étude des trois tubes, du sang coagulable.
E.Un traitement antalgique est indiqué

4. Les Démences ( 7 questions )


1.La démence d’Alzheimer
A. Sa prévalence est en cours d’augmentation.
B. Est une dégénérescence neurofibrillaire avec accumulation de plaques amyloïdes
C. Démarre souvent par des troubles du comportement.
D. Elle évolue vers des troubles du langage, des habiletés motrices et de reconnaissance de l’entourage et
de l'environnement.
E. La maladie évolue lentement vers une atrophie cérébrale diffuse sur plusieurs années
F. Représente le type de démence le plus rare.
G. Démarre souvent par des troubles de mémoire.
H. est une pathologie infectieuse.
I. Sa prévalence est en cours de diminution.
J. Démarre souvent par des troubles de mémoire des faits récents.
K. C’est la démence la plus fréquente.
L. Les tests MMS et MOCA ont un intérêt dans le dépistage de la maladie.
M. Le syndrome cérébelleux est fréquent au début de la maladie.
N. Le traitement est essentiellement symptomatique : pas de traitement qui guérit définitivement la maladie.
O. est secondaire à des lésions ischémiques.

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P.la maladie évolue lentement vers une atrophie cérébrale diffuse
Q.L’etude du LCR est obligatoire pour poser le diagnostic de la maladie
R.Le donépézil fait disparaître les plaques amyloïdes
S.Démarre par des troubles de mémoire de faits récents
T. Elle évolue vers des troubles du langage, des habiletés motrices et de reconnaissance de l’entourage et
de l’environnement
U. Représente le type de démence le plus fréquent.
V.Les corticoïdes et les antidépresseurs tricycliques sont fortement conseillés
2. Identifier les médicaments déconseillés dans la maladie d’Alzheimer :
A. Le Donépézil
B. La Mémantine.
C. Les antidépresseurs iriuyuliqiic
D. Les corticoïdes.
E.Les neuroleptiques classiques
3.Le bilan de première intention devant un syndrome démentiel comporte
A. Une imagerie cérébrale.
B. Anticorps antiphospholipides.
C. Vitamine. B12.
D. TSH.
E. TPHA-VDRL
4. Parmi ces examens, lesquels font partie du bilan de première intention de démence secondaire
A.NFS; CRP, ionogramme, TP-INR, transaminases.
B.Vitamine B12.
C.TPHA-VDRL
D.Anticorps anti-GM1.
E.TSH us
5.La démence
A. se définit par une altération globale et durable des fonctions cognitives.
B. L’aphasie de Broca est un exemple de démence.
C. La démence d’Alzheimer est une démence vasculaire.
D. La démence d’Alzheimer est une maladie de plus en plus rare.
E. Un hématome sous durai peut entraîner un syndrome démentiel.
6.Le syndrome démentiel
A.Est synonyme de syndrome confusionnel.
B.Englobe des troubles cognitifs durables.
C.Peut englober des troubles de l’humeur.
D.Peut engendrer des troubles du comportement.
E.Peut se compliquer de troubles du sommeil.
7. Le syndrome démentiel peut être dû à:
A.Une tumeur cérébrale.
B.Un hématome sous durai chronique.
C.Des accidents vasculaires cérébraux multiples.
D.Des céphalées de tension.
E.Hydrocéphalie chronique de l’adulte.

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5. Les épilepsies généralisées ( 15 questions )
1.Nous classons l'épilepsie selon les axes suivants :
A. Age
B. Sexe.
C. idiopathique/non idiopathique.
D. Réponse au traitement.
E. Focale/généralisée.
2.L’épilepsie myoclonique juvénile
A. Est une épilepsie partielle secondaire.
B. Prédomine chez le sexe masculin.
C. comporte des myoclonies matinales des membres supérieurs.
D Comporte des crises tonico-cloniques généralisées.
E. Le valproate de sodium est contre-indiquée chez une femme délirant une grossesse.
F.Est une épilepsie généralisée idiopathique
G- Prédomine chez la fille en péri puberté
H- Le valproate de sodium est conseillé à une femme désirant une grossesse
3.Patient de 25 ans consultant pour une épilepsie myoclonique juvénile. Lequel des traitements suivants
est le plus tératogène ?
A. Valproate de sodium.
B. Phénobarbital.
C. Clobazam.
D. Levetiracetam.
E. Lamotrigine
4.Lequel des traitements suivants est le plus tératogène ?
A. Lamotrigine.
B. Phénobarbital.
C. Clobazam.
D. Levetiracetam.
E. Valproate de sodium.
5.Une épilepsie absence de l’enfant:
A. Est un syndrome épileptique focal,
B. Les crises peuvent atteindre 100/j et plus.
C. Perturbe l’apprentissage et la scolarité
D. L’EEG est caractéristique.
E. L’évolution est favorable sous traitement.
F. Est un syndrome épileptique généralisé.
G. Comporte des crises temporales.
H. Est un syndrome âge-dépendant
I. L’EEG n’a aucun intérêt dans le diagnostic positif.
J. Le traitement se base sur la carbamazépine.
K.Les difficultés ou échecs scolaires peuvent révéler la maladie.
L.Les crises sont très espacées sur plusieurs semaines.
M.Le diagnostic repose sur la clinique et l’EEG.
N.L’EEG montre des décharges généralisées de pointe-ondes à 3 Hz.
O. est une épilepsie partielle.
P. L’échec scolaire ou difficultés d’apprentissage sont des motifs fréquents de consultation.
Q. Elle se manifeste par des crises généralisées tonico-cloniques.
R. Elle se manifeste par des suspensions de la conscience de durée brève, très fréquentes au cours de la
journée.

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S. Le pronostic est favorable sans traitement anti-épileptique adéquat.
6.Un syndrome de Lennox Gastaud :
A.Est classée comme épilepsie généralisée
B.Débute dans la première année de vie.
C.Associe des crises toniques, des absences atypiques, des crises atoniques et d’autres types de crises.
D. L'EEG montre une hypsarythmie
E. Entraîne un trouble de développement.
7.Choisir les types de crises rencontrées dans le syndrome de Lennox Gastam :
A.Crises tonico-cloniques généralisées.
B.Crises toniques.
C.Crises atoniques.
D.Crises absences atypiques.
E.Crises focales.
8.Le syndrome de West
A.S’installe fréquemment chez les enfants à partir de 2 ans.
B.Comporte des spasmes en flexion et/ou un extension et une hypsarythmie à l’EEG.
C.Un retard de développement
D.Son traitement se base sur le Vigabatrin
E.Son traitement se base sur le corticoïde
F.Débute entre 2 et 5 ans
G.Entraîne un trouble de développement
H.Comporte les spasmes en extension
I.Comporté des spasmes en flexion
J.L'EEG montre une hypsarythmie.
9. Les crises psychogènes. sont caractérisées par:
A.Un théâtralisme
B. Une durée brève des crises
C.Un opisthotonos.
D.Un évitement du regard lors de l'examen
E.Le traitement repose essentiellement sur la psychothérapie.
10. Une crise psychogène non épileptique :
A. Est due à une lésion cérébrale
B. Peut se manifester par un opisthotonos
C. Peut comporter une perte d’urine ou se compliquer d’un traumatisme.
D. Peut se manifester par des clignements palpébraux avec évitement du regard.
E. Peut durer plusieurs dizaines de minutes.
F. Est secondaire à une décharge épileptique.
G. Est un diagnostic différentiel fréquent de l’épilepsie.
H. Nécessite une prise en charge psychologique.
I. Le « Lasilix * » est un traitement recommandé des crises psychogènes.
J. La vidéo-EEG peut être nécessaire pour le diagnostic de certitude.
K. L'opisthotonos est très évocateur des crises psychogènes.
L. Il faut banaliser les crises psychogènes
M. La crise peut durer plus de 30 minutes
11. Parmi ces propositions, désigner les épilepsies idiopathiques:
A. Epilepsie absence de l’enfant.
B. Épilepsie vasculaire.
C. Épilepsie myoclonique juvénile.
D. Épilepsie, grand mal du réveil.
E. Épilepsie post-traumatique.

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Cas clinique 1:
12.Patient de 65 ans de haut niveau socio-économique, ayant un ATCD de traumatisme crânien avec perte
de conscience il y a un an, admis pour une crise généralisée tonico-clonique. Lequel des traitements
suivants vous choisirez en première intention ?
A. Valproate de sodium.
B. Phénobarbital.
C. Clobazam.
D. Levetiracetam (Keppra*).
E. Rien.
Cas clinique 2:
13.Patient de 70 ans, sans antécédent notable ayant présenté deux crises tonico-cIoniques généralisées
espacées de 3 mois, vous décidez de démarrer le traitement antiépileptique : quels sont les médicaments
indiqués chez ce patient :
A-Amitriptyline (Laroxyl*).
B-Lévétiracétam (Keppra*).
C-Valproate de sodium.
Patient 18 ans ayant présenté 2 crises tonico cloniques gén
D-Diazépam.
E-Phénobarbital (Gardénal*).
Cas clinique 3:
14.Vous assistez aux urgences à une crise tonico-clonique généralisée ayant démarré il y a 10 min chez
une patiente de 40 ans :
A. Je lui fais un massage cardiaque.
B. Je retiens le diagnostic de l’état de mal épileptique et j’administre une benzodiazépine.
C. Je lui prends le dextro.
D. Je veille à la stabilité respiratoire et hémodynamique.
E. Je démarre par la suite l’enquête étiologique
Cas clinique 4:
15.Patient 18 ans ayant présenté 2 crises tonico cloniques généralisés espacés de 15 jours avec
antécédent de myoclonies depuis 1 an
A.j’evoque en premier lieu une épilepsie myoclonique juvenile
B.C’est une épilepsie focale
C.Je demande un EEG
D.Je la traite avec Lévétiracétam (Keppra*) ou lamotrigine
E.Je conseille une bonne hygiene de sommeil et une activité physique

6. Les épilepsies focales ( 4 questions )


1.Parmi les signes de l’épilepsie temporale mésiale :
A. Attaque de panique sans facteur déclenchant.
B. Sensations de déjà-vu, déjà-vécu.
C. Perte du contact.
D. Fixité du regard.
E. Opisthotonos.
F. Crises psychogènes
2.Parmi les signes de l’épilepsie temporale,on trouve
A. Angoisse,peur,palpitations
B. Sensations de déjà-vu, déjà-vécu.
C. Fixité et plafonnement du regard
D. Automatisme bimanuels

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E. Pédalage
3. Épilepsie mésio-temporale :
A.Comporte une gêne épigastrique ascendante.
B.Comporte des sensations de déjà-vu et déjà vécu.
C.Comporte des sensations de peur, d’angoisse et des palpitations.
D.Le traitement est essentiellement chirurgical.
E.Une tumeur peut être à l’origine de cette épilepsie
4.L’épilepsie à pointes centro-temporales
A. Est une épilepsie focale idiopathique
B. Les crises sont souvent diurnes.
C. Se manifeste par un arrêt de la parole avec hypersalivation et clonies de l’hémiface.
D. L’EEG montre des pointes occipitales.
E. L’abstention au traitement est la première option thérapeutique.

7. La Myasthénie ( 13 questions )
1. La myasthénie généralisée:
A. Est une maladie neurodégénérative
B. Est liée à une anomalie de la jonction neuromusculaire.
C. La plus fréquente des syndromes myasthéniques.
D. Peut s’accompagner d'un thymome.
E. S’accompagne d’une abolition des réflexes
2.Dans la myasthénie généralisée, un retrouve :
A- Des réflexes ostéo tendineux abolis
B- Des troubles de la sensibilité profonde
C- Des fasciculations
D- Des troubles de déglutition
E- Une atteinte oculomotrice
3.Parmi les éléments suivants, lequel impose la remise en question du diagnostic d’une myasthénie?
A. Des anticorps anti récepteur de l'acétylcholine négatifs
B. Un test à la prostigmine négatif
C. Une fatigabilité anormale à l’effort
D. Une présence d'un décrément à l’EMG de stimulation
E. Une présence des troubles sphinctériens
4. La myasthénie:
A.Est une maladie auto-immune
B.Les réflexes ostéo-tendineux sont présents.
C.Elle est liée à une anomalie de la jonction neuromusculaire.
D.La plus fréquente des syndromes myasthéniques.
E.S’accompagne toujours d’une tumeur thymique.
5.Dans une myasthénie:
A.Les anticorps anti récepteur de l’acétylcholine peuvent être négatifs
B.Les anticorps anti MuSK peuvent être positifs “
C.Un test à la prostigmine peut être négatif
D.Les anticorps anti muscles strié sont rarement positifs dans les cas comportant un thymome
E.Un .scanner thoracique est réalisé systématiquement
F. L’aggravation des symptômes à l’effort est évocatrice

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6. A propos de la myasthénie auto-immune, quelle est (quelles sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
A. Les réflexes ostéo-tendineux sont abolis.
B. Le ptosis, quand il existe, est bilatéral et symétrique
C. Elle est liée à une anomalie de la jonction neuromusculaire.
D. Peut être aggravée par les benzodiazépines.
E. S’accompagne toujours d'une tumeur thymique.
F. Les fasciculations et les crampes sont fréquentes
G. L'atteinte oculomotrice est rare
H.Électroneuromyogramme (ENMG) peut être normal
I.L'atteinte respiratoire est une indication à prescrire les immunoglobulines intraveineuses
7. Quels sont les éléments cliniques en faveur d'une crise myasthénique ?
A. Les fasciculations
B. L'hypersalivation
C. Les troubles respiratoires
D. La bradycardie
E. Les troubles de déglutition
8. En cas de crise myasthénique il faut :
A- Chercher une infection
B- Hospitalisé le patient au service de réanimation
C-Prescrire des corticoïdes
D-Surveiller l'état respiratoire
E- Vérifier l’observance thérapeutique
9.Chez un myasthénique, une détresse respiratoire peut ctre provoquée par:
A. Une mauvaise observance thérapeutique
B. Une prise des immunosuppresseurs
C. Une anesthésie avec usage de curarisant
D. Une surinfection respiratoire
E. Un excès en anticholinestérasiques
10.Un patient de 50 ans consulte pour un trouble de la déglutition à type de fausses routes.
Parmi ces propositions, quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers une Myasthénie ?,
A.La fluctuation des symptômes dans la journée
B-l'amélioration à l’effort
C- L'existence de fasciculations
D-l’existence de troubles sensitifs
E-.l’existence de troubles oculomoteurs
11.Un patient de 63 ans, qui se plaint de troubles de la déglutition depuis 3 mois.
Quels sont les éléments cliniques qui orientent vers une myasthénie
A-Une Amyotrophie des 2 mains.
B - Des fasciculations
C - Une fluctuation des symptômes dans la journée.
D - L'existence de troubles oculomoteurs
E-L'existence de troubles sensitifs
12.Une patiente de 43 ans consulte pour un trouble de la déglutition à type de fausses routes.
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) peuvent contribuer au diagnostic positif de Myasthénie généralisée
auto-immune.
A- Electroneuromyographie (ENMG)
B-Electroencéphalographie (EEG)
C- IRM cérébrale
D-Anticorps antirécepteurs à l'acétylcholine
E- Biopsie musculaire

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F- Ponction lombaire
13. Dans le syndrome de Lambert Eaton:
A. On observe un syndrome myasthénique
B. La recherche d’une néoplasie est systématique
C. Les réflexes ostéo-tendineux sont souvent abolis.
D. L’ENMG fait le diagnostic
E. Est lié à une ingestion d’aliments avariés
F.Est un syndrome myasthénique
G.Le déficit moteur touche les membres supérieurs et les membres inférieurs
H.Est lié à une ingestion de conserves

8. La Sclérose Latérale Amyotrophique ( 8 questions )


1.Dans une Sclérose latérale amyotrophique on retrouve:
A. Des troubles sensitifs à l’examen clinique
B. Des autoanticorps spécifiques à la Sclérose latérale amyotrophique
C. Une atrophie musculaire progressive
D. Des fasciculations et des crampes
E. Des mouvements anormaux
2.Dans une Sclérose latérale amyotrophique on retrouve à l'examen clinique:
A.Des troubles sensitifs
B.Un syndrome cérébelleux
C.Une atrophie musculaire progressive
D.Des fasciculations et des crampes
E.Un déficit moteur
3.Quels sont les éléments cliniques en faveur d'une sclérose latérale amyotrophique ?
A. la présence des troubles sensitifs
B. Des réflexes ostéo-tendineux abolis
C. La présence des crampes et des fasciculations
D. La fluctuation des symptômes cliniques
E. La présence d'une amyotrophie
F-L'absence des troubles sensitifs
4.La sclérose latérale amyotrophique peut se manifester par
A-Des troubles sensitifs progressifs
B-des troubles oculomoteurs fluctuants
C- Un syndrome bulbaire et pseudobulbaire
D-Des fasciculations
E-Une évolution par poussées rémissions
5.Quel est l’examen complémentaire dont les résultats peuvent donner des arguments
positifs pour le diagnostic positif de Sclérose latérale amyotrophique
A. Ponction lombaire
B. Scanner thoracique
C. IRM du rachis
D. Électroneuromyogramme
E. Examen du champ visuel
F. IRM cérébrale
6.Dans la sclérose latérale amyotrophique:
A. L'atteinte pseudobulbaire est classique
B. La présence d'une amyotrophie est rare
C. La présence des fasciculations de la langue témoigne de l’atteinte bulbaire

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D.Le tableau clinique est moteur pure
E.L'électroneuromyogramme (ENMG) est indispensable pour le diagnostif
Cas clinique 1:
7.Un patient de 50 ans consulte pour un trouble de la déglutition à type de fausses routes. Parmi ces
propositions, quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers une Sclérose latérale
amyotrophique ?
A - La fluctuation des symptômes dans la journée
B - l’amélioration à l’effort
C - L’existence de fasciculations
D- L’absence de troubles sensitifs
E - l’existence d’une amyotrophie des 2 mains
B - Une paralysie de la langue
C - L'aggravation des symptômes à l’effort
Cas clinique 2:
8.Un patient de 51 ans, qui se plaint de maladresse inhabituelle des 2 mains depuis 6 mois. L'examen
neurologique trouve une amyotrophie des 2 mains et des réflexes vifs aux 4 membres. Vous pensez à une
sclérose latérale amyotrophique, quels sont les éléments cliniques qui ne doivent pas être retrouvés chez
ce patient ?
A- Des troubles sphinctériens.
B - Des fasciculations.
C - Un syndrome pyramidal.
D-L'existence de troubles oculomoteurs
E-L'existence de troubles sensitifs

9. La Maladie de Parkinson ( 7 questions )


1.Le tremblement dans la maladie de Parkinson :
A. Est présent au repos
B. Est un critère obligatoire pour retenir la maladie de parkinson
C. Est aggravé par la marche
D. Est aggravé par le calcul mental
E. Est accentué au fur et à mesure de l’étirement
2.Dans la maladie de Parkinson:
A. L'instabilité posturale est un drapeau rouge si elle est précoce
B. Le tremblement est un critère obligatoire pour retenir le diagnostic de la maladie de parkinson
C. La rigidité est aggravée par la manoeuvre de froment
D. La rigidité est aggravée par le calcul mental
E. Les signes dysautonomiques sont précoces
Cas clinique 1:
3.Un patient de 55 ans consulte pour un trouble de la marche. Parmi ces propositions,quels sont les
éléments anamnestiques, cliniques et paracliniques qui peuvent orienter vers une maladie de Parkinson ?
A.existence d’un syndrome pyramidal
B.Une marche à petit pas
C.début unilatéral des symptômes
D.Une diminution de la mimique au niveau du visage
E. Un tremblement d’action des membres supérieurs.

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Cas clinique 2:
4.Un patient de 56 ans consulte pour un ralentissement à la marche depuis 6 mois. L’examen trouve une
rigidité et une akinésie. Parmi ces propositions, quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers
une maladie de Parkinson idiopathique?
A - Le caractère asymétrique des symptômes
B - L’association à un tremblement de repos
C - L’existence d’un tremblement d’action
D - L’existence d’une démence associée
E - L’existence d’un syndrome cérébelleux
Cas clinique 3:
5.Un patient de 56 ans consulte pour un ralentissement à la marche depuis 6 mois .L’examen trouve une
rigidité et une akinésie. Parmi ces propositions ,quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers
une maladie Parkinson idiopathique ?
A - Le caractère d’emblée bilatéral et symétrique.
C - L’existence de fasciculations
D - L’existence de troubles cognitifs
E - L’existence d’un syndrome pyramidal
Cas clinique 4:
6.Un patient de 65 ans qui consulte pour un tremblement de repos unilatéral depuis 1
année. L’interrogatoire trouve une notion d’anosmie et la notion de vertige, chez qui l’examen trouve un
syndrome parkinsonien associé à une rigidité plus marquée à l’hémicorps droit avec akinésie, la Tension
artérielle est à 90 mmHg/60 mmHg.Il est sous traitement par L-Dopa (Madopar*) depuis 6 mois, ce qui a
entrainé une nette amélioration. Quels sont les éléments en faveur d’une maladie de Parkinson ?
A - Le caractère asymétrique
B - La bonne réponse au traitement par la L-Dopa
C - La notion d’anosmie à l’interrogatoire
D - La notion de chute tensionnelle
E - La notion de vertige
Cas clinique 5:
7.Un patient de 62 ans qui consulte pour un ralentissement à la marche depuis 6 années.
L’interrogatoire trouve une notion de chute à la marche à plusieurs reprises. L’examen trouve un
syndrome parkinsonien bilatéral et symétrique associé à un syndrome cérébelleux. Il existe également une
hypotension orthostatique (Tension artérielle est à 120 mmHg/70 mmHg couché et qui passe à
80 mmHg/50 mmHg debout). Le traitement par L-Dopa (Madopar*) depuis 6 mois, n’a entraîné aucune
amélioration. Quels sont les éléments contre une maladie de Parkinson ?
A.L’absence de tremblement
B.L'absence de réponse au traitement par la L-Dopa
C- La notion de chute à l’interrogatoire
D - L’existence d’un syndrome cérébelleux
E - La notion d’hypotension orthostatique précoce.

10. Sclérose en plaques ( 14 questions )


1.La sclérose en plaque
A-Ne touche pas le nerf optique
B-Est diagnostiquée par l'IRM cérébrale
C-Évolue vers la mort en 4 à 12 mois
D. Peut évoluer par poussées rémission
E-Est une maladie inflammatoire du système nerveux central

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2.Vous suspectez une Sclérose en plaque chez un patient de 23 ans. Quels éléments paracliniques
peuvent aider au diagnostic positif?
A.étude du LCR
B.IRM cérébrale
C.Les potentiels évoqués visuels
D.Le scanner cérébral
E. électroneuromyographie
3.Une patiente de 30 ans consulte pour un trouble de la marche . Parmi ces propositions.Quels sont les
éléments anamnestiques , cliniques et paracliniques qui peuvent orienter vers une Sclérose en plaque
A-Existence d’un syndrome cérébelleux
B-Evolution par poussées rémission
C-Existence de multiples hypersignaux de la substance blanche à l’IRM cérébrale
D-Notion de névrite optique rétrobulbaire
E-Absence de troubles sensitifs
4.Un patient de 30 ans consulte pour un trouble de la marche.L’examen trouve un syndrome pyramidal et
cérébelleux .Parmi ces propositions quels sont les elements cliniques et paracliniques qui peuvent orienter
vers une sclérose en plaque
A.La notion de baisse de l’acuité visuelle avec douleur périorbitaire régressive en quelques jours
B.L'évolution par poussées rémissions
C.Une IRM cérébrale et médullaire normale
D.L’aggravation des symptômes lors de l’exposition au froid
E.L’existence d’une synthèse intrathécale d’immunoglobuline
F.L’existence d’un syndrome pyramidal
G- L'existence de multiples hypersignaux de la substance blanche à l'IRM cérébrale
H. L’aggravation des symptômes lors de l’exposition à la chaleur
I.L’existence d’une amyotrophie
J.La notion de baisse de l’acuité visuelle associé à des douleurs oculaires
K.L’existence de fasciculations
5.Un patient de 36 ans consulte pour une instabilité à la marche et une diplopie. L'examen
trouve un syndrome cérébelleux statique et cinétique. Parmi ces propositions, quels sont les éléments
cliniques qui peuvent orienter vers une Sclérose en plaque ?
A.L'existence d'une notion d'aphtose bipolaire
B.L'évolution par poussées rémissions
C. Des antécédents de baisse régressive de l'acuité visuelle associée à des douleurs oculaires
D.L'aggravation des symptômes lors de l'exposition au froid
E-L'existence d'une ophtalmoplégie internucléaire bilatérale
6.Une patiente de 33 ans, suivie pour sclérose en plaque depuis 2 ans, et qui présente depuis 3 jours, une
lourdeur très importante du membre inférieur gauche, rendant la marche impossible. Vous retenez une
poussée de sa maladie. Quel est votre conduite à tenir ?
A - Abstention thérapeutique et surveillance.
B-Bolus de corticoïde à forte dose.
C - Bolus de cyclophosphamide.
D-Prévention des complications de décubitus.
E-Scanner cérébral
7.Le traitement d’une poussée de sclérose en plaque consiste en :
A. une corticothérapie par voie orale à la dose de 1 mg/kg/jour
B. une antibiothérapie à large spectre systématique
C une corticothérapie par voie injectable à la dose de 1g/jour pendant 3 jours
D. un traitement par Cyclophosphamide
E. un traitement par les interférons

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8.Vous venez de diagnostiquer une 3ème poussée de Sclérose en plaques dans sa forme
rémittente chez une patiente de 32 ans qui pèse 60 kg. Vous décidez de prescrire un traitement de la
poussée.
Quelle sera votre prescription ?
A - Prednisone 60 mg /jour pendant 5 jours
B - Méthylprednisolone 1 g /jour pendant 5 jours
C - Prednisone 60mg /jour pendant 30 jours puis dégression progressive
D - Méthylprednisolone 1 mg /jour pendant 5 jours
E - Méthylprednisolone 1g /jour pendant 30 jours
9. Vous venez de diagnostiquer une 3ème poussée de Sclérose en plaques dans sa forme rémittente chez
une patiente de 32 ans qui pèse 60 kg. Après le traitement de la poussée vous décidez de
prescrire un traitement de fond. Quelles sont les possibilités et les choix thérapeutiques possibles ?
A - Traitement corticoïde au long cours
B - Traitement par perfusion mensuel de Natalizumab
C - Traitement immunomodulateur par interféron bêta
D - Traitement par Fingolimod
E - Traitement immunosuppresseur (cyclophosphamide)
B Traitement anticholinestérasique
D- Traitement par Immunoglobuline intraveineuse
D-Traitement par Acyclovir
10.Une patiente de 28 ans, présente une sclérose en plaque rémittente. Vous décidez d'instaurer un
traitement de fond ; quelles sont vos possibilités thérapeutiques ?
A-Azathioprine
B-Interferon beta
C-Methylprednisolone
D - Veino Globuline à forte doses
E - Echanges plasmatiques
Cas clinique 1:
11. Patiente de 35 ans consulte en MAI 2021 pour une diplopie binoculaire évoluant depuis 5 jours avec à
l’examen une ophtalmoplégie internucléaire droite. A l’interrogatoire, on trouve une notion de névrite
optique rétrobulbaire droite en JANVIER 2021 ayant régressée complètement après 15 jours d’évolution.
Quelle(s) sont les proposition(s) correcte(s) ?
A. Dans ce cas clinique, on a une dissémination temporelle pour évoquer une sclérose en plaque
B. Dans ce cas clinique, on a une dissémination spatiale pour évoquer une sclérose en plaque
C. Le scanner cérébral est l’examen radiologique clé pour confirmer le diagnostic positif de sclérose en
plaque
D. La forme clinique chez cette patiente est une forme rémittente récurrente
E. Un bolus de méthylprednisolone pourra améliorer la poussée actuelle.
Cas clinique 2:
12.Patiente de 23 ans consulte en Janvier 2021 pour une baisse de l’acuité visuelle droite évoluant depuis
5 jours avec une douleur périorbitaire. A l’interrogatoire, on trouve une notion de diplopie horizontale en
2010 ayant duré quelques jours :
A. Dans ce cas clinique, on a une dissémination temporelle pour évoquer une sclérose en plaque
B. Dans ce cas clinique, on n’a pas la dissémination spatiale pour évoquer une sclérose en plaque
C. L'IRM cérébrale est l’examen radiologique clé pour poser le diagnostic positif
D. La forme clinique chez cette patiente est une forme progressive
E. Le bolus de méthylprednisolone est un des traitements de fond à proposer chez cette patiente

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Cas clinique 3:
13.Patiente de 23 ans, consulte en Septembre 2021 pour une baisse de l’acuité visuelle droite évoluant
depuis 10 jours avec une douleur périorbitaire. A I’interrogatoire, on trouve une notion de diplopie
horizontale ayant duré quelques jours en MAI 2021 :
A. Dans ce cas clinique, on a une dissémination temporelle pour évoquer une sclérose en plaque
B. Dans ce cas clinique, on a la dissémination spatiale pour évoquer une sclérose en plaque
C. Le scanner cérébral est l’examen de première intention pour confirmer le diagnostic de sclérose en
plaque
D. La forme clinique chez cette patiente est une forme progressive
E. Le bolus de méthylprednisolone est un des traitements de fond à proposer chez cette patiente
Cas clinique 4:
14. Mme A.D âgée de 23 ans est suivie pour sclérose en plaques rémittente sous interférons depuis un an
avec une mauvaise observance thérapeutique. Elle consulte pour une baisse de l'acuité visuelle subaiguë
du et droit avec douleur périorbitaire. Quelle(s) sont le(s) proposition(s) correcte(s)
A. La patiente présente une poussée type névrite optique rétrobulbaire droite
B. La patiente présente une poussée type ophtalmoplégie internucléaire droite
C. La patiente présente une progression de la sclérose en plaque
D. Elle nécessite un traitement par corticoïde à forte dose en perfusion 1 gramme par jour pendant 3 jours
E Us traitement par corticoïde permettra de stabiliser la maladie au long cours

11. Polyradiculonévrite Aigüe ( 9 questions )


1.Concernant la polyradiculonévrite aiguë (PRN aiguë)
A. Elle peut survenir à tout âge
B. La phase d’extension des paralysies dure généralement plus de 4 semaines
C. Une infection antérieure précédant le tableau neurologique est rare
D. Les réflexes ostéo-tendineux ROT sont souvent abolis
E. On trouve une protéinorachie normale (< 0,6 g/l), et une cellularité anormale avec des GB >10 ?
F.Le déficit moteur prédomine en proximal et s’aggrave sur une durée de moins de 4 semaines.
G. Un steppage bilatéral est un signe majeur.
H.Les troubles sensitifs prédominent sur la sensibilité profonde.
I. L’atteinte des nerfs oculomoteurs est toujours absente.
J.La récupération se fait dans le même ordre que l’apparition du déficit moteur.
K. Le déficit moteur prédomine en distal.
L.Une diplégie faciale asymétrique peut apparaître au cours de l’évolution.
M.L’évolution se fait par poussées.
N.Une atteinte végétative est contre le diagnostic.
O. Le traitement se base sur une corticothérapie par voie orale.
P. La notion d’infection ou de vaccination précédant le tableau neurologique est fréquemment retrouvée
Q. Une étude normale du LCR est très évocatrice de PRN aiguë
R. Le déficit sensitivo-moteur est ascendant symétrique, s’installant en moins de 4 sem
S. L’atteinte des paires crâniennes est atypique dans l’évolution de la maladie
T. L’ENMG est toujours pathologique
2.Concernant le traitement de la polyradiculonévrite aiguë (PRN aiguë).
A La prise en charge doit se faire en milieu hospitalier
B. Les échanges plasmatiques constituent une alternative thérapeutique en cas d’échec ou de contre
indication aux immunoglobulines intraveineuses (IgiV)
C. La corticothérapie est un traitement efficace de la PRN aiguë
D. Le pronostic dépend de la précocité de diagnostic et de la prise en charge thérapeutique

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E. La prévention des complications de décubitus ne change pas le pronostic
3.Dans le traitement des Polyradiculonévrites aiguës:
A-La corticothérapie injectable constitue une alternative thérapeutique en cas d'échec des
immunoglobulines intraveineuses IgIV
B.Les échanges plasmatiques constituent un traitement efficace
C.Les complications de décubitus sont rares et ne nécessitent aucune prévention
D.Le pronostic dépend de la précocité de diagnostic et de la prise en charge therapeutique
E.La kinésithérapie motrice n’a pas de place.
4. En cas de polyradiculonévrite aiguë avec une tétraplégie flasque en phase d’aggravation, quels
traitements proposez-vous pour ce patient :
A- Des immunoglobulines en intraveineux.
B- Un traitement anticoagulant à dose préventive.
C- Une corticothérapie orale.
D- Un traitement par azathioprine.
E- Une kinésithérapie motrice.
5.Concernant la polyradiculonévrite chronique :
A- Le déficit moteur est à prédominance distale.
B- Le déficit moteur est à prédominance proximale.
C- Les troubles sphinctériens sont un signe pathognomonique de la polyradiculonévrite chronique.
D- Les troubles sensitifs prédominent aux membres supérieurs.
E- Les troubles dysautonomiques sont fréquents.
QR 1:
6.Décrire le tableau clinique de la PRN aiguë (syndrome de Guillain barré)
QR 2:
7.Définition et description clinique d'une polyradiculonévrite aiguë ?
Cas clinique 1:
8.Patient de 22 ans, qui a un antécédent de diarrhée il y a 3 semaines, et qui présente depuis
une semaine une tétraparésie ascendante avec diplégie faciale
A. Une phase d’extension moins de 4 semaines est atypique pour une polyradiculonévrite aiguë (PRNA)
B. Des réflexes ostéotendineux (ROT) présents et vifs sont en faveur d’une PRNA
C. Une dissociation albumino-cytologique dans le LCR définit par une cellularité normale et une
protéinorachie élevée est évocatrice de PRNA
D. La posologie thérapeutique totale des immunoglobulines intraveineuses (Iglv) est de 0,4g/kg/jour
pendant 5 jours
E. La corticothérapie injectable est une alternative thérapeutique de la PRN aiguë en cas d’échec du
traitement par les immunoglobulines intraveineuses
Cas clinique 2:
9.Patient de 30 ans, qui a un antécédent d’infection ORL il y a 3 semaines, et qui présente depuis une
semaine une tétraparésie ascendante avec diplégie faciale.
A. Une phase d’extension moins de 4 semaines est atypique pour une polyradiculonévrite aiguë (PRNA)
B. Des réflexes ostéotendineux (ROT) présents et symétriques sont en faveur d’une PRNA
C. Une dissociation albumino-cytologique dans le LCR définit par une cellularité normale et une
protéinorachie élevée est en faveur de PRNA
D. La posologie thérapeutique totale des immunoglobulines intraveineuses (IglV) est de 0.4g/kg/jour
pendant 5 jours
E. La corticothérapie injectable est une alternative thérapeutique de la PRN aiguë en cas d’échec du
traitement par les immunoglobulines intraveineuses

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12. Les infections du système nerveux ( 13 questions )
1.Parmi les formules suivantes du LCR, laquelle est très évocatrice d'une méningite tuberculeuse
A. 135 GB/mm3, PNN : 90% Protéines : 2,3g/l ; Glucose : 0,10g/l ; Chlore : 95 mEq/l.
B. 135 GB/mm3, Lymphocytes : 90% ; Protéines : 0,3g/l; Glucose : 0,7g/l ; Chlore : 125 mEq/l.
C.135 GB/mm5, Lymphocytes : 90% ; Protéines : 2,3g/l ; Glucose :-0.1g/l ; Chlore : 95 mEq/l.
P 135 GB/mm3, Lymphocytes : 50%*; Protéines; : 2,3g/l ; Glucose : 0,16g/l ; Chlore : 125 mEq/L .
E. 135 GB/mm3, Lymphocytes : 90% ; Protéines : 0,6g/l ; Glucose : 0,6g/l ; Chlore : 125 mEq/L.
2.Citer les tests diagnostiques d'une tuberculose cérébro-méningée
A.Le quantiféron
B.Le GeneXpert
C La recherche de BK
D. La sérologie
E. L’histologie
3.Concernant les complications neurologiques du VIH :
A. Elles sont rares et ne surviennent que dans le stade SIDA
B. Elles sont toutes liées directement au VIH
C. Elles peuvent concerner l’ensemble du système nerveux
D. La toxoplasmose est une des complications neurologiques possibles
E. La méningite lymphocytaire avec hypoglycorachie et hyperprotéinorachie chez un patient VIH(+) doit
faire évoquer une méningite tuberculeuse ou une méningite à cryptocoque
4. les complications neurologiques centrales au cours d une Infection par le virus humaine de
l’immunodéficience (HIV) sont
A- La toxoplasmose
B- Les Accidents vasculaires cérébraux (AVC)
C- La Leucoencéphalite multifocale progressive (LEMP)
D- Le Lymphome primitif du système nerveux central
E- Les myélopathies subaiguës ou chroniques
5.Quels sont les diagnostics à évoquer devant une méningite lymphocytaire hypoglycorachique
hyperprotéinorachie chez patient HIV + :
A- Une méningite tuberculeuse.
B- Une méningite à pneumocoque.
C- Une méningite à cryptocoque.
D- Une méningite herpétique.
E- Une méningite à méningocoque.
6.Devant un déficit neurologique central local chez un patient immunodéprimé par
VIH avec un taux CD4< 200 Éléments/mm3. Quel(s) sont les diagnostics à évoquer :
A. Toxoplasmose cérébrale
B. Méningite à cryptocoque
C. Lymphome cérébrale
D. Leucoencéphalite multifocale progressive (LEMP)
E. Polyneuropathie sensitive distale
7.Un patient jeune porteur d’une infection par le virus de l'immunodéficience humaine (HIV) qui présente
des céphalées depuis 1 mois compliquée d’une hémiplégie droite, quels sont les diagnostics à évoquer
chez ce patient:
A- Une toxoplasmose cérébrale.
B- Des tuberculomes cérébraux.
C- Un accident vasculaire cérébral ischémique.
D- Un lymphome primitif du système nerveux central.
E- Encéphalite à VIH

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8.Les éléments en faveur du caractère inflammatoire d'une myélopathie sont :
A La prise de contraste au niveau de la lésion
B. Une hypercellularité dans lé LCR
C Une élévation de l'index IgG dans le LCR.
D Une CRP élevée.
E.Une hyperprotéinorachie.
9. La myélopathie transverse aiguë:
A- Donne un tableau de paraplégie flasque aiguë ascendante
B- Donne une anesthésie complète à tous les modes de topographie sous lésionnel!
C- Donne des troubles sphinctériens
D-donne une diplégie-faciale
E - Donne des troubles de conscience
10.Un patient présentant une myélite partielle caractérisée sur IRM par une surface ?? en coupe
transversale et une hauteur d'une vertèbre avec un index IgG élevé à l'étude du LCR, est en faveur de
A. Une maladie de Dévic
B. Une maladie de Biermer.
C.Une sclérose en plaques.
D. Une malformation artérioveineuse.
E Aucune de ces propositions.
Cas clinique 1:
Patient 50 ans, qui accuse des céphalées depuis 5 jours puis il a fait des crises épileptiques dans un
contexte fébrile. Le scanner cérébral sans injection est normal. L’étude du LCR : 250 GB/mm3 dont 75 %
lymphocytaires ; 40 GR/mm3 ; Protéinorachie : 0,9 g/l ; Glycorachie 0,8g/l ; Chlorurachie 122 mmol/L. La
glycémie capillaire au moment de la ponction lombaire est à 1,02 g/L
11.Quel est le diagnostic le plus probable ?
A. Méningite virale
B. Méningo-encéphalite herpétique
C. Méningo-encéphalite tuberculeuse
D. Méningo-encéphalite bactérienne
E. Méningo-encéphalite syphilitique
12.Le traitement a démarré en urgence ?
A. Aciclovir 10-15 mg/kg/8h cures en intraveineux pendant 15 jours
B. ERIPK4 avec une corticothérapie
C. Pénicilline G 20 M/jour pendant 14 jours
D. C3G 100 mg/kg/jour en intraveineux pendant 15 jours
E. C3G 100 mg/kg/jour en intraveineux pendant 15 jours avec la dexaméthasone
Cas clinique 2:
13.Patiente de 47 ans, admise pour une confusion fébrile évoluant depuis 4 jours avec notion de crises
épileptiques. Le scanner cérébral (sans injection de produit de contraste) a montré une hypodensité
temporale gauche. L'étude du LCR a révélé une méningite lymphocytaire avec une discrète
hyperprotéinorachie. La PCR de l'herpès dans le LCR est en cours. Quelle(s) sont le(s) proposition(s)
correcte(s)
A.Une PCR de l'herpès négative éliminer le diagnostic d'une méningoencéphalite herpétique
B On démarre un traitement antiviral sans attendre les résultats de la PCR de l'herpès
C.Un EEG est obligatoire avant de démarrer un traitement antiviral
D.Le traitement repose sur l'Aciclovir par voie orale à dose 10 & 15 mg/kg/jour pendant 14 à 21 jours

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E.Une PCR de l'herpès du contrôle est obligatoire avant d'arrêter le traitement antiviral

13. Les Myopathies ( 11 questions )


1.Concernant le syndrome myogène :
A- Le déficit moteur est bilatéral symétrique avec une prédominance distale
B- La marche est dandinante
C- Les rétractions tendineuses sont rares
D- L'amyotrophie des muscles est présente et va de pair avec le déficit moteur
E- Les fasciculations sont fréquentes
F- Le déficit moteur est bilatéral, symétrique avec une prédominance proximale.
G- La marche se fait avec steppage.
H- Les rétractions tendineuses sont fréquentes.
I- Les réflexes ostéo-tendineux sont abolis.
J- L'Électroneuromyogramme montre un tracé pauvre et ample.
2.Une myopathie facio-scapulo-humérale :
A- Est une myopathie à transmission autosomique récessive.
B- Est une myopathie à transmission autosomique dominante
C- Donne une atteinte faciale précoce.
D- Est une myopathie qui débute à un âge tardif après 40 ans.
E- Se manifeste par un déficit moteur qui prédomine sur la ceinture pelvienne.
3.La dystrophie musculaire de Duchenne :
A- Est une myopathie à transmission récessive liée à l’X.
B- Est une myopathie à transmission autosomique dominante.
C- Donne un déficit moteur qui prédomine sur les loges antéro-externes des jambes aux membres
inférieurs.
D- Donne un déficit moteur qui prédomine sur la ceinture scapulo humérale aux membres supérieurs.
E- Donne une atteinte fréquente de la musculature de la face.
F- L’âge du début est tardif.
G- Se caractérise par un phénomène d’anticipation.
H- Les femmes sont conductrices.
I- L’atteinte vélo-pharyngée est absente.
J- L’atteinte cognitive est absente.
4.La myopathie de Duchenne de Boulogne :
A- Est de transmission récessive liée à l'X
B- Est liée à une répétition du triplet nucléotidique
C- Touche principalement le sexe féminin
D- S'accompagne de myotonie
E- Donne une atteinte cognitive fréquente
E- Donne une atteinte cardiaque.
5.Concernant la dystrophie myotonique de Steinert
A- La transmission est autosomique dominante
B- La myotonie est un signe de la maladie
C- Une atteinte de la musculature distale des membres est présente
D- Une cataracte postérieure est contre le Diagnostic
E- Une canitie précoce est possible
6.Concernant la dermatomyosite :
A- C’est une myopathie à transmission autosomique dominante.
B- Le déficit moteur prédomine sur les muscles proximaux.
C- L’atteinte dermatologique est absente.

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D- L’atteinte cardiaque est possible au cours de l’évolution.
E- La myotonie est un signe constant de la maladie.
7. Concernant la Myopathie de Becker :
A- La myopathie est d’origine auto-immune.
B- Le déficit en dystrophine est incomplet.
C- La perte de la marche est précoce avant l’âge de 10 ans.
D- Une pseudo-hypertrophie des mollets est un signe clinique contre le diagnostic.
E- Le traitement repose sur une corticothérapie orale.
F- La myopathie est secondaire à un déficit incomplet en dystrophie
G- L'évolution est lente
H- Les fasciculations sont lentes
I- Une atteinte des muscles faciaux est fréquente
J- L'ENMG montre un tracé riche et microvolté
8.Concernant la paralysie périodique familiale hyperkaliémique :
A- La transmission est autosomique récessive.
B- Le déficit moteur débute par la musculature distale.
C- La myotonie est un symptôme principal de la maladie.
D- L'atteinte cognitive est présente au cours de l'évolution.
E- Le traitement de la crise repose sur la supplémentation en potassium.
F- Est de transmission autosomique dominante
G- Est secondaire à une mutation du gène du canal sodique
H- Est déclenché par un repas riche en glucides
I- Se manifeste par un aspect ferme et oedématié des muscles au moment des crises
J- S'accompagne d'une myotonie déclenchée par le froid .
9.La gamma sarcoglycanopathie
A- Constitue la forme la moins fréquente au Maghreb
B- Touche les deux sexes
C- Se manifeste par une atteinte des muscles de la ceinture pelvienne et scapulohumérale
D- Peut s'accompagner d'une insuffisance gonadique
E- Donne une atteinte fréquente des muscles faciau
10.Dans une myopathie :
A. Les ROT sont abolis
B. La sensibilité profonde est conservée
C. Les fasciculations sont présentes dans les formes sévères
D. Le dosage des CPK peut être normal
E. Une dysthyroïdie peut être une cause d’une myopathie
11.La dystrophie musculaire progressive:
A.La dystrophie musculaire de Duchenne de Boulogne est une myopathie à transmission autosomique
dominante.
B.La dystrophie musculaire de Steinert est une myopathie à transmission récessive liée à l'X
C.La dystrophie musculaire de Duchenne pourra donner une atteinte cardiaque
D.La dystrophie musculaire de Steinert pourra donner des troubles de rythme et de la conduction cardiaque
E.La présence d'un ptosis est un signe atypique dans la dystrophie musculaire de Steinert

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14. Les neuropathies ( 8 questions )
1.Une mononeuropathie multiple :
A- Est une atteinte diffuse et symétrique des racines et des nerfs touchant les membres et les nerfs
crâniens
B- Est une atteinte successive, asymétrique et asynchrone de plusieurs troncs nerveux.
C- Est une neuropathie précédée souvent par un épisode infectieux.
D- Est une complication poL-iole de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine.
E- Constitue une neuropathie fréquente au cours du déficit en vitamine B12.
2.Concernant la polyneuropathie :
A- C’est une atteinte successive, asymétrique et asynchrone de plusieurs troncs nerveux.
B- C’est une atteinte bilatérale et symétrique à prédominance distale.
C- Le déficit moteur dans les polyneuropathies prédomine en proximal.
D- Les troubles sensitives prédominent aux membres supérieurs
E- Le diabète est une étiologie fréquente d’une polyneuropathie sensitive d’installation et d’évolution
progressive
F- Est une atteinte diffuse du système nerveux périphérique à prédominance proximale.
G- se manifeste par une hypoesthésie gant et en .chaussette.
H- Donne seulement une hypoesthésie vibratoire aux membres inférieurs.
I- Donne exceptionnellement des crampes.
J- S'accompagne d'une aréflexie diffuse.
3. Face à un tableau de polyneuropathie. quel(s) est le bilan (s) à demander ?
A. Numération formule sanguine (NFS)
B. Sérologies des hépatites B et C cl HIV.
C. Dosage de Vitamine B12 et des folates
D. Glycémie à jeun et Hémoglobine glycosylée
E. Protéine C réactive (CRP)
4. Concernant la neuropathie diabétique :
A- La neuropathie est une complication peu fréquente du diabète.
B- La polyneuropathie sensitive est la forme la plus fréquente.
C- La mononeuropathie multiple est la forme la plus fréquente.
D- L'atteinte végétative est toujours absente.
E- Le traitement est une corticothérapie par voie orale.
5. La neuropathie au cours d'une infection par HIV:
A- Peut être d'origine médicamenteuse.
B- Peut être secondaire à un lymphome.
C- Ne donne jamais une atteinte radiculaire.
D- Peut se manifester par une tétraparésie flasque ascendante d'installation rapidement progressive.
E- Peut se manifester par une atteinte successive asymétrique et asynchrone de plusieurs troncs nerveux
6. Neuropathie héréditaire type CHARCOT-MARIE-TOOTH:CMT
A- Est une neuropathie sensitivomotrice.
B- Est toujours une neuropathie de transmission autosomique récessive.
C- Débute fréquemment chez un sujet adulte.
D- Est une neuropathie qui s’installe et s’aggrave de façon lentement progressive.
E- Donne une hypoesthésie sensitive constante et manifeste en gants et en chaussette.
F- La neuropathie débute à l’âge adulte.
G- Le déficit moteur prédomine en distal.
H- Cliniquement, les troubles sensitifs sont discrets et inconstants.
I- Les déformations squelettiques sont absentes.
J- Les pieds creux sont un signe clinique contre le diagnostic.

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K- Le déficit moteur prédomine en proximal.
L- Les troubles sensitifs sont discrets.
M- Les déformations squelettiques sont absentes.
N- La transmission est toujours autosomique dominante.
7.Quels sont les diagnostics à évoquer devant une neuropathie sensitive qui s’installe et s’aggrave de
façon progressive :
A- Un diabète
B- Une neuropathie paranéoplasique
C- Une lèpre
D- Une infection par le virus de l’immunodéficience humaine.
E- Une neuropathie médicamenteuse.
8.Devant une neuropathie sensitive d’installation et d’évolution progressive, quels sont les diagnostics à
évoquer en premier :
A- Un diabète.
B- Une Périartérite noueuse.
C- Une infection par HIV.
D- Une lèpre.
E- Une sarcoïdose.

15.Autres ( 7 questions )
1.La maladie de Behçet
A. est une maladie de système du tissu conjonctif
B. L’atteinte neurologique peut inaugurer le tableau clinique.
C. peut être responsable d’un syndrome démentiel du sujet jeune.
D. Elle peut donner une méningite aseptique.
E. Le traitement de l’atteinte neurologique doit être rigoureux avec surveillance étroite.
F.Estime une vascularite à tropisme veineux
G. Peut donner une atteinte parenchymateuse
H.Peut être responsable des troubles psychiatriques
I.Le traitement doit être moins agressif dans l'atteinte parenchymateuse par rapport à l'atteinte vasculaire
J.Le traitement est basé sur les anticoagulants et la corticothérapie en cas de thrombose veineuse
cérébrale
2.L’atteinte neurologique parenchymateuse au cours la maladie de Behçet:
A-Est de bon pronostic
B - Donne une méningo-encéphalite,
C - L'atteinte médullaire est possible.
D - L'atteinte du système nerveux périphérique est fréquente.
E - Le traitement est basé sur les immunosuppresseurs.
3. La neurosyphilis
A - est dû à un spirochète
B - Le diagnostic repose sur la sérologie TPHA-VDRL seulement dans le sang.
C - peut toucher les nerfs crâniens.
D - Est responsable du tabès.
E - Le traitement est basé sur les macrolides
4.La névralgie essentielle du trijumeau :
A. C’est une maladie fréquente chez l’enfant.
B. Elle est due à une tumeur du nerf trijumeau.
C. La douleur est atroce et invalidante.
D. Elle peut être confondue avec une douleur d’origine dentaire.

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E. Le traitement se base sur les antiépileptiques et les médicaments anti-douleur neuropathiques.
F. Touche essentiellement le sujet âgé.
G. La douleur est très intense, en salves.
H. Peut être déclenchée par l’attouchement d’une zone gâchette.
I. Le traitement se base sur le paracétamol ou les AINS.
J. Le traitement se base sur les anti-épileptiques.
5.Les éléments cliniques en faveur d’un surdosage aux anticholinestérasiques sont :
A. Les fasciculations
B. L’hypersalivation
C. Les troubles respiratoires
D. La bradycardie
E. Les troubles de déglutition
6.Dans un syndrome du canal carpien
A- Les paresthésies de In main et du poignet irradient vers l’annulaire et l’auriculaire
B-La faiblesse intéresse l'annulaire et l'auriculaire
C- L’amyotrophie intéresse Ia loge thénarienne
D- L’ENMG permet de confirmer la souffrance du nerf cubital dans son passage au poignet
E-Le traitement est toujours chirurgical
QR 1:
7.Décrivez le tableau clinique de la paralysie générale au cours de la syphilis ?
16.Cas cliniques généraux: ( 157 questions )
Cas clinique 1:
un patient de 26 ans sans ATCDs particulières qui présente depuis 7 mois un déficit moteur des 4
membres d'aggravation progressive associé à des paresthésies distales sans troubles sphinctériens ,
l'examen neurologique trouve un déficit moteur prédominant en proximal avec des réflexes ostéo tendineux
abolis, hypoesthésie en gants et en chaussettes à tout les modes. Les nerfs crâniens sont intacts.
1.Quel est le premier Diagnostic à évoquer devant ce tableau clinique :
A- Une compression médullaire
B- Une atteinte radiculaire diffuse
C- Une polyradiculonévrite aiguë
D- Une polyradiculonévrite chronique
E- Une polyneuropathie sensitivomotrice
2.Quels sont les examens complémentaires à demander en première intention pour confirmer ce
Diagnostic
A- Une IRM médullaire
B- Un scanner rachidien
C- Un examen électroneuromyographique
D- Une ponction lombaire
E- Une biopsie neuromusculaire
3.Quels sont les traitements à proposer en première intention chez ce patient :
A- Un interféron
B- Une corticothérapie par voie orale
C- Des immunoglobulines en intraveineux
D- Un anticholinestérasiques
E- Une kinésithérapie motrice

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Cas clinique 2:
Patient âgé 13 ans sans antécédents qui présente depuis 6 ans un trouble de la marche qui s'aggrave de
façon lentement progressive, l'examen neurologique retrouve une marche avec un steppage
bilatéral, un déficit moteur distal touchant les 4 membres mais qui prédomine sur les loges antéro-externes
aux membres inférieurs, des réflexes ostéo-tendineux abolis avec une discrète hypoesthésie vibratoire aux
membres inférieurs, des pieds creux et une scoliose associée.
4.Quel est le premier diagnostic à évoquer chez ce patient :
A- Une myopathie de Becker.
B- Une polyradiculonévrite chronique.
C- Une dystrophie de Steinert.
D- Une neuropathie héréditaire type Charcot Marie Tooth.
E- Une neuropathie paranéoplasique.
5. Pour confirmer ce diagnostic, quels sont les examens complémentaires à demander :
A- Un Électroneuromyogramme
B- Une ponction lombaire.
C- Une biopsie musculaire.
D- Dosage des enzymes musculaires.
E- Une génétique moléculaire.
Cas clinique 3:
Patient âgé de 65 ans, ayant comme antécédent un diabète évoluant depuis 10 ans, qui présente depuis 2
ans des paresthésies des extrémités s’aggravant progressivement et depuis 8 mois un steppage à la
marche
6.Quels sont les autres signes cliniques à rechercher chez ce patient :
A- Hypoesthésie à tous les modes en gant et en chaussette.
B- Une anesthésie en selle.
C- Une abolition des réflexes.
D- Un signe de tabouret.
E- Une amyotrophie des loges antéro-externes.
7.Quel est le premier diagnostic à évoquer chez ce patient :
A- Un syndrome de queue de cheval.
B- Une myélite.
C- Une polyneuropathie sensitivomotrice.
D- Une myasthénie.
E- Une polyradiculonévrite aiguë.
8.Quels sont les examens paracliniques à demander chez ce patient:
A- Une IRM médullaire.
B- Un électroneuromyogramme.
C- Dosage des anticorps anti-récepteur d’acétylcholine.
D- Une hémoglobine glyquée.
E- Une IRM musculaire.
Cas clinique 4:
Patient âgé de 70 ans, ayant comme antécédent un diabète évoluant depuis 20 ans, qui présente depuis 4
ans des paresthésies des extrémités s'aggravant progressivement et depuis 1 an un trouble de la marche,
l'examen neurologique trouve une marche avec steppage bilatérale, un déficit moteur distal prédominant
sur les loges antéro-externes des jambes, une abolition des réflexes ostéotendineux aux 4 membres et une
hypoesthésie à tous les modes en gant et en chaussette.

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9.Quel est le premier diagnostic à évoquer chez ce patient :
A- Un syndrome de la queue de cheval.
B-Une myélite.
C- Une polyneuropathie sensitivomotrice.
D- Une myasthénie.
E- Une polyradiculonévrite aiguë.
10.Quels sont les examens paracliniques à demander chez ce patient :
A- Une IRM médullaire.
B- Un électroneuromyogramme.
C-Un dosage des anticorps anti-récepteur d'acétylcholine.
D- Une glycémie à jeun.
E- Une hémoglobine glyquée.
11.Quel traitement proposez-vous pour ce patient :
A- Corticothérapie par voie orale.
B- Des immunoglobulines par voie intraveineuse.
C- Un traitement anticholinestérasique.
D- Une équilibration rigoureuse de la glycémie.
E- Des échanges plasmatiques.
Cas clinique 5:
Patient de 54 ans, sans antécédent particulier et qui consulte pour une faiblesse des 4 membres avec des
réflexes ostéo-tendineux conservés et des troubles de déglutition d'installation rapidement progressive sur
15 jours.
12.Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A. Une compression médullaire
B. Une polyradiculonévrite aiguë
C. Une Myasthénie généralisée
D. Un syndrome de queue de cheval
E. Une polyradiculonévrite chronique
13.Quel est le premier examen complémentaire à faire chez ce patient ?
A- Une IRM médullaire
B- Un bilan de crase
C- Un électroneuromyogramme (ENMG)
D- Une IRM cérébrale
E- Une ponction lombaire
Cas clinique 6:
Un patient de 50 ans consulte pour un trouble de la déglutition à type de fausses routes
14.Quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers une myasthénie :
A- La notion de diplopie
B- Existence de fasciculations de la langue
C- L'aggravation des symptômes à l'effort
D- L'existence d'une atrophie de la langue
E- L'absence de troubles sensitifs
15.Comment confirmer vous le dc si vous pensez à une myasthénie
A- Par le test à la Prostigmine
B- Par électroneuromyographie
C- par une IRM cérébrale
D- par dosage des enzymes musculaire CPK
E- Par réalisation d'une PL

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16.Comment confirmez vous le de si vous pensez à une SLA ?
A- Par le test à la Prostigmine.
B- Par électroneuromyographie
C- par une IRM cérébrale
D- par dosage des enzymes musculaire CPK
E- Par réalisation d'une PL
Cas clinique 7:
patient de 25 ans, consulte pour une hémiplégie droite avec asymétrie faciale et aphasie globale qui évolue
depuis 2 heures. Dans ses ATCD il est suivi pour valvulopathie rhumatismale. Il est sous anticoagulant
depuis 2 ans (acenocoumarol : Sintrom*) I cp par jour. Son INR est à 8 (objectif INR entre 2 et 3)
17.Quel est la topographie de la lésion ?
A. Corticale hémisphérique droite
B. Pontique gauche
C. Corticale hémisphérique gauche
D. Pontique droite
E. Capsulaire interne droite
18.Quelle est la valvulopathie rhumatismale la plus emboligène ?
A. Rétrécissement mitral
B. Insuffisance mitrale
C. Rétrécissement aortique
D. Insuffisance aortique
E. Insuffisance tricuspidienne
19.Le scanner révèle une hyperdensité hémisphérique intra-parenchymateuse gauche. Quelle
Quel sera votre diagnostic final?
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Un accident ischémique transitoire
C. Une épilepsie partielle
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
20.Quelle sera votre attitude thérapeutique
A.Arrêter l’acénocoumarol
B.Thrombolyse intraveineuse
C.Hospitalisation en unité neurovasculaire
D.Discuter une évacuation neurochirurgicale
E.Continuer l’acénocoumarol
Cas clinique 8:
Un patient de 75 ans, diabétique et hypertendu, consulte pour une hémiplégie droite avec asymétrie faciale
et aphasie globale qui évolue depuis 12 heures. Dans ses ATCD il est suivi en cardiologie
pour fibrillation auriculaire. Il est sous anticoagulant depuis 2 ans (acenocoumarol : Sintrom*) 3/4 cp par
jour. Son INR est à 1,2 (objectif INR entre 2 et 3)
21.Quel est la topographie de la lésion ?
A. Corticale hémisphérique droite
B. Pontique gauche
C. Corticale hémisphérique gauche
D. Pontique droite
E. Capsulaire interne droite

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22. Le scanner révèle une hypodensité hémisphérique gauche. Quelle sera votre diagnostic final?
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Un accident ischémique transitoire
C. Un hématome sous-dural
D. Une tumeur cérébrale
E. Une hémorragie cérébrale
23.Quelle sera votre attitude thérapeutique
A. Arrêter l’acénocoumarol
B. Thrombolyse intraveineuse
C. Hospitalisation en unité neurovasculaire
D. Discuter une évacuation neurochirurgicale
E. Augmenter la dose de l’acénocoumarol
Cas clinique 9:
Une patiente de 29 ans, consulte pour une faiblesse brutale de l’hémicorps droit,
asymétrie faciale qui évolue depuis 2 heures. Dans ses ATCD clic est suivie pour valvulopathie
rhumatismale. Elle est sous anticoagulant depuis 2 ans (acénocoumarol : Sintrom*) 3/4 cp par jour
24.Vous suspectez le ou les diagnostics suivants
A. Un accident vasculaire cérébral ischémique
B. Une myasthénie
C. Une tumeur cérébrale
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
25.L'INR est à 6 (devrait être entre 2 et 3) le scanner révèle une hyperdensité hemispherique gauche
fronto-temporo-pariétale.
: Quel sera votre diagnostic final?
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Une myasthénie
C. Une épilepsie partielle
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
Cas clinique 10:
Patient de 28 ans, consulte pour une hémiplégie droite avec asymétrie faciale et diplopie (paralysie du
regard vers le haut, vers le bas et vers le dedans de l'œil gauche avec ptosis gauche) qui évolue depuis 24
heures. Dans ses ATCD il est suivi pour valvulopathie rhumatismale. Il est sous anticoagulant depuis 2 ans
(acénocoumarol : Sintrom ) 1/2 cp par jour. Son INR est à 1,2 (objectif INR entre 2 et 3)
26. Comment expliquer le trouble oculomoteur ?
A. Par une atteinte du nerf moteur oculaire commun (III) à gauche
B. Par un syndrome de Claude Bernard horner gauche
C. Par une atteinte du nerf moteur oculaire externe (VI) à gauche
D. Par une atteinte des voies visuelles rétro-chiasmatiques gauche
E. Par une atteinte du nerf moteur oculaire externe (VI) à droite
27.Quelle est la topographie de la lésion?
A. Corticale hémisphérique droite
B. Poniiquc gauche
C. Corticale hémisphérique gauche
D. Mésencéphalique droite
E. Capsulaire interne droite

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28.Le scanner révèle une hypodensité nu niveau de la topographie que vous suspectez. Quelle sera votre
diagnostic final?
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Un accident ischémique transitoire
C. Une épilepsie partielle
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
Cas clinique 11:
Patient de 75 ans, consulte pour une hémiplégie droite avec asymétrie faciale et aphasie
globale qui a duré 30 min. Dans ses ATCD il est diabetique ,hypertendu depuis 10 ans .L’examen
neurologique à son arrivée aux urgence est normal
29.Quelle est votre suspicion diagnostique ?
A.Accident ischémique transitoire carotidien gauche
B.AVC ischémique constitué vertébrobasilaire
C.Crise epileptique partielle
D.Accident ischémique transitoire carotidien droit
E.Accident ischémique transitoire vertébrobasilaire
30.Le scanner cérébral est normal,l'échographie doppler des troncs supra aortiques révéle une sténose
athéromateuse serré de la carotide interne gauche .l’ECG est normal.Quelle sera votre conduite
thérapeutique
A.Thrombolyse mécanique
B.Thrombolyse intraveineuse
C.Endartériectomie carotidienne
D.Traitement antiépileptique
E.Traitement anticoagulant au long cours
Cas clinique 12:
Patient de 18 ans, qui a un antécédent d’un syndrome grippal il y a 15 jours, et qui présente depuis 5 jours
une tétraparésie ascendante avec une aréflexie ostéotendineuse à l’examen clinique. L’étude du LCR a
montré : 5 Globules blancs/mm3 ; Protéinorachie à 1,2 g/1 ; Chlorurachie à 125 mmol/1. La kaliémie: 4,5
mmol/L
31.Quel est le diagnostic le plus probable ?
A. Une méningite virale
B. Une méningite tuberculeuse
C. Une paralysie hypokaliémiante
D. Une polyradiculonévrite aiguë
E. Une polyradiculonévrite chronique
32.Quelle(s) sont les proposition(s) correcte(s) concernant le traitement de ce patient ?
A. La prise en charge thérapeutique peut se faire en ambulatoire.
B. La corticothérapie orale est un traitement efficace de cette affection
C. Les échanges plasmatiques constituent une alternative thérapeutique
D. La prévention des complications de décubitus ne change pas le pronostic.
E. Le pronostic dépend de la précocité de diagnostic et de la prise en charge thérapeutique.

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Cas clinique 13:
Un patient de 66 ans consulte pour une hémiplégie droite avec aphasie de Broca d’installation brutale
depuis 1H30 minutes.
33.Quels examens complémentaires peuvent être réalisés pour poser un diagnostic positif?
A - IRM cérébrale
B - Échographie doppler des tronc supra-aortique
C - Echographie cardiaque transthoracique
D- Électrocardiogramme
E - Scanner cérébral
34.Quels examens complémentaires peuvent être réaliser pour poser un diagnostic étiologique
A - Electroencéphalogramme
B - Échographie doppler des tronc supra-aortique
C -Échographie cardiaque transthoracique
D- Électrocardiogramme
E - Scanner cérébral
Cas clinique 14:
Patient 70 ans oui présente de façon progressive depuis 3 mois une « maladresse » et une
faiblesse du bras droit avec une dysarthrie et des troubles de déglutition. A l'examen TA 12/7-FC 60/min -
eupnéique. Examen neurologique déficit moteur des 4 membres surtout le bras droit avec amyotrophie
distale des 2 membres supérieurs, des ROT vifs,un signe de Babinski bilatéral, et un signe de Hoffman
bilatéral,une dysarthrie, et des fasciculations visibles aux membres inférieurs
35.Parmi ces hypothèses diagnostiques ; quel est le diagnostic le plus probable ?
A. Myasthénie
B. Myopathie
C. Polyneuropathie
D- Sclérose latérale amyotrophique
E. Syndrome de Lambert-Eaton
36.Pour confirmer votre diagnostic vous avez besoin :
A- d'un examen électroneuromyographique ENMG
B -d'une IRM Cérébrale
C.d'une IRM médullaire
D.d'un dosage des CPK
E.d’un dosage des EC anti récepteur à l'acétylcholine
37.Quel(s) est (sont) le(s) traitement(s) que vous devez prescrire:
A.Rééducation motrice
B.Riluzole( Rilutec)
C. pyridostigmine (Mestinon*)
D. Corticothérapie orale
E. Immunosuppresseur
38.Dans l'évolution de cette pathologie on a :
A.Un risque de crise cholinergique
B Une aggravation progressive des symptômes malgré le traitement
C Une amélioration des symptômes sous traitement
D. Une apparition de troubles dysautonomiques sévères
E.Une apparition de troubles respiratoires

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Cas clinique 15:
Patient de 35 ans qui présente depuis 3 mois, une chute de la paupière de l'oeil droit avec une diplopie
horizontale et une faiblesse des membres inférieurs. L'examen clinique était comme suivant : TA 12/7 - FC
60/min -eupnéique- Examen neurologique : Déficit proximal des membres inférieurs coté à 4/5 des deux
côtés, ROT présents et symétriques, réflexe cutanéo-plantaire en flexion, Ptosis droit avec paralysie du
droit externe gauche
39.Parmi ces hypothèses diagnostiques; quel est le diagnostic le plus probable ?
A. Sclérose latérale amyotrophique
B. Botulisme
C. Processus de la fosse cérébrale postérieure
D. Myasthénie généralisée
E. Syndrome de Lamber Eaten
40.Pour confirmer votre diagnostic vous avez besoin :
A. D'un examen électroneuromyographique ENMG
B. D’une IRM cérébrale
C. Dosage des anticorps dirigés contre les canaux calciques voltage-dépendants
D. D’un dosage des CPK
E. D’un dosage des AC anti récepteur à l’acétylcholine
41.Quel (s) est (sont) le (s) traitement(s) que vous devez prescrire? :
A. Rééducation motrice
B. Rilutec
C. Mestinon
D. Corticothérapie
E. Exérèse du processus de la fosse cérébrale postérieure
42. Dans l’évolution de cette pathologie on a :
A. Une aggravation progressive des symptômes malgré le traitement
B. Un risque de crise cholinergique
C. Une amélioration des symptômes sous traitement
D. Une apparition de troubles dysautonomiques sévères
E Un risque d’une crise myasthénique
Cas clinique 16:
Patient âgé de 45 ans, sans antécédents particuliers qui présente depuis 5 mois des paresthésies des 4
membres, l'examen neurologique trouve un déficit moteur distal des 2 membres inférieurs avec des
réflexes ostéo tendineux faibles associés à une hypoesthésie tactile et algique en gants et en chaussettes
,le signe de Lasègue est négatif.
43.Quel diagnostic évoquez-vous chez ce patient :
A- Une myopathie des ceintures.
B- Une sclérose combinée de la moelle.
C- Une Polyneuropathie sensitivomotrice.
D- Une atteinte de la corne antérieure.
E- Une polyradiculonévrite aiguë.
44.Quel est l'examen complémentaire à demander en première intention :
A- Une IRM médullaire.
B- Une ponction lombaire.
C- Une biopsie neuromusculaire.
D- Un électroneuromyogramme.
E- Un dosage des enzymes musculaires.

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Cas clinique 17:
Un patient âgé de 20 ans sans antécédents particuliers qui présente depuis 15 jours une lourdeur
des 4 membres d'aggravation rapidement progressive associé à une rétention urinaire avec à l'examen
neurologique une tétraparésie flasque à prédominance proximale, une limitation du regard en dehors en
bilatéral, des réflexes ostéo-tendineux abolis, un signe de lasègue positif de façon bilatérale.
45.Quel diagnostic vous évoquez chez ce patient :
A- Une myasthénie auto-immune.
B- Une polyneuropathie.
C- Un syndrome de la queue de cheval
D-une polyradiculonévrite aiguë.
E- Une polyradiculonévrite chronique.
46.Quels sont les autres signes à rechercher à l'interrogatoire et à l'examen clinique en faveur de ce
diagnostic :
A- Infection virale précédant la symptomatologie.
B Une fluctuation des symptômes au cours de la journée avec une aggravation à l'effort.
C Une anesthésie en selle.
D.Trouble de la sensibilité prédominant sur la sensibilité profonde
E- Une paralysie faciale périphérique.
47.Quels sont les examens complémentaires à demander pour confirmer ce diagnostic :
A- Une IRM lombaire
B- Un électroneuromyogramme.
C- Une ponction lombaire.
D- Une biopsie neuromusculaire.
E- Dosage des anticorps anti-récepteurs d'acétylcholine.
48.Quels traitements proposez-vous pour ce patient :
A- Des immunoglobulines en intraveineux.
B- Un traitement anticoagulant à dose préventive.
C- Une corticothérapie orale
D- Une kinésithérapie motrice
E- Un traitement anticholinestérasique. ’
Cas clinique 18:
Patient âgé de 38 ans, sans antécédents particuliers, qui présente depuis 8 mois un trouble de la marche
d'aggravation progressive. L’examen neurologique trouve un déficit moteur des 4 membres prédominant en
proximal, une hypoesthésie vibratoire des membres inférieurs, des réflexes ostéo-tendineux abolis aux 4
membres avec une amyotrophie des muscles antéro-externes des jambes
49.Parmi ces hypothèses, quel est le diagnostic le plus probable :
A- Une polyneuropathie.
B- Une dermatomyosite.
C- Une polyradiculonévrite aiguë.
D- Une polyradiculonévrite chronique.
E- Une sclérose latérale amyotrophique.
50. Pour confirmer ce diagnostic, vous demandez :
A- Un dosage des CPK.
B- Un électroneuromyogramme.
C- Une IRM cérébrale.
D- Une biopsie musculaire.
E- Une ponction lombaire.

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51.Quels sont les choix thérapeutiques possibles :
A- Une corticothérapie par voie orale.
B- Des immunoglobulines intraveineuses.
C- Un traitement anticholinestérasique.
D- Un traitement immunosuppresseur.
E- Des échanges plasmatiques.
52.Vous suspectez le ou les diagnostics suivants
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Une myasthénie
C. Une épilepsie partielle
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
53.L’INR est à 1 (devrait être entre 2 et 3) le scanner révèle une hypodensité hémisphérique
gauche de forme quadrangulaire, cortico-sous-corticale, à limites nettes fronto-temporo-pariétale
Quel sera votre diagnostic final?
A. Un accident vasculaire ischémique
B. Une myasthénie
C. Une épilepsie partielle
D. Une sclérose en plaques
E. Une hémorragie cérébrale
Cas clinique 19:
Patiente de 34 ans, qui présente depuis 3 jours, une lourdeur des 2 membres inférieurs. A l’examen vous
retrouvez un déficit moteur des 2 MI avec un signe de Babinski bilatéral avec un niveau sensitif D4. Une
manoeuvre doigt nez et talon genou perturbée à droite et une paralysie de l’adduction de l’oeil droit dans
de regard latéral gauche associé à un nystagmus de l'œil gauche avec une convergence conservée.
54.Les syndromes retrouvés chez cette patiente sont :
A- Syndrome pyramidal des 2 Ml
B- Syndrome de la queue de cheval
C- Une ophtalmoplégie internucléaire
D- Un syndrome médullaire
E-Un syndrome cérébelleux
55. Ces signes peuvent-ils être expliqués par une seule lésion ?
A - oui
B - non
56. Si vous retrouvez à l’interrogatoire une notion de baisse de l’acuité visuelle régressive de
l’oeil droit, à quel diagnostic pensez-vous en premier.
A- Syndrome de Guillain Barre
B- Neuro Tuberculose
C- Une sclérose en plaque
D- Une compression médullaire
E - Une myasthénie
57.Si ce diagnostic est confirmé, quelle sera votre attitude thérapeutique immédiate ?
A- traitement corticoïde à forte dose
B- traitement par immunoglobuline intraveineuse
C- traitement anticholinestérasique
D- traitement antituberculeux
E - traitement immunosuppresseur
F- TRT corticoïde à une dose
G- TRT par immunoglobuline

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58. Si ce diagnostic est confirmé, quels seront vos choix thérapeutiques au long cours ?
A- traitement corticoïde au long cours
B- traitement par immunoglobuline intraveineuse
C- traitement anticholinestérasique
D-traitement par interféron
E- traitement immunosuppresseur
Cas clinique 20:
Patiente de 34 ans, qui présente depuis 3 jours, une lourdeur des 2 membres inférieurs.
A l’examen vous retrouvez un déficit moteur des 2 MI avec un signe de Babinski bilatéral avec un niveau
sensitif D4. Une manœuvre doigt nez et talon genou perturbée à droite. L’interrogatoire retrouve la notion
de baisse de l’acuité visuelle de l’oeil droit avec douleur à la mobilisation du globe oculaire régressive en 20
jours.
59.Les syndromes retrouvés chez cette patiente sont
A- Syndrome pyramidal des 2 MI
B- Névrite optique rétrobulbaire droite
C- Une ophtalmoplégie internucléaire
D- Un syndrome médullaire
E - Un hémisyndrome cérébelleux droit
60.A quel diagnostic pensez-vous en premier ?
A- Syndrome de Guillain Barré
B- Neuro Tuberculose
C- Une sclérose en plaque
D- Une compression médullaire
E - Neurobehçet
61.Si ce diagnostic est confirmé, quelle sera votre attitude thérapeutique immédiate ?
A- traitement corticoïde à forte dose
B- traitement par immunoglobuline
C- traitement anticholinestérasique
D- traitement antituberculeux
E- traitement immunosuppresseur
Cas clinique 21:
62.Un patient de 75 ans, hypertendu depuis 10 ans et diabétique sous insuline depuis 5 ans. Il est droitier
et son épouse vous raconte que ce matin à 8 heure il s’est réveillé avec une impossibilité de bouger tout
l’hémicorps gauche. Les symptômes ont touché d’emblée tout l’hémicorps gauche et ne se sont pas
aggravés depuis.
A. Il s’agit d’une atteinte centrale
B. Il s’agit d'une atteinte d’une atteinte périphérique
C. La lésion sera capsulaire si le patient est anosognosique
D. La lésion sera hémisphérique si le patient présente une HLH gauche
E. La lésion sera au niveau du tronc cérébral si le patient présente une HLH gauche
63.Vous pensez à un accident vasculaire cérébral, quels éléments peuvent confirmer la nature
hémorragique de cet évènement ?
A. La notion de céphalées intenses
B. Une tension artérielle élevée
C. Un scanner cérébral montrant une hyperdensité spontanée
D. L’existence de troubles de conscience
E. Une mydriase unilatérale droite

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64.Vous confirmer la nature ischémique de l'accident vasculaire cérébral, en sachant que l’étiologie
cardio-embolique est écartée et que vous avez retenu une cause athéromateuse, quelles seront vos choix
thérapeutiques en prévention secondaire ?
A. Antiagrégants plaquettaires
B. Un traitement anticoagulant oral au long cours
C. Un traitement par IEC (inhibiteur de l’enzyme de conversion)
D. Un traitement par Matines
E. Un traitement par corticothérapie au long cours.
Cas clinique 22:
Une patiente de 24 ans, se présente pour une baisse de l'acuité visuelle de l'oeil droit
depuis 4 jours. L'examen neurologique est normal mis à part la baisse de l'acuité visuelle.
65.Quel(s) élément(s) sémiologique(s) permettrait(ent) d'évoquer une névrite optique
rétrobulbaire?
A.L'association à une diplopie.
B.L'association à une douleur périorbitaire
C.L'absence de dyschromatopsie
D.Un fond d’oeil anormal
E.L'absence de récupération après quelques semaines
66.Vous confirmez une névrite optique rétrobulbaire droite. L’interrogatoire révèle un autre
épisode neurologique il y a 8 mois fait de maladresse de la main gauche qui a duré 3 semaines et qui a
régressé complètement. Quelle affection neurologique suspectez-vous en premier?
A. Neurosyphilis
B. Neuro-tuberculose
C. Neuro-Behçet
D Sclérose en plaque
E. Myasthénie
67.Pour confirmer ce diagnostic vous réalisez
A.Une IRM cérébrale et médullaire
B.Un ENMG
C.Une étude du LCR
D.Un test à la Prostigmine
E.Une sérologie syphilitique
68.Après avoir réalisé cette(ces) exploration(s), votre suspicion diagnostique est confirmée.
La prise en charge immédiate sera
A.Un traitement antituberculeux pendant 9 mois
B.Un bolus de méthylprednisolone pendant 5 jours
C.L’abstention (pas de traitement) et surveillance
D.Un traitement par Pénicilline G à forte dose pendant 15 jours
E.Un traitement corticoïde au long cours
69.Vous suspectez en premier lieu
A.Un-accident ischémique transitoire
B.Une migraine
C.Une épilepsie partielle
D.Une sclérose en plaques
E.Une hémorragie cérébrale
70.L’interrogatoire révèle la notion d'HTA et de diabète. Le scanner cérébral est normal.
L'ECG montre une ACFA. Quelle sera votre attitude?
A.Vous instaurez un traitement anticoagulant
B. Vous instaurez un traitement anfiaesrépant

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C. Vous instaurez un traitement antalgique
D. Vous instaurez un traitement anti-épileptique
E. Vous instaurez un traitement corticoïde au long cours
Cas clinique 23:
71.Un patiente de 65 ans hypertendu depuis 10 ans traité par LUXEN LP50mg par jour et
diabétique sous insuline depuis 5 ans. Il est droitier et son épouse raconte que le matin
à 8H il s'est réveillé avec une impossibilité de bouger tout l'hémicorps gauche. Les
symptômes ont touché d'emblée tout l'hémicorps et ne se sont pas aggravés depuis :
A- Il s'agit d'une atteinte centrale
B- Il s'agit d'une atteinte périphérique
C- La lésion sera corticale si le patient est anosognosique
D- La lésion sera hémisphérique si le patient présente une HLH gauche
E- La lésion sera au niveau du tronc cérébral si le patient présente une HLH gauche.
72.Vous pensez à un AVC, quels éléments peuvent orienter la nature hémorragique de cet événement ?
A- La notion de céphalées intenses
B- Une tension artérielle élevée
C- Un scanner cérébral montrant une hypodensité spontanée
D- L'existence de troubles de conscience
E- Une mydriase unilatérale droite
Cas clinique 24:
Un patient de 40 ans consulte pour une hémiplégie droite d’installation brutale. Sa tension artérielle est à
18/10
73.Quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers une lésion corticale?
A- La notion de diplopie
B- L’existence d’une aphasie de Broca
C- La notion de crise épileptique
D- L’existence d’un signe de Babinski
E - L’existence d’une paralysie faciale droite
74.Quels sont les éléments cliniques qui peuvent orienter vers une lésion du tronc cérébral?
A- La notion de diplopie
B- L’existence d’une paralysie faciale périphérique gauche
C- L’existence d’une paralysie faciale droite
D- L’existence d’un niveau sensitif
E - L’existence d’une paralysie du moteur oculaire commun gauche
75.Vous suspectez un AVC, quel(s) examen(s) pourraient confirmer le diagnostic?
A- TDM cérébrale
B- Electrocardiogramme
C- IRM cérébrale
D- Echographie cardiaque
E - Electroencéphalogramme
76.A l’interrogatoire, vous retrouvez que les symptômes se sont installés depuis 2 heures. Que faut-il
envisager en urgence ?
A- Un traitement thrombolytique
B- Un traitement anticoagulant
C- Un traitement antiagrégant
D- Un traitement antiépileptique
E - Un traitement antihypertenseur

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Cas clinique 25:
77.Un patient de 65 ans, hypertendu depuis 10 ans traité par Loxen* LP 50 mg 2 fois par jour et diabétique
sous insuline depuis 5 ans. Il est droitier et son épouse vous raconte que ce matin à 8 heure il s’est réveillé
avec une impossibilité de bouger tout l’hémicorps gauche et sa bouche a dévié vers la droite. Les
symptômes ont touché d’emblée tout l’hémicorps et ne se sont pas aggravés depuis.
A. La lésion sera corticale si le patient est anosognosique
B. La lésion sera hémisphérique si le patient présente une Hémianopsie latérale homonyme gauche
C. Il peut s’agir d’une atteinte médullaire latéralisée à gauche
D. Il peut s’agir d’une atteinte bulbaire latéralisée à gauche
E. La lésion sera au niveau du tronc cérébral si le patient présente une crise épileptique.
78.Vous pensez à un accident vasculaire cérébral, quel élément peut confirmer la nature hémorragique de
cet évènement ?
A. La notion de céphalées intenses
B. Une tension artérielle élevée
C. Un scanner cérébral montrant une hyperdensité spontanée
D. L’existence de troubles de conscience
E. Une mydriase unilatérale droite
Cas clinique 26:
79.Un patient de 65 ans, hypertendu depuis 10 ans traité par Loxen* LP 50 mg 2 fois par jour et
diabétique sous insuline depuis 5 ans. li est droitier et son épouse vous raconte que ce matin à 8 heure il
s'est réveillé avec une impossibilité de bouger tout l'hémicorps gauche. Les symptômes ont touché
d'emblée tout l'hémicorps et ne se sont pas aggravés depuis. Sa tension artérielle est à 180/90. Sa
glycémie est à 2,84 g/l. Vous examinez ce patient à 15 heures 30 minutes. Quel est le premier examen
complémentaire à demander ?
A - Scanner cérébral
B - Electroencéphalographie (EEG)
C - IRM cérébrale
D- Bilan de coagulation
E -Numération de formule sanguine + Plaquettes
80.Le diagnostic retenu est celui d'un Accident vasculaire cérébral ischémique. Quel(s) sera
(seront) votre (vos) choix thérapeutique (s) ?
A - Un traitement par insuline
B - Une thrombolyse intraveineuse
C - Un traitement anticoagulant
D- Un traitement antihypertenseur par voie injectable
E - Un traitement antiagrégant
Cas clinique 27:
81.Patiente de 30 ans à j 10 du post-partum, admise aux urgences pour céphalées depuis 3 jours, une
fièvre à 38 C, des vomissements, une diplopie et une baisse de l’acuité visuelle compliquée d’une crise
motrice hémi-corporelle droite avec déficit post-critique:
A.Je lui prends le dextro, je la mets en condition et j’évalue son GCS.
B. Je lui fais une ponction lombaire avant toute imagerie.
C. Je l’envoie pour une imagerie même avant sa stabilisation respiratoire et hémodynamique.
D. Je cherche des signes de thrombose des membres inférieurs ou d’embolie pulmonaire..
E. Je démarre un traitement anti-épileptique.

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Cas clinique 28:
82.Une patiente âgée de 30 ans sans antécédent pathologique, à J15 do post-partum, admise
pour des céphalées depuis 5 jours, continues avec un épisode de vomissements et une diplopie
horizontale
A - Il s'agit d'un syndrome d'hypertension intracrânienne.
B - on peut faire la PL sans imagerie cérébrale.
C - La thrombose veineuse cérébrale est un diagnostic probable.
D - La PL avec mesure de la pression intracrânienne est indiquée en absence de contre-indication.
E -On fait une évacuation si la pression est élevée.
Cas clinique 29:
83.Une patiente de 36 ans consulte pour diplopie horizontale fluctuante.
L'examen clinique trouve un ptosis droit et une parésie du muscle droit externe gauche avec strabisme
interne. Quels est la principale suspicion diagnostique :
A. Sclérose latérale amyotrophique
E. Sclérose en plaque
C. Neurobehçet
D. Polyradiculonévrite aiguë
E-Myasthénie
Cas clinique 30:
84.Un garçon de 8 ans, sans antécédents particuliers, qui présente depuis l'âge de 3
ans un trouble de la marche, L'examen neurologique trouve un déficit moteur proximal des 4 membres
prédominant sur la ceinture pelvienne sans atteinte faciale, une hypertrophie des mollets et des réflexes
ostéo-tendineux présents, Quels sont le (ou les) diagnostic à évoquer chez ce patient :
A- Une myopathie facio-scapulo-humérale.
B- Une myopathie de Duchenne
C- Une sarcoglycanopathie
D- Une dystrophie myotonique de Steinert.
E- Une paralysé périodique familiale hypokaliémique.
Cas clinique 31:
85.Un enfant de 14 ans, sans antécédents particuliers, qui présente depuis l’âge de 3 ans un trouble de la
marche, L’examen neurologique trouve un déficit moteur proximal des 4 membres sans atteinte faciale, une
hypertrophie des mollets et des réflexes ostéo-tendineux présents, Quels sont le (ou les) diagnostic à
évoquer chez ce patient :
A- Une myopathie de Duchenne.
B- Une sarcoglycanopathie.
C- Une myopathie facio-scapulo-humérale.
D- Une dystrophie myotonique de Steinert.
E- Une dermatomyosite.
Cas clinique 32:
86.Une patiente de 23 ans, qui présente une baisse de l'acuité visuelle de l’oeil droit depuis 5 jours. Quel
est l'élément clinique qui oriente vers une névrite optique rétrobulbaire?
A-Une diplopie horizontale .
B -Un myosis du coté droit
C-Une fluctuation des symptômes dans la journée
E - Une douleur péri orbitaire droite.

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Cas clinique 33:
87.Patient de 25 ans, qui a un antécédent d'une bronchite y a 10 jours, et qui présente depuis 5 jours une
tétraparésie ascendante avec une aréflexie à l’examen clinique L'étude du LCR montré: 3 Globules
blancs/mm3 Protéinorachie à 0,9 g/l: Chlorurorachie 125 mmol/l.La kaliemie 4 mmol/L. Quel est le
diagnostic le plus probable?
A.une paralysie hypokaliémiante
B. une polyradiculonévrite aiguë
C.une crise myasthénique
D. Une méningoradiculite tuberculeuse
E Une méningoradiculite à HIV
Cas clinique 34:
Patient âgé de 50 ans sans ATCD pathologique notable et qui présente depuis 6 mois une lenteur du
mouvement surtout au niveau de la main droite. L'examen Neurologique met en évidence une marche avec
le bras droit légèrement collé au corps. Une roue dentée à droite, les manoeuvres pouce-index et
marionnettes sont perturbées.
88.De quel syndrome s'agit- il ?
89.Quels sont les autres signes cliniques que vous devez rechercher ?
90. Quel traitement proposeriez-vous à ce patient ?
Cas clinique 35:
Patient âgé de 9 ans amené en consultation pour un problème de marche.
L’interrogatoire de la maman retrouve la notion d’un mariage consanguin de premier degré et un
oncle maternel ayant la même symptomatologie.
Par ailleurs l’enfant a eu un retard à la marche (18 mois), une difficulté à monter les escaliers et une
marche sur la pointe des pieds.
91.De quel syndrome s’agit-il ?
92.Quels sont les autres signes cliniques à rechercher pour confirmer ou infirmer votre diagnostic ?
93.Quels sont les examens complémentaires à réaliser chez votre patient ?
Cas clinique 36:
Patient âgé de 27 ans sans ATCD et qui a présenté de façon brutale d’abord des paresthésies des deux
membres inférieurs puis 2 jours plus tard un déficit des deux membres inférieurs puis quelques jours
plus tard un déficit des deux membres supérieurs.
L’examen neurologique met en évidence un déficit complet des deux membres inférieurs, un déficit
partiel des deux membres supérieurs, des ROT abolis aux 4 membres et des réflexes cutanés
abdominaux Mais pas de troubles sphinctériens.
94.De quel syndrome s’agit-il ?
95.Quel examen paraclinique vous permettra de confirmer votre diagnostic ?
96.Quels sont les autres diagnostics différentiels de cette affection ?
97.Quels sont les facteurs pronostiques de cette affection ? • •
Cas clinique 37:
Patiente de 34 ans, qui présente depuis 3 jours, une lourdeur des 2 membres inférieurs.
A l’examen vous retrouvez un déficit moteur des 2 MI avec un signe de Babinski bilatéral avec un
niveau sensitif D4. Une manœuvre doigt nez et talon genou perturbée à droite et une paralysie de
l’adduction de l’oeil droit dans de regard latéral gauche associé à un nystagmus de l’oeil gauche avec une
convergence.
98.Regrouper les syndromes actuels chez cette patiente
99.Ces signes peuvent ils être expliqués par une seule lésion ? (justifier)
100.A quel diagnostic pensez-vous en premier.
101.Quel élément de T interrogatoire peut plaider en faveur de ce diagnostic ?

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102.Si ce diagnostic est confirmé, quelle sera votre attitude thérapeutique immédiate ?
103.Quel traitement pourra-t-on proposé par la suite ?
Cas clinique 38:
Patiente de 24 ans. qui présente depuis 3 jours, une maladresse du membre supérieur droit associée à une
lourdeur du MI droit, de paresthésies et à une diplopie horizontale. Dans ses antécédents vous retrouvez 6
mois auparavant la notion de baisse de L' acuité visuelle de l’oeil gauche associée à des douleurs à la
mobilisation du globe oculaire. Ce problème visuel s’est amélioré après 2 semaines.
A l’examen vous retrouvez un déficit moteur du MI droit prédominant sur les raccourcisseurs avec un signe
de Babinski à droite, des troubles sensitifs thermo algiques du MI G remontant jusqu’à un niveau D8. Une
manoeuvre doigt nez et talon genou perturbée à droite et une paralysie de l'adduction de l'oeil droit dans de
regard latéral gauche associé à un nystagmus de l’oeil gauche avec une convergence.
104.Regrouper les syndromes actuels chez cette patiente
105.Que vous évoque l’épisode visuel ?
106.À quel diagnostic pensez-vous en premier, et comment le confirmer ?
107.Si ce diagnostic est confirmé, quelle sera votre attitude thérapeutique immédiate ?
108.Quel traitement pourrait-on proposer par la suite ?
Cas clinique 39:
Patient âgé de 28 ans ATCD d'aphte buccal et génital, depuis 2 semaines il présente un
brouillard visuel + des céphalées et vomissements.
L’examen neurologique met en évidence des réflexes vifs et diffusés + Hémiparésie à droite, l’examen
cutané retrouve une pseudofolliculite au niveau du dos.
109.De quel syndrome s’agit-il ?
110.Quels sont les examens cliniques et paracliniques nécessaires pour retrouver l’étiologie ?

Scanner cérébral ': à gauche sans injection montrant un aspect spontanément hyperdense du sinus
sagittal supérieur ; à droite avec injection montrant un signe de delta.
111.Quel est votre diagnostic?
112.Quel traitement proposez-vous à ce patient ?
Cas clinique 40:
Une patiente de 45 ans consulte pour une difficulté à monter les escaliers (elle est obligée de s’appuyer
sur la rampe). Dans ses antécédents, elle a été opérée il y a 1 mois pour un goitre.
Elle signale parfois la notion de vision double. L’examen neurologique est normal.
113.Quelle est votre suspicion diagnostique ?
114.Que recherchez-vous à l’interrogatoire ?
115.Quel examen clinique supplémentaire feriez-vous ?
116.Comment confirmer ce diagnostic ?
117.Si ce diagnostic est confirmé quelle sera votre attitude ?
118.La notion de chirurgie et de goitre a-t-elle une signification dans ce sens ? Justifier.

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Cas clinique 41:
Patient âgé de 9 ans et qui a présenté d’abord un retard d’acquisition de la marche (marche à l’âge de 2
ans) et qui 3 ans plus tard, c à d à l’âge de 5 ans, a présenté des chutes fréquentes puis une difficulté à
monter les escaliers.
L' examen clinique met en évidence des réflexe ostéo tendineux présent, réflexe idiomusculaire présent,
marche sur la pointe des pieds.
119.De quel syndrome s’agit-il ?
120.Quels sont les autres signes cliniques à rechercher chez ce patient ?
Cas clinique 42:
Vous recevez aux urgences un patient de 76 ans pour l’apparition brutale d’une hémiplégie droite
121.S’agit-il d’une atteinte centrale ou périphérique ? Où peut siéger la lésion ?
122.L’existence d’une aphasie associée oriente vers quel niveau lésionnel ?
123.L’apparition brutale oriente vers quelle étiologie ?
124.Quels examens demandez-vous en urgence et quelle sera votre attitude en fonction des résultats de
ces examens ?
Cas clinique 43:
Patient âgé de 36 ans, et qui se présente pour une maladresse des 2 mains, une instabilité à la marche et
des difficultés pour parler. L’examen trouve une perturbation de la manœuvre doigt-nez et talon genou des
2 côtés, une marche instable avec élargissement du polygone de sustentation et une dysarthrie.
125.Quel est votre diagnostic syndromique ?
126.Vous retrouvez à l’interrogatoire un épisode de baisse de l’acuité visuelle de l’oeil droit il y a 18 mois
régressif en 2 semaines et la notion de paralysie faciale gauche il à 7 mois,régressive en 3 semaines..Que
vous évoque ces nouvelles données et à quel diagnostic pensez vous ?
127.L’IRM cérébrale retrouve de multiples lésions en hypersignal au niveau de la substance blanche
cérébrale diffuses, périventriculaires bilatérales et asymétriques. Quel est votre diagnostic ?
128.Citez les autres examens paracliniques à réaliser chez ce patient ?
129.Quel est votre prise en charge ?
Cas clinique 44:
Patiente âgée de 56 ans sans ATCD qui présente depuis 6 mois une douleur intense et paroxystique sous
forme d’une décharge électrique d’une durée brève se répétant en salve pendant 1 à 2 minutes au niveau
de l’hémiface droite.
130.Quelle est votre suspicion diagnostique ?
131.Quels sont les autres éléments cliniques à rechercher chez cette patiente pour étayer votre diagnostic
?
132.Quel traitement prescrivez-vous pour calmer la douleur ?
Cas clinique 45:
Patient âgé de 74 ans sans ATCD et qui présente depuis 6 mois des troubles de mémoire avec une
difficulté à mémoriser de nouvelles informations, difficulté à restituer une série d’items dans l’ordre inverse
de leur apparition alors que la mémoire biographique est préservée.
133.De quel syndrome s’agit-il ?
134.Quel est le diagnostic le plus probable ?
135.Quels sont les autres éléments cliniques à rechercher chez ce patient pour étayer votre diagnostic ?
136.Quels examens paracliniques vous aideront à confirmer votre diagnostic ?

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Cas clinique 46:
Un patient de 75 ans, fumeur (40PA), traité par loxen* LP 50 mg 2 fois par jour pour une HTA depuis 10 ans
etpar un hypolipémiant pour une hypercholestérolémie qui présente depuis 9 heures du matin du matin une
lourdeur de l’hémicorps droit avec déviation de la bouche vers la gauche. Il est conscient mais ne parle
plus et ne répond à aucune question. Il est 11 heures du matin.
137.Quels sont les syndromes présentés par ce patient ?
138.Quel est le siège de la lésion ?
139.L’examen général trouve une T° à 37°2 le poul est régulier à 75/min, la TA est à 170/65 mmHg. La
glycémie capillaire est à 1.12 g/l. Quelle attitude thérapeutique envisagez-vous et à quelles conditions ?
Cas clinique 47:
Patiente de 28 ans, qui présente depuis 7 jours, une faiblesse du MI Droit associée à des paresthésies et
à une Diplopie horizontale. A l’examen vous retrouvez un syndrome pyramidal du MI droit, des troubles
sensitifs
thermoalgiques du membre inférieur gauche remontant jusqu’à un niveau D8. Un syndrome cérébelleux
statique et une ophtalmoplégie internucléaire droite.
140.S’agit il d’une atteinte centrale ou périphérique ?
141.Ces symptômes peuvent ils être en rapport avec une seule lésion ?
143.Le patient vous rapporte une notion de baisse de l’acuité visuelle régressive en 15 jours il y a 6 mois.
144.Quel est le diagnostic le plus probable et comment le confirmer?
Cas clinique 48:
Patient âgé de 6 ans l'histoire de sa maladie remonte à l'âge de l'acquisition de la marche :
Retard à la marche (24 mois) puis progressivement des difficultés à courir, à monter les escaliers avec des
chutes fréquentes
L'examen neurologique met en évidence : une marche sur la pointe des pieds, avec un déficit prédominant
en proximal et les muscles des membres inférieurs et du tronc sont nettement plus atteints que les muscles
des membres supérieurs avec un signe de Gowers positif.
145.De quel syndrome s'agit-il ?
146.Quels sont les autres éléments sémiologiques à rechercher chez ce patient pour confirmer votre
diagnostic?
147.De quelle pathologie s'agit-il et quel est son mode de transmission ?
148.Quelles sont les différentes phases par les quelles le patient va passer ?
Cas clinique 49:
Patient de 52 ans, consulte pour l'apparition récente de fausses routes et faiblesse des 2 mains.
149.Quels sont les éléments d'interrogatoire qui peuvent orienter vers un syndrome myasthénique.
150.L'examen retrouve une amyotrophie des 2 mains, des réflexes vifs aux 4 membres et des
fasciculations de la langue. A quel diagnostic pensez-vous ?
150.Quels sont les autres éléments de l'examen clinique que vous recherchez ?
151.citer les examens complémentaires à réaliser
Cas clinique 50:
Un patient de 69 ans, admis pour une hémiplégie droite avec aphasie d'installation brutale depuis 36
heures.Sa TA est de 190/100 mm de Hg,sa température est 38,5
151.Quel est votre diagnostic topographique ?
152.Quelles explorations demandez-vous en urgence ?
153.Quelles mesures générales réalisez vous pour ce patient ?

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Cas clinique 51:
Un patient de 50 ans consulte pour une trouble de la déglutition à type de fausses routes.
154.Quels sont les éléments d’interrogatoire qui peuvent orienter vers une myasthénie ?
155.Quels sont les éléments de l’examen neurologique qui peuvent orienter vers une sclérose
latérale amyotrophique (SLA) ?
156.Comment confirmeriez-vous le diagnostic si vous pensez à une myasthénie ?
157.Comment confirmeriez-vous le diagnostic si vous pensez à une SLA ?

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Neurochirurgie Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Neurochirurgie
-( 2012-2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 128 questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1. Les Traumatismes Crânio Encéphaliques: ( 18 questions )


1.Une fracture du crâne suite à un traumatisme crânien peut entraîner :
A- Une lésion de la dure mère.
B- Une contusion cérébrale.
C- Un hématome extradural .
D- Une perte de connaissance.
E- Une lésion du nerf optique.
2.Une fracture du crâne simple ou associée à une embarrure suite à un traumatisme crânien
peut entraîner :
A- Une déchirure, de la dure mère.
B- Une contusion cérébrale.
C- Un hématome extradural.
D- Une perte de connaissance.
E- Une lésion du nerf optique.
3.L’embarrure du crâne :
A- Est une urgence chirurgicale
B- Se définit par le passage de la table interne de l’os embarré au dessus de la table externe du crâne.
C- Se définit par le passage de la table externe de l’os embarré au dessous de la table interne du crâne.
D- Est responsable de lésions axonales diffuses.
E- Nécessite un traitement anti comitial systématique.
4.La contusion cérébrale :
A-Est toujours localisée en regard du point d’impact.
B-N'est jamais responsable d’un déficit neurologique
C-Est toujours associée à une fracture du crâne.
D-Est responsable d’une réduction du débit sanguin cérébral de moitié,
E-Peut nécessiter un traitement chirurgical.
5.Les lésions axonales diffuses :
A- Sont secondaires aux phénomènes dynamiques.
B- Peuvent être secondaire à un impact crânien isolé
C- Peuvent être associées à un hématome extradural.
D- Peuvent être responsable d’un coma
E- Sont asymptomatiques.
6.La gravité d’un traumatisme crânien est définie par l’existence de :
A- Fractures crâniennes étendues.
B- Plaie du scalp avec saignement abondant
C- État de coma.
D-OEdème cérébral
E- Céphalées importantes.

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7.Les lésions primaires cérébrales post traumatique peuvent
A- Siéger de façon diffuse dans la substance blanche.
B- Menacer le pronostic vital.
C- Nécessiter un traitement chirurgical
D- Évoluer défavorablement.
E- Être secondaire à des phénomènes dynamiques.
8.Devant un traumatisme crânien quels sont les signes qui doivent conduire à pratiquer un scanner en
urgence ?
A.Vomissements isolés.
B.Troubles de conscience.
C.Signes focaux déficitaires.
D.Plaie du cuir chevelu.
E.Epistaxis.
F. Vomissements
G.Hématémèse
9.Les lésions encéphaliques lobaires focales :
A- Peuvent être dues aux phénomènes dynamiques.
B- Définissent la gravité du traumatisme crânien.
C- Leur traitement est chirurgical.
D- Peuvent s’aggraver avec le temps.
E- Sont toujours associées aux lésions axonales diffuses.
10. Les lésions encéphaliques focales post traumatiques:
A- Sont des lésions évolutives.
B- Sont dues aux phénomènes dynamiques.
C- Prédominent au niveau lobaire.
D- Sont responsables d’un spasme artériel.
E- Peuvent être responsables d’un déficit neurologique.
11.Le score de Glasgow (GCS):
A-Permet de surveiller l'évolution d'un traumatisé crânien.
B-Un score à 7 correspond à un malade comateux.
C-Une réponse verbale inchoherante est notée 2
D-Une réponse motrice en flexion adaptée est notée 3.
E-Définit la gravité du traumatisme crânien.
F- Permet d’évaluer la gravité d’un traumatisé crânien.
G- Permet de suivre l’évolution d’un traumatisé crânien
H- Permet de poser l’indication chirurgicale.
I- Est un élément de Pronostic.
J- Peut être évaluer sur un malade comateux.
12.Un jeune patient de 30 ans, victime d'un traumatisme crânien. A l’admission aux urgences, il ouvre ses
yeux à la demande, répond aux questions de façon incohérente et localise la douleur des deux côtés.
A. Son score de-Glasgow est de 8.
B. Son score de Glasgow est de 10
C. Son score de Glasgow est de 11.
D. Est considéré comme un traumatisme crânien modéré.
E. Nécessite un scanner cérébral.

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13.Un jeune patient de 46 ans, sans antécédents particuliers, arrive aux urgences suite à l'apparition
brutale de troubles de conscience. A l'admission, il ouvrait ses yeux à la demande, répondait aux questions
de façon incohérente et localisait la douleur des deux côtés.
A. Son score de Glasgow est de 8.
B. Son score de Glasgow est de 10.
C. Son score de Glasgow est de 11.
D. Son score de Glasgow est de 13.
E. Son score de Glasgow est de 15.
14.Concernant un traumatisé crânien qui ouvre les yeux à la stimulation douloureuse, ne répond pas aux
questions simples et réagit en flexion adaptée :
A- Est comateux.
B- Son GCS est de 6 ‘
C- Son GCS est de 7
D- Son GCS est de 8
E- Son GCS est de 9
15.Un traumatisé crânien qui ouvre les yeux à la stimulation douloureuse, pas de réponse verbale et
exécute les ordres simples :
A- Son GCS est à 8
B- Est considéré comme un traumatisé crânien grave
C- Son bilan doit comporter obligatoirement un scanner cérébral avec injection de produit de contraste.
D- Nécessite une hospitalisation en milieu spécialisé.
E- Le traitement anticomitial n’est pas systématique.
16.Les traumatismes cranio-encéphaliques:
A-L’impact crânien peut être responsable de lésions encéphaliques diffuses
B-Sont des traumatismes dynamiques
C- Ne peuvent-pas-se.voir sans impact crânien.-
D-Les lésions cérébrales post traumatiques sont évolutives.
E-Peut être responsable d'une hémiplégie.
17.Le traumatisme crânien grave :
A- Peut se voir en l'absence d’impact crânien.
B- Doit être hospitalisé en unité de soin intensive
C- Doit bénéficier d’un scanner cérébral avec injection de contraste.
D- Il n’est jamais responsable d’un déficit neurologique.
E- Il est de bon pronostic.
F-Se définit par un score GCS supérieur à 8.
G-Nécessite un scanner cérébral en urgence.
H-Nécessite une IRM cérébrale en urgence.
I-Nécessite une hospitalisation en milieu spécialisé.
J-Le traitement anticomitial n’est pas systématique.
18.Concernant le traumatisé crânien grave
A. Doit être hospitalisé en soins intensifs
B. Une IRM cérébrale fait partie du bilan initial
C. Doit bénéficier d'un monitorage de la pression intracrânienne.
D. En cas d'aggravation neurologique on pratique un scanner cérébral ,
E. est de bon pronostic.

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2. Les Lombosciatiques: ( 6 questions )
1.Une lombosciatique type L5 :
A-La douleur irradie vers le talon la plante des pieds et le 5 eme orteil
B- Le réflexe rotulien est aboli
C -est secondaire-à une hernie discale .
D-Peut s'accompagner de fourmillement et de picotement.
E-Le traitement est essentiellement médical.
2.Devant une lombosciatique commune S1. l’indication opératoire est posée devant :
A- Le caractère hyperalgique de la sciatique
B- Un signe de Lasègue à 45°
C- L'apparition d’un déficit moteur.
D- Une volumineuse hernie discale au scanner.
E- L'absence d’amélioration sous traitement médical bien conduit.
3.Devant une lombosciatique de type L5 d'origine discale, une intervention opératoire se pose devant :
A- L'apparition d'un déficit à la dorsiflexion du pied
B- La survenue d'une épisode hyperalgique
C- L'abolition du réflexe achilléen
D- L'absence d'amélioration après une semaine de traitement médicale
E- L'apparition d'un syndrome de la queue de cheval
F- L’abolition du réflexe rotulien.
4.Devant une lombosciatique commune, l’indication opératoire est posée devant
A. Un syndrome rachidien manifeste.
B. Un signe de Lasègue à 90°.
C. L’apparition d’un déficit moteur.
D. L’existence d’une hernie discale lombaire au scanner.
E. L'absence d’amélioration sous traitement médical bien conduit.
5.Parmi ces propositions concernant la sciatique, la ou lesquelles sont fausses :
A- Une douleur sciatique peut être révélatrice d’une lésion médullaire
B- Sont.souvent secondaire à un traumatisme lombaire
C- Le diagnostic repose essentiellement sur le scanner.
D- L’étiologie discale est la plus fréquente.
E- Le traitement est essentiellement chirurgical.
F-C’est une urgence neurochirurgicale..
G- La douleur est de type tronculaire.
H- L’obésité représente un facteur de risque
I-Le scanner rachidien est l’examen de choix pour le diagnostic positif.
J- Un neurinome intra rachidien peut être révélateur d’une douleur sciatique.
K- Le diagnostic positif est essentiellement clinique.
L- Une sciatique commune L5 est due à une hernie discale L5S1.
M- Le traitement chirurgical est indiqué devant la présence d’une grosse hernie discale au scanner.
N-L'âge est un facteur de risque;
O-L'étiologie traumatique est la moins fréquente.
P-La douleur est de type névralgique.
Q-Le scanner rachidien est indispensable pour le diagnostic positif.
R-Le traitement est chirurgical
S-Pathologie fréquente chez l’enfant
T- Peut se voir en cas de tumeur médullaire.
U- Le signe de Lasègue permet de poser le diagnostic de certitude.
V-L’étiologie traumatique est la plus fréquente.

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W- La douleur est de type radiculaire
X- Le traitement est essentiellement médical
Y-L'IRM rachidienne est l'examen de choix pour le diagnostic positif.
6.A propos de la lombosciatique :
A-La sciatique résulte toujours d’un conflit entre une racine et un disque intervertébral.
B-La sciatique peut être favorisée par un excès de poids
C-Les.douleurs ont un trajet de type radiculaire
D-La lombosciatique peut être favorisée par une mauvaise statique.
E-Peut se compliquer d’une paralysie.
F-L’étiologie discale est la plus fréquente.
G-La douleur est de type radiculaire.
H-L’obésité représente un facteur de risque
I-Le diagnostic est essentiellement clinique.
J-Le traitement est essentiellement chirurgical
K- Les douleurs sont de type névralgique
L- La sciatique résulte souvent d’un conflit entre une racine et un disque intervertébral.

3. Les Suppurations intracrâniennes: ( 12 questions )


1.Les conditions suivantes prédisposent à une suppuration intracrânienne :
A- Une fracture du crâne.
B- Une embarrure.
C- Une sinusite maxillaire.
D- Une brèche ostéo méningée.
E- Une méningite virale.
F- Une plaie crânio cérébrale.
G- Une sinusite frontale.
H- Une fracture du crâne intracrânien
2.Les abcès cérébraux:
A-Sont plus fréquents chez l’adulte jeune et l’enfant
B- Souvent secondaire à une infection régionale d'origine ORL.
C- Le diagnostic associe toujours un syndrome neurologique ,un syndrome infectieux et un syndrome
d'hypertension intracrânienne.
D- Le traitement consiste à une ponction de l'abcès associé à l'antibiothérapie.
E- Peuvent menacer le pronostic vitale
3.L’abcès cérébral :
A- Est une collection de pus intracrânienne.
B- Est secondaire le plus souvent à une infection régionale
C- Peut se compliquer d’épilepsie.
D- Le germe responsable est toujours isolé au niveau du pus.
E- Le traitement est toujours chirurgical.
4. Parmi ces propositions concernant l’abcès cérébrale, la ou lesquelles sont fausses.
A-Est une collection de pus intracrânienne extracérébrale.
B- L’origine ORL est la plus fréquente
C- Est une affection grave
D-Le diagnostic repose essentiellement sur l’IRM.
E- L’aspect à l’IRM est spécifique.

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5.Parmi ces propositions concernant les abcès intracrânien, la ou lesquelles
fausses.
A-Sont des collections de pus développées au sein du parenchyme encéphalique.
B-Peuvent compliquer l’évolution d’une otite moyenne chronique mal traitée.
C-Peuvent compliquer une intervention chirurgicale crânienne.
D-Le diagnostic est fait essentiellement par l’IRM cérébrale.
E-Le traitement consiste à faire une ponction avec antibiothérapie.
6. Parmi ces propositions concernant les abcès encéphaliques, la ou lesquelles sont fausses :
A- Sont des collections de pus développées en extra cérébral.
B- Peuvent compliquer l’évolution d’une otite moyenne chronique.
C- Peuvent compliquer une intervention chirurgicale crânienne.
D- Le diagnostic est fait essentiellement par le scanner cérébral.
E- Le traitement consiste à faire une ponction avec antibiothérapie.
7.L'Empyème intracrânien :
A-Il est fréquent chez l’enfant et l’adulte jeune.
B-Est souvent associé à un traumatisme crânien.
C-La symptomatologie clinique est atypique
D-Le scanner cérébral injecté montre souvent une image évocatrice,
E-Le traitement est chirurgical, associé à une antibiothérapie.
8.Le empyèmes intracrâniens: :
A-Sont des collections de pus qui siègent en extradural.
B. Peuvent compliquer une intervention chirurgicale crânienne .
C. Le diagnostic repose sur l'imagerie.
D-Le traitement consiste à une ponction de l'empyème associé à l'antibiothérapie
E-Peuvent se compliquer d'épilepsie
9.Parmi ces propositions concernant les empyèmes intracrâniens, la ou lesquelles sont fausses.
A- Sont des collections de pus développées au sein du parenchyme cérébral
B- Peuvent compliquer l’évolution d’une otite moyenne chronique mal traitée.
C- Peuvent compliqués une intervention chirurgicale crânienne.
D- Le diagnostic est fait essentiellement par le scanner cérébral
E- Le traitement consiste à faire une ponction avec antibiothérapie.
10.Parmi ces propositions concernant les empyèmes intracrânien, la ou lesquelles sont justes
A- Sont des collections de pus développées au sein du parenchyme cérébral
B- Peuvent compliquer l'évolution d'une otite moyenne chronique mal traitée.
C- Peuvent compliqués une intervention chirurgicale crânienne.
D- Le diagnostic est fait essentiellement par le scanner cérébral
E- Le traitement consiste à faire une ponction avec antibiothérapie.
11.La phase d’encéphalite présuppurative est caractérisée par :
A. La présence d’une collection de pus intracrânienne.
B. Des lésions mal limitées et hétérogène au scanner
C. Un important oedème cérébral au scanner
D. Un tableau clinique très évocateur.
E. L’efficacité du traitement médical à ce stade.
12.Les suppurations intracrâniennes :
A : Sont des urgences médico-chirurgicales.
B : L’IRM est l’examen de choix pour faire le diagnostic.
C : Nécessitent une prise en charge en ambulatoire.
D : Nécessitent une antibiothérapie adaptée.
E : Nécessitent un traitement chirurgical par ponction.
E : Nécessitent un traitement chirurgical

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4. Le Kyste Hydatique intra cérébral: ( 1 question )
1.Le kyste hydatique cérébral
A.Est plus fréquent chez l’enfant.
B.Siège essentiellement au niveau cérébelleux.
C.Le diagnostic est clinique.
D.Le scanner cérébral montre souvent des images pathognomoniques.
E.Le traitement chirurgical consiste à ponctionner le kyste.
F. Est fréquent chez l’enfant et l'adulte jeune.
G. Souvent multiple et de siège hémisphérique.
H.La symptomatologie clinique est atypique
I.Est très fréquent au Maroc
J.Sévit à l’état épidémique au Maroc.
K.Le diagnostic est biologique.
L.Le traitement chirurgical consiste à l’ablation du kyste.
M.La symptomatologie clinique est typique

5. Les tumeurs intra crâniennes: ( 6 questions )


1.La biopsie stéréotaxique :
A- Est indiquée pour les tumeurs profondes ou en zone hautement fonctionnelle.
B- Nécessite la mise en place d’un cadre de stéréotaxie.
C- Une imagerie est nécessaire pour le repérage.
D- Permet l’exérèse tumorale.
E- Ne comporte aucun risque.
2.Les gliomes :
A- Sont des tumeurs développées à partir des cellules arachnoïdiennes.
B- Sont des tumeurs extra-axiales.
C- Sont les tumeurs les plus fréquentes du cerveau.
D- Leur diagnostic est surtout clinique.
E- Leur traitement est essentiellement chirurgical
F- Sont des tumeurs intra-axiales.
G- Sont les tumeurs les moins fréquentes du cerveau.
3.Les gliomes sont:
A .Des tumeurs intra-axiales
B.Des tumeurs bénignes .
C Les Tumeurs cérébrales les plus fréquentes
D.Peuvent être responsables d’une épilepsie
E.traités exclusivement par chirurgie
4.Les gliomes intracrâniens sont :
A-Des tumeurs développées à partir des cellules arachnoïdiennes.
B- Des tumeurs extra-axiales.
C- Les tumeurs les plus fréquentes du cerveau.
D-Le diagnostic est surtout clinique.
E- Le traitement est essentiellement chirurgical
5.Les méningiomes intracrâniens :
A- Sont fréquents chez la femme.
B- Peuvent être multiples.
C- Sont des tumeurs intra-axiales.
D- Sont des tumeurs bénignes.

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E- Le traitement est essentiellement chirurgical
F- Sont des tumeurs bénignes développées à partir des cellules arachnoïdiennes..
G- Fréquentes chez les femmes ménopausées.
H-Les tumeurs les plus fréquentes du cerveau.
I-Le diagnostic est surtout clinique.
6.Les méningiomes intracrâniens sont :
A.Des tumeurs développées à partir des cellules arachnoïdiennes.
B.Des tumeurs extra-axiales.
C;Les tumeurs les plus fréquentes chez l'homme.
D.De diagnostic clinique.
E.toujours traités par chirurgie

6. Mal de Pott: ( 7 questions )


1.Dans le mal de Pott, le traitement médical:
A- est toujours indiquée.
B- nécessite une confirmation histologique du diagnostic avant son instauration.
C- est d’une durée totale de 06 mois.
D- fait appel à une association de plusieurs antibacillaires.
E- nécessite une surveillance clinico-biologique régulière.
2.Dans le mal de Pott, la chirurgie permet :
A- de corriger les déformations vertébrales.
B-d'avoir un diagnostic histologique de certitude.
C- de réaliser une décompression des structures nerveuses.
D-de raccourcir la durée du traitement médical.
E-d'assurer une stabilité rachidienne.
3.Les signes radiologiques en faveur d'un tuberculose rachidienne sont
A-le fuseau paravertébral
B- l'atteinte discale au stade de début
C-l'aspect de godes en miroir
D-La présence de séquestres osseux
E une vertèbre Ivoire
4.Dans le mal de Pott
A- L’infection atteint initialement la colonne antérieure du rachis.
B- Un aspect de géodes « en miroir » en imagerie est un élément orientateur.
C- Le traitement anti-bacillaire n’est démarré qu’après confirmation histologique.
D- La chirurgie est indiquée en cas d’instabilité rachidienne.
E- Le traitement orthopédique est systématique en cas de traitement conservateur.
F- l’atteinte du disque intervertébral survient à la phase précoce de la maladie.
G- l’atteinte du rachis thoracique est la plus prédominante.
H- la durée du traitement anti-bacillaire est de six mois.
I- l'atteinte rachidienne débute au niveau de la région sous chondrale de la vertèbre
J- le BK est de multiplication rapide.
K-le rachis lombaire est le plus fréquemment atteint.
L-la durée du traitement médical est de 06 mois.
M-les abcès froids sont caractérisés par leur caractère indolore et migrateur.
N-l'atteinte disco-vertébrale évolue en trois phases.
O- la phase d'envahissement peut prendre une forme diffusé ou localisée.
P-la phase d’envahissement se caractérise par une atteinte discale constante.
Q- la phase de réparation survient toujours spontanément.

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R-La cicatrisation du foyer pottique aboutit à une fusion vertebrale
S- l’atteinte rachidienne commence au niveau du disque intervertébral
T- le BK est de multiplication lente.
U- la durée du traitement médical est d’au moins de 06 mois.
V- les abcès pottiques sont caractérisés par leur caractère inflammatoire.
W- l’atteinte débute au niveau du disque intervertébral.
X- la dissémination se fait par voie hématogène.
Y- la forme de l’enfant est souvent pluri vertébrale..
Z. L'atteinte rachidienne débute au niveau du disque.
5.Dans le mal de Pott:(suite)
A. La forme de l'enfant est souvent pauci vertébrale.
B. La localisation thoracique est la plus fréquente.
C. l’atteinte disco-vertébrale évolue en quatre phases.
D. la dissémination se fait par voie lymphatique.
E. représente la forme la plus fréquente de la tuberculose vertébrale.
F. sévit encore au Maroc à l’état endémique.
G. peut être responsable de complications orthopédiques.
H. relève d’un traitement chirurgical.
I. peut se voir chez l’enfant
J.l’infection commence au niveau du corps vertébral.
K. la dissémination de l’infection se fait par voie hématogène.
L. la forme de l’adulte est pluri vertébrale.
M. les abcès sont froids et indolores.
N.Le rachis thoracique est le segment rachidien le plus atteint
O. L’arc postérieur est la partie de la vertèbre la plus atteinte
P. L’atteinte infectieuse débute au niveau du disque intervertébral
Q. Le traitement antituberculeux est toujours indiqué
R.Le début de. l’affection est brutale.
S.Une fièvre élevée est constamment associée au syndrome rachidien douloureux.
T.La forme de l’enfant est souvent pluri vertébrale.
U.La localisation dorsale est la plus fréquente.
V.Les abcès portiques sont chauds et douloureux.
W. Les BK sont à multiplication rapide
X.l’infection atteint initialement la colonne antérieure disco-corporée.
Y. la fusion osseuse survient spontanément.
Z.les formes multifocales se voient chez l’enfant et le sujet agé.
AA.le traitement anti-bacillaire peut s’étendre au-delà d’une année.
BB.une chirurgie mini-invasive peut être indiquée.
6.Concernant la tuberculose rachidienne :
A- Elle constitue l’atteinte la plus fréquente de la tuberculose ostéo-articulaire.
B- Le mal de pott correspond à une spondylite vertébrale.
C- Le mal de pott correspond à une spondylodiscite vertébrale.
D- La dissémination se fait par voie lymphatique.
E- Elle peut être responsable de complications neurologiques et orthopédiques.
F- le mal de pott correspond à une véritable ostéomyélite.
G- l’atteinte discale se fait par voie hématogène.
H- les abcès pottiques doivent être ponctionnés.
7.Dans la spondylodiscite tuberculeuse:
A- le début de l’affection est brutal.
B- une fièvre élevée est constamment associée au syndrome rachidien douloureux.

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C- la présence de séquestres osseux sur le scanner est un élément orientateur
D- la localisation lombaire est la plus fréquente.
E- les abcès pottiques sont froids et indolores.
F- La localisation lombaire est la plus fréquente
G- La présence d'abcès froids à l'examen clinique est un élément orientateur
H- En IRM elle se traduit par un hypersignal T1 et hyposignal T2
I- Le TRT chirurgical est toujours de mise
J-le traitement antibacillaire n 'est démarré qu’après confirmation histologique
K-la TDM rachidienne évalue l’étendue des lésions des parties molles péri vertébrales

7. Les Hématomes cérébraux: ( 16 questions )


1.Un hématome intracérébral spontané (HICS) peut être secondaire à :
A- Une crise hypertensive.
B-Une malformation artérioveineuse
C-Une maladie de système
D- Un surdosage en anticoagulants
E- Une tumeur cérébrale
F-Une malformation vasculaire
G-Une fistule durale
H- une HTA.
I- un traumatisme crânien.
J- un cavernome.
K- une périartérite noueuse.
L- une rupture d'anévrisme intracrânien.
M- un cavernome cérébral.
N- une thrombophlébite cérébrale.
O- une angiopathie amyloïde.
2. Devant une suspicion d’un hématome intracérébral spontané, le premier examen à réaliser est
A- une TDM cérébrale.
B- une IRM cérébrale.
C- une artériographie cérébrale.
D- une angio IRM cérébrale.
E- une étude du LCR après ponction lombaire.
3.En cas d’HICS, l’injection du produit de contraste au scanner cérébral est indiquée en cas de suspicion:
A- de malformation artério-veineuse.
B- d'un anévrisme artériel intracérébral.
C- de thrombophlébite cérébrale.
D- de cavernome cérébral.
E- de tumeur cérébrale.
4.Dans les hématomes intracérébraux spontanés, l’artériographie :
A- est indiquée en cas de suspicion d’angiopathie amyloïde.
B- est indiquée en cas de suspicion de cavernome cérébral.
C- permet de confirmer une malformation vasculaire.
D- l’étude des quatre axes vasculaires est généralement suffisante.
E- l’étude de la carotide externe est obligatoire si suspicion de fistule artérioveineuse.
F- est indiquée en cas de suspicion d’une malformation artérioveineuse.

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5.Dans le cadre d exploration d un hématome intracérébral spontané, une artériographie cérébrale doit
être :
A.Demandée en cas de suspicion d'une malformation vasculaire
B Demandée en cas de suspicion d'une angiopathie amyloïde
C.Faite en cas d'hémorragie méningée associée.
D- Faite en cas de localisation corticale de l'hématome
E Faite en cas d’hématome des noyaux gris centraux.
6.En cas d'HICS, l'artériographie cérébrale est indiqués en cas de suspicion
A-de cavernome cérébral.
B-de malformation artério veineuse.
C-d'anévrysme intracérébral.
D-de fistule artério-veineuse.
E-de tumeur cérébrale sous-jacente.
7.Lors d’un hématome intracérébral spontané, une artériographie cérébrale est indiquée :
A- en cas d’un hématome lobaire.
B- en cas d’hématome des noyaux gris centraux.
C- pour rechercher une malformation vasculaire.
D- en cas d’hémorragie méningée associée.
E -si le sujet est jeune sans cause évidente de saignement.
F-Localisation lobaire de l’hématome
G-Localisation profonde de l’hématome aux noyaux gris centraux
H-Suspicion de malformation vasculaire
I-Suspicion de thrombophlébite cérébrale
J-Aucune proposition précédente n’est juste
8.Chez un jeune patient qui fait un hématome intracérébral spontané, l’artériographie est indiquée
A- si l’hématome est de siège lobaire.
B- en cas de suspicion d’angiopathie amyloïde.
C- si l’hématome est associé à une hémorragie sous arachnoïdienne.
D- pour rechercher une malformation vasculaire sous jacente.
E- après résorption de l’hématome.
9.Dans les hématomes intracérébraux spontanés, l’artériographie :
A- Est indiquée en cas de suspicion d’angiopathie amyloïde.
B- Est indiquée en cas de suspicion de cavernome cérébral
C- Permet de confirmer une malformation vasculaire.
D- L’étude des quatre axes vasculaires est généralement suffisante.
E- L’étude de la carotide externe est obligatoire si suspicion de fistule artérioveineuse.
10.En cas d’hématome intracérébral spontané
A- une origine non hypertensive doit être évoquée devant un hématome de siège lobaire.
B- une rupture d'anévrysme est suspectée en cas d’hémorragie méningée associée.
C- une artériographie cérébrale des 4 axes vasculaires est suffisante.
D- le score ICH se base sur deux facteurs cliniques et trois facteurs radiologiques.
E- le pronostic est bon lorsque le score ICH est haut et vis-versa.
11.En cas d’hématome intracérébral spontané superficiel :
A- Une origine non hypertensive doit être évoquée en premier lieu.
B- Une rupture d'anévrisme est suspectée en cas d’hémorragie méningée associée.
C- Une artériographie cérébrale n’est pas obligatoire
D- Une évacuation chirurgicale est toujours indiquée
E- Le pronostic dépend de l’âge, du GCS, et du volume de l’hématome.

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12. En cas d’hématome intracérébral spontané lobaire :
A- une origine hypertensive doit être évoquée en premier lieu.
B- une rupture d'anévrisme est suspectée en cas d’hémorragie méningée associée.
C- une artériographie cérébrale n’est pas obligatoire.
D- une évacuation chirurgicale est toujours indiquée.
E- le pronostic dépend du score de Glasgow et du volume de l’hématome.
F- Une recherche étiologique doit être faite quelque soit l'âge du patient
G- Une origine hypertensive doit être évoquée en premier lieu chez le sujet jeune
H- Une artériographie carotide interne et vertébrale est suffisante pour l'exploration angiographique
I- La chirurgie s'impose toujours
J- Le pronostic dépend de l'âge du GCS et de la localisation de l'hématome
K- Le traitement médical doit être toujours de mise..
13.L'Hématome intracérébral spontané :
A- représente une urgence neurochirurgicale.
B- peut être lobaire ou profond.
C- nécessite la réalisation d'une artériographie cérébrale dans tous les cas.
D- nécessite une recherche étiologique dans tous les cas.
E- nécessite toujours une évacuation chirurgicale.
14.En cas d’hématome intracérébral spontané
A. une recherche étiologique, comprenant une angiographie cérébrale, doit être faite quelque soit l'âge du
patient.
B. une localisation corticale de l’hématome oriente en premier vers une origine hypertensive.
C. la suspicion d’angiopathie amyloïde constitue une indication idéale de la chirurgie.
D. le pronostic dépend de l’âge, du GCS, et de la présence de déficit neurologique.
E. Le traitement est toujours chirurgical
15.L’hématome intracrânien spontané chez le sujet jeune.
A. Nécessite l’hospitalisation en milieu conventionnel.
B. Doit toujours faire rechercher une lésion causale.
C. Doit être opéré s’il est volumineux.
D. Prédomine souvent au niveau capsulo-thalamique.
E. Une angiographie cérébrale fait partie du bilan d’exploration.
16.Un hématome sous dural aiguë apparaît sur le scanner :
A- Sous forme d'une hyperdensité
B- Sous forme d'une hypodensité
C- Sous forme d'une lentille biconvexe
D- Souvent associé à une pneumocéphalie
E- Souvent associé à une fracture
F-Sous forme d’une hypodensité en croissant.
G-Souvent associé à une hydrocéphalie.

8. Les Hémorragies méningées spontanées: ( 15 questions )


1.Devant toute suspicion d’hémorragie méningée spontanée on doit
A : Pratiquer un scanner.
B : Faire une ponction lombaire si le scanner est normal.
C : Pratiquer une IRM.
D : Hospitaliser le malade.
E : Faire un EEG.

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2.Devant toute suspicion d'hémorragie méningée on doit :
A- Pratiquer un scanner
B- Faire une ponction lombaire
C- Pratiquer une IRM
D- Hospitaliser le malade
E- Faire un EEG
3.Les anévrysmes artériels intracrâniens.
A- Sont d’origine infectieuse.
B- Sont fréquent chez l’adulte.
C- Siègent préférentiellement au niveau du polygone de Willis
D- Le diagnostic est fait essentiellement par l’angiographie cérébrale
E- Le traitement est chirurgical ou endovasculaire.
F- Représentent la première cause des hémorragies méningée.
G- Peuvent être multiples.
H- Nécessite un dépistage systématique
I-représentent la première cause des hémorragies intra cérébrales
J- Sont fréquent chez l'enfant.
K- Souvent unique.
L- Le diagnostic est fait essentiellement par le scanner cérébral
4.En cas d’hémorragie méningée spontanée secondaire à un anévrysme, le re-saignement
A : Est une menace permanente.
B : De pronostic grave.
C : Le risque est maximal vers le 3e jour.
D : Peut se révéler par une fièvre.
E : La chirurgie est le meilleur moyen pour la prévenir.
5. En cas d’hémorragie méningée spontanée secondaire à un anévrysme le spasme :
A : Est une menace permanente.
B : De pronostic grave.
C : Le risque est maximal vers le 3 eme jour.
D : Peut se révéler par une fièvre.
E : La chirurgie est le meilleur moyen pour le prévenir.
6.Dans l'hémorragie méningée spontanée, le vasospasme artériel
A- constitue une complication redoutable.
B- représente le temps idéal de Ia chirurgie d'anévrysme intra cérébral
C- a une définition clinique, échographique et angiographique.
D- nécessite un traitement médical préventif de plus d un mois.
E- se complique d'ischémie cérébrale.
7.Le spasme artériel suite à une hémorragie méningée spontanée :
A- Apparaît vers la 3ème heure et persiste 3 semaines.
B- Peut se compliquer de trouble de conscience.
C- Peut s’accompagner d’une fièvre.
D- Peut se voir à distance du lieu du saignement.
E- Peut être asymptomatique
8.Le spasme artériel post hémorragie méningée
A-Est fréquent.
B-Peut être asymptomatique
C-Peut se révéler par un déficit neurologique.
D-Nécessite une prévention systématique.
E-Aggrave le pronostic du malade.

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9.Le spasme artériel:
A. Complique souvent une hémorragie méningée post traumatique.
B. Aggrave le pronostic du malade
C. Apparaît vers la 3ème semaine.
D. Est responsable d'une réduction du débit sanguin cérébral de moitié;
E Peut être responsable d'un déficit neurologique.
F- Complique souvent une hémorragie méningée spontanée.
G- Apparaît vers la 3eme heure
H- Est responsable d’une hypoperfusion cérébral
I- Peut être responsable d’une hémiplégie.
J-Il n'est jamais responsable d’un déficit neurologique.
K-Apparaît vers le 3ème jour.
10.Le grade III de la classification de Hunt et Hess correspond à:
A- Céphalée intense et raideur de nuque intense.
B- Déficit neurologique focalisé ou confusion.
C- Coma profond avec décérébration.
D- GCS à 15 sans déficit moteur.
E- GCS à 7 avec déficit moteur.
11.L’hémorragie sous arachnoïdienne spontanée :
A- Est souvent associée à une contusion cérébrale.
B- S’accompagne d’un spasme artériel qui apparait vers la 3eme semaine.
C- Peut être responsable d’une HTA.
D- Peut être secondaire à une HTA.
E- Son évolution est imprévisible.
12.L'hémorragie méningée spontanée
A-Est la deuxième cause de mortalité chez l’adulte.
B-Les malformations artérioveineuses sont les causes les plus fréquentes.
C-Nécessite l’hospitalisation en milieu spécialisé.
D-Peut être responsable de mort subite.
E-Peut nécessiter un traitement chirurgical.
13.Les hémorragies méningées spontanées:
A- Se définissent comme un épanchement sanguin diffus dans le cerveau
B- Peuvent se voir à n'importe quel âge.
C- Les malformations artério-veineuse cérébrale représentent la principale étiologie.
D- L'IRM peut faire partie du bilan étiologique
E- Peuvent se compliquer d'hydrocéphalie
14.L’hémorragie méningée post traumatique peut
A- Etre due à une contusion cérébrale.
B- Etre responsable d’un état d’agitation
C- Se compliquer d’un spasme artériel.
D- Etre associé à un oedème cérébral diffus
E- Nécessiter un traitement chirurgical.
15.Une hémorragie méningée post-anévrysmale peut se compliquer de
A- resaignement
B- hydrocéphalie.
C- hémorragie du vitrée.
D- myocardite adrénergique.
E- oedème aigu du poumon.

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9. Les névralgies faciales: ( 3 questions )
1.Une névralgie faciale secondaire est suspectée devant
A- un sujet jeune.
B- des formes bilatérales.
C- des accès douloureux brefs et rapides.
D- l’absence d'anomalie à l’examen neurologique.
E- une mauvaise réponse à la carbamazépine.
2.Chez un sujet jeune, la névralgie faciale essentielle résistante au traitement médical nécessite en
première intention:
A-Une thermocoagulation percutanée.
B-Une compression mécanique par ballonnet.
C-Une injection de Glycérol dans la citerne trigéminale.
D- Une radiochirurgie stéréotaxique.
E- La réalisation d'une IRM cérébrale.
3.La névralgie faciale :
A- Correspond à une gêne du nerf facial.
B- Nécessite une exploration systématique par IRM cérébrale.
C- Peut révéler une sclérose en plaque.
D- Se voit beaucoup plus chez les femmes que chez les hommes.
E- Nécessite toujours un traitement médical.

10. L’hydrocéphalie: ( 10 questions )


1.Sur une radiographie du crâne, les signes indirects de l’hypertension intracrânienne sont :
A- Amincissement de la voûte du crâne.
B- Erosion des clinoïdes postérieurs.
C- Ballonnement de la selle turcique
D- Déformation du crâne.
E- Disparition des sutures crâniennes.
2.Les radiographies du crâne d'un enfant atteint d'hypertension intracrânienne peuvent montrer :
A- Disjonction des sutures crâniennes
B- Un élargissement de la selle turcique
C- Des calcifications
D- Une accentuation des empreintes digitiforme osseuses
E- Amincissement de la voûte du crâne
3.Les signes indirects d’hypertension intracrânienne sur les radiographies du crâne d’un enfant sont:
A : Disjonction des sutures crâniennes.
B : Erosion de la selle turcique.
C : Des calcifications.
D : Disparition des empreintes digitiforme osseuse.
E : Épaississement de la voûte du crâne.
4.La Ventriculocisternostomie :
A- Représente le traitement de référence des hydrocéphalies obstructives.
B- Se fait par endoscopie.
C- consiste à placer une valve dans la corne frontale du ventricule latéral droit.
D- Consiste à réaliser une stomie entre le plancher du troisième ventricule et la citerne inter-pédonculaire.
E- Peut se compliquer d’hématome.

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5.L'hydrocéphalie chronique de l'adulte se manifeste par:
A- des signes d'hypertension intracrânienne.
B- des troubles de la marche.
C- une aphasie.
D- des troubles sphinctériens (fuites urinaires).
E- des troubles de mémoire.
6.Une hydrocéphalie chronique de l’adulte :
A- Est une hydrocéphalie obstructive.
B- Peut compliquer une hémorragie méningée.
C- Peut compliquer une chirurgie crânienne.
D- La triade d’Adams Hakim est pathognomonique.
E- Le tap test (PL déplétive) permet de prédire la réponse à une dérivation chirurgicale.
F-se manifeste par une régression des acquisitions psychomotrices
G-est une hydrocéphalie non communicante.
H-la triade d'Adams Hakim est fortement évocatrice.
I-la dérivation ventriculo-péritonéale constitue le traitement chirurgical de choix.
7.Une hydrocéphalie quadriventriculaire :
A- Est une hydrocéphalie intéressant uniquement les deux ventricules latéraux.
B- Peut se compliquer d’engagement.
C- Peut être secondaire à une méningite.
D- Peut être communicante ou non communicante.
E- La ventriculocisternostomie constitue le traitement chirurgical de référence.
F- est une hydrocéphalie prédominante au niveau du quatrième ventricule.
G- peut être secondaire à une hémorragie méningée.
8.Les hydrocéphalies obstructives :
A- Peuvent être bi, tri ou quadri ventriculaires
B- Sont souvent d’origine tumorale
C- Sont fréquentes chez le nourrisson
D- Nécessite toujours un traitement de l’hydrocéphalie avant la levée de l’obstacle
E- La ventriculocisternostomie est la meilleure indication en cas d'hydrocéphalie triventriculaire.
F-Engagent le pronostic vital
G- nécessite toujours un traitement chirurgical.
9.Une hydrocéphalie .
A- Se définit par une augmentation du volume ventriculaire.
B- Se définit par une augmentation de la pression du liquide cérébro-spinal.
C- Communicante est secondaire à un obstacle sur les voies d'écoulement du LCR.
D- Relève toujours d’un traitement chirurgical.
E- Est souvent d’origine malformative chez le nourrisson
10.Dans les hydrocéphalies:
A- une hydrocéphalie non communicante reflète un trouble de résorption du LCR.
B- une étiologie malformative est plus fréquente chez le nourrisson.
C- une origine infectieuse est possible-quelque -soit l'âge du patient
D- une dérivation ventriculo-péritonéale est obligatoire dans tous les cas.
E- Le pronostic dépend de l'étiologie

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11. Les traumatismes vertébro-médullaires: ( 12 questions )
1.Les signes de gravité des traumatismes vertébro-médullaires :
A-Bradycardie
B- Respiration abdominale
C- Priapisme
D- Fièvre
E- Polypnée
F-Dyspnée
G-Hyperthermie
2.Un traumatisme vertébro-médullaire cervical peut entrainer
A-Troubles neuro-végétatifs
B-Hyperthermie
C-Troubles respiratoires
D-Priapisme
E-Bradycardie
3.Le traitement des traumatismes vertébro-médullaires :
A- le traitement médical n'est prescrit que pour les fractures instables.
B- les fractures instables sont traitées chirurgicalement.
C- le but de la chirurgie est de décomprimer seulement.
D- les fractures stables sont traitées orthopédiquement.
E- la traction cervicale est indiquée pour réduire une luxation cervicale.
4.Selon Roy Camille, l'instabilité vertébrale est définie par:
A- L'atteinte du pédicule vertébral.
B- L'atteinte du massif articulaire.
C- L'atteinte de la colonne antérieure.
D- L'atteinte de la colonne moyenne.
E- L'atteinte du segment vertébral moyenne
5.Selon Denis, l’instabilité vertébrale est définie par:
A- l’atteinte du segment vertébral moyen.
B- l’atteinte de la colonne postérieure.
C- l’atteinte de la colonne moyenne.
D- l’atteinte du mur vertébral postérieur.
E- l’atteinte de l’apophyse épineuse.
6.Le segment mobile rachidien comprend:
A- le corps vertébral.
B- le disque intervertébral.
C- le ligament vertébral commun antérieur.
D- le ligament vertébral commun postérieur.
E- l’arc postérieur
7.Devant un traumatisme vertébro- médullaire :
A- Le patient peut présenter un déficit complet ou incomplet
B- Les radiographies standards peuvent être normales.
C- L’IRM médullaire est l'examen de choix pour poser le diagnostic.
D- Le scanner rachidien explore les lésions vertébrales.
E- Le but du traitement est de décomprimer et stabiliser.
8.Les traumatismes vertébro-médullaires.
A. Souvent secondaire à des accidents de la circulation.
B. La stabilité rachidienne conditionne la prise en charge.
C. L'IRM est indiquée d'emblée

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D-Le grade E de Frankel Correspond une paraplégie sensitivo motrice complète
E-Le traitement est chirurgical
9.Dans les traumatismes vertébro-médullaires :
A- L’accident de plongeon est un mécanisme en hyperflexion.
B- Les lésions disco-corporéales sont les plus fréquentes au niveau du rachis cervical.
C- Les fractures pédiculaires lombaires déterminent l'instabilité vertébrale.
D- Le pronostic vital peut être engagé.
E-TVM cervical par accident de plongeon est un mécanisme en compression et hyperflexion
F-Les lésions disco-corporéales cervicales sont les plus fréquentes
G-Le coup du lapin cervical est un mécanisme en.compression
H-Les fractures pédiculaires lombaires déterminent l’instabilité vertébrale
10.Chez un traumatisé vertébro-médullaire:
A. L'examen clinique initial doit se faire sur les lieux de l'accident.
B. Un score de Yale à 4 signifie une mobilité segmentaire normale.
C. Un Frankel B signifie une conservation motrice permettant la marche.
D. Le premier examen complémentaire à demander est l'IRM rachidienne.
E. Une lésion stable relève d'un traitement chirurgical.
11.Cochez, les propositions justes :
A- La fracture Tear drop est une fracture instable
B- La fracture des pédicules lombaires est une fracture instable
C- Les Fractures dorso-lombaires instables sont traitées orthopédiquement.
D- Les fractures luxations cervicales sont stables
E- La chirurgie est indiquée pour les fractures vertébrales instables.
F-Les fractures vertébrales instables sont traitées chirurgicalement
G-La contention orthopédique est réservée aux fractures vertébrales stables
H-La classification de Frankel est une classification pronostique
I-La traction cervicale est indiquée pour stabiliser une fracture luxation cervicale
J-Le pronostic dépend de la classification de Roy-camille
K-L'atteinte du segment mobile rachidien détermine la stabilité vertébrale
L-Les fractures pédiculaires lombaires sont chirurgicales
M- Les apophyses articulaires et le mur postérieur font partie du segment vertébral moyen
N- Les fractures de chances sont orthopédiques
O- Le Frankel A est un patient sans déficit neurologique
12.Un traumatisé du rachis dorsal, admis aux urgences, conservant uniquement la sensibilité aux membres
inférieurs :
A. Est considéré comme un grade C de FRANKEL.
B. L’examen à demander en urgence est une IRM rachidienne.
C. Les radiographies du rachis peuvent être normales.
D. On doit demander un scanner du rachis avec reconstructions sagittales.
E. Une lésion instable relève d’un traitement chirurgical.

12. Le canal lombaire étroit: ( 3 questions )


1.Les manifestations cliniques du canal lombaire étroit:
A-Lombalgies chroniques
B-Névralgies cervico-brachiales
C-Syndrome de la queue de cheval
D-Claudication intermittente neurogène
E-Troubles sphinctériens

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2.Devant un canal lombaire étroit:
A-Les lombo-sciatalgies sont mal systématisées
B-Peut se compliquer de syndrome de la queue de cheval
C-La claudication intermittente médullaire est une douleur de la jambe après un périmètre de marche.
D-La cause est dégénérative
E- La laminectomie est le gold standard thérapeutique
3.Le canal lombaire étroit :
A. Est plus fréquent chez le sujet jeune
B. Est considéré pour un diamètre du canal rachidien inférieur à 12mm
C. Peut être d’origine acquis ou constitutionnel
D. Le diagnostic positif posé sur le scanner lombaire
E. La claudication intermittente neurogène est une bonne indication chirurgicale

13. Compressions Médullaires Lentes: ( 12 questions )


1.Le syndrome de compression médullaire lente
A. Le syndrome lésionnel correspond à l'interruption des voies nerveuses longues.
B.Est une urgence neurochirurgicale qui peut menacer le pronostic vital.
C-Un niveau sensitif ombilical correspond à une atteinte de D7 .
D.Les compressions médullaires cervicales sont les plus fréquentes.
E. Le diagnostic étiologique est assuré par l'imagerie.
2.Parmi les étiologies des compressions médullaires lentes figurent :
A-Le mal de Pott.
B-L’hernie discale.
C-Les tumeurs sacrées.
D-Les épidurites.
E-Les myélomes.
F-Les méningiomes rachidiens.
G-Les tumeurs médullaires.
H-Les tumeurs rachidiennes.
I-Le méningiome est intra-dural extra-médullaire
J-L’épendymome est intra-médullaire
K-la spondylodiscite est extra durale
L-Epidurite est intramédullaire
M-L’astrocytome est extramédullaire
3.Parmi les causes des compressions intra médullaires lentes :
A-Mal de pott
B-Hernie discale dorsale
C-Gliome médullaire
D-Ependymome médullaire
E-Ostéosarcome du rachis
F-Tumeur pulmonaire
G-Hernie discale
H-Myélome
I-Tumeur sacrée
4.Une compression médullaire lente peut être secondaire à :
A- un mal de Pott.
B- un traumatisme lombaire.
C- un méningiome rachidien.
D- une tumeur médullaire.

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E- une hernie discale thoracique
5.Parmi les causes épidurales des compressions médullaires lentes figurent :
A. Les méningiomes rachidiens.
B. Les tumeurs médullaires.
C. Le mal de Pott.
D. L'abcès extradural rachidien.
E. L'hernie discale.
6.Parmi les causes intradurales des compressions médullaires lentes :
A- Les neurinomes rachidiens.
B- Les méningiomes rachidiens.
C- Les tumeurs intramédullaires
D- Les tumeurs vertébrales.
E- L’hernie discale dorsale..
7.Une compression médullaire cervicale :
A- Peut engager le pronostic vital.
B- Peut se manifester par une atteinte des nerfs mixtes.
C- Peut se manifester par une paraplégie
D- Est le siège le plus fréquent des compressions médullaires lentes.
E- L’IRM permet de préciser la cause de compression.
8.Le syndrome de Brown Séquard:
A- associe un syndrome cordonal postérieur et une hémiplégie.
B- associe un déficit moteur et de la sensibilité profonde du même côté de la lésion avec une hypoesthésie
thermo-algique controlatérale.
C- est la traduction d’une compression postérieure de la moelle.
D- est la traduction d’une compression latéro-médullaire.
E- est la traduction d’une syringomyélie.
F- Associe au syndrome cordonal postérieur et « une hémi mineur »
9.Lors d'une compression médullaire lente :
A- le syndrome lésionnel traduit la souffrance fasciculaire.
B- le syndrome sous lésionnel est un indicateur d'étage de la compression.
C- l'IRM médullaire est l'exploration radiologique de choix,
D- le schwannome représente une des causes intradurales de compression.
E- le pronostic dépend de l'étiologie et du délai de prise en charge.
F- L’IRM est l'exploration radiologique de choix.
G- le syndrome rachidien a une valeur localisatrice.
H- le syndrome lésionnel traduit la souffrance fasciculaire des voies longues.
I- les compressions dorsales sont les plus fréquentes.
J- l’IRM est l’examen complémentaire à demander en première intention.
K- le pronostic dépend du délai de compression et de l’affection causale.
L-le traitement est chirurgical
M-Le syndrome sous lésionnel est dominé par les douleurs radiculaires qui sont souvent révélatrices.
N-Les méningiomes spinaux représentent une cause extradurale classique.
O-La décompression médullaire peut se faire par laminectomie ou abord antérieur.
10.Parmi ces propositions concernant les compressions médullaires lentes, la ou lesquelles sont justes :
A-Il s’agit d’une urgence neurochirurgicale.
B- Le syndrome sous lésionnel est constant dans la phase de début.
C- Le syndrome sous lésionnel traduit l’atteinte fasciculaire.
D- La claudication intermittente est douloureuse.
E- Les neurofibromes représentent une des causes épidurales de la compression.

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11.Parmi ces propositions concernant les compressions médullaires lentes, la ou lesquelles sont fausses:
A- il s’agit d’une urgence neurochirurgicale.
B- le syndrome sous lésionnel est constant dans la phase de début.
C- le syndrome sous lésionnel traduit l’atteinte radiculaire.
D- la claudication intermittente est douloureuse.
E- les méningiomes représentent une des causes épidurales de la compression.
F- Le syndrome sous lésionnel traduit l'atteinte périphérique au niveau de la compression
G- L'IRM est l'examen à demander en première intention
H- Les compressions dorsales sont les plus fréquentes
I- Les schwannomes représentent une des causes extradurales classiques
J- C’est une urgence diagnostique et thérapeutique.
K- Un niveau sensitif ombilical oriente vers une atteinte dorsale haute.
L- Le syndrome de Brown Séquard associe une atteinte motrice et un syndrome cordonal postérieur du
côté de la lésion.
M- L’IRM représente l’examen clé pour le diagnostic positif.
N- Les méningiomes sont des lésions intradurales extramédullaires prédominant au niveau cervical.
O- Il s’agit d’une urgence neurochirurgicale.
Les télangiectasies cérébrales
P- le syndrome sous lésionnel traduit la souffrance rachidienne.
Q- les neurinomes représentent une des causes extradurales.
12.Cochez les réponses justes:
A-Les compressions médullaires peuvent être mécaniques ou vasculaires
B-Les neurinomes et les méningiomes sont de siège intradurale extramédullaire
C-Le syndrome lésionnel est témoin de l’atteinte fasciculaire
D-La claudication intermittente médullaire et l’infertilité sont partis du syndrome sous lésionnel
E-Le syndrome rachidien a une valeur localisatrice

14.Autres: ( 3 questions )
1.Les télangiectasies cérébrales :
A. Sont des capillaires malformatifs dilatés à circulation lente.
B. Sont des capillaires dilatés formant une masse vasculaire bien limitée.
C. Sont des capillaires dilatés disséminés dans une région cérébrale.
D. Sont souvent responsables d’hémorragie méningée.
E. Peuvent être responsables d'hématomes intracrâniens.
2.La craniosténose :
A.se caractérise par une augmentation du volume intracrânien.
B.se définit par une asymétrie du développement crânien.
C.est secondaire à une fermeture précoce d'une suture crânienne,
D.peut être associée à d'autres syndromes malformatifs,
E.peut être uni, bi ou pluri-suturaire.
3. Dans les craniosténoses :
A - La scaphocéphalie est la forme la plus fréquente au Maghreb.
B.Les synostoses coronales sont plus fréquentes chez les filles.
C.les synostoses coronales sont fréquentes dans les craniosténoses syndromiques.
D- la trigonocéphalie correspond à une atteinte de la suture sagittale.
E.le traitement est chirurgical

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15.Cas cliniques généraux: ( 4 questions )
Cas clinique 1:
1.Un jeune patient de 33 ans , droitier, sans ATCD particuliers , arrive aux urgences suite à l'apparition
brutale de troubles de la conscience . A l'admission , il ouvrait ses yeux à la demande répondait aux
questions de façon incompréhensible et localisait la douleur des deux côtés . La TDM cérébrale a révélé un
hématome lobaire temporale droit, mesurant 4cm , 3cm aux grands axes et apparaissant sur huit coupes
de 5 mm .
A- Le score de Glasgow de ce patient est de 12
B- Le volume de l'hématome est de 48ml.
C- Une artériographie cérébrale est indispensable
D- Une HTA doit être évoquée comme première cause de cet hématome
E- Le score IHC chez ce patient est de 2
Cas clinique 2:
2.Un jeune patient de 36 ans, droitier, sans antécédents particuliers, arrive aux urgences suite à l’apparition
brutale de troubles de conscience. A l’admission, il ouvrait ses yeux à la stimulation^douloureuse, répondait
aux questions de façon incohérente et localisait la douleur des deux côtés. La TDM cérébrale a révélé un
hématome lobaire temporal droit, mesurant 4cm x 3cm aux grands axes et apparaissant sur huit coupes de
5mm :
A- le score de Glasgow de ce patient est de 11.
B- le volume de l’hématome est de 48ml.
C- une artériographie cérébrale est indispensable.
D- une HTA doit être évoquée comme première cause de cet hématome.
E- le score IHC chez ce patient est de 1
Cas clinique 3:
3.Un jeune patient de 46 ans, sans antécédents particuliers, arrive aux urgences suite à l’apparition brutale
de troubles de conscience. A l’admission, il ouvrait ses veux à la demande. répondait aux questions de
façon incohérente et localisait la douleur des deux côtés.
A. Son score de Glasgow est de 8.
B. Son score de Glasgow est de 10.
C. Son score de Glasgow est de 11.
D. Son score de Glasgow est de 13.
E. Son score de Glasgow est de 15.
4.La TDM cérébrale faite chez le même patient a révélé un hématome lobaire temporal droit, mesurant 4cm
x 5 cm aux grands axes et apparaissant sur six coupes de 5mm.
A. Le volume de l’hématome est de 30 ml.
B. Le volume de l’hématome est de 50 ml.
C. Le volume de l’hématome est de 60 ml.
D. Le score IHC est estimé à 3.
E. Le score IHC est estimé à 5.

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Dermatologie - Questions cours par cours

Remarques :
- Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Dermatologie
- (2016 - 2022:1ère et 2ème sessions) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
- Les 341 questions sont réparties cours par cours
- Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1. Psoriasis :(9 Questions)


1. Le psoriasis peut se présenter sous forme de :
A. Plaques érythémato-squameuses
B. Erythrodermie sèche
C. Kératodermie palmo-plantaire fissuraire
D. Plaque alopécique du cuir chevelu
E. Pustulose généralisée
2- le psoriasis en plaque
A- Est une dermatose infectieuse
B- Se présente sous forme de plaques érythémato-squameuses bien limitées
C- Le prurit est constant et constitue un critère de diagnostic de la maladie
D- Un rhumatisme chronique peut constituer une complication grave de cette maladie
E- Le cuir chevelu peut être touché par cette maladie.
3- Une plaque de psoriasis vulgaire:
A- Est une plaque érythémateuse vésiculeuse prurigineuse
B- Est une plaque érythémateuse squameuse émiettée
C- Est une plaque érythémateuse squameuse bien limitée et prurigineuse
D- Est une plaque érythémateuse croûteuse bien limitée
E- Est une plaque érythémateuse pustuleuse
4. Le psoriasis
A. Est une maladie contagieuse chronique
B. Peut toucher la peau et les articulations
C. Est une dermatose non prurigineuse
D. Responsable d’une alopécie dans sa localisation au niveau du cuir chevelu
E. La corticothérapie orale est à proscrire
F- Est une dermatose infectieuse
G- Se présente sous forme de plaques érythémateux et squameuses
H- Le prurit est constant
I- Se complique d'érythrodermie
J- Peut s'associer à une atteinte articulaire
K. Est une maladie chronique
L. Touche essentiellement l'enfant
M. Est une dermatose toujours prurigineuse
N. Se manifeste par des plaques érythémateuses et oedémateuses
O. Se complique d'une pustulose généralisée
P- Se présente sous forme de plaque érythémateuse squameuse mal limitée
Q- Peut se localiser au niveau des muqueuses
R- Peut toucher la peau, les ongles et les articulations
S- Est une dermatose qui ne touche jamais le visage
T- Non alopéciante dans sa localisation au niveau du cuir chevelu

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U- Peut être pustuleux
V- Le traitement se base sur la corticothérapie orale
Cas clinique 1:
5. Mr Ahmed, 45 ans est suivi pour un psoriasis en plaque quelles, sont les complication à craindre chez lui
:
A. Une érythrodermie
B. Une surinfection bactérienne
C. Une atteinte articulaire
D. Une localisation hépatique
E. Un syndrome hémorragique
Cas clinique 2:
6. Mme Fatima 54 ans, consulte pour un psoriasis vulgaire avec une surface cutanée atteinte de 5%
A. L'examen clinique présente des plaques pustuleuses
B. L'éruption peut être prurigineuse
C. Le traitement repose sur un dermocorticoïde
D. Le traitement repose sur un antimycosique
E. En cas d'échec d'un traitement locale un corticoïde par voie orale est indiqué
Cas clinique 3:
Ahmed, 18 ans, sans ATCD, consulte pour un psoriasis des zones de frottement évoluant depuis 1 mois
après un choc affectif familial
7. Décrire la lésion élémentaire et le siège du psoriasis chez ce patient?
8. Quels sont les aspects évolutifs de cette dermatose chez Ahmed?
9. Quels sont les moyens thérapeutiques à proposer pour lui?

2. Carcinome basocellulaire :(16 Questions)


1- Les facteurs de risque des cancers cutanés
A- Une ulcération chronique peut se transformer en carcinome basocellulaire
B- L’exposition aux UV de façon chronique est à risque de cancer épidermoïde
C- Une kératose actinique peut se transformer en mélanome
D- Une exposition intense et intermittente aux UV expose au développement du carcinome basocellulaire
E- L’exérèse systématique des Naevus peut réduire l’incidence du mélanome
2. Patient de phototype IV
A. En cas d'exposition solaire il brûle sans bronzer
B. En cas d'exposition solaire il bronze sans brûler
C. Les yeux sont clairs et les cheveux blonds
D. Est à risque de développer des cancers cutanés en cas d'exposition solaire intense
E. N'est pas à risque de développer des cancers cutanés en cas d'exposition solaire intense
3- Le phototype V :
A- Est déterminé en fonction de l'âge du patient
B- Le patient ne bronze pas, les yeux sont clairs et ne prend pas de coup de soleil
C- Le patient bronze bien, les cheveux brun foncé ; pas de coup de soleil
D- Est à risque très élevé de cancer cutané
E- Ne développe jamais de cancer cutané
4. Les rayons UV A
A. Ont une longueur d'onde de 280 nm à 380 nm
B. Sont responsable des coups de soleil
C. Sont bloqués par les vitres de voiture
D. Sont intenses entre midi et 14 heures
E. Sont faibles sur les montagnes

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5- Les ultra-violets peuvent favoriser l'apparition de:
A- L’acné
B- Mélanome
C- Carcinome basocellulaire
D- Rosacée
E- Carcinome épidermoïde
6. Le carcinome basocellulaire au stade initiale
A. Peut-être une érosion qui ne cicatrise pas.
B. Une vésicule qui ne cicatrise pas.
C. Une pustule qui ne cicatrise pas.
D. Une papule translucide sans télangiectasie
E. Une papule translucide avec télangiectasie
7. Le carcinome basocellulaire peut se présenter sous forme d' :
A. une érosion qui ne cicatrice pas
B. Une papule translucide et télangiectasique
C. Une plaque à bordure perlée
D. Un nodule translucide et pigmenté
E. Un nodule translucide et ulcéré
8. Parmi les affirmations suivantes, une seule s’applique au carcinome basocellulaire:
A. Il peut mettre enjeu le pronostic vital par extension loco-régionale
B. Il peut siéger sur les muqueuses
C. Il donne des métastases par voie sanguine
D. Il donne des métastases par voie lymphatique
E. N’est jamais pigmenté
9- Parmi les affirmations suivantes, deux s'appliquent au carcinome basocellulaire:
A- Il peut mettre en jeu le pronostic fonctionnel par extension loco-régionale
B- Il peut siéger sur les muqueuses
C- Il ne donne pas des métastases par voie sanguine
D- Il donne des métastases par voie lymphatique
E- N’est jamais pigmenté
10. Un carcinome basocellulaire
A. Peut siéger au niveau de la lèvre inférieur
B. Peut-être pigmenté
C. Peut-être ulcéré
D. Est responsable de métastases pulmonaires
E. Peut se présenter au stade de début par une pustule qui ne cicatrise pas
F- Est une tumeur qui peut se développer sur une corne
G- Est induit par l'exposition aux rayons ultra violets
H- Se localise au niveau de la peau et des muqueuses
I- Les métastases sont essentiellement ganglionnaires
J- Est le cancer cutané le plus fréquent
K- Une érosion qui ne cicatrice pas peut être un mode début
L- La perle est une lésion élémentaire de cette tumeur
M- Les sujets âgés à peau claire sont à risque de développer cette tumeur
N- La localisation péri-orificielle constitue un facteur pronostic pour les récidives
O - Le traitement de première intention est chirurgical
P- Au stade de début, il se présente sous forme d’érosion persistante
Q- La perle est une pustule qui peut être une forme de début
R- En absence de traitement, il évolue vers un envahissement ganglionnaire
S- Une localisation au niveau de l’ongle interne de l’oeil est de mauvais pronostic

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T- La photo protection est indispensable dans la prise en charge thérapeutique
11. Un carcinome basocellulaire (Suite)
A- Est une tumeur qui se localise au niveau de la peau et des muqueuses
B- Les rayons ultra violets constituent les facteurs favorisant de l'apparition de cette tumeur
C- Se développe sur une lésion pré existante
D- Une localisation hépatique peut constituer une localisation secondaire
E- Se localise fréquemment sur une zone photo exposée
F- Les patients à peau claire et qui brûlent au soleil peuvent être des sujets a risque
G- Une brûlure ancienne peut se transformer en carcinome basocellulaire
H - La surinfection bactérienne est une complication fréquente
I- Les facteurs de risque essentiellement les coups de soleils intermittents
J- Se présente sous forme de nodule en une zone photo-exposée
K- Se présente sous forme de plaque dure cicatricielle brillante mal limitée
L- Se présente sous forme d'un nodule pigmenté
M- Survient sur une kératose actinique
N- Débute sous forme d'une papule perlée au niveau d'une zone photo exposée
O- Peut toucher la muqueuse labiale
P- N'est jamais pigmenté
Q- Peut donner des métastases ganglionnaires
12. Un carcinome basocellulaire est une tumeur maligne :
A. Elle attaque la peau et les muqueuses
B. En absence de traitement adéquat peut donner des métastases pulmonaire
C. Se présente à type de papule parcourue de télangiectasie noire
D. Les sujets de phototype V sont à haut risque de développer ce type de cancer
E. Au stade de début, il se présente sous forme d’une érosion chronique
Cas clinique 1:
Mme Fatima, 55 ans, de phototype 3, est asthmatique sous traitement spécifique et habite la campagne.
Elle consulte pour un carcinome basocellulaire pigmenté de la pointe du nez.
13- Quels sont les modes de début de cette tumeur
14- Quels sont les facteurs de risque chez cette patiente
15- Citer les diagnostics différentiels
16- Quelle est la prévention primaire de ce type de tumeur

3. Carcinome épidermoïde :(9 Questions)


1- les facteurs favorisants l'apparition du carcinome épidermoïde sont :
A- Une exposition solaire intense et intermittente
B- Un antécédent de traitement par radiothérapie
C- Une cicatrice de brûlure
D- Une alimentation chaude ou épicée
E- Les carcinogènes chimiques comme l'arsenic et les hydrocarbures polycycliques
F- Une exposition solaire chronique
G- Un carcinogène viral comme l'Humain papilloma virus
H- Un facteur génétique comme le Xeroderma pigmentosum
2. Le carcinome épidermoïde survient
A. Après une exposition solaire intense et intermittente
B. Sur une cicatrice de brûlure ancienne
C. Sur une leucoplasie de la lèvre
D. Suite à une dégénérescence d'un nævus congénital
E. Ne métastasent jamais

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3. Parmi les lésions suivantes indiquer celles qui risquent de se transformer en carcinome épidermoïde
A. Le lichen érosif buccal
B. Une brûlure ancienne
C. Un impétigo
D. Une kératose actinique
E. La maladie de bowen
F- Cicatrice d'ostéomyélite
G- Cicatrice de brûlure
H- Ulcère de jambe chronique
I- Kératose post radiothérapie
J- Naevus
4. La kératose actinique
A. Une lésion érythémateuse recouverte de squames ou croûtes adhérentes.
B. Peut siéger au niveau du visage
C. Peut siéger au niveau de la plante du pied
D. C’est une lésion bénigne
E- Se localise sur une zone photo cachée
F- Se présente sous forme d’une plaque érythémateuse recouverte de croûtes
G- Souvent unique
H- L’infiltration ou son ulcération constitue un signe de transformation maligne
I- Peut dégénérer en carcinome épidermoïde
J- Se localise sur une zone photo exposée
K- Souvent multiple
L- Se localise sur une zone photo exposée et couverte
M- L'infiltration ou son ulcération ne constitue pas un signe de transformation maligne
N- Peut dégénérer en carcinome basocellulaire
O- Est une tumeur liée à une exposition solaire
P- Se localise fréquemment sur le visage ou le dos des mains
Q- Le staphylocoque doré est la cause d'apparition de cette lésion
R- Est une lésion précancéreuse d'un carcinome épidermoïde
S- Est une plaque érythémateuse croûteuse au niveau des zones photo exposées
T- Est une plaque érythémateuse pustuleuse au niveau des zones photo exposées
U- Est une plaque érythémateuse squameuse prurigineuse
V- Peut se localiser au niveau de la muqueuse labiale
5. Une leucoplasie
A. Est une lésion qui peut siéger au niveau de la muqueuse génitale
B. Est une lésion qui peut siéger sur la peau
C. Est une lésion pigmentée
D. Est une lésion qui peut évoluer vers l'ulcération
E. En absence de traitement, elle peut évoluer vers un mélanome
F- Sont des lésions cutanées précancéreuses
G- Les lésions blanchâtres bien limitées, asymptomatiques adhérentes
H- Sont secondaire au tabac ou aux UV
I- Un saignement de ces lésions indique un risque de dégénérescence
J- Peuvent évoluer vers un carcinome épidermoïde
K- Est une forme de cancer cutané
L- Se localise sur la peau et les muqueuses
M- C'est une plaque dure et blanchâtre douloureuse adhère à la muqueuse buccale
N- Se localise fréquemment sur le visage et le dos de la main
O- Ie staphylocoque doré est la cause d'apparition de cette lésion

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6. Une chéilite actinique
A. est une inflammation de la langue
B. est une lésion qui peut évoluer vers un carcinome basocellulaire
C. en absence de traitement, elle se transforme en carcinome épidermoïde
D. la lésion se localise au niveau de la lèvre inférieur
E. La lésion est à type de lésion ulcéro bourgeonnante
7.Un carcinome épidermoïde
A. C'est une tumeur maligne qui siège au niveau des muqueuses
B. C'est une tumeur maligne qui siège au niveau de la peau
C. Le soleil est un facteur favorisant sa survenue
D. Une corne cutanée est un précurseur de ce cancer
E. C'est une tumeur mélanique
F. L'exposition chronique aux UV est un facteur de risque
G. Peut se localiser au niveau des muqueuses
H. Un eczéma chronique peut être une dermatose précancéreuse
I. Une cicatrice ancienne de tuberculose cutanée peut être une lésion précancéreuse
J. Une kératose actinique infiltrée peut être un stade précoce de
K- La perle est une lésion élémentaire de cette tumeur
L- Se développe d’une une cicatrice de brûlure
M- Ne donne jamais de métastase
N- Une chéilite actinique est une forme clinique de ce cancer
O- Tumeur ulcéro-bourgeonnante est la forme clinique la plus fréquente
P- Toujours secondaire aux rayons ultra-violets
Q- Une exposition solaire chronique est un facteur favorisant
R- Une infection streptococcique peut favoriser l'apparition de ce cancer
S- Un eczéma chronique peut se transformer en carcinome épidermoïde
T- Son extension peut être au niveau des ganglions
Cas clinique 1:
Mr Ahmed présente une kératose actinique au niveau du visage
8. Quel est la description clinique de cette lésion?
9. Quel est le risque que présente cette lésion en absence de prise en charge thérapeutique?

4. Mélanome :(7 Questions)


1. Un nævus est une tumeur pigmentée
A. Ovalaire, de diamètre de 6 mm et symétrique
B. Multicolore, asymétrique, irrégulière et de 10 mm de diamètre
C. Elle peut apparaître à la naissance
D. Peut être responsable de métastase ganglionnaire
E. Peut être responsable de métastase cérébrale
2- Les signes en faveur d'un naevus acquis sont :
A- L'asymétrie
B- Une Bordure régulière
C- Multicolore
D- Croissance lente
E- Un saignement spontané
3. Le syndrome des nævus atypique est caractérisé par la présence de
A. La présence de multiples nævus strictement au niveau des zones photo exposée
B. La présence de nævus dont le diamètre peut être supérieur à 6 mm
C. La présence de nævus qui peuvent être bicolores

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D. Est un facteur de risque de survenu de mélanome
E. Est un facteur de risque de survenu de carcinome basocellulaire
4- Le facteur de mauvais pronostic du mélanome :
A- Le sexe féminin
B- L'épaisseur de la tumeur
C- L'absence d'ulcération
D- La présence de douleur
E- Les métastases en transit
5.Le mélanome peut se présenter sous forme de :
A. Nodule rouge ulcéré
B. Nodule noir ulcéré
C. Plaque érythémateuse squameuse
D. Eruption pustuleuse
E. Large bande mélanonychlque
6. Le mélanome
A. Peut-être une macule pigmentée asymétrique de diamètre supérieur à 6mm à bord irrégulière et bien
limitée
B. L'exposition aux UVA intenses et occasionnelles est un facteur de risque
C. Peut se présenter sous forme d'un nodule érythémateux de 1,5 cm de diamètre
D. N'évolue pas vers l'ulcération
E. Peut saigner au contacte.
F. Se présente à type de nodule pigmenté noirâtre
G. Se présente à type de nodule érythémateux
H. Se développe souvent sur un naevus nevocellulaire
I. Très fréquent chez les enfants
J. Les patients à phototype II sont à haut risque
K- est le cancer cutané le plus fréquent
L- est du à l'exposition solaire intense à l'enfance
M- Il ne métastase jamais
N- Le Mélanome acro-lentigineux siège essentiellement sur les zones palmo-plantaires et sous les ongles
O- Le Mélanome de Dubreuilh touche des sujets plus âgés et se voit sur les parties découvertes
P- Est une tumeur maligne qui se développe au dépend des mélanocytes
7. Le mélanome (Suite)
A- soleil ne joue aucun rôle dans son apparition
B- Souvent se développe sur un nævus préexistent
C- Le mélanome acro-lentigineux se localise toujours au niveau des extrémités..
D- Peut se localiser sur les muqueuses,
E- Une macule pigmentée de 1cm de diamètre, asymétrique, à bord irrégulier est suspecte de mélanome
F- Une macule pigmentée prurigineuse est suspecte de mélanome
G- C'est le cancer cutané le plus agressif
H- Peut se présenter sous forme de nodule pigmenté
I- Est une tumeur maligne de bon pronostic
J- La présence de mélanome familial est un facteur de risque
K- Un Naevus est une lésion précancéreuse
L- Exposition solaire intense et intermittente est un facteur de risque
M- Exposition solaire chronique est un facteur de risque
N- Une macule pigmentée de 1cm de diamètre systémique à bords réguliers de couleur homogène est
suspecte de mélanome
O- Se localise toujours au niveau de la peau
P- Un nodule pigmenté de 1cm de diamètre au niveau du talon arrondi et systémique peut être suspect
Q- Peut donner des métastases à distance

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R- Peut évoluer vers l'ulcération
5. Prévention des cancers cutanés :(11 Questions)
1. Les ultra-violets sont des rayons du spectre solaire qui peuvent être responsable
A. D'une immunosuppression
B. De la synthèse de la vitamine D
C. De l'apparition des cancers cutanés
D. De l'apparition d'herpès cutanée
E. De l'apparition d'une candidose génitale
2- Les rayons solaires :
A- Sont constitués d'ultra-violets, la lumière visible et l'infrarouge
B- Les ultra-violets C ne sont pas toxiques
C- Seuls les ultra-violets B sont responsables de cancers cutanés
D- Les ultra-violets A et B sont les responsables de cancers cutanés
E- La lumière visible est responsable de cancers cutanés
3- La prévention des cancers cutanés repose sur :
A- Le dépistage des lésions précancéreuses
B- La désinfection de tout foyer infectieux
C- Le port de vêtements coton de couleur foncée
D- L'interdiction de l'exposition au soleil entre 9h du matin et midi
E- L'utilisation des crèmes solaires SPF 50 lors de toute exposition au soleil
4. En matière de photo protection
A. Il faut éviter de s'exposer aux UV après 16h00
B. Il faut porter des vêtements de couleur blanche en soie
C. Il faut porter des vêtements en Cotton de couleur noire
D. Le port de chapeau ne protège pas contre les IV
E. L'application de crème solaire anti UVB toutes les 2 heures est suffisante
5. la photo protection
A- Regroupe l’ensemble des moyens pour éviter l’exposition au soleil
B- La meilleure protection vestimentaire comporte les vêtements en soie, à maille larges et de couleur
claires
C- La casquette est préférée au chapeau à lisière large pour la photoprotection
D- Les lunettes à filtre UV sont inutiles lors de l’exposition solaire
E- Est un moyen essentiel pour la prévention des cancers cutanés
F- Regroupe l’ensemble des moyens horaires, physiques et chimiques pour éviter l’exposition au soleil
G- Le Chapeau à lisière large est préféré à la casquette pour la photoprotection
H- Les lunettes à filtre UV sont utiles lors de l’exposition solaire
I- Un régime alimentaire riche en glucide protège contre les UVs
J- Les vêtements en coton, à maille serrées et de couleur foncée constituent le moyen de protection
vestimentaire.
K- Les vêtements en soie à couleur claire constituent le moyen de protection vestimentaire
L- Le chapeau à visière large est aussi photo protecteur qu'une casquette
6. Les moyens de phoptoprotections sont
A. Le port de chapeau
B. L'application de crème solaire SPF50+ biquotidienne
C. Ne pas s’exposer au soleil entre midi et 15h
D. Éviter l’exposition au soleil après 16h
E. Le port de lunette avec filtre UV
7. En matière de photo protection Les crèmes solaires :
A. Doivent prévenir contre les UVA et UVB
B. La répétions de l'application n'est pas nécessaire en cas de baignade

Page 76:Ataraxie
C. Protège à 100% des rayons solaires
D. La répétition de l'application se fait toutes les 2 heures en cas d'exposition solaire
E. L'indice de protection SPF 50+ est un indice de protection anti UVA
8- La photoprotection repose sur
A- L’utilisation de crème solaire avec indice SPF 20
B- L’utilisation de crème solaire Anti UVA et Anti UVB
C- Le poil de chapeau et lunette avec indice de protection UV
D- Éviction d'exposition solaire entre 14h et 16h
E- Les baignades prolongées protègent contre le coup de soleil
9. la photo protection chimique
A- Un indice protection SPF 50+ est nécessaire pendant toutes les saisons
B- Doit comporter une protection UVB seule
C- Est facultative dans la prévention des cancers cutanés
D- L’efficacité du produit diminue avec la transpiration et la baignade
E- Un indice protection SPF 50+ est nécessaire pendant toutes l'année
F- Un indice protection SPF 50+ est nécessaire pendant la saison estivale
G- Doit comporter une protection UVA et UVB
H- La durée d'action des crèmes solaire est de 2h
I- L'efficacité du produit ne diminue pas avec la transpiration et la baignade
J- La durée d'action des crèmes solaire est de 24 h
K- Doit comporter une protection UVA
L- La durée d'action des crèmes solaire est de 6h
M- L'efficacité du produit augmente avec la transpiration
N- Il faut renouveler l'application solaire après une baignade
QR 1:
10. Quels sont les moyens de prévention des cancers cutanés ?
QR 2:
11. Quels sont les moyens de prévention du carcinome épidermoïde du cuir chevelu.

6. Les Épidermomycoses :(5 Questions)


1. Pityriasis versicolor
A- L'Agent pathogène est le Malassezia furfur
B- Est une infection très rare
C- Survient en surtout en hiver
D- La lésion élémentaire est une papule rose chamois
E- Les paumes et les plantes sont atteintes
F- L'agent responsable est le trichophyton
G- La lésion élémentaire est une papule
H- Est caractérisé par des squames fines
I- Lumière de Wood donne une fluorescence rouge
J- Traitement par les imidazolés
2. La candidose cutanée :
A. Peut toucher le nourrisson
B. Ne touche pas les petits plis
C. Se présente sous forme arrondie à centre clair et bords polycycliques
D. Est favorisée par la prise d'antibiotiques
E. S'associe toujours à une immunodépression
3- Candidoses des plis
A- Le PH alcalin est un facteur favorisant

Page 77:Ataraxie
B- Placard érythémateux lisse, humide
C- L'atteinte est asymétrique
D- Le fond du pli est macéré, fissuré
E- Absence de prurit
4. Les teignes tondantes du cuir chevelu :
A. Sont microsporiques, trichophytiques ou faviques
B. Sont responsables d'une alopécie non cicatricielle
C. Les cheveux sont coupés à ras
D. Présentent toujours une fluorescence jaunâtre à la lumière de Wood
E. La durée du traitement est de 6 à 8 semaines
5- Teignes tondantes microsporiques :
A- caractérisées par de grandes plaques alopéciques
B- La Lumière de Wood donne une fluorescence verdâtre
C- L'Agent responsable est du genre Trichophyton sp
D- caractérisées par le godet favique
E- Le traitement se base sur l'application des antibiotiques
F- Caractérisées par de petites plaques alopéciques
G- Donnent une alopécie cicatricielle
H- Le traitement se base sur l'application des dermocorticoïdes

7. Les pédiculoses et les phtiriases :(1 Questions)


1- Les pédiculoses du cuir chevelu
A- Est une infestation par des insectes hématophages, parasites stricts de l'homme
B- est une maladie non contagieuse
C- Caractérisée par une douleur
D- associe des plaques alopéciques non cicatricielles
E- Le traitement est à base des quinolones
F- Caractérisée par un prurit nocturne
G- Sa transmission est animale
H- Le traitement est à base de Benzoate de benzyle 10%= ASCABIOL

8. La gale humaine :(3 Questions)


1- La gale humaine caractérisée par :
A- Un Prurit d'exacerbation diurne
B- C'est une infection sexuellement transmissible
C- Due au pediculus hominis
D- La femelle creuse des sillons dans l'hypoderme
E- Le traitement se fait par les antibiotiques
F- Un Prurit chronique
G- Due au Sarcopte scabiei variété hominis
H- La femelle creuse des sillons dans le derme
I- Le traitement se fait par le Malathion
2- La gale humaine de l'adulte caractérisée par
A- Des vésicules palmoplantaires
B- Le Caractère familial ou conjugal
C- L'atteinte du visage
D- Traitée par une seule application de Benzoate de benzyle 10%= ASCABIOL*
E- Le traitement de l'entourage n'est pas obligatoire
F- Un Prurit d'exacerbation diurne

Page 78:Ataraxie
G- L'atteinte de la région palmoplantaire
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 30 ans, sans antécédent particulier qui vit avec sa fille, présente une gale. La patiente à
une fille de 2 ans.
3. Quelle est votre ordonnance ?

9. Les eczémas :(4 Questions)


1- eczéma de contact aiguë caractérisée par :
A- des bords émiettés
B- Atteinte de la majorité des sujets en contact avec le produit
C- Limitée à la zone de contact avec le produit
D- Une sensation de brûlure
E- caractérisée par un suintement
2. L'eczéma de contact :
A. Est une réaction d'hypersensibilité immédiate au contact d'un allergène
B. Nécessite une phase de sensibilisation avant son déclenchement
C. Peut se présenter sous forme d'un placard crouteux prurigineux mal-limité
D. Le diagnostic positif repose sur les tests épicutanés
E. Les dermocorticoïdes sont contre-indiqués
3- La dermatite atopique (DA) ou eczéma atopique
A- maladie cutanée inflammatoire prurigineuse aiguë
B- Touche uniquement le sujet âgé
C- caractérisée par une altération de l'hypoderme
D- L’histologie est indispensable peur le diagnostic
E- La sécheresse cutanée (xérose) est constante
F. Est un eczéma de contact particulier de l'enfant
G. Touche habituellement les plis du nourrisson
H. S'associe à une xérose cutanée
I. Peut se compliquer d'asthme
J. Le traitement repose sur une bonne éducation thérapeutique
QR 1:
4. Décrire les signes cliniques d'une dermatite atopique chez un enfant de 2 ans ?

10. Les Toxidermies :(2 Questions)


1- Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse DRESS
A- Est une toxidermie bénigne
B- son délai est de 24h
C- ne s'associe jamais à une éosinophilie
D- Caractérisé par des pustules non folliculaires
E- peut s'associe à une atteinte cardiaque
F- peut se présenté sous forme d'exanthème maculopapuleux
G- peut se présenté sous forme d'une érythrodermie
H- l'intervalle de survenue est de 2-6 semaines
I- énanthème est constant
J- l'état général est conservé
K- son délai est de 2-6 semaines
L- associe une éosinophilie (600 à > 4 000 cel/mm3)
M- Caractérisée par décollement épidermique en « linge mouillé »

Page 79:Ataraxie
N- Associe une Hépatosplénomégalie
O- Est une toxidermie grave
P- Caractérisée par des pseudo-cocardes
2. Le syndrome de Stevens-Johnson
A. est une toxidermie grave
B. touche strictement les muqueuses buccale et génitale
C. c'est une éruption bulleuse et érosive
D. c’est une éruption pustuleuse
E. peut évoluer vers une nécrolyse épidermique toxique

11. La Lèpre :(5 Questions)


1. Concernant la lèpre indéterminée
A. 11 s'agit d’une forme de début de la maladie
B. Survient surtout chez l’enfant
C. Se manifeste par quelques macules hypochromiques très bien limitées
D. les troubles de sensibilités au niveau des lésions sont instables
E. Elle peut évoluer vers une forme bien détérminée
2- La lèpre prétuberculoide-tuberculoide :
A- Caractérisée par des lésions.... et multiples
B- L'atteinte cutanée se présente sous forme de macules hypoesthesiques bien limitée
C- Les troubles neurologiques sont précoces et irréversibles
D- La réaction de mitsuda est très positive
E- La présence de cellules de virchow en histopathologie
3. Dans la lèpre lépromateuse :
A. Les lésions peuvent être érythémateuses
B. Les lésions sont peu nombreuses (<5)
C. Le déficit moteur est responsable de la griffe cubitale
D. L'histologie cutanée montre un infiltrat épithélioïde et gigantocellulaire
E. L'évolution peut se faire vers un érythème noueux lépreux
F. Se présente sous forme de papulo-nodules multiples
G. Une hypertrophie des nerfs périphériques
H. Associe des troubles sensitifs à type d'hyperesthésie cutanée
I. Une atteinte systémique peut se voir
J. La réaction de mitsuda est négative
4. La lèpre peut se compliquer de :
A. Cécité
B. Mal perforant plantaire
C. Destructions cartilagineuses et osseuses
D. Stérilité
E. Encéphalopathie
5- La lèpre :
A- Est une infection cutanée d'origine parasitaire
B- Le tropisme du germe est la peau et le système nerveux périphérique
C- La lèpre indéterminée est la forme de début de la maladie
D- La transmission se fait par voie aérienne supérieure
E- Le réservoir naturel est l'homme et l'animal

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12. Les infections cutanées bactériennes :(9 Questions)
1- L'impétigo
A- Est une infection cutanée à streptocoque
B- Est l'apanage du sujet âgé
C- Est l'apanage de l'enfant
D- La huile peut être un mode de début
E- Peut évoluer vers une ulcération profonde
F- Est une maladie inflammatoire cutanée
G- Est une infection bactérienne cutanée profonde
H- Est fréquent chez l'adulte de 50 ans
I- Se localise essentiellement en périorificieI
J- Est une bulle flasque a contenu claire séreux
2- Le traitement de l'impétigo comprend
A- Une éviction scolaire
B- Une hygiène corporelle
C- Un antiseptique à type de Chlorhexidine
D- Une antibiothérapie par voie général e est toujours obligatoire
E- La désinfection des gites est nécessaire dans les formes récidivantes
F- Repose toujours sur l'acide fusidique en crème
G- La durée du traitement est de 1 mois
H- L'éviction scolaire est obligatoire.
I- Comprend un anti inflammatoire par voie orale
J- Traitement des sujets contacts est obligatoire
3- La folliculite
A- Est une lésion pustuleuse centrée par un poil
B- Est une lésion qui n'est pas centré par un poil
C- Peut être secondaire à une infection à staphylocoque doré
D- Peut être secondaire à une infection mycosique
E- La rosacée peut se présenter à type d e folliculite
4- Le furoncle
A- Est une infection folliculaire profonde nécrosante
B- Est une infection folliculaire superficielle
C- Se présente sous forme de pustule
D- Se présente sous forme d'un nodule surmonté de pustule
E- Fréquent chez les immunodéprimés
5- L'érysipèle de la jambe
A- Est une maladie inflammatoire chronique
B- Est une dermo hypodermite aiguë fébrile
C- Se présente sous forme d'un placard érythémateux et oedémateux bien limité
D- La porte d'entrée est souvent un intertrigo inter orteil
E- Des adénopathies satellites sont rarement associées
F. La fièvre est fréquemment présente
G. Le diagnostic est essentiellement clinique
H. Un traitement antimycosique par voie général est le traitement de première intention
I. La recherche d'une complication post streptococcique rénale est facultatif
J. Une phlébite associée est fréquente
6- Le traitement de l'érysipèle comprend
A- Une antibiothérapie à type de pénicilline M par voie orale
B- Le traitement de la porte d'entrée
C- Une corticothérapie par voie orale de courte durée

Page 81:Ataraxie
D- Un corticoïde topique de courte durée
E- Le repos au lit
7. L'érysipèle
A. Est une maladie inflammatoire
B. Est secondaire à une infection à streptocoque
C. Est une dermo hypodermite aiguë
D. Est une dermo épidermite aigue
E. La recherche d'une porte d'entrée de l'agent causal est obligatoire
F. Le traitement de la porte d'entrée est obligatoire
G. Les anti inflammatoires non stéroïdiens sont indiqués dans le traitement d'attaque
H. Une antibiothérapie locale peut être proposée dans le traitement d'entretien
I. Une septicémie est une complication possible
J. Une antibiothérapie à base de pénicilline G est le traitement d'attaque
K- Est une infection bactérienne cutanée à streptocoque bêta hémolytique.
L- Se présente sous forme d'un placard érythémateux mal limité
M- S'associe à des adénopathies inflammatoires du territoire du drainage lymphatique
N- Est une infection très prurigineuse
O- La présence de bulle constitue un critère de gravité
P- Le traitement repose sur une antibiothérapie a base de beta lactamine
Q- Le traitement doit comporter le traitement de la porte d'entrée
R- Une hospitalisation est nécessaire pour le patient
S- La recherche d'une complication post streptococcique n'est pas nécessaire
T- Un anti inflammatoire non stéroïdien par voie orale est recommandé
8- La fasciite nécrosante
A- Est une urgence médico-chirurgicale
B- Rarement le pronostic vital est engendré
C- C'est une infection cutanée superficielle
D- Les signes généraux sont présents
E- Le traitement est exclusivement chirurgical
F. Peut se compliquer de septicémie mortelle
G. S'accompagne d'hyperesthésie locale
H. Ne s'accompagne pas d'hypothermie
I. Une nécrose cutanée peut être associée
J. Le traitement repose exclusivement sur une exérèse chirurgicale
9- La ou les couleurs alarmantes d'une fasciite nécrosantes du membre inférieur sont :
A. Le blanc
B. Le rouge
C. Le noir
D. Le bleu
E. Le jaune

13. Les urticaires :(7 Questions)


1. Les caractéristiques d'une urticaire profonde sont :
A. Un Œdème ferme des tissu sous cutané avec sensation de tension
B. Peut-être secondaire à une prise médicamenteuse
C. Peut s'associer à une urticaire superficielle
D. Nécessite une biopsie cutanée
E. Risque d'asphyxie par atteinte pharyngo-laryngée

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2- les étiologies de l'urticaire aiguë
A- Les médicaments
B- Une infection virale
C- Un cancer cutané
D- Le dermographisme.
E- Urticaire retardée à la pression
F. Une piqûre d'hyménoptères
G. Une prise d'aliment riche en histamine
H. Un contact à l'eau
I. Un effort physique
3- L'urticaire médicamenteuse
A- Est caractérisée par un décollement
B- Est une dermatose non prurigineuse
C- l'atteinte de la muqueuse peut mettre en jeu le pronostic vital
D- son délai est d'un mois
E- représente 70% des urticaires aiguës
F- survient tardivement après la prise médicamenteuse
G- les lésions élémentaires sont des papules oedémateuses érythémateuses fugaces et migratrices
H- les lésions élémentaires sont des macules érythémateuses
I- OEdème de Quincke peut mettre en jeu le pronostic vital
J- Représente une étiologie rare des urticaires aigues
K- Est caractérisé par un rash maculo-papuleux
L- Est une dermatose prurigineuse
M- L'incubation est de quelques minutes
N- représente 50 % des urticaires aigus
O- Est caractérisée par papules oedémateuses érythémateuses fixes
P- L'incubation est d'un mois
4. L'urticaire chronique
A. Est une éruption cutanée érythémateuse papuleuse fugace et prurigineuse évoluant plus de 6 semaines
B. L'atteinte de la muqueuse buccale est possible
C. Peut-être secondaire à une prise médicamenteuse
D. L'éviction des aliments histamino libérateurs est nécessaire
E. Une corticothérapie par voie orale est le traitement de première intention
5- le traitement de l'urticaire
A- La corticothérapie par voie général est le traitement de première intention
B- Les anti histaminique H1 sont l'indication de première intention
C- Une corticothérapie par voie orale est indiquée si angioedème
D- Repose sur l'éviction de la cause
E- Les macrolides sont le traitement de choix
6- l'urticaire
A- Est définie par une éruption papuleuse érythémateuse et oedémateuse fugace et migratrice
B- Le prurit est constant dans cette maladie
C- Peut engager le pronostic vital
D- Peut être responsable d'un oedème labial
E- La recherche d'une dyspnée est obligatoire
QR 1:
7. Décrire les signes cliniques d'une urticaire aigue et quelles sont les deux principales étiologies ?

14. Les dermatoses bulleuses auto-immunes :

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Pas de questions disponibles
15. Les dermatoses virales ( l’herpès) :(1 Question)
1- Herpès cutanéo-muqueux :
A- Est une Maladie chronique, contagieuse
B- L'HSV type 2 touches la région céphalique dans 90% cas
C- La récurrence siège à un endroit différent que la primo-infection
D- La Gingivostomatite herpétique aiguë est un tableau clinique de la primoinfection
E- Est traité par la pénicilline
F- Réservoir humain et animal
G- La réactivation est favorisée par les facteurs hormonaux
H- Signes généraux sont souvent minimes ou absents lors de la primo-infection
I- Herpès génital est une infection sexuellement transmissible
J- Est une Maladie chronique, non contagieuse
K- Est précédé par des prodromes

16. La varicelle-zona :
Pas de questions disponibles

17. Le papillomavirus :(3 Questions)


1- Verrues cutanées
A- la Prévalence est de 7 à 10% dans la population générale
B- la Transmission est favorisée par les microtraumatismes, la fréquentation des piscines, salles de sports
C- l'apanage des sujets âgés
D- les verrues vulgaires se localisent surtout au tronc.
E- verrues en mosaïque se localisent aux points d'appui
2- Condylomes géants de Buschke-Loewenstein
A- touchent la région anogénitale
B- il n'y a pas de risque d'envahissement local ni de transformation maligne
C- c'est une infection sexuellement transmissible
D- touchent surtout les sujets âgés
E- la Contamination indirecte par du linge ou des objets souillés est possible
QR 1:
3. Décrire les aspects cliniques des verrues cutanées

18. Le Molluscum Contagiosum :(1 Question)


1- L'infection au molluscum contagiosum :
A- Est due à un Virus à ARN du groupe des poxvirus
B- Est Fréquente chez l'adulte,
C- Est caractérisée par des Papules hémisphériques, translucides avec une ombilication centrale
D- Est une dermatose non prurigineuse
E- Le traitement local par I' Hydroxyde de potassium ( molutrex)

19. Les dermatoses faciales inflammatoires :(10 Questions)


1. Les facteurs favorisants une poussée d'acné sont :
A. Le régime alimentaire a fort indice glucidique
B. Une hyper androgénie chez les femmes
Page 84:Ataraxie
C. L'utilisation de produits asséchants cutanée
D. Le contact avec des animaux domestiques
E. L'utilisation d'antibiotique locaux
2. Les facteurs favorisants l'apparition ou l'aggravation d'une acné sont :
A. Une hyper androgénie chez la femme
B. Un régime alimentaire à fort indice glycémique
C. La prise d'antibacillaire pour le traitement d'une tuberculose pulmonaire
D. Une corticothérapie par voie orale et au long court
E. L'utilisation de crème solaire SPF 50+
3- Cochez les éléments initiateurs de l'acné
A. l'hyper séborrhée
B. Pustules
C. Microkystes
D. Papules
E. Microcomédons
4. L'acné
A. Est une maladie du follicule pilo sébacée
B. Peut être secondaire à une prise médicamenteuse
C. Les microkystes sont des lésions inflammatoires de l'acné
D. Peut être secondaire à une hypo androgénie
E. Le traitement comprend une antibiothérapie par voie orale
F- Est une maladie de la glande sébacée
G- Les comédons sont des lésions de l'acné inflammatoire
H- Les corticoïdes en crème peuvent aggraver la maladie
I- Les nodules et kystes sont des lésions qui font la gravité de la maladie
J- La doxycycline 200 mg par jour par voie orale pendant 3 mois seule peut constituer le traitement de
l'acné inflammatoire
K- Est une maladie de la glande sudorale
L- Les microkystes sont des lésions de nature inflammatoire
M- Les papulo-nodules sont des lésions retentionnelles
N- Les comédons sont des lésions d'origine rétentionnelle
5. La rosacée
A. Est secondaires à des anomalies vasculaires primitives
B. Le demodex follicularum joue un rôle pathogène dans la maladie
C. Une localisation oculaire est possible
D. A la phase d'état le patient présente des papulo pustules sur le visage
E. La séborrhée est un signe de diagnostic positif
6. La dermite séborrhéique chez l'adulte
A. Est une maladie chronique
B. Respecte les zones séborrhéiques
C. Son traitement repose sur l'application du kétoconazol crème
D. Son pronostic est grave
E. Le visage est rarement atteint
7- La dermite séborrhéique du nourrisson
A- L'éruption cutanée se localise au niveau des zones séborrhéiques
B- Se présente sous forme d'éruption bulleuse
C- Se localise au niveau de la tête et le siège
D- Se présente sous forme de plaques érythémateuses recouvertes de squames grasses
E- Le prurit est toujours absent
F. Survient au cour du premier mois de vie
G. Touche uniquement la tête et le visage

Page 85:Ataraxie
H. Une éruption bulleuse peut être associée
I. Peut évoluer vers une érythrodermie
Cas clinique 1:
8. Melle Leila, 15 ans consulte pour acné par rétention, à l'examen clinique on retrouve
A. Une hyper séborrhée
B. Des papulo-pustules
C. Des comédons
D. Des microkystes
E. Des abcès
Cas clinique 2:
9. Mme aicha, 45 ans, phototype II, suivie pour rosacée papulo pustuleuse
A. Selon la classification internationale la patiente est au stade III
B. L'érythème du visage est permanant chez la patiente
C. Son phototype est en faveur de la maladie
D. Le traitement repose sur les dermocorticoïdes
E. L'exposition au soleil peut aggraver sa symptomatologie
Cas clinique 3:
10. Un nourrisson de 6 mois consulte pour une dermite séborrhéique du cuir chevelu et du siège :
A- Se présente sous forme de plaques érythémateuses recouvertes de squames grasses jaunâtres
B- L'érythrodermie est une forme grave
C- Le traitement repose sur une antibiothérapie locale
D- Le traitement repose sur ketoconazol topique pendant 1 semaine
E- Le traitement repose sur ketoconazol topique pendant 2 semaines

20. La Tuberculose Cutanée :(4 Questions)


1- Le diagnostic d'une tuberculose cutanée serait évoqué devant :
A. Des lésions papuleuses palmoplantaires
B. Des lésions abcédées très inflammatoires
C. Des lésions verruqueuses avec cicatrice centrale atrophique
D. Des lésions chroniques des zones découvertes du corps
E. Une ostéomyélite chronique
2. Le scrofuloderme :
A. Est une forme clinique d'inoculation
B. Survient chez un patient à faible immunité
C. S'associe le plus souvent à une adénite tuberculeuse
D. Guérit sans laisser de cicatrice
E. Répond difficilement au traitement antibacillaire
3- Les effets secondaires des traitements antituberculeux sont :
A- L'acnée
B- Lupus
C- Cytolyse hépatique
D- Hyperuricémie
E- Anémie hémolytique
4- La tuberculose cutanée
A- Est une infection bactérienne
B- La contamination par l'agent pathogène est exclusivement hématogène
C- Le scrofuloderme est une forme clinique
D- La gomme est la forme clinique la plus fréquente au Maroc
E- Est une maladie non contagieuse

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QR 1:
5. Décrire les stades cliniques et évolutifs d'un scrofuloderme et d'une gomme d'origine tuberculeuse.

21. La Leishmaniose Cutanée :(2 Questions)


1. La leishmaniose cutanée au Maroc :
A- Est due à un parasite protozoaire appelé leishmania donovani
B- Est transmise par la piqûre du moustique du genre anophèle
C- Peut avoir comme réservoir des rongeurs tel le Meriones shawl
D- Ne nécessite pas une déclaration obligatoire
E- Peut devenir une leishmaniose viscérale si immunodépression
2- La leishmaniose cutanée du genre Tropica :
A. Se voit dans les régions subsahariennes du Maroc
B. Peut avoir comme réservoir des rongeurs tel le Meriones shawi
C. Est habituellement responsable de la forme humide
D. Touche principalement le visage
E. L'examen direct du frottis cutané est souvent négatif

22. Les manifestations cutanées du VIH :(3 Questions)


1- La primo-infection au VIH :
A. classe le patient au stade A1 (classification CDC)/
B. est caractérisée par un rash maculo-papuleux prurigineux
C. peut présenter des lésions aphtoïdes génitales
D. est souvent associée à une candidose buccale
E. La charge virale VIH peut être négative
2. L'infection au VIH peut être responsable de :
A. Infection cutanée banale
B. Tumeur viro-induite
C. Éruption cutanée médicamenteuse
D. Leucoplasie orale chevelu
E. Psoriasis
3- Il faut demander une sérologie VIH devant :
A. Un zona non extensif non nécrotique chez un sujet jeune
B. Un condylome génital
C. Une sérologie chlamydia positive
D. Une dermatite séborrhéique étendue
E. Une candidose cutanée

23. La Syphilis :(4 Questions)


1- Lors de la syphilis primaire :
A. La lésion élémentaire est une papule
B. La lésion est douloureuse en périorificiel
C. Les lésions sont souvent nombreuses si immunodépression
D. Les adénopathies occipitales et cervicales postérieures sont fréquentes
E. La sérologie syphilitique peut être négative

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2. Le chancre :
A- Correspond à une érosion ou une ulcération d'origine infectieuse
B- La gale constitue une étiologie
C- Le siège est exclusivement génital
D- Il peut s’accompagner d’une adénopathie
E- Est une infection sexuellement transmissible Jusqu’à preuve du contraire
F- Est une macule érythémateuse
G- Est une perte de substance cutanée
H- Est secondaire à un agent microbien
I- La syphilis secondaire se manifeste par ce symptôme
J- Peut être secondaire à une infection streptococcique
3. Le chancre syphilitique :
A. Est souvent prurigineux
B. De siège exclusivement génital
C. Est propre avec une base indurée
D. S'associe à des adénopathies non inflammatoires
E. Peut s'associer au chancre mou
4- La syphilis
A- maladie infectieuse due à l'herpès simplex
B- maladie sexuellement transmise et contagieuse
C- le chancre syphilitique est induré et indolore
D- le chancre syphilitique s'associe à une monoadénopathie inflammatoire
E- les syphilides sont prurigineuses

24. Les Urétrites : (5 Questions)


1. L'urétrite à Chlamydia trachomatis
A. Est toujours symptomatique
B. Son tableau clinique est aigu
C. Le diagnostic se fait souvent au stade de complications
D. S’associe fréquemment à l’urétrite gonococcique
E. Les cyclines constituent le traitement de choix de cette urétrite
2- Urétrite à chlamydia
A- L'agent responsable est le trichomonas vaginalis
B- Est une Urétrite aiguë très bruyante
C- Associe une fièvre
D- Traitée par Azithromycine : 1 g en prise orale unique
E- L'incubation est de 48h
3- Urétrite à Trichomonas vaginalis
A- Peu pathogène chez l'homme
B- donne une Urétrite aiguë
C- donne un écoulement verdâtre spumeux
D- du à chlamydia trachomatis
E- traitée Azithromycine : Zithromax 500:1 g en prise orale unique
4- Urétrite gonococcique
A- touche le sujet âgé
B- c'est l'urétrite la plus fréquente
C- due aux spirochètes

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D- traitée par le Ceftriaxone 500 mg (rocéphine*) IM en dose unique associer Azithromycine : Zithromax
500:1 g en prise orale unique
E- L'agent responsable est le trichomonas vaginalis
F- Est une Urétrite aiguë très bruyante
G- associe une fièvre
H- Traitée par Azithromycine : 1 g en prise orale unique
I- L'incubation est de 3 semaines
5- Lors d'une urétrite chez l'homme :
A. La demande d'un ECBU n'est pas obligatoire
B. La demande d'un bilan IST n'est pas obligatoire
C. Le traitement de la syphilis n'est pas obligatoire
D. La sérologie chlamydia trachomatis n'est pas obligatoire
E. La rechercher d'une urétrite chez la partenaire n'est pas obligatoire
F. Il faut demander systématiquement un bilan d' infection sexuellement transmissible
G. Il faut demander systématiquement un Examen cytobactériologique des urines
H. Il faut rechercher une urétrite chez la partenaire
I. Il faut viser le gonocoque et la chlamydia trachomatis
J. Il faut traiter systématiquement une syphilis

25. Autres : (17 Questions)


1. Cocher les dermatoses qui se présentent par des lésions pustuleuses
A. L'eczéma
B. Le psoriasis
C. L'urticaire
D. L'acné
E. La dermatophytie de la peau glabre
2. Parmi les dermatoses suivantes lesquelles sont des éruptions vésiculeuses
A. Un eczéma aiguë
B. Un herpès
C. Un psoriasis
D. Une dermite séborrhéique
E. Une tuberculeuse cutanée
3. Cocher les dermatoses qui peuvent évoluer vers une érythrodermie
A. L'eczéma
B. L'herpès cutanée
C. Le psoriasis
D. L'urticaire
E. La varicelle
F- Une toxidermie
G- Un carcinome épidermoïde
H- Un mélanome
4. L'érythrodermie est
A. Est définie comme une éruption érythématosaquameuse de plus de 90% de la surface corporelle
B. C'est éruption non prurigineuse
C. Peut s'associer à des adénopathies superficielles
D. Secondaire au psoriasis
E. Secondaire à L'eczéma de contact allergique
F- Le cuir chevelu peut être atteint
G- Peut compliquer un psoriasis
H- Peut compliquer un eczéma

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I- Peut être secondaire à une toxidermie
J. S’associe à des adénopathies
K. Le psoriasis est une cause fréquente
L. Une toxidermie peut être une cause
M. L’eczéma peut se compliquer d’érythrodermie
N. L'herpès labiale peut se compliquer d'érythrodermie
5. Un exanthème maculo papuleux
A. C'est une éruption cutanée aiguë
B. Peut-être secondaire à une infection virale
C. Peut constituer une forme bénigne de toxidermie
D. Quand il est d'origine médicamenteuse, il s'associe à un énanthème
E. Peut être secondaire à un eczéma
6. L'érythème pigmentée fixe
A. Est toujours secondaire à une prise médicamenteuse
B. Peut évoluer vers une forme grave
C. Se présente sous forme de cocarde
D. En cas de récidive, il se localise toujours au même endroit
E. S'accompagne d'un décollement cutané de plus de 10% de la surface corporelle
7- Une macule rouge:
A- Est purpurique si elle s’efface partiellement à la vitropression
B- Est érythémateuse si elle s’efface à la vitropression
C- Est une lésion secondaire
D- Est une lésion infiltrée
E- La taille peut être variable
8- La macule
A- Est une lésion élémentaire secondaire
B- Peut être de couleur brunâtre
C- Est une lésion palpable
D- Le purpura est une forme clinique
E- Peut être un érythème qui s'efface à la vitro pression
F- Est une lésion cutanée infiltrée
G- Est une modification de la couleur de la peau
H- Peut être érythémateuse
I- Est une perte de substance
J- Peut être un purpura.
9- La gomme:
A- La lésion initiale est un nodule ferme
B- L’évolution se fait vers le ramollissement et la fistulisation
C- Elle ne laisse pas de cicatrice rétractile
D- La syphilis constitue une des étiologies
E- Est d’origine exclusivement infectieuse
F- Est un nodule
G- La tuberculose est une étiologie
H- Peut évoluer vers la fistulisation
I- Est une solution de la continuité cutanée
J- Le saignement est un signe constant de la lésion
K- Est une évolution d'une papule
L- Le nodule est son mode de début
M- Peut évoluer vers la fistulisation
N- La leishmaniose cutanée peut être une étiologie

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10- La bulle:
A- Est une lésion élémentaire secondaire
B- Le contenu hémorragique traduit Je siège sous épidermique
C- L’évolution se fait vers l’érosion ou l’ulcération
D- L’assèchement de son contenu est responsable de la formation d’une croûte
E- L’eczéma peut constituer une des étiologies
F- Est un décollement cutané
G- Peut se compliquer de pustule
H- L'impétigo est une cause fréquente
I- Peut évoluer vers une érosion
J- Peut avoir un contenu sanguin
11. La papule
A. Est une lésion infiltrée et palpable
B. Est une lésion primitive
C. Les papules multiples peuvent confluer pour former une plaque
D. La syphilis primaire est une forme étiologique
E. L'urticaire peut se présenter sous forme de papules
12. L'escarre
A. Est une perte de substance cutanée
B. L'immobilisation prolongée est une cause de survenue
C. Est associé à une hypo ou anesthésie locale
D. Est secondaire à une ischémie au site de survenu
E. La lésion se limite au tissu graisseux sous cutané
F- Est une perte de substance cutanée au site de pression du corps
G- Est une complication secondaire à une prise médicamenteuse
H- Est une lésion solide infiltrée
I- Est une lésion associée à une perte de la sensibilité locale.
J- Est un purpura nécrotique
13. La pustule
A. Est un décollement cutanée
B. Peut avoir une origine infectieuse
C. Est une expression du psoriasis
D. N'évolue jamais vers la rupture
E. Le contenu de la lésion est clair translucide
F- Est un décollement cutané superficiel
G- Est toujours d'origine infectieuse
H- Le contenu est séreux
I- Est une perte de substance
J- Une folliculite est une forme particulière de la pustule
14- Un nodule :
A- Est une lésion primitive
B- Est une lésion solide qui siège au niveau du derme ou l'hypoderme
C- La nouure est une forme particulière du nodule
D- Est une solution de la continuité cutanée
E- Son diamètre est sup à 1cm
15- Un purpura :
A- Est une perte de substance cutanée au site de pression
B- C'est un érythème qui s'efface à la vitro-pression

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C- Secondaire à une atteinte de la paroi vasculaire cutanée
D- Est une lésion associée à une perte de la sensibilité cutanée
E- Peut être nécrotique
QR 1:
16. Définir les lésions élémentaires suivantes :
- Macule
- Gomme
- Escarre
- Bulle
- Une corne
- érosion
- croûte
QR 2:
17. Définir les lésions élémentaires suivantes et donner un diagnostic étiologique pour chacune de ces
lésions :
- Pustule
- Ulcération

Cas cliniques généraux : (203 Questions)


1.Mme Fatima 60 ans de phototype III, consulte pour une nodule pigmenté au niveau de la jambe droite de
15mm de diamètre, dure à la palpation associée à des adénopathies inguinales homolatérales
A. Le diagnostic le plus probable est un carcinome épidermoïde
B. Le diagnostic le plus probable est carcinome basocellulaire
C. Le diagnostic le plus probable est un mélanome
D. La conduite à tenir immédiate est la mise sous dermocorticoïde et antibiothérapie par voie orale
anti-staphylococcique pendant 10 jours
E. La conduite à tenir immédiate est la biopsie exérèse de la lésion pour étude anatomopathologique
2.Une patiente de 70 ans de phototype II, consulte pour une tumeure ulcéro-bourgeonnante au niveau du
visage évoluant depuis 6 mois
A. L'absence de pigment élimine le diagnostic du mélanome
B. Une leishmaniose cutanée peut être évoquée
C. Une infection bactérienne à staphylocoque peut être évoquée
D. Un carcinome épidermoïde peut être évoqué
E. Le phototype est en faveur de l'origine tuberculeuse
3. Un patient de 18 ans consulte pour des plaques érythémateuses et squameuses au niveau du cuir
chevelu, les jambes et les avants bras de 2 cm de diamètre en moyenne en faveur d'un psoriasis vulgaire
A. Les plaques peuvent avoir des bords irréguliers
B. Les plaques sont mal limitées
C. La présence du prurit peut éliminer le diagnostic
D. Une corticothérapie par voie orale est le traitement de première intention
E. C'est une maladie qui peut récidiver malgré un traitement spécifique et bien adapté
4. Une fillette de 6 ans, présente un impétigo de la nuque avec adénopathies occipitales et un prurit du cuir
chevelu depuis 10 jours.
A. Il s'agit d'une gale impétigénisée
B. Le diagnostic positif se base sur l'examen parasitologique
C. Le traitement fera appel à l'eau vinaigrée et la vaseline blanche sous occlusion
D. L'éviction scolaire est systématique
E. C'est une maladie immunisante

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5.Enfant de 3 ans, présente un prurit aiguë généralisé avec des lésions de prurigo. Sa maman présente la
même symptomatologie.
A. Il s'agit d'une dermatite atopique
B. Le caractère familial orientera le diagnostic vers une gale
C. Les vésicules et les pustules palmoplantaires sont fréquentes dans cette forme
D. Le traitement se basera sur 2 applications d'Ascabiol de 24 h à 24 h d'intervalle
E. Le traitement se basera sur les antihistaminiques
6.Mr A. présente une fièvre à 39°, des frissons, un placard érythématoviolacé, oedémateux douloureux de
la joue droite avec présence de pustules et un furoncle du canthus externe de l'oeil.
A. Il s'agit d'un érysipèle de la face
B. Le principal risque est la cécité
C. Le traitement est envisageable en ambulatoire
D. L'antibiothérapie à base de pénicilline M injectable de 50 mg / Kg/ j s'impose
E. Une protéinurie de 24h après 3 semaine est systématique
7.Un patient de 50 ans consulte pour des érosions buccales, douloureuses entourées d'une collerette
épithéliale. L'évolution est chronique sur 4 mois. Suivie de l'apparition d'érosions cutanées au niveau du
dos.
A. Le diagnostic le plus probable est une aphtose.
B. Le diagnostic le plus probable est un pemphigus vulgaire
C. Le signe de Nikolsky sera négatif au voisinage des érosions du dos
D. L'orientation diagnostique est histologique et la confirmation est immunologique
E. Le traitement se base sur une corticothérapie à court terme
8.Un homme âgé de 30 ans, présente depuis 24 h, un placard rouge circonscrit au niveau de l'hémi thorax
droit, surmonté de bulles hémorragiques. Avec sensation de décharges électriques.
A. Le diagnostic le plus probable est un herpès cutané
B. Le diagnostic positif repose sur le cytodiagnostic de tzanck
C. La demande de sérologie VIH est facultative
D. Le traitement fait appel à la Valaciclovir 1g / j pendant 7 jours en absence d'immunodépression
E. Les douleurs ne persistent jamais après la guérison
9. Une patiente diabétique, présente une furonculose récidivante. Votre prise en charge consiste en :
A. Un prélèvement bactériologique pour confirmer le diagnostic
B. Un équilibre de son diabète
C. Un antibiotique antistaphylococcique: Pénicilline M 50 mg/kg/j pendant 7 à 10 j
D. Un traitement à base d'antibiotique local est suffisant
E. Un traitement préventif des plis : par l'acide fucidique crème 1 fois/j pendant 10 jours /mois pendant 1 an
10.Un jeune patient de 25 ans, sans ATCD pathologiques notables, consulte pour une éruption papuleuse
récidivante disséminée au niveau du visage et corps. L'examen dermatologique objective des lésions de
molluscum contagiosum
A. vous proposez une biopsie cutanée
B. vous proposez une sérologie HIV
C. vous proposez un traitement ambulatoire
D. vous proposez une hospitalisation urgente
E. vous proposez un traitement antiviral
11.Une femme de 30 ans, consulte pour une éruption papuleuse asymptomatique du corps, l'anamnèse a
révélé la notion de prise de paracétamol pour un syndrome pseudo-grippal qui a précédé l'éruption.
L'examen dermatologique a révélé des papules rouges cuivrées au niveau du tronc, des membres et au
niveau palmo-plantaire entourées d'une desquamation fine, et une perlèche unilatérale infiltrée
A. Il s'agit d'un exanthème maculopapuleux d'origine médicamenteuse
B. Il s'agit d'une syphilis secondaire

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C. La perlèche unilatérale infiltrée est d'origine candidosique
D. La biopsie cutanée est médico-légale
E. L'arrêt du paracétamol est obligatoire
12.Homme de 30 ans rapporte un écoulement transparent matinal intermittent avec sensation de
fourmillement intracanalaire.
A. il s'agit fort probablement d'une urétrite à chlamydia trachomatis
B. il s'agit fort probablement d'une urétrite à gonococcique
C. le traitement repose sur l'association de ceftriaxone et doxycycline
D. le traitement repose sur une prise unique de fluoroquinolone
E. Le traitement repose sur la doxycycline 200mg/jr pendant 7 jours
13. Une femme de 40 ans, ATCD de tuberculose pulmonaire il y a 10 ans, présentant depuis 4 mois des
nodules sous cutanées ayant une évolution gommeuse, et un amaigrissement, l'examen dermatologique
objective de multiples nodules érythémateuses dont certaines sont fistulisées et ulcérés au niveau du tronc
et des membres
A. Il s'agit fort probablement de gommes dans le cadre d'une tuberculose scrofuloderme
B. Il s'agit fort probablement de gommes dans le cadre d'une tuberculose hématogène
C. La recherche d'un terrain d'immunodépression s'impose
D. L'IDR à la tuberculine chez cette patiente sera fortement positive
E. La recherche d'autres localisations viscérales s'impose.
14. Un patient de 28 ans, sans ATCD pathologiques notables, habite à Fès, consulte pour un nodule
érythémateux de 15mm, ulcéro-crouteux siégeant en regard du cantus interne de l'oeil droit, évoluant
depuis 3 mois. Le reste de l'examen somatique est sans anomalie
A. Il s'agit fort probablement d'un carcinome basocellulaire
B. Il s'agit fort probablement d'un carcinome épidermoïde
C. Il s'agit fort probablement d'un furoncle
D. Il s'agit fort probablement d'une leishmaniose cutanée
E. Vous proposez une biopsie cutanée
15. Mme Fatima âgée de 45 ans, sans antécédent particulier est suivie pour psoriasis vulgaire
A. A l'examen clinique on peut retrouver une érythrodermie
B. L'atteinte du cuir chevelu se présente sous forme de plaque érythématosquameuse avec chute des
cheveux au sein des plaques
C. Le prurit peut être absent
D. Une association à une hypercholestérolémie est possible
E. Le diabète doit être recherché chez elle
16. Mr Ali âgé de 60 ans suivi pour hypertension artérielle sous inhibiteur de l'enzyme de conversion depuis
2 mois, il consulte pour une érythrodermie
A. A l'examen clinique on retrouve un érythème et oedème avec un suintement des lésions occupant 95%
de la surface cutanée
B. L'absence de polyadénopathies oriente vers l'origine médicamenteuse de l'éruption
C. Une corticothérapie par voie gène ale doit être administrée en urgence et quel que soit la cause
D. L'absence de décollement muqueux est un facteur de bon pronostic
E. Le risque de surinfection bactérienne est exceptionnel
17. Une fillette de 8 ans, présente un prurit du cuir chevelu en rétroauriculaire et au niveau de la région
occipitale depuis 15 jours avec aggravation le soir.
A. Il s'agit d'une pédiculose
B. Le diagnostic positif se base sur l'examen parasitologique
C. L'éviction scolaire est systématique
D. Le traitement fera appel à l'eau vinaigrée et la vaseline blanche sous occlusion
E. Le traitement à conseiller est le rasage

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18. Enfant de 3 ans, présente des vésicules ombiliquées, des croûtes méllicériques, des érosions diffuses
au niveau de tout le corps y compris la muqueuse buccale. Son frère de 20 ans présente la même
symptomatologie avec fièvre à 39°et une toux.
A. Il s'agit d'une dermatite atopique avec surinfection herpétique
B. Le caractère familial orientera le diagnostic vers une varicelle
C. Le diagnostic positif repose sur le cytodiagnostic de Tzanck
D. La réalisation d'une radiographie pulmonaire est indispensable chez le frère
E. C'est une maladie immunisante
19. Mr Ahmed, diabétique sous Metformine, présente une fièvre à 39,5°, des frissons, un placard
érythémateux, oedémateux,bien limité, chaud et douloureux de la joue gauche avec présence d'un
intertrigo rétroauriculaire gauche.
A. Il s'agit d'un érysipèle de la face
B. Le traitement est envisageable en ambulatoire
C. L'antibiothérapie à base de pénicilline G injectable de 50 mg / Kg/ j s'impose
D. Le traitement de l'intertrigo rétro-auriculaire est indispensable
E. Une protéinurie de 24h après 3 semaines est systématique
20. Un patient de 70 ans consulte pour des bulles hémorragiques, tendues reposant sur une peau
inflammatoire au niveau des cuisses et du tronc. L'évolution est chronique sur 6 mois, précédée d'un prurit
chronique remontant à un an sans cas similaire chez la famille.
A. Le diagnostic le plus probable est une gale.
B. Le signe de Nikolsky sera négatif au voisinage des bulles
C. Une hyper éosinophilie à l'hémogramme peut orienter le diagnostic
D. L'orientation diagnostique est histologique et la confirmation est immunologique
E. Le traitement se base sur les dermocorticoïdes au long court
21. Ali, âgé de 5 ans, présente au niveau des deux plantes des pieds; un placard, verruqueux, circonscrit,
très douloureux avec présence de piquetés hémorragiques.
A. Le diagnostic le plus probable est un molluscum contagiosum
B. Il s'agit plutôt de durillons
C. Le diagnostic positif est clinique
D. Le terrain de dermatite atopique peut favoriser cette maladie
E. Le traitement fait appel à la destruction physique ou chimique des lésions
22. Une patiente de 24 ans se présente aux urgences pour des vésicules douloureuses avec picotements
de la muqueuse génitale, regroupées en bouquet, à bordure polycyclique. Votre prise en charge consiste
en :
A. Un prélèvement bactériologique pour confirmer le diagnostic
B. Demande de sérologies VIH, VDRL/TPHA, HSV
C. Un traitement à base d'antibiotique local est suffisant
D. Un traitement l'Aciclovir crème est indiqué
E. Prévenir la patiente que la maladie est non immunisante
23. Mr Ahmed âgé de 65 ans consulte pour une éruption érythémateuse maculo-papuleuse généralisée
depuis 24 heures :
A. La présence d'un prurit est en faveur d'une toxidermie
B. La présence d'adénopathies axillaires et inguinales est en faveur d'une infection virale
C. La présence d'un énanthème est en faveur d'une infection virale
D. Un décollement de la muqueuse génitale est un signe de gravité
E. Une hypothermie est un signe de gravité
24. Mme aicha 36 ans, consulte pour une éruption cutanée faite de papules et plaques érythémateuses
évoquant une urticaire aigue
A. En absence de traitement, les lésions peuvent persister plus 3 jours
B. La présence de fièvre est un argument en faveur du diagnostic
C. Une macroglossie est un signe de gravité

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D. La présence d'une dyspnée est un signe gravité
E. La prise en charge thérapeutique repose sur la prise de corticoïde par voie orale a la dose de 0,5mg/Kg/j
pendant 7 jours.
25. Mr Rachid, 48 ans suivi pour HTA sous Inhibiteur de l'enzyme de conversion depuis 5 ans, consulte
pour une urticaire profonde avec un angioedème qui évolue depuis 24 heures
A. Le prurit est toujours présent
B. La durée du traitement par l'inhibiteur de l'enzyme de conversion élimine la cause médicamenteuse
C. L'arrêt immédiat du médicament et le substitué par une autre famille est indiqué
D. La présence d'une fièvre associée peut orienter vers une cause infectieuse
E. L'absence d'urticaire superficiel est un facteur de gravité
26. Une femme de 60 ans, hospitalisés au service de chirurgie vasculaire pour bilan étiologique et prise en
charge d'un anévrisme aortique. Votre avis est sollicité pour une découverte fortuite d'une sérologie
syphilitique positive. L'examen dermatologique a objectivé un nez effondré donnant un aspect en lorgnette,
et des gommes cutanéo-muqueuses. Le reste de l'examen a révélé une atteinte de la sensibilité profonde.
A- Les lésions dermatologiques sont en faveur d'une syphilis tertiaire
B- l'anévrisme aortique peut être secondaire à la syphilis
C- Les gommes muqueuses sont généralement non destructives
D-La ponction lombaire s'impose chez cette patient
E- Les cyclines chez cette patiente sont une alternative thérapeutique si la
patiente est allergique à la pénicilline
27. Un enfant de 9 ans, habite à Fès, qui présente 1 plaque ulcérée de la joue gauche évoluant depuis 3
mois ne répondant pas au traitement symptomatique. L'examen dermatologique objective une plaque de
2cm à surface crouteuse facilement détachable, avec une ADP cervicale unilatérale gauche.
A- Il s'agit fort probablement de leishmaniose cutanée
B- Il s'agit fort probablement d'un impétigo crouteux
C- vous proposez une biopsie de la plaque pour confirmer le diagnostic
D- Le frottis cutané constitue l'examen de choix pour confirmer le diagnostic
E- Le traitement de choix chez ce patient est le Glucantime en intralésionnel
28. Femme de 50 ans, ATCD de tuberculose pulmonaire traitée déclarée guérie, consulte pour un nodule
fistulisé et ulcéré en regard du sternum évoluant depuis 7 mois sous forme gommeuse.
A- L'évolution gommeuse est définie par trois stades évolutifs : ramollissement, fistulisation et ulcération
B- le diagnostic le plus probable est une tuberculose scrofuloderme
C- le diagnostic le plus probable est une tuberculose hématogène
D- il s'agit d'une forme multibacillaire
E- L'IDR chez cette patiente sera négative
29. Une femme de 25 ans, consulte pour découverte d'une ulcération génitale. A l'examen clinique vous
objectivez un chancre génital, et vous suspectez une syphilis primaire car :
A- le chancre est unique
B- le chancre est douloureux
C- la surface du chancre est propre
D- la bordure est irrégulière
E- la base du chancre est indurée
30. Homme de 20 ans consulte aux urgences pour une chaude pisse. L'examen clinique objective un
écoulement urétral purulent jaune verdâtre.
A- Il s'agit fort probablement d'une urétrite gonococcique
B- L'agent responsable est le Neisseriagonorrhae
C- L'association d'une conjonctivite et arthrite complète le tableau de syndrome de Fissenger Leroy Reiter
D- Cette urétrite peut se compliquer d'une sténose urétrale
E- vous traitez par une injection de Ceftriaxone 250 mg en IM dose unique

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31. Une femme de 35 ans , rapporte des épisodes similaires auparavant, consulte pour de multiples
pustules follliculaires et furoncles au niveau du visage et tronc évoluant depuis 4semaines , ne répondant
pas au traitement antibiotique
A- il s'agit fort probablement d'un psoriasis pustuleux
B- il s'agit fort probablement d'une pustulose exanthématique aigue généralisée
C- il s'agit fort probablement d'une infection staphylococcique
D- vous proposez une biopsie cutanée chez cette patiente
E- vous demandez une sérologie HIV chez cette patiente
32. Mr Ali, 18 ans qui présente une hyper séborrhée, des microkystes et des comédons au niveau du
visage, quel est le diagnostic le plus probable
A. Une dermite séborrhéique
B. Une acné rétentionnelle
C. Une acné mixte
D. Une acné inflammatoire
E. Une rosacée
33. Mme Aïcha, 26 ans, pâtissière de profession qui présente deux plaques érythémato squameuses mal
limitées, prurigineuses au niveau du dos de la main droite et le poignet droit, quel est le diagnostic le plus
probable
A. Un psoriasis en plaque
B. Un eczéma chronique
C. Une dermatophytie de la peau glabre
D. Un impétigo
E. Une dermite séborrhéique
34. Hamza, nourrisson de 2 mois consulte pour une éruption érythémato-squameuse et croûteuse au
niveau du cuir chevelu et le siège
A. Une dermatite atopique est le diagnostic le plus probable
B. Une candidos est le diagnostic le plus probable
C. Une dermite séborrhéique est le diagnostic le plus probable.
D. Peut se compliquer d’une érythrodermie.
E. Son traitement repose sur une antibiothérapie anti-staphylococcique
35. Mr Hassan, 65 ans, phototype II, maçon de profession consulte pour une lésion ulcéro-bourgeonnante
du dos de la main droite de 3 cm de diamètre adhérente au plan profond sous cutanée, saignante au
contact associée à des adénopathies du, axillaire homolatérale
A. En cas d exposition au soleil Mr Ahmed peut bronzer sans brûler
B. En cas d exposition au soleil Mr Ahmed peut brûler sans bronzer
C. En cas d exposition au soleil Mr Ahmed peut brûler et bronzer
D. Le diagnostic le plus probable est une tuberculeuse
E. Le diagnostic le plus probable est un carcinome épidermoïde
36. Patiente de 40 ans, notion de furoncle nasal, présente brutalement une fièvre à 39,5°C, un placard
érythémato-violacé centro facial, chaud, douloureux avec présence de pustules.
A. Le diagnostic le plus probable est un érysipèle
B. Le germe en cause est le staphylocoque
C. le traitement fait appel à la pénicilline M par voie intraveineuse avec le traitement de la porte d’entrée
D. Le risque principal est une thrombose du sinus caverneux compliquée de cécité
E- Le risque principal est une glomérulonéphrite post streptococcique
37. Un enfant de 7 ans, scolarisé, se présente en consultation pour un nodule érythémateux squameux,
alopécique, pariétal de 3 cm. La pression de ce nodule est douloureuse et laisse sourdre du pus. La
température est à 37°.
A. Il s'agit d'un abcès
B. L'alopécie est définitive.
C. Le prélèvement mycologique est systématique.

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D. Le traitement est basé uniquement sur la Griséofulvine par voie locale 2 / jr pendant 6 semaines
E. L' éviction scolaire est obligatoire une fois le traitement est prescrit.

38. Une patiente de 70 ans. porteuse d'un dentier, sous corticothérapie orale au long court, se présente en
consultation pour une sensation de brûlures et cuisson buccale. L'examen montre une langue dépapillée,
érythémateuse, luisante avec des commissures labiales érythémateuses, fissuraire surmontées d'enduit
blanchâtre
A. Il peut s'agit d'une syphilis secondaire
B. Le diagnostic est une candidose muqueuse buccale
C. Le prélèvement mycologique est obligatoire pour le diagnostic
D. Le traitement se base sur le traitement par le Fluconazole 50 mg/j pendant 10j et le traitement local par
le Miconazole gel Daktarin 3 x / j pendant 10
E. La décontamination du dentier est facultative
39. Une patiente de 26 ans, enciente à terme, consulte pour des lésions douloureuses génitales
récidivantes, l’examen objective des vésicules regroupées en bouquet avec des adénopathies inguinales.
A. Un herpès génital récidivant est le diagnostic le plus probable.
B. L’abstention thérapeutique est justifiée.
C. Il faut interdire les rapports sexuels pendant la poussée.
D. Le diagnostic se base sur une sérologie herpétique positif.
E. Le diagnostic fait appel à l’acyclovir en crème à raison de 2 applications par jour pendant 10 jours.
40. Un enfant de 18 mois, consulte pour une éruption vésiculaire du visage et du tronc avec des pustules
palmo plantaires d’apparition récente, des cris incessants. Sa maman présente une éruption vésiculeuse
prurigineuse du tronc épargnant le visage
A. Il s'agit d'une gale .
B. Le diagnostic doit être confirmer par le prélèvement parasitologique.
C. Le traitement fait appel à l'ASCABlOL en une seule application de 12h
D. Les antihistaminiques doivent être associer aux traitements
E. Le traitement de la famille est systématique
41. Un homme de 40 ans, présente un placard rouge frontal et palpébral gauche, surmonté de bulles
hémorragiques. Avec sensation de décharges électriques.
A. Le diagnostic le plus probable est un zona ophtalmique
B. L'examen ophtalmique est systématique
C. Un bilan à la recherche d'une immunodépression est justifié
D. Le traitement fait appel à la Valaciclovir 1 g / j pendant 7 jours
E. Les algies post zostériennes est la principale complication aiguë
42. Un enfant de 5 ans, consulte pour de multiples papules, roses, ombiliquées, dispersées au niveau du
tronc avec xérose diffuse :
A. Il s’agit de verrues.
B. Le diagnostic positif se base sur la positivité de la sérologie des poxvirus
C. Le traitement se base sur l'application de solution à base d'hydroxyde de potassium
D. Le traitement fait appel à l'application de crème émolliente
E. Cette forme diffuse peut être expliqué par le prurit
43. Une femme de 28 ans, enceinte de 20 SA, consulte pour des végétations vulvaires et de la marge
anale en choufleur
A. Il s’agit de condylomes vénériens.
B. Le frottis cervico vaginal, l’anuscopie et la coloscopie s’imposent après l’accouchement.
C. Le traitement fait appel au traitement par l’acide trichloroacétique à 80%.
D. L’examen et le traitement chez le conjoint sont obligatoires.
E. Les sérologies de l’hépatite B, VDRL-TPHA, VIH sont facultatives.

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44. Une fille de 8 ans, apyrétique, présente un prurit du cuir chevelu rétro auriculaire et occipital avec une
plaque non prurigineuse, érythémateuse, érosive et recouverte de croûtes mélicériques de la nuque.
L’anamnèse retrouve la notion de prurit du cuir chevelu chez sa sœur.
A. Il s'agit d'un impétigo au niveau de la nuque
B. La présence d’adénopathies occipitales est en faveur d'un eczéma surinfecté de la nuque
C. Le diagnostic le plus probable est une pédiculose capillaire
D. Le traitement fait appel aux Malathion spray ou I’eau vinaigrée
E. L'éviction scolaire n’est pas obligatoire
45. Un Homme de 20 ans consulte aux urgences pour une chaude pisse. L'examen clinique objective un
écoulement urétral purulent jaune verdâtre.
A. Il s'agit fort probablement d'une urétrite gonococcique
B. L'agent responsable est le chlamydia trachomatis
C. L'association d'une conjonctivite et arthrite complète le tableau de syndrome de Fissenger Leroy Reiter
D. Cette urétrite peut se compliquer d'une sténose urétrale
E. Le traitement fait appel à une injection de Ceftriaxone 250 mg en IM dose unique seule
46. Un homme de 26 ans, notion de rapport sexuel non protégé, consulte pour de multiples ulcérations
douloureuses et de petite taille au niveau génital. L'examen. objectivait une surface purulente des
ulcérations avec une adénopathie inguinale fistulisée
A. Le diagnostic le plus probable est le chancre mou
B. L'agent pathogène est le Tréponéma Pallidum
C. Une co-infection des deux infections syphilis et chancre mou est possible
D. La confirmation paraclinique du diagnostic s'impose avant de démarrer tout traitement
E. Le traitement doit viser les deux agents pathogènes
47. Un patient de 50 ans, hospitalisé au service de neurologie pour bilan étiologique d’une
méningoencéphalite. Votre avis est sollicité pour découverte fortuite d’une sérologie syphilitique positive.
L’examen dermatologique a objectivé des tubercules rouges cuivrés et des gommes cutanéo-muqueuses.
A. Les lésions dermatologiques sont en faveur d’une syphilis secondaire.
B. Les gommes cutanéo-muqueuses sont exclusivement en rapport avec une tuberculose cutanée.
C. Les gommes muqueuses sont destructrices
D. La ponction lombaire est facultative pour ce patient
E. Les cyclines chez ce patient sont une alternative thérapeutique si le patient est allergique à la pénicilline.
48. Un Homme de 40 ans, antécédent de séjour à Jrada consulte pour 5 nodules ulcérées des deux
avant-bras et coudes évoluant depuis 8 mois ; L'examen dermatologique objective une surface croûteuse
facilement détachable des nodules, avec des adénopathies axillaires bilatérales.
A. Il s'agit fort probablement de leishmaniose cutanée
B. La forme clinique et l'origine du patient orientent plus vers une espèce de leishmania Tropica
C. le frottis cutané constitue l'examen de choix pour confirmer le diagnostic
D. La déclaration n'est pas nécessaire
E. Le traitement de choix chez ce patient est le Glucantime en intralésionnel
49. Homme de 40 ans, antécédent de contage tuberculeux, consulte pour un nodule fistulisé et ulcéré en
regard du sternum évoluant depuis 5 mois sous forme gommeuse.
A. l'évolution gommeuse est définie par deux stades évolutives : ramollissement et fistulisation
B. le diagnostic le plus probable est une tuberculose scrofuloderme
C. Il s'agit d'une forme multibacillaire
D. L'IDR à la tuberculine chez ce patient sera fortement positive
E. L'histologie montrera un granulome tuberculoïde avec nécrose caséeuse
E. Il faut arrêter immédiatement l’amlodipine et le gardénal.

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50. Un homme de 30 ans, habite à Outat lhaj, cas similaire chez le frère, consulte pour l'apparition des
lésions achromique au niveau du tronc. L’examen clinique objective 3 macules de 8 cm chacune, à bordure
infiltrée érythémateuse, avec une hypoesthésie aux 3 modes de sensibilité.
A. Il s’agit d’une lèpre lépromateuse.
B. Il s’agit d’une lèpre tuberculoïde.
C. La vitropression de la bordure infiltrée montrera un aspect lupoïdique
D. Il s’agit d’une forme multibacillaire.
E. La durée du traitement de cette forme est de 6 mois.
51. Une femme de 25 ans consulte pour la découverte d’une ulcération génitale, A l’examen clinique vous
objectivez un chancre génital, et vous suspecter une syphilis primaire car :
A. Le chancre est douloureux
B. Le chancre est unique
C. La surface du chancre est propre
D. La bordure est irrégulière.
E. La base du chancre est indurée.
52. Melle Assia âgée de 25 ans, consulte pour une éruption brutale à type de vésicules sur une base
érythémateuse érosive et suintante très prurigineuse à bordure émietté au niveau du poignet gauche, quel
est le diagnostic le plus probable
A. Un eczéma chronique
B. Une syphilis secondaire
C. Une varicelle
D. Un psoriasis vulgaire
E. Un eczéma aiguë
53. Un nourrisson de 4 mois se présente à la consultation pour un prurit insomniaque l'examen clinique
retrouve des plaques érythémateuses érosives et suintante recouverte de croûte par endroit excoriée par
endroit qui siègent sur les deux joues, les avant-bras et les jambes, l'atteinte est bilatérale et symétrique
quels sont les diagnostics à évoquer
A. Un herpès cutané
B. Un impétigo
C. Un psoriasis
D. Une dermatite atopique
E. Une dermite séborrhéique
54. Mr Ahmed, 40 ans consulte pour une éruption faite de papules et plaques érythémateuses et
oedémateuses prurigineuses fugaces et migratrices au niveau du visage, le tronc et les membres. A
l’interrogatoire le patient rapporte la notion d’une angine pour laquelle il a reçu de l'amoxicilline 3 g par jour
pendant 2 jours qui ont précédé l’éruption cutanée. Le diagnostic le plus probable
A. Une toxidermie
B. Une urticaire alimentaire
C. Un eczéma aiguë
D. Un zona
E. Un psoriasis généralisé
55. Patiente de 45 ans, ayant un antécédent d'un lymphoedème du membre supérieur gauche suite à une
mastectomie pour un cancer du sein gauche remontant à 2 ans, elle présente brutalement un fièvre à 39,5
°, un placard érythématooedémateux de l'hémithorax et du membre supérieur gauche. L'examen objective
une érosion du fond de la cicatrice de la mastectomie.
A- Le diagnostic le plus probable est un érysipèle
B- Le germe en cause est le staphylocoque
C- Le traitement fait appel à la pénicilline G par voie intraveineuse en hospitalier
D- Le risque principal est la récidive vu le lymphoedème
E- Le traitement de l’érosion de la cicatrice est facultatif

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56. Un enfant de 6 ans, consulte pour un placard, kératosique, verruqeux, non douloureux de la plante du
pied droit.
A- Il s’agit d'une myrmécie
B- La recherche d’un terrain d'atopie cutanée est justifiée chez cet enfant
C- Le traitement fait appel aux moyens de destruction chimiques ou physiques
D- La régression spontanée justifie l'abstention thérapeutique
E- Cette pathologie est contagieuse
57. Une patiente de 50 ans, se présentait en consultation pour une xanthonychie de la totalité de l’ongle de
l’orteil gauche avec une hyperkératose sous unguéale et une onycholyse sans paronychie. Le tout évoluant
depuis 1 an.
A- Il s'agit probablement d’un psoriasis unguéal
B- Le diagnostic le plus probable est une candidose unguéale
C- Le prélèvement mycologique est obligatoire pour le diagnostic
D- Le syndrome main- 2 pieds peut être une complication de cette pathologie
E- Le traitement local sera suffisant
58. Une patiente de 26 ans, enceinte à 16 SA, consulte pour des lésions végétantes en crête de coq
vulvaires, périnéales et péri anales.
A- Un herpès génital est le diagnostic le plus probable
B- Le Frottis cervico vaginal, l'anuscopie et la colposcopie s’imposent après l'accouchement.
C- Le diagnostic repose sur la sérologie du virus Humain Papilloma Virus
D- Le traitement fait appel au traitement par l'acide trichloroacétique à 80 %
E- Le risque principal chez le nouveau-né est la papillomatose laryngée
59. Un homme de 40 ans, obèse, présente un placard brunâtre polycyclique, à bordure circinée avec un
centre tendant à la guérison au niveau inguinal droit
A. Le diagnostic le plus probable est un Erythrasma
B. Le diagnostic positif repose sur le prélèvement mycologique
C. Un bilan à la recherche d'une immunodépression est justifié
D. Le traitement fait appel à la Fluconazol 150 mg / semaine pendant 1 mois
E. Le traitement se base sur l'application d’un dérivé Imidazolé pendant 4 semaines et l'éviction de
l’humidité locale
60. Une jeune de 18 ans, consulte aux urgences pour une asthénie générale, une diarrhée, des
adénopathies diffuses et un amaigrissement brutal. L'examen dermatologique objective des papules
ombiliquées des membres inférieurs et du visage, des lésions de dermite séborrhéiques diffuse au niveau
du corps et au bilan biologique une lymphopénie à 600 éléments/ mm3
A- Il s'agit d’un tableau révélateur d'une infection VIH
B- Les papules ombiliquées sont constamment des molluscums contagiosums
C- Une biopsie des papules ombiliquées est indispensable pour confirmer le diagnostic
D- Le caractère diffus de la dermite séborrhéique plaide en faveur du VIH
E- L'Ag P24 permet le diagnostic du VIH à ce stade
61. Une fille de 8 ans, apyrétique, présente des croûtes mélicériques des 2 creux axillaires, en péribuccale
et périnasal.
A- Il s'agit d’un impétigo
B- Le germe en cause est probablement le streptocoque
C- C'est une maladie immunisante
D- Le traitement fait appel au traitement local seul par l'acide Fucidiaue en pommade 2 x / j pendant 10 j
E- L’éviction scolaire n’est pas obligatoire

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62. Une femme de 30 ans, présente brutalement un prurit, à recrudescence nocturne, localisé au niveau
interdigital de la main droite avec présence de vésicules et de lésions d'excoriation. Elle a été traitée par un
dermocorticoïde classe forte sans amélioration. Le reste de l'examen somatique est normal.
A- Il s'agit d’un eczéma aiguë
B- La recherche d'un prurit chez les contacts est indispensable
C- Le caractère localisé élimine le diagnostic d'une gale
D- L’examen au dermoscope orientera le diagnostic positif
E- Le traitement fera appel à un dermocorticoïde classe très forte
63. Une jeune femme de 23 ans, consulte pour des ulcérations douloureuses au niveau génital évoluant
depuis ôjours. L’examen objectivait une bordure polycyclique des ulcérations et des adénopathie
inflammatoires inguinales
A. 11 s’agit fort probable d’une syphilis primaire
B. Il s'agit fort probable d’un herpès génital
C. Il s'agit fort probable d'un chancre mou
D. Il ne s’agit pas d’une IST
E. Le dépistage des autres IST s'imposent
64. Homme de 25 ans, suivi pour une immunodépression acquise HIV+, consulte pour de multiples nodules
dont certaines sont fermes, d'autres sont fistulisés et ulcérés au niveau du tronc et des membres évoluant
depuis 6 mois.
A. le diagnostic le plus probable est une tuberculose gommeuse hématogène
B. le diagnostic le plus probable est une tuberculose scrofuloderme
C. le diagnostic le plus probable est une leishmaniose généralisée
D. Il s’agit d’une forme paucibacillaire
E. L’IDR à la tuberculine chez ce patient sera négative
65. Un enfant de 6 ans, habite à Fès, consulte pour un nodule de 2 cm ulcéré de la joue gauche évoluant
depuis 5 mois, l'examen dermatologique objective une surface croûteuse difficilement détachable, sans
adénopathies cervicales.
A. Il s’agit fort probablement de leishmaniose cutanée à leishmania tropica
B. Il s'agit fort probablement de leishmaniose cutanée à leishmania Major
C. le diagnostic sera confirmé par une biopsie du nodule pour une étude histologique
D. La déclaration n’est pas nécessaire dans cette forme localisée
E. Le traitement de choix chez ce patient est le Glucantime en intramusculaire
66. Une femme de 30 ans, habite à taounate, cas similaire dans la famille, ATCD d’épistaxis, consulte pour
apparition des papulo-nodules au niveau du visage et des lobules des oreilles évoluant depuis 4 mois.
L’examen clinique objective une dépilation de la queue des sourcils, avec des doigts boudinés.
A. Il s'agit d’une lèpre lépromateuse
B. Il s'agit d’une lèpre borderline borderline
C. La vitropression des papulo-nodules montrera un aspect lupoidique
D. Il s'agit d'une forme multibacillaire
E. La durée du traitement de cette forme est de 6 mois
67. Femme de 30 ans, diabétique sous insuline, notion de prise d'amoxicilline il y a 1 semaine pour des
angines, présente depuis 3 jours une éruption pustuleuse au niveau des plis, l'examen clinique trouve une
patiente en bon état général, T°= 38°C, l'examen dermatologique objective de multiples pustulettes en tête
d'épingle lactescentes non folliculaires au niveau du cou, plis axillaires et inguinales bilatérales. NFS
montre une hyperleucocytose à PNN
A. Il s'agit fort probablement d'une pustulose exanthématique aiguë généralisé
B. Il s’agit fort probablement d'un psoriasis pustuleux
C. Les pustules sont en rapport avec une folliculite bactérienne chez cette patiente diabétique
D. L’hyperleucocytose à PNN est en faveur de ce diagnostic
E. La biopsie cutanée est facultative

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68. Un jeune homme de 25 ans, consulte pour une éruption non prurigineuse du corps évoluant depuis un
mois, l'examen clinique trouve un patient apyrétique, l’examen dermatologique trouve des papules rouges
cuivrés entouré d'une fine desquamation au niveau du tronc, des membres, et au niveau palmo-plantaires
bilatérales, une perlèche unilatérale, des plaques alopéciques temporo occipitales non cicatricielles, et une
dépilation partielle des sourcils
A. Il s’agit fort probablement d'un exanthème maculo-papuleux d’origine médicamenteuse
B. IL s’agit fort probablement d’une syphilis secondaire
C. 11 s’agit fort probablement d’une lèpre lépromateuse
D. Le diagnostic sera confirmé par une biopsie cutanée
E. La perlèche unilatérale est en faveur de ce diagnostic
69. Un nourrisson de 6 mois, consulte pour des lésions sous forme de plaques érythémateuse et
vésiculeuses suintantes très prurigineuses des joues et le cou
A. Ce tableau évoque une dermatite atopique
B. Son traitement repose sur une corticothérapie locale
C. La survenue d'une surinfection staphylococcique est très fréquente
D. Un régime alimentaire pauvre en histamine est prescrit
E. La prescription des émollients sur les joues de façon concomitante aux dermocorticoïdes pendant la
phase d'attaque est obligatoire
70. Un patient de 50 ans consulte pour une érosion de la joue droite de 3 mm de diamètre, non infiltrée à la
palpation, indolore et non prurigineuse évoluant depuis 6 mois malgré la prise d'un traitement à base
d'antibiotique local, général et de crème cicatrisante quel est votre attitude
A. Changement de famille d'antibiotique
B. Prescription d'anti inflammatoire non stéroïdien par voie orale
C. Prescription d'une corticothérapie par voie orale de courte durée
D. Faire une biopsie cutanée
E. Réaliser une radiographie du massif facial et ou une TDM
71. Une patiente de 65 ans sans antécédent pathologique consulte pour une bande longitudinale
pigmentée de l'ongle du gros orteil du pied droit évoluant depuis 2 ans : quels sont les signes en faveur
d'un mélanome de l'ongle
A. La présence de la même bande sur les autres orteils
B. Une pigmentation brunâtre du repli sus unguéal proximal
C. Une dystrophie du bord distal de la tablette unguéale
D. Le diamètre de la bande dépasse le 1/3 de la largeur de la tablette unguéale
E. La présence d'un péri onyxis
72. Une patiente de 21 ans, antécédent de tuberculose chez sa mère, consulte pour un nodule ulcéré
chronique en regard des adénopathies axillaires :
A. Le diagnostic le plus probable est une tuberculose type scrofuloderme
B. Une échographie axillaire est facultative
C. La présence de la nécrose caséeuse en histologie confirme le diagnostic
D. Le protocole anti bacillaire est 2RHZ /4RH pendant 6 mois
E. La déclaration de cette maladie est obligatoire
73. Un enfant de 5 ans, présente au niveau du cuir chevelu, un nodule érythémato-squameux réalisant un
aspect de macaron, inflammatoire et pustuleux sans fièvre avec un signe de traction positif et des cheveux
cassés à ras :
A. Il s'agit d'un abcès du cuir chevelu
B. Il s'agit d'une teigne favique
C. Le prélèvement mycologique est facultatif
D. Le traitement fait appel à un antibiotique + la Griséofulvine par voie topique et systémique pendant 6
semaines.
E. L'éviction scolaire n'est plus indispensable

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74.Une femme de 65 ans, présente depuis 48 h, un placard rouge circonscrit au niveau frontal et palpébral
droit, surmonté de bulles hémorragiques. Avec sensation de décharges électriques.
A. Le diagnostic le plus probable est un herpès cutané
B. L'examen ophtalmique est facultatif
C. Le traitement fait appel à la Valaciclovir 3 g / j pendant 7 jours
D. Un traitement symptomatique est suffisant
E. Les douleurs peuvent persister longtemps après la guérison
75. Une fille de 22 ans, consulte pour un prurit diffus avec des vésicules et des lésions d'excoriations en
regard des poignets, des espaces interdigitaux et de multiples érosions prurigineuses de petites tailles de
la région génitale. Le visage est épargné. L'anamnèse objective la notion de rapports sexuels non
protégés.
A. Il s'agit probablement d'une syphilis
B. Il s'agit probablement d'une gale
C. Le bilan à réaliser est une sérologie TPHA, VDRL, de l'hépatite B et HIV.
D. Le traitement fait appel à 2 applications de l'ASCABIOL à 24H d'intervalle à répéter après le 7ème jour
E. Le traitement de l'entourage est obligatoire
76. Une femme de 30 ans, enceinte de 34 SA, consulte pour des végétations vulvaires et de la marge
anale d'apparition récente.
A. Il s'agit de condylomes vénériens.
B. Le Frottis cervico vaginal, l'anuscopie et la colposcopie s'imposent après son accouchement.
C. Le traitement fait appel au traitement par l'acide trichloroacétique à 50 %
D. L'examen et le traitement chez le conjoint est systématique
E. Les sérologies de l'hépatite B, VDRL-TPHA, VIH doivent être demandées
77.Une femme de 40 ans, diabétique, se présente aux urgences pour une fièvre à 39,5°. L'examen trouve
un état hémodynamique altéré et une grosse jambe, rouge aiguë droite avec un œdème diffus à la cuisse,
des bulles hémorragiques, des crépitations et un intertrigo inter orteil diffus.
A. Le diagnostic le plus probable est un érysipèle avec des signes de gravité
B. Le diagnostic le plus probable est une fasciite nécrosante
C. L'hospitalisation est urgente
D. Le traitement est médico-chirurgical
E. Les anti- inflammatoires stéroïdiens vont améliorer les signes cliniques
78.Un homme de 30 ans, consulte pour des macules hypochromiques du tronc. Quelles sont les
propositions correctes :
A. La présence d'hypo-esthésie, d'hyposudaton oriente vers le diagnostic d'une lèpre tuberculoïde
B. L'augmentation du contraste de la plaque à la lumière de Wood avec la présence de poils blancs au
niveau des lésions orientent vers un vitiligo
C. La présence de fines squames détachables avec une curette oriente vers un pityriasis versicolore
D. La présence de fines squames détachables avec une curette oriente vers un pityriasis rosé de Gilbert
E. L'âge et la localisation ne sont pas en faveur de dartres
79.Une femme de 30 ans, présente suite à son voyage à Errachidia, une plaque érythémateuse
squameuse de 2 cm de la joue gauche évoluant depuis 5 mois, ne régressant pas sous traitement
antibiotique.
L'anamnèse objective la notion de piqûre d'insecte. Le reste de l'examen somatique est normal.
A. Le diagnostic le plus probable est un carcinome épidermoïde
B. Le diagnostic le plus probable est une leishmaniose cutanée
C. La vitro pression peut montrer un aspect lupoidique
D. L'histologie de la biopsie du nodule constitue l'examen de choix pour confirmer le diagnostic par rapport
au frottis cutané à la recherche de corps de leishmanie.
E. Le traitement fait appel aux infiltrations par le Glucantime

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80- Mr Ahmed âgé de 56 ans, consulte pour une éruption maculo papuleuse généralisée, très prurigineuse,
brutale 2 jours après le début d'un traitement amoxicilline + acide clavulanique pour une infection
respiratoire
A- L’existence d’une atteinte des muqueuses buccale, conjonctivale ou génitale est indispensable pour
retenir le diagnostic de toxidermie
B- L’existence d’une atteinte des muqueuses buccale, conjonctivale ou génitale peut craindre une forme
grave de toxidermie
C- L’arrêt du médicament est facultatif
D- Il est nécessaire d’instaurer en urgence une corticothérapie par voie générale
E- Il est indispensable de rechercher une atteinte systémique
81- Mr Ali âgé de 18 ans consulte pour des lésions d’acné au niveau du visage et du dos
A- Les comédons sont des pustules correspondant à des lésions inflammatoires d’acné
B- Les microkystes sont des micro-papules de couleur peau normal en rapport avec des lésions de
rétention
C- L’hyper séborrhée est un signe clinique constant
D- Le traitement repose sur l’application de dennocorticoïde
E- La photo protection est nécessaire dans sa prise en charge thérapeutique
82- Mme Khadija, âgée de 25 ans, consulte pour des lésions d’eczéma aiguë au niveau du dos des pieds
A- C’est une plaque érythémato-vésiculeuse prurigineuse, mal limitée
B- C’est une plaque érythémato-papuleuse, prurigineuse, mal limitée
C- La surinfection bactérienne est exceptionnelle
D- Le traitement repose sur l’application de dermocorticoïde
E- Le traitement repose sur des antifongiques locaux
83- Mr Ahmed 70 ans, phototype III, consulte pour un nodule pigmenté du talon en faveur d’un mélanome
A- C’est un mélanome acro-lentigineux
B- L’exposition aux UV est un facteur favorisant d’apparition de cette tumeur chez ce patient
C- La règle ABCDE permet de poser le diagnostic de mélanome chez ce patient
D- En absence de traitement, le risque d’extension ganglionnaire est élevé
E- Une biopsie exérèse pour étude anatomo-pathologie est indispensable pour confirmer ce diagnostic
84- Mme Kenza, 46 ans, consulte pour une urticaire cutanée évoluant depuis 10 jours
A- L’éruption est papulo pustuleuse très prurigineuse, fugace et migratrice
B- L’atteinte de la muqueuse buccale est de bon pronostic
C- C’est une forme chronique d’urticaire
D- Le traitement repose sur la mise en route d’Antihistaminique H1 par voie orale
E- Le traitement repose sur la mise en route de corticothérapie par voie orale
85-Mme Fatima, 36 ans, consulte pour psoriasis vulgaire en plaque
A- Cette affection peut être induite par des médicaments
B- Il intéresse fréquemment le visage
C- Il se présente sous forme de plaque érythémato-squameuse, bien limitée et prurigineuse
D- Il se présente sous forme de plaque érythémato-vésiculeuse, mal limitée et prurigineuse
E- Le grattage méthodique oriente le diagnostic
86- Un homme âgé de 70 ans, diabétique, présente depuis 24h, un placard rouge circonscrit au niveau de
l’hémithorax droit, surmonté de bulles hémorragiques. Avec sensation de décharges électriques.
A- Le diagnostic le plus probable est un zona
B- Le diagnostic positif repose sur le cytodiagnostic de tzanck
C- Un traitement symptomatique est suffisant
D- Le traitement fait appel à la Valaciclovir 3 g / j pendant 7 jours
E- Les douleurs ne persistent jamais après la guérison

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87- Un patient de 50 ans, sans antécédents pathologiques notables, présente un intertrigo des 2 derniers
espaces inter orteil bilatérales, prurigineux, érythémateux, avec un fond fissuraire:
A- Il s’agit d’un intertrigo candidosique
B- L’érysipèle est la principale complication à craindre
C- L’atteinte mycosique de l’ongle constitue le principal réservoir de cet intertrigo
D- Le traitement se base sur un dérivé imidazolé en crème pendant 4 semaines
E- Le traitement des chaussures et des chaussettes est recommandé par un dérivé imidazolé en poudre
88- Un jeune homme de 34 ans, tabagique, présente une éruption similaire à sa fille, vésiculeuse,
ombiliquée, diffuse avec une toux et une fièvre.
A- La présence de lésions d’âge différent orientera le diagnostic d’une varicelle.
B- La radiographie pulmonaire est urgente à la recherche d’une pneumopathie varicelleuse
C- Les anti inflammatoires non stéroïdiens sont préconisés pour améliorer les signes cliniques
D- La rupture des vésicules sera préconisée
E- Un traitement symptomatique est suffisant en cas de bilan normal
89- Un homme de 32 ans, avec notion de rapports sexuels non protégés, se présente pour un syndrome
pseudo grippal. L’examen objective des plaques et des papules érythémateuses finement squameuses,
asymptomatiques du tronc, palmo plantaires et des plaques érythémateuses au niveau des muqueuses. Le
reste de l’examen somatique est normal.
A- Il peut s’agit d’une primo infection VIH
B- Une syphilis secondaire reste le diagnostic le plus probable
C- Le bilan à réaliser est une antigénémie P24 seule
D- Les lésions palmo plantaires sont contagieuses
E- On peut l’orienter pour réaliser un bilan sérologique au centre de transfusion dans le cadre du don du
sang.
90-Un enfant de 6 ans, consulte pour plusieurs lésions kératosiques, verruqueuses, douloureuses de la
plante des deux pieds.
A- Il s’agit d’une myrmécie
B- La recherche d’un terrain d’atopie cutanée est justifiée chez cet enfant
C- Le traitement fait appel aux moyens de destruction chimiques ou physiques
D- La régression spontanée est possible
E- Cette pathologie est contagieuse
91- Un jeune homme de 20 ans, avec notion de rapports sexuels non protégés, consulte pour une chaude
pisse avec notion d’écoulement purulent abondant. Le reste de l’examen somatique est normal.
A- Le diagnostic le plus probable est une uréthrite gonococcique
B- L’approche syndromique à suivre est clinique ne justifiant pas la réalisation de prélèvement
bactériologique
C- Un prélèvement bactériologique suivi d’une prise d’amoxicilline protégé est préconisé
D- Le traitement est Ceftriaxone 250 mg en IM en dose unique et la Doxycycline 100 mg 2 fois par jour pdt
07 jours
E- L’information-éducation-communication sont à la base de la prise en charge de ce patient.
92- Un enfant de 6 ans, apyrétique, présente des croûtes méllicériques en péri buccale et péri nasal sans
fièvre ni altération de l’état général.
A- Le diagnostic le plus probable est un impétigo croûteux.
B- Cette maladie est contagieuse
C- Le traitement se base sur l’hygiène et l’antibiothérapie
D- L’immunité n’est pas durable
E- Cette maladie peut se compliquer d’une glomérulo néphrite aigue post streptococcique

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93- Un patient de 50 ans consulte pour des érosions buccales, douloureuses entourées d’une collerette
épithéliale. L’évolution est chronique sur 4 mois. Suivie de l’apparition d’érosions cutanées au niveau du
dos.
A- Le diagnostic le plu. probable est une aphtose.
B- Le diagnostic le plus probable est un pemphigus vulgaire
C- Le signe de Nikolsky sera négatif au voisinage des érosions du dos
D- L’orientation diagnostique est histologique et la confirmation est immunologique
E- Le traitement se base sur une corticothérapie à court terme
94. Un patient de 60 ans, suivi pour une goutte pour laquelle il est mis sous Allopurinol depuis 20 jours. 11
présente un exanthème maculo- papuleux prurigineux, purpurique par endroit, un œdème du visage, des
polyadénopathies et une fièvre à 39°.
A- Il s’agit probablement d’un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (Syndrome de DRESS)
B- La recherche d’une atteinte rénale est systématique
C- La prise en charge peut se faire en ambulatoire
D- L’hémogramme peut objectiver une hypo-éosinophilie
E- L’arrêt de l’Allopurinol n’est pas indispensable
95. Une patiente de 45 ans, s’est présentée aux urgences pour des lésions érythémateuses prurigineuses
du cuir chevelu, avec des squames sèches débordent sur la lisière frontale et des vésicules suintantes en
rétro-auriculaire. L’anamnèse trouve la notion d’application de coloration capillaire quelques jours
auparavant.
A- Il s’agit d’un psoriasis du cuir chevelu
B- Il s’agit d’une dermite séborrhéique
C- L’histologie sur biopsie cutanée pour confirmation diagnostic est nécessaire
D- En cas de surinfection, une antibiothérapie locale sera prescrite
E- Les dermocorticoïdes constituent le traitement de référence
96. Une patiente de 26 ans, sans antécédent pathologique notable consulte pour un herpès génital
récidivant, quelle est votre prise en charge ?
A- Abstention thérapeutique
B- Prescrire l’acyclovir en crème à raison de 2 applications par jour pendant 10 jours
C- Interdire les rapports sexuels non protégés pendant la poussée
D- Prescrire la valacyclovir par voie orale à raison de 500 mg 2 fois par jour pendant 5 jours
E- Demander une sérologie herpétique
97. Une patiente de 46 ans, antécédent de mal de pot chez sa soeur, consulte pour un nodule ulcéré
chronique en regard des adénopathies cervicales:
A- Le diagnostic le plus probable est une tuberculose scrofulodenne
B- Le diagnostic le plus probable est une gomme tuberculeuse
C- Une échographie cervicale est indispensable
D- La présence de la nécrose caséeuse en histologie confirme le diagnostic
E- Le protocole antibacillaire est 2RHZ / 4RH pendant 6 mois
98. Un patient diabétique de 50 ans, présente un intertrigo inguinal droit, prurigineux, érythémateux, luisant,
avec un fond fissuraire recouvert d’enduit blanchâtre:
A- Il s’agit d’un intertrigo dermatophytique
B- Il s’agit d’un psoriasis inversé
C- Le diagnostic positif se base sur le prélèvement mycologique sur milieu de Saboureaud
D- Le traitement fait appel à un antimycosique systémique
E- Le traitement se base sur un dérivé imidazolé en crème pendant 6 semaines
99. Un enfant de 8ans, présente 5 plaques alopéciques, de petite taille avec un signe de traction positif et
des cheveux cassés à ras:
A- Il s’agit d’une pelade
B- Il s’agit d’une teigne microsporique
C- Le prélèvement mycologique est facultatif

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D- Le traitement fait appel à la Griséofulvine par voie orale et topique pendant 6 semaines.
E- L’éviction scolaire n’est plus indispensable
100. Un diabétique de 60 ans, consulte pour une onycholyse des 2 gros orteils avec xanthonychie latéro
distale, sans périonyxis, et un intertrigo du dernier espace inter orteil :
A- D s’agit probablement d’une onychomycose dermatophytique
B- Il s’agit d’un onyxis candidosique
C- Le prélèvement mycologique est facultatif
D- Le traitement fait appel au Fluconazole comprimé : lx / semaine pendant 12 mois
E- Un contrôle hépatique est indispensable
101. Un enfant de 7 ans. consulte pour un prurit diffus avec notion de prurit chez la maman:
A- Il s’agit d'une gale
B- Le diagnostic doit être confirmé par le prélèvement parasitologique
C- Le traitement fait appel à l’ASCABIOL en une seule application
D- Le traitement de la famille est souhaitable
E- L’éviction scolaire est indispensable
102. Un jeune homme de 34 ans, tabagique, présente une éruption similaire à sa fille, vésiculeuse,
ombiliquée, diffuse avec une toux et une fièvre.
A- La présence de lésions d’âge différent orientera le diagnostic d’une varicelle.
B- La radiographie pulmonaire est urgente à la recherche d’une pneumopathie varicelleuse
C- La rupture des vésicules sera préconisée
D- Un traitement symptomatique est suffisant en cas de bilan normal
E- L’acide salicylé peut être indiqué pour baisser sa température
103. Un homme de 65 ans, présente un placard rouge frontal et palpébral droit, surmonté de bulles. Avec
sensation de décharges électriques
A- Le diagnostic le plus probable est un zona
B- L’examen ophtalmique est facultatif
C- Le traitement fait appel à la Valaciclovir 3 g / j pendant 7 jours
D- Un traitement symptomatique est suffisant
E- Un bilan'à la recherche d’une immunodépression est justifié
104. Une femme de 30 ans, présente suite à son voyage à Errachidia, un nodule érythémateux de 2 cm de
l’avant bras gauche évoluant depuis 3 mois.
A- Le diagnostic le plus probable est un furoncle
B- La vitropression peut être utile
C- Le frottis cutané constitue l’examen de choix pour confirmer le diagnostic
D- La déclaration est facultative
E- Le traitement fait appel à un traitement systémique
105. Un homme de 34 ans, avec notion de condylomes vénériens génitaux, se présente pour des myalgies
et des arthralgies. L’examen objective des plaques et des papules érythémateuses finement squameuses,
asymptomatiques du tronc et palmo plantaires.
A- Il s’agit d’un psoriasis
B- Une syphilis secondaire est le diagnostic le plus probable
C- Le bilan à réaliser est une sérologie: VDRL- TPHA, VIH, Hépatite B et Humain papilloma virus
D- On peut l’orienter pour réaliser un bilan sérologique au centre de transfusion dans le cadre du don du
sang
E- Les lésions ne sont pas contagieuses
106. Un homme de 50 ans, présente un épistaxis chronique non étiqueté, un faciès léonin, avec chute des
sourcils et des fourmillements
A- Le diagnostic le plus probable est une lèpre tuberculoide
B- La confirmation est histologique
C- La confirmation est bactériologique sur un prélèvement de la muqueuse nasale
D- La déclaration est facultative

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E- Le traitement fait appel à un traitement antibacillaire de 6 mois
107. Un enfant de 4 ans, consulte pour un placard, kératosique, verruqueux, non douloureux de la plante
du pied droit.
A- Il s’agit d’une myrmécie
B- La recherche d’un terrain d’atopie cutanée est justifiée chez cet enfant
C- Le traitement fait appel aux moyens de destruction chimiques ou physiques
D- La régression spontanée est possible
E- Cette pathologie n’est pas contagieuse
108. Une femme de 30 ans, enceinte de 24 semaines d’aménorrhée, consulte pour des végétations
vulvaires et de la marge anale d’apparition récente.
A- Il s’agit de verrues.
B- Le Frottis cervico vaginal, l’anuscopie et la colposcopie s’imposent après son accouchement.
C- Le traitement fait appel au traitement par l’acide trichloroacétique à 50 %
D- L’examen et le traitement chez le conjoint est facultatif
E- Les sérologies de l’hépatite B, VDRL-TPHA, VIH doivent être demandées
109. Un jeune homme de 20 ans, notion de goutte matinale méatique pour laquelle il n’a pas traité,
consulte pour une chaude pisse avec notion d’écoulement purulent abondant.
A- Le diagnostic le plus probable est une uréthrile gonococcique
B- Le diagnostic le plus probable est une uréthrite mixte
C- Un prélèvement bactériologique doit être réalisé
D- Le traitement est Ceftriaxone 250 mg en IM en dose unique ou la Doxycycline 100 mg 2 fois par jour pdt
07 jours
E- L’information-éducation-communication sont à la base de la prise en charge de ce patient.
110. Un patient de 50 ans, sans antécédents pathologiques notables, se présente aux urgences pour une
fièvre à 39°. L’examen trouve un état hémodynamique conservé et une grosse jambe, rouge aigue droite
avec un purpura et une adénopathie inflammatoire inguinale droite et un intertrigo interorteil diffus.
A- Le diagnostic le plus probable est une fasceite nécrosante
B- Le diagnostic le plus probable est un érysipèle avec des signes de gravité
C- Le traitement est ambulatoire
D- Le traitement se base sur la pénicilline G intraveineuse, les anti-inflammatoires non stéroïdiens et le
traitement antimycosique de l’intertrigo
E- Le traitement se base sur la pénicilline G intra-veinuse, le traitement antimycosique de l’intertrigo et le
repos.
111. Un nourrisson de 1 an, apyrétique, présente des bulles flasques à contenu purulent au niveau de la
joue, du décolleté et de l’abdomen.
A- Le diagnostic le plus probable est un impétigo bulleux
B- Il n’est pas contagieux
C- Le traitement se base sur l’hygiène et l’antibiothérapie
D- L’immunité est durable après l’infection.
E- La survenue de glomérulo néphrite aigue post streptococcique est fréquente
112. Un enfant de 3 ans, consulte pour de multiples papules, roses, ombiliquées, dispersées au niveau du
tronc avec xérose diffuse:
A- Le diagnostic le plus probable est la crvptococcose,
B- Il s’agit de molluscums contagiosums
C- Le traitement se base sur l'application de solution à base d’hydroxyde de potassium
D- Le traitement fait appel à l’application de crèmeémolliente
E- Cette forme diffuse peut être expliquée par le prurit

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113. Un patient de 68 ans, phototype II, avec notion d’exposition solaire chronique, présente une papule
perlée depuis plusieurs mois au niveau du front:
A- Son phototype II est un facteur de prédisposition aux cancers cutanés
B- Un carcinome basocellulaire est le diagnostic le plus probable
C- La confirmation est histologique
D- Un bilan d’extension est nécessaire
E- Le traitement est chirurgical
114. Un patient de 60 ans, victime d’une brûlure de la jambe droite à l’enfance, présente au niveau de la
cicatrice de brûlure un ulcère hyperbourgeonant de 4 cm, saignant au contact, douloureux et à base
infiltrée:
A- Un carcinome épidermoide est le diagnostic le plus probable
B- La confirmation est histologique
C- Un bilan d’extension est nécessaire
D- Le traitement de première intention est une radiothérapie
E- Une surveillance au long court est nécessaire après chirurgie carcinologique
115. Un patient de 56 ans, présente un nodule noir, indolore de la plante du pied droit d’apparition récente,
survenant sur une macule noire évoluant depuis 3 ans.
A- C’est un mélanome jusqu’ à preuve du contraire
B- Il s’agit d’un nævus
C- L’absence de douleur traduit que la pathologie est bénigne
D- L’histologie cutanée est indispensable pour le diagnostic.
E- La prise en charge se fera en ambulatoire
116- Un patient de 35 ans, suivi pour une épilepsie pour laquelle il est mis sous neuroleptique (Tégrétol)
depuis 6 semaines. Il présente un exanthème maculopapuleux prurigineux, purpurique par endroit, un
œdème du visage, des polyadénopathies et une fièvre à 39 ° avec une hépatosplénomégalie.
A- Il s’agit probablement d’un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (Syndrome de DRESS)
B- Il s’agit d’un exanthème d’origine infectieux
C- La recherche d’une atteinte rénale n’est pas obligatoire
D- L’hémogramme peut objectiver une hyperéosinophilie
E- L’arrêt du Tégrétol et son remplacement par une autre molécule est indispensable
117- Une patiente de 25 ans, s’est présentée en consultation pour des lésions érythémateuses
prurigineuses au niveau des 2 oreilles d’apparition récente. L’examen montre des vésicules avec un
suintement en rétro-auriculaire et au niveau des lobules des oreilles. L’anamnèse trouve la notion de port
de boucles d’oreille à base de Nickel quelques jours auparavant.
A- Il s’agit d’un eczéma de contact
B- Il s’agit d’une dermite séborrhéique
C- Le diagnostic est clinique
D- En cas de surinfection, une antibiothérapie générale sera prescrite
E- Les dermocorticoïdes constituent le traitement de référence
118- Une jeune fille de 18 ans, consulte pour une dermatose faciale. L’examen objective une
hyperséborrhée, plusieurs papules, pustules, nodules ainsi que des comédons.
A- Il s’agit d’une rosacée
B- Les comédons sont des lésions de l’acné inflammatoire
C- Les corticoïdes en crème sont à prescrire pour traiter cette maladie
D- La photoprotection est facultative au cours de cette dermatose
E- La doxycycline 200 mg par jour par voie orale pendant 3 mois seule peut constituer le traitement de
cette maladie

Page 110:Ataraxie
119- Une patiente de 21 ans, antécédent de tuberculose chez sa mère, consulte pour un nodule ulcéré
chronique en regard des adénopathies axillaires:
A- Le diagnostic le plus probable est une leishmaniose cutanée
B- Le diagnostic le plus probable est une tuberculose type scrofuloderme
C- Une échographie des aires ganglionnaires axillaires est facultative
D- La présence de la nécrose caséeuse en histologie confirme le diagnostic
E- Le protocole antibacillaire est 2RHZ / 4RH pendant 9 mois
120- Un patient de 60 ans, sans antécédents pathologiques notables, présente un intertrigo des 2 derniers
espaces inter orteil bilatérales, prurigineux, érythémateux, avec un fond fissuraire:
A- Il s’agit d’un intertrigo dermatophytique
B- Il s’agit d’un intertrigo candidosique
C- Le diagnostic positif se base sur le prélèvement mycologique
D- Le traitement se base sur un dérivé imidazolé en crème pendant 4 semaines
E- Le traitement des chaussures et des chaussettes est recommandé par un dérivé, imidazolé en poudre
121- Un enfant de 6 ans, présente une plaque alopécique, de grande taille avec un signe de traction positif
et des cheveux cassés à ras:
A- Il s’agit d’une pelade
B- Il s’agit d’une teigne microsporique
C- Le prélèvement mycologique est facultatif
D- Le traitement fait appel à la Griséofulvine par voie topique seule pendant 6 semaines.
E- L’éviction scolaire n’est plus indispensable
122- Un patient de 60 ans, consulte pour un prurit chronique avec des vésicules et des lésions
d’excoriations en regard des poignets et des espaces interdigitales des mains. L’anamnèse objective la
notion de prurit dans l’entourage:
A- Il s’agit probablement d’un eczéma
B- Il s’agit probablement d’une gale
C- Le diagnostic doit être confirmé par le prélèvement parasitologique
D- Le traitement fait appel à l’ASCABIOL en une seule application
E- Le traitement de la famille est obligatoire
123- Une femme de 40 ans, présente des flashs au niveau du visage d’installation récente,aggravés par
l’exposition solaire et à la chaleur. L’examen objective des papules et des pustules avec une érythrose
faciale. Le reste de l’examen somatique est normal.
A- Le diagnostic le plus probable est un lupus cutané
B- Le diagnostic le plus probable est une rosacée cutanée
C- L’atteinte oculaire au cours de cette maladie est possible
D- La photoprotection solaire et les cyclines constituent la base du traitement de cette dermatose
E- Elle évolue en poussée entrecoupées par des rémissions
124- Un jeune homme de 20 ans, tabagique, présente une éruption similaire à son frère, vésiculeuse,
ombiliquée, diffuse avec une toux et une fièvre.
A- La présence de lésions d’âge différent orientera le diagnostic d’une varicelle.
B- La radiographie pulmonaire est facultative à la recherche d’une pneumopathie varicelleuse
C- L’atteinte pulmonaire justifiera un traitement en hospitalier
D- La corticothérapie orale est préconisée pour améliorer les signes cliniques
E- L’acide salicylé peut être indiqué pour baisser sa température
125- Une femme de 50 ans, présente un placard rouge de I’ hémithorax droit, surmonté de bulles
hémorragiques. Avec sensation de décharges électriques. La symptomatologie remonte à 36 h.
A- Le diagnostic le plus probable est un zona intercostal
B- Le prélèvement virologique est indispensable pour le diagnostic
C- Le traitement fait appel à la Valaciclovir 3 g / j pendant 7 jours
D- Un traitement symptomatique est suffisant
E- Les algies post zostériennes constituent la principale complication

Page 111:Ataraxie
126- Une femme de 40 ans, présente suite à son voyage à Errachidia, une plaque érythémateuse
squameuse de 2 cm de l’avant bras gauche évoluant depuis 6 mois. L’anamnèse objective la notion de
piqûre d’insecte. Le reste de l’examen somatique est normal.
A- Le diagnostic le plus probable est un psoriasis
B- Le diagnostic le plus probable est une leishmaniose cutanée
C- La vitropression peut montrer un aspect lupoidique
D- Le frottis cutané constitue l’examen de choix pour confirmer le diagnostic
E- Le traitement fait appel aux infiltrations par le Glucantime
127- Un homme de 24 ans, avec notion de rapports sexuels non protégés, se présente pour un syndrome
pseudo grippal. L’examen objective des plaques et des papules érythémateuses finement squameuses,
asymptomatiques du tronc, palmo plantaires et des plaques érythémateuses au niveau des muqueuses. Le
reste de l’examen somatique est normal.
A- Il peut s’agit d’une primo infection VIH
B- Une syphilis secondaire reste le diagnostic le plus probable
C- Le bilan à réaliser est une sérologie: VDRL- TPHA, VIH, Hépatite B
D- La maladie est immunisante
E- Les lésions ne sont pas contagieuses
128- Un homme de 50 ans présente des plaques hypochromiques, hypo-ésthésiques, bordées par un
érythème avec des fourmillements et une diminution de la sensibilité en gant et en chaussette. L’anamnèse
objective des cas similaires dans ses antécédents.
A- Le diagnostic le plus probable est une lèpre tuberculoïde
B- C’est une maladie infectieuse due au bacille de Hansen
C- La confirmation est histologique
D- La déclaration est obligatoire ainsi que l’enquête autour du cas
E- Le traitement fait appel à un traitement antibacillaire de 6 mois
129- Un enfant de 6 ans, consulte pour plusieurs lésions kératosiques, verruqueuses, douloureuses de la
plante des deux pieds.
A- Il s’agit d’une myrmécie
B- La recherche d’un terrain d’atopic cutanée est justifiée chez cet enfant
C- Le traitement fait appel aux moyens de destruction chimiques ou physiques
D- La régression spontanée est possible
E- Cette pathologie n’est pas contagieuse
130- Une femme de 30 ans, consulte pour des végétations vulvaires et de la marge anale d’apparition
récente.
A- II s’agit de condylomes vénériens.
B- Le Frottis cervico vaginal, l’anuscopie et la colposcopie s’imposent.
C- Le traitement fait appel au traitement par l’acide trichloroacétique à 50 %
D- L’examen et le traitement chez le conjoint est systématique
E- Les sérologies de l’hépatite B, VDRL-TPHA, VIH et Humain Papilloma Virus doivent être demandées
131- Un jeune homme de 18 ans, avec notion de rapports sexuels non protégés, consulte pour une chaude
pisse avec notion d’écoulement purulent abondant. Le reste de l’examen somatique est normal.
A- Le diagnostic le plus probable est une uréthrite gonococcique
B- Le diagnostic le plus probable est une uréthrite mixte
C- L’approche syndromique à suivre est clinique ne justifiant pas la réalisation de prélèvement
bactériologique
D- Le traitement est Ceftriaxone 250 mg en IM en dose unique et la Doxycycline 100 mg 2 fois par jour pdt
07 jours
E- L’information-éducation-communication sont à la base de la prise en charge de ce patient.

Page 112:Ataraxie
132- Un patient de 50 ans, diabétique, se présente aux urgences pour une fièvre à 39°. L’examen trouve un
état hémodynamique altéré et une grosse jambe, rouge aiguë droite avec un purpura, des bulles
hémorragiques, des crépitations et un intertrigo interorteil diffus.
A- Le diagnostic le plus probable est une fasciite nécrosante
B- Le diagnostic le plus probable est un érysipèle avec des signes de gravité
C- La prise en charge se fera en hospitalier
D- Le traitement médical est suffisant
E- Le pronostic est bon
133- Un nourrisson de 2 ans, apyrétique, présente des bulles flasques à contenu purulent au niveau des
deux joues et des aisselles.
A- Le diagnostic le plus probable est un impétigo bulleux
B- Il est contagieux
C- Le traitement se base sur l’hygiène et l’antibiothérapie
D- L’immunité n’est pas durable
E- La survenue de glomérulo néphrite aigue post streptococcique est rare
134- Un patient fellah de profession, de 68 ans est de phototype clair avec notion d’exposition solaire
chronique. Il présente une papule perlée depuis plusieurs mois au niveau de la joue droite:
A- Son phototype clair est un facteur de prédisposition aux cancers cutanés
B- Un carcinome épidermoïde est le diagnostic le plus probable
C- La confirmation est histologique
D- Aucun bilan d’extension n’est nécessaire
E- Le traitement est chirurgical
135- Un patient de 60 ans, présente une corne au niveau de l’oreille gauche, sa base est infiltrée, saignant
au contact, douloureuse:
A- Un carcinome épidermoïde sur corne est le diagnostic le plus probable
B- La confirmation est histologique
C- Un bilan d’extension est nécessaire
D- Le traitement de première intention est une chimiothérapie
E- Une surveillance au long court est nécessaire après chirurgie carcinologique
136- Une patiente de 50 ans, présente un nodule noir, indolore de la plante du pied droite évoluant depuis
3 ans. Le reste de l’examen objective une adénopathie inguinale homolatérale fixe au plan profond.
A- C’est un mélanome avec métastase ganglionnaire jusqu’ à preuve du contraire
B- Il s’agit d’un naevus
C- L’absence de douleur traduit que la pathologie est bénigne
D- L’histologie cutanée est indispensable pour le diagnostic.
E- La prise en charge se fera en hospitalier
137-Un patient de 68 ans, à peau claire, avec notion d'exposition solaire chronique présente une papule
perlée depuis plusieurs mois au niveau du front
A- Un carcinome épidermoïde est le diagnostic le plus probable
B- Un carcinome basocellulaire est le diagnostic le plus probable
C- La confirmation est histologique
D- Un bilan d'extension est nécessaire
E- Le traitement est chirurgical
138- Une patiente de 60 ans, victime d'une brûlure de l'avant bras droit à l'enfance, présente au niveau de
la cicatrice de brûlure une tumeur ulcéro-bourgeonnante de 3 cm, saignante au contact :
A- Un carcinome épidermoïde est le diagnostic le plus probable
B- La confirmation est histologique
C- Un bilan d'extension est nécessaire
D- Le traitement de première intention est une polychimiothérapie
E- Une surveillance au long court est nécessaire après chirurgie carcinologique

Page 113:Ataraxie
139- Patient de 50 ans, antécédent de diabète type 2, présente un intertrigo des 2 derniers espaces inter
orteils bilatérales, prurigineux, érythémateux, avec un fond fissuraire :
A- Il s'agit d'un intertrigo dermatophytique
B- Le diagnostic positif se base sur le prélèvement mycologique
C- L' érysipèle est la principale complication de cet intertrigo
D- Le traitement se base sur un dérivé imidazolé en crème pendant 06 semaines
E- Le traitement des chaussures et des chaussettes est recommandé par un dérivé imidazolé en poudre
140- Un enfant de 8 ans, présente un macaron érythémateux-squameux, inflammatoire et pustuleux sans
fièvre avec signe de traction positif et des cheveux cassés à ras :
A. Il s'agit d'un abcès
B. Il s'agit d'une teigne microsporique
C. Le prélèvement mycologique de la lésion est indispensable
D. Le traitement fait appel à un antibiotique antistaphylococcique associé à la Griséofulvine par voie
topique et systémique pendant 6 semaines.
E. Le rasage de la lésion et son pourtour est conseillé
141- Une fille de 6 ans, apyrétique, présente des croûtes mélicériques de la nuque et occipital avec un
prurit rétro auriculaire et au niveau des cheveux associés à des adénopathies occipitales.
A- Il s'agit d'un impétiginisation
B- La pathologie sous-jacente est probablement une pédiculose capillaire
C- C'est une maladie immunisante
D- Le traitement fera appel à l'eau vinaigrée, la vaseline blanche sous occlusion et un antibiotique
antistaphylococcique
E- L'éviction scolaire n'est pas obligatoire après début de traitement
142- Un homme de 60 ans, sous chimiothérapie pour un cancer du côlon, présente brutalement un prurit à
recrudescence nocturne, diffuse à tout le corps sauf le visage, des pustules au niveau interdigital de la
main droite avec présence de vésicules et de lésion d’excoriation.
A-Il s'agit d’un prurit paranéoplasique
B- La recherche d'un prurit chez les contacts est indispensable
C- Le diagnostic le plus probable est une gale profuse
D- La chimiothérapie peut expliquer le caractère diffus de sa dermatose
E- La répétition de l’application sur le corps de Benzoate de benzyl (Ascabiol*) solution à J + 8 est
facultative
143- Un homme de 40 ans, se présente aux urgences pour des myalgies, arthralgies, fièvre à 39° et
altération de l'état général. L'examen objective une érythrodermie prurigineuse d'installation récente, un
œdème du visage et des pieds, un purpura et des adénopathies axillaires et cervicales. L'anamnèse trouve
la notion de de prise de l'Allopurinol (Zyloric®) pour une hyperuricémie depuis 3 mois.
A- Il s'agit d'un psoriasis érythrodermique
B- Une syphilis secondaire est le diagnostic le plus probable
C- La durée de prise de l'Allopurinol exclue le diagnostic de toxidermie
D- Un hémogramme à la recherche d'une hyperéosinophilie et l'exploration rénale s'imposent
E- La prise en charge doit se faire en hospitalier
144- Un jeune homme de 18 ans, présente un épistaxis chronique non étiqueté, un faciès léonin, avec
chute des sourcils, des nodules et tumeurs rouges cuivrées des membres associés à une hypoesthésie en
gants et en chaussettes
A- Le diagnostic le plus probable est une lèpre lépromateuse
B- La confirmation est bactériologique sur un prélèvement de la muqueuse nasale
C- La déclaration est facultative
D- Le traitement fait appel à un traitement antibacillaire de 01 an.
E- La chimio prophylaxie des sujets contacts par Rifampicine est facultative

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145-Un nourrisson de 18 mois, antécédent d'asthme chez la maman. Il présente une éruption
érythémateuse vésiculeuse et érosive des joues, le cou et les cuisses avec une xérose diffuse et une
kératose pilaire des bras.
A- Le diagnostic le plus probable est une gale du nourrisson
B- Il s'agit plutôt d'une dermite séborrhéique
C- Le traitement se base sur les dermocorticoïdes et les règles hygiéno-diététiques
D- Cette dermatose prédispose aux surinfections herpétiques et staphylococciques
E- C'est une maladie contagieuse
146- Patient de 80 ans, diabétique sous ADO depuis 10 ans, consulte pour des lésions érythémateuses
prurigineuses persistantes évoluant depuis 2 mois, l’anamnèse a révélé la notion de prurit nu durant
quelques semaines avant la symptomatologie. l’examen clinique trouvait un patient apyrétique, en bon état
général, l’examen dermatologique trouvait des plaques urticariennes au niveau des cuisses et tronc, avec
des excoriations et stries post grattage au reste du corps. le diagnostic le plus probable est :
A. Une pemphigoide bulleuse
B. Une urticaire chronique
C. Une toxidermie type DRESS Syndrome
D. Une gale norvégienne
E. Un psoriasis
147- Vous recevez aux urgences un adulte de 25 ans, en trouble de conscience, fébrile à 39°C, la TA= 11/7
cm HG, FR=20 cycle/min, FC : 90 batt/min. l'examen dermatologique objective des vésicules ombiliquées
de contenu hémorragique, d'autres de contenu purulent, des croûtes hémorragiques et des petites
ulcérations à surface nécrotique. Toutes les lésions sont distribuées de façon dispersée au niveau de tout
le corps y compris le visage, le cuir chevelu et la cavité buccale.
A. Le diagnostic le plus probable est une toxidermie type Stevens johnson
B. Le diagnostic le plus probable est une varicelle maligne
C. Une sérologie HIV s'impose dans ce cas
D. le traitement repose essentiellement sur les céphalosporine 3ème génération à dose méningée
E. Le traitement repose essentiellement sur l'aciclovir injectable
148- Femme de 50 ans, de phototype III, consulte pour des lésions du visage évoluant depuis quelques
mois. L'examen objective des papules érythémateuses et pustules au niveau du nez, joues et menton sur
un fond érythémato-télanglectasique.
A. Il s'agit une rosacée
B. Il s'agit d'une staphylococcie de la face
C. Il s'agit d'une acné inflammatoire
D. Vous demandez un examen ophtalmologique
E. Vous demandez un bilan hormonal
149- Un jeune homme de 25 ans, rapporte depuis 4 mois des épisodes intermittents de tuméfactions
plantaires avec sensation de tension survenant toujours après la marche ou position debout très prolongée,
et qui persistent pendant 48H puis régressent après repos.
Vous objectivez à l'examen des plaques érythémateuses oedémateuses linéaires superposant les traces
de la ceinture du pantalon qui était serré.
A. Il s'agit d'une urticaire chronique
B. Il s'agit d'une urticaire physique
C. Il s'agit d'une urticaire retardée à la pression
D. Il s'agit d'une urticaire profonde
E. Vous proposez une biopsie de lésions qui persistent pendant 48H

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150. Une femme de 60 ans, diabétique mal équilibrée qui consulte pour des plaques érythémateuses
légèrement prurigineuses au niveau des grands plis et au niveau ombilical, à caractère bien limité et
contours réguliers sans squames ni pustules ni fond fissuraire ni enduit blanchâtre. Ces plaques évoluent
depuis 02 ans et ne s'améliorent pas sous antimycosique par voie locale et orale.
A. Le diagnostic le plus probable est un psoriasis inversé
B. Le diagnostic le plus probable est une candidose des grands plis
C. Le diagnostic le plus probable est une dermatophytie
D. Le traitement repose sur la corticothérapie orale
E. La recherche d'un syndrome métabolique est recommandée
151. Un patient de 70 ans, se présente en consultation pour une plaque pigmentée du talon droit évoluant
depuis 2 ans, augmentant de taille et devenant ulcérée.
A. Le diagnostic le plus probable est un naevus
B. Le diagnostic le plus probable est un mélanome acral
CLe traitement repose sur une antibiothérapie antistaphylococcique
D. La biopsie cutanée est facultative
E. Le patient doit être adressé vers une structure hospitalière spécialisée
152. Un homme de 30 ans, se présente en consultation pour une ulcération saignante évoluant depuis 1 an
sur cicatrice de brûlure ancienne de la jambe gauche. Le fond de l'ulcération est hyperbourgeonnant et sa
base est indurée en faveur d'un carcinome épidermoïde.
A. L'examen général est facultatif
B. La présence d'adénopathie Inguinale gauche, dure, fixe, de 2 cm serait secondaire à une surinfection.
C. Vous indiquez un écho-doppler veineux
D. Vous indiquez une biopsie de la lésion
E. Aucun bilan d'extension n'est indiqué
153. Patente de 40 ans, sans antécédent pathologiques notables, présente un intertrigo diffs des espaces
inter orteils bilatérales, prurigineux, érythémateux, avec un fond fissuraire :
A. agit d'un intertrigo dermatophytique
B. Le diagnostic positif se base sur le prélèvement bactériologique
C. Le traitement se base sur un dérivé imidazolé en crème pendant 04 semaines
D. L'érysipèle est la principale complication de cet intertrigo
E. le traitement des chaussures et des chaussettes n'est pas recommandé par un dédé en poudre
154. Un nourrisson de 18 mois, consulte pour une éruption vésiculeuse du visage et du tronc avec des
pustules palmo plantaires d'apparition récente prurigineuses. Sa maman présente une éruption vésiculeuse
prurigineuse du tronc épargnant le visage.
A- Il s'agit d'une dermatite atopique chez le nourisson
B- Le diagnostic doit être confirmé par le prélèvement mycologique
C- Le traitement du nourrisson fait appel au Benzoate de benzyle (ASCABIOL) en une seule application de
12 h à répéter après une semaine
D- Les antihistaminiques H 1 doivent être associés aux traitements
E- Le traitement de la famille est systématique
155. Un homme de 60 ans, sous Allopurinol (Zyloric") depuis 20 jours, fébrile à 39°, Présente un
exanthème maculeux papuleux très prurigineux, diffus à tout le corps avec un œdème du visage, des
pustules, un purpura et des adénopathies axillaires et cervicales.
A- Il s'agit d'une syphilis secondaire
B- La recherche d'une éosinophilie sanguine est indispensable
C- L'arrêt de l'Allopurinol est facultatif vu le délai de sa prise
D- L'atteinte rénale conditionne le pronostic de cette pathologie
E- Le traitement se base sur la prise d'un antihistaminique H1 seul

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156. Un jeune homme de 28 ans, présente des épistaxis chroniques non étiquetés, un faciès léonin, avec
chute des sourcils, des nodules et tumeurs rouges cuivrées des membres associés à une hypoesthésie en
gants et en chaussettes.
A- Le diagnostic le plus probable est une lèpre tuberculoïde
B- Le diagnostic le plus probable est une lèpre lépromateuse
C. La confirmation est bactériologique sur un prélèvement de la muqueuse nasale
D- Le traitement fait appel à un traitement antibacillaire de 01 an.
E- La chimio prophylaxie des sujets contacts par Rifampicine est facultative
157. Un jardinier de 38 mois, sans antécédents particuliers, présente après manipulation de pesticides une
sensation de cuisson et de brûlure au niveau des mains avec apparition d'une éruption érythèmateuse
vésiculeuse et érosive, bien limitée.
A- Le diagnostic le plus probable est dermite irritative
B- s'agit plutôt d'un eczéma de contact
C- Le traitement se base sur les dermocorticoïdes et l'éviction de ces pesticides
D- Cette dermatose peut être évitée par le port de gants de protection professionnelle
E- C'est une maladie contagieuse
158. Un patient de 80 ans, diabétique sous insuline, porteur d'un dentier, se présente en consultation pour
une sensation de brûlures et cuisson buccale. L'examen montre une langue dépapillée, érythémateuse,
luisante, vernissée avec des commissures labiales érythémateuses, fissuraire surmontées d'enduit
blanchâtre.
A- Il s'agit d'une candidose de la muqueuse buccale
B- La notion de dysphagie haute orienterait vers une candidose oesophagienne
C- Le prélèvement mycologique est obligatoire pour le diagnostic
D- Le traitement se base sur le traitement par le Fluconazole 50 mg / pendant 10j et le traitement local par
le Miconazole gel Daktarin 3x/j pendant 10 j
E- La décontamination du dentier est obligatoire
159. Un homme de 36 ans, présente depuis 24h un placard rouge bien circonscrit au niveau frontal et
palpébral droit, surmonté de vésiculo-bulles ombiliquées hémorragiques. Avec paresthésie et sensation de
picotements.
A. Le diagnostic le plus probable est un zona ophtalmique
B. Le diagnostic le plus probable est un érysipèle de la face
C. L'examen ophtalmologique est obligatoire
D. La sérologie HIV s'impose dans ce cas
E. Le traitement antiviral n'est pas nécessaire dans ce cas
160. Une femme de 36 ans, enceinte de 35 SA, consulte pour des végétations vulvaires et de la marge
anale d'apparition récente.
A. Il s'agit de condylomes vénériens.
B. Le Frottis cervico vaginal, colposcopie et examen proctologique sont indiquées dans ce cas.
C. Le traitement fait appel à l'acide à 50%
D. L'examen et le traitement du partenaire est facultatif
E. Les sérologies de l'hépatite B, VDRL-TPHA, VIH doivent être demandées
161. Femme de 46 ans, présente depuis 3 mois des érosions endobuccales douloureuses pour lequelles
elle a été mise sous amoxicilline protégée sans amélioration.
A. Le diagnostic le plus probable est un pemphigus vulgaire
B. Le diagnostic le plus probable est une toxidermie type stevens Johnson
C. L'étude histologique et l'immunofluorescence s'imposent
D. La déclaration à la pharmacovigilance s'impose
E. La corticothérapie est le traitement de fond pour cette pathologie

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162. Femme de 40 ans, phototype II, consulte pour des papulo pustules sur un fond érythémateux, à
localisation centrofaciale sans comédons ni hyperséborhée
A. Le diagnostic le plus probable est une rosacée papulo-pustuleuse
B. Le diagnostic le plus probable est une acné hormonale
C. Son phototype est en faveur de la maladie
D. Le traitement repose sur les cyclines
E. L'exposition au soleil peut aggraver sa symptomatologie
163. Enfant de 07 ans, présente de multiples érosions et croûtes mélicériques au niveau périnarinaire et
péribuccale dans un contexte d'apyrexie. Le tout évoluant depuis 01 semaine.
A. Il s'agit d'un impétigo
B. Il s'agit d'un pemphigus
C. C'est une maladie immunisante streptococcique
D. La détection et le traitement de cas similaire est facultative
E. Cette dermatose peut se compliquer d'une glomérulonéphrite post streptococcique.
164. Vous recevez aux urgences une femme de 50 ans, Hypertention artérielle depuis un ans sous
amlodipine (AMLOPR*), sous phénobarbital (Gardénal*) depuis 2 mois pour des crises épileptiques sous
traumatisme crânien, présentant une érythrodermie sèche prurigineuse évoluant depuis 1 mois. L’examen
clinique a objectivé une fièvre à 38,5°C, un oedème du visage, une chéilite sèche et des polyadénopathies.
A. Le tableau clinique est en rapport avec un psoriasis érythrodermique
B. Le tableau clinique fait évoquer un syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse type DRESS
syndrome.
C. L’hyperleucocytose à PNN > 15500 éléments /mm3 complétera le tableau clinique de votre diagnostic.
D. La biopsie est facultative.
E. Il faut arrêter immédiatement l’amlodipine et le gardénal.
Cas clinique :
Une fillette de 8 ans, scolarisée, sans antécédents personnels ou familiaux particuliers, se présentait en
consultation suite à l'apparition il y a 2 jours de lésions vésiculeuses prurigineuses.
165- Évoquez 3 diagnostics chez cette fillette
L'examen clinique retrouve une patiente fébrile à 38°C avec des lésions vésiculeuses reposant sur une
base érythémateuse, et qui étaient diffuses à tout le corps. Certaines de ces lésions étaient ombiliquées, et
d'autres étaient croûteuses.
166- Quel diagnostic retenez-vous ? justifiez votre réponse
167- Précisez votre prise en charge pour cet enfant
Cas clinique :
Patient de 23 ans, ayant notion de rapports sexuels non protégés avec des partenaires multiples qui
présente depuis 1 semaine un écoulement urétral abondant avec des brûlures mictionnelles intenses le
tout évoluant dans un contexte d'apyrexie et de conservation de l'état général.
168- Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A l'examen on trouve un écoulement abondant jaunâtre avec une méatite.
169- Quel est le diagnostic le plus probable ?
170- Quelles sont les éventuelles complications ?
171- Quelle est votre prise en charge thérapeutique ?
Cas clinique :
Patient de 50 ans, agriculteur de profession, notion d'exposition solaire intense, qui présente depuis 2 ans
une lésion du l'aile du nez qui a augmenté progressivement de taille.
172- Quel est le diagnostic le plus probable ?argumenter
173- Quels sont les moyens pour confirmer votre diagnostic ?
174- Quels sont les moyens de prévention de cette maladie ?

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Cas clinique :
Patient âgé de 50 ans, qui présente depuis 24h une éruption labiale à contenu liquidien précédée par des
picotements évoluant dans un contexte de fièvre et de conservation général.
L'examen clinique trouve une éruption vésiculeuse en tête d'épingle multiple regroupée en bouquet et
reposant sur une base érythémateuse.
175- Quel est votre diagnostic ?
176- Quelle est votre prise en charge ?
Cas clinique :
Patient âgé de 45 ans sans antécédent pathologique notable qui a pris depuis 48 h du Paracétamol pour
des céphalées et il a présenté 15min après la prise initiale une éruption à type de papules et plaques
érythémateuses et oedémateuses très prurigineuses fugaces et migratrices sans autres signes associés le
tout évoluant dans un contexte d'apyrexie et de conservation de l'état général. Le reste de l'examen
clinique somatique était sans particularité.
177- Quel est le diagnostic le plus probable ? Argumenter
178- Quelles sont les complications à rechercher ?
179- En absence de toute complication, quelle est votre prise en charge ?
Cas clinique :
Le nourrisson Ahmed, âgé de 08 mois issus d'un mariage non consanguin, 3ème d'une fratrie de 3.. A jour
de sa vaccination selon le programme national de vaccination, sans antécédent pathologique notable et
sans notion d'atopie familiale consulte pour une éruption non prurigineuse érythémato-squameuse
(squames grasses) au niveau du tronc, parfois érosives au niveau du siège et croûteuse au niveau du cuir
chevelu .Cette éruption est apparue depuis 2 mois
180- quels sont les diagnostics à évoquer ? (citer)
181- quel est le diagnostic le plus probable ? (à argumenter)
182- quel est le traitement à proposer ?
Cas clinique :
Patient Kamal, âgé de 27 ans, chauffeur de taxis de profession, célibataire ayant comme antécédents la
notion de rapports sexuels non protégés avec des partenaires multiples qui se présente en consultation
pour un écoulement urétral qui remonte à deux jours, le tout évoluant dans un contexte d'apyrexie et de
conservation de l'état général.
183- Quels sont les éléments de l'interrogatoire à rechercher ?
184- Quels sont les éléments de l'examen à rechercher ?
185- Quels sont les diagnostics à évoquer ? (Citer)
186- Quel est le diagnostic le plus probable ? (à argumenter)
187- Quelle est votre prise en charge ?
Cas clinique :
Mr ali de 65 ans, fellah de profession, suivi pour insuffisance cardiaque sous digoxine, lasilix et amlodipine
5mg présente lors de l'examen clinique une érosion de 2 mm de diamètre, indolore qui évolue depuis 1
année au niveau de la pointe du nez sans tendance à la cicatrisation malgré un traitement local à base
d'antiseptique et antibiotique local et général
188. Quel est le diagnostic le plus probable?
189. Quelle est votre conduite pratique?
190. Quels sont les facteurs de risque de développement d'un mélanome et les moyens de les prévenir?

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Cas clinique :
Patient de 45 ans, marié, sans antécédent pathologique notable qui présente après un séjour carcéral il y a
deux semaines, un prurit généralisé intense d'exacerbation nocturne épargnant le visage sans autres
signes associés. Le patient a reçu un traitement par des antihistaminiques anti H1 mais ceci était sans
amélioration.
191- Quels sont les éléments de l'interrogatoire à rechercher ?
192- Quels sont les éléments de l'examen clinique à rechercher ?
193- Quels sont les diagnostics à évoquer ? Citer
194- Quel est le diagnostic le plus probable ? Argumenter
195- Quelle est votre prise en charge thérapeutique ?
Cas clinique :
Ahmed âgé de 36 ans sans ATCD pathologiques, consulte pour une urticaire superficielle et diffuse à tout
le corps évoluant depuis 3 semaines. L’examen clinique ne retrouve pas d’atteinte muqueuse, ni d’autres
signes associés.
196- Décrire la lésion élémentaire?
197- Quelles sont les étiologies les plus probables?
198- Quelles sont les examens complémentaires nécessaires pour confirmer la cause?
199- Quels traitement à lui prescrire?
Cas clinique :
Devant un écoulement urétral évoluant depuis 1 mois chez un jeune de 25 ans, ayant des partenaires
sexuels multiples.
200- Quels sont les signes cliniques caractéristiques ?
201- Quelles sont les causes les plus probables?
202- Quels sont les examens complémentaires à lui demander?
203- Quelle prise en charge thérapeutique à lui adopter?

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Endocrinologie et diabétologie - Questions cours par
cours
Remarques :
- Ce document contient toutes les questions d’anciens examens d’Endocrinologie et
Diabétologie
- (2011 - 2022 : 1ère et 2ème sessions) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
- Les 242 questions sont réparties cours par cours
- Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1 - Les hyperthyroïdies : (8 Questions)


1- L’aspect clinique du goitre en cas d’une maladie de Basedow :
A. Un goitre diffus
B. Un goitre élastique
C. Un goitre vasculaire
D. Un goitre homogène
E. Un nodule thyroïdien isolé
2. Au cours d'une maladie de Basedow avec thyrotoxicose, une des valeurs biologiques suivantes est
discordante, laquelle ?
a. Hypocholestérolémie
b. Elévation de la LT3
c. Elévation de la LT4
d. Baisse de la LT3
e. Baisse de la TSH
3. Le traitement d’une maladie de basedow consiste en la prescription :
a. Antithyroïdiens de synthèse
b. L Thyroxine
c. Bêtabloquants
d. Sédatifs
e. Repos
4. Le traitement de la maladie de Basedow :
A. Se base sur un traitement par antithyroïdiens de synthèse
B. La durée minimale du traitement est de 18 mois
C. La durée minimale du traitement est de 2 mois
D. La surveillance de la NFS est obligatoire
E. Peut être chirurgical en cas de récidive après obtention d'une euthyroïdie par traitement médical
5. La surveillance d'une maladie de Basedow traitée par antithyroïdiens de synthèse nécessite la
réalisation du (des) examen(s) suivant(s) :
a. Une numération formule sanguine
b. Une fonction rénale
c. Une natrémie
d. Dosage LT4
e. Aucune réponse n’est juste
6. La thyroïdite subaiguë de Quervain associe :
A. Un goitre dur et douloureux
B. Une fièvre
C. Une phase initiale d’hyperthyroïdie
D. Une phase initiale d’hypothyroïdie
E. Aucune de ces réponses n' est correcte

Page 121:Ataraxie
QR 1:
7. TRT étiologique de maladie de Basedow.
QR 2:
8. TRT des hyperthyroïdies.

2 - Les hypothyroïdies : (5 Questions)


1. Les signes cliniques évocateurs d'une hypothyroïdie périphérique sont :
A- Le myxoedème
B- L'hypotension artérielle
C- La bradycardie
D- La constipation
E- L’hypertension artérielle
2. La thyroïdite de Hashimoto :
a. Est une étiologie de l’hypothyroïdie primaire
b. Est une étiologie de l’hypothyroïdie centrale
c. Se manifeste par un goitre indolore, ferme et non vasculaire
d. Son diagnostic est confirmé par la négativité des anticorps anti thyropéroxydase
e. Son diagnostic est confirmé par la positivité des anticorps anti thyropéroxydase
3. La thyroïdite sub aigue est caractérisée par :
a. Un goitre indolore
b. Goitre douleureux
c. Vitesse de sédimentation basse
d. Vitesse de sédimentation élevée
e. La thyroglobuline élevée
QR 1:
4. Quelles sont les anomalies qu’on pourra avoir au bilan biologique non spécifique chez une patiente
porteuse d’une hypothyroïdie ? (4 anomalies)
QR 2:
5. Dg étiologique + PEC des hypothyroïdies

3 - Les goitres : (1 Question)


1. Le goitre multihétéronodulaire toxique :
a. Est la cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie chez le sujet âgé
b. Est l’évolution naturelle d’un goitre ancien
c. Il peut se compliquer de signes compressifs
d. L’échographie cervicale permet de préciser le volume du goitre et la structure des nodules
e. Son traitement est soit chirurgical ou par l’iode radioactif après restauration de l’euthyroidie par les
antithyroïdiens de synthèse.

4 - Nodules et cancer de la thyroïde : (3 Questions)


QR 1:
1. Devant un nodule thyroïdien de 20mm, quels sont les critères radiologiques de suspicion de malignité ?
(5 critères demandés)
QR 2:
2- Quels sont les critères cliniques suggérant la malignité d'un nodule thyroïdien ? (Citer 4)
QR 3:

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3. CAT devant une nodule thyroïdienne.

5 - Diabète type 1 : (11 Questions)


1- Le dosage des anticorps Anti-GAD (glutamate acide décarboxyiase) :
A- Se fait systématiquement chez le patient diabétique de type 1
B- Est le témoin de la réaction auto-immune
C- Se fait seulement en cas de doute diagnostique de diabète de type 1
D- Fait partie du bilan de suivi du diabète de type 1
E- Est indispensable au diagnostic du diabète de type 1
2- Le diabète de type 1:
A- Est le plus souvent de type auto-immun
B- Est plus fréquent que le diabète de type 2
C- Comporte une insulinorésistance
D- Comporte une insulinocarence absolue
E- Est traité par traitement antidiabétique oral
QR 1:
3- Quels sont les messages d’éducation thérapeutique à donner à un patient diabétique type 1 ?
QR 2:
4- Citer 4 maladies auto-immunes associées au diabète de type 1 ?
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 18 ans ; diabétique de type 1 depuis 7 ans sous basal bolus «insuline rapide humaine 10
ui le matin ; 08 ui à midi et 08 ui le soir et une insuline basale lente type glargine 20 ui à 22h00 ». Elle se
présente pour un déséquilibre glycémique.
L'examen clinique trouve une Patiente en bon état général ; apyrétique ; normo carde et normo tendue.
Poids 55 kg, Taille 1.65 m, IMC 20 kg/m2, TT 78 cm
Glycémie capillaire 3 g/l, BU acétonurie négative
Patiente a apporté un bilan fait d’une HBA1C 10% ; créatinine 8mg/l et un ECBU stérile avec une micro
albuminurie 40 mg/24h00.
5 - Quels autres éléments rechercheriez-vous à l’interrogatoire et à l’examen clinique?
6- Quels autres examens para cliniques demanderiez-vous chez cette patiente ?
7- Quel sera votre conduite thérapeutique pratique ?
Cas clinique 2:
Patient de 50 ans, diabétique type 1 depuis 23 ans sous schéma basal bolus (insuline rapide 12 unités
matin, midi et le soir avec une insuline basale glargine 20 unités le soir) ; tabagique chronique à raison d’un
paquet par jour se présente dans votre consultation poursuivi de son diabète.
8- Le bilan objective une HBA1C à 10%. Votre conduite à tenir chez ce patient consistera en :
a. La recherche d’un foyer infectieux
b. L'évaluation de son adhérence aux mesures hygiéno-diététiques
c. La vérification des modalités de conservation d’insuline
d. La demande de refaire une Hbalc
e. La mise sous schéma 2 injections d’insuline prémixés
9- Le patient vous rapporte la notion de douleur à la marche au niveau du mollet l’obligeant à s’arrêter
après 500 mètres de marche. D’après vous :
a. Il faut chercher la notion de disparition de la douleur au repos
b. Il faut palper les pouls périphériques des membres inférieurs.
c. Il ne faut pas ausculter les trajets vasculaires
d. Il faut chercher une froideur et une pâleur des pieds
e. Il faut compléter par un écho-doppler artériel des membres inférieurs
10- Vous reprenez l’éducation thérapeutique de ce patient en insistant sur :

Page 123:Ataraxie
a. L'importance de connaître les sites d’injections
b. L'importance de ne jamais arrêter l’insuline
c. La connaissance des signes d’hyperglycémies
d. La connaissance des signes d’hypoglycémies
e. Savoir agir en présence d'acétonurie
11- En cas d’activité physique. Vous allez lui conseiller :
a. De contrôler sa glycémie capillaire avant l’activité physique
b. Qu’il peut faire de l’activité physique en présence d’acétone dans les urines
c. Qu’il doit vérifier ses pieds avant de se chausser
d. D’avoir toujours du sucre sur lui
e. D'augmenter ses doses d’insuline en cas d’activité physique

6 - Diabète type 2 : (16 Questions)


1- Le dépistage du diabète est indiqué dans les situations suivantes :
A- ATCD personnel d’hypertension artérielle
B- Antécédents familiaux du diabète
C- Age > 36ans
D- ATCD personnel de diabète gestationnel
E- En cas d’obésité
F- Présence de signes cliniques type syndrome cardinal
QR 1:
2. Diabète sucré : Dx et classification.
QR 2:
3. TRT médicale du diabète du type 2.
QR 3:
4. TRT du diabète par les ADO.
QR 4:
5. TRT du diabète type 2 non compliqué.
QR 5:
6. Moyens médicamenteux de diabète de type 2.
QR 6:
7- Citez trois indications d'initiation d'insulinothérapie chez les patients diabétiques de type 2 ?
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 61 ans, diabétique type 2 depuis 11 ans sous metformine 2g/ jour et gliclazide 90 mg par
jour, hypertendue sous ARAII 50 mg par jour.
Elle consulte pour suivi de son diabète.
L’examen clinique trouve une patiente en bon état général, IMC 27 kg/m2, TA 130/80 MmHg, Glycémie
capillaire 1,80 g/l
8- Quels sont les éléments à rechercher à l’examen du pied chez cette patiente ?
9- Quels bilans vous allez prescrire chez cette patiente pour évaluer l’équilibre glycémique, recherche des
complications dégénératives ?
Parmi les bilans demandés, HBA1c = 8,40 %, clairance créatinine 55 ml/min (MDRD), micro albuminurie de
24h00 90 mg/ jour avec ECBU stérile.
10- Comment interpréterez-vous le bilan suivant ?
11- Quel sera votre objectif thérapeutique concernant l’équilibre glycémique chez cette patiente ? Quel
traitement vous allez prescrire pour l’atteindre ?
12- Quel est l’objectif à atteindre chez ce patient en terme de LDL-cholestérol ? Justifiez.
13- Quelle classe médicamenteuse allez-vous utiliser pour y parvenir ?

Page 124:Ataraxie
Cas clinique 2:
Patiente âgée de 40 ans, diabétique de type 2 depuis 04 ans sous Metformine 2 g par jour, qui consulte
pour suivi. Sa dernière consultation chez son médecin traitant remonte à un an.
L'examen clinique trouve : Poids 80 kg, Taille 1,70, IMC 27 Kg/m2, TA 150/90 mmHg, Glycémie capillaire :
2,30 g/l, bandelettes urinaires : Glucose ++ / Acétone - / protéines -.
Elle ramène un bilan :
HBA1C : 8%
Urée 0,23 g/l, créatinine 7 mg/l
14- Comment interprétez-vous son bilan ? Quel est le reste du bilan à demander chez cette patiente ?
15- En quoi consistera votre prise en charge thérapeutique ?
Parmi, les bilans demandés ; le bilan lipidique montre Cholestérol total 2,40 g/l ; Triglycérides 2,70 g/l ; HDL
0,35 g/l ; LDL 1,40 g/l.
16- Quelle sera votre conduite ?

7 - Les complications du diabète : (5 Questions)


1. La rétinopathie diabétique :
A. Est une Complication microangiopathiaue du diabète sucré
B. N’est pas une cause de cécité
C. un bon équilibre glycémique prévient sa survenue.
D. L’hypertension artérielle est une cause aggravante
E. Se développe à bas bruit.
F- Est toujours symptomatique
G- Est l'atteinte microangiopathique la plus tardive
H- L'angiographie à la fluorescéine est systématique chez tout patient diabétique
I- Est l'atteinte microangiopathique la plus précoce
J- L'équilibre diabétique est un traitement préventif .
K. Semble être la complication la plus précoce du diabète sucré
L. Se manifeste toujours par une baisse de l’acuité visuelle.
2. La néphropathie diabétique :
a. Est une complication macroangiopathique du diabète sucré
b. Son dépistage repose sur le dosage de la micro albuminurie de 24h
c. Il faut la dépister après 05 ans d’évolution chez le patient diabétique type 1
d. Il faut la dépister dès le diagnostic d’un diabète type 1
e. Aucune réponse n'est juste
3. A l’examen du pied d’un patient diabétique, on recherchera la présence :
a. De mycoses interdigitales et unguéales
b. Des pouls pédieux et tibiaux postérieurs
c. Une plaie
d. Un ongle incarné
e. D’une hypoesthésie
4- Parmi ces manifestations, une hypoglycémie est évoquée chez un patient diabétique devant :
A. Pâleur
B. Convulsions
C. Sueurs
D. Soif
E. Diplopie
QR 1:
5. Complications dégénératives micro et macro angiopathie du diabète sucré.

Page 125:Ataraxie
8 - Diabète et grossesse : (5 Questions)
1- Parmi les propositions suivantes, retenez le ou les facteurs de risque du diabète gestationnel :
a. ATCD de grossesse gémellaire.
b. ATCD de diabète chez les apparentés du 1er degré.
c. La présence d’une néphropathie diabétique.
d. La présence d'obésité ou de surcharge pondérale.
e. Age maternel au-dessus de 35 ans.
2- Concernant le diabète et grossesse :
A. La grossesse aggrave la rétinopathie diabétique.
B. Le dépistage du diabète gestationnel se fait à la fin du premier trimestre.
C. L’obésité constitue un facteur de risque du diabète gestationnel.
D. Le traitement par antidiabétiques oraux est contre indiqué.
E. Le risque de pré éclampsie est plus élevé.
F. La grossesse aggrave les complications micro vasculaires.
G. La survenue de fausse couche précoce est une complication du premier trimestre.
H. Le traitement par antidiabétiques oraux peut être maintenu si diabète équilibré.
I. Le dépistage du diabète gestationnel se fait par le dosage de l’HbA1c.
J. Un IMC supérieur à 25 kg/m2 constitue un facteur de risque du diabète gestationnel.
3- Concernant le diabète gestationnel :
A- C'est un trouble de la tolérance glucidique, de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la
première fois pendant la grossesse quelque soit le traitement et révolution dans le post-partum.
B- Le diagnostic se fait par le dosage du peptide C et de l'insulinémie.
C- Les antécédents personnels de diabète gestationnel ou d'enfant macrosome constituent un facteur de
risque.
D- La metformine est indiquée en première intention dans le traitement.
E- Le diagnostic se fait par l’HBAlC
QR 1:
4. Citer 4 complications fœtales du diabète préexistant à la grossesse ?
QR 2:
5. Quels sont les éléments de la prise en charge de la femme diabétique en préconceptionnel ?

9 - L’obésité : (2 Questions)
1. Parmi les propositions suivantes, retenez la ou les complications possibles de l’obésité :
A. L’insuffisance cardiaque.
B. L’insuffisance surrénalienne.
C. Le syndrome d'apnée du sommeil.
D. Les accidents thromboemboliques.
E. L’hypocalcémie chronique.
F. Une hypertension artérielle
G. Un diabète de type 1
H. Un syndrome des ovaires polykystiques
I. Une dyslipidémie
QR 1 :
2. Complications de l'obésité.

10 - Les dyscalcémies : (8 Questions)


1. L’hypocalcémie peut s’accompagner de la (des) manifestation (s) clinique(s) suivante(s) :
A. Raccourcissement de l’espace QT a l’ECG.

Page 126:Ataraxie
B. Un syndrome pseudo occlusif
C. Calcifications des noyaux gris centraux.
D. Une cataracte sous capsulaire.
E. Une déshydratation intra et extra cellulaire.
F. Les crises de tétanie.
G. Un syndrome polyuro-polydipsique.
H. Les paresthésies péribuccales et des extrémités.
2. Retenez parmi les propositions suivantes, la ou les causes possible d'hypocalcémie :
A- L'hyperparathyroïdie primaire
B- Les pseudohypoparathyroidies
C- Le myélome multiple
D- L'Hypomagnésémie sévère
E- La pancréatite aiguë
3. L’hypercalcémie peut s’accompagner de la (des) manifestation (s) clinique(s) suivante(s) :
A. Une diarrhée.
B. Une hypertension artérielle.
C. Les calcifications des noyaux gris centraux.
D. Les oedèmes des membres inférieurs.
E. Un syndrome polyuro-polydipsique.
F- Les crises de tétanie
G- Les myalgies
H- Les troubles de la conscience
I- Une constipation
4. Parmi les propositions suivantes, indiquez la ou les causes possibles d’hypercalcémie :
A. La sarcoïdose
B. L'insuffisance rénale
C. Le syndrome de malabsorption
D. Le Myélome multiple
E. L’Intoxication par la vitamine A
F. L’hyperparathyroïdie primaire
G. La tuberculose.
H. Les diurétiques thiazidiques
I. L’hypomagnésemie sévère
J. La carence en vitamine D
5. Parmi les endocrinopathies suivantes, indiquez celle qui peut être également responsable d'une
hypercalcémie :
A- Le Cancer papillaire de la thyroïde
B- L’hyperprolactinémie
C- L’hypogonadisme hypogonadotrope
D- L'hyperthyroïdie
E- La maladie de Basedow
QR 1 :
6. Quels sont les antécédents à rechercher chez un patient porteur d’une hypocalcémie chronique ? (Citer
4 Antécédents)
QR 2:
7. Comment traiter une crise aiguë d’hypercalcémie ?
QR 3:
8. Énumérer les différentes étapes de la prise en charge thérapeutique d’une hypercalcémie aigue ?

Page 127:Ataraxie
11 - Les dyslipidémies : (7 Questions)
1. A propos de la dyslipidémie :
A. Les xanthomes correspondent aux dépôts lipidiques intravasculaires.
B. Elle peut être secondaire à une hypothyroïdie.
C. Le LDL cholestérol est le mauvais cholestérol
D. Le traitement médical est indiqué en première intention chez tous les patients
E. Les effets indésirables liés au traitement médical sont essentiellement rénaux.
F. Un bilan lipidique perturbé à n’importe quel moment de la journée permet le diagnostic.
G. Les mesures hygiéno-diététiques sont de mises chez tous les patients.
H. Le traitement médical est toujours indiqué en première intention.
I. Le traitement médical est basé essentiellement sur les statines.
J. Un cholestérol HDL élevé constitue un facteur cardiovasculaire protecteur.
2- Une dyslipidémie peut être secondaire à :
a. Une maladie de Basedow.
b. Un syndrome néphrotique.
c. Un alcoolisme.
d. Une hypothyroïdie.
e. Une insuffisance surrénalienne.
A- Une hyperthyroïdie
B- Un syndrome néphrotique
C- Une hypothyroïdie
D- L’alcoolisme
E- L'insuffisance surrénalienne
3-/ Parmi les effets indésirables communs aux statines et aux fibrates, on peut citer :
A- L'hypoglycémie
B- L'hémorragie digestive
C- Les myalgies
D- L'aplasie médullaire
E- L'élévation des transaminases
4- Parmi les effets indésirables communs aux statines, on peut citer :
a. Les oedèmes des membres inférieurs
b. L’élévation des transaminases
c. L’hémorragie digestive
d. Les infections mycosiques
e. L'hypocalcémie
QR 1 :
5. Énumérer quatre causes d’hypercholestérolémie secondaire ?
QR 2 :
6. TRT des hyperlipidémies
QR 3 :
7. Classification des dyslipidémies et PEC des hypercholestérolémies.

12 - Syndrome de Cushing : (8 Questions)


1- Le syndrome de Cushing doit être suspecté devant :
A. Une obésité androïde
B. Des vergetures blanches

Page 128:Ataraxie
C. Des palpitations
D. Une obésité faciotronculaire
E. Des vergetures pourpres et larges
F. Erythrose faciale
G. Fragilité cutanée avec ecchymoses
2. Dans le syndrome de cushing :
a. Une hypertension artérielle est habituelle
b. L’obésité facio-tronculaire est caractéristique
c. Les troubles psychiatriques sont fréquents
d. Les vergetures sont fines et blanchâtres
e. Le faciès est lunaire
3- Le diagnostic positif biologique d'un syndrome de Cushing se base sur :
A- Un taux de cortisol urinaire des 24 h élevé
B- Un taux de cortisol urinaire des 24 h bas
C- Une perte du rythme nycthéméral du cortisol
D- Un cortisol de 8h bas
E- un taux de FSH élevé
4. Le bilan biologique spécifique d’un syndrome de cushing est considéré comme positif :
a. Si le cortisol libre urinaire des 24L00 est augmenté
b. Si le freinage minute est inférieur à 18 ng/ml
c. Si le cortisol salivaire nocturne est augmenté
d. Si le cortisol salivaire nocturne est bas
e. Aucune réponse n’est juste
5. L’évolution spontanée du syndrome de cushing est marquée par :
a. Des complications cardiovasculaires
b. Une hypoglycémie
c. Des complications infectieuses
d. Des complications psychiatriques
e. Une amélioration des symptômes
QR 1 :
6. Diagnostic clinique des syndromes de cushing
QR 2 :
7. Syndrome de cushing ACTH dépendant (6pts)
QR 3 :
8. Quels sont les examens biologiques à faire pour le diagnostic positif d’hypercorticisme et comment
différencier biologiquement l’origine surrénalienne ou non surrénalienne de l'hypercorticisme ?

13 - Insuffisance surrénalienne : (17 Questions)


1. L’insuffisance surrénalienne lente (maladie d’Addison) est caractérisée par la présence :
a. Une altération de l’état général
b. Une conservation de l’état général
c. Une mélanodermie
d. Une dépigmentation
e. Une hypotension artérielle

2- La maladie d’Addison peut se manifester :


A. Asthénie
B. Arthralgie
C. Hyperpigmentation cutanée

Page 129:Ataraxie
D. Plaques ardoisées
E. Syndrome dépressif
3- Quel(s)est ou sont parmi les désordres biologiques suivants celui (ou ceux) qui permettent de confirmer
le diagnostic d’une insuffisance surrénalienne lente :
a. Dosage du cortisol de 08h00
b. Dosage du cortisol libre urinaire des 24h00
c. Dosage de TSH
d. Dosage IGF1
e. Dosage prolactine
4- Le bilan biologique peut objectiver en cas de suspicion d’une insuffisance surrénalienne lente (maladie
d’Addison):
A. Une tendance à l’hypernatrémie
B. Une tendance à l’hyponatrémie
C. Une tendance à l'hypoKaliémie
D. Une natriurèse élevée
E. Une tendance à l’hypoglycémie à jeun
5- Une insuffisance Corticotrope peut être causée par :
a. Un adénome hypophysaire
b. Une prise de corticothérapie au long court
c. Syndrome de sheehan
d. Une hémorragie bilatérale des surrénale
e. Une irradiation hypophysaire
6- Parmi les étiologies de l'insuffisance surrénale lente (ISL), nous pouvons retenir
A- L'origine auto-immune
B- Les métastases surrénaliennes
C- La tuberculose surrénalienne
D- La corticothérapie prolongée
E- Un adénome hypophysaire
7-L'origine tuberculeuse d'une insuffisance surrénalienne peut être envisagée devant :
a. Un antécédent de tuberculose chez le patient
b. Devant la visualisation de calcifications des surrénales à l’abdomen sans préparation
c. La positivité des anticorps anti surrénaliens
d. La notion de suivi pour une maladie auto-immune
e. Aucun de ces arguments
8- La décompensation de la maladie d’Addison peut entraîner les désordres biologiques suivants :
A. Hypokaliémie
B. Hyperkaliémie
C. Hyponatrémie
D. Hypoglycémie
E. Hyperglycémie
9- Le traitement de l’insuffisance surrénalienne aigue d’origine primaire repose sur :
A. Réhydratation
B. Supplémentation en potassium
C. Hydrocortisone par voie injectable
D. Hydrocortisone par voie orale
E. Fludrocortisone par voie injectable
10- La(les) conduite(s) suivante(s) est (sont) indiquée(s) pour le traitement de l'insuffisance surrénalienne
lente (Addison) :
a. Régime normo sodé
b. Régime hyposodé
c. Prise d’hydrocortisone un jour sur deux

Page 130:Ataraxie
d. Prise quotidienne d’hydrocortisone
e. Prise quotidienne de 9 alphafludrocortisone
11- Le traitement de l'ISL consiste à prescrire :
A- Hydrocortisone à vie
B- Un régime sans sel
C- Un diurétique thiazidique
D- Fludrocortisone
E- Du potassium
12. La dose moyenne quotidienne d'hydrocortisone par voie orale permettant d'équilibrer une insuffisance
surrénale primaire chez un adulte est de l’ordre de :
a. 20 à 30 à mg par jour
b. 80 mg par jour
c. 100 mg par jour
d. 120 mg par jour
e. 150 mg par jour
QR 1 :
13. Insuffisance surrénalienne aigue : Tableau clinique + TRT
QR 2 :
14. Citer les signes biologiques de l'insuffisance surrénalienne aigue ?
QR 3 :
15. Insuffisance surrénalienne lente : Dg positif, clinique, paraclinique et étiologique
QR 4 :
16. Patiente suivie pour une insuffisance surrénalienne lente sous traitement hormonal substitutif. Citer 4
conseils à donner à cette patiente pour prévenir la décompensation aiguë de sa pathologie.
QR 5:
17- Citez trois éléments cliniques et/ou paracliniques orientant vers une insuffisance surrénale
périphérique?

14 - Hyper aldostéronisme primaire :


Pas de questions disponibles

15 - Phéochromocytome :
Pas de questions disponibles

16 - Adénomes hypophysaires : (8 Questions)


1- Un adénome hypophysaire peut être découvert à l’occasion de :
A. Signes d'hypersécrétion
B. Céphalées typiquement frontale et rétro-orbitaire
C. Diplopie
D. Une IRM hypothalamo-hypophysaire
E. Une insuffisance antéhypophysaire
2. Le Syndrome tumoral hypophysaire est fait :
a. Céphalées occipitales
b. Céphalées frontales et rétro-orbitaires
c. Amputation du champ visuel à type d'hémianopsie homonyme latérale
d. Amputation du champ visuel à type d’hémianopsie hémi temporale
e. Une paralysie des nerfs oculomoteurs par envahissement du sinus caverneux
3- L'adénome somatotrope peut être responsable de :

Page 131:Ataraxie
A- Un retard de croissance
B- Une obésité faciotronculaire
C- Un syndrome acrofacial
D- Une hépatomégalie
F- Une protrusion oculaire
QR 1:
4. Citez quatre complications non tumorales liées à l’hypersécrétion de l’hormone de croissance
QR 2:
5. Citez les complications cardio-métaboliques de l’acromégalie
QR 3:
6. Dg clinique + différentielle des adénomes hypophysaires
QR 4:
7. Classification et étude clinique des adénomes hypophysaires
QR 5:
8. Quels sont les trois syndromes à chercher devant un adénome hypophysaire ?

17 - Hyperprolactinémie : (6 Questions)
Cas clinique 1:
Mme AH âgée de 32 ans vient vous voir pour aménorrhée secondaire. Elle a arrêté sa pilule
oestro-progestative il y a 6 mois et n'a pas eu de menstruations depuis. Le dosage de la prolactine
plasmatique demandé par son médecin traitant a objectivé un taux de prolactine à 200 ng/ml (normale<20
ng/ml) confirmé à 2 reprisés?
1- Quel examen demandez-vous chez cette femme pour confirmer votre suspicion diagnostique ?
L'imagerie montre un macro adénome avec extension supra-sellaire.
2- Quels autres examens complémentaires demandez-vous ?
3- Quel traitement proposez-vous?
Cas clinique 2:
Mme Rachida, 28 ans, consulte car elle présente depuis 2 mois un écoulement mammaire lactescent, Vos
examens trouvent une hyperprolactinémie.
4- Quelles peuvent être les causes d'hyperprolactinémie ?
A- Hypothyroïdie périphérique
B- Macroadénome corticotrope
C- Un traitement par neuroleptique
D- Insuffisance rénale chronique
E- Hyperthyroïdie périphérique
5- Vous faites réaliser l'IRM hypophysaire qui révèle une masse hypophysaire d'un diamètre inférieur à
1cm. Quel est votre diagnostic sachant que la prolactine est à 150ng/ml ?
A- Micro adénome à prolactine
B- Macro adénome à prolactine
C- Craniopharyngiome
D- Hyperprolactinémie de déconnexion sur macro-adénome somatotrope
E- Hyperprolactinémie de déconnexion sur micro-adénome thyréotrope
6- Quel est votre traitement ?
A- Abstention thérapeutique
B- Ablation chirurgicale de l'adénome
C- Traitement médicamenteux
D- Radiothérapie sélective

Page 132:Ataraxie
E- Hemi-hypophysectomie

18 - Insuffisance hypophysaire : (10 Questions)


1- Le déficit somatotrope
A. Se manifeste par un infléchissement statural
B. Il n’existe pas de retard de la maturation osseuse
C. Le test de référence pour le diagnostic est l’hypoglycémie insulinique
D. Le test de référence est la mesure de GH seule
E. On a une baisse des taux des IGF1
2- L’hypoglycémie en cas d’insuffisance antéhypophysaire est la conséquence de :
a. Déficits somatotrope et thyréotrope
b. Déficits somatotrope et corticotrope
c. Déficit thyréotrope
d. Déficit prolactinique
e. Déficit gonadotrope
3- L'insuffisance anté-hypophysaire peut être dû à :
A- Un syndrome de Turner
B- Un macroadénome à prolactine
C- Un syndrome des ovaires polykystiques
D- Un syndrome de Sheehan
E- Une radiothérapie hypophysaire
4. L’insuffisance antéhypophysaire :
a. Peut être partielle ou totale
b. La découverte de l’insuffisance d'un des axes n’implique pas la recherche des autres déficits des autres
axes.
c. Peut être secondaire à une chirurgie hypophysaire
d. Le Traitement est seulement symptomatique
e. Le traitement est symptomatique et étiologique
5. Le diabète insipide central est caractérisé par :
a. La présence d’une glycosurie
b La présence d'urines hypotoniques
c. La présence d'urines hypertoniques
d. La présence d’une acétonurie
e. Aucune réponse n’est juste
6- Le test de restriction hydrique :
A. Est indiqué si l’IRM hypothalamo-hypophysaire est normale
B. Se fait en intra-hospitalier
C. Se fait en ambulatoire
D. Est contre indiqué en cas de déshydratation
E. Permet d’étudier les capacités maximales de concentration du rein
7- Peut (peuvent) être à l’origine d’un diabète insipide central :
a. Une hypercalcémie
b. Une hypocalcémie
c. Une hypokaliémie
d. Une maladie infiltrative
e. Un adénome hypophysaire
8- Le diabète insipide central :
A- Se manifeste par une oligurie
B- Peut être secondaire à une chirurgie hypophysaire
C- L'IRM hypopthalamo- hypophysaire peut montrer une disparition du signal de la post hypophyse

Page 133:Ataraxie
D- Est traité symptomatiquement par la Desmopressine
E- Est traité symptomatiquement par les analogues de la somatostatine
QR 1:
9. Après chirurgie hypophysaire, chez un patient déjà substitué pour ses déficits antéhypophysaires, quels
sont les arguments cliniques et biologiques en faveur d’un diabète insipide ?
QR 2:
10. Insuffisance antéhypophysaire : clinique.

19 - Hypogonadismes : (5 Questions)
1-Devant la suspicion d’un syndrome de Klinefelter :
a. L’examen doit rechercher la présence d’une gynécomastie
b. Le caryotype permet de poser le diagnostic
c. L’IRM hypothalamo-hypophysaire permet de poser le diagnostic
d. Le bilan hormonal montre un hypogonadisme hypogonadotrope
e. Le bilan hormonal montre un hypogonadisme hypergonadotrope
2- Le profil hormonal dans le syndrome de Klinfelter associe :
A- Un taux bas de l'ACTH
B- Un taux de FSH-LH élevé
C- Une hyperprolactinémie
D- Un taux de FSH-LH bas
E- Un taux bas de Téstostérone
3- Devant un hypogonadisme hypergonadotrope chez un patient de sexe masculin, vous demandez:
A- Un caryotype
B- Une IRM hypothalamo-hypophysaire
C- Un cortisol de 8h
D- Une prolactinémie
E- Un test de freination du cortisol à la dexaméthasone
QR 1:
4. Manifestations clinique des hypogonadismes
QR 2:
5. Tableau clinique des hypogonadismes

20 - Hyperandogénie féminine :
Pas de questions disponibles

21 - Gynécomasties : (1 Question)
QR 1:
1- Quelles sont les principales étiologies de la gynécomastie ? (Citer 4)

22 - Hypoglycémies : (4 Questions)
1. Concernant les hypoglycémies organiques :
A. II s'agit de malaises mineurs survenant en période postprandiale.
B. Elles peuvent être secondaires à une endocrinopathie.
C. Elles sont améliorées par le jeûne.
D. Le fractionnement des repas permet d’améliorer la symptomatologie

Page 134:Ataraxie
E. L'insulinémie et le peptide C sont élevés malgré une glycémie basse en cas d’insulinome.
2- Devant une hypoglycémie d'allure organique :
A- Il y a toujours un contexte évocateur: (gastrectomie, obésité ou prédiabète).
B- Il s'agit d'accidents survenant à jeun et/ou à l'effort, avec disparition immédiate des troubles après
l'ingestion de sucre et une glycémie veineuse < 0,5 g/l.
C- Le dosage du peptide C permet de différencier l'insulinome de la prise de sulfamides
D- Une perte de poids récente est en faveur d'une hypoglycémie factice.
E- Une insulinémie indétectable au moment de l'hypoglycémie au cours de l'épreuve de jeûne permet
d'écarter le diagnostic de l'insulinome.
3- En faveur de l’hypoglycémie fonctionnelle :
A. L’impossibilité de jeûner pendant Ramadan
B. Les troubles de conscience
C. Sa survenue en postprandiale.
D. Le fractionnement des repas améliore la symptomatologie
E. La prise de sulfamides hypoglycémiants.
F. Sa survenue à jeun
G. La présence d’un contexte évocateur (Gastrectomie, Obésité ou pré diabète).
H. La présence de la triade de whipple.
I. La prise pondérale.
J. Le sujet longiligne et dysneurotonique
QR 1:
4. Quelles sont les étiologies des hypoglycémies chez un non diabétique (4 d’origine organique et 2
d’origine fonctionnelle) ?

23 - Autres : (4 Questions)
1- le premier signe pubertaire est :
A. Développement des seins chez la fille
B. Apparition des premières règles
C. Apparition de la pilosité pubienne
D. Augmentation de la taille des testicules chez le garçon
E. Raucité de la voix chez le garçon
QR 1:
2. Citez 4 étiologies des HTA d'origines endocriniennes ?
QR 2:
3. Quels sont les éléments du syndrome métabolique ?
QR 3:
4. Quels sont les arguments en faveur d'une hypoglycémie organique ?

23 - Cas cliniques généraux: (108 Questions)


Cas clinique 1:
Une jeune femme âgée de 16 ans consulte aux urgences pour des vomissements, douleurs abdominales
et une grande fatigue. A l’interrogatoire, on trouve un amaigrissement avec appétit conservé et un
syndrome polyuro-polydipsique.
L’examen clinique objective une pression artérielle à 90/6 mm Hg. fréquence cardiaque à 90/min,
température 37°C, glycémie capillaire 3g/l BU G +++ et A ++.
Elle pèse 52 kg pour 160 cm avec IMC 19 kg/m2.
1- Quel est le diagnostic le plus probable ? Argumentez ?
2- Listez les examens indispensables à votre prise en charge initiale.

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Le bilan biologique a objectivé : urée : 0.50 g/l (0.25-0.45), créatinine 9 mg /I (4-7), Kaliémie 4.5 meq/l,
Réserves alcalines 11 meq/l.
3- Citez brièvement les mesures immédiates à mettre en route ?
4- Le diagnostic est confirmé. Quelles sont les thérapeutiques et mesures associées qui seront instaurées
en relais de la phase aiguë ?
La patiente était perdue depuis. Elle a 20 ans actuellement. Elle vient vous voir, car elle a perdu du poids
spontanément (poids= 48 kg) et elle a peu d’appétit. Elle fait des malaises fréquents avec parfois perte de
connaissance.
5- Quel (s) est (Sont) le(s) diagnostic(s) le(s) plus probable(s) et listez les explications possibles ?
Au décours d’un nouveau malaise, elle est ramenée aux urgences. Le bilan biologique montre une
natrémie corrigée à 130 meq/l et Kaliémie à 6 meq/l.
6- Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ?
Cas clinique 2:
Patiente de 40 ans, sans antécédents particuliers. Elle consulte pour une prise pondérale évoluant depuis
04 mois malgré un appétit diminué, elle vous dit que dernièrement, elle a des troubles de la mémoire, une
chute de cheuveux.
L’examen clinique trouve une patiente en bon état général, avec un air dépressif, Poids 70 kg, Taille 1.60
m, IMC 27 kg/m2, TA 100/50 mm hg, Pouls 54 bpm, Sécheresse cutanée.
7- Quels autres éléments rechercherez-vous à l’interrogatoire et à l’examen clinique ?
Le bilan biologique a objectivé TSH 40 mui/l (0.25 - 5), on a complété par une LT4 0.50 ng/ml (0.70-1.48)
8- Quel est le diagnostic le plus probable ? Quels autres bilans demanderez-vous à la recherche d’une
étiologie ?
9- Quel traitement mettrez-vous en route ? Comment allez-vous surveiller cette patiente ?
Cas clinique 3:
Mme D.H, âgée de 40 ans. Dans ces antécédents, on trouve la notion de tuberculose pulmonaire dans
l’enfance.
Elle est hospitalisée pour des douleurs abdominales et vomissements dans un contexte fébrile. Notion
d’amaigrissement (10 Kg en quelque mois) et d’asthénie profonde croissante durant la journée.
A l’examen clinique: TA 80/60, FC 100 bpm, Température 38.5 C.
Examen cutanéo-muqueux: Hyperpigmentation des plis de flexion et des zones exposées au soleil.
Bilan biologique a objectivé :
NFS Hb 13 g/ dl (12 et 16), GB 12000 E /mm3 (4000-10000)
Urée 0,7u g/l (0,35 - 0,45), Créatinine 12 mg/l (7 à 10 mg/l), Glycémie 0,40 g/l
Na 120 mmol/l (135 - 145) ; K 5,4 mmol/l (3,5 - 5), RA 15 mmol/l (20- 30) Protéines 85 gr/l (65 - 80)
lonogramme Urinaire : Natriurèse élevée et Kaliurése basse
Radio thorax : séquelle de tuberculose pulmonaire
10 - Quel (s) diagnostic (s) évoquez vous ?
11- Quels sont vos arguments en faveur du diagnostic retenu ?
12- Quel sera votre conduite en urgence ?
Cas clinique 4:
Patient de 20 ans, sans antécédents pathologiques notables qui vient vous consulter pour un impubérisme.
L’examen clinique trouve un patient grand de taille avec une macroskélie, imberbe, gynécomastie
unilatérale et à l’examen des organes génitaux externes : testicules de petites tailles. Par ailleurs, le patient
ne rapporte pas de syndrome tumoral hypophysaire.
13- Quel (s) est (sont) d’après vous le(s) diagnostic(s) le(s) plus probable(s) ?
Le bilan biologique objective Testostérone à 1 ng /ml (3-6), LH à 20 Ul/L (2-12 Ul /L) et FSH à 60UI /L (1-12
Ul/L).
14- Quel est le diagnostic le plus probable chez ce patient ?
15- Quel est le bilan de première intention à demander ?
Cas clinique 5:

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Mme H.Z âgée de 65 ans, adressée par son médecin traitant pour découverte d’une TSH effondrée.
L'examen clinique trouve un goitre nodulaire ferme, prédominant sur le lobe droit sans signes de
compression et sans adénopathie cervicale.
16- Quels sont les autres éléments de l’interrogatoire et de l’examen clinique à rechercher chez cette
patiente ?
17- Quelles sont les causes classiques d’hyperthyroïdie à rechercher chez cette patiente ?
Au cours du bilan vous découvrez une calcémie corrigée à 118 mg /I (86-106)
18- Quels examens biologiques de première intention devez-vous demander . pour avancer dans le
diagnostic étiologique ?
19- Vous diagnostiquez sur le bilan paraclinique une hyperparathyroïdie primaire. Quel sera votre conduite
à tenir (Symptomatique et étiologique) ?
Cas clinique 6:
Mme Khadija, 28 ans, consulte pour des douleurs cervicales antérieures, elle est fébrile à 39°. A l’examen,
les amygdales sont de volume normal, en revanche, vous palpez une thyroïde augmentée de volume et
très douloureuse. La TA est à 140/90 mmHg, la FC à 105 b/mn, vous constatez un tremblement des
extrémités.
20- Quel est le diagnostic le plus probable? Quels autres symptômes pouvez-vous trouver à l’examen
clinique ?
21- Quels sont les éléments de votre bilan ?
22- Quel est votre traitement ?
Cas clinique 7:
Mme K.H âgée de 60 ans, petite enfance passée à Fès, sans antécédents pathologiques notables. Elle
vous consulte pour des palpitations. Elle a l’impression d’avoir maigrie.
L’examen clinique trouve une patiente en bon état général, pouls 100 bpm régulier.
L’examen cervical note une glande thyroïde augmentée de taille au dépens de son lobe gauche avec la
perception d'un nodule thyroïdien gauche faisant 2cm.
23- Quels sont les autres éléments à détailler à l’examen clinique ?
24- Quel(s) bilan(s; de première intention demanderiez-vous chez cette patiente ?
Le bilan biologique objective :
TSH 0.02 uui/ml (0.25 -4,5)
LT4 = 28 pg/ml (6.5-20)
25- Quel est le diagnostic le plus probable chez cette patiente ?
26- Quel (s) bilan (s) demanderiez-vous à la recherche d’une étiologie?
Parmi les bilans demandés par son médecin traitant, la scintigraphie thyroïdienne a montré un nodule
fonctionnel hyper fixant avec extinction du reste du parenchyme thyroïdien.
27- Quel est le diagnostic étiologique le plus probable ?
28- Quel sera votre prise en charge thérapeutique?
Cas clinique 8:
Mr F.A âgé de 35 ans, diabétique type 1 depuis 10 ans sous schéma basal bolus [insuline humaine 12 ui le
matin, 06 ui à midi et 08 ui le soir et insuline glargine 16ui à 22h00]. Son statut dégénératif est indemne. Le
patient vous rapporte que depuis 10 jours, il présente un syndrome polyuro-polydipsique qui s'est aggravé
depuis 03 jours par l’apparition d'une toux productive. Le tout évoluant dans un contexte d’asthénie et de
fièvre non chiffrée.
L’examen clinique trouve un patient asthénique, dyspnéique, tachycarde à 100 bpm, IMC 19kg/m2 , TA 100
/ 50 mm hg.
Glycémie capillaire 4g/l bandelette urinaire G +++ A ++
29- Quels autres éléments rechercherez-vous à l’examen clinique ?
30- Quels bilans demanderez-vous en urgence ?
Parmi Le bilan biologique demandé, il a été objectivé:

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NFS Hb 15 g/dl (12-16), GB 19000 /mm3 (4000-10000), plaquett 200000 /mm3 (150000-400000). Urée
0.50 g/l (0.25-0.45), créatinine 9 mg/l (6-8). CRP 200 mg/l (< 6), réserves alcalines 10 mmol/L(1f 28).
31- Quel est le diagnostic le plus probable ?
32- Quelle sera votre prise en charge en urgence ?
Après avoir jugulé la phase aiguë, le patient était sorti sous schéma basal bolus avec un bon équilibre
glycémique.
33- Comment prévoyez-vous le suivi de ce patient et quels bilans allez-vous demander au cours de son
suivi ?
Cas clinique 9:
Patient âgé de 50 ans ayant comme antécédent une hérédité diabétique chez le père et le cousin paternel,
admis dans notre formation pour un syndrome polyuro-polydipsique, avec asthénie. Le bilan demandé par
son médecin référant a objectivé une glycémie veineuse à jeun de 2.3g/l.
A l'examen clinique: le patient était conscient, stable sur le plan hémodynamique, avec une TA à 120mmHg
/80mmHg, un pouls à 80 bat/mn, un poids à 70kg, une Taille à 1.60m et un IMC à 27.34 kg/m2
34. Quel diagnostic évoquez-vous? Argumentez votre réponse?
35. Quels sont les bilans à demander chez ce patient ?
Parmi les bilans demandés :
Urée : 0.40 g/l , créatinine : 10 mg/l avec une clairance à 84.17 ml/mn, Micro albuminurie de 24h : 70
mg/24h
36. Comment interprétez- vous ces résultats ?
37. Quels seront les objectifs thérapeutiques chez ce patient ?
38. Quelle sera votre conduite à tenir thérapeutique ?
Le patient était perdu de vu, revu après 3 ans avec à l'examen clinique un poids stationnaire, une TA à
/SOmmHg, et une douleur angineuse.
Son bilan actuel : HBA1c à 9.1 u 3 à 0.40 g/l, créatinine à 12 mg/l avec une clairance à 66.44 ml/mn,
L'exploration cardiologique a révélé un infarctus de myocarde à fraction d'éjection conservée 6
39. Quelle sera votre conduite à tenir thérapeutique ?
Cas clinique 10:
Madame K. H, âgée de 22 ans consulte pour une prise de poids de 7 kilos évoluant depuis 2 ans, associée
à une asthénie importante. la patiente a arrêté depuis depuis 06 mois sa contraception et elle est en
aménorrhée depuis. Elle a noté une augmentation de la pilosité de la visage, de ligne blanche nécessitant
deux épilations par 15 jours.
L'examen clinique trouvait une tension artérielle à 170/100 mm Hg, un poids à 69 kg, une taille à 150 cm
avec IMC 30 kg/m2. La surcharge pondérale est tronculaire, le visage est lunaire, érythrosique avec un
comblement des creux sus-claviculaires en bilatéral.
Le bilan montre : glycémie à jeun : 1.21 g/l, cholestérol total : 2.9 g/l (0,00 - 2,00), triglycérides : 1.70g/l
(0,00 - 1.50)
40- Quels sont les autres éléments de l'interrogatoire et de l’examen clinique à chercher chez cette patiente
?
41- Quel est le diagnostic le plus probable ? argumentez
42- Quels examens paracliniques réalisez-vous à visée diagnostic positif
Les tests biologiques sont en faveur d’une origine hypophysaire. L'IRM hypothalamo-hypophysaire a
objectivé un micro-adénome hypophysaire de 7 mm latéralisé à droite.
43- Quel traitement proposez-vous ?
Cas clinique 11:
Mr HA, âgé de 60 ans, père de deux enfants sans antécédents pathologiques particuliers.
Depuis 2 mois, il a présenté une asthénie, il a maigri de 10kg, et il a toujours chaud. A l'examen le poids à
50 kg, le pouls à 100 bat/min, la TA à 13/08. On a un tremblement, une moiteur des mains et un goitre
hétérogène.
Biologie :

Page 138:Ataraxie
NFS: GB: 7000/ul (4000-10000) PNN: 2000/ul Hb: 14 g/l (14-17), PQ: 300000 /ul (150-400000)
ASAT 35 UI (0-35)
ALAT 40 UI (0-35)
TSH: 0.05 UUI/ml (0.35-4.94) FT4: 3 ng/l (0.70-1.48)
Échographie cervicale a révélé un goitre multihétéronodulaire classé EUTIRADS 2 dont le plus grand
mesure 4 cm.
44. Quel diagnostic vous paraît le plus probable?
45. Comment interprétez-vous le bilan biologique?
46. Quel traitement envisagez-vous chez ce patient?
Notre patient a bénéficié d'une thyroïdectomie totale. Deux jours après, il a présenté des fourmillements
des extrémités, et des paresthésies péribuccales
47. Quel diagnostic évoquez-vous?
48. Quels bilans demandez-vous?
49. Le bilan est revenu en faveur d'une hypoparathyroïdie Quelle sera votre conduite à tenir thérapeutique?
Cas clinique 12:
Patiente N.H, âgée de 15 ans, vient consulter car elle n'est toujours pas réglée. Elle est la cadette d'une
fratrie de 3. A l'anamnèse, la mère et la soeur ainée ont été réglée normalement à 14 ans
Examen clinique: Poids à 52 kg (M), Taille à 1.45 m (-3DS), Taille cible est à 1.65 m (-3DS). Les caractères
sexuels secondaires sont absents.
50- Quels sont les autres éléments interrogatoire et examen clinique à chercher ?
51- Citez les principaux examens complémentaires de base à demander dans ce contexte.
Les bilans demandés ont objectivé un hypogonadisme hypergonadotrope.
52- Quel sera le premier examen à demander à la recherche d'une étiologie ?
53- Vu le contexte clinique et paraclinique, quels seront les différents examens à demander à la recherche
d'un retentissement de cette pathologie? (Citer 4)
54- Quelle sera votre prise en charge thérapeutique ?
Cas clinique 13:
Mr H. âgé de 50 ans, ayant comme antécédents pathologiques : une hypertension artérielle sous
Amlodipine 5mg /jour mal équilibrée, un tabagisme chronique depuis 20 ans à raison d'un paquet par jour,
une mère diabétique sous anti-diabétiques oraux, qui consulte pour une découverte d’une hyperglycémie à
2,70 g/l lors d’un bilan biologique demandé par son cardiologue.
L’examen clinique du patient trouve : un poids = 85kg, une taille = 1,70 m, IMC = 29 kg/m2, TA est à
150/90mmhg.
55. Quel diagnostic évoquez-vous chez ce patient ?
a. Un diabète sucré type 1
b. Un diabète sucré Type 2
c. Une intolérance aux hydrates de carbones
d. Une hyperglycémie modérée à jeun
e. Une hyperthyroïdie
56. Pour confirmer le diagnostic, doit-on compléter par :
a. Une deuxième glycémie à jeun
b. Une hyperglycémie provoquée par voie orale
c. Une glycémie post prandiale
d. Une TSH
e. Aucune réponse n’est juste
57. Quels sont les différents facteurs de risque cardiovasculaires chez ce patient :
a. L’hypertension artérielle
b. Le tabagisme chronique
c. La découverte d’un diabète sucré
d. L’hérédité diabétique dans la famille

Page 139:Ataraxie
e. Le sexe masculin
58. Les différents examens complémentaires impératifs à demander pour éliminer les contre indications
des anti-diabétiques oraux sont :
a. Bilan lipidique
b. Dosage de la créatinine
c. Dosage des Transaminases
d. ECBU A
e. NFS
Cas clinique 14:
Melle L. âgée de 25 ans, suivie pour un diabète sucré évoluant depuis l’âge de 10 ans compliqué d’une
rétinopathie diabétique panphotocoagulée.
La patiente est sous : insuline à durée d'action intermédiaire: 14 unités le matin et 14 unités le soir, une
insuline à durée d action rapide : 4 unités avant les trois repas
A l'interrogatoire, la patiente ne fait aucun contrôle glycémique et oublie régulièrement l’injection d’insuline
à durée d'action rapide à midi. Elle est Admise aux urgences pour asthénie profonde, nausées et
vomissements évoluant depuis deux jours.
Cliniquement, son poids est de 48Kg pour 1m65, sa tension artérielle est à 110/70 mm Hg, et sa
température est à 36,5°C. Elle présente une polypnée, une tachycardie à 130 /min, La glycémie capillaire
est à 4,5g/l et la bandelette urinaire retrouve trois croix de glucose et 3 croix d’acétone.
59. Quel est votre diagnostic ?
a. Décompensation acido-cétosique d’un diabète type 1
b. Décompensation acido-cétosique d’un diabète type2
c. Une hypoglycémie
d. Une insuffisance surrénalienne aigue
e. Une hyperthyroïdie
60. Quels bilans biologiques vous allez demander chez cette patiente ?
a. NFS
b. lonogramme sanguin
c. Kaliémie seule
d. Fonction rénale seule
e. Natrémie seule
61. L’autocontrôle glycémique par un lecteur glycémique est recommandé chez chaque diabétique type 1. Il
permet d’améliorer l’équilibre glycémique. Vous allez conseiller à cette patiente :
a. De contrôler sa glycémie capillaire avant chaque activité physique
b. De prendre sa glycémie capillaire en présence de signes d’hypoglycémie
c. Que l’idéal est de prendre sa glycémie au moins 4 fois par jour pour pouvoir adapter ses doses
d’insuline.
d. De se laver les mains avant chaque utilisation de lecteur
e. D’avoir un lecteur individuel
Cas clinique 15:
Une femme de 53 ans consulte pour les signes suivants, apparus progressivement au cours des 6 derniers
mois : asthénie, apathie, frilosité, crampes musculaires, hypoacousie, et prise de poids estimée à 6 kg. Le
visage est arrondi, la peau est froide, le rythme cardiaque est régulier à 54/mn. La patiente a une voix
rauque et lente.
62. Le diagnostic le plus probable chez cette patiente :
a. Une hyperthyroïdie
b. Une hypothyroïdie
c. Un hypercorticisme
d. Une insuffisance surrénalienne
e. Aucune réponse n’est juste

Page 140:Ataraxie
63. Pour confirmer le diagnostic chez cette patiente, vous allez demander :
a. Un dosage TSH
b. Un dosage LT4
c. Un bilan lipidique
d. Une numération formule sanguine
e. Aucune réponse n'est juste
64. La patiente vous confirme qu’elle n’a jamais subi de chirurgie thyroïdienne, le bilan à demander à la
recherche d’une étiologie consiste en :
a. Un dosage des anticorps anti TPO
b. La réalisation d’une échographie cervicale
c. Un dosage des AC anti RTSH
d. La réalisation d’une IRM hypothalamo-hypophysaire
e. Une prolactine
65. Le traitement chez cette patiente consiste en la mise sous :
a. L Thyroxine
b. Anthyroidiens de synthèse
c. Agonistes dopaminergiques
d. Métformine
e. Corticoïdes
Cas clinique 16:
Mme L. âgée de 26 ans, célibataire, sans antécédents pathologiques notables notamment pas de prise
médicamenteuse, présente depuis 6 mois une aménorrhée secondaire avec notion de céphalées frontales
qui s’améliore légèrement sous traitement symptomatique. L’examen des seins note la présence d’un
écoulement lactescent bilatéral et multi pores.
66. Le bilan biologique objective une prolactine élevée à 240 ng/ml, quel est le diagnostic le plus probable :
a. Adénome corticotrope
b. Adénome Thyréotrope
c. Adénome à prolactine
d. Adénome gonadotrope
e. Aucune réponse n’est juste
67. Pour confirmer cette hypothèse, on devra compléter par :
a. Un scanner cérébral
b. Une IRM hypothalamo-hypophysaire
c. Une échographie mammaire
d. Une échographie pelvienne
e. Un dosage du cortisol libre urinaire
68. Le traitement consiste :
a. La mise en route d’agonistes dopaminergiques
b. Une adénomectomie par voie transsphénoidale
c. Mise en route d’antithyroïdiens de synthèse
d. Mise en route de L-thyroxine
e. Abstention thérapeutique
Cas clinique 17:
Mr D. âgé de 45 ans, se plaint de céphalées chroniques surtout au niveau frontale légèrement améliorées
sous traitement antalgique. Il dit avoir changé de pointure de chaussures, il est passé du 40 au 43 en
quelques années, il porte plus son alliance car elle est devenue trop serrée.
69. L’examen clinique met en évidence un syndrome dysmorphique fait de :
a. Rétrognatisme
b. Prognatisme
c. Saillie des arcades sourcilières

Page 141:Ataraxie
d. Nez épaté
e. Vergetures pourpres
70. Le diagnostic le plus probable :
a. Une acromégalie
b. Une hyperprolactinémie
c. Une hypothyroïdie
d. Un hypercorticisme
e. Aucune réponse n’est juste
Cas clinique 18:
Une patiente de 46 ans, ayant comme antécédents : notion d’un diabète gestationnel lors de son dernier
accouchement qui date de 8 ans, une mère diabétique type 2. Elle consulte pour une glycémie à 1.80 g/l
découverte lors d’un bilan systématique.
L’examen clinique trouve une patiente avec poids 90 kg, Taille 1,70 m avec un IMC 31 kg/m2 et un tour de
taille excessive à 90 cm.
71- Pour asseoir le diagnostic chez cette patiente. Par quel examen doit-on compléter ?
a. Refaire une glycémie à jeun
b. Une glycémie post prandiale
c. Une hyperglycémie provoquée par voie orale à 75 g de glucose
d. Une HBA1C
e. Aucune réponse n’est juste
72- Le diagnostic d’un diabète sucré est retenu chez cette patiente. Votre prise en charge consistera en la
prescription :
a. D’une alimentation équilibrée pauvre en sucres rapides
b. D’une alimentation équilibrée riche en graisses saturées
c. D’une perte de poids
d. D’une activité physique régulière
e. D'une alimentation équilibrée riche en fibres
73- La surveillance chez cette patiente consistera en :
a. Un examen clinique trimestriel
b. Un dosage de l’HBAlC chaque trimestre
c. Un dosage de l’HBAlC annuellement
d. Un Dosage annuel de la créatinine
e. Un examen ophtalmologique avec un fond d’oeil annuel
74- La patiente était mise sous metformine. Les contres indications possibles chez cette patiente seront :
a. Une insuffisance rénale avec une clairance inférieure à 50 ml/min
b. Une fonction rénale conservée avec une clairance de la créatinine correcte
c. Une insuffisance cardiaque décompensée
d. Une insuffisance respiratoire aigue
e. Une infection sévère
Cas clinique 19:
Patiente de 30 ans, suivie pour une hypertension artérielle sous traitement depuis un mois, consulte pour
une prise excessive du poids avec bouffissure du visage et apparition de vergetures pourpres au niveau de
l'abdomen.
75- L’interrogatoire et l’examen clinique doit chercher :
a. Une atrophie musculaire prédominant aux racines
b. Un épaississement cutané
c. Une fragilité capillaire
d. Céphalées
e. Un hirsutisme
76- Pour confirmer votre présomption diagnostique, vous allez compléter par :

Page 142:Ataraxie
a. Prolactine
b. FSH
c. Cortisol libre urinaire de 24hoo
d. TSH
e. Freinage minute
Cas clinique 20:
Une fille de 17 ans, sans antécédents pathologiques notables, qui consulte pour une absence de
développement des glandes mammaires. L’examen clinique note : seins et pilosité pubienne stade I de
Tanner avec une taille et un poids dans la moyenne par rapport à la courbe de croissance.
77- L’interrogatoire et l’examen clinique doit chercher aussi :
a. Une anosmie ou hyposmie
b. Un syndrome polymalformatif
c. Un syndrome tumoral hypophysaire
d. L’âge de puberté dans la famille
e. Une irradiation crânienne
78- Chez cette patiente, il faudra :
a. Réaliser un âge osseux
b. Doser l’oestradiol, FSH, LH
c. Réaliser un caryotype si hypogonadisme hyper gonadotrope
d. Réaliser une IRM hypothalamo-hypophysaire si hypogonadisme hyper gonadotrope
e. Aucune réponse n’est juste
79- Le bilan objective un hypogonadisme hypogonadotrope ; les étiologies les plus probables sont :
a. Un syndrome de turner
b. Un syndrome de Kallaman demorsier
c. Un craniopharyngiome
d. Une ovarite auto-immune
e. Un déficit gonadotrope isolé idiopathique
Cas clinique 21:
Mlle Leila, 20 ans, consulte pour un amaigrissement alors qu'elle a un appétit augmenté, elle est agitée,
irritable et a les mains qui tremblent.
A l'examen, la patiente a les mains moites et tremblantes, Son pouls est à 100 b/min, vous remarquez
aussi une protrusion bilatérale des deux globes oculaires.
80- Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Thyrotoxicose factice
B- Adénome toxique
C- Goitre multi-hétéronodulaire toxique
D- Maladie de Basedow
E- Thyroïdite d'Hashimoto
81- Qu'allez vous trouver à l'examen de la thyroïde ?
A- Goitre diffus
B- Goitre hétérogène
C- Goitre élastique
D- Goitre douloureux à la palpation
E- Souffle à l'auscultation de la thyroïde
82- Quels sont les résultats de vos examens complémentaires ?
A- TSH us effondrée
B- TSH us normale
C- TSH us augmentée
D- Scintigraphie thyroïdienne blanche
t- Scintigraphie thyroïdienne une hyperfixation intense et homogène

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83- Quels sont les éléments de votre traitement ?
A- Repos
B- Bêtabloquants cardioséléctifs
C- Antalgiques
D- Antithyroïdiens de synthèse
E- Hormonothérapie substitutive
84- Le traitement médical dans ce cas devra couvrir une durée de :
A- 2 mois
B- 6 mois
C- 3 ans
D- à vie
E- 18 mois
85- Quels sont les éléments de votre surveillance ?
A- Thyroglobuline
B- TSHus toutes les 3 semaines
C- T4L tout les 4 semaines jusqu'à normalisation
D- Anticorps anti TG
E- Anticorps anti TPO
Cas clinique 22:
Mr N, 48 ans, adressé pour une hyperglycémie à 2,40 g/l réalisée dans le cadre d’un syndrome polyuro
polydipsique évoluant depuis 2 mois associé à une asthénie. A l'examen : la TA = 154/96 mmHg ; poids =
96 kg ; T = 1,72m.
86- Quel sera votre bilan biologique ?
A- Bilan lipidique
B- Bilan rénal
C- HbAlc
D- Faire une hyperglycémie provoquée par voie orale
E- Refaire une glycémie pour confirmer le diagnostic
87- Quel sera votre bilan dégénératif
A- Pond d'oeil
B- Coronarographie
C- ECG de repos
D- Echographie rénale
E- Protéinurie des 24h
88- Ce bilan dégénératif doit être fait
A- Au moment du diagnostic du diabète
B- En cas de signe d'appels cliniques
C- Après Bans d'évolution du diabète
D- A la fin de la première année du diagnostic du diabète
E- Après 10 ans d'évolution
89- Votre prescription diététique consiste en :
A- Alimentation hypocalorique
B- Alimentation normocalorique
C- Privilégier les sucres d'absorption rapides
D- Privilégier la consommation des fruits après et entre les repas -
E- Interdire la consommation de fruits
90- Le (ou les) objectif(s) thérapeutiques chez un jeune diabétique de type 2 sont :
A- TA< 150/90 mmHg
B- HBAIC < 9%
C- Glycémie à jeun < 1,8 g/l

Page 144:Ataraxie
D- LDL cholestérol < 1,9 g/l
E- Aucune réponse n’est juste
91- Le traitement antidiabétique à prescrire en première intention :
A- Un biguanide
B- Un sulfamide
C- Un glinide
D- Un inhibiteur de DPP4
E- Un analogue de GLP1
Cas clinique 23:
Mlle F, 20 ans, consulte pour un amaigrissement alors qu’elle a un appétit augmenté, elle est agitée,
irritable et a les mains qui tremblent.
A l’examen, la patiente a les mains moites et tremblantes, Son pouls est à 120 b/min.
92- Quel est le diagnostic le plus probable ?
A. Une hypothyroïdie
B. Une hyperthyroïdie
C. Une insuffisance surrénalienne
D. Une hypocalcémie
E. Aucune de ces réponses n'est correcte.
93- Quel est le premier bilan biologique à demander ?
A. TSH us
B. Thyroglobuline
C. Anticorps anti TPO
D. LT3
E. Cortisol de 8h
94- Quels sont les résultats de vos examens complémentaires ?
A. TSH us effondrée
B. LT4 basse
C. TSH us augmentée
D. Cortisol de 8h bas
E. LT3 basse
Cas clinique 24:
Mr S.N, 56 ans, diabétique depuis 4 ans, consulte pour une asthénie persistante. Actuellement traité par
Metformine (850 mg x2 / jour), il prend également une statine (Simvastatine 20 mg) depuis 6 ans.
Le bilan biologique montre les résultats suivants : HbAlc = 9 %, LDL-c =1,23 g/1, HDL -c = 0,29 g/1,
Triglycérides=2,94 g /I.
Tabagique chronique à raison d’un paquet par jour.
Son IMC est égal à 30,5 Kg/m2
95- Les facteurs de risque cardio-vasculaire retrouvés chez ce patient sont:
A. Age supérieur à 50 ans
B. HDL-C élevé
C. Antécédent de tabagisme
D. LDL élevé
E. Une obésité
96- Les objectifs thérapeutiques chez ce patient sont :
A. Ramener l'hémoglobine glyquée en dessous de 7 %
B. Baisser son LDL c
C. Diminuer le taux de Triglycérides
D. Sevrage tabagique
E. Prise de poids
97- Ce patient doit bénéficier annuellement :

Page 145:Ataraxie
A. Dosage de l'hémoglobine glyquée
B. Examen ophtalmologique avec fond d’oeil
C. ECG
D. Exploration d’une anomalie lipidique
E. Dosage de la micro albuminurie de 24h00
Cas clinique 25:
Une femme de 35 ans a bénéficié d'une thyroïdectomie total sous traitement substitutif par de la
L-thyroxine a été instauré d'emblée.
Un mois après la thyroïdectomie totale, la patiente rapporte la notion de frilosité, prise de poids et
constipation.
98- Quel est le diagnostic le plus probable :
A. Une hypothyroïdie secondaire à un sous dosage en L thyroxine
B. Une hyperthyroïdie secondaire à un sus dosage en L thyroxine
C. Une hypoparathyroidie post thyroïdectomie totale
D. Un hypercorticisme
E. Aucune réponse n’est juste.
Cas clinique 26:
Mr Ali, âgé de 65 ans sans antécédents notables, consulte car il s'est aperçu qu'il avait une masse au
niveau du cou, celle-ci est totalement indolore.
A l'examen, vous trouvez une formation arrondie, volumineuse et dure au niveau du lobe droit de la
thyroïde. Le reste de l'examen clinique est sans particularité.
99- Quel est le premier examen biologique à réaliser ?
A- LT4
B- LT3
C- TSH
D- TSH, LT3, LT4
E- Anticorps anti TPO
100- Cet examen est normal, une échographie est réalisée, qui trouve des éléments suspects de malignité.
Quels peuvent être ces éléments ?
A- Caractère multiple
B- Des adénopathies cervicales
C- Hyperéchogène
D- Contours irréguliers
E- Présence de micro-calcification
101- Quel examen complémentaire devez-vous alors réaliser ?
A- Anticorps anti TPO
B- TSH
C- Cytoponction thyroïdienne
D- Thyroglobuline
E- Scintigraphie thyroïdienne
Cas clinique 27:
Patiente de 60 ans, sans antécédents pathologiques notables, qui présente depuis un mois des
palpitations, des diarrhées, une thermophobie avec notion d’amaigrissement chiffré à 04 kg.
A l’examen cervical, on trouve une glande thyroïde augmentée de taille, à surface irrégulière.
102- L’examen clinique doit chercher aussi :
a. Un tremblement fin des extrémités
b. Un myxoedème
c. Une exophtalmie
d. Une dépilation au niveau de la queue des sourcils
e. Un pouls vibrant

Page 146:Ataraxie
103- Au bilan biologique, on s’attend à une :
a. TSH basse
b. TSH élevée
c. LT4 basse
d. LT4 élevée
e. LT3 élevée
104- En fonction de votre orientation diagnostique. Doit-on compléter par :
a. Une échographie cervicale + doppler
b. Une scintigraphie thyroïdienne
c. Dosage des AC anti RTSH
d. Une IRM cervicale
e. Aucune réponse n’est juste
105- Le traitement radical d’un goitre multi nodulaire toxique repose sur :
a. Une chirurgie thyroïdienne
b. Une Ira thérapie à l’iode 131
c. Les bêtabloquants non cardio-sélectifs
d. Les antithyroïdiens de synthèse
e. L thyroxine
Cas clinique 28:
Mr N, 21 ans, suivi pour un diabète de type 1, présente un syndrome polyuropolydipsique depuis une
semaine associé à des douleurs abdominales diffuses et à des nausées.
106- Le diagnostic le plus probable :
A. Une décompensation acido-cétosique
B. Une hypoglycémie
C. Une hyperglycémie hyperosmolarité
D. Une acidose lactique
E. Aucune proposition n'est juste
Cas clinique 29:
Mr Ali, âgé de 65 ans, consulte car il s’est aperçu qu’il avait une masse au niveau du cou, celle-ci est
totalement indolore et il est lui-même indemne de tout antécédent.
A l’examen, vous retrouvez une formation arrondie volumineuse et dure au niveau du lobe droit de la
thyroïde. Le reste de l’examen clinique est sans particularité.
107- Quel est le premier examen complémentaire à réaliser ?
A. Une échographie cervicale
B. Une scintigraphie thyroïdienne
C. Une TDM cervicale
D. Une IRM cervicale
E. Une radiographie thoracique de face
Cas clinique 30:
Une malade de 42 ans est traitée depuis 5 ans pour une insuffisance surrénale lente (Une maladie
d’Addison). Elle consulte aux urgences pour des vomissements depuis 2 jours, diarrhées et des douleurs
abdominales. L’examen clinique trouve une patiente altérée, avec des signes de déshydratation, une TA
90/50 mmhg avec une hypotension artérielle.
108. Le diagnostic le plus probable chez cette patiente est :
a. Une gastroentérite aiguë
b. Une insuffisance surrénalienne aiguë
c. Une décompensation acido-cétosique
d. Une hypertension intracrânienne
e. Aucune réponse n’est juste

Page 147:Ataraxie
Traumatologie Orthopédie Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Traumatologie Orthopédie
-( 2013 -2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 180 questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1. Fractures de l’extrémité supérieure de l’Humérus ( 5 questions )


1.Les fractures de l'extrémité proximale de l'humérus
A- Sont des fractures fréquentes du sujet âgé
B- Les fractures articulaires peuvent évoluer vers une nécrose de la tête humérale
C- Les fractures sous tubérositaires sont des fractures à trois fragments selon NEER
D- L'ouverture cutanée est la principale complication des ces fractures
E- Le traitement est toujours chirurgical
F- Une fracture sous tubérositaire se complique souvent d'une nécrose céphalique
G- Le scanner est indispensable pour l'analyse de la fracture articulaire
H- Les fractures sous tubérositaires sont des fractures à deux fragments selon NEER
I- Le choix entre ostéosynthèse et prothèse dépend uniquement de l'âge du patient
J- La prothèse inversée est indiquée chez le sujet âgé dans les fractures à 4 fragments
K- La prothèse inversée est indiquée chez le sujet âgé dans les fractures à 4 fragments déplacées
L- Une fracture céphalotubérositaire peut se compliquer d'une nécrose céphalique
M- Une incidence de face est suffisante pour analyser la fracture
N- Le choix entre ostéosynthèse et prothèse dépend du type fracturaire
O- Le choix entre ostéosynthèse et prothèse dépend de l'âge du patient
P- Le diagnostic des fractures est basé uniquement sur la radiographie standard
Q- Les fractures à deux fragments correspondent au stade 1 selon NEER
R- Le traitement orthopédique peut être indiqué dans ces fractures
S- La prothèse inversée de l'épaule n'est pas indiquée dans le traitement de ces fractures
T- Les fractures articulaires menacent la vascularisation de la tête humérale
U- Les fractures sous tubérositaires sont des fractures à quatre fragments selon NEER
V- La raideur de l'épaule est la principale complication des ces fractures
W- Le diagnostic des fractures complexes est basé sur le scanner
X- Peuvent s'associer à une luxation de l'épaule
Y- Le traitement orthopédique est la règle
Z- La pseudarthrose est la principale complication des ces fractures
2. les fractures de l'humérus proximal :
A-Sont les fractures les plus fréquentes chez les personnes âgées
B-Intéressent la diaphyse humérale
C-La raideur de l'épaule est la complication la plus redoutable
D-Le traitement ne peut être que chirurgical
E-La classification de Garden est la plus adoptée pour classer ces fractures
F-Elles occupent le 3ème rang des fractures du sujet âgé.
G-L' examen clinique doit rechercher surtout une complication vasculo-nerveuse.

Page 148Ataraxie
H-Le traitement orthopédique est indiqué dans les fractures engrenées non déplacées,
I-La rééducation conditionne le résultat fonctionnel.
J-L‘omarthrose est la principale complication de ces fractures
3. A propos de La fracture du col chirurgical de l'humérus
A- La nécrose de la tête humérale n’est pas fréquente
B- La pseudarthrose est fréquente
C- La paralysie du nerf radial est la principale complication
D- Le mécanisme lésionnel est souvent une fracture ouverte
E- Une prothèse céphalique est indiquée chez le sujet jeune
QR 1:
4.Le traitement des fractures de l’extrémité supérieur de l’humérus
QR 2:
Fracture de L'extrémité supérieure de l'humérus :
5.a-Classification
5.b-Modalités thérapeutiques

2. Lésions méniscales du genou ( 13 questions )


1.les lésions méniscales
A- la méniscectomie externe donne des mauvais résultats par rapport au ménisque interne,
B- la fente verticale touche surtout la corne postérieure du ménisque interne,
C- la radiographie standard est nécessaire pour évaluer une arthrose associée,
D- les lésions proches du mur méniscal ont un potentiel de cicatrisation meilleur par rapport au bord libre.
E- la méniscectomie doit être toujours réalisée à ciel ouvert.
F- Une entorse du genou peut s'accompagner d'une lésion méniscale
G- Un flessum de 15° peut être causé par une lésion méniscale
H- En cas de lésion méniscale isolée, on ne retrouve jamais d'épanchement
I- Un signe de McMurray positif signe une lésion méniscale
2. A propos des lésions méniscales du genou, lesquelles de ces propositions sont justes :
A- Le blocage méniscal traduit une lésion de type 111 selon TRILLAT
B- Le ménisque discoïde est souvent de localisation médiale
C- La suture méniscale n'est justifiée que pour les lésions situées en zone rouge-rouge voire en zone
rouge-blanche sur un genou stable
D- La méniscectomie partielle se fait souvent à ciel ouvert
E- Les méniscectomies externes sont les plus arthrogènes
3.Les lésions méniscales sont évoquées devant une:
A- Une sensation de corps étranger intra-articulaire
B- Un pseudo-blocage de L'articulation
C- Une douleur à l'accroupissement
D- Un Flessum du genou
E- Une Douleur au repos
4. Parmi les propositions suivantes, laquelle (s) suggère(nt) une douleur d'origine méniscale :
A- Sensation de corps étranger intra-articulaire
B- Douleur entraînant un pseudo-blocage de l'articulation
C- Douleur à l'accroupissement
D- Flessum du genou
E- Douleur au repos

Page 149Ataraxie
5. Les lésions du ménisque externe, l’examen clinique trouve :
A- Une douleur sur l’interligne interne
B- Un signe de rabot positif
C- Un "grinding test" positif en rotation interne . ,
D- Un signe de Mac Murray positif
E- Une amyotrophie du quadriceps
6. A propos d'une lésion du ménisque externe
A- Une amyotrophie du quadriceps est toujours présente
B- Un grinding test positif en rotation interne
C- Point douloureux interne à la palpation
D- Le risque arthrogène est supérieur en cas-de méniscectomie
E- Aucune proposition n'est juste
7. Les lésions du ménisque interne, l'examen clinique trouve :
A- Une douleur sur l'interligne interne
B- Un "grinding test*' positif en rotation externe
C- Un signe de Mac Murray positif
D- Une amyotrophie du quadriceps
E- Une douleur sur l'interligne interne au point méniscal interne
F- Une douleur lors du cri méniscal
G- Un "grinding test" positif en rotation interne
H- Un signe de rabot positif
I- Un fexum du genou est en faveur d'une lésion en anse de seau
8. Un jeune patient qui se présente pour des douleurs du genou. Vous suspectez chez lui une lésion du
ménisque interne . Quel (s) est (sont) le (s) signe (s) clinique (s) que vous devez rechercher chez lui :
A- Une douleur sur l'interligne interne
B- Un signe de rabot positif ,
C- Un grinding test positif en rotation externe
D- Un signe de Mac Murray positif
E- Une amyotrophie du quadriceps
9. Une lésion méniscale interne en anse de seau du genou est fortement évoquée par l'un des signes
d'examens suivants :
A- Une hémarthrose importante
B- Une douleur nette sur l’interligne interne
C- Un test de Mac Murray positif
D- Un flexum élastique de 20 degré
10. A propos des lésions méniscoligamentaires du genou;
A- Les ruptures verticales du ménisque s'observent plus volontiers chez les sportifs
B- Les ruptures horizontales sont plus d'origine dégénérative
C- Une rupture au-delà de 5 mm du mur périphérique n'a que peu de chances de guérir seule
D- Le ménisque discoïde est d'origine traumatique
E- Le grinding test recherche une lésion méniscale
11. A propos des lésions ménisco-ligamentaires du genou; parmi ces énoncés, un seul est faux. Lequel ?
A-Les ruptures verticales du ménisque s’observent plus volontiers chez les sportifs
B-Les ruptures horizontales sont plus d'origine dégénérative
C-Le ménisque discoïde est d'origine traumatique
D-Le grinding test recherche une lésion méniscale
QR 1:
12. Diagnostic et traitement d’une lésion méniscale post-traumatique chez un adulte jeune

Page 150Ataraxie
QR 2:
13. Diagnostic d’une lésion méniscale interne du genou post traumatique.

3. Laxités chroniques du genou ( 10 questions )


1. Le LCA :
A- Contrôle la translation postérieure
B- Evite le tiroir antérieur
C- Sa rupture est toujours isolée
D- Ne cicatrise pratiquement jamais
E- Peut être traité par simple suture
2. Les lésions du ligament croisé antérieur (LCA)
A- Le test de trillat lachman est pathognomonique des laxités chroniques,
B- La plastie type Kenneth Jones (tendon rotulien) peut donner des douleurs au site de
prélèvement,
C- la majorité des ligamentoplasties est réalisée selon la technique KJ ou DIDT.
D- Les suites opératoires des ligamentoplasties à ciel ouvert sont meilleures par rapport à
l’arthroscopie.
E- La clé du succès des ligamentoplasties est le bon positionnement de la greffe.
3.A propos des ruptures du ligament croisé antérieur:
A-L'examen clinique recherche une instabilité
B- La radiographie est demandée pour éliminer une fracture
C-L'IRM permet de confirmer le diagnostic
D- La raideur du genou est la principale complication
E-Un test de Lachman positif est pathognomonique
F- La radiographie dynamique en stress est demandée pour éliminer une fracture
G- Les lésions méniscales du genou sont la principale complication
H- Un test de Jobe positif est pathognomonique
I- L'examen clinique recherche un tiroir antérieur
J- Le bilan radiologique comporte une goniométrie
K- Un test de gerber positif est pathognomonique
L- L'examen clinique recherche une hémarthrose
M- La fracture de Segond (avulsion marginale de l'épiphyse tibiale externe) est un signe de
rupture du ligament croisé antérieur
4. La rupture du ligament croisé antérieur
A- Est associée à une lésion du ménisque interne dans le mécanisme VARFI
B- Est associée à une lésion du LLi dans le mécanisme VALFE
C- L'IRM n’est pas fiable pour le diagnostic de rupture
D- Cicatrise spontanément en 6 semaines
E- La manœuvre de Lachman s'effectue sur le genou fléchi à 90° est négative.
F- L’IRM est indispensable pour établir le diagnostic
G- Le tiroir global antéro postérieur peut être mesuré par un arthromètre
H. Une ligamentoplastie par le tendon rotulien s'impose chez le sujet sédentaire.
I- La manoeuvre de lachman se pratique sur un genou fléchi à 90°
J- La ligamentoplastie est le traitement chirurgical chez le sujet jeune
K- Le tiroir antéropostérieur peut être mesuré par un arthromètre
L- L'instabilité du genou est une complication habituelle

Page 151Ataraxie
5. Parmi les signes cliniques d'une rupture du ligament croisé antérieur
A- L'instabilité fonctionnelle
B- Le signe de lachman
C- Le signe de ressaut rotatoire
D- Le tiroir antérieur en flexion
E- Le grinding test d'Appley
6. La présence d'un tiroir antérieur à l'examen clinique du genou témoigne d'une lésion du :
A- Ligament poplité
B- Ligament latéral interne
C- Ligament croisé antéro latéral
D- Ligament croisé postéro latéral
E- Aucune réponse juste
7. Quels examens paracliniques permettent le diagnostic d’une lésion du ligament croisé antérieur:
A- L’IRM
B- L'échographie
C- Les radiographies dynamiques en stress
D- La TDM
E- La scintigraphie
8. Quels sont les complications habituelles d'une rupture du ligament croisé antérieur :
A- Instabilité du genou
B- Raideur du genou
C- Algodystrophie
D- Lésions des ménisques
E- Lésions ostéochondrales .
A- thrombophlébite
QR 1:
9. Diagnostic d’une laxité chronique antérieure par rupture du Ligament croisé antérieur
QR 2:
10. Diagnostic d’une laxité chronique du genou par rupture isolée du LCA.

4. Pathologie de la coiffe des rotateurs ( 14 questions )


1. Les muscles de la coiffe des rotateurs de l’épaule sont :
A- Le subscapulaire
B- L'infra Épineux
C- Le teres major
D- Le teres minor
2. Les manoeuvres recherchant un conflit sous acromial sont :
A- La manoeuvre de Yocum
B- La manoeuvre de Thomas
C- La manoeuvre de Hawkins
D- La manoeuvre de Neer
3. Indiquer les propositions vraies concernant l'examen de la coiffe des rotateurs
A- Le signe de Patte cherche une atteinte du sous scapulaire
B- Le signe de jobe cherche une atteinte du sous épineux
C- Le signe de Gerber cherche une atteinte du biceps
D- Le palm up test cherche une atteinte du biceps
F- L'amyotrophie de la fosse sous épineuse est en faveur d'une atteinte du sous épineux

Page 152Ataraxie
4. Cochez la ou les réponses justes :
A- La manoeuvre de Yocum permet de rechercher une rupture de la coiffe des rotateurs
B- La manoeuvre de Hawkins se fait coude fléchi à 90 *
C- La manoeuvre de Jobe teste le supra-épineux
D- La manoeuvre de Patte teste le sous-scapulaire
E- Le palm-up test teste le petit rond
5. Le test de clairon positif évoque :
A- Une lésion du petit rond
B- Une lésion des rotateurs externes
C- Une lésion du sous scapulaire
D- Une lésion du sous épineux
E- Une lésion du sus épineux
F- Une lésion du biceps
6. Les signes radiologiques en faveur d’une lésion de la coiffe des rotateurs sont :
A- Densification du trochiter
B- Diminution de l’espace sous acromial
C- Calcification dans l'espace sous acromial
D- Débord acromial excessif (acromion crochu )
E- Toutes les propositions sont justes
7. Devant une radiographie de l’épaule, les signe en en faveur d’un conflit sous acromial sont:
A- Densification du trochiter
B- Diminution de l’espace sous acromial
C- Arthrose acromioclaviculaire
D- Débord acromial excessif
E- Géodes sous chondrale de la tête humérale
8. La classification de la morphologie de l'acromion :
A- Est appelée classification de Neer
B- Est importante à rechercher dans les conflits antéro-internes
C- Est importante à rechercher dans les conflits postéro-supérieurs
D- Le type II correspond à un acromion plat
E- Le type III correspond à un acromion en crochet
9. La pathologie de la coiffe des rotateurs
A-L'atteinte du sous scapulaire est la plus fréquente.
B-la douleur typique est une douleur antérieure ne dépassent pas le coude
C-la radiographie standard est toujours indiquée dans le diagnostic des ruptures de la coiffe
D-Le traitement est toujours chirurgical
E-La réinsertion tendineuse est indiquée en cas de rupture massive de la coiffe
F- L’atteinte du sus épineux est la plus fréquente.
G- Les indications thérapeutiques dépendent uniquement du degré de dégénérescence graisseuse.
H- Le traitement par acromioplastie - ténotomie- ténodèse biceps est toujours associé au geste de
réinsertion tendineuse.
I- La réparation se fait à ciel ouvert ou mieux par arthroscopie.
J- La rééducation a une place capitale en termes de résultats après réparation de coiffe.
10. A propos des lésions de la coiffe des rotateurs
A- la douleur typique est une douleur antérieure irradiant vers le poignet,
B- la radiographie standard n’a pas de place dans le diagnostic des ruptures de la coiffe,
C- l’IRM permet de planifier le traitement chirurgical.
D- l’IRM permet de préciser les degrés de la rétraction tendineuse.
E- une ascension de la tête humérale est en faveur d’une rupture de la coiffe.

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11. A propos des ruptures de la coiffe des rotateurs
A- La longue portion du biceps est un tendon de la coiffe des rotateurs
B- L'IRM n'est pas fiable pour le diagnostic de rupture
C- Peuvent être réparées par sutures simples
D- Le traitement dépend uniquement de l'âge du patient
E- Le traitement est chirurgical en cas de rupture transfixiante de la coiffe
F- Elles se compliquent souvent d'une nécrose de la tête humérale
G- La TDM permettra d'analyser le degré de la dégénérescence musculaire
H- Le tendon sous épineux est exploré par la manoeuvre de patte
I- Le traitement dépend uniquement du type anatomopathologique de la lésion
J- L'arthroscanner permettra d'analyser le degré de rétraction de tendon
K- L'IRM permettra d'analyser l'infiltration graisseuse du muscle
L- L'amyotrophie de la fosse sous épineuse est en faveur d'une atteinte du sus épineux
M- Le traitement chirurgical ne dépend pas de l'âge du patient
N- Une arthroplastie totale inversée est indiquée au stade d'omarthrose excentrée par rupture
massive de la coiffe des rotateurs
O- l'intérêt du scanner est d’analyser l’infiltration graisseuse du muscle
P- L’évolution peut se faire vers une omarthrose excentrée
Q- L'arthro IRM permettra d'analyser le degré de rétraction de tendon
R- L’atrophie graisseuse est un facteur de mauvais pronostic
S- Le traitement chirurgical dépend uniquement de l'âge du patient
T- Le tendon sus épineux est exploré par la manoeuvre de Jobe
U- Le signe de Clairon traduit une rupture des tendons sous épineux et petit rond
V- L'IRM permettra d'analyser le degré de la dégénérescence musculaire
W- L'acromioplastie trouve ses indications dans Le traitement du conflit sous acromial
X- Elles peuvent se compliquer d'une omarthrose excentrée
Y- Le traitement dépend de l'âge du patient et du type anatomopathologique de la lésion
Z-Le traitement est toujours chirurgical
Z1- L'athroscopie de l'épaule n'est pas indiqué dans le traitement des ces ruptures
12. Devant une rupture de la coiffe des rotateurs:
A- La Manoeuvre de JOBE explore l’infra épineux
B- La réinsertion chirurgicale s'imposent surtout chez le sujet jeune avec coiffe non dégénérées
C- Le Traitement palliatif peut se contenter d’une ténotomie du biceps
D- La présence d’une omarthrose contre indique une arthroplastie totale inversée
13. En cas de rupture massive de la coiffe des rotateurs (épaule pseudo- paralytique) le traitement consiste
en :
A- Prothèse totale de l’épaule inversée.
B- Prothèse céphalique.
C- Réinsertion tendineuse.
D- Acromioplastie.
E- Aucune réponse juste.
14. En faveur d'une rupture ancienne de la coiffe des rotateurs, vous pouvez retrouver sur les
radiographies standards :
A- Déminéralisation hétérogène de la tête humérale
B- Calcification se projetant dans l'espace acromio-claviculaire
C- Ascension permanente de la tête humérale
D- Remaniement trochitérien avec condensation
E- Subluxation inférieure dé là tête humérale

Page 154Ataraxie
5. Fractures du Col Fémoral ( 7 questions )
1. A propos des fractures du col fémoral
A- Sont fréquentes chez le sujet jeune
B- Dans les fractures Garden 2 les deux fragments sont engrenés en coxa vara
C- La raideur de la hanche est une complication fréquente
D- Le traitement prothétique est indiqué chez le sujet âgé.
E- Le traitement par vissage est indiqué chez le sujet jeune
F- Les fractures Garden IV sont de pronostic favorable
G- L'embolie graisseuse est une complication habituelle
H- La nécrose de la tête fémorale est une complication fréquente
I- Le traitement conservateur est indiqué chez le sujet jeune.
J- Surviennent principalement chez le sujet âgé.
K- L'embolie graisseuse est une complication fréquente.
L- La classification utilisée est celle de Duparc
M- Le traitement conservateur est indiqué chez le sujet âgé.
N- Le traitement chirurgical chez le sujet jeune consiste à une ostéosynthèse par clou gamma
O- Les fractures Garden II sont de pronostic favorable
P- Dans les fractures Garden VI les deux fragments sont engrenés
Q- Le alternent conservateur (ostéosynthèse) est indiqué chez le sujet jeune.
R- Il faut prévenir ces fractures en traitant l'ostéoporose chez le sujet âgé
S- Sont fréquentes chez le sujet âgé
T- Dans les fractures Garden 3 les deux fragments sont engrenés en coxa vara
U- La nécrose de la tête fémorale est une complication rare
V- Les clichés ¾ alaine font partie du bilan radiologique
W- Dans les fractures Garden 1 les deux fragments sont engrenés en coxa vara
Y- Le traitement orthopédique est indiqué chez le sujet jeune
Z- La fracture du col du fémur peut compromettre la fonction de la hanche chez le sujet
jeune mais elle met également la vie en danger chez le sujet âgé
Z1- Si je vois en salle d'urgence un vieillard sur un brancard avec le pied en rotation externe,
je suspecte une fracture extra-capsulaire de l'extrémité proximale du fémur
2. lors d’une fracture du col du fémur , le pronostic vital est engagé à cause de :
A- Les complications de décubitus
B- La nécrose de la tête fémorale
C- La pseudarthrose
D- Un cal vicieux
E- Le retard de la prise en charge
3. Les objectifs du traitement des fractures du col du fémur chez les personnes âgées
A- La verticalisation du patient
B- La prévention des complications de décubitus
C- L'horizontalisation du patient
D- Préserver la vie du patient
E- Préserver la vitalité de la tête fémorale
4. Le traitement le plus adéquat d’une fracture du col du fémur de type Garden II chez un sujet actif et en
bon état général âgé de 40 ans sera :
A- une traction suspension
C- une arthroplastie par prothèse totale de hanche
D- une prothèse intermédiaire de la hanche
E- une ostéosynthèse par un double vissage

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5. Les fractures du col du fémur isolées des personnes âgées, quelle proposition ne correspond
pas à leurs complications habituelles :
A- La coxarthrose
B- La pseudarthrose
C- La nécrose de la tête fémorale
D- La maladie thrombo-embolique
E- L'embolie graisseuse
6. La nécrose de la tête fémorale
A- Peut être due à un retard thérapeutique
B- Se voit toujours avant le 6ème mois
C- Est due à une lésion des branches de l’artère circonflexe postérieure
D- Ne se voit qu’après une fracture à grande déplacement
E- Est liée au siège intracapsulaire de la fracture
QR 1:
7. Indications chirurgicales dans le stade IV des fractures du col fémoral d’un sujet de plus de 60 ans.

6. Arthroplastie de la Hanche ( 8 questions )


1. A propos des prothèses de la hanche
A- les prothèses céphaliques nécessitent un forage du cotyle
B- les prothèses céphaliques sont des têtes fixées sur une tige implantée dans la diaphyse fémorale
C- les prothèses intermédiaires nécessitent un forage du cotyle
D- les prothèses totales correspondent à un double remplacement prothétique
E- la prothèse de Moore est une PTH
2.A propos des prothèses totales de hanche (RIHl)
A- La coxarthrose est la principale indication de la PTH.
B- La PTH à double mobilité est constituée d’un cotyle rétentif.
C- L'infection, le descellement et la luxation sont les principales complications après PTH.
D- Le couple de frottement est un facteur important de la longévité d’une prothèse,
E- L’ancrage des PTH cimentées se fait grâce à l'hydroxyapatite.
3. Quelles sont les indications d'une prothèse totale de hanche :
A- Fracture fraîche du col fémoral chez le sujet jeune
B- Coxarthrose
C- Coxites inflammatoires
D- Nécrose de la tête fémorale
E- Séquelles des malformations congénitales
F- Ostéonécrose de la tête fémorale
G- Coxarthrose post-traumatique
H- Coxarthrose sur dysplasie de la hanche
I- Fracture du col fémoral chez un sujet de moins de 50 ans
J- Coxite sur Polyarthrite rhumatoïde
4. La coxarthrose est une affection fréquente qui nécessite souvent un traitement chirurgical. Quelle est
l'affirmation erronée ?
A- La coxarthrose destructrice rapide nécessite généralement une arthroplastie totale de hanche
B- La dysplasie subluxante de hanche chez l'adulte est bien tolérée et ne se complique que tardivement
d'arthrose
C- La dysplasie cotyloïdienne devenant douloureuse chez un jeune adulte justifie régulièrement une
opération correctrice (butée ostéoplastique ou d'une ostéotomie de réorientation du cotyle)
D- Malgré les progrès et les recherches, la prothèse totale cimentée de type Chamley reste le "golden

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standard" lorsqu'il s’agit de traiter chirurgicalement une coxarthrose douloureuse chez un septuagénaire
5. A propos de la coxarthrose :
A- Une luxation traumatique de la hanche peut évoluer vers une coxarthrose
B- La douleur mécanique est le premier symptôme
C- Les géodes sous chondrales sont des signes radiologiques en faveur de la coxarthrose
D- Une ostéotomie tibiale de valgisation est indiquée chez le sujet jeune
E- La PTH est indiquée au stade avancé d'arthrose
6. Quels signes radiologiques inhabituels dans la coxarthrose
A- Un pincement supéro-externe de l’interligne coxo-fémorale
B- Déminéralisation sous chondrale
C- Ostéophytes
D- Image en coquille d’oeuf
E- Géodes sous chondrales
7. Les complications de la prothèse totale de la hanche
A- La luxation
B- Le descellement
C- Les infections
D- Les lésions du nerf sciatique
E- Toutes les propositions sont vraies
8. Les complications majeures après une arthroplastie de la hanche sont :
A- L’ostéoporose
B- L’embolie graisseuse
C- L’embolie pulmonaire
D- La luxation
E- L’infection

7. Fractures de La palette Humérale ( 6 questions )


1.Les fractures de la palette humérale:
A-Les fractures de l'épicondyle sont des fractures extra-articulaires
B- La raideur du coude est une complication fréquente
C-La fracture du condyle latéral peut se compliquer d'une lésion du nerf ulnaire
D- Les fractures sus et intercondyliennes sont les plus fréquentes
E- Leur traitement est principalement chirurgical
F- Les fractures du condyle latéral sont des fractures extra-articulaires
G- La pseudarthrose est la complication la plus fréquente
H- La fracture de l'épicondyle médial peut se compliquer d'une lésion du nerf ulnaire
I- Les fractures du capitellum sont des fractures extra-articulaires
J- La raideur du coude est la complication la plus fréquente ' z
K- La fracture de l'épicondyle médial peut se compliquer d'une lésion du nerf radial
L- Les fractures sus et intercondyliennes sont des fractures articulaires
M- Le traitement orthopédique est toujours indiqué
2. Devant une fracture de la palette humérale,
A- une fracture de type C3 est une supracondylienne
B- l’enraidissement est la complication la plus redoutée du traitement chirurgical
C- les ossifications péri articulaires sont fréquentes
D- la fracture du capitellum peut nécroser

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3. Les complications des fractures de la palette humérale comportent :
A- L'ouverture du foyer
B- La paralysie du nerf circonflexe
C- La paralysie du nerf radial
D- La pseudarthrose
E- La raideur du coude
F- Le syndrome algodystrophique
G- La paralysie du nerf axillaire
H- L'arthrose du coude
I- La paralysie du nerf ulnaire
4. La principale complication des fractures de la palette humérale est:
A- La paralysie du nerf radial
B- Les ossifications péri articulaires
C- La raideur du coude
D- La paralysie du nerf circonflexe
QR 1:
5. Classification et traitement des fractures de la palette humérale.
QR 2:
6. Les complications des fractures de la palette humérale.

8. Fractures du plateau Tibial ( 3 questions )


1. Concernant les fractures des plateaux tibiaux :
A- Les fractures unitubérositaires externe sont les plus fréquentes
B- Les fractures spinotubérositaires peuvent s'associer à des lésions du LCA
C- L'intérêt du scanner est de mesurer et localiser l'enfoncement
D- Le traitement est toujours orthopédique
E- L'arthrose post-traumatique est une complication fréquente et redoutable
F- Les fractures des plateaux tibiaux sont en principe traitées orthopédiquement.
2. Le bilan radiologique d’une fracture récente du plateau tibial externe comporte :
A- Des incidences de 3/4
B- Des incidences fémoropatellaires
C- Une TDM
D- Des radiographies du genou face
E- Une IRM
QR 1:
Fractures du plateau tibial
3.a- Diagnostic
3.b- Traitement
3.c- Complications

9. Fractures du massif trochantérien ( 6 questions )


1.A propos des fractures du massif trochantérien
A- La mortalité dépend du délai opératoire.
B- La pseudarthrose est une complication fréquente des fractures sous trochantériennes.
C- Touchent principalement les femmes.
D- Les fractures cervico-trochantériennes sont des fractures complexes,
E- Les fractures sous trochantériennes sont des fractures stables.

Page 158Ataraxie
2. A propos des fractures trochantériennes :
A- Surviennent principalement chez le sujet âgé
B- Se compliquent souvent d'une pseudarthrose
C- Les fractures pertrochantériennes simples sont des fractures stables
D- Le traitement chirurgical consiste à une ostéosynthèse par clou gamma
E- Surviennent principalement chez le sujet jeune.
F- Se compliquent souvent d’une coxarthrose.
J- Les fractures pertrochantériennes simples sont des fractures instables.
H- La prothèse totale de la hanche est le traitement de choix de ces fractures
I- Le traitement de l’ostéoporose permet de réduire le risque de ces fractures
3. Les objectifs du traitement des fractures pertrochantériennes chez les personnes âgées
A- La verticalisation du patient
B- La prévention des complications de décubitus
C- L’horizontalisation du patient
D- Préserver la vie du patient
4. Quel sera le traitement définitif préféré d'une fracture pertrochantérienne instable du fémur chez un
vieillard ?
A- Repos au lit jusqu'à indolence puis lever avec l'aide d'un kinésithérapeute
B- Arthroplastie totale de hanche
C- Ostéosynthèse par clou gamma
D- Traction-suspension, prévention anti thromboembolique
5. Les fractures trochantériennes sont plus exposées, dans leur évolution, que les fractures du
col fémoral au risque de :
A- Pseudarthrose
B- Cal vicieux
C- Complication de décubitus
D- Nécrose aseptique de la tête fémorale
E- Raideur de la hanche
6. Indiquez les propositions fausses concernant les fractures per-trochantériennes :
A- Elles sont toujours traitées par arthroplastie céphalique
B- Elles ne se compliquent jamais de nécrose de la tête fémorale
C- Les cals vicieux sont exceptionnels
D- Les pseudarthroses sont rares

10. Les Luxations de l'Épaule ( 12 questions )


1. Les luxations de l’épaule , Dans la luxation de l'épaule:
A- Le traitement est toujours chirurgical
B- La forme inférieure est la plus fréquente
C- Peuvent s’associer à une fracture du trochiter
D- Le diagnostic est basé uniquement sur le scanner
E-Sont les plus fréquentes.
F-Touchent le jeune sportif.
G-Se compliquent essentiellement par la raideur .
H-Le traitement est chirurgical.
I-La variété postérieure est la plus fréquente.
J- Est la plus fréquente des luxations
K- La variété antérieure s'accompagne d'un blocage de la rotation externe
L- La vacuité de la glène est un signe majeur
M- Une paralysie du plexus brachial est toujours de mauvais pronostic

Page 159Ataraxie
N- La réduction est une urgence
O- La forme antérieure est la plus fréquente
P- La forme postérieure peut être induite par une crise comitiale
Q- La réduction est chirurgicale
R- La récidive est rare chez les jeunes
S- L'immobilisation est indispensable
T- Peuvent survenir suite à un traumatisme de sport
U- Ne se voient jamais suite à une électrocution
V- Peuvent survenir suite à un accident de la voie publique
W- Peuvent évoluer vers la luxation récidivante de l'épaule
X- Une luxation acromio-claviculaire, quel que soit le stade, doit être toujours traitée par chirurgie
Y- Le signe de l'épaulette est présent en cas de luxation postérieure de l’épaule
Z- Une luxation antérieure traumatique de l'épaule peut entraîner une paralysie du nerf circonflexe
(axillaire)
2. La luxation de l'épaule peut :
A- Être supérieure et c'est la forme la plus fréquente
B- Se compliquer d'une paralysie du plexus brachial
C- Être antérieure et elle est dite Erecta dans ce cas
D- Evoluer vers la luxation récidivante de l'épaule
E- Etre antérieure sous coracoïdienne
3. La luxation antéro-interne de l'épaule :
A- Entraîne une adduction irréductible.
B- Entraîne un coup de hache externe.
C- Entraîne un déficit de l’élévation du bras.
D- Entraîne un comblement du sillon delto-pectoral.
E- Entraîne un vide sous acromial antérieur.
4. Les signes cliniques de la luxation antéro-interne de l’épaule sont :
A- Palpation de la tête humérale en arrière
B- Attitude du traumatisé du membre supérieur
C- Vacuité de la glène
D- Saillie de L'acromion (signe de F épaulette)
5. Concernant le traitement des luxations antérieures de l’épaule :
A- La prise en charge est différée
B- La réduction se fait d’une manière brutale sans préparation du patient
C- C’est une urgence traumatologique
D- L’immobilisation se fait par bandage coude au corps pendant 3 mois
E- La réduction se fait sous sédation par traction douce sur le membre
6. Quel est le signe clinique fondamental d'une luxation traumatique postérieure de l'épaule ?
A- Attitude du bras en adduction
B- Attitude du bras en rotation interne
C- Attitude du bras en rotation externe
D- Déformation du moignon de l'épaule
E- Aucun des signes précédents
7. Parmi ces propositions concernant les traumatismes de l'épaule, quelles sont celles qui sont exactes
A- La perte de la rotation externe doit faire suspecter une luxation postérieure de l'articulation
gléno-humérale jusqu'à preuve du contraire
B- Les luxations postérieures de l'articulation gléno-humérale surviennent fréquemment chez
l'épileptique
C- Une radiographie est le plus souvent inutile avant de réduire une luxation de l'articulation
gléno-humérale

Page 160Ataraxie
D- Les accidents d’électrocution sont exceptionnellement à l’origine de luxations postérieures de
l'articulation gléno-humérale
QR 1:
8. Les signes cliniques d’une luxation antéro interne de l'épaule.
Cas clinique 1:
9. Au cours de votre garde au service des urgences vous avez reçu un jeune de 25 ans pour douleur et
impotence fonctionnelle totale post traumatique de l’épaule droite suite à une chute sur le membre
supérieur droit. Quels sont les signes en faveur d'une luxation antérieure de l'épaule :
A- Le signe de l'armée du bras
B- Effacement du sillon deltopectoral
C- Le signe de l’épaulette
D- Perception de la tête humérale en arrière
E- Vacuité de la glène
10. Quelles sont les examens complémentaires à demander systématiquement chez votre patient :
A- Radiographie de l'épaule face
B- Echographie de l'épaule
C- Radiographie de l'épaule profile de Lamey
D- Une TDM de l'épaule
E- Aucun bilan complémentaire n’est nécessaire
Cas clinique 2:
11. Monsieur H. E, est un jeune patient qui se présente aux urgences pour un traumatisme de
l'épaule droite. Vous suspectez chez lui une luxation antérieure de l'épaule. Quel (s) est (sont)
le (s) signe (s) clinique (s) que vous devez rechercher chez lui :
A- Le signe de l'épaulette
B- Saillie de la tête humérale en postérieure
C- Effacement du sillon deltopectoral
D- Le signe d'Ambredane
E- Déformation en dos de fourchette
12. Chez Monsieur H. E, vous avez posé le diagnostic d'une luxation antérieure sous coracoïdienne
de l'épaule droite :
A- C'est une urgence thérapeutique
B- La réduction est toujours chirurgicale
C- La radiographie après réduction n'est pas obligatoire
D- La réduction se fait sous anesthésie générale suivant une manoeuvre atraumatique
E- L'immobilisation se fait pendant 3 semaines

11. Les Luxations du Coude ( 3 questions )


1. Les luxations du coude :
A- Le traitement est toujours chirurgical
B- La forme postéro-externe est la plus fréquente
C- Peuvent s’associer à une fracture de la tête radiale
D- Le diagnostic est basé sur le scanner
E- Le nerf le plus lésé est le nerf médian
F- Le nerf le plus exposé à la lésion est le nerf médian
G- La réduction chirurgicale n’est jamais indiquée
H- Peuvent s'accompagner d’une fracture de l’épitrochlée

Page 161Ataraxie
2. Dans la luxation du Coude
A- Les repères anatomiques sont respectés
B- La forme la plus fréquente est la luxation postéro externe
C- Le nerf ulnaire n'est pas menacé
D- Nécessite une immobilisation de 3 semaines après réduction
E- L'incoercibilité nécessite une réduction chirurgicale
QR 1:
3. Les signes cliniques d'une luxation postérieure du coude.

12. Les Fractures de la Diaphyse des 2 os de l’Avant Bras ( 4 questions )


1. Les fractures des deux os de l’avant-bras :
A- Dans la fracture de Galeazzi : c’est le cubitus qui est fracturé
B- L’imagerie fait appel à une radiographie de l’avant bras prenant le coude et le poignet
C- L'imagerie fait appel à une radiographie de l'avant-bras prenant le coude et le poignet face et profile
D- La fracture de Monteggia associe une fracture du cubitus à une luxation Radio-ulnaire distale
E- Elles peuvent se compliquer d’une synostose radio-ulnaire
F- Le traitement orthopédique est la règle
G- Sont toujours diaphysaires
H- Une fracture de Galeazzi est une fracture du radius associée à une luxation radiocubitale inférieure
I- Une fracture de Monteggia est une fracture du cubitus associée à luxation radiocubitale inférieure
J- La restitution de la courbure pronatrice est indispensable pour la pronosuppination
K- Le traitement est toujours orthopédique
2. Les Impératifs de la prono-supination sont :
A- Le nerf cubital intact
B- La longueur des os doit être intacte
C- Espace inter-osseux libre
D- L'articulation radio-cubitale proximale fixe.
C- Le nerf médian intact
D- Les articulations radio-cubitales mobiles.
3. La fracture de Monteggia signifie :
A- une fracture du radius avec luxation de la tête du cubitus (extrémité distale)
B- une fracture distale du radius avec fracture proximale du cubitus
C- une fracture du cubitus avec luxation de la tête du radius
D- une fracture proximale du radius avec fracture distale du cubitus
4. Concernant le traitement des fractures des deux os de l’avant-bras :
A- Le traitement chez l’adulte est toujours orthopédique
B-Il faut que la longueur des deux os soit intacte
C- Il est impératif de respecter la courbure pronatrice du cubitus
D- L’espace interosseux ne doit pas être pris en considération
E- Les 2 articulations radio-ulnaires doivent être mobiles

13. Les Fractures de l’extrémité inférieure du Radius ( 7 questions )


1. Les fractures de l’extrémité inférieure du radius
A- La fracture de Goyrand-Smith est caractérisée est caractérisée par une bascule postérieure du
fragment distal.
B- La fracture cunéenne externe est une fracture articulaire.
C- Les fractures de l’extrémité inférieure du radius sont favorisées par l’ostéoporose,
D- L’existence d’un trait de fracture articulaire augmente le risque de survenue d’arthrose secondaire.

Page 162Ataraxie
E- L’aspect du poignet est en ventre de fourchette dans la fracture de pouteau-colles.
F- Correspond dans sa forme la plus fréquente à un mécanisme de compression flexic.
G- Crée une inclinaison radiale de la main.
H- Le risque de déplacement est important.
I- L’algodystrophie est possible.
J- Consolident en 45 jours.
K- Sont fréquente chez le sujet âgé ostéoporotique
L- Ne se voit jamais chez le sujet Jeune
M- Le diagnostic nécessite la réalisation systématique d’un scanner
N- Le traitement est toujours chirurgical
O- Sont des fractures extra articulaires
P- La fracture de Pouteau Colles est une fracture articulaire
Q- Le traitement de ces fractures est exclusivement orthopédique
R- L'index radio-cubital normal est de 0 à 4 mm
S- Peuvent se compliquer d'une algodystrophie
T- Sont toujours articulaires
U- Le déplacement postérieur accompagne le POUTEAU COLLES
V- Le traitement fait toujours appel à la plaque vissée
W- La fracture de GOYRAND SMITH est extra articulaire
X- L'algodystrophie est rare
2. La fracture de l’extrémité inférieure du radius chez l’adulte
A- N’est instable après réduction que si elle est articulaire
B- Se déplace en général vers l’arrière
C- Présente un risque de pseudarthrose si le traitement n’est pas correct
D- Consolide souvent vicieusement
3. La fracture de Pouteau Colles - les fractures de Pouteau Colles
A- Est une fracture articulaire
B- Est une fracture extra-articulaire à déplacement antérieur
C- Se manifeste par une déformation en ventre de fourchette du poignet
D- Peut être traitée par un brochage intra focale de KAPANDJI
E- Est toujours chirurgicale
F- Sont des fractures extra articulaires à déplacement postérieur
G- Se manifeste par une déformation en dos fourchette du poignet
H- Peuvent être traitées par un embrochage intrafocal
I- Peuvent se compliquer d’une algodystrophie
J- Résulte d'un mécanisme de compression-extension
K- Nécessite un traitement chirurgical par plaque-console antérieure
L- Donne à la radiographie une horizontalisation de la ligne bistyloïdienne
M- A pour complication possible un syndrome algodystrophique
4. Classiquement la fracture de Pouteau-Colles succède à un traumatisme :
A- En pronation forcée
B- En flexion-adduction de la main
C- De type 'coup de poing'
D- Direct sur la face antérieure de l'avant-bras
E- En compression hyperextension du poignet
5. La fracture de Goyrand Smith
A- Est une fracture de L EIR à déplacement antérieur
B- Résulte d'un mécanisme par compression flexion
C- Le traitement est souvent orthopédique
D- Le traitement chirurgical nécessite une plaque en T

Page 163Ataraxie
E- Le traitement chirurgical nécessite un embrochage
6. Quelle est (ou sont) le(s) type(s) de fracture du poignet qui nécessite(nt) quasi systématiquement une
ostéosynthèse à foyer ouvert ?
A- La fracture du radius avec déplacement de type Pouteau colles
B- La fracture marginale antérieure du radius
C- La fracture de la styloïde cubitale
D- Les deux premières (A et B)
QR 1:
7. Décrire la déformation dans les fractures de Pouteau-Colles.

14. Les Fractures du Bassin ( 1 question )


1. Les fractures du bassin
A- Sont très hémorragiques.
B- Classées par Judet et Letoumel.
C- L’artère iliaque externe est la plus lésée.
D- La disjonction pubienne est chirurgicale à partir de 02 cm.
E- Le Cisaillement est bénin.
F- Sont une cause fréquente de décès
G- Le choc hémorragique résulte d'une lésion de l'artère iliaque externe
H- La rupture de l'urètre membraneux est une complication habituelle
I- Le sondage est toujours proscrit
J- Le traitement est toujours orthopédique
K- Doivent être systématiquement recherchée chez le polytraumatisé
L- Peuvent être responsables d’un état de choc hémorragique
M- Les incidences radiographiques comportent un alaire et un 24 obturateur
N- Peuvent se compliquer d’une urétrorragie et dans ce que le sondage urinaire sont systématique
O- Relèvent toujours d’un traitement non chirurgical
P- La classification de Judet et Letournel est pertinente
Q- Les lésions urinaires sont fréquentes
R- La fracture de Voilemier correspond à une rupture de l'arc antérieur et une fracture de l'Aileron sacré
S- Une disjonction pubienne n'est jamais chirurgicale
T- Les fractures parcellaires sont les plus graves
U- Le risque hémorragique résulté d'une lésion de l'artère iliaque externe
V- Sont classées selon TILE PENNAL ET SUTHERLAND
W- La ligature de l'artère hypogastrique est envisageable en cas de choc hémorragique
X- Les lésions urinaires sont à rechercher

15. Les Fractures du Cotyle ( 3 questions )


1. Les fractures du cotyle :
A- Nécessite un traumatisme de basse énergie.
B- Plus la fracture est complexe plus elle est d’indication chirurgicale.
C- La fracture de la paroi postérieure est souvent associée à une luxation postérieure,
D- La fracture transversale est extra-articulaire.
E- Le mécanisme du tableau de bord entraîne une luxation antérieure.
F- Les fractures de la paroi postérieure sont les plus fréquentes
G- La fracture de la paroi postérieure est le type le plus fréquent
H- La luxation antérieure est la plus retrouvée
I- Les lésions urinaires sont fréquentes

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J- Le nerf sciatique peut être touché
K- Le traitement est toujours chirurgical
L- La fracture transversale est la plus fréquente
M- La pseudarthrose est rare
N- La coxarthrose est la complication la plus fréquente
O- Ne s'associe jamais à une luxation de la hanche
P- Sont classées selon TILE PENNAL
Q- La luxation postérieure est exceptionnelle
R- Une incidence descendante du bassin est obligatoire
T- Les clichés ¾ alaire , ¾ obturatrice ne font pas partie du bilan radiologique
U- L'arthrose est une complication rare
V- Le bilan radiologique standard repose sur quatre incidences
W- La fracture du cotyle est une fracture articulaire qui ne peut que rarement être traitée
chirurgicalement vu les difficultés d'accès chirurgical aux parois du cotyle et la difficulté
de contrôler chirurgicalement la qualité de la réduction
QR 1:
2. Classification des fractures du COTYLE .
QR 2:
3. Citez les fractures élémentaires du cotyle

16. La Gonarthrose ( 8 questions )


1. La gonarthrose :
A- Est de traitement toujours médical.
B- L’ostéotomie tibiale est indiquée chez les personnes âgées.
C- La prothèse totale du genou est indiquée chez les stades avancés.
D- Le stade IV d’Ahlback signifie une usure de moins de 50%.
E- Aucunes propositions.
F Le compartiment fémoro-tibial interne est le plus touché
G- Le genou valgum est le morphotype le plus fréquent
H- Le bilan radiologique comporte une goniométrie
I- Une ostéotomie tibiale de valgisation n’est jamais indiquée
J- La PTG est indiquée en cas d’arthrose tricompartimentale
2. Dans la gonarthrose
A- Le compartiment fémorotibial externe est le plus touché
B- le genu varum est le morphotype le plus fréquent
C- une ostéotomie tibiale est envisageable en cas de l'arthrose tricompartimentale
D- le PRP n'est jamais indiqué
E- La PTG n'est pas fiable
3. Parmi les moyens thérapeutiques habituels de la gonarthrose :
A- La réduction pondérale
B- La viscosupplémentation (acide hyaluronique)
C- La corticothérapie générale
D- La rééducation
4. le traitement chirurgical d'une gonarthrose fémorotibiale interne stade II sur genu varum :
A- Une ostéotomie fémorale de valgisation
B- Une ostéotomie tibiale de varisation
C- Une ostéotomie tibiale de valgisation
D- Une prothèse totale du genou

Page 165Ataraxie
5. Une gonarthrose sur genu varum chez un homme de la quarantaine avec pincement débutant de
l’interligne interne justifie:
A- une arthroscopie avec lavage articulaire
B- une arthroplastie unicompartimentaire
C- un traitement médical d'attente et une arthroplastie le plus tard possible
D- une ostéotomie de valgisation
QR 1:
6. Traitement chirurgical de la gonarthrose
QR 2:
7. Citer les différentes méthodes chirurgicales dans ie traitement de la gonarthrose.
Cas clinique 1:
8. Une femme de 45 ans présente une douleur mécanique à la face interne du genou droit. Les
radiographies mettent en évidence une arthrose du compartiment interne stade II et une déviation en
genu varum unilatéral de 15°. Le traitement chirurgical envisagé sera :
A- une méniscectomie interne par voie arthroscopique
B- une prothèse totale de genou
C- une ostéotomie tibiale haute de valgisation
D- une ostéotomie tibiale haute de varisation

17. L’entorse de la cheville ( 6 questions )


1.L’entorse de la cheville
A- Le faisceau antérieur du ligament latéral externe est le plus touché
B- L'instabilité chronique de la cheville est une complication fréquente
C- Le traitement chirurgical est toujours indiqué dans les formes graves
D- Le ligament tibio-péronier distal est le plus touché
E- Le bilan radiologique n'est pas systématique
F- Le scanner est toujours indiqué
G- La récidive est la complication la plus fréquente
H- Le ligament deltoïde est le plus touché
I- Le bilan radiologique est systématique
J- Le scanner est indiqué en cas de lésion ostéochondrale
K-La raideur est la complication la plus fréquente
L- Le traitement chirurgical est toujours indiqué
M- Le traitement fonctionnel est toujours indiqué
N- Peut s'associer à une fracture de la malléole externe
O- En cas d'entorse grave de la cheville en varus (supination), c’est généralement le ligament latéral
interne qui est déchiré
C- En cas d'entorse grave de la cheville en varus (supination), c'est généralement le ligament deltoïde
qui est déchiré
2. Les signes de gravités d'une entorse de la cheville
A- Craquement avec douleur syncopale
B- Une ouverture cutanée
C- La précocité a installation des ecchymoses
D- Hématome pré et rétro malléolaire
E- Bâillement tibiotalien latéral
F- Une fracture de la base du 5ème métatarse
G- Une fracture de l'astragale

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3. Quelle est la durée d'immobilisation optimale de l'entorse grave isolée de la cheville chez l'adulte ?
A- Moins de 15 jours
B- 3 à 6 semaines
C- Plus de 6 semaines
D- Aucune immobilisation
E- Aucune de ces propositions
QR 1:
4.Citer les critères d’Ottawa dans les entorses de la cheville,
Cas clinique 1:
5. Un sujet jeune de 27 ans, après un accident de sport en Inversion ; présente une cheville gonflée très
douloureuse en antérieur et en externe avec un hématome diffus. Une lésion fracturaire est éliminée. Le
diagnostic d'une entorse grave isolée de la cheville est posé :
A- Le ligament deltoïde est le plus fréquemment impliqué
B- Les signes de laxités sont positifs
C- La rupture des faisceaux est fibrillaire sans brèche capsulaire
D- Radiographie de profil avec tiroir talien antérieur n'est pas justifiée
E- Un bandage adhésif pendant une semaine est suffisant
Cas clinique 2:
6. Vous examinez un sujet de 25 ans 2 jours après un accident de sport ; il présente une cheville gonflée
très douloureuse en antérieur et en externe avec un hématome diffus. Une lésion fracturaire est éliminée.
Parmi les incidences radiologiques suivantes, quelles sont celles qui sont indispensables pour affirmer le
diagnostic d'entorse grave isolée de la cheville ?
A- Radiographie de face en rotation interne de 20°
B- Radiographie de face en varus équin forcé
C- Incidence en "déroulé” du pied
D- Radiographie de profil avec tiroir talien antérieur

19. Fractures du scaphoïde carpien ( 3 questions )


1. Fracture du scaphoïde :
A- La fracture peut être occulte (non visible)
B- Une incidence de face est suffisante
C- Peut se compliquer de nécrose
D- La consolidation se fait à trois mois
QR 1:
2.Fractures du scaphoïde : diagnostic et traitement
QR 2:
3.Classification de SCHERENBERG des fractures du SCAPHOÏDE.

20. Fractures bimalléolaires ( 5 questions )


1.A propos des fractures malléolaires
A- Sont des fractures articulaires.
B-Souvent associées à des lésions ligamentaires.
C-Les fractures par mécanisme d’abduction sont de mauvais pronostic .
D- La fracture de Maisonneuve est une fracture de la malléole externe associée à une lésion du ligament
latéral externe.
E-Les complications cutanées sont peu fréquentes.

Page 167Ataraxie
F- En langage-courant, la fracture de Dupuytren est une fracture bimalléolaire ou un équivalent de fracture
bimalléolaire
G- En cas de rupture du ligament latéral les tests de laxités sont parfois positifs
2. Quelles sont les propositions exactes concernant une fracture bi malléolaire par adduction
A- Le péroné présente un trait de fracture sus-ligamentaire
B- Il n'y a pas de rupture des ligaments de la syndesmose
C- La malléole interne est arrachée par la traction du ligament latéral interne
D- Le pied est bloqué en inversion
E- La chute du corps se fait du côté opposé de la fracture
F- Il y a un diastasis tibio-péronier par rupture des ligaments de la syndesmose
G- Toutes les propositions sont justes
3. Quelles sont les propositions exactes concernant une fracture bi malléolaire par abduction
A- Le péroné présente un trait de fracture sous-ligamentaire
B- Il y a une rupture des ligaments de la syndesmose
C- La malléole interne est arrachée par la traction du ligament latéral interne
D- Le pied est bloqué en éversion
E- Le pied est bloqué en inversion
F- Il ya un diastasis tibio-péronier par rupture dès ligaments de la syndesmose
G- Le trait de la malléole interne est oblique
H- Le traitement chirurgical est toujours indiqué
I- Les complications cutanées sont fréquentes
J- Toutes les propositions sont justes
4. Quelles sont les propositions exactes concernant une fracture bi malléolaire par rotation externe
A- Le pied est bloqué en éversion
B- Le péroné présente un trait de fracture spiroïde sus-ligamentaire
C- Le péroné présente un trait de fracture sous-ligamentaire
D- Il n'y a pas de rupture des ligaments de la syndesmose
E- La malléole interne présente un trait de fracture oblique
F- la syndesmose est toujours intacte
G- On peut avoir une fracture marginale postérieure associée
QR 1:
5. Classification de DUPARC des fractures bimalléolaires.

21. Fractures du pilon tibial ( 2 questions )


1.A propos des fractures du pilon tibial
A-Sont des fractures métaphyso- épiphysaires de l'extrémité distale du tibia
B- Les accidents de sport représentent les étiologies les plus fréquentes
C- Les fractures type B (classification AO) sont des fractures articulaires sans comminution épiphysaire
D- Les fractures type C (classification AO) sont des fractures- enfoncement articulaires avec comminution
épiphysaire
E- Le stade 2 (classification de Tscherne) correspond à une nécrose cutanée ou musculaire
F- Le stade 3(classification de Tscherne) correspond à une nécrose cutanée ou musculaire
G- Les fractures du pilon tibial, contrairement aux autres fractures articulaires sont généralement traitées
par plâtre uniquement
QR 1:
2.Classification des fractures du pilon tibial de Ruedi et Heim.

Page 168Ataraxie
22. Fractures de la Jambe ( 3 questions )
1. Les fractures de la jambe
A- Peuvent se compliquer d’un syndrome de loges.
B- Le retard de consolidation est défini par l’absence de consolidation au-delà de 6 mois.
C- Peuvent consolider en 3 mois.
D- La pseudarthrose septique est une infection sur os consolidé.
E- Le fixateur externe n’a pas d’indication dans les fractures fermées.
F- Se compliquent rarement de pseudarthrose
G- La fracture en bois vert est la forme la plus fréquente chez l’enfant
H- Le traitement orthopédique n’a pas de place
I- L’enclouage centromédullaire est toujours privilégié sauf en cas de contre-indication
J- Peuvent être traitées par plaque vissée en cas de contre-indication à l’enclouage centromédullaire
K- Résultent toujours d'un mécanisme direct
L- La fracture est dite ouverte lorsqu'il y a une communication entre le foyer de fracture et le milieu
extérieur
M- La fracture ouverte est une urgence médico-chirurgicale
N- Le retard de consolidation est l'absence de consolidation au-delà de 6 mois
O- Peuvent se compliquer d'ischémie du membre
P- Une fracture peu déplacée de la jambe n'entraîne jamais de syndrome de loge.
Q- Un plâtre selon Sarmiento est un des modes de traitement d'une fracture diaphysaire fermée de jambe
2. La fracture ouverte de la jambe :
A- Est définie par le présence d’une communication entre le foyer de fracture et le milieu extérieur à travers
une plaie
B- Est une urgence médicochirurgicale
C- L’antibioprophylaxie n’a pas d'intérêt
D- L’antibioprophylaxie vise le staphylocoque et les anaérobies
E- L’enclouage centromédullaire n’est jamais indiqué
F- Est dite ouverte lorsqu’il y a une plaie de la jambe associée à une fracture de la jambe.
G- L’ouverture cutanée est un élément qui conditionne le pronostic.
H- Est toujours traitée par un fixateur externe.
I- Dans les ouvertures de dedans en dehors le risque infectieux est très élevé,
J- Est une urgence chirurgicale
K- Le délai de 10 heures correspond au délai de la pullulation microbienne
L- La plaque vissée est le traitement de choix
M- L'antibiothérapie fait appel aux amoxicillines protégées
N- Le stade 1 est traité comme une fracture fermée
O- L'enclouage centromédullaire est un des traitements d’une fracture diaphysaire de la jambe ouverte de
type 1 de Gustillo
3. Pour traiter une pseudarthrose de jambe franchement septique (écoulement purulent) ?
A- L’excision des tissus infectés y compris l'os
B- Le comblement secondaire d'une perte de substance cutanée par apport d'un tissus bien vascularisé tel
un muscle pédiculé
C- L’amputation d'emblée en cas de perte de substance osseuse associée à une perte de la sensibilité
plantaire
D- La reconstruction secondaire de l'os par greffe osseuse
E- L'administration préalable d'antibiotiques locaux

Page 169Ataraxie
23. Métastases Osseuses ( 8 questions )
1. Les métastases osseuses :
A- Les mécanismes de tropisme osseux permettent aux cellules cancéreuses de migrer et envahir le
tissu osseux.
B- Touchent rarement le squelette axial.
C- Le cancer du rein, du sein et de la thyroïde sont parmi les cancers les plus ostéophiles,
D- Le traitement est uniquement médical.
E- Le pronostic ne dépend pas de la tumeur primitive.
F- Sont toujours diagnostiquées sur une néoplasie connue
G- Les mécanismes d’ostéomimétisme des cellules métastatiques , permettent la mise en place de la
métastase au site osseux
H- Sur la radiographie elles prennent l’aspect d’une ostéolyse , ostéocondensation , ou aspect mixte
I- Ne se compliquent jamais de fracture
J- Le cancer sein et de la thyroïde sont parmi les cancers les plus ostéophiles
K-Peuvent se révéler par une fracture
L- Le cancer du sein et le mélanome sont parmi les cancers les plus ostéophiles
M- Ne peuvent pas être traitée par un enclouage centromédullaire
N- Peuvent être traitée par une prothèse de reconstruction
O- Touchent le rachis dans 80% des cas
P- Peuvent toucher le crâne et les côtes
Q- Les os long sont leurs sites de prédilection
R- Ne touchent jamais les os du pied
S- Ne touchent jamais la diaphyse des os long
2. Concernant le diagnostic des cancers osseux secondaires :
A- Ils peuvent se révéler suite à une douleur d'un segment de membre
B- La tuméfaction est rarement révélatrice
C- Ne sont jamais responsable de fracture pathologique
D- Le cancer primitif est toujours connu
E- La scintigraphie osseuse n'est pas systématique
3. Sur la radiographie :
A- Les acrométatsases sont révélatrices de cancer de sein
B- Les métastases osseuses sont toujours ostéocondensantes -
C- Les métastases osseuses peuvent être responsables d'un aspect mixte associant ostéolyse et
ostéocondensation
D- Les métastases osseuses peuvent avoir une localisation périostée
E- Les formes ostéocondensantes pures sont souvent d'origine prostatique
4. Parmi ces tumeurs osseuses lesquelles sont des Tumeurs ostéophiles :
A- Le cerveau
B- Le sein
C- Le foie
D- La prostate
E- Le poumon
5. Parmi ces propositions quels sont les cancers les plus ostéophiles :
A- Le cancer du poumon
B- Les gliomes
C- Le cancer de la prostate
D- Le mélanome
E- Le cancer de l'endomètre
F- Le méningiome

Page 170Ataraxie
G- Le cancer du sein
6. Le traitement des métastases osseuses :
A- Est toujours curatif
B- L'ostéosynthèse associée au ciment n'a pas d'intérêt
C- Le traitement chirurgical peut faire appel à des allogreffes et des prothèses articulaires
D- Les métastases du cancer du rein sont hémorragiques
E- L'amputation est toujours indiquée
Cas clinique 1:
Monsieur A. est admis aux urgences pour une douleur avec impotence fonctionnelle totale du membre
supérieur droit suite à un traumatisme bénin. A la radiographie du bras droit on note une fracture
médiodiaphysaire de l’humérus sur une image d’ostéolyse. Le diagnostic de fracture pathologique sur
métastase osseuse est retenu.
7. Quel seraient les bilans à faire en première intention à la recherche de la tumeur primitive ?
A- Une échographie de l’aire thyroïdienne
B- Un scanner cérébral
C- Une biopsie ostéomédullaire
D- Un toucher rectal avec échographie prostatique
E- Radiographie thorax avec éventuelle TDM thoracique
8. Le bilan d’extension de la tumeur primitive a objectivé des métastases au niveau du rachis et du foie
Quelles seraient les possibilités thérapeutiques à proposer au patient pour la prise en charge de sa
fracture pathologique :
A- Une prothèse totale de l’épaule
B- Un enclouage centromédullaire de l’humérus
C- Un clou trochantérien
D- Surveillance sans traitement
E- Une prothèse totale du coude

24. Fractures de l’extrémité inférieure du Fémur ( 3 questions )


1. fractures de l’extrémité inférieure du fémur :
A- Le diagnostic est basé sur une TDM systématique.
B- Ont un seul pic de fréquence à l’âge jeune.
C- Peuvent survenir dans le cadre d’un polytraumatisme.
D- Le traitement chirurgical est souvent indiqué.
E- Peuvent se compliquer de lésion de l’artère poplitée.
F- La principale complication à rechercher est la lésion de l’artère poplitée
G- Le traitement est principalement orthopédique
H- Peuvent être responsables d’un état de choc hémorragique
I- Peuvent être traitées par un vis plaqué DCS
J- Ne sont jamais responsable d’arthrose car ce sont des fractures extra articulaire
K- Les fractures unicondyliennes sont les plus fréquentes
L- Peuvent être traitées par clou rétrograde du fémur ou vis plaque DHS
M- Elles peuvent se compliquer de lésion de l'artère poplitée
N- Elles peuvent mettre en jeu le pronostic vital du patient
O- Relève toujours d'un traitement orthopédique
P- Une fracture sus et intercondylienne du fémur fermée déplacée chez l'adulte est en principe traitée
chirurgicalement
Q- Une fracture sus et intercondylienne déplacée du fémur est le plus souvent traitée orthopédiquement

Page 171Ataraxie
2. Les fractures du fémur distal :
A- Sont plus fréquentes que celles du fémur proximal
B- Le type II, regroupant les fractures supracondyliennes complexes sans console de
stabilité, de difficulté opératoire plus importante
C- La fracture de HOFFA est souvent unicondylienne externe à trait frontal
D- Un enclouage antérograde est possible dans les fractures à hauteur épiphysaire
suffisante
E- Sont pourvoyeuses de raideur articulaire et de cals vicieux
3. La principale complication aiguë devant une fracture de l'extrémité inférieure du fémur est :
A- Les lésions cutanées
B- La paralysie nerveuse
C- La lésion de l'artère poplitée
D- L'arthrose
E- L'embolie graisseuse

25. Les tumeurs osseuses ( 7 questions )


1. les tumeurs de la moelle osseuse sont
A- Sarcome d'Ewing
B- Tumeurs à cellules géantes
C- Lymphosarcomes osseux
D- Myélomes
E- Chondrosarcomes
2. Parmi ces tumeurs osseuses lesquelles sont des Tumeurs du tissu conjonctif :
A- Tumeurs à cellules géantes
B- Fibrome desmoïde
C- Le sarcome d’ewing
D- Fibrosarcome
3. Parmi ces tumeurs lesquelles ont une localisation métaphysaires
A- Ostéome ostéoïde
B- Fibrome non ossifiant
C- Tumeurs à cellules géantes
D- Tumeurs cartilagineuses
E- Dysplasies fibreuses
F- Fibrome chondromyxoïde
4. Parmi ces lésions tumorales bénignes, quelle est celle qui détermine des douleurs à recrudescence
nocturne ?
A- L'exostose ostéogénique
B- Le kyste essentiel des os
C- Le fibrome non ostéogénique
D- L'ostéome ostéoïde
E- Le chondrome isolé
5. Une ostéolyse de type Géographique
A- est un stade II de LODWICK
B- les contours sont bien limités et isolent de l’os sain
C- une ostéosclérose périphérique traduit le premier sous stade.
D- peut se voir en cas de kyste osseux essentiel
QR 1:
6. Citer les caractéristiques radiologiques d’une tumeur osseuse maligne .

Page 172Ataraxie
QR 2:
7. Citez les signes de malignité des tumeurs osseuses

26. Les tumeurs osseuses ( suite) : les tumeurs de la lignée ostéoblastiques


( 6 questions )
1. L’ostéome ostéoïde :
A- est une tumeur productrice de la moelle osseuse
B- est de prédominance masculine
C- Sa Localisation est épiphysaire
D- Son traitement est toujours chirurgical
2. L'ostéome ostéoïde est une tumeur productrice de la moelle osseuse
A- la douleur est calmée par l’acide acétylsalicylique
B- Sa Localisation est épiphysaire
C- Son traitement consiste à extraire le nidus
D- Le risque de fracture après traitement chirurgical est potentiel
3. Les douleurs nocturnes calmées par l'aspirine caractérisent
A- L'ostéosarcome
B- L'ostéome ostéoïde
C- les tumeurs glomiques
D- le kyste osseux essentiel
E- les tumeurs à cellules géantes
4. A propos de l’ostéosarcome, les affirmations suivantes sont fausses sauf une. Laquelle ?
A- L'ostéosarcome est la tumeur de l'os la plus fréquente
B- La région de la hanche constitue la zone la plus fréquente d'apparition de ces lésions
C- Se traite d'abord par chimiothérapie après confirmation du diagnostic par biopsie
D- Le poumon n'est pas l’organe d’élection pour les métastases de cette tumeur
5. Les tumeurs malignes sont par ordre de fréquence :
A- L'ostéosarcome, le chondrosarcome puis le sarcome d'Ewing
B- L'ostéosarcome, le sarcome d'Ewing puis le chondrosarcome
C- Le chondrosarcome l'ostéosarcome, puis le sarcome d'Ewing
D- Le sarcome d'Ewing l'ostéosarcome, puis le chondrosarcome
E- Le chondrosarcome le sarcome d'Ewing puis l'ostéosarcome
6. Concernant les tumeurs osseuses malignes
A- L'ostéosarcome est le plus fréquent
B- L'Ewing survient surtout chez le jeune adulte
C- Le chondrosarcome est le plus fréquent chez le vieillard
D- Les métastases hépatiques est le site le plus fréquent

27. Autres ( 11 questions )


1. Quelles sont les affirmations justes (Divers) ?
A- En cas de rupture sous-cutanée complète du tendon d'Achille, le blessé ne peut plus faire
aucun mouvement actif de flexion plantaire du pied sur la jambe
B- Les fractures du calcanéum sont également traitées d'habitude par simple immobilisation
plâtrée
C- La fracture de la diaphyse claviculaire consolide généralement en moins de 2 mois chez l’adulte
D- Une entorse grave du genou peut causer un choc rotulien
E- Si Je vois en salle d'urgence un jeune polytraumatisé avec un raccourcissement et une
rotation interne du membre inférieur, je pense à une luxation postérieure traumatique

Page 173Ataraxie
de la hanche
F- Une fracture déplacée de la diaphyse du fémur entraîne chez l’adulte une perte de sang
importante pouvant entraîner un état de choc
2. Parmi les fractures du membre supérieur, quelles sont celles qui se rencontrent fréquemment chez le
sujet âgé ?
A- La fracture supra-condylienne du coude
B- La fracture diaphysaire des deux os de l'avant-bras
C- La fracture métaphysaire inférieure du radius
D- La fracture du scaphoïde carpien
E- La fracture du col chirurgical de l'humérus
3. A propos des fractures ouvertes,
A- Le pronostic d'une fracture ouverte est dominé par le risque infectieux
B- Le parage de la plaie est un geste primordial dans l'évolution d'une fracture ouverte
C- Une fracture ouverte consolide moins vite qu’une fracture fermée
D- Un fixateur externe est un moyen d'ostéosynthèse utilisable dans ces fractures
E- L’embolie graisseuse est plus fréquente dans les fractures ouvertes.
F- La plaque vissée est le moyen le plus sure.
4. Le traumatisme du tableau de bord peut être responsable de :
A- Luxation du coude
B- Luxation de la hanche
C- Une fracture des deux os de l'avant bas
D- Fracture de l'extrémité supérieure de l'humérus
E- Fracture de l'extrémité inférieure du fémur
5. Parmi les fractures ci-après, indiquez quelle est celle qui NE se complique PAS classiquement de
nécrose osseuse : (1 bonne réponse)
A-La fracture du col de l’humérus
B- La fracture du scaphoïde carpien
C- La fracture sous-capitale du fémur
D- La fracture sous-trochantérienne du fémur
6. L'examen neurologique de la main
A- L'hypoesthésie est une absence de la sensibilité
B- Le nerf médian et le nerf radial assure seuls l'innervation de la main
C- Le nerf radial assure la sensibilité du 4ème et 5ème doigt
D- Le signé de Phalène est pathognomonique d'un syndrome du canal carpien
E- Le Syndrome du canal carpien est une compression du nerf médian au poignet
7. Une ostéotomie tibiale haute de réaxation peut trouver une indication valable chez une
personne de moins de 60 ans dans ?
A- Une gonarthrose douloureuse avec désaxation en varus de 8°
B- Une gonarthrose avec désaxation en valgus de 25° par hypoplasie condylienne
externe du fémur
C- Une atteinte rhumatoïde du genou avec désaxation en varus de 10°
D- Une ostéonécrose du condyle fémoral interne sans désaxation du genou
8. Quel est le facteur qui entraîne une augmentation établie du risque de nécrose aseptique de la tête
fémorale après une luxation traumatique de hanche ?
A- Age du blessé supérieur à 50 ans
B- Réduction après la 12e heure
C- Fracture associée de la diaphyse fémorale
D- Remise en appui précoce

Page 174Ataraxie
9. Un blessé victime d’un accident de voiture est vu au service des urgences. Après l’examen clinique,
vous êtes convaincu qu'il présente une luxation traumatique postérieure de la hanche droite. En effet, vous
avez constaté que le membre inférieur droit se trouve fixé dans une des positions suivantes. Laquelle ?
A- Flexion - abduction - rotation externe
B- Flexion - abduction - rotation interne
C- Flexion - adduction - rotation externe
D- Flexion - adduction - rotation interne
QR 1:
Luxation traumatique postérieure de hanche :
10.a- Mécanisme
10.b- Diagnostic
10.c- Conduite thérapeutique
QR 2:
11. Traitement et Complications de la Luxation post traumatique de la Hanche

28. Cas cliniques généraux ( 16 questions )


Cas clinique 1:
Une femme de 70 ans, victime d'une chute de sa hauteur. Elle est consciente mais déshydratée. Elle
présente une impotence fonctionnelle totale du membre inférieur droit. Celui-ci paraît raccourci, en
adduction et rotation externe. On note dans ses antécédents :
- Insuffisance respiratoire chronique
- Coxarthrose droite évoluée
1. Quel est le diagnostic clinique le plus probable ?
A- Luxation postéro-supérieure de hanche
B- Fracture du cadre obturateur
C- Fracture du cotyle
D- Fracture de l'aile iliaque
E- Fracture du col du fémur
2. Le bilan radiologique que vous demandez comporte :
A- Bassin de face
B- Goniométrie des membres inférieurs
C- Hanche droite face et profil
D- Clichés dynamiques de hanche droite en adduction
E- Radiographie pulmonaire
3. Parmi ces prescriptions, il faut recommander :
A- Une transfusion sanguine
B- Une rééquilibration ionique
C- Un anticoagulant
D- Un traitement antalgique
E- Une antibiothérapie à large spectre
4. le traitement consiste à :
A- Une abstention chirurgicale
B- Une ostéosynthèse par vissage
C- Arthroplastie totale de la hanche à foyer fermé
D- Arthroplastie totale de la hanche à foyer ouvert
E- Une prothèse céphalique

Page 175Ataraxie
Cas clinique 2:
Une femme de 75 ans, victime d'une chute de sa hauteur. Elle présente une impotence fonctionnelle totale
du membre inférieur gauche. Le membre raccourci, en adduction et rotation externe.
5.Quels sont les diagnostics cliniques les plus probables ?
A- Luxation postérieure de la hanche
B- Fracture du massif trochantérien
C- Fracture du cotyle
D- Fracture du bassin
E- Fracture du col du fémur
6.Le bilan radiologique que vous demandez comporte:
A-Bassin de face
B-Goniométrie des membres inférieurs
C- Hanche gauche face et profil
D-Clichés dynamiques de hanche gauche
E-TDM de la hanche
7.Le bilan radiologique a objectivé une fracture per trochantérienne instable, le traitement consiste en:
A-Une abstention chirurgicale
B- Une ostéosynthèse par vissage
C-Une arthroplastie totale de la hanche
D- Une ostéosynthèse par clou gamma
E- Une ostéosynthèse par vis plaque DHS
Cas clinique 3:
Patiente âgée de 46 ans, consulte pour des douleurs du genou droit, évoluant depuis 4 ans,
survenant après 1500 mètres de marche, bien calmées par le repos. Depuis 2mois, la patiente rapporte
des épisodes de dérobements douloureux. A l'examen, patiente pèse 90 Kg, douleurs à la palpation de
l'interligne articulaire interne ; les mouvements de flexion sont douloureux en position extrême. Les
différents tests méniscaux-ligamentaires sont négatifs. Il existe une déformation en varus. Le reste de
l’examen somatique est normal.
8. Quel est votre diagnostic ?
A- Instabilité chronique du genou
B- Lésion méniscale
C- Kyste poplité
D- Conarthrose fémorotibiale
E- Monoarthrite du genou
9.Quels examens complémentaires demanderez- vous en première intention ?
A- Radiographie du genou face en charge
B- Radiographie du genou de profil
C- TDM du genou
D- Goniométrie des genoux
E- Ponction du genou avec étude du liquide synovial
Le bilan radiologique a montré un pincement d’environ 50% localisé à l’interligne fémoro-tibiale
interne et un varus de 8*.
10.Quelle attitude thérapeutique proposez-vous ?
A- Abstention thérapeutique
B- Rééducation du quadriceps
C- Prothèse totale du genou
D- Prothèse unicompartimentale du genou
E- Ostéotomie tibiale de valgisation

Page 176Ataraxie
Cas clinique 4:
Mr A.D, 35 ans, sans antécédents particuliers, a été ramené par les pompiers après un accident de travail,
le patient a été victime d’une chute d'une hauteur estimée à 06 mètres avec réception sur les deux pieds.
L’examen clinique a retrouvé un patient conscient. TA= 8/5, Fréquence respiratoire à 25 cycles par minute.
Sur le plan locomoteur : cheville, genou, hanche sont libres pas de syndrome rachidien.
Douleur aux manœuvres de rapprochement et écartements des sacro iliaques.
Devant ce tableau :
11. quelle serait votre conduite dans l’immédiat ?
12. quel bilan d’imagerie vous allez demander en premier ? et dans quels buts ?
Une radiographie du bassin a été réalisée : (cliché non disponible)
13. interprétez la radiographie et classez la fracture ?
L’échographie n’a pas montré d’hématome intra péritonéal, Le patient a été stabilisé par remplissage et
transfusion, un scanner du bassin a été fait et a objectivé un hématome rétro péritoine de moyenne
abondance.
14.Quelles sont les mécanismes de constitution de cet hématome rétro péritoine ?
15.Quel serait votre conduite vis-à-vis l’HRP ?
16.Comment peut-on traiter ce type de fracture ? (citer les moyens de traitement)

Page 177Ataraxie
Rhumatologie et MPR Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Rhumatologie et MPR
-( 2013 -2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 156 questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

Rhumatologie

1. Les Lombalgies ( 39 questions )


1. Parmi les signes suivants qui orientent vers une lombalgie symptomatique :
A- Caractère mécanique de la douleur
B- Fièvre
C- Altération de l'état général
D- Antécédent de néoplasie
E- Antécédent de dyslipidémie
2. Parmi les étiologies d'une lombalgie symptomatique :
A- Spondylodiscite infectieuse
B- Fracture vertébrale osteoporotique
C- Myélome multiple
D- Canal lombaire rétréci
E- Spondylolisthésis
3. Parmi ces étiologies lesquelles sont révélatrices d'une lombalgie symptomatique :
A- Hernie discale
B- Spondylolisthesis
C- Métastase osseuse
D- Spondylodiscite bactérienne
4. En faveur d'une lombalgie sur spondylodiscite à germes banals :
A- Lombalgie aiguë brutale
B- Lombalgie fébrile
C- Conservation de l'état générale
D- Présence de brûlures mictionnelles
E- Caractère mécanique de la lombalgie
5. La spondylodiscite infectieuse à staphylocoque se caractérise par:
A-Mode aigue de début
B- Lombalgie mécanique
C- Présence de fièvre
D- Présence d’altération de l'état générale
E- Répond à une antibiothérapie adaptée et efficace
6. Le mal de pott se caractérise par:
A- Un début aigu
B- Début subaigüe

Page 178Ataraxie
C- Une évolution lente
D- Une lombalgie inflammatoire
E- Une altération de l’état générale
7. Parmi les étiologies des lombalgies communes
A- Canal lombaire rétréci
B- Myélome multiple
C- Métastases osseuses
D- Spondylodiscite infectieuse
E- Fracture vertébrale
F- Arthrose inter-apophysaire postérieure
J- Hernie discale
8. Quel est le bilan radiologique à demander en première intention en cas de lombalgies communes
A- Radiographie du rachis lombaire face et profil
B- Une IRM du rachis lombaire
C- Une ostéodensitométrie
D- TDM rachis lombaire
E- Aucun bilan à demander
Cas clinique 1:
Patient âgé de 72 ans , ayant comme antécédents une hypercholestérolémie et tabagisme chronique et qui
présente depuis 8 mois une lombalgie réveillant le malade à 3H du matin et une raideur matinale de 2
heures associée à une toux , une hémoptysie et une altération de l’état général .
9.En faveur du caractère symptomatique de la lombalgie chez ce patient
A- Son age
B- Le caractère inflammatoire de la lombalgie
C- La présence de toux et d’hémoptysie
D- Altération de l’état général
E- L’antécédent d’hypercholestérolémie
10. Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A- Spondylodiscite tuberculeuse
B- Métastases osseuses d’un cancer pulmonaire
C- Canal lombaire rétréci
D- Arthrose inter apophysaire postérieure
E- Hernie discale
11. Quel est le bilan radiologique à demander chez ce patient ?
A- Radiographie du rachis lombaire face et profil
B- TDM rachis lombaire
C- Radiographie thoracique
D- IRM rachis lombaire
E- Echographie cardiaque
L'Imagerie a montré des lésions ostéolytiques touchant la 3 ème et la 4 ème vertèbre lombaire.
12. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Spondylodiscite tuberculeuse
B- Métastases osseuses d’un cancer pulmonaire
C- Canal lombaire rétréci
D- Arthrose inter apophysaire postérieure
E- Hernie discale

Page 179Ataraxie
Cas clinique 2:
Patiente âgée de 65 ans ayant comme antécédent une hystérectomie il y a 10 ans et qui présente depuis 5
semaines une lombalgie réveillant la patiente la nuit avec une raideur matinale de 45 min, évoluant dans un
contexte d'altération de l'état général et de fièvre.
13. En faveur du caractère symptomatique de cette lombalgie
A- Antécédent d'hystérectomie
B- Âge de la patiente
C- Sexe féminin
D- Caractère inflammatoire de la lombalgie
E- Altération de l'état général
14. Quel est le diagnostic étiologique le plus probable ?
A- Canal lombaire étroit
B- Ostéoporose
C- Spondylodiscite infectieuse à germes banales
D- Spondylolisthésis
E- Arthrose interapophysaire postérieure
15. Quels sont les bilans radiologiques à demander chez cette patiente ?
A- Radiographie du rachis lombaire face et profil
B- Radiographie du bassin face
C- IRM rachis lombaire
D- Scintigraphie osseuse ,
E- Aucun bilan
Cas clinique 3:
Patient âgé de 27 ans suivi pour la maladie de Crohn depuis 5 ans, et qui présente depuis 2 ans une
lombalgie inflammatoire associé à une fessalgie inflammatoire à bascule
16. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Spondylarthrite
B- Spondylodiscite infectieuse
C- Canal lombaire étroit
D- Arthrose interapophysaire postérieure
E- Myélome multiple
17. Une radiographie du rachis lombaire a été demandée chez ce malade. Quels sont les signes
radiographiques que vous cherchez pour confirmer votre diagnostic ?
A- Condensation vertébrale
B- Mise au carré des vertèbres lombaires
C- Romanus du coin Vertébral
D- Syndesnjobnyte
E- Lyse osseuse au niveau du corps vertébral de L5
Cas clinique 4:
Patient âgé de 40 ans sans antécédents pathologiques, qui présente après un effort de soulèvement une
douleur lombaire qui irradie vers la fesse droite puis la face postérieure de la cuisse, le mollet, la face
postérieure de la jambe et se termine au niveau du petit orteil droit d'horaire mécanique, impulsive à la toux
et à la défécation chez qui l'examen clinique trouve un Lasègue à 50° à droite.
18. Quel est le symptôme que le patient accuse ?
A- Fessalgie
B- Lombalgie
C- Sciatique L5
D- Sciatique SI

Page 180Ataraxie
E- Méralgie fémoro cutanée
19. En faveur d'une radiculalgie commune :
A- Caractère mécanique de la douleur
B- Antécédent de lombalgie
C- Présence de facteur déclenchant
D- Présence de fièvre
E- Présence d'altération de l'état général
20. Quel bilan radiologique à demander chez ce patient ?
A- Radiographie rachis lombaire face et profil
B- TDM lombaire
C- IRM lombaire
D- Scintigraphie osseuse
E- Aucun bilan radiographique
21. Au cours de l'évolution le patient a présenté une incontinence urinaire, une hypoesthésie en selle à
l'examen neurologique Quel, est le bilan radiologique à demander en urgence ?
A- Radiographie rachis lombaire face et profil
B- TDM lombaire
C- IRM lombaire
D- Scintigraphie osseuse
E- Aucun bilan radiographique
Cas clinique 5:
Patient de 59 ans, diabétique et hypertendu qui présente une lombalgie inflammatoire depuis 3 mois
évoluant dans un contexte de fièvre et d’altération de l'état général.
22. En faveur du caractère symptomatique de la lombalgie chez ce patient :
A- Age plus de 55 ans
B- Lombalgie inflammatoire
C- Antécédent de l’hypertension artérielle chez le patient
D- La fièvre
E- L'altération de l'état générale
23. Quels sont les étiologies d’une lombalgie symptomatique?
A- Spondylodiscite infectieuse
B- Hernie discale
C- Ostéoporose
D- Canal lombaire étroit
E- Métastases osseuses lombaires
24. Quels sont les examens complémentaires à demander dans ce cas ?
A- Radiographie du rachis lombaire F et P
B- Radiographie thorax F
C- IRM rachidienne
D- Les hémocultures
E- ECBU
25. La ponction biopsie disco-vertébrale était en faveur d’un mal de pott
Quelle sera votre conduite thérapeutique ?
A- Traitement chirurgicale
B- Antibiotique anti staphylocoque
C- Immobilisation par un corset lombaire
D- Traitement anti-bacillaire
E- Infiltration cortisonique épidurale

Page 181Ataraxie
Cas clinique 5:
Monsieur BD, quarante-cinq ans, enseignant, sans antécédents, vient vous consulter pour une
lombalgie irradiant dans le membre inférieur gauche. La douleur lombaire est apparue il y a
quinze jours après un effort de soulèvement. Il s’agit d’une douleur lombaire basse,
relativement supportable, irradiant à la face postéro-externe de la cuisse, à la face externe de
la jambe et au dos du pied. La douleur est aggravée par les efforts, soulagée par le repos,
impulsive à la toux.
L'examen clinique montre un signe de Lasègue à gauche à 60°, une colonne lombaire enraidie et
douloureuse à la palpation. Il n’y a pas d'anomalie à l'examen neurologique, pas de fièvre, pas d’altération
de l’état général.
26.Quel diagnostic proposez-vous ? Des examens complémentaires sont-ils indispensables à cette étape ?
justifiez votre réponse.
27.Quelques semaines plus tard, le patient revient consulter et rapporte une non amélioration des
symptômes. L’image radiographique et scanographique est compatible avec le tableau clinique. cliché non
disponible
28. Quel traitement proposez-vous ?
Cas clinique 6:
Un patient âgé de 58 ans, tabagique chronique non sevré, consulte pour des lombalgies avec
recrudescence nocturne et un dérouillage matinal à 2 H, permanentes, intenses, EVA douleur 8/10,
évoluant depuis 7 mois d’aggravation progressive sans période de rémission , répondant peu aux
antalgiques palier 2 , évoluant dans un contexte d’amaigrissement chiffré à 4 kg ; Le patient rapporte par
ailleurs —------
L’examen physique retrouve une rectitude lombaire avec un indice de schober a 10 —- une douleur à tous
les mouvements , et un déficit du releveur du gros orteil droit .
29.Dans quelle rubrique étiologique classez-vous la lombalgie ? Argumenter .
30.Quel est le diagnostic le plus probable ?
31.Quel est votre diagnostic topographique ?
32.Quelle est l’imagerie de choix que vous demandez après la radiographie standard du rachis lombaire ?
33.Citez les signes d’alerte rouge devant une lombalgie.
Cas clinique 7:
Mme A. S. âgée de 48 ans, ménopausée à l’âge de 38 ans, ayant comme antécédent une fracture de
Pouteau-Colles droite il y a deux ans à la suite d’une chute de sa hauteur.
La patiente vient consulter pour des dorsalgies basses insomniantes apparues brutalement depuis
quelques jours sans notion de traumatisme.
34. Quel est à votre avis le diagnostic le plus probable ?
35. Quels sont les examens complémentaires à demander pour confirmer votre diagnostic et lés résultats
attendus ?
Cas clinique 8:
Patient de 30 ans, consulte pour des lombalgies évoluant depuis 1 mois, avec multiples réveils nocturnes
et dérouillage matinal d'une heure, évoluant d'un seul tenant dans un contexte d'amaigrissement et
d'altération de L'état Général.
L’examen physique retrouve une fièvre à 38.5°C. TA=13/9. une douleur à la pression des épineuses de L1
et L2, et une raideur lombaire.
36. Quel est le caractère de la lombalgie (mécanique ou inflammatoire) ?
37. Dans quelle rubrique étiologique classeriez vous la lombalgie? Argumentez
38. Quel bilan (biologique et radiologique) demanderiez vous en première intention ?
39. Quelle est L’imagerie de choix pour diagnostiquer l’étiologie de cette lombalgie ?

Page 182Ataraxie
2. Les Radiculalgies ( 3 questions )
1.En faveur d’une radiculalgie commune
A- Caractère inflammatoire de la douleur
B- Présence de facteur déclenchant
C- Impulsivité de la douleur à la toux et à la défécation
D- Altération de l’état général
E- Fièvre
2. En faveur de la sciatique commune:
A- Antécédent de lombalgie
B- Présence d’un facteur déclenchant
C- Caractère mécanique de la sciatique
D- Absence de fièvre
E- La Conservation de l'état général
3. En faveur d'une sciatique L5 commune sur hernie discale
A- Sciatique de type inflammatoire
B- Sciatique impulsive à la toux
C- Lasègue positif à 509
D- Signe de la sonnette positif
E- Signe du caddie positif

3. L’ostéoporose ( 2 questions )
1. Parmi les étiologies d'une ostéoporose secondaires :
A- La corticothérapie
B- Hypogonadisme
C- La polyarthrite rhumatoïde
D- L’immobilisation
E. L'alcoolisme
2. L’ostéoporose de type 1:
A- Est appelée aussi ostéoporose post-ménopausique
B- Est appelée aussi ostéoporose sénile
C- Intéresse l’os trabéculaire et corticale
D- Peut être responsable d'une fracture de Pouteau-Colles
E- Peut être responsable de fractures des vertèbres cervicales
F- Peut être traitée par des bisphosphonates

4. L’ostéomalacie ( 2 questions )
1.Parmi les signes radiographiques de l’ostéomalacie
A-Aspect fou des corticales
B-Stries de Looser-Milkman
C-Déminéralisation épiphysaire en bande des mains
D-Fractures vertébrales
E-Aspect sain du cliché
2. Parmi les étiologies des ostéomalacies :
A- L’insuffisance hépatique
B- L’insuffisance rénale
C- La maladie coeliaque
D- L’insuffisance pancréatique

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5. Diagnostic d’une hanche douloureuse de l’adulte ( 24 questions )
1. La douleur de hanche :
A- Se localise typiquement au grand trochanter
B- Peut se manifester par une localisation isolée au genou
C- Peut s'associer à une attitude vicieuse en adduction et rotation interne du membre inférieur
D- Le diagnostic étiologique se base sur les données de la radiographie standard
E- La tendinite du moyen fessier (glutéal) fait partie de ses étiologies
2. La douleur de hanche peut être localisée :
A- Au pli de L'aine irradiant vers la face antérieure de la cuisse
B- Au pli inguinal avec irradiation à la face antérieure de la cuisse
C- A La fesse
D- A la symphyse pubienne
E-Au grand trochanter
F-Au genou
3. Parmi les étiologies d’une douleur de hanche :
A- L'ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
B- L’enthésopathie ischiatique
C- Une fissure osseuse du col du fémur
D- L'algodystrophie
4.Parmi les étiologies d'une douleur de hanche avec un pincement électif de la coxo-fémorale à la
radiographie de bassin
A- Arthrite septique de la hanche
B- Arthrite rhumatismale
C-Capsulite rétractile
D-Coxarthrose
E- Chondrocalcinose articulaire
5. Parmi les facteurs de risque de l'ostéonécrose aseptique non traumatique de la tête fémorale :
A- La prise de diurétiques
B- La drépanocytose
C- Le Syndrome des antiphospholipides
D- L’éthylisme
E- La prise de corticoïde
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 62 ans, obèse et diabétique qui présente depuis 2 ans une douleur intermittente de
l’articulation coxofémorale gauche qui s’aggrave à l’effort et cède au repos avec une raideur matinale de 10
min.
6. En faveur du caractère mécanique de la douleur:
A- Douleur qui cède au repos
B- Douleur qui s’aggrave à l’effort
C- Douleur avec une raideur matinale de plus de 30 min
D- Douleur avec une raideur matinale de moins de 30 min
E- Douleur qui réveille le malade la nuit
7. Parmi ces localisations , lesquelles peuvent correspondre au siège de la douleur coxo-fémorale?
A- Pli de l’aine
B- La région trochantérienne
C- La région fessière
D- La face interne de la cuisse
E- Le genou

Page 184Ataraxie
8. Quel est le bilan radiologique à demander en première intention ?
A- Radiographie du bassin face
B- IRM du bassin
C- Echographie de la hanche
D- TDM du bassin
E- Scintigraphie osseuse
9. L’imagerie réalisée a montré un pincement supéro externe.de l'interligne coxofémoral
gauche. Quel est votre diagnostic ?
A- Coxite tuberculeuse
B- Ostéonécrose de la tête fémorale
C- Coxarthrose
D- Algodystrophie
E- Coxite métabolique
Cas clinique 2:
Patient âgé de 55 ans qui présente depuis 2 ans une douleur la hanche gauche d'horaire mécanique chez
qui la radiographie du bassin face a montré un pincement supéro-externe de l'articulation coxo-fémorale
gauche.
10. Quel diagnostic reteniez-vous ?
A- Coxite septique
B- Coxite rhumatismale
C- Algoneurodystrophie
D- Ostéonécrose
E- Coxarthrose
Cas clinique 3:
Patiente âgée de 60 ans, qui pèse 85 Kg et qui accuse une douleur coxo-fémorale droite
mécanique depuis 3 ans.
11- En faveur du caractère mécanique de la douleur
A-Douleur qui réveille la patiente la deuxième moitié de la nuit
B-Douleur avec une raideur matinale plus de 30 min
C-Douleur qui apparait à l’effort
D-Douleur avec une raideur matinale de moins de 30 min
E-Douleur qui cède au repos
12- Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Arthrite septique de la hanche
B- Coxarthrose
C- Tumeur du cotyle
D- Coxite dans le cadre d’une spondylarthrite
E- Coxite dans le cadre d'une pathologie métabolique
13- Vous demandez une radiographie du bassin face, quels sont les signes radiographiques qui confirment
le diagnostic ?
A- Pincement coxo-fémoral supéro-externe
B- Pincement coxo-fémoral global
C- Condensation au niveau de la tête fémorale droite
D- Lyse osseuse du cotyle
E- Sacroiliite

Page 185Ataraxie
Cas clinique 4:
Patiente âgée de 65 ans, diabétique depuis 10 ans et qui présente une douleur inflammatoire coxo
fémorale droite depuis 3 semaines évoluant dans un contexte de fièvre et altération de l'état général chez
qui l'examen clinique trouve une fièvre à 39°, une douleur et une limitation de la hanche droite :
14- Quelles sont les localisations possibles d'une douleur coxo-fémorale
A- Genou
B- Symphyse pubienne
C- Pli de l'aine irradiant vers la face antérieure de la cuisse
D- Trochantérienne
C- Fessière
15- Quel est le bilan radiologique à demander en première intention
A- Radiographie du bassin face
B- IRM bassin
C- TDM bassin
D- Scintigraphie osseuse
E- Radiographie du thorax
16- Devant un pincement globale de l'interligne coxo-fémorale, quelles sont les étiologies à évoquer ?
A- Coxite infectieuse
B- Coxarthrose
C- Coxite de polyarthrite rhumatoïde
D- Ostéonécrose de la tête fémorale
E- Algodystrophie
17- La ponction articulaire a ramené un liquide puriforme inflammatoire avec GB 100000/mm3 avec
prédominance de PNN altérées, la radiographie thoracique a montré un foyer pulmonaire. Quel est le
diagnostic le plus probable
A- Coxite infectieuse
B- Coxarthrose
C- Coxite de polyarthrite rhumatoïde
D- Ostéonécrose de la tête fémorale
E- Coxite de chôrdrocaldnose articulaire
Cas clinique 5:
Patiente âgée de 65 ans , qui pèse 100 kg. accuse une douleur mécanique de la coxo-fémorale droite
depuis 4 mois.
18. En faveur du caractère mécanique de la douleur
A- Douleur qui réveille le patient la deuxième moitié de la nuit
B- Douleur avec une raideur matinale qui dépasse 30 min
C- Douleur qui s’aggrave avec la marche
D- Douleur qui cède au repos
E- Douleur avec une raideur matinale inférieure à 30 min
19. Quel est le bilan radiologique à demander en première intention ?
A- Radiographie du bassin face en charge
B- Echographie de la hanche
C- TDM bassin
D- IRM bassin
E- Scintigraphie osseuse
20. En faveur du diagnostic radiographique d’une coxarthrose
A- Pincement total de l’interligne coxo-fémorale
B- Pincement électif de l’interligne coxo-fémorale
C- Erosions sous chondrales

Page 186Ataraxie
D- Géodes sous chondrales
E- Ostéophytose fémorale et cotyloïdienne
La patiente a fait une poussée de sa coxarthrose, une ponction échoguidée de la hanche a révélé un
liquide mécanique
21. En faveur d’un liquide articulaire mécanique:
A- Liquide visqueux avec un signe du fil
B- Liquide fluide
C- Globules blancs ≥ 2000/mm3
D- Globules blancs < 2000/mm3
E- Polynucléaires neutrophiles ≥ 90 %
Cas clinique 6:
Patiente âgée de 55 ans, diabétique qui présente depuis un mois une douleur coxo-fémorale droite
d'installation brutale avec altération de l'état général. La radiographie du bassin face en charge a montré un
pincement global de l'interligne coxo-fémoral.
22. Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A- Coxarthrose
B- Spondylarthrite
C- Chondrocalcinose .
D- Ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
E- Arthrite infectieuse
Le bilan biologique a montré une hyperleucocytose à 15500/mm3, PNN : 9800/mm3, une CRP à 98 mg/l et
une VS 100 mm/la première heure
23. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Coxarthrose
B- Spondylarthrite
C- Chondrocalcinose
D- Ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
E- Arthrite infectieuse
24. Quels examens complémentaires allez-vous demander ?
A- Bilan phosphocalcique et parathormone
B- HLA B27 .
C- Echographie de la hanche
D- Ponction et analyse du liquide articulaire de la hanche
E- Hémocultures

6. Les rhumatismes abarticulaires


Pas de questions disponibles

7. La Polyarthrite Rhumatoïde ( 10 questions )


1.La lésion radiographique précoce et ayant une valeur diagnostique au cours de la polyarthrite rhumatoïde
est (une seule réponse est juste) :
A- Érosion de la cinquième tête métacarpienne
B- Érosion de la cinquième tête métatarsienne
C- Erosion de la première tête métatarsienne
D- Géode de la première tête métatarsienne
E- Pincement de la cinquième interphalangienne proximale
F- Pincement de la deuxième interphalangienne distale
G- Pincement de la radio-carpienne

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2. Parmi les déformations observées au cours d'une polyarthrite rhumatoïde dans sa phase d'état :
A- Le doigt en maillet correspond à la déformation de l'IPP en flexion
B- La boutonnière correspond à une flexion de l'IPP associée à une hyper-extension de l'IPD
C- Le col de cygne correspond à une hyper-extension de l'IPP associée à une flexion de l'IPD
D- Le pouce en Z correspond à une flexion de la MCP associée à une hyper-extension de
l'interphalangienne
E- L'hallux valgus correspond à la déviation de la base du gros orteil vers l'extérieur
3. Au cours de la polyarthrite rhumatoïde, deux atteintes ont une importance pronostique considérable :
A- La radio-carpienne
B- La coxo-fémorale
C- L’huméro-ulnaire
D- Le rachis cervical
E- Le rachis lombaire
F- La charnière dorso-lombaire
G- La fémoro-tibiale
H- La gléno-humérale
4. Le syndrome de Felty :
A- Est une manifestation extra-articulaire des spondyloarthrites
B- Est une manifestation extra-articulaire de la polyarthrite rhumatoïde
C- Se manifeste par une hyperleucocytose
D- Se manifeste par une hépatomégalie
E- Se manifeste par une leuco-neutropénie
5. Parmi les lésions radiographiques de la polyarthrite rhumatoïde :
A- On trouve la condensation des MTP
B- Les géodes se localisent au niveau de la zone d'insertion de la membrane synoviale
C- Il /a un pincement des MCP
D- L'érosion de la cinquième tête métatarsienne est un signe précoce
E- La luxation atloido-axoidienne est recherchée sur une radiographie du rachis cervical de
profil en hyperextension
6. Le facteur rhumatoïde :
A- Est spécifique de la PR
B- N'est pas spécifique de la PR
C- Est positif dès les premières semaines d'évolution de la PR
D- Sa présence est obligatoire pour le diagnostic positif de la PR
E- Ne fait pas partie des critères ACR/EULAR
F- Aucune proposition n'est juste
7. Le traitement de fond à prescrire en première intention au cours de la polyarthrite rhumatoïde est :
A- Une corticothérapie
B- Un anti-TNF alpha
C- Un anti-CD20
D- Un anti-inflammatoire non stéroïdien
E- Le méthotrexate
8. Quel est le premier traitement de fond proposé dans la polyarthrite rhumatoïde (une seule proposition) :
A- Le Leflunomid
B- La salazopyrine
C- Un corticoïde (comme la prédnisone)
D- Le méthotrexate
E- Un anti-TNF alpha

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9. En cas d'échec de ce traitement, quel est le premier traitement biologique proposé (une seule
proposition) :
A- Le tocilizumab
B- Le rituximab
C- L'étanercept
D- Le golimumab
E- L'adalimumab
10. Bilan de surveillance du traitement par méthotrexate comprend :
A- Numération de la formule sanguine
B- Créatinine sanguine
C- GCT
D- Transaminases
E- Protéinurie des 24 heures
F- Kaliémie

8. Les spondylarthropathies ( 18 questions )


1. Les enthèses sont les zones d’insertion osseuse :
A- Des tendons
B- Des capsules
C- Du cartilage
D- Des ligaments
E- Des ménisques
2. La raideur du rachis dorsal est recherchée par :
A- La manoeuvre clinico-statique
B- L’ampliation thoracique
C- La manoeuvre du trépied
D- Le test de Patrick
E- la manoeuvre de Wolkmann
3. La recherche d'une raideur du rachis lombaire au cours des spondyloarthrites se fait par :
A- L'ampliation thoracique
B- L'indice de Shober
C- Le signe de Lasègue
D- La distance doigts sol
E- La distance L3-mur
C-La manoeuvre de tripled
D-Le test de Patrick
4. L'enthésite :
A- Est souvent observée au cours de la polyarthrite rhumatoïde
B- Peut évoluer vers des appositions périostées
C- Peut être à l'origine de talalgies postéro-inférieures
D- Peut évoluer vers une ossification
5. A part les talalgies , quelles sont les atteintes enthésiques les plus fréquentes au cours des
spondyloarthrites ?
A- Grand trochanter
B- Tubérosité tibiale antérieure
C- Epaule
D- Rotule
E- Poignet
F- Coude

Page 189Ataraxie
G-Ischion
6. La classification radiologique des spondylarthropathies
A- Est appelée classification de Lesquene
B- Fait partie des critères d'Amor
C- Le stade II correspond à une irrégularité des berges
D- Le stade IV correspond à une condensation des berges
E- Le stade I correspond à un élargissement et flou articulaires
7. En faveur du diagnostic positif des spondylarthropathies :
A- L'existence de douleurs fessières à bascule d'horaire inflammatoire
B- L'existence de fessalgies inflammatoires à bascule
C- L'existence d'une diarrhée aiguë un mois avant l'installation de l'arthrite
D- L'existence d'une diarrhée aiguë deux mois avant I’installation de l'arthrite
E- L'amélioration spectaculaire des douleurs sous diclofénac
F- L'amélioration spectaculaire des douleurs sous corticoïdes
G- Un HLA B27 positif obligatoire
H- L'existence d'un Romanus magnétique à l'IRM du rachis
8. En faveur du diagnostic positif des spondyloarthrites :
A- L’existence d’une dorsalgie inflammatoire
B- Un antécédent d’uvéite
C- L’existence d’une diarrhée aiguë deux mois avant L'installation de l'arthrite
D- L’existence d’une oligoarthrite asymétrique des membres inférieurs
9. En faveur du diagnostic positif clinique d’une spondylarthrite :
A- Des lombalgies mécaniques
B- Un indice de Schober à 10 + 2 cm
C- Des douleurs thoraciques antérieures inflammatoires
D- Une pseudo-sciatique postérieure inflammatoire
E- Des talalgies inférieures inflammatoires
F- Une douleur fessière inflammatoire irradiant à la face postérieure de la cuisse
10. Parmi les étiologies des spondyloarthropathies :
A- Les arthrites réactionnelles
B- La rectocolite hémorragique
C- Le rhumatisme psoriasique
D- La maladie coeliaque
E- La maladie de Crohn
F- La maladie périodique
Cas clinique 1:
Patient de 26 ans, présente depuis 5 ans des dorso-lombalgies et fessalgies
tantôt à droite tantôt à gauche, associées à des talalgies bilatérales au premier pas du
matin et qui disparaissent après un certain moment de marche. Cette symptomatologie
réveille le patient 3 à 4 fois à partir de 4 heures du matin et occasionne une raideur
matinale avec un temps de dérouillage de plus de trois heures.
A l'examen clinique : indice de Schôber à 10 +1,5 cm et ampliation thoracique à 7,5 cm.
11. Quels sont les éléments cliniques en faveur d'une spondyloarthrite chez ce patient ?
A- La raideur du rachis dorsal
B- Les talalgies inflammatoires
C- La raideur du rachis lombaire
D- Les fessalgies inflammatoires à bascule

Page 190Ataraxie
12. Une radiographie du bassin a objectivé une sacroliliite bilatérale avec condensation
des berges des sacro-iliaques.
A- La sacroiliite est classée au stade II selon la classification de Forestier
B- La sacroiliite est classée au stade III selon la classification de Forestier
C- Il faudrait compléter par le typage HLA B27
D- Il faudrait compléter par une IRM des sacro-iliaques
13. Parmi les atteintes extra-articulaires à rechercher chez ce patient :
A- Une atteinte respiratoire
B- Une uvéite
C- Une atteinte cardiaque
D- Une ostéoporose
14. Quelles sont les étiologies à rechercher ?
A- Une arthrite réactionnelle
B- Une rectocolite hémorragique
C- Une maladie coeliaque
D- Un rhumatisme psoriasique
Cas clinique 2:
Patient de 28 ans, présente depuis environ 3 ans des lombalgies et fessalgies tantôt à droite tantôt à
gauche, associées à des talalgies bilatérales au premier pas du matin et qui disparaissent après un
certain moment de marche. Cette symptomatologie réveille le patient 4 fois à partir de 4 heures du
matin et occasionne une raideur matinale avec un temps de dérouillage de plus de deux heures. A
l'examen clinique : indice de Shober à 10 + 2 cm et ampliation thoracique à 7 cm.
15. En faveur du diagnostic positif clinique d'une spondyloarthrite :
A- Une raideur du rachis dorsal
B- Des lombalgies mécaniques
C- Des talalgies inflammatoires
D- Une raideur du rachis lombaire
E- L'existence de fessalgies inflammatoires à bascule
16. Une radiographie du bassin a objectivé une sacroliliite bilatérale avec condensation des berges
des sacro-iliaques.
A- La sacroiliite est classée au stade II selon la classification de Forestier
B- La sacroiliite est classée au stade III selon la classification de Forestier
C- La sacroiliite est classée au stade IV selon la classification de Forestier
D- Il faudrait compléter par le typage HLA B27
E- Il faudrait compléter par une IRM des sacroiliaques
17. Parmi les atteintes extra-articulaires à rechercher chez ce patient :
A- Une atteinte respiratoire
B- Une uvéite
C- Une atteinte cardiaque
D- Une atteinte hépatique
E- Une ostéoporose
18. le traitement de première intention comporte :
A- La prédnisone
B- Un anti-TNF alpha
C- La rééducation
D- Un anti-inflammatoire non stéroïdien
E- Le méthotrexate

Page 191Ataraxie
9. L’arthrose ( 10 questions )
1. Quelles sont les localisations les plus fréquentes de l'arthrose :
A- La rnétatarsophalagienne du gros orteil .
B- La gléno-humérale
C- La trapézo-métacarpienne
D- La fémoro-tibiale
E- La coxo-fémorale
2. Quels sont les signes radiologiques cardinaux de l'arthrose :
A- Pincement global de l'interligne articulaire
B- Géodes sous chondrales
C- Érosions osseuses
D- Syndesmophytes
E- Condensation de l'os sous chondral
F- Pincement local de l'interligne articulaire
G- Condensation sous chondrale
H- Enthésophyte
I- Pincement de L'interligne articulaire
3. Quelles sont les caractéristiques du liquide articulaire arthrosique :
A- Aspect fluide
B- Existence du signe du fil
C- Cellules > 1500/mm3
D- PNN < 50%
E- Aspect trouble
4. Le genu valgum :
A- Est souvent associé à une gonarthrose fémoro-tibiale interne
B- Est souvent associé à une gonarthrose fémoro-patellaire
C- Est souvent associé à une coxarthrose
D- Est souvent associé à une gonarthrose fémoro-tibiale externe
E- L’importance de la déviation est appréciée en mesurant la distance intercondylienne
5. Le genu varum :
A-Est souvent associé à une gonarthrose fémoro-tibiale interne
B-Est souvent associé à une gonarthrose fémoro patellaire
C- Est souvent associé à une coxarthrose
D- Est souvent associé à une gonarthrose Fémoro-tibiale externe
E- L'importance de la déviation est appréciée en mesurant la distance intercondylienne
6. Le syndrome fémoro-patellaire se caractérise par :
A- Une gonalgie d'horaire inflammatoire
B- Une gonalgie antérieure
C- Une gonalgie exagérée lors de la descente des escaliers
D- Une gonalgie améliorée en position assise prolongée
E- Une gonalgie réveillée par le palper rotulien
7. Parmi les signes suivants lequel ou lesquels s'observent dans un syndrome fémoro-
patellaire ?
A- Douleur à la descente des escaliers
B- Tiroir antérieur
C- Signe de rabot
D- Douleur à la station assise prolongée
E- Blocages du genou en demi-flexion

Page 192Ataraxie
8. Le signe du Rabot :
A- Est recherché dans l'arthrose fémoro-tibiale interne
B- Est recherché dans l'arthrose coxo-fémorale
C- Est recherché dans l'arthrose fémoro-patellaire
D- Se caractérise par la perception d'un craquement lors des mouvements de flexion-extension du genou
E- Se caractérise par la perception d'un craquement lors des mouvements de flexion-extension de la
hanche
9. La coxarthrose :
A- Se manifeste par des douleurs inguinales d'horaire mécanique
B- Peut d'accompagner d'un amaigrissement
C- Peut être asymptomatique
D- Peut être secondaire à un défaut de couverture externe de la tête fémorale
E- Peut être secondaire à un défaut de couverture antérieure de la tête fémorale
10. La coxarthrose secondaire :
A- Est souvent tardive avec une évolution lente
B- Peut être secondaire à une ostéonécrose aseptique de la tête fémorale
C- Peut être secondaire à une dysplasie de hanche
D- Peut être secondaire à une coxite infectieuse

10. La goutte ( 5 questions )


1.Quelles sont les caractéristiques du liquide articulaire dans la crise aiguë de goutte :
A- Aspect fluide .
B- Présence du signe du fil .
C- Leucocytes > 1500/mm3
D- PNN < 50%
E- Présence de microcristaux de pyrophosphate de calcium
2. Les localisations les plus fréquentes des tophi sont :
A- L’hélix de l’oreille
B- L’olécrane
C- Le tendon d’Achille
D- Les cuisses
E-Les mains
F-Les pieds
3. Les différents tableaux d’une goutte chronique sont :
A- Les arthropathies uratiques
B- Les pancréatites goutteuses chroniques
C- Les néphropathies goutteuses ,
D- Les hépatopathies goutteuses
E- Les tophi
F- Les hépatopathies de surcharge
G- La lithiase rénale
H- L'arthrite goutteuse de la première métatarso-phalangienne
4. Les étiologies de la goutte secondaire sont :
A-Insuffisance hépatique
B-Prise du losartan
C- Prise d'antibacillaires
D- Insuffisance rénale chronique
E- Psoriasis cutané étendu
F- Insuffisance hépatique sévère

Page 193Ataraxie
G- Prise de diurétiques
5. Les traitements d'un accès aigu de goutte sont :
A- L'allopurinol
B- Le diclofénac
C- La colchicine
D- L'uricase
E- Les salicylés à faibles doses

11. Diagnostic d’une monoarthrite ( 3 questions )


1. La monoarthrite :
A- Est une inflammation articulaire à point de départ cartilagineux
B- Le diagnostic positif est confirmé par l'IRM
C- La poussée congestive d'arthrose est l'une de ses étiologies
D- Le diagnostic positif est confirmé par l'analyse du liquide de la ponction articulaire
E- La coxalgie est l'une de ses étiologies
2. Les caractéristiques d'un liquide articulaire inflammatoire :
A- Cellularité > 2000 éléments / mm3
B- L'existence d’un signe du fil
C- PNN < 50 %
D- Lymphocytes > 20%
E- Aspect fluide
3. Parmi les étiologies d'une monoarthrite aiguë on retrouve :
A- La poussée congestive d'arthrose
B- L'arthrite goutteuse
C- L'hémarthrose
D- L'arthrite gonococcique
E- La bursite pré-rotulienne
F- L'arthrite réactionnelle

12. Diagnostic d’une épaule douloureuse ( 10 questions )


1. Concernant l'examen de l'épaule
A-Il doit être fait une manière comparative
B-Les mesures des amplitudes atoulaires sont faites à l’aide d’un goniomètre
C-La mobilisation active est quand c’est le malade qui effectue les manoeuvres
D-La mobilité passive est quand c'est l’examinateur qui exerce les mouvements au patient
E-La mobilitée contrainée a comme but de rechercher une origine tendineuse
2. Quels sont les points douloureux à rechercher en examinant l’épaule :
A- Le sous acromial
B- L’acromio-claviculaire
C- Le sterno-claviculaire
D- Le scapulaire
E- Le sillon delto-pectoral
3. Parmi les étiologies d'une épaule douloureuse simple :
A-Tendinopathie calcifiante
B- Omarthrose
C- Bursite Aiguë microcristaline
D- Rupture tendineuse
E- Arthrite septique

Page 194Ataraxie
4. Parmi les étiologies d’une douleur de l’épaule :
A- Une tendinite de la longue portion du biceps
B- Une omarthrose
C- Une tumeur de la tête humérale
D- Une névralgie cervico-brachiale C5
5. L'épaule pseudoparalytique :
A- Est secondaire à une rupture tendineuse
B- Peut entrer dans le cadre d’un syndrome épaule main
C- Les mouvements passifs sont impossibles
D- Le diagnostic peut être confirmé par L'échographie
6. Le syndrome épaule-main :
A- Se manifeste cliniquement par une épaule pseudoparalytique
B- Le diabète est l'un des facteurs de risque
C- L'échographie est très contributive au diagnostic positif
D- Se manifeste cliniquement par une phase douloureuse puis une phase de raideur
E- L'arthro-scanner de l'épaule montre une diminution de la capacité articulaire
Cas clinique 1:
Patiente âgée de 65 ans diabétique et hémodialysée chronique qui présente depuis 2 semaines une
douleur inflammatoire intense de l'épaule droite évoluant dans un contexte d'altération de l'état
général et fièvre. L'examen clinique trouve une épaule tuméfiée impossible à mobiliser.
7. En faveur du caractère inflammatoire de la douleur
A- Une douleur qui apparaît à l'effort
B- Une douleur qui cède au repos
C- Une douleur avec une raideur matinale <30 min
D- Une douleur avec une raideur matinale > 30 min
E- Une douleur nocturne
8. Quel est le diagnostic le plus probable chez notre patiente ?
A-Tendinopathie simple du supraspinatus
B- Capsulite rétractile
C- Arthrite septique de l'épaule
D- Ostéonécrose de la tête humérale
E- Algoneurodystrophie
9. Quels sont les deux bilans radiologiques à demander en urgence ?
A- Radiographie standard des 2 épaules
B- Echographie de l'épaule droite
C- Arthroscanner
D- IRM
E- Scintigraphie
Cas clinique 2:
Patiente de 55 ans. diabétique depuis 15 ans avec un diabète mal équilibré consulte pour des scapulalgies
droites évoluant depuis 2 mois avec une limitation progressive des amplitudes articulaires à l’origine d'un
handicap fonctionnel .
L’examen physique retrouve une limitation des mouvements passifs et actifs de l’épaule droite plus
marquée dans l’abduction et la rotation externe .
9.Quel est votre diagnostic ? Argumentez

Page 195Ataraxie
13.Autres ( 5 questions )
1. La douleur d'horaire inflammatoire :
A- Est également appelée douleur mixte
B- Est souvent en rapport avec l’effort
C- Réveille le patient au cours de la deuxième moitié de la nuit
D- Est responsable d’un temps de dérouillage matinal de moins de trente minutes
E- Fait partie des signes fonctionnels de la coxarthrose
2. En faveur du caractère inflammatoire de la Douleur
A- Douleur avec un dérouillage matinal supérieur à 30 min
B-Douleur avec un dérouillage matinal inférieur à 30 min
C-Douleur qui réveille le patient la deuxième moitié de la nuit
D- Douleur qui cède au repos
E- Douleur qui s'aggrave à la marche
3. En cas de sciatique paralysante, quel est le bilan radiologique à réaliser en urgence ?
A- Radiographie du rachis lombaire face et profil
B- IRM rachidienne
C- TDM rachis lombaire
D- Scintigraphie osseuse
4. Un traitement de fond type méthotrexate est indiqué dans :
A- Les spondyloarthrites périphériques
B- Toutes les formes des spondyloarthrites axiales
C- La polyarthrite rhumatoïde
D- Les spondyloarthrites axiales réfractaires aux anti-inflammatoires non stéroïdiens
E- Le rhumatisme psoriasique avec atteinte périphérique érosive
5. En faveur du caractère symptomatique d'une névralgie cervico brachiale :
A- Douleur avec une raideur matinale de plus de 30 min
B- Douleur rebelle au traitement antalgique
C- Douleur qui cède au repos
D- Douleur associée à une altération de l'état général

14. Cas cliniques généraux ( 17 questions )


Cas clinique 1:
Patient âgé de 45 ans sans antécédents particuliers qui accuse une lombalgie mécanique depuis 1
an avec des radiculalgies mal systématisées. Cette lombalgie est majorée par l'hyperextension et
soulagée par la position penchée en avant
1. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Canal lombaire rétréci
B- Hernie discale
C- Fracture vertébrale
D- Métastases osseuses
E- Myélome multiple
Ce patient a présenté brutalement des troubles sphinctériens à type d'incontinence anale avec un
déficit moteur des 2 membres inférieurs
2. Quel le bilan radiologique à demander en urgence ?
A- Radiographie standard du rachis lombaire
B- TDM lombaire
C- IRM médullaire

Page 196Ataraxie
D- Scintigraphie osseuse
E- Electromyogramme
Cas clinique 2:
Patiente âgée de 55 ans qui présente des douleurs osseuses mécaniques chroniques prédominant au
rachis et aux ceintures avec des arthralgies mécaniques et des myalgies mécaniques évoluant dans un
contexte de conservation de l’état général.
Le bilan biologique a montré une hypocalcémie, hypocalciurie et une carence en vitamine D.
3. Quel est le diagnostic le plus probable ?
A- Ostéoporose post ménopausique
B- Ostéomalacie
C- Hyperparathyroïdie
D- Ostéodystrophie rénale
E- Myélome multiple
4. Le traitement repose sur :
A- Association vitamine D et calcium
B- Calcium seul
C- Bisphosphonates
D- Méthotrexate
E- Anti TNF α
Cas clinique 3:
Patiente de 48 ans. consulte pour des douleurs osseuses et musculaires diffuses mécaniques évoluant
depuis environ 6 mois. Le bilan avait montré une vitamine D à 5 ng/ml (valeur normale : 30-50 ng/ml).
Calcémie corrigée à 88 mg/1 (95-105 mg/1), PTH à 60 pg/ml (10-60 pg/ml)
5. Quel est le diagnostic le plus probable :
A- Ostéoporose post ménopausique
B- Myélome multiple
C- Hyperparathyroïdie
D- Ostéodystrophie rénale
E- Ostéomalacie
6. Parmi ces signes cliniques quels sont ceux qui orientent votre diagnostic :
A- Marche dandinante pseudomyopathique
B- Déformation des membres inférieurs en genu van»m ou genu valgum
C- Déformation du thorax
D- Perte de la taille.
E- Présence d’arthrite
7. Quelles sont les étiologies à rechercher ?
A- Insuffisance pancréatique
B- Insuffisance hépatique
C- Insuffisance rénale chronique
D- Maladie coeliaque
E- Maladie de crohn
Cas clinique 4:
Patient de 58 ans diabétique qui présente une douleur inflammatoire du genou gauche avec à l’examen
clinique un épanchement articulaire avec des signes inflammatoires en regard, et une température à 38.5°
8. Quels sont les diagnostics les plus probables ?
A- Tumeur osseuse
B- Arthrite septique du genou
C- Ostéonécrose du condyle externe

Page 197Ataraxie
D- Algodystrophie du genou
E- Arthrite goutteuse du genou
9. Quelle sera votre conduite à tenir ?
A- Ponction du genou
B- IRM du genou
C- Scintigraphie du genou
D- Radiographie standard des genoux
E- TDM du genou
10. L’analyse du liquide articulaire était en faveur d’un liquide inflammatoire avec
la présence de cocci gram positif à L'examen direct. Quel est le diagnostic retenu
A- Tumeur osseuse
B- Arthrite septique du genou
C- Ostéonécrose du condyle externe
D- Algodystrophie du genou
E- Arthrite goutteuse du genou
Cas clinique 5:
Madame FJ âgée de 50 ans, suivie pour une insuffisance rénale chronique, est hospitalisée au service de
rhumatologie pour des douleurs osseuses diffuses d’installation progressive évoluant depuis quatre ans,
d’allure mécanique, siégeant surtout au rachis lombaire et à la région pelvi-crurale associées à une
asthénie.
A l’examen clinique les articulations sont libres, l’examen neurologique est normal, il existe par ailleurs un
déficit musculaire rhizomélique .
11. Devant ce tableau quelle (s) est (sont) votre (vos) hypothèse (s) diagnostique (s) ? justifiez votre
réponse.
12. Pour étayer votre diagnostic, quel bilan biologique et radiologique demander et pourquoi ?
Cas clinique 6:
Mlle F.G , âgée de 34 ans , consulte pour une douleur de l’aine gauche de type mécanique . Elle est suivie
en néphrologie pour une maladie lupique avec atteinte rénale traitée par des bolus d’endoxan et de
solumedrol et une corticothérapie depuis 3 ans à forte dose au début , elle est actuellement sous 10 mg/j
de prednisone.L’examen retrouve une boiterie du côté gauche. L’examen de l’articulation coxo-fémorale.
gauche est non limitée mais douloureuse en fin de rotation.
Sur le plan biologique : VS= 20 mm/1ére heure , CRP < 6 mg/l. La radiographie du bassin objective une
déminéralisation de la tête fémorale avec présence d’une clarté sous-chondrale. L’interligne articulaire
coxo-fémorale est conservée.
13. Quel est votre diagnostic ?
14. Citez les deux facteurs étiologiques retrouvés dans l’observation
15. Quel est l'examen complémentaire de choix que vous allez demander pour affirmer votre diagnostic ?
Cas clinique 7:
Patient de 30 ans, présente depuis quelques jours et de façon brutale une douleur inflammatoire avec
tuméfaction du genou droit évoluant dans un contexte d'altération de l'état général et de sensation fébrile.
Examen : patient en mauvais état général, genou droit tuméfié, chaud, très douloureux à la mobilisation
avec un choc rotulien. T° : 39.4.
Bilan : VS= 60 mm à la 1ère h, CPP = 140 mg/l.
16. Quel diagnostic évoquer en priorité ?
17. Quel sera votre conduite à tenir diagnostique et thérapeutique ?

Page 198Ataraxie
Médecine physique et Réadaptation

1. Introduction à la MPR
Pas de questions disponibles

2. Principes de l’antalgie interventionnelle


Pas de questions disponibles

3. Principes de l’antalgie interventionnelle : échographie interventionnelle


Pas de questions disponibles

4. Lésions musculaires ( 4 questions )


1. Dans le bilan diagnostic d’une lésion musculaire des ischio-jambiers chez un sportif , quel est l’examen
clé à réaliser ? :
A- Radiographies standards
B- TDM de la cuisse
C- Echographie musculo-squelettiques
D- IRM de la cuisse
E- IRM du bassin
2. Dans le bilan diagnostic d'une lésion musculaire des ischio-jambiers chez un sportif, quel est l’examen à
réaliser chez le sportif de haut niveau avec une discordance clinico - échographique ?
A-Radiographies standards
B- TDM de la cuisse
C-Echographie musculo-squelettique
D- IRM de la cuisse
E-Scintigraphie osseuse
3. Dans la classification des lésions musculaires de Rodineau et Durey (anatomique), le stade 4
correspond à :
A-Atteinte réversible de la fibre musculaire
B-Rupture ou désinsertion musculaire complète
C-Atteinte irréversible d'un nombre réduit de fibres musculaires
D-Hématome localisé
E-Élongation musculaire
4. Dans la classification des lésions musculaires de Rodineau et Durey Anatomique, la rupture musculaire
complète correspond au :
A- Stade 0
B- Stade 1
C- Stade 2
D- Stade 3
E- Stade 4

Page 199Ataraxie
5. Syndromes canalaires ( 4 questions )
1. Devant un syndrome du canal carpien, lesquelles de ces affirmations sont exactes ?
A- Le but des tests de provocations est de chercher un déficit moteur
B- Le test de Tinel consiste à percuter le nerf médian à son entrée du canal carpien
C- Le test de Phalen consiste à maintenir le poignet en extension pendant 60 secondes
D- L'EMG est utile en cas de doute diagnostique
E- La libération chirurgicale est indiquée en première intention dans les formes graves
2. Un diagnostic différentiel ne figure pas parmi les diagnostics différentiels du syndrome du canal carpien ,
lequel ?
A- Syndrome du canal de Guyon
B- Atteinte du nerf médian au coude
C- Radiculalgie C6
D- Radiculalgie C4
E- Atteinte plexique (défilé thoraco-brachial)
F- Syndrome du piriforme
3. Dans le syndrome du piriforme la douleur fessière est souvent accompagnée de :
A- Sciatalgie
B- Névralgie cervico brachiale
C-Cruralgie
D- Cervicalgie
E- Méralgie
4. Dans le syndrome du piriforme résistant aux traitements usuels, il est préconisé de faire
une decontracture musculaire avec injection de ?
A- Acide hyaluronique
B- Acide folique
C- Toxine botulique
D- Méthotrexate
E- Plasma riche en plaquettes

6. Pathologie de l’épaule en MPR


Pas de questions disponibles

Page 200Ataraxie
Hématologie clinique Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens de Oncologie-Hématologie
clinique
-( 2009-2022 :1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 198 Questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

1. Introduction à l’hématologie clinique :


Pas de questions disponibles
2. Anémies Hypochromes Microcytaires : ( 3 questions )
1- L'anémie d'origine Centrale est secondaire à une:
A. Atteinte des progéniteurs des GR, ou de la cellule souche.
B. Forte Régénération.
C. Fibrose médullaire.
D. Baisse en folates.
E. Hémolyse.
2- Le diagnostic différentiel d'une anémie par carence martiale se pose devant :
A. Une Anémie hémolytique
B. Une Anémie inflammatoire
C. les syndromes thalassémiques
D. un déficit en Vit B12
E. Le saturnisme
3- Parmi les étiologies des anémies ferriprives on note:
A. La gastrectomie.
B. Le manque d'apport
C. La maladie cœliaque
D. L'hémochromatose
E. Le déficit en G6PDX

3. Anémies Mégaloblastiques : ( 7 question )


QR 1:
1- Quelles sont les étiologies d'une anémie mégaloblastique par déficit en Vit B12?
QR 2:
2- Principales causes des anémies par carence en acide folique ou en vitamine B 12.
QR 3 :
3- Étiologies des carences en vitamine B12 et en acide folique
QR 4 :
4- Décrire la mégaloblastose. Donner sa signification.
QR 5 :
5- Citez en expliquant le tableau clinique (triade) de l'anémie mégaloblastique.
QR 6 :
6- Conduite à tenir devant une anémie macrocytaire.
QR 7 :
7- Conduite à tenir diagnostique devant une anémie macrocytaire

Page 201:Ataraxie
4. Anémies Hémolytiques : ( 8 questions )
1- Les anémies hémolytiques corpusculaires sont dues à une :
A. Anomalie de la membrane du GR
B. Anomalie du système enzymatique du GR
C. Anomalie de l'hémoglobine
D. Anomalie de la cellule souche hématopoïétique
E. Hémoglobinurie paroxystique nocturne
2- Les Signes biologiques d'une anémie hémolytique:
A. ↑ Bilirubine conjuguée
B. ↓Fer sérique
C. ↑Lacticodéshydrogénase
D. ↓Haptoglobine
E. ↓Taux de réticulocyte
3- Sur cette image on décrit une étiologie des anémies hémolytiques, il s'agit d'une:

A. Maladie liée à la mutation de la chaîne bêta de la globine.


B. Thalassémie
C. Maladie autosomique récessive
D. Hémoglobinopathie rare
E. Seuls les homozygotes sont symptomatiques
F. Maladie ou le taux d'HbS est de 75 à 90%
QR 1:
4- Citer la triade clinique de l'hémolyse.
QR 2:
5- citer les étiologies des anémies hémolytiques corpusculaires congénitales.
QR 3:
6- Citer les principales complications des anémies hémolytiques chroniques
QR 4:
7- Étiologies des anémies hémolytiques
QR 5:
8- Bilan minimum en cas d'hémolyse aiguë.

5 Les lymphomes malins : (8 questions )


1- Les lymphomes malins sont:
A. Des Hémopathies malignes aiguës.
B. Le Résultat de la prolifération maligne de cellules lymphoïdes B, T ou NK.
C. Présence de taux de blaste >20%.
D. Le diagnostic est posé sur ponction sternale Développés aux dépens des cellules du tissu lymphoïde
ganglionnaire mais parfois aussi extra ganglionnaire

Page 202:Ataraxie
2- La Stadification d'Ann Arbor pour les lymphomes:
A. Stade 1: Adénopathies de part et d'autre du diaphragme.
B. Stade II: Deux aires ganglionnaires atteintes du même côté du diaphragme.
C. Stade II: Deux aires ganglionnaires de part et d'autre du diaphragme.
D. Stade IV: Atteinte extra-ganglionnaire quelque soit le nombre des ganglions atteints.
E. Stade IV: atteintes de plusieurs aires ganglionnaires de part et d'autre du diaphragme
3- Patient de 68 ans présentant des polyadénopathies cervicales, avec au scanner, une rate
multi-nodulaire (nodule splénique de 3 cm). La biopsie de l'adénopathie met en évidence un lymphome
malin non Hodgkinien. Quel stade d'Ann Arbor présente ce patient.
A. Stade I
B. Stade II
C. Stade III
D. Stade IV
E. Stade IIIE
Cas clinique 1:
Au cours des lymphomes malins:
4- Le diagnostic est retenu sur:
A. Un scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien.
B. Une biopsie.
C. Une Numération Formule Sanguine.
D. Un Pet Scanner.
5- Un patient chez qui le diagnostic de lymphome malin non Hodgkinien est retenu, dans son bilan
d'extension on trouve des adénopathies cervicales bilatérales de 20 mm chacune, avec lésion nodulaire
hépatique, en quel stade d'Ann-Arbor le patient est classé :
A. Stade 1
B. Stade II E
C. Stade III
D. Stade IV.
6- Le lymphome de ce patient est de type lymphome non Hodgkinien B indolent, il est caractérisé par:
A. Évolution rapide et rechute fréquente.
B. Evolution lente et rechute non fréquente
C. Evolution lente et rechute fréquente
D. Évolution rapide et rechute non fréquente.
7- Le lymphome de Hodgkin est caractérisé par la présence de cellule type:
A. Cellule de Reed-Sternberg
B. Cellule de Sézary Cellule
C. CD30 positive
D. Cellule anucléée.
QR 1:
8- Classification d' Ann-Arbor: définition, description et but.

6. Les syndromes myéloprolifératifs : ( 3 question )


1- Les syndromes myéloprolifératifs sont dus à une:
A. Anomalie clonale de la cellule souche hématopoïétique
B. Anomalie de sécrétion de facteur de croissance hématopoïétique
C. Hématopoïèse inefficace
D. Présence de cellule anormale dans la moelle.
E. Prolifération d'une ou plusieurs lignées myéloïdes avec une maturation relativement normale.

Page 203:Ataraxie
QR 1:
2- Les syndromes myéloprolifératifs chroniques: citez les principales pathologies!
QR 2 :
3- Diagnostic différentiel d'une polyglobulie primitive de Vaquez.

7. Les syndromes myélodysplasiques : ( 3 question)


1- Les syndromes myélodysplasiques sont :
A. Un groupe hétérogène d'hémopathies acquises clonales
B. Secondaire à des anomalies de maturation des 3 lignées hématopoïétiques.
C. Secondaire à une insuffisance médullaire par hématopoïèse inefficace,
D. Secondaire à une désertification de la moelle.
E. Une hémopathie où le myélogramme est obligatoire pour le diagnostic et la classification pronostic
QR 1:
1- Arbre décisionnel d'une pancytopénie.
QR 2:
2- Démarche diagnostique devant une pancytopénie (arbre décisionnel)
QR 4:
3- Classification pronostique IPSS des syndromes myélodysplasiques.

8. L’aplasie médullaire : ( 1 question )


1- La confirmation du diagnostic d'aplasie médullaire repose sur :
A. La Biopsie Ostéo-médullaire
B. Le myélogramme
C. L'hémogramme
D. La biopsie d'adénopathie
E. Le caryotype médullaire

9. Les leucémies lymphoïdes chroniques : (4 questions )


1- Circonstances de découverte de la leucémie lymphoïde chronique
A. Découverte fortuite
B. Etat général conservé
C. Poly-adénopathie compressives, inflammatoires
D. Manifestations auto-immunes
E. Infections à répétitions
QR 1:
2- Citez les examens paracliniques nécessaires pour le diagnostic positif d'une leucémie myéloïde
chronique (argumenter).
QR 2:
3- Citez les différentes phases de l'évolution de la Leucémie Myéloïde Chronique !
QR 3 :
4- Diagnostic positif d'une leucémie lymphoïde chronique

10 Le myélome multiple : ( 9 questions )


1- Au cours du Myélome Multiple ; le diagnostic peut être retenu sur :
A. Une plasmocytose à 05%.
B. Une plasmocytose à 10%.
C. Une plasmocytose à 20%.

Page 204:Ataraxie
D. Une plasmocytose à 30%.
E. Une plasmocytose à 40%.
2- Manifestations clinique et paraclinique au cours du Myélome Multiple:
A. Hypocalcémie
B. Syndrome tumoral
C. Douleur et fracture osseuse
D. Plasmocytose médullaire<10%.
E. Syndrome infectieux
3- Les critères CRAB, sont utilisés pour :
A. Confirmer le diagnostic du Myélome Multiple.
B. Confirmer le diagnostic de la LLC.
C. Parler de Myélome Multiple symptomatique/asymptomatique.
D. Classer une hémopathie sur le plan pronostic.
E. Classer une myélodysplasie.
4- Classification Salmon et Durie : « Stade I A» correspond à :
A. Hémoglobine >10g/dl
B. Calcémie normale
C. Plusieurs lésions osseuses
D. Taux faible de production de la protéine monoclonale
E. Créatininémie > 20 mg/l
QR 1 :
5- Citez les critères diagnostiques du Myélome Multiple!
QR 2 :
6- Citer les étiologies des gammapathies monoclonales.
QR 3 :
7- Diagnostic clinique et paraclinique du myélome multiple
QR 4:
8- Signes cliniques et biologiques évoquant un myélome multiple.
QR 5 :
9- Éléments pronostic d'un myélome multiple.

11. Les amyloses :


Pas de questions disponibles

12. Les Leucémies aiguës : ( 4 questions )


1- Au cours de la leucémie aiguë on a :
A. Présence de cellules non hématopoïétique dans la circulation
B. Diagnostic posé sur la BOM.
C. Taux de blastes dans le sang périphérique>20%
D. Prolifération non contrôlée d'un clone de cellule sanguine.
E. Perte de la capacité de différenciation.
2- Le Diagnostic différentiel de la leucémie aiguë se pose avec
A. L'aplasie médullaire
B. Les syndromes myélodysplasiques
C. La phase de réparation des agranulocytoses ou d'une aplasie médullaire
D. Le lymphome de Hodgkin.
E. L'hyperlymphocytose

Page 205:Ataraxie
QR 1 :
3- La leucémie aigüe
a. Définition.
b. Citez les examens complémentaires nécessaires à confirmer et à typer la leucémie aiguë!
QR 2 :
4- Signes cliniques évoquant une leucémie aiguë.

13. La diathèse hémorragique : ( 1 question )


QR :
1- Par un schéma explicatif, représentez la physiopathologie de la diathèse hémorragique.

15. AUTRES ( 12 question )


4- Hémoglobinurie Nocturne Paroxystique est
A. Responsable de présence de blaste> 20% dans le sang.
B. Responsable d'une anémie hypochrome microcytaire
C. Due à l'absence de certaines protéines de la membrane des leucocytes ou des GR entraînant la lyse
des cellules par le complément.
D. Une maladie fréquente
A. Une étiologie des aplasies médullaires congénitales
5- L'hémophilie est:
A. Une anomalie constitutionnelle de la coagulation
B. Caractérisée par un syndrome hémorragique des hémarthroses et des hématomes profonds.
C. Due à une anomalie située sur le chromosome Y.
D. Due à l'absence ou à un défaut qualitatif du FVIII (hémophilie A) ou du FIX (hemophilie B)
E. Responsable d'une thrombopénie
QR 1:
6- Citez les différences au niveau du myélogramme entre un syndrome myélodysplasique et une aplasie
médullaire (argumenter en expliquant la physiopathologie des deux pathologies).
QR 2 :
7- Eléments distinctifs biologiques entre une anémie ferriprive et une anémie inflammatoire
QR 3:
8- Neutropénie fébrile: définition et grades OMS, prise en charge.
QR 4 :
9- Phases évolutives de la LMC
QR 5 :
10- Conduite à tenir devant un purpura.
QR 6 :
11- Quelles sont les étiologies d'une anémie régénérative?
QR 7 :
12- Stadification de Binnet.

14. cas cliniques : ( 135 questions )


Cas clinique 1:
Patiente de 36 ans sans antécédents pathologiques notables se présentent en consultation pour pâleur
cutanéo muqueuse et fièvre à 40°c.
A l'examen clinique on met en évidence des poly adénopathies généralisées avec splénomégalie sans
hépatomégalie

Page 206:Ataraxie
1- Quels examens paracliniques vous demandez en urgence:
A. Ionogramme complet
B. CRP
C. Numération Formule Sanguine
D. Taux de LDH.
Après les premières investigations, la patiente est hospitalisée en urgence pour recherche étiologique. Lors
de son hospitalisation, la patiente a présenté une aggravation rapide de son état clinique avec installation
d'une dyspnée et aggravation du syndrome hémorragique.
2- Quels sont les diagnostics à évoquer?
A. Un syndrome lymphoprolifératif chronique
B. Un syndrome myéloprolifératif chronique
C. Un syndrome lymphoprolifératif aiguë
D. Un syndrome myéloprolifératif aiguë.
3- Quel examen paraclinique vous permettrai d'avancer dans votre recherche étiologique ?
A. NFS avec frottis
B. Biopsie d'Adénopathie
C. Scanner thoraco-abdomino-pelvien
D. Biopsie de la rate.
4- Quel est le diagnostic le plus probable chez cette patiente?
A. Lymphome de Hodgkin
B. Leucémie myéloïde chronique
C. Leucémie aiguë
D. Myélodysplasie.
5- Comment poser le diagnostic positif?
A. Caryotype médullaire
B. Biopsie ostéo médullaire
C. Ponction sternale
D. Biopsie d'adénopathie.
6- Quels diagnostics différentiels évalueriez-vous chez cette patiente ?
A. Phase circulante d'une autre hémopathie
B. Phase de réparation médullaire
C. Myélome multiple
D. Amylose.
Cas clinique 2
7- Devant cet examen paraclinique, quel diagnostic évoquez-vous?
A. Leucémie aiguë
B. Syndrome inflammatoire
C. Gammapathie polyclonale
D. Gammapathie monoclonale

Page 207:Ataraxie
8- Quel examen paraclinique vous permettra de retenir un diagnostic positif définitif?
A. Une Numération formule sanguine
B. Une Ponction sternale
C. Une Biopsie ostéo-médullaire
D. Un ionogramme complet
9- Quelles sont les complications à redouter chez ce patient?
A. Insuffisance rénale
B. Syndryperviscosité
C. Insuffisance hépatique
D. Infections à répétition.
10- Quels sont les diagnostics différentiels à évoquer?
A. Un lymphome malin
B. Une Amylose
C. Un myélome multiple
D. Une myélodysplasie.
Cas clinique 3
Patient de 38 ans, sans antécédents pathologiques notables, consulte pour des lésions pétéchiales
généralisées, ayant apparu 48h auparavant.
11- A l'examen clinique vous cherchez:
A. Une adénopathie
B. Une splénomégalie
C. Une fièvre
D. Une douleur thoracique.
12- Quels examens paracliniques vous allez demander chez ce patient
A. Une Numération formule sanguine
B. Un ionogramme complet
C. Un scanner thoracique
D. Un TP-TCA.

Page 208:Ataraxie
Au cours de son hospitalisation, le patient a aggravé sa symptomatologie par l'apparition de gingivorragies
et épistaxis
13- Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A. Un purpura thrombopénique
B. Un purpura thrombopathique
C. Une insuffisance hépatocellulaire
D. Une hémophilie.
Cas clinique 4:
Patiente de 30 ans, sans antécédents pathologiques notables, consulte pour une chute de cheveux, depuis
6 mois.
L'examen clinique trouve syndrome anémique bien tolérée, Ongles plats, cassants, Hemoglobine 4.1 à
g/dl, VGM 70 fl, CCMH 27% Plaquettes 650 000 élément/mm3 Leucocyte 4200 élément/mm3, Formule
normale
14- Quel (s) sont les diagnostic (s) à évoquer ?
A. Une anémie ferriprive
B. Une anémie hémolytique d'origine extra corpusculaire
C. Une anémie inflammatoire
A. Une anémie mégaloblastique.
15- Quel (s) Bilan demander vous en première intention devant ce tableau
B. Taux de réticulocytes
C. Ferritine seule
D. Le couple Ferritine et fer sérique
E. bilan inflammatoire
Cas clinique 5
Jeune patiente de 16 ans consulte pour un syndrome anémique d'installation aiguë, dans un contexte de
fièvre, frisson, et de douleur lombaire.
L'examen clinique trouve ictère cutanéo-muqueux, splénomégalie, hémoglobinurie, Hémoglobine à 6.1 g/dl,
VGM 120 fl. CCMH 33%, taux de réticulocytes à 190 000 elm/mm3
Plaquettes 160 000 élément/mm Leucocyte 6200 élément/mm3
16- Il s'agit de ?
A. Hémolyse intravasculaire
B. Hémolyse extravasculaire
C. Carence en vitamine B12
D. Anémie inflammatoire.
Cas clinique 6
Patient de 68 ans, sans antécédents pathologiques notables, arrive en consultation pour, une asthénie et
une dyspnée d’aggravation progressive depuis 3 mois. Par ailleurs, il rapporte des paresthésies des
membres inférieurs.
L’examen clinique révèle un sub ictère, trouble de sensibilité profonde avec
des réflexes vifs, et sans syndrome tumoral.
17- Après son premier bilan, vous constatez qu’il a une Hémoglobine à 5.3 g/dl bien tolérée,
thrombopénie modérée 90 élément/mm3,Comment pourrait être cette anémie :
A. Anémie microcytaire hypochrome
B. Anémie macrocytaire normochrome régénérative
C. Anémie normocytaire normochrome
D. Anémie macrocytaire normochrome arégénérative
18- Quels diagnostics évoquez-vous chez ce patient en premier ?
A. Une leucémie aiguë
B. Un syndrome myélodysplasique

Page 209:Ataraxie
C. Une aplasie médullaire
D. Anémie de biermer
19- Quels éléments cliniques et paracliniques recherchez-vous chez ce patient pour orienter votre
hypothèse diagnostic ?
A. Glossite de HUNTER
B. Frottis sanguin
C. Bilan d’hémolyse.
D. Myélogramme.
Cas clinique 7
Patiente de 48 ans, sans antécédents pathologiques notables, admise aux urgences pour syndrome
hémorragique diffus. A l’examen clinique, on note une tachycardie, une pâleur
cutanéo-muqueuse, pas de syndrome tumoral avec présence d’un abcès dentaire et ecchymoses diffuses.
20- Quel examen paraclinique demanderiez-vous en urgence ?
A. Une Numération Formule Sanguine avec Taux de réticulocytes.
B. Une Numération Formule sanguine avec Frottis Sanguin.
C. Une Numération Formule sanguine avec taux de Blaste.
D. Une Numération Formule sanguine avec comptage des plaquettes.
Après le bilan biologique, la patiente est hospitalisée pour aggravation du syndrome hémorragique.
21- Quel bilan demandez-vous à votre patiente pour recherche étiologique du syndrome hémorragique,
tout en sachant qu’elle a une thrombopénie à 12 000 elm/mm3 ?
A. Un taux de prothrombine.
B. Un temps de saignement.
C. Une ponction sternale.
D. Un bilan hépatique complet.
22- Quels sont les diagnostics à évoquer ?
A. Un syndrome lymphoprolifératif
B. Une myélodysplasie
C. Un syndrome myéloprolifératif
D. Une aplasie médullaire
23- Quel (s) examen (s) paraclinique (s) vous permet de poser le diagnostic positif?
A. Une exploration de la moelle osseuse (Myélogramme; BOM).
B. Un immunophénotypage sur sang périphérique.
C. Des tests sérologiques viraux.
D. Étude cytogénétique.
Cas clinique 8
Chez un patient de.56 ans, une NFS révèle :
Une Hg à 7g/dl, un taux de plaquettes à 35 000 elm/mm3 et un taux de globules blancs à 67000 elm/mm3.
24- Quel bilan paraclinique vous demanderiez en premier ?
A. Un ionogramme complet
B. Une Biopsie ostéomédullaire
C. Une ponction sternale
D. Un frottis sanguin.
Au cours de son suivi, le patient fait apparaître un syndrome tumoral fait d’adénopathie de grosse taille
asymétrique, avec altération de l’état général et hypertrophie gingivale.
25- Quel est le diagnostic à évoquer chez votre patient ?
A. Une leucémie aiguë
B. Une leucémie lymphoïde chronique
C. Une Myélodysplasie
D. Un lymphome de Hodgkin

Page 210:Ataraxie
26- Pour confirmer votre diagnostic, il faut :
A. Un immunophénotypage sur sang périphérique
B. Une biopsie d' adénopathie
C. Un myélogramme
D. Une Biopsie ostéomédullaire
27- Sur le plan pronostic une stadification est obligatoire pour décision thérapeutique, on aura besoin :
A. De la stadification d’Ann Arbor.
B. De la stadification de Binet.
C. D’un caryotype médullaire.
D. Du score IPSS.

Cas clinique 9
Un jeune patient de 48 ans, se présentant en consultation pour splénomégalie.
L’examen clinique trouve un syndrome anémique.
À la numération formule sanguine on met en évidence une anémie normochrome normocytaire avec
thrombopénie et hyperleucocytose à 70 000 elm/mm3 à prédominance PNN.
28- Quel diagnostic suspectez-vous chez ce patient ?
A. Une leucémie aiguë
B. Une aplasie médullaire
C. Un syndrome myéloprolifératif chronique.
D. Un lymphome malin non Hodgkinien.
29- La confirmation diagnostique est faite sur :
A. Le myélogramme.
B. La biopsie ostéo-médullaire.
C. Le caryotype médullaire.
D. L’immunophénotypage sanguin périphérique.
30- Au cours du suivi, le patient risque de développer les complications suivantes :
A. Des fractures et des lyses osseuses.
B. Des thromboses veineuses et artérielles multiples.
C. Une transformation leucémique.
D. Une hypercalcémie maligne.
Cas clinique 10
Patient de 78 ans, suivi pour hypertension artérielle, consulte pour des épisodes infectieux à répétition.
A l’examen clinique, on trouve un syndrome anémique sans syndrome tumoral.
31- Quels sont les diagnostics à évoquer chez ce patient ?
A. Un syndrome myélodysplasique.
B. Un myélome multiple.
C. Un syndrome myéloprolifératif.
D. Une Aplasie médullaire.
32- Quels sont les examens paracliniques à demander en premier pour recherche étiologique ?
A. Une biopsie ostéomédullaire.
B. Une numération formule sanguine.
C. Un myélogramme.
D. Une électrophorèse des protides.
Au cours du suivi, le patient à fait des troubles de conscience avec au bilan biologique une Ca2+ à 150
mg/l.
33- Quel diagnostic est le plus probable chez ce patient ?
A. Un syndrome myélodysplasique.
B. Un myélome multiple.

Page 211:Ataraxie
C. Un syndrome myéloprolifératif.
D. Une Aplasie médullaire.
34- Pour la stadification de votre patient, vous aurez besoin de quels examens complémentaires ?
A. Un scanner Cervico-Thoraco-Abdomino-Pelvien.
B. Un dosage de la bêta 2 microglobuline
C. Un dosage des LDH
D. Un dosage de l’albumine.
Cas clinique 11
patient de 70 ans, sans antécédents pathologiques notables, arrive en consultation pour dyspnée, asthénie
et bourdonnement d’oreille d’aggravation progressive depuis 2 mois,
L'examen clinique ne révèle pas d' atteinte cardio-respiratoire, ni de syndrome tumoral.
35- Quel examen paraclinique vous allez demander en premier :
A. Numération Formule Sanguine avec frottis sanguin.
B. Numération Formule Sanguine avec recherche de schizocytes.
C. Numération Formule Sanguine
D. Numération Formule Sanguine avec taux de réticulocytes.

36- Après son premier bilan, vous constatez qu’il a une Hémoglobine à 9 g/dl très mal tolérée, comment
pourrait être cette anémie :
A. Anémie microcytaire hypochrome
B. Anémie màcrùcytære normochrome
C. Anémie normocytaire normochrome
D. Anémie normocytaire hypochrome.
37- Quels diagnostics évoquez-vous chez ce patient en premier ?
A. Une leucémie aiguë
B. Un syndrome myélodysplasique
C. Une aplasie médullaire
D. Un syndrome myéloprolifératif
38- Quels examens para-cliniques sont nécessaires pour confirmer et stadifier votre diagnostic ?
A. Une Ponction sternale
B. Une Biopsie ostéo-médullaire
C. Un caryotype médullaire
D. Une recherche de mutation
39- Quelles complications redoutez-vous chez ce patient ?
A. Complications infectieuses
B. Complications hémorragique
C. Transformation leucémique
D. Complications osseuses.
Cas clinique 12
Patiente de 36 ans, sans antécédents pathologiques notables, arrive aux urgences pour trouble de
conscience avec ictère.
A l’examen clinique on trouve une fièvre à 40°C, une pâleur cutanéo-muqueuse, une pointe rate, sans
adénopathie.
40- Quels examens paracliniques demanderiez-vous en urgence ?
A. Un taux de LDH, Acide urique, calcémie.
B. Numération Formule Sanguine avec faux de réticulocyte.
C. Numération Formule Sanguine avec taux de Blastes.
D. Haptoglobine, Bilirubine totale, bilirubine directe et indirecte.
41- Quel diagnostic retenez-vous chez cette patiente ?

Page 212:Ataraxie
A. Anémie hémolytique
B. Anémie sur Syndrome hémorragique
C. Leucémie aiguë
D. Méningite infectieuse.
42- Quelles sont les étiologies à évoquer chez cette patiente ?
A. Origine extra corpusculaire
B. Origine tumorale
C. Origine corpusculaire
D. Origine infectieuse.
43- Que proposeriez-vous en urgence chez cette patiente
A. Une corticothérapie
B. Une transfusion sanguine
C. Une antibiothérapie adaptée
D. Une polychimiothérapie.
44- Après prise en charge adéquate, à la sortie de l'hôpital. vous lui donnez les conseils suivants :
A. La patiente doit suivre son traitement correctement
B. La patiente doit éviter la consommation des levés
C. La patiente ne doit plus prendre d'antibiotique
D. La patiente doit éviter l’altitude et les efforts intenses.
Cas clinique 13
Patient de 15 ans arrive aux urgences pour syndrome hémorragique fait d’hématome rétro-péritonéale
spontané diagnostique suite à une douleur abdominale.
A l’interrogatoire, le patient rapporte la notion de syndromes hémorragiques répétitifs depuis 10 ans.
45- Après stabilisation de l’état hémodynamique du patient, quel diagnostic vous évoquez en premier
devant ce tableau clinique ?
A. Hémolyse héréditaire.
B. Hémophilie A ou B.
C. Hémopathie maligne.
D. Amégacaryocytose congénitale
46- Quels examens paracliniques demandez-vous en urgence ?
A. Haptoglobine, LDH, Bilirubine totale, directe et indirecte.
B. Numération Formule Sanguine avec taux de réticulocyte
C. TP, TCA
D. Dosage des facteurs de coagulations.
Cas clinique 14

47- Patient suivi pour syndrome myéloprolifératif chronique type Maladie de Vaquez.Parmi ces tubes,
lequel appartient à ce patient ?

Page 213:Ataraxie
A. Tube A
B. Tube B
C. TubeC
D. TubeD.
48- Pour poser le diagnostic positif, parmi ces bilans ce patient a fait :
A. Une biopsie Ostéo-médullaire
B. Une recherche du chromosome Philadelphie.
C. Une ponction sternale.
D. Une numération Formule sanguine.
49- Quelles complications doit-on guetter chez ce patient ?
A. Les fractures osseuses à répétition
B. La splénomégalie myéloïde
C. L’hypercalcémie
D. Les thromboses artérielles et veineuses.

Cas clinique 15
Patient de 70 ans sans antécédents pathologiques, arrive aux urgences pour polypnée et palpitations.
A l'examen clinique, on trouve une pâleur cutanéo muqueuse, avec fièvre à 39 °C, brûlures mictionnelles et
quelques taches purpuriques sans syndrome tumoral.

50- Quels sont les diagnostics à évoquer chez ce patient :


A. Un syndrome lymphoprolifératif.
B. Un syndrome myéloprolifératif.
C. Un syndrome myélodysplasique.
D. Une aplasie médullaire.
E. Une leucémie aiguë.
Un bilan biologique fait, retrouve, parmi les éléments recherchés : Hg à 8.2g/dl, VGM : 100μ,
CCMH : 32%, Leucocytes à 850 elm/mm3 taux de plaquettes à 45 000 elm/mm3.
51- Que présente ce patient ?
A. Une insuffisance médullaire
B. Une bicytopénie
C. Une pancytopénie
D. Une mégaloblastose
E. Une anémie hémolytique.
52- Dans votre démarche étiologique, quels examens paracliniques demanderiez-vous ?
A. Une ponction sternale.
B. Une biopsie de la moelle osseuse.
C. Un caryotype médullaire.
D. Une numération formule sanguine avec taux de réticulocytes.
E. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien.
53- Pour la prise en charge immédiate de ce patient, on propose:
A. Une polychimiothérapie.
B. Une transfusion en culot plaquettaire.
C. Une antibiothérapie à large spectre.
D. Une transfusion en culot globulaire.
E. Une surveillance.
54- Après une prise en charge adéquate, le patient est rentré chez lui, avec des mesures à respecter
pour éviter les complications qui sont :
A. Les infections à répétition.

Page 214:Ataraxie
B. Une hypercalcémie majeure.
C. Des fractures pathologiques.
D. Le syndrome hémorragique.
E. Le syndrome anémique mal toléré.
Cas clinique 16
Patient de 45 ans se présentant en consultation pour tuméfaction axillaire droite de 5 cm évoluant dans un
contexte apyrétique depuis 03 mois. À l'examen clinique, on trouve un syndrome tumoral fait de poly
adénopathies généralisées, et une splénomégalie arrivant à l'ombilic.
55- Quels sont les diagnostics les plus probables chez ce patient ?
A. Un lymphome malin non Hodgkinien.
B. Un Lymphome de Hodgkin.
C. Une tuberculose.
D. Une leucémie myéloïde chronique.
E. Une leucémie lymphoïde chronique.
56- Le patient est hospitalisé pour bilan étiologique, quels sont les examens complémentaires à réaliser
?
A. Un quantiféron pour rechercher une infection tuberculeuse.
B. Une biopsie d'adénopathie.
C. Un caryotype médullaire.
D. Une recherche du transcrit BCR/ABL.
E. Une splénomégalie diagnostic.
Un scanner a été réalisé et a mis en évidence, une rate nodulaire avec multiples adénopathies
généralisées, sus et sous diaphragmatique.
57- Pour la classification pronostic, ce patient est classé en :
A. Stade IV d'Ann Arbor
B. Stade C de Binet.
C. Phase chronique de LMC.
D. Stade III d'Ann Arbor
E. Aucune de ces classifications.
Cas clinique 17
Patient de 36 ans sans antécédent pathologique notable, consulte pour pâleur avec syndrome tumoral fait
de polyadénopathies cervicales, axillaires et splénomégalie évoluant depuis plus de 4 mois
58- Devant ce tableau clinique, quels sont les diagnostics à évoquer ?:
A. Une tuberculose.
B. Un syndrome myéloprolifératif chronique
C. Un syndrome Lymphoprolifératif chronique
D. Une leucémie aiguë.
59- Quel examen paraclinique demandez vous en premier ?:
A. Une numération formule sanguine avec Frottis
B. Une numération formule sanguine avec recherche de schizocytes
C. Une numération Formule avec recherche de Blastes
D. Une numération formule sanguine avec taux de réticulocytes.
60- Dans la recherche étiologique de votre patient, quel(s) examen(s) vous permettra (ont) de poser le
diagnostic de certitude?
A. Une biopsie ostéomédullaire
B. Une Biopsie d’adénopathie
C. Une ponction sternale
D. Un immunophénotypage sur sang périphérique
61- Pour un meilleur bilan d’extension chez votre patient, vous demanderiez:

Page 215:Ataraxie
A. Un PET scanner.
B. Un IRM corps entier.
C. Un scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien.
D. Une scintigraphie osseuse.
62- Au cours de l’exploration paraclinique, un taux de ferritinémie est demandé, avec un résultat revenu
à 5 fois la valeur normale, quel serait le type de l’anémie chez ce patient?
A. Anémie macrocytaire.
B. Anémie microcytaire.
C. Anémie normocytaire.
D. Anémie carentielle.
Cas clinique 18
Patiente de 18 ans, ayant fait une infection pulmonaire il y a un 4 jours, mise sous antibiothérapie, arrive ce
jour aux urgences pour agitation, ictère et température à 38 degrés celsius
63- Quels examens paracliniques feriez-vous en urgences?
A. Ionogramme complet
B. Numération formule sanguine
C. Numération formule sanguine avec frottis.
D. Numération Formule sanguine avec Taux de réticulocytes.
64- Pour la confirmation de votre diagnostic, un bilan détaillé de confirmation est fait, on y trouve:
A. Le taux de LDH effondré
B. Le taux de bilirubine conjuguée normale
C. Le taux d’haptoglobine augmenté
D. Le taux de bilirubine total augmenté.
65- En poussant l’interrogatoire avec l’entourage de la patiente, on constate que c'est le premier
épisode que la patiente présente et qu'il n’y a pas de cas similaires dans la famille. Quelles seraient les
causes les plus probables chez cette patiente?
A. Origine corpusculaire
B. Origine extra-corpusculaire
C. Origine immuno-allergique
D. Origine toxique.
Cas clinique 19
Patiente de 75 ans, présentant depuis 1 an des polyarthralgies inflammatoires avec un bilan
immunologique positif, elle se présente en consultation ce jour pour une asthénie et des palpitations.En
poussant l'interrogatoire, la patiente rapporte la notion d’infection à répétition et de tâches ecchymotiques
de plus en plus fréquentes.
66- Quels diagnostics évoquer chez cette patiente:
A. Un déficit immunitaire constitutionnel
B. Une aplasie médullaire
C. Une myélodysplasie
D. Un myélome multiple.
67- Quel est le premier bilan à demander chez cette patiente?
A. Une numération formule sanguine avec frottis sanguin
B. Une numération Formule sanguine avec recherche de Blaste.
C. Une numération formule sanguine.
D. Une numération formule sanguine avec taux de réticulocyte.
68- De plus en plus, la patiente nécessite des transfusions à raison de 2 fois par semaine, avec
aggravation de ses polyarthralgies . Selon son médecin traitant, la patiente aura besoin d’autre examen
paraclinique, quel serait cet examen?
A. Un dosage du taux de LDH.

Page 216:Ataraxie
B. Une biopsie ostéo-médullaire
C. Une ponction sternale avec caryotype
D. Une recherche du clone HPN.
69- Selon le suivi de cette patiente, quelle est l’évolution la plus probable pour sa pathologie?
A. Une leucémie myéloïde aiguë.
B. Une leucémie lymphoïde aiguë.
C. Une Leucémie myéloïde chronique
D. Une leucémie lymphoïde chronique.
Cas clinique 20
Patiente de 38 ans, présentant depuis 15 jours des adénopathies avec syndrome anémique. Sur la
numération formule sanguine, on trouve: Hg à 4,5 g/dl, VGM: 87 fl et CCMH: 33pc, Plq: 45 000 elm/mm3,
GB: 75 000 elm/mm3.
70- Sur cet examen, quels sont les paramètres manquants à demander:
A. Le taux de réticulocytes.
B. Le taux de Blastes.
C. Le frottis sanguin.
D. les schizocytes.
71- Une étude détaillée est nécessaire pour retenir le diagnostic, on la fera sur:
A. Un caryotype sur sang périphérique.
B. Une BOM avec caryotype et étude moléculaire.
C. Une biopsie d’adénopathie.
D. Une ponction sternale avec coloration au MPO et caryotype médullaire.
72- Quelles complications craindre chez cette patiente?
A. Un syndrome hémorragique
B. Une Leucostase
C. Un syndrome infectieux
D. Des fractures osseuse
Cas clinique 21
Patient de 66 ans, avec antécédents de douleurs osseuse depuis plus de 3 mois admis aux urgences pour
troubles de conscience avec vomissements , dans un contexte apyrétique. Le bilan biologique fait a mis en
évidence une calcémie à 168 mg/l une urée à 156 g/l , une créatininémie à 60 mg/l,une Hg à 8g.dl à
plaquettes a 7500Welm.mm
rous de globules blancs a 8600 elm/mm3 avec absence de blame
73- Quel les urgences présentent ce patient
A. Une méningite bactérienne
B. Une Insuffisance rénale
C. Une hypercalcémie maligne
D. Une pancytopénie
74- Devant ce tableau clinique, quel diagnostic évoquez-vous en premier
A. Une leucémie lymphoïde chronique
B. Une leucémie myéloïde aiguë
C. Un myélome multiple
D. Une myélodysplasie
75- Pour retenir et confirmer votre diagnostic, vous complétez vos examens complémentaires par :
A. Une biopsie ostéo-médullaire
B. Un immunophénotypage sur sang périphérique
C. Un immunophénotypage sur sang médullaire
D. Une ponction sternale
76- Pour avoir un stade de la maladie chez ce patient, vous utiliserez

Page 217:Ataraxie
A. La classification d'ANN ARBOR
B. La classification de SAI MON PERE
C. La classification de BAIN
D. Le score MATUTES
Cas clinique 22
Patient de 52 ans se présentant en consultation pour : fatigabilité, vertiges, palpitations et pâleur
cutanéo-muqueuse.A l'examen clinique, on trouve un patient apyrétique, OMS à 0, et pas de syndrome
tumoral. Un bilan biologique fait trouve :

Résultats

NUMERATION ERYTHROCYTAIRE

HÉMATIES 2,53 10^6 /uL

HÉMOGLOBINE 7,50 g/dL

HÉMATOCRITE 22,9%

VGM 90,5 fL

TCMH 29,6 pg

CCMH 32,8 g/dL

CV HÉMATIES 9,7%

FORMULE LEUCOCYTAIRE

LEUCOCYTES 13,15 10^3/uL

POLY.NEUTROPHILES 6,31 10^3/uL

NEUT% 48,0%

POLY.ÉOSINOPHILES 0,09 10^3/uL

0,7%

POLY.BASOPHILES 0,60 10^3/uL

4,6%

LYMPHOCYTES 5,08 10^3/uL

38,6%

MONOCYTES 1,07 10^3/uL

8,1%

NUMÉRATION PLAQUETTES

PLAQUETTES 64 10^3/uL

VPM 8,6fL
77- Interprétation de la Numération Formule Sanguine :

Page 218:Ataraxie
A. Anémie normochrome normocytaire
B. Hyperleucocytose
C. Bicytopénie
D. Thrombopénie.
78- Après ce bilan, quel(s) examen(s) demanderiez-vous?
A. Ponction sternale
B. Biopsie ostéomédullaire
C. Scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien.
D. Numération Formule Sanguine avec frottis sanguine.
79- Au cours de l’exploration de ses symptômes, on trouve chez ce patient

SÉRUM

Résultats

Protéines totales 98 g/l

Immunoglobulines A 2,19 g/l

Immunoglobulines M 2,09 g/l

Immunoglobulines G 64,00 g/l


A. Hypogammaglobulinémie
B. Hyperprotidémie
C. Hypergammaglobulinémie
D. protidémie normale
80- Après ces bilans biologiques, le médecin traitant aura besoin de certains critères pour décision
diagnostique, on cherchera:
A. La phosphorémie
B. La calcémie et la fonction rénale
C. Les lésions osseuses et le taux d'hémoglobine
D. Le taux de LDH
Cas clinique 23
Patient de 17 ans, sans antécédents particuliers arrive aux urgences avec syndrome tumoral et
gingivorragies. L'examen clinique trouve des adénopathies cervicales bilatérales centimétriques
d'installation aiguë.
81- Le premier examen à demander :
A. Numération formule sanguine
B. Numération formule sanguine avec taux de réticulocyte
C. Numération formule sanguine avec frottis sanguin
D. Numération formule sanguine avec comptage des plaquettes
Au bilan biologique on trouve:
NUMERATION ERYTHROCYTAIRE

HÉMATIES 3,45 10^6 /uL

HÉMOGLOBINE 9,90 g/dL

HÉMATOCRITE 29,5%

VGM 85,5 fL

Page 219:Ataraxie
TCMH 28,7 pg

CCMH 33,6 g/dL

RÉTICULOCYTES 0,0300 10^6 /uL

0,93%

AUTOMATE SYSMEX XT 2100 ET XE2000I

CV HÉMATIES 15,8 %

FORMULE LEUCOCYTAIRE

LEUCOCYTES 1,09 10^3/uL

POLY.NEUTROPHILES 0,67 10^3/uL

NEUT% 34,0%

POLY.ÉOSINOPHILES 0,02 10^3/uL

1%

POLY.BASOPHILES 0,00 10^3/uL

0,0%

LYMPHOCYTES 0,86 10^3/uL

44,0%

MONOCYTES 0,00 10^3/uL

0,0%

CELLULES IMMATURES

BLASTES 0,41 10^3/uL

21,00%

NUMÉRATION PLAQUETTES

PLAQUETTES 31 10^3/uL

VPM 0,0 fL

82- Quelle urgence présente le malade sur cette Numération Formule Sanguine:
A. L'anémie
B. La leucopénie
C. Le taux de blaste
D. La thrombopénie.
83- Quel examen demandez-vous en urgence chez ce patient:
A. La ponction sternale
B. La biopsie d'adénopathie
C. L'immunophénotypage sur sang périphérique

Page 220:Ataraxie
D. La biopsie ostéomédullaire.
84- Quelles urgences cliniques faut-il guetter?
A. Une infection urinaire
B. Une détresse respiratoire
C. Un syndrome hémorragique
D. Une hépatite aiguë.
Cas clinique 24
Patient de 69 ans sans antécédents pathologiques notables se présente aux urgences pour syndrome
anémique mal toléré. Le patient a consulté, un syndrome myélodysplasique est retenu. A l'examen clinique,
on ne trouve ni syndrome tumoral, ni fièvre.
85- Une numération formule sanguine est faite, l'anémie est:
A. Normochrome normocytaire
B. Hypochrome microcytaire
C. Normochrome macrocytaire
D. Régénérative.
86- Les premiers examens pour confirmer le diagnostic:
A. Immunophénotypage sur sang périphérique
B. Une ponction sternale
C. Une Biopsie ostéomédullaire
D. Un caryotype médullaire.
87- La définition d'une dysplasie est :
A. <10% des cellules de cette lignée sont morphologiquement anormales.
B. >=10% des cellules de cette lignée sont morphologiquement anormales.
C. >=15% des cellules de cette lignée sont morphologiquement anormales.
D. ≤15% des cellules de cette lignée sont morphologiquement anormales.
88- L'évolution au cours du syndrome myélodysplasique se fait vers:
A. Transformation leucémique
B. Guérison spontanée.
C. Apparition de manifestation auto-immune
D. Transformation en lymphome malin non Hodgkinien.
Cas clinique 25
Patiente de 48 ans, se présentant aux urgences pour pesanteur de l'hypochondre gauche remontant à 4
mois, avec syndrome anémique. A l'examen clinique on trouve une splénomégalie dépassant l'ombilic, pas
d'adénopathie.
89- Quel examen paraclinique demanderiez-vous chez cette patiente?
A. Numération formule sanguine
B. Numération avec frottis sanguin
C. Numération avec taux de réticulocyte
D. Ponction sternale en urgence.

Après le bilan, la patiente a présenté une thrombose veineuse profonde :


NUMERATION ERYTHROCYTAIRE

HÉMATIES 1,82 10^6 /uL

HÉMOGLOBINE 5,00 g/dL

HÉMATOCRITE 16,2%

VGM 89,0 fL

Page 221:Ataraxie
TCMH 27,5 pg

CCMH 30,9 g/dL

CV HÉMATIES

FORMULE LEUCOCYTAIRE

LEUCOCYTES 150,31 10^3/uL

POLY.NEUTROPHILES 54,11 10^3/uL

NEUT% 36,0%

POLY.ÉOSINOPHILES 4,51 10^3/uL

3,0%

POLY.BASOPHILES 1,50 10^3/uL

1,0%

LYMPHOCYTES 15,03 10^3/uL

10,0%

MONOCYTES 4,51 10^3/uL

3,0%

CELLULES IMMATURES

BLASTES 19,54 10^3/uL

13,00%

PROMYÉLOCYTES 1,5 10^3/uL

1,00%

MYÉLOCYTES 36,07 10^3/uL

24,00%

MéTAMYÉLOCYTES 13,53 10^3/uL

9,00%

NUMÉRATION PLAQUETTES

PLAQUETTES 403 10^3/uL

VPM 11,5fL

90- Quel diagnostic suspectez-vous chez cette patiente:


A. Syndrome lymphoprolifératif
B. Syndrome myéloprolifératif

Page 222:Ataraxie
C. Syndrome myélodysplasique
D. Syndrome hyperéosinophilique.
91- Quelles explorations sont nécessaires en urgences:
A. Myélogramme avec caryotype
B. Myélogramme avec Biopsie ostéo médullaire
C. Myélogramme seule
D. Myélogramme avec Immunophénotypage.
92- Le patient présente une pathologie qu'on peut classer en:
A. 2 phases
B. 3 phases
C. 4 phases
D. 5 phases.
Cas clinique 26
Patiente de 70 ans, connue hypertendue depuis 5 ans sous traitement se présentant aux urgences pour
asthénie profonde.
L'examen clinique trouve une pâleur cutanés-muqueuse, avec des signes neurosensoriel à type de vertiges
et palpitations, sans syndrome tumoral.
A la numération formule sanguine on trouve: Hg à 7.6g/dl, VGM: 109 micro3, CCMH: 36%. Taux de
plaquettes à 89000 éléments/mm3,GB 8700 elm/mm3.
93- Cochez La ou les bonne(s) réponse(s):
A. La patiente présente un syndrome d'insuffisance médullaire.
B. la patiente présente une bi-cytopenie
C. la patiente présente un syndrome lympho-prolifératif
D. la patiente présente une anémie bien tolérée.
94- A l'exploration paraclinique de cette patente on demandera
A. un taux de réticulocyte.
B. un Frottis sanguin
C. une Ponction sternale
D. une biopsie Ostéo-médullaire
95- selon l'examen réalisé en met en évidence une moelle de richesse normale, avec quelques
anomalies de maturation, en évoque
A. Une myélodysplasie
B. une hyperthyroïdie
C. une aplasie médullaire
D. une intoxication médicamenteuse.
Cas clinique 27
Patient de 16 ans, ayant comme antécédents des épisodes d'ictères à répétition. l'examen clinique trouve
un patient obnubilé avec ictère cutanéo-muqueux, et splénomégalie
96- Le bilan para-clinique à demander:
A. Taux de bilirubine totale direct et indirect.
B. Électrophorèse des protides
C. Numération formule sanguine
D. Haptoglobine et LDH.
97- L’exploration paraclinique trouve:
A. Un taux de réticulocytes à 240 000 elm/mm3
B. exploration de la moelle
C. scanner cervico thoraco abdomino pelvien CTAP
D. exploration du globule rouge
Cas clinique 28

Page 223:Ataraxie
Sur une numération formule sanguine on trouve: Hg à 13.4 g/dl. VGM: 79 micro3 el CCMH à 30% taux de
plaquette à 155 000 elm/mm3, GB à 125 650 elm/mm3
98- Cocher la ou les bonnes réponses
A. hyperleucocytose normale
B. Hyperleucocytose pathologique
C. frottis sanguin obligatoire
D. taux de réticulocyte obligatoire
99- On trouve dans le reste du bilan un taux de polynucléaire neutrophile à 120 000 elm/mm³, une CRP
à 6mg. On pense à :
A. un syndrome myélo-prolifératif
B. un syndrome lympho prolifératif
C. une infection bactérienne
D. une Leucémie myéloïde
100- un taux de blaste retrouvé sur le sang périphérique à 5%; Cocher la ou les bonnes réponse(s):
A. c'est une leucémie aiguë
B. une ponction sternale est obligatoire
C. une biopsie Ostéo-médullaire est obligatoire
D. aucun autre bilan test nécessaire à cette étape
Cas clinique 29
Patiente de 66 ans, se présentant aux urgences pour douleur exquise du membre supérieur droit sans
notion de traumatisme avec pâleur cutanéo-muqueuse. A l'examen clinique on trouve une importance
fonctionnelle du membre droit avec fracture au niveau de l'humérus. La numération formule sanguine met
en évidence une anémie à 8 normochrome normocytaire arégénérative et sur l'ionogramme on trouve une
calcémie corrigée à 145 mg/l.
101- Quels sont les diagnostics à évoquer chez cette patiente
A. cancer ostéophile avec métastases osseuses.
B. myélome multiple.
C. Lymphome non hodgkinien.
D. ostéoporose
102- 10-Pour la confirmation diagnostic. on complète le bilan paraclinique par
A. un scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien
B. une électrophorèse des protides sériques.
C. une Radiographie standard du crâne
D. une ponction sternale.
103- Après la confirmation diagnostic chez cette patiente quelles sont les complications Ies plus
fréquemment rencontrées:
A. les infections bactériennes
B. les douleurs osseuses
C. les fractures osseuses
D. les hypotensions artérielles.
Cas clinique 30
Dans un bilan de routine annuelle, Mr A.M trouve sur sa numération formule sanguine: H à 19 g/dl, VGM à
38 mico, CCMH: 32 pourcent, le reste de la formule normale.
104- Quel paramètre manque à cette numération pour discuter un diagnostic:
A. Hématocrite (HTF)
B. TCMH
C. Taux de plaquette
D. Taux de globules rouges.
105- Pour la confirmation diagnostic, on aura besoin de

Page 224:Ataraxie
A. ponction sternale
B. biopsie ostéo-médullaire
C. la recherche de la mutation Jak2
D. Taux de LDH
106- Après complément du bilan quel diagnostic suspectez vous chez ce patient:
A. un syndrome myéloprolifératif
B. un syndrome lymphoprolifératif
C. une leucémie aiguë
D. une dysglobulinémie.
107- Quelles sont les complications les plus redoutables chez ce patient
A. des infections virales
B. des syndromes hémorragiques
C. des thromboses veineuses et artérielles à répétition
D. des infections bactériennes
Cas clinique 31
Patient âgé de 30 ans, sans antécédents, présente depuis deux semaines une pâleur cutanée et
muqueuse, des taches ecchymotiques généralisées et de la fièvre 38.5°C.
La NFS montre: Hb 5g/dl, VGM 88u3, CCMH 33 g/dl,plaquettes 10.000/mm³, PNN 200/mm³, lymphocytes
500/mm³.
QR 1
108- Interpréter ce résultat (1pt)
QR 2:
109- Que risque ce patient ? justifier (2pt)
QR 3
110- Par arbre(s) décisionnel(s), préciser la démarche étiologique (2pt)
QR 4
111- Quel(s) traitement(s) symptomatiques(s) vous proposez ? (2pt)
Cas clinique 32
Patient de 82 ans, sans antécédent pathologique notable, consulte pour une asthénie, sans syndrome
tumoral. A la numération formule sanguine on trouve ;
● Hg à 7,6g/dl, VGM : 112 fI, CCMH : 30%, GB : 1250 elm/mm3, Plaq à 45 000 elm/mm3
● Taux de réticulocyte à 60 000 elm/mm3
QR 1:
112- interpréter cette NFS
QR 2:
113- Quels sont les diagnostics à évoquer chez ce patient.
QR 3:
114- Quel examen complémentaire est nécessaire pour poser le diagnostic ? (Précisez les éléments
permettant de retenir ou d'exclure l'un ou l'autre des diagnostics déjà cités).
Cas clinique 33
Patiente de 21 ans, sc présentant aux urgences pour adénopathies cervicales d'installation aiguë, avec
syndrome anémique et syndrome hémorragique.
Une Numération formule sanguine faite trouve :
● Hg à 3.6g/dl, VGM : 86 fl, CCMH ; 32%, GB : 125500 elm/mm3, Plaq à 15 000 elm/mm3
QR1 :
115- Interprétez cette NFS
QR 2:
116- Quels sont les examens complémentaires à demander pour la recherche étiologique ?

Page 225:Ataraxie
QR 3:
117- Quelle est l’urgence diagnostic chez cette patiente ?
QR 4:
118- Quels sont les diagnostics différentiels devant ce tableau clinique.
Cas clinique 34
patient âgé de 65 ans, présente depuis 6 mois des poly adénopathies périphériques cervicales, axillaires et
inguinales dont la plus grande, mesure 4 cm, associées à une splénomégalie à 3 travers de doigts.
L'ensemble évolue dans un contexte de fièvre (38.5°c) et d'amaigrissement > 10% de son poids antérieur
QR1 :
119- Citer les diagnostics les plus probables, justifier
QR 2 :
120- Comment confirmer le diagnostic
QR 3 :
121- Le diagnostic retenu chez ce patient est un LMNH de type B diffus à grandes cellules. Quel bilan
d'extension vous proposez ?
QR 4:
122- Quel est le stade pronostic de la classification ANN-Arbor chez ce patient, en se basant sur les
données de l'examen clinique
QR 5 :
123- Citer les étiologies d'un allongement du temps de saignement
Cas clinique 35
En consultation vous recevez La NFS suivante: Hb 9g/dl, VGM 70u3, CCMH 28g/dl
QR 1
124- Interpréter ce résultat
QR 2
125- Par arbre décisionnel, préciser la démarche étiologique
Cas clinique 36
Patient âgé de 65 ans, présente depuis 1 an plus de 3 polyadénopathies cervicales bilatérales, dont la plus
grande mesure 4 cm, associées à une splénomégalie à 3 travers de doigts et un amaigrissement >10% de
son poids antérieur. La NFS montre GB 80.000/mm³, lymphocytes 70.000/mm³, Hb 7g/dl, plaquettes
90.000/mm³
QR 1 :
126- Citer les diagnostics les plus probables, justifier
QR 2 :
127- Comment confirmer le diagnostic.
QR 3:
128- Quel est le stade pronostic de la classification de Binet
QR 4:
129- Manifestations cliniques de l'hypercalcémie
Cas clinique 37 :
Sur une NFS faite chez une patiente de 54 ans on trouve: Hemoglobine à14g/dl, taux de plaquette à
450000 lm/mm3,GB à 156000 elm/mm3 à prédominance polynucléaire neutrophile avec un faux de 130000
elm/mm3 et une myélémie étagée, blastes à 3%.
QR 1 :
130- interpréter cette numération Formule sanguine (NFS).
QR 2 :
131- Quel est le diagnostic le plus probable chez cette patiente?
Cas clinique 38 :

Page 226:Ataraxie
Mr A, âgé de 50 ans, présente une altération de l'état général évoluant depuis 6 mois et une splénomégalie
arrivant à l'ombilic à l'examen clinique. L'hémogramme montre: Globules blancs: 70.000 éléments/mm3,
PNN 70%, plaquettes 500.000/mm³, Hémoglobine 14 g/dl. Le frottis sanguin montre une myélémie avec un
taux de blastes < 3%.
QR 1 :
132- Quel est le diagnostic le plus probable.
QR 2 :
133- Comment confirmer votre hypothèse.
QR 3 :
134- Quels sont les stades évolutifs de cette maladie.
QR 4 :
135- Quel traitement vous proposez.

Page 227:Ataraxie
Oncologie-Radiothérapie Questions cours par cours

Remarques
-Ce document contient toutes les questions d’anciens examens d’oncologie-radiothérapie
-( 2015-2022:1ère et 2ème sessions ) - disponibles dans le Cahier d’Exams.
-Les 96 questions sont réparties cours par cours
-Les QR sont des questions rédactionnelles qui regroupent les QROC’s aussi

Oncologie :
1. Généralités sur le cancer ( 10 questions )
1- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) correcte(s) concernant l'épidémiologie des cancers:
A. Le cancer du sein est le cancer féminin le plus fréquent au Maroc
B. Le cancer du poumon est la première cause de mortalité par cancer dans le monde
C. Au Maroc, il y a un programme national de dépistage et de diagnostic précoce du cancer du colon
D. Au Maroc nous disposons de deux registres de cancers: Registre du Grand Casablanca et Registre de
Rabat
2- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) inexacte(s) concernant l'épidémiologie des cancers
A. Le cancer du col utérin est le cancer féminin le plus fréquent au Maroc
B. Le cancer du poumon est la première cause de cancer el de mortalité par cancer dans le monde
C. Au Maroc, il y a un programme national de dépistage et de diagnostic précoce du cancer de la prostate
D. Au Maroc, il y a un programme national de dépistage et de diagnostic précoce des cancers du sein et du
col de l’utérus
E. L'obésité et l'Inactivité physique sont des facteurs de relique de survenue de cancers
3- Un patient symptomatique, alité moins de la moitié de la journée à un état général classé selon l'indice
OMS (un seul choix est correct)
A. OMSI
B. OMS 2
C. OMS 3
D. OMS 4
4- La classification TNM
A. Est une classification purement clinique
B. Permet d’adapter le traitement à la Situation clinique
C. n’est pas indispensable pour démarrer le traitement
D. Permet de définir les groupes thérapeutiques
E. permet de prévoir le pronostic
QR 1:
5- La Classification TNM
QR 2:
6- Classification TNM sous forme de tableau
QR 3:
7- Définissez les principes et les objectifs de la classification TNM.
QR 4:
8- Échelle de l'OMS pour l'évaluation de l'état général.
QR 5:
9- Quelle est la définition de l'échelle OMS 2

Page 228:Ataraxie
QR6:
10- Citer les cancers liés au tabac.
2. Hormonothérapie (3 questions)
1- Les analogues de LH-RH peuvent être utilisé (un ou plusieurs choix sont corrects)
A. Dans le traitement adjuvant du cancer du sein RH+ chez la femme non menopausée
B. Dans le traitement du cancer du sein RH+ métastatique chez la femme non ménopausée
C. Dans le traitement du cancer de la prostate à haut risque en association avec la radiothérapie
D. Dans le traitement du cancer de la prostate métastatique en association avec les anti-androgènes
périphériques
2- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant l'hormonothérapie dans le cancer du
sein
A. Les récepteurs hormonaux sont considérés positifs lorsqu'ils sont exprimés par au moins 1% des
cellules tumorales mammaires
B. Les anti-aromatases doivent être prescrits chez les femmes ménopausées ou non ménopausées sous
castration ovarienne
C. La castration médicale (analogues de LH-RH) peut être prescrite uniquement dans le cancer du sein
D. Une fragilisation osseuse est une complication possible sous hormonothérapie
E. Les récepteurs hormonaux sont considérés positifs lorsqu'ils sont exprimés par au moins 10% des
cellules tumorales mammaires
F. Fulvestrant et Tamoxifène bloquent la fixation des œstrogènes aux récepteurs.
G. Les anti-aromatases doivent être prescrits en association à la castration chez les femmes ménopausées
H. La survenue de bouffées de chaleurs est fréquente sous hormonothérapie
QR 1:
3- Hormonothérapie dans le cancer du sein: mécanisme d'action, moyens thérapeutiques et Indications

3. Thérapies ciblées (3 questions)


1- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant l'Her2 et les thérapies ciblées anti-Her2
A. Le trastuzumab est un inhibiteur de tyrosine kinase
B. Le trastuzumab inhibe le domaine extracellulaire de HER-2
C. Le trastuzumab améliore la survie des cancers du sein RH positif Her2 négatif
D. Le trastuzumab améliore la survie des cancers du sein
E. Le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui inhibe le domaine intracellulaire de HER-2
F. L'association du Pertuzumab avec le Trastuzumab améliore les résultats thérapeutiques des cancers du
sein métastatiques surexprimant l'Her2
G. Le trastuzumab peut être indiqué même en absence d’expression de L’Her2 sur les cellules tumorales
QR 1:
2- Définir une thérapie ciblée en oncologie et citer ses principaux types.
QR 2:
3- Thérapies moléculaires ciblées en oncologie: Définitions / Types / Mécanismes d’action.

4. Immunothérapie ( 1 question )
1- Les anticorps monoclonaux (un ou plusieurs choix sont corrects):
A. Sont des protéines de faible poids moléculaire
B. Leur DCI se termine par mab
C. Inhibent des enzymes intracytoplasmiques
D. Sont toujours administrés par voie orale

Page 229:Ataraxie
5. Chimiothérapie (10 questions)
1- Ces anticancéreux ont une action phase-dépendante (un ou plusieurs choix sont corrects)
A. Poisons du fuseau
B. Intercalants
C. Alkylants
D. A Métabolites
2- A propos du mécanisme d'action de la doxorubicine (intercalant inhibiteur de la topo-isomérase II):
(plusieurs réponses sont possibles)
A. Son action est cycle-dépendante
B. Elle inhibe la polymérisation de la tubuline
C. Elle perturbe la structure de l'ADN
D. Elle empêche la transcription de l'ADN et aboutit à la mort cellulaire
3- Quelles sont les principales toxicités aigues de la chimiothérapie (un ou plusieurs choix sont corrects)
A. Les nausées et vomissements
B. L'alopécie
C. La neutropénie
D. La fibrose pulmonaire
4- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) inexacte(s) concernant les toxicités de la chimiothérapie :
A. L’extravasation vasculaire peut être prévenue par l’administration à travers une voie centrale
B. La chute des cheveux peut être réduite par le port de casque réfrigérant
C. Des leucémies peuvent survenir quelques années après administration d’alkylants
D. Les corticoïdes augmentent le risque de vomissements chimio-induits
QR 1:
5- La chimiothérapie anticancéreuse: Définition, Indications et complications
QR 2:
6- Les indications de la chimiothérapie
QR 3 :
7- Décrire les complications aiguës de la chimiothérapie.
QR 4:
8- Paramètres conditionnant le choix thérapeutique par chimiothérapie.
QR 5 :
9- Effets secondaires des anti-aromatases et bilan de surveillance des patientes sous cette thérapie
QR 6:
10- Mécanismes d’action des poisons du fuseau.

6. Urgences Oncologiques (4 questions)


1- Une neutropénie fébrile est à haut risque de mortalité si (un ou plusieurs choix sont corrects)
A. Le taux de PNN est à 80/mm3
B. Score MASC 22
C. Score MASC 18
D. Durée d'évolution de neutropénie de 10 jours
2- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant la neutropenie fébrile:
A. Elle est considérée à faible risque lorsque le taux de PNN est <100/mm3
B. La neutropénie fébrile à faible risque doit être traitée au mileu hospitalier en cas de vomissements
associés
C. Une neutropénie fébrile évoluant depuis 10 jours avec un score MASC calculé à 18 est considérée à
haut risque

Page 230:Ataraxie
D. Les glycopeptides sont indiqués si infection de la voie centrale, mucite sévère, infection documentée aux
pneumocoque péni-R ou staphylocoque méti-R
E. La neutropénie fébrile à faible risque peut être traitée à domicile par une biantibiothérapie
(Amoxicilline/acide clavulanique + ciprofloxacine)
F. Les aminosides sont indiqués en cas de sepsis grave, pneumopathie infectieuse nosocomiale, infections
à pseudomonas aeruginosa ou suspicion de résistance aux B-lactames
3- QueIle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant l’hypercalcémie maligne
A. 80% des hypercalcémies modérées récupèrent une calcémie normale sous hydratation seule
B. Le patient doit être hospitalisé en cas de nausée et vomissements, confusion, insuffisance rénale ou
arythmie.
C. L’acide zolédronique stimule l’activité des ostéoclastes
D. Le dénosumab est Indiqué en cas de contre indication aux bisphosphonates
QR 1:
4- Indications d’hospitalisation en cas d’hypercalcémie maligne.

7. Douleurs et soins palliatifs en cancérologie (3 questions)


1- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) Incorrecte(s) concernant la douleur et les soins palliatifs
A. Le traitement de la dyspnée en phase palliative repose toujours sur l'oxygénothérapie
B. Le paracétamol est le traitement de choix pour une douleur dont l'intensité est estimée par TEVA 6
C. L'objectif thérapeutique est de réduire l'EVA à 3
D. Le traitement de la confusion en phase palliative peut reposer sur les neuroleptique
2- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant une douleur d’intensité 7 selon l’échelle
visuelle analogique :
A. Il s’agit d’une douleur d’intensité modérée
B. Le traitement repose sur des antalgiques de palier 2
C. La morphine est le traitement de premier choix
D. L’objectif thérapeutique est de réduire l’EVA à 3
QR 1 : La douleur cancéreuse
3.a- Définition et épidémiologie
3.b- Types de douleurs
3.c- Origine

8. Cas cliniques générales (28 questions)

Cas clinique 1 :
Mme S.D, 52 ans, sans antécédents pathologiques notables qui a consulté suite à la perception d’une
masse mammaire et des mastodynies.
Cliniquement la patiente a un statut de performance de 1 selon l’OMS. Sa douleur a été classée selon
l’échelle visuelle analogique à 5.
L’examen des seins retrouve une masse de 3cm au niveau du quadrant supéro-externe du sein gauche
mobile par rapport aux plans superficiel et profond, sans signes inflammatoires avec adénopathie axillaire
mobile de 1 cm.
L’écho-mammographie a classé la tumeur ACR5 (suspecte)
La microbiopsie était en faveur d’un carcinome de type non spécifique. L’immuno-histochimie n’a pas
montré d’expression des récepteurs hormonaux ni de surexpression de l’Her2 (score0).
Le bilan d’extension a été réalisé. La tumeur a été classée T2N1M0. Nous avons décidé de faire une
chimiothérapie à base d’anthracyclines.

Page 231:Ataraxie
1- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant le cancer du sein
A. Le sein est la 2ème localisation de cancer la plus fréquente chez la femme au Maroc après le cancer du
col de l’utérus
B. La classification TNM du cancer du sein de cette patiente conclue à la présence de métastases à
distance
C. La patiente est grabataire puisqu’elle a un indice de performance de 1 selon l’OMS
D. Le dossier médical doit être discuté en réunion de concertation multidisciplinaire avant de commencer la
chimiothérapie.
2- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant une douleur d’intensité 5 selon l’échelle
visuelle analogique :
A. Il s’agit d’une douleur d’intensité modérée
B. Le traitement repose sur des antalgiques de palier 2
C. La morphine est le traitement de premier choix
D. L’objectif thérapeutique est de réduire l’EVA à 3
3- A propos du mécanisme d’action de la doxorubicine (intercalant inhibiteur de la topo-isomérase 11):
(plusieurs réponses sont possibles)
A. Son action est cycle-dépendante
B. Elle inhibe la polymérisation de la tubuline
C. Elle perturbe la structure de l’ADN
D. Elle empêche la transcription de l’ADN et aboutit à la mort cellulaire.
4- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) inexacte(s) concernant l’hormonothérapie dans le cancer du
sein
A. Les récepteurs hormonaux sont considérés positifs lorsqu’ils sont exprimés par au moins 1% des
cellules tumorales mammaire
B. Fulvestrant est Tamoxifène sont des anti-oestrogènes
C. Les anti-aromatases doivent être prescrits en association à la castration chez les femmes non
ménopausées
D. La survenue de chute de cheveux est fréquente sous hormonothérapie
5- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant l’Her2 et les thérapies ciblées anti-Her2
A. Le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui inhibe le domaine extracellulaire de HER-2
B. Le trastuzumab améliore la survie des cancers du sein
C. Le trastuzumab peut être indiqué même en absence d’expression de l’Her2 sur les cellules tumorales
D. L’association du Pertuzumab avec le Trastuzumab améliore les résultats thérapeutiques des cancers du
sein métastatiques surexprimant l’Her2
6- La patiente s’est présentée 9 jours après le 2ème cycle de chimiothérapie avec une neutropénie fébrile.
Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant la neutropénie fébrile :
A. Elle est considérée à faible risque lorsque le taux de PNN est < 100/mm3
B. La neutropénie fébrile à faible risque doit être traitée au mileu hospitalier en cas de vomissements
associés
C. Une neutropénie fébrile évoluant depuis 10 jours avec un score MASC calculé à 18 est considérée à
haut risque
D. Les glycopeptides sont indiqués si infection de la voie centrale, mucite sévère, infection documentée aux
pneumocoque péni-R ou staphylocoque méti-R
Cas clinique 2 :
Mr S.A, 75 ans, suivi pour cancer du poumon non à petites cellules métastatique au niveau pulmonaire et
osseux ayant progressé sous inhibiteurs de point de contrôle immunitaire et sous chimiothérapie. Il a été
mis sous soins palliatifs. Il présente une altération de l’état général. La famille vous ramène un bilan
objectivant une hypercalcémie maligne modérée.

Page 232:Ataraxie
7- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant l’hypercalcémie maligne
A. 80% des hypercalcémies modérées récupèrent une calcémie normale sous hydratation seule
B. Le patient doit être hospitalisé en cas de nausée et vomissements, confusion, insuffisance rénale ou
arythmie
C. L’acide zolédronique stimule l’activité des ostéoclastes
D. Le dénosumab est Indiqué en cas de contre-indication aux bisphosphonates
8- Quelle(s) est (sont) la (les) propositions(s) exacte(s) concernant les soins palliatifs
A. Dans la phase palliative avancée, la guérison est considérée comme impossible
B. Dans la phase palliative avancée, l’objectif est toujours le soulagement des symptômes et la qualité de
vie.
C. Le traitement de la dyspnée en phase palliative repose toujours sur l’oxygénothérapie
D. Le traitement de la confusion en phase palliative peut reposer sur les neuroleptiques .
Cas clinique 3:
Mr A.D, 63 ans, sans antécédents pathologiques notables chez qui un adénocarcinome prostatique
Gleason 7
(3+4) a été diagnostiqué. La PSA est à 67 ng/ml. Cliniquement le patient a un indice de performance de 1
selon l’OMS. Le bilan d’extension a révélé des métastases osseuses diffuses au niveau axial et
périphérique. Nous avons décidé de faire une chimiothérapie à base de Taxanes (poisons du fuseau) et
Goséréline (castration médicale par analogue de LH-RH).
9- Selon l’indice de performance du patient, vous retenez qu’il est : (plusieurs réponses sont possibles)
A. Symptomatique
B. Asymptomatique
C. Complètement ambulatoire
D. Alité plus de la moitié de la journée
E. Grabataire
10- A propos du mécanisme d’action des Taxanes: (plusieurs réponses sont possibles)
A. Agissent par inhibition de la dépolymérisation de la tubuline
B. Sont phase S dépendants
C. Agissent sur les cellules engagées dans le cycle cellulaire quelle qu’en soit la phase
D. Agissent en ciblant P ADN
E. Agissent en ciblant le fuseau mitotique
11- A propos du mécanisme d’action de la Goséréline : (plusieurs réponses sont possibles)
A. Agit seulement lorsque les récepteurs aux androgènes sont exprimés sur la cellule tumorale de la
prostate.
B. Agit par blocage de la production des androgènes:
C. Agit par blocage de la fixation des androgènes sur les récepteurs
D. Peut être associée aux anti-androgènes périphériques
E. Est une molécule active dans le traitement du cancer du sein
Mr A.D a reçu 1 cure par Taxanes. Il revient après 10 jours de sa chimiothérapie avec fièvre à 38.9°C.
12- Quel est le bilan de première intention à réaliser chez ce patient (une seule réponse est possible)
A. Hémocultures
B. CRP
C. Ionogramme
D. NFS
E. ECBU
Le résultat du bilan biologique réalisé a objectivé : leucocytes à 1000/mm3, PNN à 200/mm3, calcémie
corrigée à 90 mg/1, Kaliémie à 3 meq/l, Natrémie à 134 meq/1, urée à 0.5 g/1, Créatinine à 12 mg/1, CRP
à 25 mg/l. L’examen direct de l’ECBU et des hémocultures t’a pas identifié de germes.

Page 233:Ataraxie
13- Vous retenez le diagnostic suivant (une seule réponse est possible)
A. Une insuffisance rénale
B. Un syndrome de lyse tumoral
C. Une neutropénie fébrile
D. Une hypercalcémie maligne
E. Une hyperkaliémie
Cas clinique 4 :
Mme D.N, 54 ans, ménopausée, suivie pour cancer du sein localisé exprimant fortement les récepteurs
hormonaux et le récepteur de l’Her2. Elle a eu une chirurgie radicale. A l’examen anatomopathologique de
la pièce on retrouve 3 ganglions infiltrés par la tumeur. Nous décidons de faire une chimiothérapie associée
au Trastuzumab puis une radiothérapie et une hormonothérapie par anti-aromatases.
14- A propos du cancer du sein : (plusieurs réponses sont possibles)
A. C’est le deuxième cancer féminin au Maroc après le cancer du col utérin
B. Le cancer du sein est la première cause de mortalité chez la femme au Maroc
C. La survie du cancer du sein est fortement corrélée au nombre de ganglions envahis
D. La survie du cancer du sein est fortement corrélée à la taille tumorale
E. L’Alpha Foeto protéine (AFP) est un marqueur tumoral valide dans la surveillance du cancer du sein
15- A propos de l’Her2 et du Trastuzumab
A. La forte expression de l’Her2 est un facteur de bon pronostic
B. Le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui inhibe le domaine intracellulaire de HER-2
C. Le traitement par trastuzumab améliore la survie des cancers du sein
D. Le trastuzumab peut être indiqué même en absence d’expression de l’Her2 sur les cellules tumorales
E. L’association du Pertuzumab avec le Trastuzumab améliore les résultats thérapeutiques des cancers du
sein métastatiques surexprimant l’Her2
16- A propos de l’hormonothérapie du cancer du sein :
A. Les anti-aromatases représentent le traitement préférentiel chez la femme non ménopausée
B. Les anti-aromatases doivent être associés à une castration chez la femme ménopausée
C. Le tamoxifène est un anti-oestrogène
D. Le tamoxifène augmente les accidents thromboemboliques chez les femmes ménopausées
E. La durée de traitement adjuvant par hormonothérapie est de 2 ans
Deux ans après la fin de son traitement adjuvant, la patiente se présente avec des douleurs rachidiennes.
L’examen clinique et biologique étaient sans particularités.
17- Vous évaluez l’intensité de la douleur à 7 de l’échelle visuelle analogique.
A. Il s’agit d’une douleur d’intensité modérée
B. Le traitement repose sur des antalgiques de palier 2
C. La morphine est le traitement de premier choix chez cette patiente
D. Les douleurs sont probablement dues à des métastases osseuses
E. L’objectif thérapeutique est de réduire l’EVA à 3
La patiente a reçu son traitement antalgique avec une bonne évolution. Lors d’une consultation ultérieure,
la patiente ramène son bilan radiologique révélant multiples métastases à distance. Elle rapporte des
paresthésies des deux membres inférieurs. A l’examen clinique on retrouve une réduction de la motricité
des deux membres inférieurs.
18- Que décidez vous pour cette patiente :
A. L’hypertension intracrânienne est le diagnostic le plus probable
B. L’IRM médullaire est le bilan radiologique de choix
C. Le traitement repose sur la chirurgie vue la présence de plusieurs lésions métastatiques
D. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens représentent le traitement médical de première intention dans ce
cas
E. La radiothérapie permet de récupérer les fonctions neurologiques chez un tiers des patients

Page 234:Ataraxie
Cas clinique 5:
Mr A.D, 63 ans, sans antécédents pathologiques notables chez qui un adénocarcinome pulmonaire a été
diagnostiqué.
Cliniquement le patient a un indice de performance de 2 selon l'OMS. Le bilan d'extension a révélé des
métastases pulmonaires et osseuses diffuses. Nous avons décidé de faire une chimiothérapie à base de
Taxanes (poisons du fuseau) et Sels de platine (alkylants).
19- Selon l'indice de performance du patient, vous retenez qu'il est : (plusieurs réponses sont possibles)
A. Asymptomatique
B. Alité plus de la moitié de la journée
C. Alité moins de la moitié de la journée a
D. Grabataire
20- A propos du mécanisme d'action des Taxanes: (plusieurs réponses sont possibles)
A. Les taxanes agissent par Inhibition de la dépolymérisation de la tubuline
B. Les taxanes sont phase S dépendants
C. Agissent sur les cellules engagées dans le cycle cellulaire quelle qu’en soit la phase
D. Agissent en ciblant l’ADN
21- A propos du mécanisme d'action des sels de platine: (plusieurs réponses sont possibles)
A. Les sels de platine agissent en formant des ponts chimiques entre 2 sites d'un même brin d'ADN ou de
2 brins d'ADN voisins
B. Les sels de platine sont phase S dépendants
C. Agissent sur les cellules engagées dans le cycle cellulaire quelle qu’en soit la phase
D. Agissent en ciblant l'ADN

Mr A.D a reçu cycles de chimiothérapie à base de taxanes et sels de platine, il se présente à la 4ème cure
avec une NFS:
● Polynucléaires neutrophiles : 1700/mm3
● Hg à 10 g/dl
● Plaquettes 90.000 /mm3
22- Choisissez la bonne réponse :
A. Le patient peut recevoir sa cure de chimiothérapie
B. Le patient ne peut pas recevoir sa chimiothérapie carie taux de PNN est < 2000/mm3
C. Le patient ne peut pas recevoir sa chimiothérapie car le taux de plaquettes est < 10000/mm3
D. Le patient ne peut pas recevoir sa chimiothérapie car le taux d'hémoglobine est < 12g/dl
Après 4 mois de chimiothérapie, le patient se présente pour une fatigue, anorexie,
vomissements,constipation.
Le résultat du bilan biologique réalisé a objectivé : leucocytes : 2500/mm3, PNN : 700/mm3, calcémie
corrigée à 150 mg/I, Kaliémie à 3 meq/l, Natrémie à 134 meq/l, urée à 0.5 g/l , Créatinine à 12 mg/l.
23- Vous retenez le diagnostic suivant (une seule réponse est possible)
A. Une insuffisance rénale
B. Un syndrome de lyse tumoral
C. Une neutropénie
D. Une hypercalcémie maligne
Cas clinique 6:
Mme D.N 54 ans, ménopausée, suivie peur cancer du sein localisé exprimant fortement les récepteurs
hormonaux et le récepteur de Her2. Elle a eu une chirurgie radicale. A l'examen anatomopathologique de
la pièce on retrouve 3 ganglions infiltrés par la tumeur. Nous décidons de faire une chimiothérapie associée
au Trastuzumab plus une radiothérapie et une hormonothérapie par anti-aromatases.
24- A propos du cancer du sein: (plusieurs réponses sont possibles)
A. C'est le deuxième cancer féminin au Maroc après le cancer du col utérin
B. La survie du cancer du sein est fortement corrélée au nombre de ganglions envahis

Page 235:Ataraxie
C. La survie du cancer du sein est fortement corrélée à la salle tumorale
D. Le CA 15-3 est un marqueur tumoral valide dans la surveillance du cancer du sein
25- A propos de l'Her2 et du Trastuzumab (plusieurs réponses sont possibles)
A. La forte expression de l'Her2 est un facteur de mauvais pronostic
B. Le Trastuzumab est un inhibiteur de tyrosine kinase qui inhibe le domaine intracellulaire de HER-2
C. Le Trastuzumab améliore la survie des cancer du sein
D. Le Trastuzumab peut être indiqué même en absence d'expression de l'Her2 sur les cellules tumorales
26- A propos de l'hormonothérapie du cancer du seis: (plusieurs réponses sont possibles)
A. Les anti-aromatases doivent être associés à une castration chez la femme ménopausée
B. Le tamoxifène est un anti-oestrogène
C. Le tamoxifène augmente les accidents thromboemboliques chez les femmes ménopausées
D. La durée de traitement adjuvant par hormonothérapie est de 2 ans
Deux ans après la fin de son traitement adjuvant, la patiente se présente avec des douleurs rachidiennes.
L'examen clinique et biologique étaient sans particularités
27- Vous évaluer l'intensité de la douleur à 5 de l'échelle visuelle analogique (plusieurs réponses sont
possibles)
A. Il s'agit d'une douleur d'intensité modérée
B. Le traitement repose sur des antalgiques de palier 2
C. La morphine est le traitement de premier choix chez cette patiente
D. L'objectif thérapeutique est de réduire l'EVA à 3 ou moins
La patiente a reçu son traitement antalgique avec une bonne évolution, Lors d'une consultation ultérieure,
la patiente se présente pour céphalées, vomissements, baisse de l'acuité visuelle. A L'examen clinique on
retrouve une réduction de la motricité de l'hémicorps droit
28- Que décidez vous pour cette patiente: (plusieurs réponses sont possibles)
A. L'hypertension Intracrânienne est le diagnostic le plus probable
B. L'IRM cérébrale est le bilan radiologique de choix
C. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens représentent le traitement médical de première Intention dans
ce cas
D. La chirurgie et/ou radiothérapie améliorent le pronostic

Radiothérapie :
1. Radiobiologie ( 11 questions)
1- la Radiobiologie :
A. C'est l'étude des effets des radiations ionisantes (RI) sur les êtres vivants et leurs constituants.
B. Les effets biologiques d'une irradiation sur les tissus cellulaires passent par une chaîne de phénomènes
déclenchés par le passage du rayonnement.
C. Les agents de l'ionisation sont des particules chargées en mouvement rapide dans le milieu.
D. Le mode d'action des radiations ionisantes passent par 3 étapes : Physique, physico chimique, et
Cellulaire.
E. Les agents de l'ionisation correspondent aux rayonnements directement ionisants.
2- A propos de la radiobiologie, donner la ou les propositions vraies:
A. L'effet Photoélectrique est l'effet prédominant en Radiothérapie de Haute énergie
B. Les effets indirects sur l'ADN sont les plus nombreux (70%)
C. L'irradiation va systématiquement provoquer la mort cellulaire
D. les particules chargées sont des rayonnement indirectement ionisants
E. Les lésions double brins de l'ADN sont les lésions les plus graves et les plus difficiles à réparer pour la
cellule

Page 236:Ataraxie
3- En radiobiologie :
A. Les agents de l’ionisation sont des particules chargées en mouvement rapide dans le milieu.
B. L’effet Photoélectrique est l’effet prédominant en Radiothérapie de Haute énergie
C. La radiolyse de la molécule d’eau, aboutit à la formation de radicaux libres.
D. L’effet létal des radiations ionisantes est principalement secondaire aux formations de pontages inter
brins
E. Les réactions précoces à l’irradiation sont le fait des tissus à renouvellement rapide
F. L'effet Compton est l'effet prédominant en Radiothérapie de Haute énergie
G. La radiolyse se de la molécule d’eau, qui est l’étape Biologique, aboutit à la formation de radicaux
libres.
H. Les cassures “simple brin” de l’ADN sont les lésions tes plus graves et les plus difficiles à réparer pour la
cellule
I. Les lésions simple brin de l'ADN sont les principales lésions responsables de l'effet létal des radiations
ionisantes.
J. La Phase Physique est la phase la plus courte.
4- Concernant les Facteurs influençant l'effet biologique des radiations ionisantes, donner la ou les
propositions vraies
A. L'effet oxygène favorise les effets des rayonnements ionisants
B. Les cellules en phase S du cycle cellulaire sont radiosensibles
C. La cellule en hypoxie est Radiorésistante
D. Chez les patients anémiques la transfusion par des culots Globulaire est nécessaire avant de démarrer
la radiothérapie
E. L'étalement et le fractionnement protègent relativement plus les tissus qui ont une capacité de
restauration et de repopulation élevée
5- Parmi les facteurs influençant l’effet biologique des radiations ionisantes :
A. La radiosensibilité intrinsèque .
B. La dose Totale
C. L’étalement
D. La nature du rayonnement utilisé.
E. Le cycle cellulaire
6- Le facteur temps en radiothérapie
A. Toute irradiation se définit par 3 paramètres : la dose totale, le fractionnement,l'étalement
B. L’étalement se définit par le nombre total des séances de radiothérapie
C. L’étalement et le fractionnement favorisent la restauration cellulaire
D. L’étalement et le fractionnement favorisent la réoxygénation des cellules tumorales hypoxiques;
E. L’étalement et le fractionnement protègent relativement plus les tissus qui ont une faible capacité de
restauration.
7- les tissus sont d’autant plus radiosensibles que leurs cellules :
A. Sont peu différenciées.
B. Sont bien différenciées
C. Ont une forte activité mitotique
D. Ont une faible activité mitotique.
E. Se divisent plus rapidement.
8- L’effet oxygène en radiothérapie :
A. Joue un rôle primordial dans la réponse de la cellule tumorale à l'irradiation
B. Permet la formation de peroxyde
C. Permet d’augmenter les lésions au niveau de L’ADN
D. N’a pas de rôle dans la réponse biologique au rayons
E. La cellule en hypoxie est radiosensible

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9- En Radiobiologie, l’effet Oxygène
A. N’a pas de rôle dans le mécanisme d’action des rayonnements
B. Permet d’augmenter les lésions au niveau de l’ADN
C. Permet la formation de Peroxyde
D. La cellule en hypoxie est Radiosensible
E. Chez les patients anémiques la transfusion par des culots Globulaire est nécessaire avant de démarrer
la radiothérapie.
10- Avant de commencer un traitement par radiations ionisantes :
A. La lésion cancéreuse doit faire l’objet d’un diagnostic histologique précis
B. Un bilan d’extension est obligatoire
C. Une évaluation de l’état générale du patient est indispensable
D. Stratégie thérapeutique peut être à visée curative ou palliative
E. La transfusion du malade avec Hb inférieur à 8 g/ dl est obligatoire
11- La dosé à délivrer en radiothérapie dépend du
A. Du type histologique de la tumeur.
B. Elle doit tenir compte de la tolérance des tissus sains contenus dans le volume irradié pour éviter des
séquelles post radique parfois graves.
C. Du poids du malade
D. De l'âge du malade
E. De la stratégie thérapeutique palliative ou curative
F. De la qualité de la résection chirurgicale

2. Parcours du patient au service de radiothérapie ( 1 question)


1- Dans le parcours du patient au service de radiothérapie
A. La réunion de consultation pluridisciplinaire est une étape importante dans la décision thérapeutique
B. La simulation est la première étape du cheminement en radiothérapie.
C. Les premiers jours de traitement, la position du patient est vérifiée par un système d'imagerie portale
embarquée sur l'accélérateur linéaire
D. Le contrôle de repositionnement n'est pas obligatoire durant le traitement.

3. Simulation de radiothérapie externe (4 questions)


1- Concernant la Simulation en radiothérapie externe, donner la ou les propositions vraies
A. La définition des volumes cibles et des organes à risque n'est pas indispensable
B. Le volume cible Anatomoclinique correspond à l'ensemble des lésions tumorales mesurables, palpables
ou visibles à l'imagerie
C. Les photons ont un rendement en profondeur élevé avec, par conséquent, un maximum de dose délivré
plusieurs centimètres sous la surface de in peau.
D. Les électrons ont un rendement en profondeur moindre et sont utilisés pour volumes cibles superficiels
E. La reproductibilité de repositionnement n'est pas obligatoire durant le traitement
2- La Radiothérapie externe, donner la ou les propositions vraies
A. La Radiothérapie est un traitement systémique des tumeurs
B. Elle utilise une source de rayonnement placée au contact de la tumeur
C. L'objectif de la radiothérapie est de délivrer une dose maximale au niveau des Volumes cibles
D. L'objectif de la radiothérapie est de délivrer une dose maximale au niveau des Volumes cibles et une
dose minimale au niveau des Organes à risque
E. L'objectif de la radiothérapie est de délivrer une dose minimale au niveau des Organes à risque
F. Ne prend pas en considération les Organes à risque
3- La radiothérapie externe
A. La radiothérapie est un traitement systémique des tumeurs.
B. La radiothérapie est un traitement locorégional des tumeurs.

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C. Est un traitement local des tumeurs accessibles
D. Elle utilise une source de rayonnement placé au contact de la tumeur
E. Son objectif est de détruire toutes les cellules capables de se diviser contenues dans la tumeur et dans
ses extensions afin d’obtenir une guérison.
F. La dose à délivrer ne dépend pas du type histologique de la tumeur.
G. Peut être utilisée de façon exclusive dans les tumeurs radiosensibles et radio curables
H. L'objectif de la radiothérapie est de délivrer une dose maximale au niveau des Volumes cibles.
I. Est l’utilisation thérapeutique des radiations ionisantes
J. Elle est principalement utilisée en cancérologie, en combinaison ou non avec la chirurgie et/ou la
chimiothérapie
K. Ne prend pas en considération les organes à risques.
L. Utilisée seulement pour les petites tumeurs
M. Est l’utilisation thérapeutique des radiations ionisantes.
N. Peut être utilisée à visée curative ou palliative.
O. Son objective est d’irradier toutes les cellules cancéreuses par une dose suffisante tout en épargnant les
organes à risques
4- La simulation
A. est une des étapes de la radiothérapie externe.
B. Il s’agit de l’étape de préparation du traitement.
C. Elle se déroule entre 2 et 7 jours avant le début de l’irradiation
D. Lors de la simulation, le patient est mis en position confortable et reproductible,
E. En utilisant un moyen de contention adapté à la localisation de la lésion à irradier.

4. La curiethérapie ( 2 questions)
1- la curiethérapie, donner la ou les propositions vraies
A. C'est le traitement local des tumeurs par la mise en place de sources scellées au contact ou à l'intérieur
de la tumeur
B. La curiethérapie interstitielle Les sources radioactives sont placées au contact de la tumeur
C. Ne Peut jamais être utilisée seule
D. Permet de délivrer une forte dose dans un volume réduit
E. Permet une décroissance rapide de la dose au voisinage
2- La curiethérapie :
A. C’est un traitement local des tumeurs accessibles par la mise en place de sources scellées au contact
ou à l’intérieur de la tumeur.
B. c’est un traitement locorégional des tumeurs par la mise en place de sources scellées au contact ou à
l’intérieur de la tumeur
C. Permet de délivrer une forte dose dans un volume réduit
D. Elle est caractérisée par une décroissance rapide de la dose au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la
source radioactive.
E. Elle n’est jamais utilisée seule
F. Elle est toujours réalisée seule en exclusive
G. La dose en curiethérapie dépend de la dose reçue par radiothérapie externe.
H. peut être utilisée seule
I. la dose en curiethérapie dépend du stade de la maladie
J. Lors d'une curiethérapie à haut débit de dose, la source radioactive est appliquée sur la zone concernée
pendant deux à cinq jours.
K. Elle est souvent réalisé en complément de la radiothérapie externe ou de la chirurgie
L. permet de limiter les effets secondaires.
M. Réservée pour les tumeurs accessibles
N. Elle est souvent réalisée seule en exclusive

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O. Par la mise en place des sources scellées au contact ou à l’intérieur de la tumeur.
P. La dose de rayonnements décroît très vite au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la source radioactive
cela permet de limiter les effets secondaires

5. Indications de la radiothérapie ( 11 questions )


1- La radiothérapie peut-être utiliser à viser:
A. Palliative
B. Curative
C. Hormonale
D. Aucune des propositions n'est juste.
2- La Radiothérapie palliative
A. C'est l'irradiation d'une tumeur qu'on sait ne pas pouvoir guérir
B. Peut être indiquée pour les cancers en phase métastatique.
C. son but est d'améliorer le confort du malade
D. Son but est de soulager les symptômes. Tels que la douleur, la compression et l’hémorragie.
E. Le traitement se fait par des petites fractions et étalée dans le temps
3- L’association radio-chimiothérapie concomitante :
A. Permet D’augmenter l’effet de la radiothérapie localement
B. Permet d’agir sur les métastases infra cliniques à distance
C. La coopération temporelle est le concept selon lequel les cibles de la radiothérapie et de la
chimiothérapie se situeraient sur des sites anatomiques différents.
D. Les associations Radio Chimiothérapie sont à la base du concept de préservation laryngée dans les
cancers du larynx localement avancé.
E. La radio-chimiothérapie pré opératoire est le standard pour les cancers du bas et moyen rectum T3, T4
et / N+.
4- Dans le traitement du cancer du sein, donner la ou les propositions vraies
A. La radiothérapie externe est toujours indiquée
B. La Radiothérapie externe est toujours indiquée après un traitement conservateur
C. La Radiothérapie est toujours indiquée après une mastectomie
D. La Radiothérapie externe est indiquée en cas de tumeur avec envahissement ganglionnaire axillaire
E. La curiethérapie peut être utilisée en complément d'irradiation sur le lit tumoral
5- Dans le traitement du cancer du sein
A. La radiothérapie externe est toujours indiquée
B. La Radiothérapie externe est toujours indiquée après un traitement conservateur
C. Dans les petites tumeurs, la radiothérapie permet d’éviter une mastectomie
D. La Radiothérapie externe est indiquée en cas de tumeur classée pT3/T4
E. La curiethérapie peut être utilisée en complément d’irradiation sur le lit tumoral après traitement
conservateur.
F. La curiethérapie peut être utilisée en complément d'irradiation sur le lit tumoral
6- Dans le cancer du sein, la radiothérapie:
A. Permet de diminuer le taux de la récidive locale
B. Est obligatoire en cas de traitement conservateur
C. Toujours indiquée en présence des facteurs de mauvais pronostiques
D. N'est pas indiquée en cas d'atteinte ganglionnaire sur le curage axillaire
7- La radiothérapie adjuvante dans le cancer du sein :
A. Est un traitement loco-régional
B. Son but est de réduire le risque de récidives locales
C. Est obligatoire après traitement conservateur
D. Est obligatoire dans les cancers du sein avec des facteurs de mauvais pronostic
E. N’a pas un rôle curatif.

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8- Dans le cancer du col utérin, donner la ou les propositions vraies
A. L'infection à HPV est le principal facteur de risque
B. La Radiothérapie externe est toujours indiquée
C. La Radio-chimiothérapie concomitante en association avec la curiethérapie est le standard dans la prise
en charge des cancers du col utérin localement avancés
D. En cas de chirurgie première la radiothérapie externe est indiquée en cas de d'atteinte ganglionnaire
E. En cas de chirurgie première la radiothérapie externe est indiquée en cas de d'atteinte Paramétriale
F. En cas de chirurgie première la radiothérapie externe adjuvante est toujours indiquée
9- Dans le cancer du col utérin
A. L’infection à HPV est le principal facteur de risque
B. La Radiothérapie externe est toujours indiquée
C. La Radio-chimiothérapie concomitante en association avec la curiethérapie est le standard dans la prise
en charge des cancers du col utérin localement avancés
D. En cas de chirurgie première la radiothérapie externe est indiquée en cas de d’atteinte ganglionnaire
E. En cas de chirurgie première la radiothérapie externe est indiquée en cas de d’atteinte paramétriale
10- Dans le cancer du rectum la radiothérapie préopératoire
A. Est dite adjuvante
B. Est dite néo adjuvante
C. Permet de diminuer le risque de récidive locale
D. Permet de détruire la maladie infra clinique,
E. Permet de limiter les greffes néoplasiques en peropératoire.

11- La radiothérapie
A. Le traitement par radiothérapie nécessite une préparation qui demande du temps et de la précision
B. Le but de la radiothérapie palliative est de détruire toutes les cellules capables de se diviser contenues
dans la tumeur et dans ses extensions
C. La radiothérapie peut être utilisée de façon exclusive dans les tumeurs radiosensibles et radio curables
afin d'obtenir une guérison (rémission)
D. Le but de la radiothérapie postopératoire est de réduire le risque de récidives locales
E. la radiothérapie préopératoire peut faciliter le geste opératoire

6. Toxicité de la radiothérapie ( 5 questions )


1- Les toxicités aigues de la radiothérapie:
A. Concernant les tissus à renouvellement rapide
B. Concernent les tissus à renouvellement lent
C. Sont le témoin de lésions tissulaires réparables
D. Sont le témoin de lésions tissulaires irréparables
E. Leur survenue dépend de la dose d'irradiation et du volume irradié
2- Les toxicités tardives de la radiothérapie:
A. Concernent les tissus à renouvellement rapide
B. Concernent les tissus à renouvellement lent
C. Sont le témoin de lésions tissulaires réparables
D. Sont le témoin de lésions tissulaires irréparables
E. Leur survenue dépend de la dose d'irradiation et du volume irradié
3- Les effets secondaires aigus en radiothérapie
A. Sont des réactions survenant durant le traitement et jusqu'à six mois après le traitement.
B. Sont dues à une mort cellulaire directe touchant surtout les tissus à taux de renouvellement élevé
C. Rarement, imposent l'arrêt du traitement.
D. Sont irréversibles.
E. Sont réversibles en quelques semaines.

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F. Caractérisés par la constitution d’une fibrose et sont dès lors irréversibles.
G. Ils surviennent essentiellement dans les tissus à renouvellement rapide (muqueuses digestives, peau,
…)
4- Les effets secondaires tardives en radiothérapie
A. Sont dues aux conséquences nutritionnelles d'une artérite oblitérante
B. Sont réparables
C. Représentent les véritables complications
D. Dépendent d'un seuil de dose
5- Les facteurs de risque qui peuvent augmenter les complications de la radiothérapie.
E. La susceptibilité individuelle
A. Les antécédents de traumatismes (cicatrices, infections)
B. Diabète déséquilibré
C. L'association de la chimiothérapie

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