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Dédicace……………………………………………………………………………………....iii
Remerciements……..………………………………………………………………………....iv
Liste d’abréviatures…………………………………………………………………………....v
Liste de principaux tableaux .………………………………………………………………...vi
Déclaration ...………………………………………………………………………………...vii
Résumé………………………………………………………………………………………viii
Abstract……………………………………………………………………………………….ix
INTRODUCTION……...…………………………………………………..........................10
1. Thème.…………………………………………………………………………………......11
2. Justificative.……………………………………………………………………………......12
3. Problème..……………………………………………………………………………….....13
4. Hypothèses...……………………………………………………………………………....15
5. Objectif..…...………………………………………………………………………………15
5.1. Objectif General………………………………………………………………………....16
5.2. Objectifs Spécifiques...……………………………………………………………….....16
CHAPITRE I: REVUE DE LITTERATURE…..…………………………………………....17
1. L’approche conceptuelle………...….……………………………………………………..17
1.2. Difficultés………………...…………………………………………..………………….17
1.3. L’Orale………………………………………………………………………..…………17
1.3.1. La place de l’oral dans des différentes méthodologies d’enseignement de langues.....18
1.3.2.1. La méthodologie traditionnelle (ou grammaire traduction)……...………………….18
1.3.2.2. La méthodologie directe…………………………………………………………......18
1.3.2.3. La méthode audio-orale…………………………………………………………...…18
1.3.2.4. La méthodologie structuro-globale audiovisuelle…………………………………...18
1.3.2.5. L’approche communicative………………………………………………………….19
1.4. Stratégie d’apprentissage…..…………………………………………………………….19
1.4.1. Stratégies pour la mise en place de l’oral chez l’apprenant..………………................19
1.4.2. Jeu de rôle...………………...……………………………………………………….....20
1.4.3. La simulation.....……………………………………………………………………….21
1.4.4. Les débats......……………………………………………………………………….....21
1.5. Evaluation……………………...………………………………………………………...22
1.6. Types d’évaluation………….…………………………………………………………...22
1.6.1. Evaluation diagnostique…...…...……………………………………………………...23
8
INTRODUCTION
Le présent travail il est inséré dans le cadre de travail de fin du cours que constitue une des
conditions pour la mise en fin de la formation dans l’université pédagogique afin d´obtenir le
degré de maitrise.
Cependant, ce mémoire a pour sujet «Les difficultés de l’évaluation formative de l’expression
orale du FLE dans une classe nombreuse. Cas étudié à l’école secondaire 12 d’octobre,
Nampula/2016.»
Depuis les années 70 le processus d’enseignement/apprentissage en générale et de langues en
particulier a observé une grande évolution concernant le mode dont il est réalisé. Comme est
de notre connaissance, ces dans les années 70 qui a été introduite une nouvelle forme
méthodologique que préconise la centration sur l’apprenant, donc, l’approche
communicative.
Ce mémoire a comme point de départ les constats retenu pendant la mise en pratique des
acquises théoriques, donc au stage pédagogique. Nous nous sommes proposé à faire l’étudie
de l’évaluation de la production orale chez les apprenants avec l’objectif de montrer quelques
utiles que peuvent aider et encourager aux enseignants à évaluer cette compétence chez leurs
apprenants en situation d’enseignement/apprentissage des langues, dans une salle
effectivement pléthorique.
Cet étudie est pertinente dans la mesure où la question de l’évaluation de oralité en classe de
langue est une situation que ne se limite pas seulement aux écoles secondaires, mais aussi
dans l’université et dans la société entière.
De cette façon, l’importance de notre travail sera notée dans la promotion de la compétence
d’expression orale de l’apprenant comme membres intégrants d’une société académique.
Concernant les méthodologies utilisées, cette recherche a été réalisée avec la mobilisation
d’un éclectisme méthodologique pour le recueil d’informations que la supportent.
11
Du point de vue de la structure physique du travail, il a obéit les normes tracées dans le
règlement d’élaboration de travaux de caractère scientifique à l’université Pédagogique en
Mozambique.
En effet, nous avons divisé ce mémoire en trois chapitres. Dont dans le premier chapitre nous
présentons le cadre théorique. Donc, c’est dans ce chapitre que nous présentons la revue de
littérature que nous a facilité à conceptualiser et analyser le problème de la recherche tout en
tenant compte les auteurs que ont antérieurement abordé le même sujet, et aussi on a pu
approfondir nos connaissances sur le sujet en étudie.
1. Thème
Cette recherche est encadré dans le domaine de didactique, elle a pour objectif l’étudie des
difficultés de l’évaluation formative de l’expression orale du FLE dans une classe nombreuse.
Concernant l’espace de réalisation de cette recherche, elle a eu lieu dans la province de
Nampula, à l’école Secondaire 12 d’Octobre, en 12eme classe, salle A3, dans l’année de 2016,
au deuxième trimestre de l’enseignement général au Mozambique. Cependant, relativement
au sujet de recherche il est intitulé :
Les difficultés de l’évaluation formative de l’expression orale du FLE dans une classe
nombreuse. Cas étudié en 12eme classe A3, à l’école Secondaire d’Octobre/2016
12
2. Justificative
Du point de vue du principe de recherche scientifique, dans la justificative on présente les
raisons d’ordre théorique et pratique que justifient la raison ou l’intérêt de la recherche, il est
relevant qu’on réfère que l’un des point de départ de ce recherche est de caractère théorique
dont on a appris en classe pendant les cours de Didactique où on a pu comprendre la
dimension de l’importance de l’évaluation d’expression orale en classe de langue dans le
processus d’enseignement/apprentissage du Français en tant que Langue Etrangère.
Cependant, nous avons choisi le domaine de l’évaluation formative de l’expression orale pour
des raisons théoriques et pratiques. Ainsi, la première raison ce justifiée par le fait que
l’évaluation formative est pour sa nature une activité difficile de mettre en place surtout
quand les conditions dont elle est réalisée ne sont adéquats ni favorable.
De plus, le cadre européen commun de référence préconise que l’évaluation formative est une
activité dont l’objectif est recueil des informations sur les compétences de l’apprenant et ses
défauts dans le processus d’enseignement/apprentissage. Pourtant est de notre intérêt analyser
les facteurs de difficultés de cette liées à l’exécution de cette activité que constitue important
pour l’enseignement/apprentissage du FLE.
Ainsi, c’est à travers la prise de conscience sur l’importance de l’expression oral en classe du
FLE, que nous avons été mouvée et motivé à développer un étudie de façon à meilleur
comprendre les mécanismes que peuvent surmonter les difficultés de l’évaluation formative
de cette compétence, ou alors de l’expression orale dans une classe du FLE pléthorique ou
soit surchargée.
La deuxième raison pour le développement de cette recherche, est révélée de l’expérience
qu’on a vécue dans les années précédentes, quand on a été délégué à faire cours dans une
salle de la 11eme classe1 à l’école secondaire 12 d’Octobre à Nampula.
____________
1
Salle de classe où on a réalisée notre stage pédagogique.
13
Cependant, dans les cours qu’on a pilotés, on a constaté plusieurs difficultés mais celle qu’a
attirée notre attention ce quand l’auteur à essayer de mettre en place une évaluation des
compétences communicatives des apprenants, surtout dans la pratique orale où les apprenants
devraient prendre la parole.
Une autre raison du choix de ce sujet pour notre recherche, ont été des raisons
professionnelle, à la qualité de futur enseignant du français langue étrangère, les difficultés
relevé pendant notre pratique pédagogiques et observées aussi aux enseignants doivent
constituer une préoccupation dans la mesure où elles peuvent être trouvées dans des
situations réelles de la vie professionnelle.
Ainsi, nous croyons que cette recherche soit utile pour que le futur enseignant soit capable de
rédiger et appliquer des stratégies que peuvent facilitent le contrôle de faiblesses et les points
forts des apprenants dans le processus d’enseignement/apprentissage du français dans une
classe nombreuse, où les conditions ne sont pas favorable à l’exécution d’activités comme
celle-ci.
3. Problème
Comme disent Doxsey et du Riz les problèmes quotidienne peuvent provoquer des problèmes
de recherche, c’est le cas de difficultés qu’on a eu relative à l’évaluation formative de
l’expression orale du FLE en classe surchargée à l’école secondaire 12 d’octobre en 2015.
Vu que la question de l’oralité en classe de langue est une question que vient depuis long
temps. À titre d’exemple, pour montrer leur importance, Louis Porcher, cité par Cuq et
Gruca, dit que «la compétence de la réception orale est de loin la plus difficile à acquérir et
c’est pourtant la plus indispensable. Son absence est anxiogène et place le sujet dans la plus
grande sécurité».
En effet, nous jugeons être important que nous faisions l’analyse de difficultés de l’évaluation
formative de cette compétence.
Pour le Cadre Européen Commun de Référence l’évaluation formative est effectuée pour
connaitre les points forts et faibles de l’apprenant. On peut donc percevoir que la mise en
place de cette évaluation en classe de langue est très importante pour que le professeur sache
quels sont les contraints que les apprenants on par rapport aux contenus et, dans quelle
condition peuvent s’en sortir de déterminé situation.
Pourtant, le problème de notre recherche est apparu de la constatation vécu pendant la
dernière étape des pratiques pédagogiques concrètement, le stage pédagogique où l’auteur de
ce travail a pu percevoir que l’évaluation formative (de la compétence communicative,
surtout l’expression orale) dans la salle a été presque qu’impraticable, vu que les apprenants
de classe ne s’exprimaient pas.
Subséquemment, c’est fondamentalement à cause de la situation dont les apprenants ne
prenaient la parole en classe, ce qui rendait inaccessible le contrôle dans contexte formative
de l’expression orale du FLE que l’auteur motivé par la volonté de comprendre ses facteurs à
posé la question suivante:
Quels sont les facteurs qui influencent pour les difficultés de l’évaluation formative de
l’expression orale du FLE dans une classe nombreuse?
15
4. Hypothèses
Pour IVALA, (Apud BARRETO; HONORRATO 1998), «Hypothèse c’est une expectative à
être trouvé pendant la recherche, catégorie que n’est pas encore complètement prouvé ou des
opinions vagues.»
À sont tour, Bello envisage l’hypothèse comme «Le synonyme de supposition. Dans ce sens,
hypothèse est l’affirmation catégorique (une supposition), qu’essaye de répondre au
problème désigné par le thème choisi pour la recherche. Est une pré-solution pour le
problème désigne.» (Bello 2005 :20)
Subséquemment, en partant des idées des auteurs ci-haut, qui décrivent l’hypothèse comme
étant des possibles solutions plausibles temporairement (par fois définitif) pour le problème
posé dans ce mémoire, on suppose que les difficultés de l’évaluation de l’expression orale du
FLE dans une classe pléthorique peuvent être dépassées à travers :
Hypothèse I: Le manque de mise en place fréquente d’exercices (oraux) par groupes pendant
les cours peut contribuer pour les difficultés d’évaluation dans le contexte formative de
l’expression orale du FLE en classe nombreuse.
Hypothèse II : Le défaut mobilisation d’un espace interactif en stimulant les activités orales
comme jeux de rôle, simulation et/ou débats, peut causer des difficultés dans la mise en place
de l’évaluation formative de l’expression orale du FLE dans une classe surchargée.
5. Objectif
Cependant, tout en tenant notre compréhension à partir de cet ensemble d’idées supra citées
nous avons formellement défini comme étant des objectifs de notre recherche ces que
suivent:
16
Ainsi, avec cette vision on a compris que parler des objectifs spécifiques c’est donc parler des
chemins dont le chercheur va suivre pour atteindre l’objectif fondamental ou alors principal
de ces travaux dans la recherche.
Décrire les facteurs que provoquent les difficultés relatives a l’évaluation formative de
l’expression orale en classe du FLE.
Proposer des activités stratégiques qui peuvent dépasser les difficultés d’évaluation
formative de l’expression orale du FLE en clase de langue nombreuse.
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Dans ce chapitre nous présentons des théories que soutiennent le sujet de notre recherche de
façon que nous puissions nous intégrer de la meilleure manière. Comme suggère-le titre de ce
chapitre, nous envisagerons ainsi la revue de littérature et nous présenterons la citation de
chaque information que ne soit pas de notre origine.
Alors que pour (BERNARD, 1878, p.159), la difficulté est désigné avec des mots suivants :
«caractère de ce qui est ressenti comme difficile ou est difficile à faire soit eu égard aux
capacités du sujet, soit à cause de la nature de l’objet, soit du fait des circonstances.».
Cependant, nous considérons le mot difficultés comme tous les possibles obstacles qu’un
individu peut trouver dans la réalisation d’une certaine activité.
1.3. L’Oral
D’âpres Le Robert Dictionnaire D’aujourd’hui, oral c’est dévisagé comme «opposé à l’écrit,
qui se fait, qui se transmet par la parole, qui est verbal.»
L’oral annonce «l’effet de vive voix, transmis par la voix (par opposition à écrit).
Témoignage orale. Tradition orale, qui appartient à la langue parlée». (Larousse, 1995 :720)
D’autre part, nous trouvons une autre définition cédée par le Petit Robert de la langue
française, que désigne ainsi l’oral comme «mot qui vient du latin os, la voix, ce qui est
transmis ou exprimé par la bouche et qui s’oppose à l’écrit.»
Cependant, âpres avoir vu les trois définitions du mot «Oral», nous pouvons constater que
tous les dictionnaires désignent l’oral comme l’opposition de l’écrit. Mais, on reste avec la
définition présenté dans le Dictionnaire HACHETTE encyclopédique que désigne l’oral
comme ce que peut être «transmis ou exprimé par la bouche, la voix (par opposition à
l’écrit) qui a rapport à la bouche».
18
Cependant, en grammaire «on appelle expression tout constituant de phrase (mot, syntagme).
Le discours humain se présent une suite ordonné de sons spécifiques. On appelle expression
l’aspect concret de ce système signifiant». (DUBOIS, 2001)
A son tour, CUQ (2003 : 99) décrit que «l’expression, sous sa forme orale et écrite, constitue
avec la compréhension orale et écrite un objectif fondamental de l’enseignement des langues,
bien que l’importance relative accordée à la mise en place de ce quatre aptitudes.»
Ainsi, la place de l’oral dans cette méthode est restreinte dans la mesure où elle était posée
dans le second plan, c’est-à-dire, après l’écrit.
«Ce sont incontestablement les travaux du conseil de l’Europe (en particulier de l’époque,
sur les unités capitalisables et les actes de parole,) ainsi que leurs publications (un niveau
seuil), qui ont fait avancer à pas de géant la méthodologie de l’enseignement de langues.»
(Idem). Cette méthode préconise l’oral comme priorité et un passage rapide à l’écrit.
Ainsi, en accord avec le (CECR : 2000), nous pouvons donc délimiter comme des possibles
stratégies pour attirer l’intérêt de la prise de parole chez l’apprenant les suivantes : «Lire un
texte écrit à haute voix ; Faire un expose en suivant des notes ou commenter des donnés
visuelles (diagrammes, dessins, tableaux, etc.); Jouer un rôle qui a été répété; Parler
spontanément; Chanter.»
Cependant, nous présentons en suite les stratégies que peuvent être utilisées pour favoriser
l’expression orale en classe du FLE.
Les stratégies sont le moyen utilisé par l’usager d’une langue pour
mobiliser et équilibrer ses ressources et pour mettre en œuvre des
aptitudes et des opérations afin de répondre aux exigences de la
communication en situation et d’exécuter la tâche avec succès et de la
façon la plus complète et la plus économique possible – en fonction
de son but précis. Les stratégies communicatives ne devraient pas, en
conséquence, s’interpréter seulement selon un modèle d’incapacité,
comme une façon de remédier à un déficit langagier ou à une erreur
de communication.
Le jeu de rôle, a aussi comme avantage, développer l’aptitude à réagir à l’imprévu, ainsi qu’a
encouragé l’expression spontanée.
En effet, du point de vue de ces idées on suppose que la mise en œuvre de jeu de rôle, a
comme l’une de conditions une salle de classe spacieuse dont les participants puissent se
déplacer ou gesticuler sans des difficultés.
21
En parlant des avantages de la mise en scène du jeu de rôle, MUCCHIELLI (1983), préconise
que « la mise en scène des jeux de rôle dans l’enseignement de langue étrangère peut avoir
des effets positifs et négatifs sur les participants.»
1.4.3. La simulation
(TAGLIANTE, 2006: 94) la présent par des mots suivants :
A notre compréhension, la simulation est une activité spontanée dont les participants
interprètent des rôles sans aucun texte pré-élaborée pour l’effet.
Les débats en classe rend l’élève actif au sens propre du terme et lui
permet, grâce à l’interaction, de participer à la construction de son
propre savoir. Le débat, par son oralité présente un aspect ludique qui
peut constituer une motivation. L'expression orale permet à l'élève
d'exprimer librement son point de vue.
Alors, si les débats permettent que les apprenants puissent exprimer en classe (de langue) on
peut concevoir comme une des manières pour attirer la parole chez l’prenants de façon à
mesurer leurs acquises et difficultés langagières.
Selon Benamar dans son étudie sur les stratégies pour l’aide à la production orale, il priorise
les débats en classe du FLE parce que «c’est une activité où la pratique spontanée de la
langue pourrait être stimulée.» BENAMAR (2009 :68) ainsi, se les apprenants peuvent se
expresse oralement, l’enseignant trouvera un moyen pour effectuer une évaluation basée sur
l’expression orale.
1.5. Evaluation
A partir de la conception de LIBANEO (2006, Pag 196) on comprend que
ces derniers avec les objectifs proposés et, par conséquent, guider
dans le cadre des activités la prise de décision par rapports aux
activités didactique suivantes.
Cependant, d’prés un article de Gérard de Vecchi en ses argument il présent que «dans la
pratique quand on évalue, le moins qu’on puisse faire, c’est de vérifier si les objectifs que
l’on s’est donnés sont atteints.»
_______________________
2
Chapala…
3
C’est l’évaluation cernée dans ce mémoire
Nous n’allons pas donc apporter tout type d’évaluation dans ce travail, nonobstant on
présentera ceux qui sont les plus fréquents et on mettra ainsi l’accent sur l’évaluation
formative qui fait l’Object de notre recherche. Cependant, voyons les types d’évaluations les
plus fréquents dans le processus d’enseignement/apprentissage.
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Tandis que, dans un des sites pour nous consulté sur l’évaluation http://lettres.discipline.ac-
lille.fr/ressources/entree_metier_approfondir_pratiques/evaluer-une-seance-et-une-sequence/
les-differents-types-devaluation.pdf) présente que l’évaluation diagnostique quand au
moment, elle arrive «au début de chaque année scolaire, il est nécessaire de faire le point
sur ce qui est acquis, ce qui ne l’est pas, ce qui est en cours d’acquisition.»
Par d’autres mots, on peut dire que l’évaluation diagnostique est une évaluation identificateur
des savoirs et savoir-faire des apprenants, et ce type d’évaluation peut etre mis avant la
formation pour que les apprenants connaissent ou découvrent ses habiletés.
Cependant, nous comprenons à travers cette illustration que l’évaluation sommative est
d’âpres son nom une évaluation que consiste à attribuer une somme en note tout en accord
avec les capacités des individus du début à la fin de son apprentissage.
Pour TAGLIANTE l’évaluation formative est celle «qu’apporte des informations sur les
acquis et sur ce qu’il reste à acquérir.» TAGLIANTE (2006 : 37)
24
Ainsi, ROUGIER (2001/2002) dit que l’évaluation formative est «l’évaluation que se situe en
fin de période d’apprentissage et permet de repérer les acquis et les difficultés résiduelles.
Informe l’élève et le professeur du niveau du métrise atteint.»
Ainsi, cet auteur tient que ce type d’évaluation suppose qu’on fournit un avertissement et est
aussi attachée à la pédagogie de la réussite.
D’après ce qui est présent dans la page numéro 141 de cette article 5, «la force de l’évaluation
formative est de se donner pour but l’amélioration de l’apprentissage. Sa faiblesse est
inhérente à la métaphore du feed-back. L’information rétroactive n’a d’effet que si celui qui
la reçoit est en position :
a) d’en tenir compte, c’est-à-dire d’être attentif, motivé et de connaître la forme sous
laquelle l’information arrive.
b) de la recevoir, c’est-à-dire de ne pas être noyé sous l’information et d’avoir un moyen
de l’enregistrer, de l’organiser et de se l’approprier;
____________________
5
Cadre Européen Commun de Référence.
c) de l’interpréter, c’est-à-dire d’avoir une connaissance et une conscience suffisantes
pour comprendre de quoi il s’agit précisément afin de ne pas agir de manière
inefficace et;
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Renard, il ne s’arrêt pas par la, il va encore loin en disant que Le grand groupe «commence
dès que l'effectif de la classe gêne, stérilise ou paralyse la mise en œuvre des techniques de
classe qui ont été conçues pour les groupes moyens»
En effet, on comprend qu’un grand groupe est une classe ou les apprenants sont en nombre
supérieur à celui normal en gênant ainsi la mise en œuvre des stratégies conçues pour les
groupes normal.
Pour bien référer à la pédagogie de grand groupe, on peut s’appuyer au terme, tel que: «classe
nombreuse». De cette façon, il est important que nous sachions d’abord dans quel contexte
politique, géographique et économique ces classes son considérées nombreuses ou non?
Avant quelque chose, on commence par donner une conception du mot classe de façon à bien
situer notre réflexion. Ainsi, des plusieurs définitions on a pris celle de Cuq dont il propose
qu’une classe est un lieu de privilégie des interactions et par excellence des intervenants
pédagogiques. Regardons l’affirmation de cet auteur par rapport à terme classe:
À ce constate, on ajoute encore la conception que «la classe de langue est le lieu privilégié
des interactions entre l’enseignant et les élèves. Une interaction qui se déroule sous la forme
d’échanges langagiers entre d’une part, l’enseignant et les élèves (asymétrie), et d’autre part
les élèves entre eux.» (Relative symétrie, CICUREL, 2002 : 155)
Dans le contexte africain l’éducation ainsi que d’autre conjointure sociaux telles que, la
justice, finance et/ou la sante deviennent de difficile accès à la population, telle comme
RENARD conceptualise en disant que «L'Afrique est le continent qui cumule les plus
mauvais indicateurs sociaux.» et concrètement à l’éducation il dit que «La charge éducative
est en Afrique relativement plus lourde que le reste du Monde.» (RENARD:3)
À partir de l’avis de cet auteur, on comprend qu’il dévisage que «la difficulté majeure de
l'appréciation de la faisabilité des techniques des grands groupes tient à l'élasticité des
effectifs constatés dans les classes» (ibidem).
«Et la réalité des grandes villes d'Afrique montre que la majorité des classes suburbaines
accueille des effectifs compris entre 80 et plus de 100.» (RENARD : 6).
Ce la nous montre que en Europe est considéré une classe nombreuse aux classes que sont
composée par un nombre supérieur ou égal à 50 apprenants. De ce fait, on peut désigner en
tant que pédagogie de grands groupes aux classes que contiennent un nombre d’apprenants
essentiellement élevés contrairement à ce que (la classe) devrait composer. En résumant, on
____________________
6
Centre international d’études pédagogiques-Centre de ressources et d’ingénierie documentaires Novembre 2013.
appelle pédagogies de grands groupes à l’étudie de classes nombreuses.
28
1.9.1. Groupes-classe
On peut designer le mot groupe dans des diverses situations d’autant, on le défini en accord
avec notre domaine et intérêt d’étudie en disant que «groupe-classe est l’ensemble d’élèves
d’un établissement réunis à partir d’une ou de plusieurs caractéristiques communes»
(LEGENDRE, 1993).
Du même, la première définition (celle qui est le plus proche avec notre étudie) dans le
dictionnaire Petit Larousse Illustré il suscite que «groupe est l’emble distinct de choses ou
d’être de même nature, réunis dans un même endroit.»(LAROUSSE)
«à partir d'évaluations ;
à partir de la topographie des lieux et du mobilier disponible ;
à partir des choix affectifs des enfants ;
à partir de centres d'intérêts, d'objets de travail-recherche ;
à partir de tâches à accomplir ;
à partir de sociogrammes;
suivant l'intuition de l'enseignant ;
etc. »
Les groupes en tant que ensemble des apprenants dans une institution, il est éminent en
différents types que nous présentons tout en mobilisant les opinions de Barlow (1993)
qu’envisagent trois types de groupes à savoir:
aléatoire;
imposée par l’enseignant;
libre. BARLOW, (1993 :34 apud KOSOVA, Pag, 114)
l’indiscipline.
l’évaluation (formative);
du temps (pour la mise en pratique de certaines activités);
contrôle de la classe.
Interactions.
Ainsi, l’une de façon de s’en sortir d’une situation de classe à un nombre élevé d’élèves est la
mise en place fréquente d’exercices ou travaux en groupes. Vu que les apprenants tout sont
réunis dans la même place.
30
1.13. Avantages de la mise en place de travaux en groupes dans une classe du FLE
nombreuse
RICHARD soutient qu’en classe de langues, les travaux par groupe et en pair peuvent aider
aux apprenants à faire l’usage de la langue et a développer leur performance.
RICHARDS (2006 :20) présent que «la mise en œuvre des activités en pairs et par groupes,
lors que les apprenants accomplissent les taches, il est sur que les apprenants vont obtenir
plusieurs bénéfices tells que:
Ils peuvent apprendre en écoutant la langue utilisé par d’autre membres des groupes ;
Ils peuvent produire un nombreux
Les apprenants ont des motivations accentuée;
Les apprenants auront l’opportunité pour développer leur fluence»;
On croit alors que les groupes sont très avantageux tout en regardant la vision de RIBAULT 8,
que soutient le suivant :
________________________
7
Notre traduction: […] and the dynamics of classrooms also changed. Instead of a predominance of teacher-
fronted teaching, teachers were encouraged to make greater use of small-group work. Pair and group activities
gave learners greater opportunities to use the language and to develop fluency. (RICHARDS, 2006)
À ce coup, RIBAULT soutient que les groupes ce sont l’un de source que créent une
motivation «le groupe deviendra une source de motivation où il sera intéressant et
enrichissant pour chacun d’échanger, de partager, de débattre autour de sujets musicaux.
Les élèves participeront en fonction de leurs sensibilités, leurs personnalités». (Idem)
Pour BRUMFIT (1984), les activités en «Pair ou par groupe concèdent à l’apprenant des
grandes opportunités d’usage de la langue et de développer leur fluence.»
En ajoute, Richards croit que les apprenants apprennent en groupe que quand l’enseignant
conduise l’apprentissage, voyons :
«Les apprenants apprennent plus quand ils travaillent en groupes parce qu’ils apprennent de
l’un à l’autre et ils ont plus des opportunités de parler que quand l’enseignant conduise la
classe». RICHARDS, (2011 :23)
En suivant les idées de Richard et Brumfit, HAMER et ROSSNER déclarent que les
interactions produit par des travaux en groupe «sont une parte vital pour la création de sante
et de coopération en classe» de cette façon le rôle de l’enseignant c’est de guider, conseiller
et informer les apprenants.
_______________
9
KOSOVA, Svetlana. L’EFFICACITÉ DU TRAVAIL EN GROUPE DANS L’ENSEIGNEMENT
SECONDAIRE DES DISCIPLINES NON LINGUISTIQUES. Université de Vilnius,Lietuva.
32
Dans ce contexte, dans l´année de 1991, on été criées les salles annexées à l’école Secondaire
de Nampula. D’une coopération avec le COCAMO et la CETA, ont été construit avec le
matériel conventionnels, trois (3) blocs de salles de classe, un bloc administrative, où se
trouve au-dedans le cabinet du directeur de l´école, le cabinet du directeur adjoint, une salle
des professeurs et dans le bloc suivant il se trouve le centre social de l´école.
En 1973, l’Ecole Primaire Paulo Samuel Kankhomba, passe à être appelée par «Escola
Primaria de Muhala-Expansão» et à partir de la, elle devient indépendante de l´école
secondaire de Nampula en faisant cours de la 6 eme et 7eme classe jusque l´année de 1997. En
1998, ils ont été introduits à 8eme et 9eme classes.
En 2004, il a été introduit dans cette école l´enseignement du deuxième cycle avec deux-cent
et trois (203) élèves de la 11eme classe en cinq (5) salles et en 2005 le nombre a argumenté
pour cinq cent et cinquante-neuf (559) élèves de la 11eme et 12eme classes.
De référer que dans l’année 2003 a été le dernière que a fonctionné le EP2, en passant ce
niveau pour les écoles primaires des «Belenenses» et de «Serra da Mesa».
De ce fait, TAGLIANTE affirme qu’un «public captif est celui qui accompagne
l’apprentissage ou formation par obligation.» Pourtant, un «public non captif est celui qui
s’insère dans l’apprentissage par sa propre volonté et motivations personnelles».
Un autre auteur que caractérise le public c’est HALTZER (1989 :23) que comprendre à son
tour deux types de public nommément: homogène et hétérogène, de la sorte, le public
homogène est celui qui réuni d’individus possédant les mêmes conditions sociales,
économiques, culturelles, tandis qu’un public hétérogène est d’après celui-ci les individus qui
ont chacun ses caractéristiques particulaires et que lui distingues des autres.
35
Comme a été exploitée dans le dictionnaire LAROUSSE, ce qui est hétérogène est «ce qui est
formé d’éléments de nature différente». Néanmoins «Chaque être humain, par sa
personnalité et par l’éducation qu’il a reçu, possède un caractère, des savoirs, des facultés et
des désirs qui le rendent unique. A l’image de la société, la classe d’école est par nature
hétérogène.»11
Cependant en caractérisant la classe observée, nous pouvons formellement dire qu’elle est
une classe Hétérogène dans la mesure où elle comporte plusieurs apprenants et des cultures
diverses.
Cependant, dans l’intuition de GIL sur les types de recherche, on dit qu’une recherche est
explicative lorsqu’elle cherche à identifier les facteurs que contribuent pour l’occurrence d’un
certain phénomène.
Ainsi, nous prenons l’idée de GIL que désigne la recherche explicative par des mots suivants:
«Une recherche est dite explicative lorsqu’elle se préoccupe
d’identifier les facteurs qui déterminent et qui contribuent pour
l’occurrence d’un problème ou phénomène, il renforce en disant que
c’est le type de recherche qui approfondie le plus la connaissance de
la réalité, une fois qu’elle explique les causes et les raisons des
événements.» (GIL, 2004 :168)
Du point de vue de l’approche, notre recherche est qualitative, car elle cherche à montrer la
façon comme sont présentées les activités stimulatrice de la parole en classe de langues, sans
autant s’intéresser aux numéros aux soit aux analyses quantitative.
Néanmoins, on n’éloigne pas cette recherche au besoin d’un traitement statistique surtout au
moment où on a délimité la population pour cette recherche et à l’interprétation de donnés
recueils par moyen du questionnaire.
___________
Informations tenus du site :http://ww2.ac-poitiers.fr/math/IMG/pdf/traiter_heterogeneite.pdf navigué à 29
11
Selon NERICE (1993:228) «la méthode est un chemin pour arriver à une fin, ça veut dire,
elle représente la façon de conduire la pensée, des actes pour atteindre un objectif.» Sur ce
même propos, GIL (1999:26) présente que :
D´autre part, HERBERT (1997 :78) estime que l’observation «est une technique de recueil de
donnés qui consiste en vérifier soit les sujets en train d’agir soit des événements au moment
où ils se produisent».
Dans notre perception ces auteurs ont dit que l’observation directe est une méthodologie que
consiste à la participation directe du chercheur à la réalité recherchée. C’est-à-dire, cette
méthodologie préconise que le chercheur doit maintenir un contact directe avec sont objet de
recherche, donc ce qui est souhaitée d’être étudié.
Cependant, pour le cas de ce mémoire, premièrement dans le stage pédagogique, avant que
nous prenions la classe en main, nous avons observé trois cours du professeur tuteur de
Français à l’école secondaire 12 d’octobre dont on a observé plusieurs situations qu’avec
Booth purent susciter en problème de recherche scientifique. Et deuxièmement, au moment
du recueil de donnés, on a observé discrètement trois cours d’enseignants à l’école secondaire
12 d’octobre dont on a constatés des situations où les enseignants ne mobilisent pas des
activités stratégiques pour prioriser la production orale.
On a utilisé le questionnaire du type mixte de façon qu’on puisse d’un part économiser le
temps et d’autre part d’obtenir des réponses avec une incontestable interprétation de ce qu’on
a questionnés, vu que notre recherche est essentiellement qualitative. Non seulement celle-ci,
mais aussi, on a pu simplifier le travail des nos collaborateurs (enseignants et apprenants)
dans le processus du questionnement.
Comme a été exploité par Marconi et Lakatos, l’univers ou population d’une recherche est
l’ensemble des êtres vivants humains ou non que possèdent les mêmes caractéristiques et
partagent les mêmes caractéristiques.
39
Cependant, c’est pour cette compréhension que nous proposons comme l’univers de cette
recherche, quatre-vingt quatorze (94) apprenants qui composent la 12eme classe A3, et tous les
enseignants de Français à l’école Secondaire 12 d’Octobre en 2016.
2.6.2. Echantillon
MARCONI & LAKATOS (1999:43) ont défini l´échantillon comme la «partie ou alors la
portion convenablement sélectionnée dans un univers ou population».
Avec la citation ci-haut, notre compréhension est que l’échantillon, constitue une petite
portion de l’univers.
Il convient d’exposer que nous avons délimité notre échantillon tout en tenant compte
l’univers de notre recherche.
L’observation qu’ont a réalisée consistait au regarde des cours du FLE et les activités
stratégiques utilisées par l’enseignant pour favoriser l’expression orale du FLE dans leur
classe. Cependant, ce tableau présent les donnés recueils à partir de l’observation directe
effectuée (discrètement) à l’école 12 d’octobre au cours du FLE.
Dialogues * * * Négative
Sketch * * * Négative
Théâtre * * * Négative
D’autres activités Souvent 30.05.016
utilisée
Exercices réalisés en classe
Exercices individuel Vérifiés
Exercices en pair * * * Pas vérifiés
Exercices en groupe * * * Pas vérifiés
(nombreuse)
Tableau 4: Résultats tenus à partir de l’observation.
41
Cette question, a été posée avec l’objectif de savoir si la classe dont on a pris comme univers
de notre recherche est ou non nombreuse. Cependant, la salle de la 12 eme classe, A3, à l’école
Secondaire 12 d’octobre est une classe nombreuse et cela peut être confirmé avec les résultats
obtenus à travers le questionnaire et observation.
Ainsi, les résultats de cette question ont montré que la totalité des enseignants enquêtes ont
affirmé que chaque classe est composée d’un nombre que varie entre 92 à 97 apprenants. Ce
qui, à notre vue constitue une classe nombreuse aux écoles même que situées dans des pays
pauvres comme le cas de Mozambique. Donc, ce questionnaire a été dirigé à 4 enseignants,
qui ont tous répondus à 100% qu’ils ont plus de 90 apprenants par classe.
Graphique 1:
1-40 apprenants:0
40-70 apprenants:0
80-100 apprenants:4
100%
Adressée aux 4 enseignants cernés dans notre recherche, cette question a pour objectif savoir
si tous les apprenants de la 12eme classe A3 arrivent à prendre la parole pendant un (1) cours
du FLE. Cependant, on a découvert avec cette question que trois (3) enseignants, donnant
75% des enseignants enquêtés ont répondu négativement à cette question en disant que ses
42
Graphique 2 :
25%
Oui:1
Non:3
75%
Notre intention lorsqu’on a conçu cette question aux enseignants était de comprendre de
quelle façon les apprenants de la 12eme classe A3 prennent la parole en classe pendant les
cours de Français. Nous supposons que les apprenants peuvent facilement être évalués s’ils
prennent la parole spontanément, c’est-à-dire sans que l’enseignant sollicite ou demande
qu’ils s’expriment, particulièrement quand il s’agit d’un public captif.
Et dans cette question, on a obtenu les résultats que suivent: Tous les enseignants (4)
correspondant à 100% ont affirmés que leurs apprenants prennent la parole en classe du FLE
par sollicitation.
Graphique 3:
De façon spontanée:0
De façon solicitée:4
100%
43
Cette question (voir appendice II) a été posée avec l’objectif de comprendre quelles
méthodologies les enseignants utilisent pour favoriser la production orale du FLE chez leurs
apprenants pendant le parcours normal en classe de langue.
Cependant, dans cette question les résultats dont on a disposé montrent clairement que les
enseignants du FLE à l’école 12 d’octobre favorisent l’expression orale du FLE par moyen de
lecture (2), d’après ceux-ci la lecture permet à l’apprenant de s’exprimer librement en classe
du FLE, c’est-à-dire les apprenants parlent sans honte.
Néanmoins, un enseignant donnant 25% de tous les enseignants questionnés a affirmé qu’il
favorise la production verbale par moyen de débats (1), nonobstant un moyenne de 25% des
enseignants cernés dans notre recherche a préféré les jeux de rôle (1).
Pourtant, en conclusion, nous pouvons distinctement estimer que les enseignants du Français
langue étrangère à l’école secondaire 12 d’octobre, utilisent souvent la lecture (2), néanmoins
n’utilisent jamais les simulations (0), pourtant un petit nombre propose parfois les jeux de
rôle (1). Et dernièrement 25% des enseignants priorise la pratique orale par moyen de débats
(1).
Graphique 4 :
Simulation:0
Nous avons élaboré cette question avec l’objectif de comprendre à partir des enseignants,
quel sont les outils linguistiques, qu’ils priorisent dans les activités que donnent.
A l’égard de cette question, les résultats obtenus ont montré que la majorité des enseignants
questionnés favorisent la compétence Sémantique (3), ce que peut retarder de quelque façon
leurs intérêt en mobiliser les activités stimulatrices de la production orale chez les apprenants
en classe du FLE.
Cependant, trois enseignants que correspondent à 75% des enseignants enquêtés ont répondus
à cette question en disant qu’ils cherchent chez leurs apprenants des compétences
Sémantiques (3), alors que 25% que correspond à un enseignant soutient le privilégie sur la
compétence Phonétique (1).
Pourtant, aucun enseignant enquêté s’intéresse à la compétence lexical (0) ni syntaxique (0)
dans les cours du FLE.
Graphique 5 :
25% Phonetique:1
Sytaxique:0
Lexical:0
Semantique:3
75%
On a présenté cette question aux 4 enseignants du FLE à l’école 12 d’octobre tout avec le but
de comprendre quelles stratégies ou alors activités stratégiques, ces enseignants utilisent pour
apprécier l’expression orale chez les apprenants en classe nombreuse du FLE.
45
Cependant, trois enseignants symbolisant 75% des tous les enseignants questionnés, ont
affirmés que pour évaluer l’expression orale du point de vue de l’évaluation formative, ils
mènent les apprenants à la lecture (3), toutefois 25% de ces enseignants a affirmé qu’il évalue
l’expression orale du point de vue formatif à travers les chansons (1).
Ainsi, à travers cette question nous avons compris que les enseignants de l’école secondaire
12 d’octobre, ils font l’évaluation formative de l’expression orale chez leurs apprenants par
moyen de lecture de textes littéraires.
Donc, comme nous avons annoncé avant, pour l’évaluation de la pratique verbale dans une
classe du FLE il est nécessaire qu’il y ait d’un coté l’évaluateur et d’autre part l’évalué, ce
dernier doit être en constant prise de parole, et avec la technique de lecture nous croyons que
dans une classe nombreuse, dont les apprenants ont peur de parler et son captif, l’enseignant
peut maximum évaluer de 10 à 25 apprenants maximum pour chaque jour, par conséquence
cela rétrocède l’apprentissage de la phonologie du FLE, surtout dans une classe nombreuse.
Graphique 6 :
25%
Lecture:3
Chansons:1
75%
Le noyau de la mise en place de cette question aux quatre enseignants à l’école secondaire 12
d’octobre a été non seulement de savoir si ces enseignants proposent des exercices par
groupes en classe du FLE (nombreuse), mais aussi comprendre quel type d’exercices ils
proposent fréquemment aux apprenants dans une classe dite surchargée.
46
Cependant, les résultats tenus à partir de cette question et l’observation réalisée montrent que
les enseignants questionnés dans cette école ont préférence pour la réalisation d’exercices en
pair et à trois (3) comme forme d’économiser le temps et l’espace dans la salle de classe
nombreuse, nonobstant une petite portion d‘enseignants contredite en affirmant que propose
des exercices individuels (1) en justifiant, il présent que le manque d’espace en classe est la
raison par laquelle il ne propose pas des groupes pendant les cours vu que mouvementer des
pupitres constitue un obstacle liée à cette activité.
A ce propos, on comprend qu’aucun des enseignants enquêtés propose des exercices par
groupes (0) en classe du FLE, ce qui contribue que les apprenants ne restent pas alaises en
classe du FLE.
Toutefois, les trois (3) enseignants qui priorisent les exercices en pair et/ou à 3 (car dans un
pupitre sont 2 ou 3 élèves) sont correspondants à 75% de tous les enseignants enquêtés et un
enseignant que favorise les exercices individuels, correspond à 25%, ce que mous montre
formellement qu’aucun enseignant pratique les exercices en groupes (0%).
Graphique 7 :
25%
Exercices individuel:1
Exercices en pair:3
Question 8: Proposez-vous des exercices oraux par groupes pendant les cours en classe?
Finalement, on a posé cette question aux 4 enseignants cernée dans notre recherche, pour
savoir s’ils proposent des exercices (oraux) par groupes pendant les cours et comme sont ils
présentés ces activités dans une classe du FLE nombreuse.
47
Tout en accord avec les auteurs déjà présentés dans le premier chapitre avec la formation de
groupe en classe des langues, il est évident que les apprenants travaillent et participent
activement à l’apprentissage de langue.
C’est-à-dire, les élèves ils se manifestent positivement à son apprentissage quand ils
travaillent entre eux dans un groupe, différemment d’avoir un enseignant devant eux pour
diriger les cours. Subséquemment, on a été motivés à comprendre si les enseignants
questionnés réalisent des exercices en groupes ou non, et s’ils accomplissent ces activités,
comment ils sont faits dans les classes nombreuses.
Cependant, comme résultats relevés de cette question nous avons constaté que 100% des
enseignants questionnés à l’école secondaire 12 d’octobre, ont répondu négativement à cette
question en justifiant qu’ils n’organisent pas ou alors, ne proposent pas des exercices en
groupes (0) pendant leurs cours, parce que dans ses classes il n’y as pas des conditions
favorables à la mise en place des ces types d’activités.
Alors, vu que les classes de l’école secondaire 12 d’octobre sont pleines et restreints. Raisons
par lesquelles il rende impossible la mise en place de travaux en groupes nombreuse.
Graphique 8 :
Oui:0
Non:4
100%
48
À l’égard de ce questionnaire, cependant destinés aux apprenants nous avons conçu comme la
première question celle-ci:
Pour commencer à questionner les 20 apprenants pris dans la 12 eme classe A3, à l’école
secondaire 12 d’octobre à Nampula, on a commencé par une question élaboré avec l’objectif
de savoir quel est la quantité en nombre exacte d’apprenants que constitue la classe en
référence. Cependant, à travers cette question nous avons pu savoir la quantité exacte
d’apprenants dans la classe pris comme l’univers de notre recherche.
Ainsi, les résultats que nous avons obtenus à travers cette question, ont montrés que la classe
observée est définitivement nombreuse une fois que tous les apprenants questionnés ont
affirmés que leur classe est composée par 94 apprenants (20) néanmoins, un nombre qui rend
nombreuse à quelque que soit la classe et en quelque partie du monde. Donc, dans le contexte
européen ainsi que africaine (en pays pauvre et/ou en développement.).
Relativement à ce résultat, nous pouvons déclarer que 100% des apprenants questionnés en
12eme classe A3, dans cette école, ont affirmées que cette classe contient 94 apprenants.
Graphique 9 :
100
90
80
70
60
1-40 apprenants:0
50
40-70 apprenants:0
40
30
80-100 apprenants:20
20
10
0
Quantité d'apprenants en 12ᵉᵐᵉ c...
49
Nous savons que pour qu’on évalue l’expression orale de nos apprenants, il est nécessaire
qu’ils pratiquent la langue au moment de l’évaluation.
Ainsi, on a élaboré cette question avec l’objective de savoir quelle est la fréquence de
comunication en FLE des apprenants en classe à l’école secondaire 12 d’octobre en 12eme
classe A3.
Cependant, les résultats recueils à partir de cette question ont montrés que la plupart des
apprenants questionnées ne parlent jamais (12) en classe, parce que quand ils essayent de
parler les collègues rigolent et cela décourage qu’ils prennent la parole du FLE en classe.
Néanmoins, il y a d’autres apprenants qu’ont répondu en disant que parlent le français
Rarement (8) en classe, sous prétexte qu’ils ont honte de s’exprimer oralement et que la
langue française est peu difficile. Donc, dans ces résultats on a compris qu’aucun des
apprenants enquêtés s’exprime toujours (0) pendant les cours de Français à l’école secondaire
12 d’octobre à Nampula.
Ainsi, nous croyons que les 12 apprenants qu’ont pointé l’alternative «A» (voir appendice I)
correspondent à 65% alors que les 8 qu’ont opté l’alternative «B» (voir appendice I)
correspondent à 35% du total de notre échantillon. L’absence de prise de parole chez les
apprenants en classe peut contribuer pour l’évaluation formative de l’expression orale du
FLE.
Graphique 10 :
14
12
10 Jamais:12
8
Rarement:8
6
4 Toujours:0
2
0
Frequence de communication en classe
50
Question 3 : De quelle façon tu prends la parole pendant les cours de Français?
Cette question est insérée dans le questionnaire adressé aux 20 apprenants de la 12 eme classe
A3, à l’école secondaire 12 d’octobre.
Cependant, cette question a été posée avec l’objectif de comprendre la façon dont les
apprenants de la 12eme A3 communiquent en classe pendant les cours du FLE.
Subséquemment, les alternatives proposées dans cette question ont été effectivement les
suivantes: a) de façon spontanée et b) de façon sollicitée.
Ainsi, les résultats relevés de cette question ont montré que tous les apprenants de la 12 eme
A3, parlent seulement quand l’enseignant sollicite. Conséquemment, si les apprenants ne
parlent pas de façon spontanée en classe du FLE, l’évolution de leurs compétences orale
surtout la production reste difficile d’être concrétisée. Vu cette situation, les enseignants
doivent prioriser les activés stimulatrice de la production orale pour que les apprenants
puissent participer activement au cours.
Donc, les résultats de notre enquête présent que les 20 apprenants questionnés correspondent
à 100% et ceux-ci ont choisi la réponse «B» (voir appendice I).
Graphique 11 :
25
20
15 De facon Spontanée:0
10
Defacon Solicitée:20
5
0
Forme de prise de parole
Destiné aux 20 apprenants que constituent l’échantillon de cette recherche, notre objectif en
posant cette question a été de savoir quelle activité provocatrice de la prise de parole dans une
51
classe du FLE, les enseignants de l’école secondaire 12 d’octobre proposent pendant les cours
(de Français). Parallèlement dit, nous voulions savoir si les enseignants du FLE dans cette
école, priorise aux apprenants l’une de ces méthodologies pour la création d’un espace ou
climat interactive en classe du FLE surchargée.
La mise en place de ces activités est incontestablement importante quand nous voulons créer
un environnement d’interaction entre les professeurs et les élèves ainsi que les élèves entre
eux. Consciemment, ces activités sont aussi motivateurs à la pratique de l’expression orale si
conduites parfaitement.
Cependant, selon les apprenants questionnés, les enseignants du FLE à l’école 12 d’octobre,
utilise souvent d’autres activités (16), telles que (exercices écrits que consistent surtout à
compléter des phrases avec des mots/verbes donnés), soit au tableau-noir soit dans le cahier
de l’apprenant. Néanmoins, quelques apprenants enquêtés ont montrés que l’enseignant
rarement fait recours aux jeux de rôle (3), nonobstant, il ne propose jamais la simulation (0).
Quoiqu’il propose rarement les débats (1), que pratiquement ne sont pas réalisés dans leur
classe.
Graphique 12 :
18
16
14
12 Simulation:0
10 Jeux de role:3
8
6 Debats:1
4 D'autres:16
2
0
Activités pratiquées en 12ᵉᵐᵉ classe A3
52
En posant cette question, notre objective était de savoir quelle activité méthodologique le
professeur utilise en classe du FLE pour créer un climat interactif entre les apprenants et pour
que ceux-ci puissent éventuellement pratiquer la langue. Cette question vient évidement
renforcer la question précédente relativement aux activités que les enseignants proposent à
ses apprenants pour pratiquer la langue française en classe du FLE.
Cependant, il faut que nous rappelons que la mise en place des activités telles que Simulation,
jeux de rôle et débats stimulent la production orale, ce qui est très importante dans la classe
du FLE nombreuse parce qu’il facilite que l’enseignant puisse exécuter l’évaluation de cette
compétence linguistique, due à la tendance de provoquer l’interaction en classe et stimuler
aussi l’oralité.
Par rapport à cette question, les résultats que nous avons obtenus ont montrés que les
enseignants à l’école secondaire 12 d’octobre ne proposent pas des Simulations (0) ni de
dialogues (0).
Contrairement, d’âpres ces apprenants, les exposés de travaux (17) ce sont des moyens par
lesquelles l’enseignant mobilise pour faire parler les apprenants. Alors, les résultats ont
montré que 85% des apprenants, ont choisi l’option «B» (appendice I), tandis que trois (3)
apprenants qu’indiquent 15% des tous les apprenants enquêtés ont choisi la réponse «C» (voir
appendice I).
Il import encore, dire que ceux résultats 12 contredisent ce que les enseignants ont présentés
quand ils ont été questionnés sur les activités qu’ils proposent pour évaluer l’expression orale
du point de vu formative.
_____________
12
Le graphique relatif à ces résultats est exhibé dans la page suivante.
53
Graphique 13 :
18
16
14
12 Dialogue:0
10 Expose:17
8
6 Lecture:3
4 Simulation:0
2
0
Pour que les apprenants pratiquent la ...
Question 6: Quel type d’exercices pratiquez-vous fréquemment dans les cours de français?
Comme est déjà remarquable, le but de cette question est savoir quel type d’exercices en tant
qu’activités stratégiques de gestion de la classe les enseignants du FLE à l’école 12 d’octobre
favorisent dans les cours de français langue étrangère dans leurs classes nombreuses.
Cependant, les résultats acquis à partir des 20 apprenants questionnés montrent que 16 ont
affirmé que les exercices les souvent réalisées en cours du Français langue étrangère, ce sont
les exercices écrits et individuels (16), tandis que 3 apprenants ont affirmé que les exercices
pratiqués fréquemment ce sont écrits en pair (3). Nonobstant un petit pourcentage
d’apprenants met l’accent sur les exercices oraux par groupe (1).
Subséquemment, nous pouvons visualiser dans ce graphique (14) que 80% des apprenants
questionnées ont opte les exercices écrits et individuels alors que, 15% ont affirmé la pratique
fréquent d’exercices écrits en pair, et concernant les exercices oraux, seulement un apprenant
a affirmé que réaliser souvent les exercices oraux par groupe.
Ainsi, de quelque manière on voyant les résultats obtenus avec cette question on comprend
que les enseignants à cette école ne favorisent pas des exercices oraux en group, situation que
peut être liée à la valorisation de la compétence Sémantique (voir graphique 5).
54
Graphique 14 :
18
16
Exercices oraux individuels:0
14
12 Exercices ecrits individuels:16
10
Exercices oraux en pair:0
8
6 Exercices ecrits en pair:3
4
Exercices oraux par groupe:1
2
0 Exercices ecrits epar groupe:0
Exercices les plus frequents en 12ᵉᵐ...
Question 7 : Vous faites d’exercices en groupes pendant les cours de français?
Telle que dans la question précédente, dans cette question nous cherchons à savoir si les
enseignants du FLE à 12 d’octobre proposent des exercices en groupe, et comprendre de
quelle façon ces exercices sont présentés en classe nombreuse comme est le cas de la 12 eme
A3. Ainsi, avec cette question nous renforçons la question 6 adressée aux apprenants (voir
appendice I).
Cependant, 90% des apprenants enquêtés ont que répondu négativement à cette question en
disant qu’ils ne font pas des exercices en groupe (18), mais 10% de ces apprenants ont dit
qu’ils font des exercices en groupes (2), quant ils ont commencé à justifier leurs réponses, ils
ont dit que ces exercices en groupe sont faites à partir de sujets que les enseignants proposent
pour rechercher et finalement faire un exposé, afin d’obtenir une note. Cependant, lorsqu’on
a dévisagé la justificative de ces apprenants, nous avons estimé qu’il s’agit des exercices par
groupes que sont toutefois inséré dans le cadre l’évaluation sommative et non pas formative.
Subséquemment, ont répondu positivement à cette question 2 apprenants que sont représentés
en 10% des tous les apprenants enquêtés. Tandis que 90% ont répondu négativement.
_____________________
Voir graphique dans la page suivant.
55
Graphique 15 :
20
18
16
14
12
OUI:2
10
8
OUI:18
6
4
2
0
Faitez-vous d'exercices en groupe p...
La pratique des débats en classe de langue est chez BENAMAR (2009 :68) comme une
activité dont la pratique de la langue est spontanée et elle peut constituer une motivation à
l’apprenant, ce ci étant, on peut dire que notre intention lorsqu’on a conçu cette question aux
apprenants de la 12eme classe A3, à cette école Secondaire était de savoir se pendant les cours
de français, les apprenants sont posé en pratique de la langue à travers les débats.
Et comme résultats à cette question, nous avons découvert que la plupart des apprenants
donc, 17 apprenants affirment catégoriquement que les débats ne sont pas réalisée dans les
cours du FLE. Ainsi, nous comprenons que les enseignants du FLE à l’école 12 d’octobre ne
proposent pas des débats en classe.
Cependant, une minorité d’apprenants (3) a affirmé la réalisation des débats dans leurs classe
et en justification à leurs réponses, ils ont présenté que les débats sont pratiqués dans le
moment où l’enseignant présente le sujet au tableau et demande aux apprenants de dire qu’ils
peuvent possiblement savoir sur le sujet en question. De ce fait, notre compréhension est que
si l’enseignant pose des questions après avoir écrit le sujet au tableau, c’est parce qu’il ne
considéré pas l’apprenant comme une table rase. Cependant, il s’agit d’une vérification
routinière de ce principe. Toutefois, on peut dire que 85% des apprenants ont répondu
56
négativement a cette question alors que 15% des enquêtés ont affirmé qu’il y a pas des débats
dans les classe du FLE à l’école secondaire 12 d’octobre.
Graphique 16 :
18
16
14
12
10
Oui:3
8
6 Non:17
4
2
0
Realisation de debats en classe du FLE:
Comme forme de conclure cette phase, nous trouvons important de réitérer que nos
questionnaires étaient composés de 8 questions pour chaque, et nous avons adressés à un
échantillon composait de 24 individus par eux 20 apprenants et 4 enseignants de l’école
Secondaire 12 d’octobre à Nampula.
Comme nous avons avancé, ces enquêtes par questionnaire, ont été élaborés avec l’objectif de
valider les hypothèses et en suite pour comprendre exhaustivement dans quelle situation les
difficultés de l’évaluation formative de la production orale apparaissent et sont réalisées à
l’école secondaire 12 d’octobre.
D'ailleurs en sachent que notre recherche est de caractère explicative, on a trouvé importante
la mise en place de question mix dont les enquêtés ont pu s’expliquer sur leur choix, de façon
à nous aider à meilleur comprendre les conditions avec lesquelles les enseignants et
apprenants travaillent dans cette école.
57
Pour vérifier et valider cette hypothèse nous avons formulez les questions numéro 7 et 8
adressées aux enseignants (voir appendice II), et les questions 6 et 7 du questionnaire destiné
aux apprenants (voir appendice I).
Cependant, les résultats obtenus à travers l’observation réalisée au cours de ces enseignants
ont montré que les enseignants n’encouragent pas de tout les exercices en groupes dans la
classe. Ainsi, à partir de la 7 et 8eme question adressées aux enseignants on a aperçu que 100%
des enseignants ont répondu négativement par rapport à la mise en place fréquent d’exercices
(oraux) en groupes en cours du FLE. C’est-à-dire les enseignants enquêtés ont montré que ne
font pas recours aux exercices en groupes.
En effet, avec le même objectif de valider cette hypothèse on a adressé les questions 6 et 7
aux apprenants (voir appendice I) dont on a constaté que 92.5% des apprenants enquêtés ont
affirmé que leur enseignant ne propose pas des exercices en groupes. Toutefois, si nous
prenons 100% de la part des enseignants et 92.5% chez les apprenants, nous avons une
moyenne de 96.25% de notre échantillon en affirmant le manque de la mise en place fréquent
d’exercices (oraux) en classe.
De ce fait, il est évident que la première hypothèse est valide, car en accord avec les résultats
obtenus, les enseignants à l’école secondaire 12 d’octobre ne proposent pas habituellement
d’exercices (oraux) en groupe. Raisons par laquelle est vérifiée l’absence de communication
en classe ce qui rend difficile la mise en place de l’évaluation formative de l’expression orale
du FLE en classe nombreuse comme est le cas de la 12 eme classe A3 à l’école 12 d’octobre qui
détient 94 étudiants.
58
Cette hypothèse a été mise en avance sous prétexte que les apprenants ne sont pas mis en
pratique de la langue. Selon ces apprenants, la seule opportunité qu’ils ont pour communiquer
en classe c’est quand l’enseignant fait le control de la classe (l’appel). Ces affirmations ont
été confirmées à travers les donnés obtenus dans l’observation effectuée dont le niveau de
l’interaction dans ce classe est insoutenable.
Cependant, ces apprenants ont dit qui ne communiquent pas en français pendant les cours
parce qu’ils ont honte et n’aiment pas de parler cette langue, d'ailleurs cette situation pourrait
être complètement différent si l’enseignant proposé des activités telles que jeux de rôle,
simulation ou débats qui dans la vision de BENAMAR (2009) ces activités stimulent la
pratique de la langue spontanément.
À ce fait, pour tester la validité ou non de cette hypothèse, nous avons conçu les questions 4
et 6 pour les enseignants (voir appendice II) et 4, 5 et 8 pour les apprenants (voir appendice
I). Donc, les résultats obtenus à partir de ces questions présument que 75% des enseignants
enquêtés ne donnent pas des exercices qui provoquent le désir de parler chez l’apprenant.
Subséquemment, les résultats montrent que 88.33% de ces apprenants sont d’accord que
l’enseignant ne donne pas des exercices13 qui stimulent l’expression orale chez l’apprenant.
Toutefois, 75% des enseignants entourés ont affirmé que ne proposent pas régulièrement ces
activités en classe plus, et 88.33% d’apprenants témoignent l’absence des mêmes activités, en
effet, la moyenne de ce résultats est équivalent à 81.665% de notre échantillon.
De ce fait, comme la moyenne obtenue dans ces questions est égal à 81.66% nous pouvons
confirmer que la deuxième hypothèse de notre recherche est aussi valide. Ainsi, le défaut
mobilisation d’un espace interactif en stimulant les activités orales comme jeux de rôle,
simulation et/ou débats, est une de facteurs qui peut causer des difficultés dans la mise en
place de l’évaluation formative de l’expression orale du FLE dans une classe surchargée.
________________
13
SIMULATIONS, JEUX DE ROLE, DEBATS.
59
Propositions
Face à constatations résultantes de notre recherche, on laisse les suivantes recommandations :
Encore aux ces enseignants, nous proposons qu’ils favorisent les compétences
phonétiques en distinction des autres, comme sémantique et syntaxique de façon à
déposer leur attention aux méthodologies que vraiment favorisent la pratique orale de
la langue en classe du FLE.
Les enseignants du FLE de cette école doivent prioriser les activités dont la plupart
des apprenants participent et se montrent intéressé tels que jeux de rôle, simulation, et
débats.
Les enseignants doivent doter chez les apprenants d’informations sur l’importance de
pratiquer la langue en classe, et les doivent aussi les motiver à participer activement
dans les cours, pour moyenne de reconnaissance de l’apprenant devant ses collègues
ou simplement par des mots appréciatives, tels que : C’est bon!, Voila!, Bravo! etc.
60
Conclusion
Avec la mise en place de cette recherche, nous avons compris que dans le processus
d’enseignement/apprentissage du FLE, pour la mise en place de l’évaluation formative de
l’expression orale demande toujours que les apprenants communiquent spontanément, et
cette communication est provoquée par les suivantes activités stratégiques : exercices en
groupe, jeux de rôle, simulation et/ou débats.
Cependant, avec l’élaboration des questionnaires adressés à ceux qui ont constitué notre
échantillon, nous avons constaté que les raisons par lesquelles il y a des difficultés à
l’évaluation fréquent de l’expression orle c’est parce que les enseignants dans cette école ne
donnent pas liés à la production orale chez les apprenants en classe du FLE.
Est cependant pour cette raison que le chercheur de cette mémoire après avoir constaté les
facteurs des difficultés de l’évaluation dans le contexte formative a recommandé et proposé
aux enseignants des techniques qui provoquent la prise de parole spontanée chez l’apprenant.
Ce que spontanément facilite l’évaluation de l’expression orale dans une classe comme 12eme
A3 à l’école 12 d’octobre.
61
Bibliographie
De VECCHI, Gérard - Aider les élèves à apprendre - Editions Hachette.
CUQ, Jean Pierre & GRUCA, Isabelle. Cours de didactique de français langue étrangère et
second, Paris, Pug, 2003.
GIL, António Carlos, Métodos, Técnicas e Pesquisa Social, 5a e/d, São Paulo, Atlas, 1999.
GIL, António Carlos. Como elaborar projecto de pesquisa, 4a ed. São Paulo, Atlas 2004.
LEGENDRE R., Dictionnaire actuel de l'éducation, 2ème édition, Paris, ESKA, 1993
MUCCHIELLI, Alex. Les jeux de rôle, Presses Universitaires de France, collection « Que
sais-je?», Paris, 1983
NERICI, Imídeo Giuseppe. Introdução à didáctica geral. 16a edição. Atlas editor. São Paulo,
1993.
RICHARDSON, Walter. Make your scientific work step by step. Brush edition. England,
1989.
63
PRUDENCIO Pilar Aramayo et ORTIZ María Aidee Liliana Armenta. Foreign Language
English. Anthology Primera edición, 2006
Sitographie
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89valuation
http://pt.wikipedia.org/wiki/Avalia%C3%A7%C3%A3o_educacional
http://pedagogie.ac-amiens.fr/math-sciences/IMG/doc/11_evaluation.doc
http://lettres.discipline.ac-lille.fr/ressources/entree_metier_approfondir_pratiques/evaluer-
une-seance-et-une-sequence/les-differents-types-devaluation.pdf
http://ww2.ac-poitiers.fr/math/IMG/pdf/traiter_heterogeneite.pdf
65
Appendices
Questionnaire adressé aux apprenants;
Questionnaire dirigé aux enseignants;
Tableau d’observation des cours.
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Appendice I
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE_NAMPULA
Attention: Lisez attentivement et répondez les questions de votre croyance. Soyez sincère!
5. Pour que les apprenants puissent pratiquer la langue pendant les cours, le
professeur propose :
a) Jeux de rôle ___ b) Exposé de travaux ___
e) Exercice oraux par groupe ___ f) Exercices écrits par groupe ___
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7. Pratiquez-vous des exercices (oraux) par groupes pendant les cours de français ?
a) Oui ___ b) Non ___
Si OUI, comment présentez-vous les exercices par groupes dans votre classe?
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Appendice II
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE_NAMPULA
Appendice III
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE_NAMPULA
Tableau D’observation des Cours
Le présent tableau d’observation a pour objective collecter informations pour une
recherche scientifique intitulée «Les difficultés de l’évaluation formative de l’expression
orale du FLE dans une classe nombreuse». Cette observation est basée aux activités
stratégiques utilisées par l’enseignant en classe pour favoriser l’expression orale du FLE,
dans une classe nombreuse.
Annexes
L’accréditation pour le recueil de donnés;
La liste nominale de la 12eme classe A3, à l’école secondaire 12 d’octobre/2016.