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Sin embargo, Untersteiner cree que en Parménides es una suposición necesaria casi banal de defender
dada su enraicimiento. En cambio, Untersteiner supone que el predicado que concentra y resume el
eleatismo parmenídeo es houlon o holon. Un testimonio que explicita esta posición se encuentra en
Eudemo Fr 43 Wehrli, fr 11 Spengel, DK 28 A 28, p. 222, 39 sss.
1 Nótese cómo en Parménides tenemos pocos usos argumentativos de la forma εἰ, al menos es claro que existe en B2Dk, 1
y de forma más “melisiana” está el fragmento B8DK, 20. En este sentido, Meliso plantea argumentaciones que tienen
eco en el pensamiento de Gorgias: si x, entonces y. Sextus VII, 67 ss.: ἐν γὰρ τῶι ἐπιγραφομένωι Περὶ τοῦ μὴ ὄντος ἢ
Περὶ φύσεως τρία κατὰ τὸ ἑξῆς κεφάλαια κατασκευάζει, ἓν μὲν καὶ πρῶτον ὅτι οὐδὲν ἔστιν, δεύτερον (ὅτι εἰ καὶ ἔστιν,
ἀκατάληπτον ἀνθρώπωι, τρίτον ὅτι εἰ καὶ καταληπτόν, ἀλλὰ τοί γε ἀνέξοιστον καὶ ἀνερμήνευτον τῶι πέλας.. La versión
-Simpl In De Caelo, 557, 16-18 : λέγει δὲ Μέλισσος μὲν “εἰ γὰρ εἴη, ἓν εἴη ἄν· εἰ γὰρ δύο εἴη,
οὐκ ἂν δύναιτο ἄπειρα εἶναι, ἀλλ’ ἔχοι ἂν πείρατα πρὸς ἄλληλα”, Παρμενίδης δὲ
οὖλον μουνογενές τε καὶ ἀτρεμὲς ἠδ’ ἀγένητον
Zenon negaba en cierto modo la multiplicidad, sin atacar directamente la unidad ni menos aceptarla.
Sobre esta opinión ver Seneca, Ep. 88, 45 = A 21, p. 252, 30-31: “si Parmenidi [sc. Credo], nihil est
praeter unum, si Zenoni ne unum quidem”.
Calogero, p.119 “Per il greco, s'è detto, le forme di einai, significavano nei più varî modi la sussistenza
o la verità o la concomitanza di dati aspetti delle cose, ma non mai, per sè medesime, alcuno di tali
aspetti nella loro concreto determinazione, che si manifestava infatti solntanto nei loro 'nomi'”.
Journée, Article
Deux diffucltés: l'emploi des infinitifs avec l'article et la construction des phrases dites impersonnelles.
Si xre est impersonel il doit être lié à emmenai et si on substantivise legein et noein ceux-ci seront les
sujet du verbe emmenai “il est nécessaire que le penser et le dire soient...”
Alors, si xre est personnel il doit avoir un sujet en nomminatif, qui pourrait etre le to. Cependant, il n'y
a pas d'autres parrallèles qui renforcent cette lecture.
* * *
Magali Année
del pseudo-Aristóteles es más límpida en cuanto al vocabulario empleado, De MXG, 979a, 12-13: Οὐκ εἶναί φησιν
οὐδέν· εἰ δ’ ἔστιν, ἄγνωστον εἶναι· εἰ δὲ καὶ ἔστι καὶ γνωστόν, ἀλλ’ οὐ δηλωτὸν ἄλλοις. Por último, nótese cómo la
versión de Sextus (B3, 73ss.) del tratado del no-ser contiene elementos parmenídeos como la unidad y la continuidad:
καὶ ἄλλως, εἰ ἔστιν, ἤτοι ἕν ἐστιν ἢ πολλά· οὔτε δὲ ἕν ἐστιν οὔτε πολλά, ὡς παρασταθήσεται· οὐκ ἄρα ἔστι τὸ ὄν. εἰ γὰρ
ἕν ἐστιν, ἤτοι ποσόν ἐστιν ἢ συνεχές ἐστιν ἢ μέγεθός ἐστιν ἢ σῶμά ἐστιν. ὅ τι δὲ ἂν ἦι τούτων, οὐχ ἕν ἐστιν, ἀλλὰ ποσὸν
μὲν καθεστὼς διαιρεθήσεται, συνεχὲς δὲ ὂν τμηθήσεται.
ὅτῳ δ’ ὄλεθρον δεινὸν ἁλήθει’ ἄγει,
συγγνωστὸν εἰπεῖν ἐστι καὶ τὸ μὴ καλόν
TESIS:
Repérage des fragments où quelques mots sont répétés dans l'Alètheia et la Doxa : épistémologie et
langage.
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Sur la structure poétique : B6.3 Nehamas ouvre le discours général et le ferme dans B8.50 Au milieu on
a un anneau dans B8.27 qui recule à toute une unité dans B8.6-21. En tout cas, il semble que tel effet
pourrait servir à attirer l’attention du kouros sur le caractère distinctif de l’étant : tout ce qu’on fait,
même moi dit la déesse, est soumis à des binômes discursifs. Là où on trouve de la « croyance réelle »
(b8.28 en tension avec B1.30), les binômes discursifs disparaissent ; là où la « croyance réelle »
disparaît, les binômes apparaissent :
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Q = pistils Alette
P= génération et destruction
So, if P, then -Q
And if Q, then -P
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Sobre Parmenides b8 pefatismenon esti
“On peut rapprocher des relatives consécutives logiques les constructions par ἐφ’ ᾧ et ἐφ’ ᾧτε suivis de l’infinitif
(Hérodote et Thucydide les font du reste parfois suivre d’un indicatif futur 63) au sens de « à la condition que,
pourvu que ». Constructions qui s’apparentent elles-mêmes aux tours par ὥστε et l’infinitif (cf. Goodwin § 582-
610).”
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Detienne maitres de vérité
sobre Gorgias, apate y la posible relacion con el dissoi logoi ver Detienne p. 161, n. 6 (Plut. De poet
aud. 15 D ; Schuhl _Platon et l'art de son temps 1952, p. 84_
Sur Apate et Dike voir Plato Resp 365B-C.
Sobre el caracter fluido de la doxa (ser y no ser ; verdad y mentira) ver Platon Resp 479a-480a ; 508d y
Theaet 194b [Menon 97b-c au sujet de l' « opinion juste »]
Dans le bouquin de Schuhl on a la référence que Platon subissait le charme de la poésie imitative par le
biais d'un charme presque magique (voir Resp X 607c) ; ver tambien la revindicacion de las artes en
general en el Politico 299 d y e (que es un antecedente a la frase de Nieztsche : sin la musica la vida
seria un error). Sur la skiagraphie voir Sophiste 234b ; Theaet 208e ; Parm 165cd ; Philebe 41e-42a ;
Lois 663c.
Hypernoyme
hyponume
p.122: “One is that of a meaning distinct from the denotation, one which, so to speak, is guaranteed to
belong to the expression if the expression has, in ordiray terms, any cognitive meaning at all. The other
is the further condition, that the criterion for two expressions' have the _same_ meaning in this over-
and-above sense of ''meaning'' is stricter than that for their denoting the same denotation.
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Polarity and Analogy. Two types of Argumentation in Early Greek Thought (1966) ; G. E. R. Lloyd.